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Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable

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Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 17-01-2021

Ce cher vieux Sigismund est donc toujours vivant...comme le canard dont parle le regretté humoriste Robert Lamoureux, un p'tit marrant des années 50-55 avec ses chansons et ses sketches inclus («Papa, maman, la bonne et moi...») et aussi auteur/acteur de pièces, de films...
J'ai entendu parler de lui ( Freud...) au cours d'un stage d'une année pour me préparer d'enseigner des gamins "à problème intello" où nous avions des cours de psychologie et aussi une information sur les "analyses". À l'occasion d'une de ces causeries et au grand étonnement de notre prof, une femme très sympa, j'ai sans doute mal interprété une de ses phrases concernant le psychiatre de Vienne et me suis écrié : « Mais Freud, on peut dire que c'est un chaud lapin!» Surprise des autres stagiaires puis éclat de rire.  Hé bien, mon cher Lange, je ne croyais pas si bien dire : nous allons, grâce à toi, vérifier la...«chaleur  léporidienne*».
--------------------------------------
*Je ne connais pas par cœur toutes les genres auxquels appartiennent ces petits mammifères très prolifiques. Alors, un coup de "Wiki" et j'apprends qu'ils sont classés dans les "léporidés". Sitôt lu ça, je pars d'un éclat de rire : je transcris ce genre en «Les peaux ridées». Et ça s'applique très bien au cas du Docteur Freud auquel tu donnes octante ans! (Je n'ai pas osé écrire "vieille peau", injure trop facile!).
Bien à vous tous,
KLO.


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 17-01-2021

(17-01-2021, 01:47 AM)KLO7514 link a écrit :Ce cher vieux Sigismund est donc toujours vivant...comme le canard dont parle le regretté humoriste Robert Lamoureux, un p'tit marrant des années 50-55 avec ses chansons et ses sketches inclus («Papa, maman, la bonne et moi...») et aussi auteur/acteur de pièces, de films...
J'ai entendu parler de lui ( Freud...) au cours d'un stage d'une année pour me préparer d'enseigner des gamins "à problème intello" où nous avions des cours de psychologie et aussi une information sur les "analyses". À l'occasion d'une de ces causeries et au grand étonnement de notre prof, une femme très sympa, j'ai sans doute mal interprété une de ses phrases concernant le psychiatre de Vienne et me suis écrié : « Mais Freud, on peut dire que c'est un chaud lapin!» Surprise des autres stagiaires puis éclat de rire.  Hé bien, mon cher Lange, je ne croyais pas si bien dire : nous allons, grâce à toi, vérifier la...«chaleur  léporidienne*».
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*Je ne connais pas par cœur toutes les genres auxquels appartiennent ces petits mammifères très prolifiques. Alors, un coup de "Wiki" et j'apprends qu'ils sont classés dans les "léporidés". Sitôt lu ça, je pars d'un éclat de rire : je transcris ce genre en «Les peaux ridées». Et ça s'applique très bien au cas du Docteur Freud auquel tu donnes octante ans! (Je n'ai pas osé écrire "vieille peau", injure trop facile!).
Bien à vous tous,
KLO.

Merci [member=156]KLO7514[/member].

C’est assez difficile d’imaginer une relation entre un homme de 80 ans et un de 18 ans. Il y a un déséquilibre certain. On pourrait aussi dire, pour prendre un autre animal, que l’homme âgé est un « vieux cochon », tandis que l’homme jeune pourrait se laisser tripoter par pitié (ou en espérant figurer en bonne place sur le testament).

Une relation sincère et amoureuse peut aussi exister entre les générations, mais je ne pense pas que ce soit une bonne perspective pour un jeune de se lier durablement et exclusivement avec une personne âgée. Je n’écrirais donc pas de récit de ce genre. Ici cela restera un petit amusement entre hédonistes réunis pour prendre du plaisir le temps d’un week-end.

Il est évident que l’auteur de ce récit, bien que n’ayant pas encore 80 ans, pourrait aussi être qualifié de « vieux cochon » qui tripote ses jeunes personnages virtuellement, mais, je dois l’avoir déjà dit souvent, je suis en bonne compagnie et je ne suis pas le seul à préférer les éphèbes aux vieux beaux.

Bien à toi.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 17-01-2021

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

J'aime bien cette suite avec l'ajout "suggéré" par [member=146]Nostalgique[/member], celle de voir un homme "âgé" venir rendre visite à la maison de Graf et de Burson ! C'est ce brave psychiatre le Dr Freud.
Ici c'est notre ami Koen qui est lui aussi un peu au centre de cette suite. Le Dr Freud accepte de venir en vue de rencontrer Koen dont il a entendu parlé.
Frédéric lui de son côté passe à la "confession" avec le Père Empoitre.

