Récits érotiques - Slygame
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

+- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr)
+-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3)
+--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7)
+--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7)



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 06-01-2024

Coucou les gens,

[Image: galette-rois1.jpg]

Comme le veut la tradition chrétienne, on fête l’Épiphanie le 6 janvier, avec la traditionnelle galette des rois.
Je n'ai pas de galette à vous envoyer... mais Balthazar, Gaspard et Melchior ont pris la pose pour vous !

[Image: NAfiRNIUrRa_Remagi3.jpg]
C'est appétissant, non ?  Tongue



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 07-01-2024

Le compte est bon. Hier à la galette des rois du club photo, j'ai eu 3 fèves sur les 4 galettes qu'on a mangé.
Etant du sud de la France, je préfère la version couronne de brioche avec des fruits confis.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 07-01-2024

(07-01-2024, 12:57 AM)bech a écrit : Le compte est bon. Hier à la galette des rois du club photo, j'ai eu 3 fèves sur les 4 galettes qu'on a mangé.
Etant du sud de la France, je préfère la version couronne de brioche avec des fruits confis.

Chanceux et gourmand, l'ami Bech ! Tu as donc pu choisir trois prince consort... la bite Tongue  


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 07-01-2024

Troisième  défi phrasette,
Vol de culottes à l'internat
— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat...
En réalité, ce n'était qu'une affaire, qui avait disparu : son minislip — car le fin Dominique détestait les boxers, les qualifiant de « barboteuses »...
Précisons que ce long, fin et blond garçon était plutôt bien pourvu... et qu'il se trouvait beaucoup mieux mis en valeur dans un minislip que dans une barboteuse...
« Ce serait donc vrai, que les internats sont des repaires de pédés ? » se demanda-t-il alors. Dominique venait de faire sa dernière rentrée ici, à dix-huit ans tout juste, ses parents ayant provisoirement migré en Australie, pour leurs affaires.
— Juste un an, mon chéri ! avait dit Maman, et tu pourras te faire plein d'amis, c'est sûr !
Dominique sourit en se remémorant cette phrase : car faute d'amis, il avait déjà un fan club... en deux jours !
Mais... puisqu'il n'y avait que des mecs en cette boîte huppée, il fallait bien que c'en fût un qui désirât s'enivrer de ses senteurs intimes... Il sourit derechef : il se demandait depuis longtemps comment ça suçait, un pédé... Un mec, quoi !
Lui qui avait dû abandonner un mignon harem pour venir se cloîtrer ici, il aimait plutôt bien le sexe... et il ne doutait pas que cela travaillât aussi ses condisciples. Bref, l'année menaçait d'être chaude, Réchauffement ou pas !
Restait à dégoter le voleur d'odeurs... Certes, il n'avait pas manqué de surprendre maint regard visant son bel objet, sous la douche... mais à moins qu'un gang d'amateurs de sniffe opérât céans, il fallait bien que sa culotte fût sous le nez d'un de ces mateurs !
Il se ceignit de sa serviette, et rentra à sa chambre, partagée avec un beau gars du nom de Martin, sportif engageant et sans manières.
— On m'a piqué mon slip !
— Ah ! Ah ! Ah ! Déjà ? C'est vrai qu'avec le matériel que tu te trimballes, t'as dû leur mettre le feu aux couilles ! Ah ! Ah ! Ah !
— Ça te fait rire ? fit Dominique, l'air faussement vexé.
— Nullement, nullement ! Mais bon... ça te donne une indication sur la suite des opérations... et de ton année ici.
— Hein ? Mais laquelle ?
— On est hétéros tous les deux... mais faute de meuf, une bouche avide est toujours la bienvenue, non ?
— Ben... tu crois ? fit Dominique, réprimant un sourire.
— Garanti ! Tu vois celle-là ? fit il en se prenant la queue (car il était à poil sur son lit), elle t'en donnerait des nouvelles ! Tu sais que c'est ma troisième année ici, alors...
Où Martin se raconta un peu : dans sa première année, il avait bien dû sucer des grands, mais son avantageux physique de sportif — et surtout ses poils déjà nombreux — lui avait vite permis de s'imposer. Cependant, il ne gardait pas un mauvais souvenir de ces choses... et avoua en reprendre une petite dose de temps à autre. Dominique laissa choir sa serviette et se saisit la bite :
— Les nanas disent tout le temps qu'elle est trop grosse pour être bien sucée...
— Y a pas un mec qui te dira ça, mon pote ! affirma Martin.
— J'ai plus qu'à attendre qu'on me viole, quoi...
— Tu prendrais ça pour un viol... si je te sautais dessus, la bouche grand ouverte ?
— Martin ?
— Oui, oui, je sais, je suis hétéro ! Mais ici... je suis devant le plus beau mec de la boîte, et le plus bandant... Tu veux ?
Dominique eut un geste indiquant qu'il ne savait... et  Martin se jeta, comme annoncé, sur sa queue... qui réagit au quart de tour. Ah ! La belle pipe que celle-là ! Dominique ne bouda pas son plaisir, qui apprécia la technique de son hétéro de coloc' ! Et il emplit le gosier d'un Martin qui n'en recracha pas une miette... Il murmura, enfin :
