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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 25-07-2021

Ah oui, bon anniversaire au lion sot. Il aura fallu utiliser le compte qui a servi sur un ancien forum pour vérifier.

Et dans 2 ans, ça deviendra de moins en moins possible avec les profils d'auteurs et de lecteurs qui vont disparaitre.


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-07-2021

(25-07-2021, 10:21 PM)bech link a écrit :Ah oui, bon anniversaire au lion sot. Il aura fallu utiliser le compte qui a servi sur un ancien forum pour vérifier.

Et dans 2 ans, ça deviendra de moins en moins possible avec les profils d'auteurs et de lecteurs qui vont disparaitre.

Merci Bech  Big Grin Big Grin Big Grin C'est sympa d'y avoir pensé !  :-* :-* :-* :-* :-*


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-07-2021

26/07/2021

Coucou les gens,

Je (re)précise pour tout auteur potentiel, que si quelqu'un ne désire pas publier de récit gay - notre principale manne - mais d'un genre  LGBT+ autre, hétéro ou même sans sexualité du tout, il peut s'inspirer de la photo pour nous écrire un OS de son choix sans problème ! (à m’envoyer en MP, évidemment)

Nous sommes "Tout thème" et on "t'aime-tout"

Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" :

1 - [member=87]Louklouk[/member]
2 - [member=168]lelivredejeremie[/member]
3 - @ Lange128


[member=87]Louklouk[/member], c'est ton tour, nous attendons ta photo !

Merci de choisir une photo du web et copier le lien de celle-ci style :
http://--------etc----------.jpg
pour pouvoir faire le transfert. (ça ne fonctionne pas avec un document ne finissant – ou n’intégrant pas – .jpg, du moins pas de façon à être intégré au texte, à ma connaissance)


Au format inférieur à 700Xxxx, pour pouvoir faire le transfert sans sortir du cadre. (mais pas trop petit non plus)



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 27-07-2021

En attendant le prochain cliché, voici un hors-série : Tranche de vie !

[Image: T_S1_14_Panne-d%E2%80%99ascenseur-rien-n...24x480.jpg]

Quel en est l’auteur ?