Merci pour ce bon moment de lecture mon cher Daniel.

Bon diamnche!

Je t'embrasse!

Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 17-01-2021

(17-01-2021, 11:31 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

J'aime bien cette suite avec l'ajout "suggéré" par [member=146]Nostalgique[/member], celle de voir un homme "âgé" venir rendre visite à la maison de Graf et de Burson ! C'est ce brave psychiatre le Dr Freud.
Ici c'est notre ami Koen qui est lui aussi un peu au centre de cette suite. Le Dr Freud accepte de venir en vue de rencontrer Koen dont il a entendu parlé.
Frédéric lui de son côté passe à la "confession" avec le Père Empoitre.

Merci pour ce bon moment de lecture mon cher Daniel.

Bon diamnche!

Je t'embrasse!

Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

La suggestion de Nostalgique était bonne, nous verrons ce que va donner cette rencontre entre les quatre, deux jeunes et deux plus âgés, je ne le sais pas encore, j’y réfléchis. Je pense que ce sera assez inhabituel, pour mes personnages comme pour moi. Chaque texte que je publie est une expérimentation qui peut être réussie ou ratée, la littérature n’est heureusement pas une science exacte.

Bon dimanche à toi aussi !

Je t’embrasse.
Daniel



Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 17-01-2021

[member=28]Lange128[/member] !

Sais-tu que je porte toujours des chaussettes de couleurs différentes depuis plus de trente ans ?

[member=156]KLO7514[/member] !

Petite erreur dans ta datation de Robert Lamoureux... Je l'ai vu jouer sa pièce "Diable d'homme" en 1981.




Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 17-01-2021

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

C'est bien de pouvoir "rêver" avec des propositions "hors du schéma" habituel.
Je suis partant dans cette approche qui peut apparaître comme "incongrue", mais très appréciée par ce côté "interdis", encore que dans les relations entre hommes et "autres" il n'y a aucun interdit dû moins que si cela se passe entre personnes consentantes!

Merci Daniel de nous faire voir d'autres facettes des relations "humaines-homos" !

Je t'embrasse!

Philou


Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 17-01-2021

Bonjour Lange !
J'ai été intéressé par l'apparition du Dr Freud. Je suis un grand amateur des écrits du fondateur de la psychanalyse... Avant de réaliser qu'il ne s'agit pas du même, vu que Sigmund Freud est mort en 1939 et que ton récit doit se passer dans les années 60 (si je me souviens bien). De tout façon Sigmund Freud n'avait probablement pas beaucoup d'intérêt pour les jeunes garçons, il préférait les femmes... Smile


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 17-01-2021

(17-01-2021, 02:48 PM)Louklouk link a écrit :[color=blue][member=28]Lange128[/member] !

Sais-tu que je porte toujours des chaussettes de couleurs différentes depuis plus de trente ans ?

Non, [member=87]Louklouk[/member], je ne le savais pas, ce n’est donc pas toi qui m’a inspiré ce personnage du Dr. Freud.

(17-01-2021, 03:54 PM)emmanolife link a écrit :Bonjour Lange !
J'ai été intéressé par l'apparition du Dr Freud. Je suis un grand amateur des écrits du fondateur de la psychanalyse... Avant de réaliser qu'il ne s'agit pas du même, vu que Sigmund Freud est mort en 1939 et que ton récit doit se passer dans les années 60 (si je me souviens bien). De tout façon Sigmund Freud n'avait probablement pas beaucoup d'intérêt pour les jeunes garçons, il préférait les femmes... Smile

Je précise pour [member=67]emmanolife[/member] que ce Dr. Freud est totalement imaginaire et que ses méthodes le seront aussi, toute ressemblance… On verra dans quel mesure Koen croira ou pas à ses théories farfelues.


Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 20-01-2021

Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (12)

Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil

— Tu es déjà en train de t’intéresser à la queue du moine, dit le Dr. Freud à Koen. Ne pourrais-tu pas le considérer comme un être humain dans son entier et ne pas le réduire à ce qui pend entre ses jambes ?
— Déformation professionnelle, dit Koen, embrassé.
— Tu n’es pas encore urologue, à ma connaissance. Je dois dire que j’ai aussi dû faire attention dans ma pratique de psychiatre. Je ne devais pas poser de questions trop intimes à mes patients au sujet de leur sexualité, ce n’était pourtant pas l’envie qui me manquait. Heureusement que certains étaient intarissables à ce sujet et qu’il me racontaient chaque orgasme. Je crois que tu te laisses mener par ta propre bite, Koen, ton cerveau doit reprendre le contrôle.

