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Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable

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Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 03-05-2022

Un peu plus court que d’habitude, je ne parle évidemment pas du pénis de Koen qui aurait, au contraire, crû de quelques millimètres depuis le début du récit suite à une utilisation intensive, mais plutôt de l’épisode.

Je me rends compte que ce que j’ai décrit est assez spécial, j’espère que vous aurez quand même du plaisir à le lire, sinon lisez le livre que j’ai mentionné ci-dessous, son auteur a eu le prix Nobel de littérature, pas moi. Ou lisez les histoires de « À chacun son histoire » avec plein d’auteurs talentueux.



Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (10)

Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay

Cinquième alcôve, la clinique (suite et fin)


Le Dr Frankenstein remit le bandeau sur les yeux de Koen et massa légèrement son pénis en lui expliquant :

— Ce sera plus agréable pour vous si vous avez une légère érection, mais concentrez-vous plutôt sur le plaisir anal.
— Je crains de n’avoir que des érections très dures.
— Ah, la jeunesse…

Le Dr Moreau prit un premier objet dans l’armoire vitrée et l’introduisit dans l’anus de son patient après l’avoir lubrifié, puis lui demanda :

— Qu’est-ce, cher confrère Dr Mabuse ?
— Un thermomètre au mercure, je pense. Le symbole du roman de Thomas Mann, La Montagne magique.
— Exact. Vous l’avez lu ?
— Bien sûr, un roman qui se passe dans un sanatorium. J’ai sauté quelques passages inintéressants, les neuf dixièmes du livre, en fait. Ai-je de la fièvre ?
— Nous n’avons pas le temps d’attendre. Mon confrère a déjà préparé l’objet suivant.

Le Dr Moreau retira le thermomètre et fit couler de l’eau à l’intérieur du rectum.

— Une poire à lavement, dit Koen.
— Toujours exact. Nous devons nous assurer que tout soit propre pour la suite.
— Je vais devoir me lever pour aller aux toilettes.
— Ne vous inquiétez pas, nous ferons le nécessaire.

Une fois que ce fut terminé, le Dr Frankenstein demanda :

— Qu’est-ce qu’on vous a mis dans votre cul maintenant ?
— Facile, un doigt, je le sens sur ma prostate.
— Nous n’allons pas pouvoir le piéger, fit le Dr Moreau. Essayons autre chose.

Il prit un nouvel instrument plus large dans l’armoire et le fit glisser entre les fesses de Koen qui hésita avant de dire :

— Je pense que c’est un tube pour examiner l’intérieur du rectum, un anoscope.
— Encore exact, le Dr Moreau va regarder l’intérieur avec une lampe de poche.
— Pourriez-vous prendre une photo ? Ce serait pour l’agrandir et l’encadrer afin de décorer ma chambre à l’école. Je mettrai également une photo de mon pénis à côté.
— Ils tolèrent ça, dans votre école ?
— Je ne sais pas. Cela pourrait choquer la femme de ménage.
— Oui, certainement. Nous n’avons pas d’appareil photo, le problème est résolu. Il est d’ailleurs interdit de faire des photos pendant les réunions, relisez le règlement.
— Tout est parfait, dit le Dr Moreau qui avait terminé son examen, ni hémorroïdes, ni condylomes, mais faites attention et n’y mettez pas n’importe quoi, il doit servir pendant de nombreuses années.
— Je ferai attention et le traiterai aussi amoureusement que ma bite.

Le Dr Frankenstein tendit l’objet suivant et le Dr Moreau l’enfonça.

— Ça, c’est un moulage de pénis que vous avez pris dans un bocal, fit Koen.
— Vous êtes incollable, dit le Dr Moreau. Pouvez-vous nous dire sur quelle personne nous l’avons moulée ?
— Je suppose que c’est celle du Dr Frankenstein.
— Encore exact, vous êtes un génie, personne n’avait jamais trouvé toutes les réponses.
— Notre patient est trop porté sur le plaisir pénien, dit le Dr Frankenstein, je pense que nous devrions procéder maintenant à une décharge avant de terminer.
— Excellente idée, cher confrère. Essayons cette nouvelle crème, la publicité prétend que personne ne résiste plus de 28 mouvements.

Charles prit un tube dans l’armoire et enduisit le pénis de crème. Il débuta des va-et-vient. Koen les comptait car il voulait absolument tenir plus longtemps. Il ne réussit pas, il laissa échapper sa semence au vingt-huitième.

