Crépuscule des Désirs - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Crépuscule des Désirs (/showthread.php?tid=322) |
Crépuscule des Désirs - Lysandre_Éros - 23-07-2024 Bonjour à tous, Voici un récit que j'écris depuis un moment. Il explore des sexualités telles que le BDSM et la découverte de son corps. Merci d'avance pour vos possibles retours, et bonne lecture. Le crépuscule s’étendait doucement sur le quartier tranquille de la rue des Glycines. Les volets se fermaient, les lampadaires s’allumaient, et une douce brise d’été transportait des effluves de jasmin et de roses. Dans cette atmosphère paisible, deux voisins vivaient côte à côte, séparés par une simple haie de buissons, mais unis par une tension palpable et une attirance inexprimée. Élodie, une jeune femme aux yeux pétillants et au sourire envoûtant, vivait depuis quelques années dans la maison à la façade bleue. Toujours élégante et gracieuse, elle passait ses soirées à lire sur sa terrasse, une tasse de thé à la main. Son voisin, Gabriel, un homme ténébreux au charme indéniable, habitait la maison voisine, à la façade blanche immaculée. Leur quotidien était rythmé par des échanges de regards, des salutations polies et des sourires timides, sans jamais oser franchir cette barrière invisible. Ce soir-là, Élodie s’installait comme à son habitude sur sa terrasse lorsqu’elle entendit des pas dans l’allée voisine. Gabriel revenait de son jogging, le visage légèrement en sueur et les cheveux en bataille. Leur regard se croisa, et cette fois-ci, quelque chose de différent passa entre eux. Une invitation muette, une promesse silencieuse. — Bonsoir, Élodie, dit-il en s'approchant de la haie qui les séparait. Comment s'est passée ta journée? — Bonsoir, Gabriel. Très bien, merci. Et toi? La conversation, banale en apparence, se poursuivit jusqu'à ce que Gabriel propose de partager un verre de vin. Élodie accepta avec un sourire et le rejoignit dans son jardin. Ils s’assirent sous une tonnelle couverte de vigne, éclairés par la lueur douce des lanternes suspendues. Le vin coula, les rires fusèrent, et peu à peu, la distance physique entre eux se réduisit. La nuit avançait, et la tension entre eux devenait presque tangible. Gabriel, n'y tenant plus, posa une main hésitante sur celle d’Élodie. — Élodie, je… Je ne sais pas comment te le dire, mais depuis que tu es arrivée ici, je n'ai jamais cessé de penser à toi. Élodie, surprise mais ravie, répondit en serrant sa main. — Moi aussi, Gabriel. Je n’osais pas te le dire, mais chaque jour, j'espérais ce moment. Leurs lèvres se rapprochèrent, et ils s'embrassèrent avec une passion contenue depuis trop longtemps. Le baiser, doux au début, devint rapidement ardent, exprimant tout ce qu'ils avaient retenu durant ces années. Ils se levèrent et, sans un mot, se dirigèrent vers la maison de Gabriel. Une fois à l’intérieur, la porte à peine fermée, leurs vêtements commencèrent à tomber au sol, comme des feuilles mortes emportées par le vent. Gabriel embrassa chaque parcelle de peau qu’il dévoilait, et Élodie, frémissante de désir, se laissa emporter par cette vague de plaisir. Ils atteignirent la chambre, où les draps en lin blanc semblaient les attendre. Gabriel la déposa délicatement sur le lit, et leurs corps s’unirent enfin, répondant à un besoin primal et magnifique. Leurs mouvements étaient synchronisés, comme s’ils avaient répété cette danse des centaines de fois dans leurs rêves. Les gémissements d’Élodie résonnaient dans la chambre, se mêlant aux soupirs graves de Gabriel. Leurs caresses étaient à la fois douces et brûlantes, et chaque baiser, chaque touché, semblait embraser leurs sens. Ils s’aimèrent toute la nuit, découvrant et redécouvrant chaque centimètre de leur peau, chaque frisson, chaque soupir. Lorsque le soleil se leva, inondant la chambre de sa lumière dorée, Élodie et Gabriel étaient allongés l’un contre l’autre, épuisés mais comblés. Leurs corps entrelacés témoignaient de la passion de la nuit passée. Ils savaient