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Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable

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Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 05-09-2022

(05-09-2022, 11:16 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Belle discussion entre les deux frères américains. Ils se comprennent et savent que certaines choses doivent rester secrètes envers leur maman.
C'est l'acceptation du frère homo par celui qui est hétéro. Cela renforce leur connivence face à leurs parents.
Daniel et Frédéric finissent par rejoindre les deux frères. Il est clair qu'à quatre cela risque d'être amusant et une nouveauté pour les frères.

Toujours des touches d'humour tant attendue et appréciées!
Merci Daniel pour cette suite!

Je t'embrasse!
Philou

Merci [member=19]Philou0033[/member] pour ton commentaire.

J’avais prévu qu’un des frères serait gay et ferait son coming out et que l’autre serait hétéro. Il y a rarement des drames dans mes histoires, cela ne change donc rien à leur relation et ils sont même prêts à se masturber ensemble (ce n’est pas étonnant dans mes récits et aussi dans les tiens).

Je n’avais cependant pas prévu qu’ils auraient déjà eu des relations sexuelles avec leurs partenaires respectifs, cette idée m’est venue en cours d’écriture.

Ils l’ont caché à leur maman, mais il faudra bien le lui dire un jour. Je ne sais pas comment elle régira : soit mal en fonction de tout ce qu’elle a déjà dit, soit bien en changeant d’avis. Dans le fond, ce n’est pas ce qu’elle interdit qui est important, c’est qu’elle soit persuadée que c’est pour le bien de ses enfants qu’elle le fait, ce n'est pas de sa faute si ses sources d'information ne sont pas celles que nous souhaiterions.

Je peux remettre ceci à plus tard et ne pas le décrire ou alors profiter de l’exemple des cousins pour inciter Kenneth à faire son coming out et Jason a avouer qu’il a une petite amie, le lendemain au petit déjeuner.

À suivre, comme dans les journaux de BD autrefois (Tintin, Spirou, Pilote pour celles et ceux qui les lisaient).

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 06-09-2022

Petite modification dans l’épisode précédent :

Frédéric remonta chercher l’appareil à photos, des mouchoirs en papier, des préservatifs et du lubrifiant, …

Ça peut toujours servir, pas forcément pour ce que vous imaginez…



Chapitre 15 - Fin des vacances d’automne (6)

Vendredi 9 octobre 1964, maison de Frédéric, Lausanne

Les deux Américains se déshabillèrent, Frédéric leur dit de se coucher sur le lit pour prendre les photos.

— Des deux bites ? s’étonna Jason, pas seulement celle de Kenneth qui a la cicatrice ?
— Oui, mon ami aime bien comparer.
— Que vont-ils penser au labo qui les développera ?
— Je connais un photographe qui le fait très discrètement.

Frédéric omit de préciser que Séverin garderait probablement des tirages pour sa collection personnelle.

Les lits jumeaux étaient larges, Daniel se plaça entre les deux frères afin de s’assurer que leur érection fût suffisante en les caressant. Frédéric fit plusieurs clichés à différentes distances, il espérait que le résultat ne serait pas flou ou mal exposé car il ne connaissait pas bien l’appareil. Il le posa ensuite sur une commode et se coucha aussi, en se serrant contre Kenneth pour avoir encore un peu de place.

Chacun se masturba ensuite seul, selon sa méthode préférée, avec ou sans prépuce, avec ou sans lubrifiant, à son rythme ; c’était seulement pour se détendre. Pour une fois, ils n’avaient rien à prouver : ni à jouir en même temps, ni à tenir le plus longtemps possible. On entendait juste quelques halètements ou gémissements et le contact des mains sur les glands lubrifiés.

Ils éjaculèrent les uns après les autres sur leur ventre et attendirent que tous eussent terminé avant d’enlever les traces de leur plaisir avec les mouchoirs. Ils restèrent silencieux pendant quelques minutes.