— Trop rapide, dit le Dr Moreau.
— J’étais trop excité par vos intromissions anales.
— Ah, la jeunesse…
— Dernier objet avant de vous libérer de votre position inconfortable, dit le Dr Frankenstein.
— Pourquoi inconfortable ? s’étonna Koen. C’était très agréable.
— Pourtant cette alcôve n’est pas celle que préfèrent les confrères.
— Il faudra absolument que Frédéric l’essaie, et c’est moi qui intromettrai les objets.

Koen sentit quelque chose qui forçait ses sphincters, il dit immédiatement :

— Ça, c’est un pénis humain en érection entouré d’un préservatif.
— Exact, fit le Dr Frankenstein. À qui appartient-il ?
— Au Dr Moreau, je présume.
— Non, on a enfin réussi à vous piéger.
— Le vôtre ?
— Non, je ne désire pas avoir de relations complètes avec vous car vous êtes l’ami de mon fils. C’est celui du Préfet de Berne, le Franz de votre école.
— Je ne vous crois pas, il n’a jamais de relations sexuelles avec les élèves.
— Tant pis si vous ne me croyez pas.

Koen avait envie d’enlever son bandeau, il n’aimait pas cette incertitude. Il dut faire un effort pour rester tranquille et apprécier les va-et-vient rapides et puissants. C’était peut-être quand même Franz.

Koen ne sut jamais qui l’avait enculé ce jour-là.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 03-05-2022

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour cette suite.

Décidément Koen est très attentif aux objets qui sont introduits dans son anus. Il les reconnait tous, enfin pas le pénis qui est porteur d'un préservatif et qui va et vient dans son conduit anal. Est-ce Frantz, c'est probable mais il ne le sait pas.
Il est aussi vrai qu'il ne s'agit pas de celui du Dr Moreau (père de Frédéric) qui se refuse à avoir des relations complète avec l'ami de son fils.

Il me tarde de lire la suite.

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 03-05-2022

(03-05-2022, 09:11 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour cette suite.

Décidément Koen est très attentif aux objets qui sont introduits dans son anus. Il les reconnait tous, enfin pas le pénis qui est porteur d'un préservatif et qui va et vient dans son conduit anal. Est-ce Frantz, c'est probable mais il ne le sait pas.
Il est aussi vrai qu'il ne s'agit pas de celui du Dr Moreau (père de Frédéric) qui se refuse à avoir des relations complète avec l'ami de son fils.

Il me tarde de lire la suite.

Je t'embrasse!
Philou

Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire rapide.

Koen est en effet très attentif aux « objets » introduits dans son anus (certains ne sont pas vraiment des objets). Je ne sais pas si cela serait vraiment possible, mais Koen est mon super-héros aux super-pouvoirs.

On ne saura jamais à qui appartenait le pénis qui a terminé la série, à moins que Koen ne le découvre dans un épisode ultérieur. Je pourrais supprimer le mot « jamais ». Même s'il ne désire pas de relations complètes avec Koen, le père de Frédéric a quand même pu assouvir sa curiosité et n'ignore plus rien de l'anatomie de l'ami de son fils.

Je t’embrasse.
Daniel



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 05-05-2022

Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (11)

Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay

Sixième alcôve, l’Enfer


Frédéric ne fut pas conduit au vestiaire, il dut rester dans la salle où s’était déroulé le défilé, seul et toujours nu. Quelques minutes plus tard, Yehadiel, le Poète, revint, vêtu de guenilles noires, une capuche sur la tête. Il tenait une rame dans une main et une lampe-tempête allumée dans l’autre.

Vous aurez deviné que ce poète n’est autre que l’auteur de ce récit. C’est lors de cette réunion de la Confrérie de Vincelard que je fis la connaissance de Frédéric, de Koen et de tous les autres. Bien des années plus tard, au vingt-et-unième siècle, je leur proposai de narrer leur vie aventureuse. Ils me racontèrent leurs souvenirs et j’en fis ce récit, quelque peu romancé, je dois humblement l’avouer. Koen me prêta ses carnets où il décrivait toutes les bites qu’il avait vues dans sa vie, des milliers. J’y trouvai même la description de la mienne et de la vôtre, cher lecteur connu ou inconnu.

Le Poète dit :

— Je suis Charon et je dois vous conduire en Enfer.
— Je ne suis pas mort, fit Frédéric en riant.
— Détrompez-vous, mon cher Dante, vous êtes mort le 14 septembre 1321. Je ne sais point où votre âme erra jusqu’à ce jour. Suivez-moi.

