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Féfé sèche ses larmes - Version imprimable

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Féfé sèche ses larmes - Louklouk - 14-02-2025

Féfé sèche ses larmes
— On peut savoir c’que tu mates, là ? demanda l’immense Frédéric, sur un ton hargneux.
— Ton prépuce, fit le long et fin Denis, en regardant Frédéric dans les yeux... et le cœur battant si ort !
— Tu dis un mot sur le sujet, et je t’explose la gueule !
— Alors deux mots : on se ressemble, non ? fit Denis en tirant sur son long prépuce.
Décrivons ces jeunes gens : Frédéric était une sorte de merveille blonde, bien foutue de partout et pourvue d’yeux bleus à damner les soviets les plus récalcitrants.
Denis était un fin et maigrelet brun finement velu qui était assez doué, en l'équipe de basket de l'université.
Là, on était les derniers à se doucher. On n'avait pas de relations particulières : Frédéric était du genre grande gueule, ce que lui permettait son splendide physique, et sa gueule d'amour...
La beauté de Denis était plus modeste... sauf si l'on prenait en considération son remarquable chibre. Qui n'était pas le point de mire de ces messieurs du basket, cependant. Jusqu'à ce moment inattendu... où Frédéric fut bien obligé de constater que le prépuce de Denis était au moins aussi long que le sien. Dont il avait un peu honte, d'ailleurs.
— J'l'adore, mon prépuce, et toi ?
— Arrête de déconner !
— Trop beau, une bite avec ça, non ?
— Ta gueule !
— Bon ! Mais... promets-moi de pas te faire couper, hein ?
Et Denis de se savonner la bite le plus voluptueusement du monde... sous les regards furtifs et effarés du beau Frédéric — car c'était la vérité qu'il était rudement beau, cet animal-là ! Et dans le mouvement, Denis se fit bander. Et ce n'était pas de la petite bière que cette affaire-là !
— Oh putain... souffla Frédéric, t'es complètement pédé, toi...
— Chais pas... J'aime les belles queues... Et toi ?
— Oh, la ferme !
— Tu me fais bander, tellement t'es beau !
— La ferme ! réitéra un Frédéric dont le regard s'était pourtant attaché à la bite de Denis... et qui se sentait croître, lui aussi.
Il y eut alors un petit moment de silence, où ces jeunes Messieurs furent bien obligés de se tirer sur le prépuce, en se regardant de biais...
— T'es vraiment beau, tu sais, Frédéric ?
— Tu la fermes jamais ?
— Excuse-moi, p'tit ange. J'aime qu'on se ressemble... de la queue... tous les deux.
— Et moi, j'aime quand tu fermes ta gueule, conclut un Frédéric qui avait commencé à se branler, doucettement.
Alors on se toucha silencieusement en se matant fixement.... Jusqu'à ce qu'on ouît :
— Oh p'tain ! Vous faites une séance de branlette, là ? fit alors une forte voix, celle de Matthieu, autre belle bête du club, qui venait de passer la tête par-là.
— Non, non ! gémit Frédéric.
— Bougez pas, j'arrive !
— Nooon !
Mais Matthieu fut à poil en moins d'une seconde et se joignit aux autres : belle baraque musclée et finement velue de châtain, qui disposait aussi d'un joli prépuce, et le montra sans manière.
— P'tain, ça m'excite, ça ! fit le mec, présentant un joli morceau châtain joliment prépucé, lui aussi... et vite raide !
Et qui se mit à s'astiquer avec une gentille ardeur.
— Oh... Vous faites ça souvent, les mecs ?
— Ouais... On aime ça ! mentit Denis en souriant, et en regardant Frédéric dans les yeux.
— Super, les mecs ! fit Matthieu, pas loin de la surchauffe. Vous auriez dû me dire !