— On va remonter et vous laisser dormir, dit Frédéric.
— Rien ne presse, dit Kenneth, à moins que vous désiriez baiser ensemble.
— Daniel sera encore là demain soir.
— C’est bien ce qu’il me semblait, vous avez des relations sexuelles entre cousins.
— Ça te choque ? demanda Daniel.
— Je n’ai pas à vous juger.
— Nous le faisons bien les deux, dit Jason, entre frères.
— C’est la première fois, fit Kenneth, et juste une branlette…
— Ce n’est que la seconde nuit de votre voyage en Europe, dit Daniel en souriant.

Kenneth s’étira et remonta un peu sa tête sur le coussin.

— On est bien chez vous, dit-il, c’est rare d’être avec des personnes qui nous comprennent et qui parlent de cul sans pudibonderie, préjugés ou tabous.
— Pas comme votre mère… fit Frédéric.
— Comment se sont passés vos coming outs ?
— Mon père est gay, tel père, tel fils.

Frédéric expliqua que cela ne dérangeait pas sa mère ; Daniel que ses parents n’avaient pas été enthousiastes au départ, mais qu’ils s’étaient habitués à Dominique. Sa mère regrettait cependant l’impossibilité d’avoir des petits-enfants, Daniel ne parla pas des amies rencontrées au Tessin. Jason dit :

— Notre mère suit toujours les conseils qu’elle trouve un peu partout : dans les magazines féminins, à la télévision, chez ses amies, à l’église. Il faut toujours être propre avec elle : propreté corporelle, se laver la bite aussi souvent que les dents ; mais aussi propreté morale, ne surtout pas l’utiliser pour autre chose que pisser.
— Une mère castratrice ? demanda Daniel, cela favoriserait l’homosexualité des fils…
— Je ne suis pas psychiatre, dit Kenneth, je ne sais pas, elle pense que c’est pour notre bien. Elle change souvent d’avis, il suffit que de nouvelles idées soient à la mode.
— Vous devrez bien lui dire un jour, dit Frédéric, que tu es gay et que ton frère a une amie.
— Oui, mais à quel moment ?
— Ce ne sera jamais le bon moment.
— Et si vous lui disiez que vous êtes gays ? suggéra Kenneth, elle verra que vous êtes des gars comme les autres et pas des folles efféminées. Ce serait un premier pas.
— Bonne idée, ajouta Jason, notre mère n’a jamais côtoyé des gays, elle se base sur des commérages.
— Tu imagines, dit Daniel en riant, qu’elle nous voie sortir à poil de votre chambre…
— Et pourquoi pas ? fit Frédéric, cela ferait un intéressant sujet de conversation au petit déjeuner demain matin. On essaie ?
— Vous oseriez être nus devant ma mère ? s’inquiéta Jason.
— J’ai l’habitude, et, pour vous rassurer, j’ai déjà assisté à deux coming outs chez des parents qui se sont très bien déroulés: celui de mon ami Koen et celui de l’apprenti cuisinier de l’école. Si vous êtes d’accord, je vais encore demander l’avis de mon père pour ne pas faire de faux pas.

Les deux frères réfléchirent longuement, puis acceptèrent la proposition.

Frédéric profita du téléphone pour appeler son père en bas et lui expliquer ce qu’ils comptaient faire, celui-ci trouva que son fils était un bon stratège et donna son accord. Il avait aussi eu une conversation avec son collègue qui lui laissait à penser qu’il soutiendrait ses fils.

Lorsque les parents remontèrent pour se coucher, les cousins sortirent de la chambre, Frédéric avait laissé l’appareil à photos, Daniel tenait à la main les préservatifs et le lubrifiant.

— Oh, je suis désolé, mentit Frédéric, nous ne savions pas que vous étiez dans le couloir.

Il se garda de mettre sa main devant son sexe. Betty s’y intéressa.

— Vous n’êtes pas circoncis ?
— Non, c’est inhabituel en Suisse de circoncire les garçons.
— Ce n’est pas sale ?
— On peut rétracter le prépuce pour se laver.