Ils sortirent de la salle et se retrouvèrent dans la cour du château. Un garde de sécurité patrouillait entre les voitures.

— Je suis nu ! fit Frédéric.
— Vous naquîtes nu et vous mourûtes nu, c’est le destin de tous les hommes, mais ne choquons pas les braves villageois que nous pourrions croiser. Mettez ça.

Charon sortit un slip d’une poche sous ses guenilles, Frédéric l’enfila.

— Pourquoi dois-je aller en Enfer alors que je suis pur comme en témoigne la couleur blanche de ce slip ?
— Parce que c’est plus érotique qu’un slip noir, c’est du moins l’avis du Culottier. Continuons, le chemin sera encore long.

Ils entrèrent à nouveau dans le château à l’opposé, traversèrent une salle où avait lieu une réunion du Club saphique animé par la femme du Gouverneur, sans se préoccuper des ébats sensuels des nymphes, et se retrouvèrent dans le jardin avec ses trois terrasses. Ils descendirent jusqu’au bas de la dernière, longèrent un chemin sur une centaine de mètres, jusqu’à un pont sur un ruisseau. Ils croisèrent un couple de promeneurs retraités qu’ils saluèrent poliment. La femme se retourna et dit à son mari :

— Il était à poil, le jeune homme.
— Non, il avait mis un slip.
— J’aurais bien aimé voir sa pine.
— La mienne ne te suffit plus ?
— Je ne la vois que le premier samedi du mois, toute molle.
— Ce n’est pas à notre âge que nous allons faire plus souvent le devoir conjugal.

Une petite barque était amarrée à un arbre. Ils embarquèrent, Charon détacha la corde et rama sur une trentaine de mètres. Une construction en béton avec une porte en fer était dissimulée sous la végétation. Charon amarra à nouveau le bateau à une bitte et fit remarquer à Dante l’inscription au-dessus de la porte en écartant la branche d’un arbre :

Vous qui entrez, laissez toute espérance.

— C’est vous qui avez écrit ceci, dit Charon.
— Je ne me souviens pas.
— C’était il y a très longtemps, votre mémoire défaille.

Le Poète sortit une clef de sa poche et ouvrit la porte qui grinça. Les deux hommes entrèrent, on devinait un long couloir sombre à la faible lueur de la lampe. Charon referma la porte sans la verrouiller. Frédéric s’en étonna.

— Serrure spéciale, dit le passeur, la clef est nécessaire seulement pour entrer.
— Je pensais qu’on devait rester en Enfer pour toujours.
— Les règlements des pompiers ont la priorité sur ceux du démon, il faut une sortie de secours.

Les deux hommes progressèrent lentement, les murs étaient humides. Frédéric avait froid et le court trajet lui sembla durer une éternité. Une seconde porte bloquait le bout du couloir, Charon l’ouvrit sans clef. Ils étaient au fond de la cave, là où il y avait les lits et le bassin.

— Je ne m’imaginais pas l’Enfer comme ceci, dit Dante en riant.
— Ce n’est que l’antichambre.
— Je peux m’arrêter aux toilettes ? Le froid m’a donné besoin.
— Les damnés n’ont plus de besoins corporels, vous pisserez dans votre culotte quand vous serez sur la croix.
— Une croix ? Je serai crucifié comme le Christ ? À ma connaissance, il n’est plus aux enfers.
— Ce ne sera pas la même croix, même si elle appartient aussi à un saint.

Ils entrèrent dans le couloir où se trouvaient les alcôves. La sixième était encore fermée par un rideau rouge.

— Vous êtes trop bavard, dit Charon à Dante en se plaçant derrière lui et en lui mettant la main sur le paquet et lui serrant les couilles, maintenant taisez-vous et obéissez à Méphistophélès. Si vous voulez arrêter le jeu dites « Paradis », cela évaporera les démons.

Charon tira sur une corde et le rideau rouge s’ouvrit lentement.

NDA Citation de La Divine Comédie, de Dante Alighieri, traduction de Danièle Robert


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 06-05-2022

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Belle suite.

C'est donc au tour de Frédéric. Pour lui c'est "l'enfer" !
Un personnage particulier, soit l'auteur !  Pas mal!
Voyage en extérieur pour Frédéric avant d'aller dans les caves et rejoindre le sixième alcôve.

Il me tarde déjà de lire la suite!