— Et pourquoi ? T'as pas de meuf, en ce moment ? fit Frédéric.
— Si, si, mais... ces trucs-là, ça me chauffe toujours ! Et là j'avais oublié un papier dans mon casier... heureusement ! Oh p'tain, que c'est bon ! Vous avez une super tige, tous les deux ! Aaah !...
Il semblait en forme, le rude Matthieu ! La séance dura encore une dizaine de minutes, ponctuée par les commentaires fleuris d'un Matthieu qui décidément semblait aimer ça... Et l'on se jouit, à l'initiative de Denis, chacun sur la touffe d'un autre.
— Première fois que je fais ça, commenta Matthieu. T'es un p'tit vicelard, toi, hein ? Mais c'est sympa ! Oh p'tain ! J'crois que j'aime trop le cul, moi !
— On l'aime jamais assez, va ! Surtout qu'y a toujours des trucs qu'on connaît pas ! répondit Denis.
— Ah ! Ah ! Ouais, t'as raison ! En tout cas, c'était sympa, les mecs, merci ! Vous le faites à chaque entraînement ?
— Ça dépend de nos obligations, mais on s'efforce, oui... rementit Denis, sérieusement.
— Vous m'oubliez pas, hein, les mecs ? Féfé ! Quand je pense qu'on se connaît depuis deux ans, et qu'on n'y avait jamais pensé ! Enfin, c'est réparé ! Bon, j'y vais, là, ciao !
Resté seuls, les autres se rincèrent en silence, avant que Denis osât :
— Tu m'en veux pas trop ?
Frédéric ne répondit pas, se séchant en regardant ailleurs.
— En tout cas, je voulais ni te gêner, ni te casser la baraque avec ton pote Matthieu !
— Oh, çui-là...
— Il a eu l'air content, alors... Excuse-moi, je pensais pas que ça tournerait comme ça et...
— Laisse tomber. Ciao.
Rhabillé à la va vite Frédéric s'en fut comme un voleur, laissant un Denis bien désemparé. Qui se demanda s'il ne venait pas de faire la connerie de sa vie, et passa une fort mauvaise soirée... malgré le souvenir de la merveille se branlant...
Le lendemain, il aperçut les deux autres au restau U, et Matthieu lui fit un signe d'amitié... mais il passa son chemin, plateau en main.
Et le surlendemain, vendredi, ce scénario se répéta à midi ; le soir il alla à l'entraînement, dans ses petits souliers... des baskets, comme vous devinez. Si Frédéric fut réservé, Matthieu l'accueillit avec chaleur, et même, il fut constamment près de lui lors de l'entraînement.
— Chaud, ce soir ? lui souffla-t-il à la dernière pause.
Denis sourit et après le dernier temps de travail, on se retrouva au vestiaire :
— J'ai rencard, là, ce soir, alors j'y vais ! lâcha Frédéric.
Les autres se regardèrent et le coach intervint :
— Tout le monde à la douche, et vite, ce soir on dégage plus tôt, car il y a du monde après nous, hop !
Les mecs se regardèrent derechef, et Matthieu eut soudain un grand sourire :
— Eh ben ! On se lave pas ici, et on va se rincer chez moi... la couenne et le gosier ! Tu viens ?
Pensez si cette proposition soulagea Denis !
Bien que dessiné comme un fort beau sportif, Matthieu n'en était pas moins un bon vivant, apparemment. Il disposait d'un petit studio fort agréable en ville, et de réserves de bon aloi : bulles et kérosène de compète.
On commença par l'eau tiède, et vite, Matthieu se saisit la bite, s'exhibant outrageusement... et faisant rire Denis. Les mectons étaient roides comme tout quand ils se séchèrent avant de se poser sur le bord du lit de Matthieu. Où Denis déclara gravement :
— Matthieu... faut que je te parle !
— Vite fait, alors, me fais pas débander !
— Je t'ai menti.
— Avec ta queue ? Ça, je crois pas !
— En fait, avec Frédéric...
Et Denis de tout déballer, devant un Matthieu à la fois ébahi, et rigouillard.