— Pas sûr de te rendre ça, Martin...
— Beau comme t'es, tu prends, et tu rends pas. Et on t'adorera quand même.
Drôle de prédiction ! On causa, ensuite (il restait une demi-heure avant le dîner), et Dominique demanda enfin :
— C'est quoi, la vie ici ?
— En dehors des cours, c'est beaucoup de fantasmes et peu de sexe pour la plupart, et le contraire pour certains... voila ! T'aimerais quoi, toi ? Moi, je sais où je suis ! J'ai déjà repéré des petits nouveaux à qui je vais apprendre les bonnes manières...
— T'aimes le cul tant que ça ?
— Je suis exactement comme toi, et tous les autres : oui !
Dominique dut sourire et admettre in petto que lui aussi... et il fut content de partager sa carrée avec un tel garçon.
— Reste que faudra bien retrouver ton voleur de culotte ! Forcément un mec de l'étage, donc. Mais comme y sont tous plus ou moins pédés... et chauds à cent pour cent...
— Bof... Laisse tomber : après tout, c'est plutôt flatteur de penser qu'un mec s'endort en reniflant l'odeur de ma bite...
— Ah ! Ah ! Oui, t'as raison ! J't'adore, toi ! Mais moi, je préfère m'endormir avec le goût de ton jus sur la langue !
— Cochon !
— Attention : ici, c'est un compliment !
Il eut du mal à s'endormir, Dominique : ça faisait beaucoup, tout ça. Quand il s'éveilla, Martin était en train de s'astiquer vigoureusement, et il le regarda  jouir.
— Oh, t'es là toi ? fit alors le branleur.
— Oui, un peu...
— Et tu te branles pas ?
— J'attends le parachutage de mon ONG préférée...
Martin sauta de son lit et emboucha dans la seconde le roide vit d'un Dominique qui gémit hautement. Décidément, il venait de se faire, sans lever le petit doigt, un admirateur enragé... et à domicile !
— Bon ! fit Martin en se léchant les babines, ayant tout avalé, je vais commencer mon enquête. et puis on ira se doucher ensemble, et je surveillerai tes fringues : faudrait pas que tu sois obligé de te faire livrer les p'tites culottes pas lot de vingt-cinq !
— T'es gentil, mais... je t'en demande pas tant.
— Sauf que j'ai envie de savoir, moi ! Et que je suis jaloux aussi... Je sniffe pas bon, moi ? Et quand on aura coffré le pervers sniffomane, on en fera notre esclave sexuel !
Dominique éclata de rire.
— C'est un internat, ou un camp de vacances, ici ?
— Écoute ça : c'est ce qu'on en fait, et grâce à ce vol providentiel, on va bien s'amuser... Tiens ! Première idée : et si on piquait aussi les slips des autres ? Histoire de foutre le bordel à l'étage... On va les rendre tous plus fous que nature, tiens ! Et va y avoir de la bite à l'air, dans l'canton ! Allez, on y va et on commence tout de suite.
Aux douches, Martin ne put certes surprendre le voleur de culottes, car Dominique y était allé avec sa seule serviette... mais il revint en douce avec deux trophées ; deux boxers chipés à de jolies brutes sportives, Victor et Christian, deux beaux mecs, velus déjà et fort engageants... contre lesquels on n'avait rien du tout, d'ailleurs. C'était pour le plaisir...
Dans la chambre, peu après, Dominique le trouva reniflant les culottes, et demanda :
— Alors ?
— Y dorment avec, ces cons-là ! Je sais pas si t'aimeras... Tiens !
Dominique dut respirer les mâles odeurs de ses condisciples, exercice qu'il n'avait pas prévu... Mais... rien de bien effrayant en ces frêles effluves... [alexandrin]
— Ben ouais... des p'tites odeurs de mecs... comme nous.
— On arrête, ou ?...
— Non, c'est une bonne idée. et on revole ces deux-là demain... afin de créer le scandale, et c'est là qu'on rigolera !
— Ah ! Je vois que tu comprends la tactique ! fit Martin, tout sourire. J't'adore, toi !
Ainsi fut fait... dès le soir-même, puisqu'on prenait céans deux douches par jour. Ayant oublié leur mésaventure du matin, les beaux sportifs avaient baissé la garde, et Martin réitéra son méfait. Il y avait du monde, et il disparut sans se faire remarquer.
— Oh putain ! s'écria le rude Victor, c'est qui la tête de con qui nous pique nos boxers ? J'vais l'buter, ce pervers !
— On m'a fait le coup, hier aussi. Alors je viens ici à poil. À mon avis c'est un gang de fétichistes, dit gravement Dominique. Alors soit on se commande des culottes bon marché par douzaines, soit y viennent nous renifler les couilles en direct !
— Ah ! Ah ! pouffa Christian, tu prends ça bien, toi !
— Ouais, ça me botte d'imaginer des mecs, ici, se branlant avec mon slip sous le pif !
Les autres, qui avaient été attirés par les cris de Victor, éclatèrent de rire.
— Ça n'empêche pas qu'on peut faire une enquête, en demandant à tout le monde : « Tu te branles avec les odeurs de qui, toi ? »
Nouvel éclat de rire général.
— Bref, tu t'en fous, quoi ?
— Ouais, j't'ai dit, ça m'excite même un peu... mais on pourrait peut-être se faire du fric avec ça : tant le slip du jour, tant celui de deux jours, etc...
Encore un succès pour Dominique ! On se sépara, mais Victor prit Dominique par le bras :