Il ne fit pas de démonstration.

— Mes fils le sont, dit la mère, et Bob aussi, n’est-ce pas Bob ?
— Bien sûr, c’est l’habitude chez nous.
— Vous devez avoir vu par vous-même.
— C’est exact, fit Frédéric, dans l’étang.
— Je suis confuse… Pourriez-vous me montrer ? Je n’ai jamais vu d’hommes pas circoncis dans ma vie.

Frédéric fit un clin d’œil à sa mère et décalotta son gland. Betty le remercia puis s’adressa ensuite à Daniel :

— Je vois que vous avez des préservatifs, votre amie est-elle arrivée ?
— Non, elle travaille.
— C’est plus prudent d’en utiliser lorsqu’on n’est pas marié, n’est-ce pas Bob ?
— Oui, j’en utilisais toujours avant notre mariage.
— Mais… tu m’as déflorée la nuit de noces.
— Je ne t’ai jamais dit que j’étais vierge.
— Oui, je sais. Je conseillerais à mes fils d’en utiliser s’ils avaient une petite amie. Je vous ennuie avec mes bavardages, je vais vous laisser. Je pense que mes chéris dorment déjà, je ne vais pas contrôler, ça pourrait les réveiller.

La mère se tourna ensuite vers Anne :

— Ils sont dans quelle chambre ?
— Ici, derrière nous.

Elle n’ajouta pas que c’était la chambre d’où étaient sortis son fils et son neveu.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 06-09-2022

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !

Pas mal le stratagème pour amorcer le fait que les deux cousins sont gays et de plus qu'ils sortent de la chambre des deux frères américain.
Reste à savoir la réaction de la mère lors des précisions qui seront probablement apportées par la suite.

Toujours un trait d'humour, merci Daniel.

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 06-09-2022

(06-09-2022, 09:07 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !

Pas mal le stratagème pour amorcer le fait que les deux cousins sont gays et de plus qu'ils sortent de la chambre des deux frères américain.
Reste à savoir la réaction de la mère lors des précisions qui seront probablement apportées par la suite.

Toujours un trait d'humour, merci Daniel.

Je t'embrasse!
Philou

Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire très rapide.

S’ils étaient sortis « par hasard » au moment où les parents passaient, cela n’aurait pas été très crédible (ou du moins un peu éculé, il s’est déjà passé beaucoup de choses « par hasard » dans ce récit). J’ai préféré qu’ils mettent au point ce stratagème.

Il y aura des précisions, ils ont encore prévu quelque chose que je raconterai dans le prochain épisode, mais il faudra quand même finir par le dire, je ne vais pas me défiler et je ne remettrai pas le coming out aux calendes grecques. Le discours de la mère a déjà un peu changé…

Je t’embrasse
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 09-09-2022

Chapitre 15 - Fin des vacances d’automne (7)

Vendredi 9 octobre 1964, maison de Frédéric, Lausanne

— Vous étiez dans la chambre de mes enfants ? s’exclama Betty, avec un paquet de… capotes ?
— Je vais tout vous expliquer, Madame, fit Daniel.

Charles intervint :

— Je crois que tout le monde est fatigué ce soir, ne pourrions-nous pas remettre cette conversation à demain matin ?
— Non, dit l’Américaine, je ne pourrais pas fermer l’œil de la nuit. Nous devons être en forme demain pour visiter votre beau pays, nous avons Lugano et le Mont Pilate au programme, ainsi que Berne et la fosse aux lions.
— Lucerne, pas Lugano, et ce sont des ours dans la fosse, corrigea Bob.
— Je pensais à Daniel.
— Alors, redescendons, dit Charles, nous serons plus à l’aise en bas pour discuter. Les jeunes, remettez au moins un pyjama, dites à Jason et Kenneth de faire la même chose et de nous rejoindre.