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 06-05-2022

(06-05-2022, 08:28 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Belle suite.

C'est donc au tour de Frédéric. Pour lui c'est "l'enfer" !
Un personnage particulier, soit l'auteur !  Pas mal!
Voyage en extérieur pour Frédéric avant d'aller dans les caves et rejoindre le sixième alcôve.

Il me tarde déjà de lire la suite!

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou

Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ce commentaire.

J’avais envie de participer à mon propre récit, même si ce n’est pas vraisemblable car je n’avais que 6 ans au moment où il se déroule. Dans la fiction tout est possible.

J’ai déjà écrit que je comparais ce château à un parc d’attractions. Le voyage à l’extérieur serait l’endroit où l’on fait la queue et où l’on se met dans l’ambiance en attendant. Frédéric n’a pas l’air impressionné, à part le fait qu’il est presque nu. C’est également comme dans ces parcs où il faut  beaucoup d’imagination pour croire qu’on entre vraiment dans un « manoir hanté ».

Une fois dans l’alcôve, ce sera différent. Même si c’est un jeu sexuel mis en scène, les sensations seront réelles. Dernière comparaison avec les parcs : si l’on est sur des montagnes russes, les sensations sont aussi réelles avec des poussées d’adrénaline.

Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 12-05-2022

Avertissement : cet épisode contient une scène de BDSM. Je vous rassure : je ne suis pas le Divin Marquis et cela restera du BDSM doux (?).


Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (12)

Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay

Sixième alcôve, l’Enfer (suite et fin)


Les parois de l’alcôve étaient en bois peint en rouge ; au milieu, il y avait une croix de saint André légèrement penchée en arrière, un cercle de feu l’entourait.

À droite de la croix, Méphistophélès, le Prévôt Georges, attendait Frédéric, la peau rougie, un masque de cuir noir sur les yeux, surmonté de cornes, vêtu d’un slip et de bottes de la même matière. Il tenait un trident à la main.

— Bienvenue dans le deuxième cercle de l’Enfer, Dante, dit-il.
— Pourquoi le deuxième cercle ? demanda Frédéric.
— C’est celui où croupissent les luxurieux comme toi, les adeptes de péchés contre-nature, les sodomites, les uranistes. Franchis le cercle afin que tu subisses ton châtiment !

Frédéric hésita, les flammes n’était pourtant pas hautes et n’allaient pas lui brûler les poils des roubignoles. Encouragé par Charon, il enjamba le cercle de feu. Méphistophélès planta son trident dans un trou prévu à cet effet et attacha les bras et les jambes écartés de Frédéric, dos sur la croix. Il lui fixa ensuite des pinces aux tétons, lui enfonça un petit plug entre les fesses et lui malaxa les testicules sur le tissu du slip. Le jeune homme ne put réprimer une grimace, puis il se rappela qu’il était en Enfer, ce ne serait pas une partie de plaisir.

Le Poète dit au Prévôt :

— J’ai oublié de vous signaler que le damné désire pisser.
— Eh bien, qu’il le fasse maintenant avant que je ne le tourmente.
— Euh… fit Frédéric, pouvez-vous me la sortir et la tenir ?
— Et puis quoi encore ? Pisse dans ton slip.

Frédéric vida sa vessie, devina les gouttes qui tombaient par terre, cela lui rappela un mauvais souvenir de son enfance.

Méphistophélès prit un vibromasseur relié à un câble électrique et le déplaça sur le pénis. C’était une sensation inhabituelle pour Frédéric qui banda, son sexe en travers du slip. Le démon arrêta l’appareil et dit au Poète :

— C’est bien un sodomite, vous avez vu comme il a réagi alors qu’il n’y a aucune femme dans les environs ?
— Je n’ai jamais douté de son vice. Continuez à le tourmenter.

Frédéric trouvait sa situation très inconfortable, avec quelques spectateurs dans le couloir qui ne rataient pas une miette du spectacle, mais aussi très excitante. Il changea de position et respira lentement pour se calmer. Méphistophélès reprit les vibrations, cela redonna du tonus au pénis, toujours emprisonné dans l’étoffe.

Le démon arrêta à nouveau l’appareil lorsqu’il sentit que Frédéric était trop excité, laissant la tension retomber. Il répéta plusieurs fois ce jeu, avant de découper le slip avec des ciseaux et de le laisser tomber, découvrant le membre tendu au gland humide, ce n’était plus de l’urine.