— T'es sympa, toi ! Tu viendrais pas boire un coup chez nous ? On a c'qu'y faut...
— Faut que je prévienne mon pote, Martin.
— Martin ? Alors tu l'invites aussi, on le connaît bien !
Rentré chez lui, Dominique demanda à Martin :
— Dis-donc, toi, tu m'as pas tout dit ! Il paraît que tu les connais bien, les deux autres ?
— Ben... J'avais dégoté un petit pour me faire sucer, et ça a fuité... sans jeu de mots... et on s'est retrouvé à trois à profiter de ses talents... Il est encore là c't'année, d'ailleurs...
On fut donc chez les deux autres, et le nom du joli Florent vint assez vite sur le tapis.
— Tu crois quand même pas que c'est lui qui nous pique nos affaires ? demanda Victor.
— Il est pas de l'étage... mais il a peut-être un complice ! fit Martin, l'air louche. On va le faire parler... mais pas la bouche pleine !
On pouffa et picola... et l'on finit par se branler de concert.
— Bref, l'enquête n'avance pas ! constata Martin quand on fut rentrés.
— On a juste trouvé des potes de branlette...
Le lendemain, Martin alpaguait le beau Florent, qui lui répliqua fermement :
— Maintenant, c'est plus le même tarif : je suce si on me suce...
— Oh ! Le p'tit cochon !
— À bonne école, avec de grands cochons comme vous !
— Tu viens chez moi ce soir ? fit calmement Martin.
Lorsque Florent parut, Dominique bandait ferme, attendu que Martin s'était employé à encourager le personnel... Le minet sourit, et demanda, avec un air vicieux :
— Tout le monde suce, ici ?
— À poil, et tu verras ! fit Martin, s'essayant à l'autorité.
Et Martin de s'agenouiller devant le beau vit du « p'tit »...
Or on frappa : Victor et Christian. Bien qu'à poil et la queue en l'air, Dominique sortit... au même moment que le surveillant de l'étage, joli mec sympa, qui logeait à côté :
— Ho !  Y se passe des choses, là ?
— Non, non, rien, deux mots, pas plus, Bertrand !
Le surveillant s'en fut en rigolant, et Dominique expliqua les nouvelles conditions du marché.
— Tu suces, toi ? demanda Christian.
— Je sais pas encore... Ouais, je crois... ça me chauffe !
— Tu fais quoi ? demanda Victor à son pote. Moi... oui !
— Euh... Je peux mater, seulement ?
On rentra donc. Martin et Florent étaient en plein soixante-neuf, et les deux autres, vite à poil, se prirent la pine, les yeux exorbités...
— Tiens, y a du monde que j'connais, là ! fit soudain Florent. Y suce super bien, Martin... et vous ?
— Mieux, évidemment ! fit un Victor au ton bravache.
— Oh p'tain ! Je sens qu'on bien s'amuser, c't'année !
Ainsi commença une séquence où l'on oublia vite fait les culottes volées... Au reste, Victor et Christian retrouvèrent les leurs devant leur porte un matin... et maculées de foutre. Martin avait eu cette idée, avant d'aller nuitamment les déposer... On en rigola avec les garçons, et la vie s'agrémenta vitement : puisqu'on suçait le suceur, on pouvait en faire autant des autres... Je vous donne à penser que la suite ne fut pas triste !
Début mai, Dominique allait à la douche, vêtu de sa seule serviette, comme toujours, quand il tomba sur une longue chose rouquine, un Joël au demeurant sympa quoique fort timide et, partant, plutôt solitaire ici.
— Hep, Joël ! Tu sais quoi ? Ton slip ressemble fortement à celui qu'on m'a piqué aux douches au début de l'année... J'peux voir la marque ? Oui, c'est bien ça... Tu le tiens d'où ?
Complètement troublé, le mec rougit fortement, et bafouilla, l'air terrorisé :
— Je... Je... Oh !... Je...
— Tu rien, laisse tomber ! J'm'en fous. Mais je vois que toi aussi, t'as du mal à tenir dedans en entier ! On va se laver ?
Où Dominique, qui avait ces derniers mois énormément progressé dans l'art des relations mondaines, caressa doucement Joël sous l'eau chaude... On était seuls alors.
— T'avais aimé me renifler ?
— Euh... Oui, c'était super.
— On recommence... tu veux ? Rends-moi çui-là, et je te le repasse dans deux jours... ou trois, ça va ?
— Oh, mais... fit le garçon, archigêné.
Ainsi fut pourtant fait... Mais Dominique alla plus loin : il vira Martin un temps, pour proposer à Joël :
— J'te file mon slip, mais... t'aimerais pas mieux me renifler en direct ? Ce serait sympa, non ? Et j'te sens aussi, tiens ! Tu sais, ça me fait plaisir que ce soit toi ! T'es beau, Joël ! Et sexy, vraiment. Et gentil, je crois. Et intelligent...
On entreprit donc l'entrereniflage annoncé. Qui amena deux belles érections. Et deux jolies crues, finalement.
Pourquoi Dominique ne mêla-t-il pas Joël aux jeux ardents qu'il pratiquait quotidiennement avec les autres ? Il eut envie de se réserver des moments d'intimité avec le timide mais attachant rouquin. Et puis... Joël était fin mais fort bien dessiné et... somptueusement monté... et il désira se le garder.
Certes, Joël fut vite au courant du reste, mais... les choses avancèrent, sans qu'on y pensât vraiment : il advint qu'on s'aima. La fin de l'année approchait, où l'on eut évidemment son bac. La suite se fit à deux, mais on n'oublia pas les amis de pension, les années suivantes !