— Bon, bon... fit-il enfin gravement, eh ben ! Y a pas mort d'homme ! D'abord, on picole, et vite !
Et de servir deux belles doses de vodka-framboise ; on trinqua et Matthieu déclara :
— Bref, ce soir, il a eu la trouille de sa vie ! Dommage, car ça m'a bien plu, à moi, ces fantaisies de lycée ! Pas toi ?
— Ben... si, évidemment.
Ce que Denis cela, à ce moment de l'intrigue, c'est qu'il avait ça en tête depuis sa puberté, les garçons... Et puisque les hétéros lui offraient des « Séances découverte » gratuites, il aurait eu grand tort de les refuser, d'autant qu'une fâcheuse timidité l'avait depuis toujours empêché de passer à l'acte. Jusqu'à ce que Frédéric remarquât ses regards, deux jours plus tôt... Et Matthieu reprit :
— Mais nous, on n'a pas la trouille, hein ?
— Non ! fit Denis en un grand sourire.
— C'est parti !
Et les mecs de se saisir la quéquette aux fins que vous savez. On se tut, mais les soupirs faisaient la conversation... Soudain, Matthieu lâcha :
— Oh p'tain, tu me chauffes, toi !
— Moi ?
— Ouais... t'as un p'tit air vicieux quand tu me mates la queue... j'me trompe ?
— Mais... non... C'est que t'es super beau, c'est tout !
— Tu vois ! Oh, Denis... j'ai super envie de te sucer, là !
— Mais... Toi ?
Matthieu plongea soudain sur la bite de Denis, comme un fou de Bassan sûr d'avoir repéré le plus beau poisson de l'Atlantique nord ! À l'immense soupir du titulaire d'icelle, comme bien vous le subodorez.
Le jeune Denis se trouva ipso facto propulsé dans une sorte de rêve stratosphérique, où toutes ses frustrations s'évaporèrent comme par enchantement. C'était donc ça, faire l'amour !...
Autant vous dire qu'il posa aussitôt les mains sur la superbe académie de son suceur, et le caressa autant que faire se pouvait, dans cette conjoncture. Après quelques minutes d'intense pompage, le gars Matthieu, tout rouge, releva le museau pour respirer un grand coup, et Denis siffla :
— Moi aussi, je veux...
— Ouais, ouais ! Viens !
On s'allongea donc sur le paddock, et Denis goba sa première quéquette, à son entière satisfaction.
L'instant fut chaud : Matthieu était déchaîné, et Denis ne voulait pas être en reste... s'imaginant que c'était toujours comme ça, faire l'amour !
In fine, Matthieu beugla et se retira de la bouche de Denis, qui dut l'abandonner aussi ; Matthieu vint s'épandre sur le museau de Denis, avant de lui crier :
— Viens sur ma gueule, vite !
Ainsi fut fait. Avant que Matthieu explosât de rire, saisissant le frêle Denis en ses bras :
— Oh p'tain, trop génial, ça ! T'es doué, toi, tu sais ? Tu serais pas un peu gay, par hasard ?
— Ben...
— Denis ? Tu...?
— Chais pas encore, mais...
— En tout cas, t'es super doué, toi ! Tu vas l'avoir, ton diplôme ! Ah ! Nom de dieu, c'était bon, non ?
Denis opina. Il ne pensait pas que ç'avait été bon, non, mais quasiment divin !
Une nouvelle douche les colla l'un contre l'autre, et de retour sur le lit, verre en main, Matthieu déclara :
— Merci, p'tit mec ! Comme tu sais, j'aime le cul, et tu m'en as donné pour mon argent ! Longtemps que je fantasmais sur ça ! Mais je me demande... y te plait, le Frédéric ?
— Ben... fit Denis, manquant de s'étrangler avec sa vodka-framboise. Je... Je...
— T'embête pas, c'est pas mes oignons ! Et t'aurais bien raison : il est super beau, le Féfé ! Et... garde ça pour toi... je le pomperais bien aussi, c'con-là !
— Oh ! Mais...