Méphistophélès lubrifia la hampe avec un gel avant de reprendre les passages avec le vibrateur, puis les interrompant. Frédéric était frustré car il avait envie de jouir, il ne put s’empêcher de demander :

— Ça va durer encore longtemps ?
— Une éternité, fit Méphistophélès en riant, tu vas toujours bander sans jamais éjaculer, c’est le sort que je réserve aux luxurieux sodomites, un déni d’orgasme. La prochaine fois, tu réfléchiras avant de fauter, tu aurais eu un orgasme éternel au Paradis.

Frédéric ne débandait plus, la tension devenait telle qu’il projeta sa semence alors que son sexe n’était pas stimulé par le vibrateur. Le démon se fâcha :

— Qui t’a autorisé à jouir si rapidement ?
— Il doit quand même y avoir un quart d’heure que cela dure.
— Un quart d’heure ? Qu’est-ce un quart d’heure face à l’éternité ? Tu connais la punition ?
— Non…
— Eh bien, tu vas la connaître. Charon, une capote, s’il vous plaît.

Le poète tendit le préservatif au démon par-dessus le cercle de feu. Il regrettait toujours que les damnés ne pussent mieux contrôler leurs pulsions et dussent subir la punition, mais c’était écrit dans le scénario. Et c’était lui le scénariste.

Méphistophélès détacha Frédéric, le fit se tourner pour qu’il fût face à la croix et noua à nouveau ses liens. Il enleva sa culotte de cuir, soulagé lui aussi de pouvoir libérer sa queue — il n’y avait pas que les damnés qui souffraient dans cette alcôve — et d’y dérouler le préservatif. Les sphincters avaient été bien assouplis par le plug, la bite du tourmenteur pénétra avec aisance le tourmenté, d’autant plus qu’elle n’était pas très grosse. Le Prévôt éjacula précocement, comme à son habitude, il faudrait qu’il inversât une fois les rôles et se retrouvât lié sur la croix, mais il ne pouvait s’y résoudre, soucieux de ne pas perdre son autorité.

Le poète coupa l’arrivée du gaz et le cercle de feu s’éteignit, plongeant l’alcôve dans l’obscurité. Il se rapprocha de Frédéric, toujours attaché face à la croix, et lui dit énigmatiquement en lui posant la main sur une fesse :

Et ce fut vers les étoiles la sortie. Elle t’a plu cette expérience ?
— Pour être honnête, répondit Frédéric, pas tellement. L’approche à l’extérieur était amusante, mais pas l’Enfer.
— C’est pour cela que tu es ici, découvrir ce qui te plaît et ce qui ne te plaît pas.
— Je préférerais inverser les rôles et je m’imaginerais bien tourmenter mon ami Koen sur la croix, il pète parfois plus haut que son cul.
— Tous les novices sont humiliés d’une manière ou d’une autre lors de cette première ronde, le cul de ton ami n’a pas été épargné par les deux docteurs.
— Mais vous, vous n’avez pas participé, fit Frédéric, je veux dire vous êtes resté habillé avec vos guenilles.
— Tu aurais voulu voir ma bite ?
— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire. Vous auriez pu profiter de la situation et m’enculer aussi.
— Si tu y tiens…

Le Poète se déshabilla.

Et c’est la première fois que j’eus une relation sexuelle avec un personnage de mes récits. Je ne vais pas vous la raconter, je suis trop pudique.


NDA C’était le faux auteur du récit, le Poète Yehadiel, qui concluait cet épisode. Maintenant une remarque du vrai auteur, un certain Lange128 : je ne pense pas être spécialement pudique lorsque je réponds aux commentaires, vous devez tout savoir de ma vie, ou presque. Je termine pour ce soir avec une citation que j’aime bien, d’Arthur Dreyfus : « J’ai voulu tout dire, pour qu’il ne reste que les secrets. »


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 19-05-2022

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Désolé de commenter si tard!

Frédéric n'en mène pas large. Il est dans une position inconfortable ainsi lié sur cette croix de St-André.
Il est obligé de pisser dans son slip.
Une stimulation de son pénis par un courant électrique le fait bander et il s'arrête juste avant la jouissance. C'est un supplice pour Frédéric qui souhait jouir.
Finalement il joui sans stimulation. Il est alors placé face contre la croix pour être ainsi sodomisé.

L'auteur raconte une relation avec un personnage de son récit, pourquoi pas. Que cela reste non décrit est le choix fait par celui-ci et ça ce comprend.

Merci Daniel pour cette belle suite!