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - stuka132 - 07-01-2024

(07-01-2024, 05:28 PM)fablelionsilencieux a écrit : Chanceux et gourmand, l'ami Bech ! Tu as donc pu choisir trois prince consort... la bite Tongue  

ou  qu on rentre ....


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Nostalgique - 08-01-2024

Merci de cette jolie prose qui me rappelle un récit que j'avais écrit en son temps (la valse des slips). J'ai toujours aimé les odeurs masculines, y-compris la mienne ! Donc ton récit ne pouvait que me plaire.
Nostalgique


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 08-01-2024

Eh bien ! Quel voyage initiatique, et sans quitter l'étage de son internat... D'hétéro sans questionnements, à curieux-sucé-parce-que-pourquoi-pas, puis ardent suceur peu sélectif, pour finir en exclusif-avec-Joël-mais-sans-se-priver-d'autres-reliefs-ou-cavités ! C'est lez parcours dont trop d'hétéros peu curieux se privent, dommage...


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 09-01-2024

Coucou les gens,

Petit rappel des choses en cours :



Le défi des phrases de départ !



Jamais Clément n'aurait pu se douter qu'un simple coup d'œil par la fenêtre de sa chambre ferait basculer son existence toute entière...

Si tu m’aimes vraiment et si je t’aime vraiment je serai là demain...

J'ai revendu mon entreprise spécialisée pour une petite fortune...

Il sort du cabinet médical et se retrouve, seul, dans la rue...

Un soir, tard, je reçus un message avec une vidéo...

Merde ! Qui est l'andoulle qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat...

Pour sauver sa mère, un garçon au grand cœur a accepté...



***********************************************



Puis pour le 14 février 2024, les défis "Saint Valentin"!

Défi titre:

C'est la faute de Cupidon, na!

Défi 10 mots à utiliser:

démoniaque
mirifique
Byzance
comateux
dubitatif
gâteux
auréolé
polisson
cacophonie
glamour




Défi photo:
[Image: %C3%A1ngel-138353014.jpg]


********************

Puis, après les différents défis, une nouvelle photo :

[Image: NAjsrTnPvea_10290796.jpg]

********************

Et toujours : toute personne désireuse de voir une photo de son choix servir de base pour nos auteurs peut me l'envoyer en MP. Celle-ci sera publiée, à condition de respecter la charte de SlyGame, bien évidemment !