Ils se retrouvèrent tous dans la pièce aménagée en club anglais, les parents étaient assis dans des fauteuils de cuir et les enfants sur deux canapés. Charles était allé chercher à la cave un magnum de vin rouge dans une caisse en bois, de la cuvée « Le Faune en Rut », élevé au Château de Vincelard et réservé aux grandes occasions.

— Comme cela, avait-il dit, nous dormirons plus facilement après.

Ils trinquèrent et Daniel commença à improviser :

— Les garçons, quand ils sont entre eux, ne peuvent pas s’empêcher de parler de sujets qu’ils ne désirent pas aborder avec leurs parents.
— Mes enfants peuvent parler de tout avec moi, fit Betty.
— Il y a une différence entre pouvoir et oser, dit Anne.
— Nous avons parlé des moyens de contraception, continua Daniel, et vos fils n’avaient jamais vu de préservatif, nous avons décidé de leur en montrer un.

La mère fut rassurée, la vendeuse du drugstore lui avait dit une fois avec un sourire entendu que ses fils étaient de bons clients, Betty avait pensé que c’était de la médisance.

— Mais pourquoi étiez-vous nus ? demanda-t-elle.
— Nous dormons toujours nus, expliqua Frédéric.
— Vous n’avez pas froid ?
— Nous dormons à la nordique, avec un duvet, une couette si vous préférez.
— Nous devrions aussi en acheter, n’est-ce pas Bob ?
— Oui, on verra un autre jour, laisse parler Daniel.
— Nous avons donc montré à vos fils comment on utilise un préservatif, ils ont pu essayer.
— C’est mon mari qui aurait dû leur parler de ces trucs d’hommes, n’est-ce pas Bob ? Je sais bien qu’il n’a pas le temps. Mais on doit mettre les capotes sur un sexe en érection !
— C’est précisé dans le mode d’emploi, en effet.
— Vous avez vu les zizis de mes enfants… en érection ?
— Bah oui, fit Frédéric.
— Vous n’avez pas été choqués ?
— Il arrive que les garçons se masturbent ensemble.
— Je ne le savais pas, je suis sûr que Bob ne l’a jamais fait, n’est-ce pas Bob ?
— On en reparlera lorsque j’aurai la retraite, répondit celui-ci.
— Et puis, ajouta Frédéric, je suis gay, j’ai déjà vu d’autres zizis en érection.

La mère resta coite pendant quelques secondes, un ange passa. Elle reprit :

— Je suis très tolérante envers les personnes différentes, le révérend dit souvent que c’est une qualité chrétienne, n’est-ce pas Bob ?
— Euh, oui, aime ton prochain comme toi-même.
— Marc 12:31.

Bob dormait tous les dimanches matin à l’église et n’avait aucune idée de ce que le révérend racontait, il avait cité la première phrase qui lui était venue à l’esprit. Daniel parla ensuite de son amie transgenre au corps masculin.

— Vous utilisez des préservatifs entre… hommes ? s’étonna Betty, vous ne risquez pas d’avoir des bébés.
— Il y a aussi des maladies, dit Frédéric, ce geste pourrait un jour nous sauver la vie si un nouveau virus arrivait, et c’est plus hygiénique.
— Vous avez raison, je dis toujours à mes enfants de bien se laver le.. derrière, on dit la lune chez nous.

Elle se tourna ensuite vers Jason et Kenneth qui étaient restés silencieux sur leur canapé et leur dit :

— Mais pourquoi vouliez-vous savoir comment on utilise les capotes ? Vous me cachez quelque chose. J’ai trouvé ! Vous avez des petites amies !

Jason rougit puis avoua d’une voix à peine audible :

— Oui, j’en ai une.

La mère se leva et fit :

— Pourquoi ne me l’as-tu pas dit plus vite ? C’est une excellente nouvelle, viens dans mes bras, mon fils, que je t’embrasse.

Ils s’éteignirent.