Le vieil homme plaça sa main sur l’entrejambe de Koen pour appuyer ses propos et le tâta sur l’étoffe du slip bleu.

— Tu vois, elle bande déjà. Père Emptoire, on va faire un jeu avec ces jeunes pucelles : alterner les moments d’excitation et les moments sérieux où l’on parlera d’autre chose que de cul. Pour une fois ce n’est pas vous qui vous branlerez, ce sont les vieux qui s’en chargeront.
— Dis, je ne suis pas si vieux que ça, je n’ai que soixante ans, objecta le Père Emptoire.
— Tu es déjà un vieux con pour ces jeunets. Vous êtes d’accord ?
— Euh, oui, fit Frédéric.
— Moi aussi, dit Koen.
— Et ne jutez pas trop vite, le premier qui le fait devra me sucer. Koen, parle-moi du curé, sans mentionner sa queue. Tu le trouves sexy ?

Le Père Emptoire était assis sur sa chaise longue, jambes écartées, ses grosses couilles bien exposées.

— Il ne ressemble pas à l’idée que je me faisais d’un moine, dit Koen, à part le ventre légèrement proéminent.
— Pas seulement légèrement, on mange et on boit bien à l’abbaye, expliqua le père, pour compenser le manque de sexe.
— Menteur, dit le Dr. Freud.
— Ses tatouages me surprennent : la croix et l’ange noirs sur la poitrine, continua Koen.
— Mon ange gardien, c’est lui qui me fait vivre.
— Et les boucles dans les tétons reliées par une chaîne.
— C’est pour les mortifications, plus agréable qu’un cilice.
— C’est agréé par le père supérieur ? demanda Frédéric.
— Il a vérifié. Il m’avait donné l’adresse pour les piercings et les tatouages, un moine défroqué reconverti. 

Koen n’osa pas parler du piercing Prince Albert trouant le gland circoncis puisqu’il ne devait pas mentionner la queue. Il l’intriguait encore plus.

Pendant qu’ils discutaient, le père et le psy caressaient les pénis des jeunes gens sur leurs slips sans les laisser s’échapper de leur gangue d’étoffe.

— Il mouille déjà le mien, dit le Dr. Freud. Et le tien ?
— Pas encore, répondit le Père Emptoire.
— On va les laisser débander et parler de quelque chose de sérieux. Je vous laisse à votre confession.
— Je peux continuer à te confesser ? demanda Frédéric.
— Oui, je t’écoute.
— Pourquoi es-tu entré en religion ? Tu ne sembles pas…
— Dis tout de suite que je n’ai pas le physique de l’emploi. Ce n’était pas facile d’être un pédé quand j’étais jeune, aller vivre dans un couvent résolvait le problème, surtout quand on était le cadet qui ne reprenait pas la ferme. Ma mère était très fière d’avoir un religieux dans la famille.
— Elle savait que tu étais homosexuel ?
— Je pense qu’elle l’avait deviné, elle en avait parlé au curé qui avait essayé de me tirer les vers du nez. J’ai gardé ce secret pour moi car je pensais qu’ils ne m’accepteraient pas au couvent. J’étais naïf…
— Tu te branlais quand même ou tu n’osais pas car c’était un péché ?

Le Père Emptoire rigola :

— Une véritable confession, en effet. On se donnait des conseils avec les autres enfants de chœur pour éluder cette question embarrassante lors des confessions. Et aussi des conseils pour le faire.
— Eh bien, montre-nous comment tu le fais, fit le Dr. Freud. On va de nouveau les exciter un peu.

Le Dr. Freud s’était aussi assis sur sa chaise longue afin de pouvoir mieux s’occuper de Koen. Il posa sa pipe, reprit ses caresses sur le slip, insistant sur les couilles.

Koen ne quittait pas des yeux la bite du père. Il fut déçu, en érection elle n’était pas aussi grosse qu’il ne l’avait imaginé. Le moine demanda à Frédéric de continuer à le masturber.

— Tu ne jutes pas non plus, dit le Dr. Freud. L’un de ces jeunes hommes devra aussi te sucer.
— T’inquiète, je sais me retenir. Il y a des chapitres secrets de la règle monastique qui abordent ces questions.