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-01-2024

Coucou les gens,

Je livre le nom de l'auteurs du troisième défi phrasette.
— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat...:

3 - @Louklouk


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-01-2024

Quatrième défi phrasette,

« Si tu m’aimes vraiment et si je t’aime vraiment je serai là demain… »

Je reçus enfin le message d’Anaël que j’attendais depuis des jours, mon ami m’avait fait languir. Malgré mes demandes, il n’avait jamais voulu m’envoyer de photo, ni de son visage, ni de sa bite, c’était trop risqué sur internet m’avait-il écrit. Il n’avait pas tort, mais si on ne voyait pas les deux sur la même image… Je ne lui en avais pas transmis non plus. Pas de rencontre dans la vraie vie, il prétextait un surplus de travail avant les fêtes.

Il me semblait qu’il se passait vraiment quelque chose entre nous deux, sans en être absolument sûr car c’était la première fois que j’étais amoureux. Je me disais qu’il y avait quelque chose qui l’empêchait de se dévoiler : la couleur de sa peau peut-être, ou son physique, je pensais même à un handicap. Je répondis :

« Génial ! Tu viens chez moi ? »

« Pas tout de suite, on pourrait aller d’abord au musée et nous chercher dans la foule. On y passera la journée s’il le faut jusqu’à ce qu’on se trouve. »

C’était un jeu original qui ne m’étonna pas de sa part puisqu’il étudiait l’histoire de l’art. Il m’envoya un ticket d’entrée au musée d’Orsay, le lendemain à 11 heures. Le soir, au diner, j’informais mes parents et mon frère de la venue probable de mon premier amour, je fis au passage mon coming out qui fut bien accueilli, comme je m’y attendais.

Le lendemain matin, j’arrivai à l’heure au musée. Je repérai quelques statues plus ou moins bien membrées, regardant si quelqu’un s’intéressait à moi. Je terminai devant « Le penseur de Rodin », mais seuls quelques touristes asiatiques faisaient la queue pour prendre des selfies. Encore une queue pour entrer dans l’exposition Van Gogh, je la quittai au bout de dix minutes.

Je me retrouvai alors dans une autre exposition intitulée « Le Poème de l’âme », consacrée à Louis Janmot, beaucoup plus intéressante. Cet artiste, que je ne connaissais pas, représentait symboliquement par des peintures, des dessins et des poèmes le parcours d’une âme sur la terre, de la naissance à la mort. Deux personnages, un couple, mais bizarrement l’homme était androgyne et ressemblait à une femme, également habillé d’une longue robe. Je doutai que ce fût ici que j’allais rencontrer Anaël. Je me dirigeai vers la sortie lorsqu’une jeune femme m’aborda, sa ressemblance avec l’homme des tableaux me frappa, elle était aussi vêtue d’une robe beige, plus courte. Elle me demanda :

— Qu’avez-vous pensé de cette exposition ?
— Un style assez démodé, dis-je, le monde tournait encore rond à cette époque, on croyait en Dieu et sa symbolique.
— Pourtant, vous devez avoir remarqué que l’homme ressemble à une femme.
— Ce peintre ne devait pas avoir une attirance particulière pour les nus masculins, contrairement à d’autres qui détournaient les symboles religieux, comme les célèbres martyres de Saint Sébastien.
— Tous les gouts sont dans la nature. Je vous invite à déjeuner pour poursuivre cette conversation.

Je fus très surpris, je balbutiai :

— Ce serait avec plaisir, mais je dois rencontrer un ami.
— Quelle coïncidence, moi aussi. Nous resterons au restaurant du musée, j’ai réservé une table.
— Anaël ? C’est toi ?
— Oui, c’est moi, et toi, tu es Côme ?
— C’est bien moi.

C’était donc ça, Anaël était une femme, mais pourquoi draguer un homme sur un site de récits érotiques gays ? Qu’espérait-elle ? Nous parlâmes peu pendant le repas, nous nous étions déjà tellement raconté de choses par écrit, je me demandais comment notre relation évoluerait. Après le dessert, elle me dit :

— J’avais peur que tu me rejettes si je t’avais envoyé une photo.
— Je ne t’aurais pas rejetée, mais je vais être honnête avec toi, je ne t’ai pas promis non plus que nous passerions notre vie ensemble, même si je sens que nous sommes faits l’un pour l’autre.
— Je suis désolée de t’avoir fait attendre si longtemps.
— Il fallait que nous nous rencontrions pour envisager l’avenir.
— C’est évident, dit-elle. Ça tient toujours cette invitation chez toi ?
— Bien sûr.
— On sera seuls ?
— Non, je pense que ma mère et mon frère seront là, je les ai avertis.