— Elle s’appelle comment ?
— Jessica, la fille des Carter.
— J’aurais dû m’en douter, tu vas chaque semaine tondre le gazon alors que tu ne le fais jamais chez nous, n’est-ce pas Bob ?
— Excellente nouvelle, en effet, ça me fait un peu d’exercice de le tondre moi-même.

La mère regarda ensuite le cadet :

— Et toi, tu as aussi une petite amie, tu peux me le dire.

Kenneth devint encore plus rouge que son frère et murmura :

— Oui, j’en ai un… une.
— Bravo, elle s’appelle comment ?
— Justin.
— Tu voulais dire Justine ?
— Non, Justin, c’est la… euh, le frère de Jessica.
— Sa mère m’a dit qu’elle pensait que son fils était homosexuel. J’aurais dû m’en douter lorsque tu as commencé à faire des révisions avec lui, j’ai toujours su que tu l’étais, n’est-ce pas Bob ? Viens dans mes bras, mon fils, que je t’embrasse. Ne crains rien, je t’aime autant que ton frère.

Même plus, songea Kenneth. Il sentit quelques larmes couler sur son visage pendant que sa mère l’étreignait. Elle remarqua qu’il avait désobéi et pas mis de slip sous son pyjama, elle renonça à le gronder, il était un grand garçon maintenant et avait un gros… Elle chassa cette idée de son esprit avant qu’il ne devinât qu’elle l’avait eue.

— Je suis soulagée, fit-elle, je vais bien dormir cette nuit, sauf si Bob ronfle, mais j’ai l’habitude, je mets des boules Quies, n’est-ce pas Bob ?

Bob soupira, heureusement qu’il passait sa vie au bureau et dans les embouteillages. Il avait une charmante secrétaire et le jeune stagiaire du marketing ne le laissait pas indifférent non plus.

Ils ne tardèrent pas à se coucher après avoir terminé le magnum. La branlette, le vin rouge et les coming outs sont des excellents somnifères.



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 10-09-2022

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Très belle suite, avec beaucoup d'humour.

Les révélations se sont bien passées, les parents des deux frères sont finalement assez ouverts d'esprit.
La mère se doutait bien que l'un des fils était gay et qu'il avait un "petit-ami"; et l'autre a une petite amie, elle s'en doutait aussi un peu.

Un bon verre de vin rouge, une bonne branlette et un coming-out réussi font que tous vont passer une excellente nuit!

Merci Daniel pour cette suite assez cocasse en fin de compte!

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 10-09-2022

(10-09-2022, 09:34 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Très belle suite, avec beaucoup d'humour.

Les révélations se sont bien passées, les parents des deux frères sont finalement assez ouverts d'esprit.
La mère se doutait bien que l'un des fils était gay et qu'il avait un "petit-ami"; et l'autre a une petite amie, elle s'en doutait aussi un peu.

Un bon verre de vin rouge, une bonne branlette et un coming-out réussi font que tous vont passer une excellente nuit!

Merci Daniel pour cette suite assez cocasse en fin de compte!

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

Cette histoire est une comédie, cela ne pouvait que bien se passer. La mère a totalement changé d’avis avec ce qu’elle disait dans les épisodes précédents, mais je n’avais pas d’autre choix pour qu’elle accepte l’homosexualité de son fils. Je pense qu’elle est rassurée que l’aîné a une petite amie, elle aura des petits-enfants.

Nous les retrouverons peut-être l’année suivante en Amérique. Je réfléchis à commencer la troisième partie décrivant ce voyage, tout en ne terminant pas la deuxième au cas où j’aurais de nouvelles idées pour la période entre octobre 1964 et l’été 1965. Cela ne poserait pas de problème car les chapitres peuvent se lire indépendamment les uns des autres.

Je te souhaite un très bon week-end, ainsi qu’à toutes celles et tous ceux qui lisent ce récit.

Je t’embrasse
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 11-09-2022

Comme je l'ai dit dans le commentaire précédent, je vais commencer la troisième partie en alternance avec celle-ci :

Le Nouveau Monde