À un certain moment de mon adolescence parisienne, j'avais assisté au Théâtre national Populaire du Trocadéro à la pièce Lorenzaccio avec Gérard Philippe dans le rôle et Jean Villard pour lui donner la réplique. C'était à l'occasion d'une sortie scolaire en 1954. Un copain d'une classe voisine et de mon âge habitait une rue proche de la mienne dans le XIIIe arrondissement parisien, quartier jouxtant le XIVe et encore fort "ouvrier" à l'époque. Le théâtre se trouve dans le XVIe arrondissement, endroit "chic" de Paris. De beaux immeubles assez récents bordent l'avenue Benjamin Franklin, proche du Trocadéro. En ces années, nul besoin d'interphones ou de "Vigik" pour entrer dans le hall. Le simple appui sur la sonnette suffisait pour que la lourde porte s'ouvre. Nous pénétrons donc et, sitôt franchi le sas, l'ascenseur s'offre à nous. Sans hésiter, j'ouvre la porte de la cabine et nous voilà dedans, face à face. Tant qu'à faire, en route pour le 7ème et dernier étage. Pour nous, c'était vraiment le luxe suprême par rapport à nos "pauvres immeubles" sans confort moderne. Au 7ème, retour au rez-de-chaussée, histoire de naviguer et d'éprouver des sensations.
Et leur résultat apparut à mes yeux : une sorte de grosseur ornait alors la braguette de mon copain. Au cours du voyage suivant, en route pour le 7ème (pas encore...ciel !), je pose la main droite bien à plat sur la grosseur en question et mon "pote" me fait : Oh, ça fait tout drôle ! Il semble apprécier l'action de mes doigts. On redescend, quelque peu troublés par cette "drôlerie" et sortons de l'immeuble pour rejoindre le métro qui nous ramène à la station "Glacière".
Mais voilà : les jours suivants, nous convenons de rentrer à pied de notre établissement scolaire du 5ème par le haut du boulevard Saint-Michel. Des immeubles haussmanniens voisinent avec d'autres plus récents. "Au pif", nous pénétrons dans l'un d'eux et, oh joie ! nous trouvons un ascenseur. Dernier étage SVP ! Et hop, c'est parti.
Là-haut, nous nous trouvons à l'étage des "bonnes". Un petit couloir s'ouvre à droite, desservant les chambres de ces précieuses domestiques. Au tout début, une porte différente ne possède pas de serrure mais une simple poignée. Je la tourne et nous tombons sur le "cabinet-toilette", assez vaste. On se regarde et le copain se place sur l'un des côtés de la cuvette, debout et face à moi. Je ne tergiverse pas longtemps, ma main se dirige vers sa braguette que je déboutonne. Peu après, il en sort un assez joli pénis, bien droit, assez large à la base et s'amincissant vers le gland. Je ne résiste pas longtemps au désir d'y mettre les doigts pour accomplir cet éternel et immémorial mouvement qui procure tant de plaisir. Et seulement deux ou trois minutes après en sort ce liquide qui ne m'était pas inconnu mais que pour ma part je devais attendre un peu davantage côté "horaire". J'apprendrai plus tard que le copain faisait partie des "précoces" pour cet aspect de ses capacités. Coup de chance, les toilettes permirent d'engloutir rapidement le résultat de mes manipulations.
Par la suite, nous primes une sorte d'abonnement à ce merveilleux immeuble qui nous vit bien une bonne dizaine de fois avec toujours le même rapide résultat pour l'ami.
Ne voulant pas rester en dehors du coup, je participais aussi aux "démonstrations", aux "monstrances" comme on pourrait dire, en exhibant ce qui m'appartenait en propre mais sans épanchements aussi rapides.
Je réservais ceux-ci pour mes débuts de nuits, dans mon lit, en pensant bien évidemment à des activités un peu plus "canailles" avec le fameux copain, à une certaine "possession" plus poussée -c‘est le cas de l’écrire ! - quelque peu alternative...
En définitive, les séances d'ascenseur se terminèrent assez brusquement suite aux événements que voici.
Rue du faubourg Saint-Jacques, presque à la fin de cette rue au niveau de la place éponyme, se trouve un immeuble lui aussi pourvu d'un ascenseur. Nous l'avions emprunté un premier soir en rentrant mais sans effusion d'aucune sorte. deux jours plus tard, rebelote : nous y retournons et, en grimpant les étages, nous apercevons sur le sol de la cabine...un bas nylon ! Je le ramasse et l'idée farfelue me prend de retrouver sa propriétaire. Depuis le 6ème étage jusqu'au 1er, nous voilà à sonner à toutes les portes pour proposer l'objet. Peine perdue : personne n'est intéressé. Signalons que des portes restaient closes. Nous sortons donc de l'immeuble munis du fameux bas. L'idée me vient alors de traverser la chaussée et de recommencer l'opération...dans l'immeuble d'en-face. Folie ! Nous entrons dans l'édifice aux décorations intérieures très luxueuses. "L'appareil élévateur" était du type hydraulique : un gros tube qui devait se remplir d'eau sous pression propulsait l’engin. Il n'y avait pas de "couvercle" à cette cabine tout en bois et nous apercevions le haut de la cage d'escalier.