Nous sortîmes du métro à la station Passy et marchâmes jusqu’à l’immeuble où j’habitais. Nous montâmes à pied car l’appartement se trouvait au premier étage.

— Bonjour, euh, Madame, fit ma mère en nous accueillant.
— C’est Anaël, dis-je.
— Enchantée.
— Une femme ? me dit mon frère Eudes, étonné. Tu nous as pourtant avoué ton attirance pour les garçons… Et tu l’aurais connue sur un site gay.
— La vie réserve parfois des surprises. Tu ne vas pas me la piquer, j’espère, toi qui es un hétéro pur et dur.
— Plus très pur mais très dur quand je… Ne crains rien, j’ai Camille.
— Camille ? Tu ne m’en as jamais parlé.
— Tu n’es pas le seul à être amoureux.
— Je pense que vous désirez être seuls, dit ma mère, on fera plus ample connaissance en buvant le thé.

Je conduisis Anaël dans ma chambre, j’avais fait de l’ordre en prévision de sa venue. J’étais indécis et je dis prudemment :

— Nous pourrions faire l’amour… si tu es d’accord.
— Tu ne pers pas de temps, dit-elle en riant. Pourquoi pas ?
— Tu sais, je n’ai jamais fait l’amour à une femme.
— Et moi je n’ai jamais fait l’amour à un homme.
— Vierge ?
— Non, verseau, mais vierge… sexuellement. Et toi ?
— Lion et vierge. Tu crois à l’astrologie ?
— Pas du tout, dit-elle, pas plus qu’aux âmes de Janmot.

Nos lèvres se rapprochèrent et nous échangeâmes un premier baiser. Anaël prit l’initiative et ôta mon pull, découvrant mon torse glabre et pâle.

— Je n’ai pas de six-pack, dis-je en riant.
— Moi non plus, on prendra une bonne résolution : passer un peur plus de temps dans les salles de sport et un peu moins devant l’ordinateur.
— Ma mère a eu la même idée, elle m’a offert un abonnement pour Noël.

Elle me caressa le torse tout en m’embrassant. Je m’enhardis et je lui enlevai sa robe. Elle avait une longue chemise blanche dessous, elle n’avait pas l’air d’avoir une grosse poitrine, je repensai à l’homme androgyne des tableaux.

— Tu permets ? demandai-je.

Je posai ma main sur son entrejambe et sentis une bosse sous sa chemise.

— Tu as une bite et des couilles, dis-je.
— Ben oui, ça peu arriver à tout le monde. Bon, je ne pourrais pas être actrice dans un film porno.
— Tu es une femme trans ?
— Pas exactement, je me qualifierais plutôt de non-binaire. J’aurais aussi pu m’habiller en macho viril pour te séduire.
— Je n’ai pas l’impression que cela correspondrait à ton caractère.

Je m’en étais douté depuis que je l’avais vue au musée, mais cela aurait gâché le suspense si je vous l’avais dit tout de suite. Vous l’aviez peut-être deviné.

— Dans les salles de sport, ajoutai-je, vestiaire femmes ou hommes ?
— Hommes, évidemment, pour mater les zigounettes sous la douche. Et toi, tu en as aussi une ?
— Et si je n’en avais pas ? Si j’avais un vagin et si j’étais un homme trans, me rejetterais-tu ?
— Bonne question, merci de me l’avoir posée.

Anaël décrocha la ceinture de mon jean, ouvrit ma braguette et glissa sa main à l’intérieur de mon boxer blanc.

— Oui, je confirme, tu en as une, fit-elle, circoncise.
— Plus grosse que la tienne ?
— Est-ce si important ? C’est l’amour qui compte, plus que l’apparence.

Elle baissa mon sous-vêtement et prit mon pénis dur dans sa bouche, aussi dur que celui de mon frère — malgré son hétérosexualité affirmée, il n’avait jamais refusé une petite branlette fraternelle. Je passe sous silence la suite de nos ébats.