Je te souhaite déjà un très bon week-end.

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 19-05-2022

(19-05-2022, 10:55 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Désolé de commenter si tard!

Frédéric n'en mène pas large. Il est dans une position inconfortable ainsi lié sur cette croix de St-André.
Il est obligé de pisser dans son slip.
Une stimulation de son pénis par un courant électrique le fait bander et il s'arrête juste avant la jouissance. C'est un supplice pour Frédéric qui souhait jouir.
Finalement il joui sans stimulation. Il est alors placé face contre la croix pour être ainsi sodomisé.

L'auteur raconte une relation avec un personnage de son récit, pourquoi pas. Que cela reste non décrit est le choix fait par celui-ci et ça ce comprend.

Merci Daniel pour cette belle suite!

Je te souhaite déjà un très bon week-end.

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

Pas de souci pour le retard, je ne suis pas très motivé pour écrire ces jours et j’ai aussi du retard. Disons que c’est la chaleur précoce (il faut bien trouver une excuse), je préfère marcher dans la nature et je suis fatigué le soir, la Suisse n’étant pas un plat pays, il faut tout le temps monter pour redescendre ensuite.

Tout le monde n’est pas adepte de ces pratiques, je trouvais cependant intéressant pour mes héros qu’ils les découvrent. Ils pourront ensuite choisir ce qu’ils préfèrent.

Même si un récit est écrit à la troisième personne, il y a un narrateur omniscient qui connaît tout. Ce narrateur intervient brièvement à la première personne pour dire qu’il participe à l’action. On pourrait penser que c’est de moi qu’il s’agit. Je reconnais que c’est un peu confus et c’est pour cela que je ne voulais pas me décrire. Je pense qu’il y a un peu de moi dans chacun de mes personnages principaux.

Je te souhaite aussi déjà un très bon week-end.

Je t’embrasse.
Daniel



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 28-05-2022

J’ai repris l’écriture après une pause. Je présente mes plus humbles excuses pour ce retard, dépendant de ma volonté, aux personnes qui auraient attendu cette suite pour avoir un orgasme. La prochaine fois, n’attendez pas le retour de mon inspiration, le Dr Koen prescrit toujours à ses patients d’avoir au moins un orgasme par jour. Les mouchoirs, préservatifs, gitons ou autres accessoires sont remboursés par la sécurité sociale sur présentation de l’ordonnance.


Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (13)

Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay

Septième alcôve, Hollywood


Djibril avait passé au vestiaire pour mettre un tee-shirt blanc, un jean et des baskets. Séverin, le Chancelier, l’avait ensuite conduit vers la septième alcôve.

Le danseur découvrit une pièce éclairée par des lampes électriques, avec une baie vitrée dans le fond. Le paysage était celui d’Hollywood : la célèbre colline et ses lettres géantes. À gauche, un sofa ; à droite deux fauteuils et une caméra sur un trépied. Un jeune homme en combinaison bleue faisait des essais de lumière, l’intensité de celle-ci pouvait varier. Séverin, vêtu d’une chemise hawaïenne bariolée et de shorts, expliqua :

— C’est un nouvel aménagement et tu auras l’honneur de l’inaugurer. Je suis un réalisateur connu, Jerome Wise, et je fais des auditions pour mon prochain film, East Side Story, un remake gay de West Side Story.
— C’est simple, dit Djibril. Et qui est la personne en combinaison bleue ?
— C’est notre Machiniste, Marc. Il est chargé des installations techniques de la cave. Tout fonctionne ?
— Oui, à part la caméra, dit Marc. Elle n’a pas de film.
— Il est interdit de filmer et la pellicule serait trop chère. Ce sera symbolique.
— Bon, je vous laisse.
— Attends, j’ai besoin d’un assistant. Tu peux rester ?
— Je n’ai pas d’autre problème technique en ce moment. Je devrais faire quoi ?
— Donner ton impression sur le déroulement de la scène, me suggérer s’il y a des améliorations à faire. Assieds-toi dans un fauteuil, Djibril sur le sofa. Prêts ? Action !

Le réalisateur s’assit également dans un fauteuil.

— Vous désirez devenir acteur, Mr Djibril, dit-il. Avez-vous déjà joué dans un film ?
— Mon père avait une caméra 8 mm et il nous filmait à Noël et pendant les vacances au bord de la piscine, en noir et blanc.
— Expérience intéressante, je ne sais pas si cela sera suffisant. Mais vous êtes aussi danseur d’après votre CV ?
— Exactement.
— Pourriez-vous nous faire une démonstration ?