Le Dr. Freud mit son doigt dans la raie des fesses de Koen et titilla la rosette.

— Martin vous a-t-il massé la prostate ce matin ?
— Oui, répondit Koen.
— Il le fait bien ?
— Parfaitement.
— J’ai bien envie de lui demander de me le faire tout à l’heure. Bon, on va accélérer un peu. Une dernière débandade avant l’apothéose. Continuez la confession.

Frédéric demanda :

— Est-ce que tu crois en Dieu ?
— C’est le minimum syndical pour un moine, qu’est-ce qui te fait croire le contraire ?
— Tu es entré dans les ordres parce que tu étais homosexuel.
— L’un n’empêche pas l’autre. Je vais te répondre. Je crois en Dieu pour ce qu’Il est, Sa Parole.
— Sa parole ?
— Oui, la seule preuve de l’existence de Dieu que j’ai c’est Sa Parole, autrement dit la Bible. Cette Parole a incité les hommes à construire des cathédrales, à faire des guerres, des croisades et à couper le bout des bites. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Début de l’évangile selon saint Jean. Dieu existe, il influence la vie de millions de personnes et la mienne. Tu es satisfait de ma réponse ?
— Oui, merci.
— Cela devient trop philosophique, dit le Dr. Freud. Il est temps de repasser à la partie ludique de notre jeu. J’ai hâte de découvrir les petites bites de nos deux jouvenceaux.


Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 20-01-2021

Coucou Daniel,

Je suis toujours là - même si je ne commente pas systématiquement - et j’apprécie généralement en silence les péripéties de tes personnages ( Koen – ‘bitologue’ en herbe - reste mon préféré Big Grin) mais aujourd’hui :

Petite suite où une pointe d’humour agrémente fort bien l’aspect coquin de la situation intergénérationnel que tu as habilement amené. Bravo !  Wink

Bizoux messire l’helvète  :-*



Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 20-01-2021

(20-01-2021, 10:00 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Coucou Daniel,

Je suis toujours là - même si je ne commente pas systématiquement - et j’apprécie généralement en silence les péripéties de tes personnages ( Koen – ‘bitologue’ en herbe - reste mon préféré Big Grin) mais aujourd’hui :

Petite suite où une pointe d’humour agrémente fort bien l’aspect coquin de la situation intergénérationnel que tu as habilement amené. Bravo !  Wink

Bizoux messire l’helvète  :-*

Coucou [member=54]fablelionsilencieux[/member] et merci de toujours suivre mon récit.

Après avoir écrit cet épisode, je me disais que la juxtaposition de dialogues sur la vocation du religieux et d’autres considérations plus coquines était bizarre, mais j’essaie d’avoir des personnages assez originaux dans ce récit et de ne pas simplement décrire des actes sexuels, ce qui serait vite lassant, en tout cas pour moi, je ne sais pas pour mes lecteurs.

Le côté intergénérationnel sera encore plus présent dans l’épisode suivant, j’ai laissé un indice sur ce qui va se passer.

Bisous monsieur le Belge.



Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 21-01-2021

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Suite agréable à lire.

Koen, le "bitologue" en herbe est un peu secoué par le Dr Freud. Il demande à Koen de voir les personne dans leur ensemble mais seulement au niveau de la bite!
Alternance  de discussion sur tout sujet et ensuite sur le sexe. C'est pour voir l'effet des discussion sur l'érection au non des jeunes gens.
Très amusante confession du moine par Frédéric.
Je n'ai pu me retenir de sourire quelques fois!
Merci Daniel, j'aime bien cette histoire.

Je t'embrasse!

Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 21-01-2021

(21-01-2021, 11:17 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Suite agréable à lire.

Koen, le "bitologue" en herbe est un peu secoué par le Dr Freud. Il demande à Koen de voir les personne dans leur ensemble mais seulement au niveau de la bite!
Alternance  de discussion sur tout sujet et ensuite sur le sexe. C'est pour voir l'effet des discussion sur l'érection au non des jeunes gens.
Très amusante confession du moine par Frédéric.
Je n'ai pu me retenir de sourire quelques fois!
Merci Daniel, j'aime bien cette histoire.

Je t'embrasse!

Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

C’est mon but de faire sourire les personnes qui me lisent, je suis donc content que cela fonctionne. Je suis aussi content que tu aimes cette histoire qui n'a pas vraiment d'intrigue et que j'imagine au fur et à mesure.