Un seul appartement occupait chaque étage. Pour nous, c'était plus que luxueux. Les "sonnettes" étaient de petits quarts de cercles de forme carrée sortant de platines de cuivre bien briquées. Bien évidemment les rares portes à s'ouvrir montrèrent des visages étonnés mais aux réponses négatives.
En repassant la porte d'entrée, un quidam vêtu d'un imperméable beige, les mains dans les poches, nous apostropha et s'enquit de notre présence dans cet immeuble. Que répondre ? Il nous pria, de façon pressante, de le suivre vers l'immeuble d'où nous étions sortis munis du bas. Un "comité d'accueil" nous y attendait : un homme en chemise bleu-pâle devant la porte ouverte de la loge de la concierge, au pantalon de laine bleu-marine. "Un flic, me dis-je. Sale temps !".
Madame son épouse se tenait sur le seuil. L'homme à l'imper était un "bourgeois", un policier en civil. Il nous fut demandé nos noms de baptême et...nos papiers ! Pas de carte d'identité, bien sûr, juste une carte du club de jeunes du quartier que nous fréquentions portant nos patronymes. On s'en contenta chez nos interlocuteurs. Par contre, l'établissement scolaire que nous fréquentions fut scrupuleusement noté. Un "petit vieux" passa à ce moment en nous traitant d’escrocs ! c'étaient là paroles très exagérées et injustes au plus haut point.
On nous libéra après un bon quart d'heure d'interrogatoire. Nous rentrâmes en nos logis, silencieux.
Trois jours plus tard, au début de la semaine, le porte de la classe du cours de maths s'ouvre et paraît le "surgé", le Surveillant Général de l'établissement. Il n'entre pas, passe seulement la tête et dit simplement : "X*** (c'était moi), mercredi soir Conseil de discipline chez le proviseur". Et il referme la porte.
Waouf ! Ques aco ? À la récré suivante, je file retrouver le copain qui fait, lui aussi, une sale tête. Même mauvaise nouvelle que pour moi !
Le jour dit, nous nous dirigeons de concert, vers le bâtiment administratif et nous voilà à poireauter dans le secrétariat à attendre. Une porte s'ouvre et nous sommes introduits dans une grande pièce où sont réunis une quinzaine de professeurs assis autour d'une grande table ovale où préside à un bout "M. le Proviseur" ayant à sa droite le peu aimable Censeur (Le Chef de la discipline). Nouvel interrogatoire. Nous ne pouvons nier les faits. Quant à la cause profonde de notre intérêt pour les ascenseurs, il nous paraît peu utile d'en dévoiler les dessous-si j'ose dire. Verdict : trois jours de mise à pied en informant, bien sûr, les parents. En guise de viatique, à la sortie de cette rencontre, mon ancien prof de français nous dit : "Puisque vous aimez les ascenseurs, allez donc au grand magasin du Printemps, c'est moins risqué !"
Vers la fin de la semaine suivante, après les trois jours sans cours, je suis sur la cour de récré. Je vois venir vers moi un garçon certainement ami du copain qui me dit : " C*** m'a dit que lui et toi...bibite...". J'en déduisis qu'il était intéressé à la chose lui aussi. Dame...à nos âges. Était-ce simple curiosité ? Je n'approfondis pas, quelque peu échaudé. Le copain ne m'adressa plus jamais la parole. Nous étions à quelques jours des "grandes vacances".
Dix jours plus tard, nous recevons à la maison mon affectation-ou plutôt ma...non affectation : j'étais prié d'aller me faire pendre ailleurs. On me conseillait une école professionnelle. "Pas de ça Lisette, dit ma chère maman. Tu iras en pension comme ton grand frère." Et je fus présenté au Frère Directeur de l'internat quelques jours plus tard.
Admis à partir d'octobre suivant, j'y terminais mon cursus scolaire secondaire avec un succès fort heureux comme "Major de promotion". À quelque chose, malheur est bon !
J'eus l'occasion d'y trouver quelques camarades qui me plaisaient bien aussi et ne manquais pas de jeter quelques coup d'œil discrets au moment de quitter nos vêtements de jour avant le coucher. Nous étions en dortoirs à cette époque. Le moment favori était le samedi matin quand, en slips, nous étions en rangs d'oignon attendant d'accéder aux douches. Certains dont moi le premier, étions assis et avions les "petites choses" des copains au niveau des yeux. j'imaginais alors les "choses" en question et...