Djibril se leva et exécuta quelques pas.

— Attendez, fit Jerome Wise, je pensais que les danseurs étaient nus.
— Pas entièrement, nous avons une gaine et une culotte, il ne faut pas choquer le public.
— Excusez mon ignorance, je tourne d’habitude des pubs de croquettes pour chats. Elle sert à quoi cette gaine ?
— Comment dire… Pour éviter que le service trois-pièces balance dans tous les sens et distraie le public.
— Vous en avez une ?
— De bite ? fit Djibril en riant. Oui, j’en ai une.
— Je pensais à une gaine…
— Non, je ne savais pas que j’aurais cette audition. Le Culottier a trouvé autre chose.
— Alors, montrez-nous, et déshabillez-vous sensuellement, imaginez que votre amant vous regarde.

Le danseur enleva ses chaussures, son jean et son tee-shirt, les jetant élégamment sur le sofa. Son corps était fin et musclé. À la place de la gaine, il avait un jockstrap blanc. Le cinéaste se leva et se rapprocha.

— Sous-vêtement original, tournez-vous.

Djibril s’exécuta, Séverin contempla les fesses, passa sa main sur les globes.

— Joli cul, dit-il, on reprendra l’idée du jockstrap dans le film. C’est beaucoup plus courant aux States que chez nous, ils doivent en mettre pour faire du sport dans les universités. Vous pouvez continuer à faire des mouvements.

Djibril leva une de ses jambes presque à la verticale en s’aidant d’un bras, le réalisateur fut étonné de la souplesse du corps du danseur, il y eut quelques applaudissements parmi les confrères arrêtés devant l’alcôve.

— Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses, dit Séverin. Vous comprendrez que je dois aussi voir si vous êtes à l’aise devant la caméra sans aucun habit.
— Il y aura des scènes de nu dans votre film ?
— Euh, oui. Il sera réservé à un public averti.
— Vous avez déjà vu ma queue tout à l’heure.
— Dans un état que vous auriez pu monter dans un pensionnat de jeunes filles pour un cours d’éducation sexuelle. Mon film ne sera pas présenté dans ces établissements.

Djibril baissa son jockstrap. Son long membre était à moitié érigé, pointant toujours vers le bas, le prépuce recouvrant encore le gland.

— Bel organe, très photogénique, dit Jerome Wise, en le touchant et l’examinant sous toutes les coutures. Pourriez-vous vous masturber ?
— Me masturber ?
— Oui, dans le film il y aura une scène où le personnage sera seul devant son miroir et il se branlera en pensant à son futur amoureux.

Djibril n’avait pas d’amoureux, il chercha à qui penser pour combler les souhaits du cinéaste. Pas les jumeaux, ils étaient inséparables ; pas Koen, beau gosse, mais trop cérébral et déjà en couple avec Frédéric ; ni l’Anglais, ni le Japonais, trop exotiques. Il ne restait que François-Xavier, le fils du banquier. Cela pourrait être utile, les danseurs étaient payés au lance-pierre. Non, Djibril rejeta toute idée mercantile, il appréciait beaucoup le petit cul de FX. Il ferma les yeux et débuta des caresses. Son membre ne grossit pas énormément, étant déjà de fort belle taille au repos.

Séverin eut de la peine à résister à la tentation, il aurait voulu aider Djibril à se branler en le suçant, mais il devait respecter le scénario pour ce premier essai. Son tour viendrait plus tard, tout comme celui du Machiniste Marc, dont le sexe formait déjà une belle bosse sous sa combinaison bleue, il ne mettait jamais de slip lors des réunions de la confrérie. Séverin ne savait pas s’il en mettait sur les chantiers.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 31-05-2022

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Pas de souci mon cher Daniel, tu rédige à ton rythme.

Belle suite!
C'est au tour de Djibril qui est dans l’alcôve "Hollywood". Pour le danseur, c'est comme être au cinéma, dans un film. Quelques pas de danse et quelques vêtements en moins, et voilà Djibril en jockstrap.
C'est tout naturellement qu'il se met nu. Il doit se masturber comme s'il était devant sa glace en pensant à son petit-ami!
Les spectateurs sont attentifs à la danse mais aussi à ce qui suit.

Il me tarde de lire la suite.

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 31-05-2022

(31-05-2022, 11:14 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Pas de souci mon cher Daniel, tu rédige à ton rythme.