— Non, chuis pas gay, non... enfin j'crois pas... encore... mais accro au cul, oui, j'te l'ai dit ! Et... s'tu veux, on remet ça à la première occasion ! Euh... tu voudrais ?
— Ben oui, fit Denis en un large sourire.
— Super ! Oh ! Tu sais quoi ? On va se le faire, le Féfé ! On va la lui sucer, sa belle bite ! Tu veux ?
Denis acquiesça en souriant : quel numéro, ce Matthieu !
Pour l'instant, Matthieu retint Denis à dîner, puis à dormir : autant vous dire que ce fut lors un festival de pipes !
Et, au matin, Matthieu pompa Denis jusqu'à en avaler l'entière liqueur. Ce que constatant, le pompé se sentit obligé d'en faire autant...
— Oh, bébé ! Maintenant, on est liés pour la vie ! Frères de sperme, tu vois ça ?
— T'es fou ! rigola Denis.
Matthieu enserra alors tendrement Denis en ses bras musclés, longuement. Et il souffla :
— Tu l'aimes, le Frédéric ?
— Oh... je sais pas trop... Oui, peut-être...
— C'est vraiment un bon pote, pour moi... Dommage qu'il soit si coincé... ou si peu curieux.
— Il a p'têt' pas envie de traficoter avec des mecs...
— Mais moi si ! Enfin... s'tu veux continuer à m'apprendre.
— Ah ! Ah ! Mais je sais rien, moi ! rigola Denis.
— Mais t'as la vocation. Et moi, j'te dis que Féfé...
La vie continua, mais on ne vit plus Frédéric que prendre sa douche en coup de vent : c'est qu'il avait peur ! jugea-t-on. Matthieu non, quant à lui, et il advint que Denis apprit la vie de gay dans les bras d'un hétéro... qui n'avait pourtant pas jeté son carnet d'adresses en ville, ça non !
Trois semaines après le début de cette étrange histoire, il arriva le vendredi où, sous le regard effaré des deux autres, Frédéric reçut un appel qui lui tira immédiatement les larmes yeux. On était au vestiaire, juste avant la douche ensemble. Les garçons se regardèrent, et Matthieu alla vers son pote, à trois mètres de là ; il le prit par le cou :
— Oh ! Ça va pas, mon pote ?
— Largué, et... Oooh...
— Viens, on va se remettre chez moi !
Frédéric se leva, saisit ses affaires, et ne moufta pas en voyant Denis suivre le mouvement. Et chez lui, Matthieu ne lésina pas sur le degré... alcoolique ! Tour en se déloquant :
— On picole pas en sentant le phacochère amoureux !
Sans se regarder, les autres l'imitèrent, et la douche, pas trop grande, accueillit trois grands corps sous l'eau tiède. Faut-il vous donner des détails ? On banda dans les grandes longueurs, et ces choses arrivèrent à rendre le sourire à la blonde merveille. Qui finit par susurrer :
— Merci, les mecs ! Sans vous...
— Avec nous, si tu veux, précisa Denis.
— Bien sûr.
12, II. 2025



RE: Féfé sèche ses larmes - lelivredejeremie - 17-02-2025

Frères de queue, puis frères de sperme… Smile))))
Le charme des stories de Louklouk qui multiplient les persos hétéro-curieux sans trop de limites, et même prêts à participer activement… ^^
Le seul que j’aie croisé s’était suggéré dans un statut de victime passive de mes potentielles envies, qu’il avait entièrement fantasmées :o
Bah, ça a le mérite de faire rêver, comme la fantasy, également peuplée d’être imaginaires Wink


RE: Féfé sèche ses larmes - bech - 27-02-2025

Frédéric n'aime pas qu'on l'observe à la douche, mais avec la franchise de Denis par rapport à son intérêt pour les prépuces longs, sujet qui s'abordent rarement, il ne sait plus quoi dire. Et l'arrivée de Mathieu + un mensonge est l'occasion d'une branlette partagée puis d'un rapprochement entre Mathieu et Denis.

Mais un événement emmènera Frédéric à considérer ces 2 gars comme un lot de consolation.