Mais c'est une autre histoire !





Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-07-2021

Décision un peu sévère pour une simple blague d’ado  :-\ Les 'censeurs' étaient recrutés dans l’administration pénitentiaire ? Heureusement que les petites séances de touche-pipi n’ont pas été évoquées, sans quoi l’internat, c’était en Guyane…
Mais comme dit le narrateur, à quelque chose, malheur est bon, finalement, tout est leçon dans la vie, il aura appris assez tôt à ne pas perdre son temps avec les 'précoces'  :Smile Et si en pension les chambres sont communes et un peu trop peuplées, les douches le sont aussi, le talent consiste alors à mater sans se faire capter, et surtout à repérer qui le fait aussi  8) Du coup, la file d’attente n’est p-ê pas le pire moment de la journée, déjà pour cela, du moins pour lui.

Quant à l’auteur… KLO7514 semble être passionné par la mécanique hydraulique, avec la poussée horizontale des pistons de ses chers trains, il a pu également avoir un intérêt… passager (hahaha) à celle – verticale – du piston des ascenseurs. Avant d’étudier le sujet dans les trois dimensions avec ses petits camarades d’internat Big Grin  Et si ce n'est lui, pour la nostalgie (légère, limite insouciante), justement… Nostalgique ?



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - emmanolife - 27-07-2021

Ambiance très bien rendue des lycées parisiens d'après-guerre, correspondant exactement à ceux que j'ai gardé d'une période un peu plus tardive (quelques années). Ce ne peut être qu'un vrai parisien qui a écrit ce texte, et celui qui a déjà avoué ses origines, c'est KLO.

La convocation chez le proviseur m'a évoqué un souvenir semblable, j'en avais connu une pour des motifs bien futiles, et j'aimais aussi mater les copains en slip dans les vestiaires, sans jamais oser toucher : je devais être trop timide, ou alors il n'y avait que des hétéros dans ma classe...


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 27-07-2021

Coucou les gens,

Louklouk m'a fait parvenir ceci pour aiguisé votre imagination:

Le mac

[Image: LJiwLsrvsUa_a-chacun-son-histoire-photo-...uklouk.jpg]

Tous à vos clavier !!!


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-07-2021

Coïncidence - ou pas si Louklouk a aussi un profil IG - je l’ai vu ce matin dans mes suggestions  Smile
https://www.instagram.com/boysnest/  Il est… hmmm… inspirant, oui, disons ça, inspirant  (¬‿¬)
Puis aussi, il y est géolocalisé à Amsterdam, c'est juste 2h30 de route pour moi, à vos marques, prêt...



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 27-07-2021

Cette photo est référencée 50 fois sur Google, il s’appellerait Karl Leonhard Stuke et serait allemand, né le 4 novembre 1998, et aurait 246k abonnés sur Instagram. Ce jeune homme doit être très sollicité, je crains que Jérémie arrive trop tard.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-07-2021

Coucou les gens,

Le hors série était bien de la plume de KLO7514 comme l'avaient pronostiqué [member=168]lelivredejeremie[/member] et [member=67]emmanolife[/member] !


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-07-2021

Premier Mac,

Le mac

[Image: LJiwLsrvsUa_a-chacun-son-histoire-photo-...uklouk.jpg]

35 °C dans l'appart aujourd'hui. Il me faudrait une bonne clim. Mais bon, en discutant avec une voisine qui connaît les propriétaires, c'est pas gagné ! Le loyer est pas cher, mais du coup, ils ne veulent pas faire des frais de travaux.

Tous les copains de la fac sont repartis chez leurs parents. Pas la peine de venir faire des études dans une ville près de la mer pour aller à l'autre bout de la France en plein été. Moi en tout cas, du moment que j'ai un appart à 10 km des plages, j'en profite. Mais putain, qu'est qu'il fait chaud ! Bon, d'un autre côté, dans cet appart du dernier étage, avec pas mal de baies vitrées exposées à l'ouest, je n'ai eu à chauffer que 2 mois cet hiver. Ça fait des économies. Lorsqu'il faisait 25 ou même 28 °C, ben tout seul chez moi je m'habillais en conséquence. En plus ça économisait la lessive. Mais là, à présent, même comme ça c'est intenable.

Tien, la box internet vient de s'éteindre. Donc, c'est 2 heures du matin. C'est mon truc. Une minuterie sur la prise pour être averti qu'il serait raisonnable d'aller me coucher, sinon, je resterai sur l'ordi toute la nuit.

Bon, je vais faire un passage à la douche, pour m'enlever toute cette sueur, et dodo jusque vers 9-10 H. Je me lèverai quand j'en aurai envie, je suis en vacances.

Tien, c'est quoi ce bruit derrière la porte ? Un cambrioleur qui essaie de rentrer ? Ou là ! Il a l'air de s'énerver. Il faut que j'aille vite lui dire de se calmer avant qu'il bousille tout !

"Porte, ouvre toouaaaa..., Je veux rentrer chez mouuaaaaaaa !"

Bon, je m'apprêtais à latter se gros connard et à le faire gicler du palier, mais je suis écroulé de rire. Du coup, ça me calme. A la voix, c'est un jeune mec. Je vais quand même lui dire d'arrêter de faire du raffut.

J'ouvre la porte, je voie le jeune mec accroupi. Belle chevelure bien frisée, sûrement une permanente. De beaux yeux un peu humides. Il jette un coup d'oeil vers mon visage avant de recommencer à regarder à l'horizontale.

"Ouah mec, elle est belle !"

Je ne comprends pas tout de suite, mais avec ses yeux écarquillés et sa bouche ouverte, je comprends ce qui l'intéresse. Comme je le disais, lorsqu'il fait très chaud et qu'on est seul dans l'appartement on s'habite en conséquence. Mais du coup, je n'ai même pas pensé à remettre un short avant d'ouvrir. Et maintenant, "elle" est en train de s'embellir en prenant du volume. J'ai bien envie de l'inviter ce mec.