Belle suite!
C'est au tour de Djibril qui est dans l’alcôve "Hollywood". Pour le danseur, c'est comme être au cinéma, dans un film. Quelques pas de danse et quelques vêtements en moins, et voilà Djibril en jockstrap.
C'est tout naturellement qu'il se met nu. Il doit se masturber comme s'il était devant sa glace en pensant à son petit-ami!
Les spectateurs sont attentifs à la danse mais aussi à ce qui suit.

Il me tarde de lire la suite.

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

Tu as bien résumé cet épisode. Je me suis inspiré de vidéos où le thème est un casting pour films pornographiques et le jeune homme filmé doit prouver ses capacités érectiles et autres. Je n’ai pas l’impression que c’est aussi érotique sous forme de texte, je pense que c’est un sujet qui fonctionne mieux en vidéo. Je n’ai rien trouvé d’autre pour cette septième et dernière alcôve.

Je pense qu’il y aura encore deux suites dans ce château. Le chapitre suivant, le quatorzième, sera plus classique : un voyage de Koen et Frédéric à l’étranger. « Classique » est un mot élégant pour dire que ce ne sera pas très original et que je vais recycler mes fantasmes habituels. Je vous promets qu’il n’y aura pas de wagons-lits.

Ensuite, je ne sais pas si je vais poursuivre cette deuxième partie, passer à une troisième qui se déroulerait l’année suivante, ou passer à autre chose. J'ai toujours envie d'écrire, à mon rythme comme tu le dis.

Merci de continuer à me lire.
Je t’embrasse.
Daniel



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - fablelionsilencieux - 01-06-2022

Si, si !  ;D
Encore des suites (continuité ou troisième partie) car, même si je ne commente pas souvent, je suis toujours là pour apprécier les aventures de tes personnages !  ???

Bizoux du plat pays, alpestre Daniel  Wink



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - emmanolife - 01-06-2022

Je suis comme Fab : je lis les aventures de Koen et Frédéric !
Je ne commente pas trop non plus, c'est un peu comme si je lisais en cachette, c'est encore plus excitant...


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 01-06-2022

(01-06-2022, 12:38 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Si, si !  ;D
Encore des suites (continuité ou troisième partie) car, même si je ne commente pas souvent, je suis toujours là pour apprécier les aventures de tes personnages !  ???

Bizoux du plat pays, alpestre Daniel  Wink

(01-06-2022, 02:30 PM)emmanolife link a écrit :Je suis comme Fab : je lis les aventures de Koen et Frédéric !
Je ne commente pas trop non plus, c'est un peu comme si je lisais en cachette, c'est encore plus excitant...

Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member] et [member=67]emmanolife[/member] pour vous commentaires. Je réponds aux deux ensemble puisque c’est le même sujet.

Je sais que j’ai des lecteurs fidèles qui ne commentent que rarement ou jamais, merci de me suivre. J’en ai sûrement certains qui le font en cachette. Je n’ai jamais envisagé de cesser d’écrire parce que je n’aurais pas assez de lecteurs ou moins qu’avant sur Docti. Mes manques de motivation et/ou d’inspiration ont d’autres causes que j’essaie d’expliquer lorsque mes publications sont trop espacées.

Je n’ai pas envie non plus d’arrêter cette histoire. J’aime bien les personnages. J’aime bien l’époque qui me permet d’être plus intemporel que si cela se déroulait de nos jours, il peut quand même y avoir des anachronismes volontaires ou involontaires. L’absence d’intrigue est aussi un avantage, je ne dois pas la faire progresser et je n’ai pas de fin à prévoir, sinon la mort de mes protagonistes. Je vous rassure, ils sont toujours en bonne santé en 2022, à 76 ans (et ils bandent toujours grâce aux découvertes de Koen qui a eu le prix Nobel de médecine).

Cette absence d’intrigue a quand même un inconvénient : je me concentre sur les relations sexuelles puisque je n’ai rien d’autre à raconter et j’ai peur que cela ne devienne répétitif. Je vous donne un exemple : dans un chapitre précédent, Koen a dit qu’il aimerait dormir dans une auberge de jeunesse lors de son prochain voyage, je ne vais pas le décevoir. Que pensez-vous qu’il va se passer dans cette auberge ? Ils vont faire la connaissance d’autres jeunes, dormir dans la même chambre, se doucher ensemble et… ce que j’ai déjà raconté à de nombreuses reprises.

Bisous alpestres.
Daniel