Il y avait un côté éducatif, les jeunes gens devaient apprendre à ne pas se masturber rapidement, mais au contraire à prendre leur temps, quitte à perdre leur érection. Une invitation à varier les plaisirs et à ne pas se focaliser sur l’éjaculation.

Je pourrais aussi déranger avec ma vision des religieux. Ce n’est pas la religion en soi qui me dérange, chacun est libre des ses croyances, c’est plutôt le refus d’accepter l’homosexualité tout en la pratiquant. Cela ne me paraît pas correspondre au message christique qui prône l'amour.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 21-01-2021

Bonsoir à toi, Lange 128 !

"Il y avait un côté éducatif, les jeunes gens devaient apprendre à ne pas se masturber rapidement, mais au contraire à prendre leur temps, quitte à perdre leur érection. Une invitation à varier les plaisirs et à ne pas se focaliser sur l’éjaculation"

J'aime beaucoup cette phrase que j'ai fait mienne depuis très très longtemps et dans tous les domaines de la sexualité. Pour moi, l'orgasme, l'éjaculation ne sont qu'un aboutissement et non un objectif, je dirais que c'est une gâterie supplémentaire.

La jouissance, il faut y penser, la préparer mentalement et physiquement, il faut la sentir s'éveiller, tendrement, presque insensiblement, il faut pouvoir se dire "mais qu'est-ce qui se passe en moi" avant de réaliser que c'est toi, ton corps qui se met en marche pour te donner, avec modération, toujours plus de plaisir ; il faut que les caresses, les attouchements volontaires ou mieux encore involontaires, te donnent des frémissements, des décharges, des éclairs, des visions de ce qui pourrait arriver, de ce qui arrivera. C'est cette lente montée de l'orgasme qui donne toute sa volupté au sexe, hétéro ou homo. Avec ce dernier, l'avantage c'est qu'on a chez les deux partenaires la même "configuration" et que l'on peut comparer, moduler la montée en fonction des réactions différentes et pourtant si semblables. Oui, il faut prendre son temps, la récompense est alors sublime, il n'y a plus à combiner mais uniquement à se laisser aller, à profiter, pleinement, jusqu'à épuisement !


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 21-01-2021

(21-01-2021, 06:38 PM)Nostalgique link a écrit :Bonsoir à toi, Lange 128 !

"Il y avait un côté éducatif, les jeunes gens devaient apprendre à ne pas se masturber rapidement, mais au contraire à prendre leur temps, quitte à perdre leur érection. Une invitation à varier les plaisirs et à ne pas se focaliser sur l’éjaculation"

J'aime beaucoup cette phrase que j'ai fait mienne depuis très très longtemps et dans tous les domaines de la sexualité. Pour moi, l'orgasme, l'éjaculation ne sont qu'un aboutissement et non un objectif, je dirais que c'est une gâterie supplémentaire.

La jouissance, il faut y penser, la préparer mentalement et physiquement, il faut la sentir s'éveiller, tendrement, presque insensiblement, il faut pouvoir se dire "mais qu'est-ce qui se passe en moi" avant de réaliser que c'est toi, ton corps qui se met en marche pour te donner, avec modération, toujours plus de plaisir ; il faut que les caresses, les attouchements volontaires ou mieux encore involontaires, te donnent des frémissements, des décharges, des éclairs, des visions de ce qui pourrait arriver, de ce qui arrivera. C'est cette lente montée de l'orgasme qui donne toute sa volupté au sexe, hétéro ou homo. Avec ce dernier, l'avantage c'est qu'on a chez les deux partenaires la même "configuration" et que l'on peut comparer, moduler la montée en fonction des réactions différentes et pourtant si semblables. Oui, il faut prendre son temps, la récompense est alors sublime, il n'y a plus à combiner mais uniquement à se laisser aller, à profiter, pleinement, jusqu'à épuisement !

Bonsoir [member=146]Nostalgique[/member].

Merci pour ton témoignage auquel je ne peux qu’adhérer. J’ajouterais qu’on peut aussi avoir des orgasmes sans éjaculer. Il ne te reste plus qu'à nous faire ressentir cette lente montée du plaisir dans tes récits... (je ne veux pas dire que tu ne l'as pas fait jusqu'à présent).

Je ne pense pas que je pourrais consacrer non plus trop de lignes à chaque relation sexuelle que je décris. J’essaie plutôt de suggérer des situations et des ambiances originales, et de ne pas écrire des récits stéréotypés. Avoir des lecteurs réguliers m’indique que je ne suis pas trop à côté de la plaque.