Il s'est relevé et a priori lui aussi a quelque-chose qui a pris du volume sous le boxer visible de sa braguette déboutonnée. Il regarde l'intérieur de l'appart avec étonnement.

"Mais c'est pas comme tout à l'heure et qui tu es toi ? Michel t'as aussi donné des clés ?"

Bon, je crois qu'après avoir arrosé quelque-chose, d'ailleurs il y a des traces d'humidité sur son jean, il s'est trompé d'adresse. Je le lui dis. Il cherche dans sa poche un bout de papier et ne montre une adresse. Tien, c'est celle de Michel Demarque, un de mes meilleurs potes de fac qui est parti passer l'été dans sa famille à l'autre bout du pays.

"- Non, tu es dans la bonne copropriété, mais, ici, c'est le dernier étage du bâtiment A2, Michel qui est parti jusqu'en septembre a son appart au dernier étage du bâtiment A3.

- Bon, excuse mec, j'espère qu'on se reverra, tu as l'air sympa et puis ..."

Ouais, il a l'air d'apprécier mon corps. Moi, je ne voie que son visage d'ange et son beau torse nu. Tout le bas est caché.

"- Bon, ben, je vais essayer de retrouver l'appart à plus mec, j'espère te revoir.

- Attends, je vois que ta clé est toute tordue et sur le point de casser. Il vaudrait mieux que tu restes ici et on verra quand il fera jour."

Le mec vient de me sauter dessus, de me prendre dans se bras pour me faire un bisous. Ouah ! ça signifie qu'il est d'accord. D'ailleurs, il sort une bouteille de punch bien entamée et me propose de la finir, lui il estime en avoir assez bu.

Mmmm pas mal ce rhum super arrangé. On s'est assis et on discute un peu puis il se relève en tenant un endroit caractéristique. J'ai l'impression qu'il a un gros besoin de pisser. Avant qu'il fasse ça n'importe où vu son état apparent, je le prend par l'épaule et l'emmène devant la douche. Au moins, il y a peu de risque qu'il vise à côté.

Effectivement, il émet un gros jet et s'amuse à le faire monter en l'air et à asperger aussi les murs. J'ai bien fait de l'emmener devant la douche. Je pisse un coup moi aussi. Il émet un long bâillement. Je bâille aussi. 3 H du matin à ma montre.

"- Ça te dirais de prendre une douche avant de dormir ?
- Oh oui, tu la prends avec moi ?".

C'est parti ! Je l'aide à se déshabiller, il tient à peine debout. Nous sommes tous nus dans la douche. On devrait pouvoir se savonner mutuellement mais dans son état, il vient souvent me prendre dans ses bras pour éviter de tomber. J'aime son contact. Ses mains sont douces. L'élément de mon corps qu'il avait remarqué lorsque je lui ai ouvert la porte se redresses fièrement. Le sien aussi d'ailleurs, on est bien ensemble.

Après avoir réussi tant bien que mal à se laver (lui ne m'aura pas trop savonné), et s'être essuyés à la serviette, enfin, je l'ai essuyé et je me suis essuyé, direction le lit. Il me fait un petit bisou, se cale contre moi est ferme les yeux. Sa respiration a ralenti, je crois qu'il dort déjà.

Je caresse sa peau douce et je parcours son corps dont j'apprécie le contact. Je m'endors moi aussi. Je me sens bien dans les bras de ce mec.

Ça a bougé dans le lit. Je me réveille. Il fait bien jour. Je n'avais pas pensé à fermer les volets avant de me coucher. Il s'est réveillé et me regarde un peu surpris.

"- Dis, tu ne serais pas Jeremy Duvignau ?
- Mais oui, on se connaît ?
- Philippe Letilleul, on était au collège Jean Filzard.
- Ah oui, tu n'as pas changé au niveau des yeux à l'époque, mais pour la chevelure ...
- Oui, avec une permanente j'ai un look tout à fait différent".