Que vous dire de plus ? Juste que nous eûmes une surprise en sortant de ma chambre pour boire le thé lorsqu’Eudes nous présenta son Camille…


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 17-01-2024

C’est le premier récit que je lis ici, qui évoque le transgendérisme, ou simplement la non-binarité, et expose la conclusion évidente au non-débat : est-il important de se positionner, et pour qui sinon soi-même, puis ceux qu’on admet dans son premier cercle ? ¯\_(ツ)_/¯

Après, je n’ai pas vraiment attendu la mention très factuelle des attributs qui trahissent Anaël, et la proposition abrupte du narrateur de faire l’amour avant d’aller tranquillou prendre le thé avec Mère, pour supposer pouvoir attribuer le texte à Lange ¬‿¬


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 17-01-2024

(17-01-2024, 01:30 AM)lelivredejeremie a écrit : C’est le premier récit que je lis ici, qui évoque le transgendérisme, ou simplement la non-binarité, et expose la conclusion évidente au non-débat : est-il important de se positionner, et pour qui sinon soi-même, puis ceux qu’on admet dans son premier cercle ?  ¯\_(ツ)_/¯

Sans révéler si c’est moi qui ai écrit ce récit ou pas, je connais une femme trans dans ma famille et elle m’a dit que cela avait été important pour elle de se positionner, alors que, dans l’idéal, cela ne devrait pas l’être, chaque être humain étant unique. Cela a aussi été important pour moi d’admettre que j’étais gay.

Le langage oblige également à se positionner, comment désire-t-on qu’on s’adresse à nous : monsieur, madame, « autre », il, elle, iel, etc ?

Je viens de trouver un lexique qui montre la complexité du sujet :

https://www.planning-familial.org/sites/default/files/2020-10/Lexique%20trans.pdf

Une autre question qui se pose : à quel moment le narrateur a-t-il compris qu’Anaël était une femme trans (ou non-binaire) ? Il dit que c’était dès la rencontre. Aurait-ce pu être plus tard, seulement au moment où iel se déshabillait ou était-ce impossible pour iel de le cacher ?



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 21-01-2024

Coucou les gens,

Je livre le nom de l'auteurs du quatrième défi phrasette.
Si tu m’aimes vraiment et si je t’aime vraiment je serai là demain...:

4 - @Lange128


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 21-01-2024

Cinquième défi phrasette,


— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat.
Avant de regretter la grossièreté prononcée à voix haute dans le local heureusement désert à cette heure dans cet établissement de la dernière chance, comme l’avaient sinistrement présenté Père et Mère, après un redoublement, une terminale désastreuse et un passage au bac scientifique exigé par iceux, qui lui avait assuré le pire résultat du département, battant un record de nullité.
‘La faute au nombre d’adorables minets du lycée’, se justifiait-il, pour les avoir plus suivis de ses assiduités que ses études, il lui fallait l’admettre.
Trop de jolis garçons, qu’il avait ramenés, sous prétexte de sessions d’étude, dans l’appartement que ses parents lui avaient aménagé dans leur hôtel de maître XIXè siècle de l’avenue Hausmann.
Désormais – du moins, temporairement – remplacé par cette sinistre boîte-à-bac, dont les douches austères donnaient l’ambiance générale.
S’il avait, par dépit, bien imaginé se retrouver au milieu de garçons – et de filles, par défaut – plus adeptes de la vie de la chose, plutôt que des choses de la vie, il en aurait été relativement heureux, mais la faune locale semblait résolue à son statut d’austères élèves studieux, que leur passé potentiel hantait bien moins que lui.
Lui, nu, serré dans la serviette nouée à sa taille, dans ce couloir vide et sombre…
Où la lumière se fit, soudain, illuminant l’arrivée du surveillant de l’internat, le jeune et joli, mais si sérieux Thibaut, finement musclé et roussement velu, comme Dominique l’avais furtivement remarqué un soir à la sortie de la pièce qu’il quittait justement, terminant de boutonner sa chemise lorsqu’il l’avait presque bousculé, en passant une langue gourmande entre ses lèvres. Un rougissement des joues du jeune homme l’avait placé dans la catégorie des inaccessibles, ou du moins, de ceux qui demanderaient trop d’effort de séduction.
— Tes vêtements… L’internat impose… a soufflé Thibaut.
— Un abruti m’a piqué mes fringues, heureusement qu’il m’a laissé ma serviette, sinon je me baladais ainsi, dit Dominique, en la défaisant, avant d’ajouter, provocateur ‘’Gênant, non ?’’
Embarrassé n’est pas exactement le mot qui aurait défini Thibaut, qui a trop longtemps fixé le long sexe de son pas bien plus jeune pensionnaire.
— Tu devrais…
— Rentrer dans ma chambre ? La clé était dans ma poche…
— Elles sont toutes occupées, a murmuré le timide surveillant. ‘’Et mon collègue-binôme referme la sienne à clé quand il ne travaille pas.’’
— Je n’en voudrais jamais, son hygiène laisse à désirer.
— Soit, mais de toute manière, difficilement possible d’appeler un serrurier ce soir, je peux te proposer un coin de matelas…’’
Partager la couche de l’adorable et inaccessible Thibaut ? Les dieux volants savaient que Dominique en rêvait ! Mais la timidité du joli mec, jointe à la promiscuité probable dans un autre lit d’une personne, mettaient le défi au niveau d’un paradoxe.
Vite évaporé lorsque le filiforme prévôt des dortoirs ouvrit la porte de ses quartiers sur un espace cliniquement minimaliste, au fond duquel trônait un lit double
— Oh, ben, excellent, on ne se gênera pas, dans la mesure où tu l’aurais été de dormir pour la première fois avec un autre garçon.
— Avec n’importe qui, souffla Thibaut, avant de proposer précipitamment ‘’Veux-tu te doucher avant moi ? à Dominique, qui pointait les index sur sa silhouette juste sanglée dans le tissu-éponge, pour conclure ‘’Non, je suis bête’’ et poser ses vêtements bien pliés, sauf un boxer, sur une chaise.
— Disons… un peu distrait, et c’est très mignon, mais quelle en serait la cause ? demanda le garçon.
Une fois la porte de la salle d’eau fermée, il fit du regard le tour de la pièce rangée aussi parfaitement que l’idée qu’il se faisait d’une cellule de moine, pour néanmoins conclure que quelque chose clochait, un détail noté du coin de l’œil... Une porte de placard entrebâillée de quelques millimètres, au bas de laquelle un morceau de tissu dépassait ! Et qu’il décida d’ouvrir…
‘Mes fringues ! Le joli Thibaut n’a pas que la fourrure du renard, il en a la rouerie…’ se dit-il in petto, avant d’imaginer une réponse aussi rusée.
Il entra discrètement dans la pièce, pour en ressortir immédiatement avec le sous-vêtement et la serviette de bain, qui allèrent rejoindre les vêtements de l’inoffensif cerbère de l’internat, et s’allonger sur le lit.
— Non, non-non-nooon ! entendit-il gémir derrière le huis, qui s’ouvrit timidement sur un quart de Thibaut.
— Oh ! Oui, tu es également distrait, tu as laissé ton drap de bain ici, je n’ai pas osé te l’amener, murmura Dominique, avant de dénouer sa propre serviette, et d’ajouter avec un clin d’œil ‘’Voilà, on est à égalité de nu… di…té... Sauf que non, tu es… Oooh !’’
— Ne te moque pas, s’il te plait, je sais qu’elle est petite.
— Je ne le fais pas, c’était la surprise, mais là, je termine ma phrase, tu es superbe ! Ton corps svelte et pâle, ta fine toison, et ta… elle n’est pas courte, elle est au repos, c’est d’ailleurs un peu vexant, je fais généralement plus d’effet aux mecs, mais soit, elle est déjà épaisse ! Alors, au mieux de ta forme… Eh bien, disons que le point G des filles n’est pas à trente centimètres. Ni le point P des garçons…
— Le point quoi ? bégaya Thibaut.
— Tu demanderas à celui qui a piqué mes affaires et les a planquées dans ton armoire…
Faut-il dire que le jeune surveillant déborda ès l’intimité de son pensionnaire, pour réaliser que, dans la précipitation, ils avaient omis le prophylactique latex, mais après un délai qui avait accordé à Dominique un plaisir inattendu, à peine moins qu’un exploit, que le garçon lui demanda de rééditer.
— Après tout, je vise toujours ce foutu bac scientifique, les expériences doivent être répétées pour en vérifier les conclusions…


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 21-01-2024

Coucou les gens,

Petit rappel des choses en cours :



Le défi des phrases de départ !



Jamais Clément n'aurait pu se douter qu'un simple coup d'œil par la fenêtre de sa chambre ferait basculer son existence toute entière...

Si tu m’aimes vraiment et si je t’aime vraiment je serai là demain...

J'ai revendu mon entreprise spécialisée pour une petite fortune...

Il sort du cabinet médical et se retrouve, seul, dans la rue...

Un soir, tard, je reçus un message avec une vidéo...

Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat...

Pour sauver sa mère, un garçon au grand cœur a accepté...



***********************************************



Puis pour le 14 février 2024, les défis "Saint Valentin"!

Défi titre:

C'est la faute de Cupidon, na!

Défi 10 mots à utiliser:

démoniaque
mirifique
Byzance
comateux
dubitatif
gâteux
auréolé
polisson
cacophonie
glamour




Défi photo:
[Image: %C3%A1ngel-138353014.jpg]


********************

Puis, après les différents défis, une nouvelle photo :

[Image: NAjsrTnPvea_10290796.jpg]

********************

Et toujours : toute personne désireuse de voir une photo de son choix servir de base pour nos auteurs peut me l'envoyer en MP. Celle-ci sera publiée, à condition de respecter la charte de SlyGame, bien évidemment !