Voila. Je craignais de m'ennuyer un peu malgré la mer avec tous les potes de la fac partis, mais je me retrouve avec un petit gars sympa que je n'avais pas vraiment remarqué à l'époque. Lui m'avait déjà remarqué davantage.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 28-07-2021

Les mecs toubourrés sont svt chiants, mais là, les boucles et les yeux verts, à genou à hauteur de son bassin, avec en plus le compliment candide sur sa mi-molle, je peux comprendre que Jeremy le trouve attachant, il ne m’en faudrait pas bcp plus  ;D 
Après, profiter d’un presque comateux ne doit pas être plus glorieux que très agréable au final, mais celui-ci n’a pas trop changé d’état d’esprit le lendemain matin  Smile  Puis aussi, le petit mec qui doit se mettre la tête à l’envers – et changer de look – pour s’intégrer, il n’est pas trop sûr de soi, lui regonfler l’ego et p-ê quelques parties de son corps, c’est un beau défi  :Smile
Je mise 5 kopecks sur Gaëtan, et un autre billet sur Fab.



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 28-07-2021

Ah que voilà une inattendue visite qui devrait combler un certain vide très provisoire vu la tournure que prend cette rencontre...Souhaitons beaucoup de bonheur à Jérémy et Philippe.
Lange, peut-être?


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 29-07-2021

(28-07-2021, 11:26 PM)KLO7514 link a écrit :Lange, peut-être?

Non, ce n’est pas moi, j’utilise les tirets cadratins. Les dialogues sont introduits par des guillemets, très peu d’auteurs le font et je n’ai pas retrouvé qui c'est.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 31-07-2021

Deuxième Mac,

Le mac

[Image: LJiwLsrvsUa_a-chacun-son-histoire-photo-...uklouk.jpg]



- Hallo, 'ch bin Karl-Leonhard" a dit le splendide blond à poil sur le canapé, dès que je suis entré.
- Shbin-quoi ?" ai-je ânonné, fasciné. "Moi, c’est Charles, mais… où est Roman ?"
- Karl-Leonhard, ma nom. Ah, tu es Charles ? Okaaay ! Roman nomme me Charles pendant le Sex, je croyais, il traduit mon nom. Hem… Letztes Mal… dernière…ment ? était-il dans chambre de bain. Sich leeren…
- Comment ça, se vider ? Et tu as passé la nuit ici ?
- Tut mir Leid… Sorry, je sais pas, tu existais wirklich. N’es pas fâché à Roman, peut-être trop de la vodka… er ist müde. Mais je suis pas" a-t-il minaudé, en soulevant le pc de Roman pour le tourner vers moi, ouvert sur Pornhub, et accessoirement en exposant un sexe lourd visiblement excité par la vidéo, en semi-érection, et dont le gland commençait à émerger d’un prépuce épais.
- Oui, j’existe réellement. Et il est fatigué ? Moins que moi de ses conneries" ai-je claqué, après avoir repris mes esprits, en réalisant que ce mec… ce superbe mec… doit être un sexopathe, avant de foncer vers la salle de bains, où j’ai trouvé mon mec, crispé sur la cuvette des wc.
- Oh ! Charles, tu es là ?
- Les croissants du dimanche matin" ai-je grogné en secouant le sachet de viennoiseries "avant notre rituel du dimanche matin. Un peu compromis, là on dirait… Mais qu’est-ce que tu fous ?"
- Euh, tu vois bien… Et là, je comprends que tu imposes la capote, ça n’en finit pas de couler, c’est… je sais pas… un peu humiliant. Puis il est insatiable, et là, ça fait… maaal.
- J’aurais jamais cru entendre ça. Roman, tu es… Je veux dire, jamais j’ai pu te… Pas que ça m’ait tenté, mais toi, tu as toujours été absolument, résolument, strictement act' ! Comment as-tu… ? Et non-protégé ?
- Charles, sérieux, tu l’as vu ? C’est Siegfried du Crépuscule des dieux, puis du lendemain matin des dieux… Alors, ouais, j’ai un peu oublié le latex… Mais lui, il est… Trois fois, je te jure ! Oooh !

Il serait vraiment… 'Oooh', lui ? OK, ce que j’ai vu est prometteur, mais ce qu’on dit des petites s’applique aux grosses, c’est pas tant ce qu’on a que ce qu’on en fait ! D’un autre côté, Roman est HS, et l’autre bite sur pattes est probablement en train de se palucher sur une vidéo où un twink comme Roman - et comme moi, faut dire - se fait tringler par un hunk comme lui, et je dois me forcer à déglutir l’afflux de salive qui m’emplit la bouche, là…

- Merde, Roman, je…
- Je suis désolé, Charles, je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Tais-toi, je t’en prie, je... je ne veux pas te voir ! Reste ici, ou dans ta chambre si tu veux, une fois que tu auras terminé de… ce que tu fais, mais je dois mettre un truc au point avec Karl-Machin, et je ne veux pas que tu interviennes.
- Je suis tellement désolé, je…
- Tu l’as déjà dit ! Et je suis sérieux, Roman ! Laisse-nous… parler" ai-je crié en claquant la porte.

De retour dans le salon, le pc repoussé jusqu’aux rotules, le poing serré sous un gland rouge et enflé, Karl-Truc m’a jeté un regard distrait et a murmuré "Alles klar ?"
- Nein, je suis perturbé… gestört… tellement que je pourrais… trebuchieren" ai-je bredouillé, à nouveau hypnotisé par la colonne de chair, avant de mimer le mouvement.
- Slopern, tu veux dire ?" a-t-il murmuré en posant l’appareil sur la table basse. "Ich hol dich ein."
- Tu me… rattrapes, c’est ça ?
- Rat-trapp… Ja. Aber eine andere Übersetzung… Mais une autre traduction peut-être : je te prends" a-t-il suggéré avec un peu d’innocence dans la voix, et beaucoup d’assurance dans le regard.

Les mo-oooh!-ollets serrés sur la taille de Karl-Leonha-aaah!-ard, mon regard étonné passait de ses lèvres qui mordillaient les orteils de mon pied droit au le filet de présperme qui s’écoulait en continu de mon méat, et qui annonçait un plaisir que n’a jamais vraiment pu me donner Roman. Pour qui j’ai une pensée furtive, ainsi que pour le latex que j’ai également oublié… avant que, la main agitée sur mon sexe, je m’abandonne à la jouissance.

La lente descente, l’afterglow, le léger cafard après l’orgasme... j’ai à peine entendu Roman gratter à la porte de sa chambre pour mendier la permission d’en sortir.
- Attends encore un moment" ai-je trop gémi d’une voix encore trop peu assurée, et qui n’a pas dû le tromper.

Alors que Karl-L relançait la vidéo mise sur pause, j’ai mis deux minutes à calmer le tremblement de mes jambes jusqu'il y a peu compulsivement serrées sur son corps, et à enfiler mon jeans, avant de tituber dans le couloir pour libérer Roman de sa prison consentie.

- On s’est… expliqué, je te comprends, et je te pardonne" ai-je dit, lui accordant ma généreuse absolution.
- Hmmm. Dis, tu n’as qu’une chaussette au pied, il t’a aussi… C’est étonnant, hein ?" a-t-il glissé, ignorant ostensiblement mon torse nu, en me suivant jusqu’au séjour. "Oh ! Il y a encore une goutte, là" a-t-il suggéré, le doigt tendu vers le gland de l’endurant Allemand.
- Vraiment ? Ah oui, tiens. Surement une réplique de vos activités de cette nuit, j’imagine" ai-je glissé, entre sarcastique et hypocrite "Ou alors, ce qu’il regarde lui fait assez d’effet" ai-je ajouté en m’effondrant sur le canapé à gauche de ce dieu du sexe, suivi par Roman à sa droite.

Mon regard est resté calé quelques instants sur sa main qui malaxait ses balles, le majeur tendu pour un massage de son périnée, avant de remonter sur l’écran, où un grand blond vu de dos défonçait contre un mur un minet malingre désespérément agrippé à son torse, et qui couine de plaisir, avant de se tourner sans lâcher le bonobo et, de deux enjambées assurées, d’aller l’écraser sur un lit pour continuer un long pilonnage. Le vidéaste peut-être pas si amateur est passé du visage extatique du petit mec à celui du top, et…

- Mais c’est toi !" ai-je éructé "Du bist es… Tu as ta propre chaîne sur Pornhub ?"
- Ja. Oui… Et aussi un OnlyFans, seulement 5,99$ par mois, si tu es… interessiert. Ici, c’est… il y a… dix-sept vidéos, tous garçons différents, sauf Kai, deux fois… Kai ist spezial, sportlich, licht… léger… beaucoup de possibilités pour ficken’’ a-t-il murmuré, un peu rêveur, en glissant l’index sur l’écran où le petit mec se prend maintenant des jets blanchâtres sur la joue.

Roman s’est trompé de mythologie, Karl-L n’est pas un Siegfried, c’est Priape !