désormais que leur histoire ne faisait que commencer, et que cette nuit n'était que le premier chapitre d’une romance qui promettait d'être intense et inoubliable. La rue des Glycines n'avait jamais semblé aussi belle et pleine de promesses qu'à cet instant, avec deux âmes enfin réunies, prêtes à écrire leur histoire ensemble. RE: Crépuscule des Désirs - lelivredejeremie - 23-07-2024 Cinquante nuances de Grey dans une banlieue tranquille, un début assez soft, avec la promesse que ce le soit bientôt moins... Un rythme 'coulé', pas de coquilles... Intéressant et peut-être prometteur RE: Crépuscule des Désirs - emmanolife - 23-07-2024 une jolie voisine disponible : il en a du pot, le mec : voilà qui ne l'est jamais arrivé ! RE: Crépuscule des Désirs - Lysandre_Éros - 24-07-2024 Merci pour vos réponses, cela me conforte dans l'idée de poursuivre ce récit. Voici la suite. Le soleil matinal filtrait à travers les rideaux, caressant doucement les visages endormis d’Élodie et Gabriel. Les souvenirs de la nuit précédente flottaient encore dans l'air, imprégnant chaque recoin de la chambre d'une chaleur douce et apaisante. Élodie ouvrit les yeux la première, se tournant lentement pour admirer Gabriel, encore plongé dans un sommeil paisible. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire en voyant son expression détendue, presque enfantine. Ses doigts effleurèrent délicatement son visage, retraçant les contours de ses lèvres, de ses joues, avant de s'aventurer dans ses cheveux ébouriffés. Soudain, Gabriel ouvrit les yeux, capturant la main d’Élodie dans un geste tendre mais ferme. — Bon matin, murmura-t-il avec un sourire. — Bon matin, répondit-elle, ses yeux pétillant de bonheur. Ils restèrent ainsi quelques instants, savourant la proximité de l'autre, avant qu'un gargouillement sonore n'interrompe leur bulle de sérénité. Élodie éclata de rire, et Gabriel la rejoignit, secouant la tête. — Il semble que le petit déjeuner s'impose, fit-il en se levant avec une élégance désinvolte. — Je crois que tu as raison, répondit Élodie en s'étirant, savourant la sensation de chaque muscle de son corps réveillé par la nuit passionnée. Gabriel enfila rapidement un pantalon de jogging et une chemise, puis se dirigea vers la cuisine, suivi de près par Élodie, enveloppée dans une couverture qu'elle avait attrapée en sortant du lit. Ensemble, ils préparèrent un petit déjeuner simple mais délicieux : des croissants frais, du jus d'orange pressé et du café fumant. Assis à la table de la cuisine, ils discutèrent de tout et de rien, se découvrant des passions communes et des différences amusantes. Chaque sourire, chaque éclat de rire renforçait leur connexion, les rapprochant encore davantage. Après le petit déjeuner, Gabriel proposa une promenade dans le jardin. Élodie accepta avec enthousiasme, et ils sortirent main dans la main, profitant de la douceur du matin. Les fleurs étaient en pleine floraison, et les oiseaux chantaient joyeusement, créant une atmosphère presque féérique. Au détour d'un massif de roses, Gabriel s'arrêta soudainement, se tournant vers Élodie avec une expression sérieuse. — Élodie, je sais que c'est peut-être précipité, mais je ressens quelque chose de très fort pour toi. Je ne veux pas que cette nuit soit juste une parenthèse dans nos vies. J'aimerais vraiment qu'on explore cette connexion, qu'on construise quelque chose ensemble. Élodie, émue, serra sa main et répondit avec douceur : — Gabriel, je ressens la même chose. Cette nuit a été magique, et je veux croire qu'elle est le début de quelque chose de merveilleux. Prenons le temps de nous connaître encore mieux, de vivre chaque moment pleinement. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre, scellant leur promesse de se donner une chance. Le futur leur appartenait, et ils étaient prêts à l'affronter ensemble. Les jours suivants, leur routine changea subtilement. Ils se retrouvèrent pour des dîners, des promenades et des soirées cinéma improvisées. Chaque moment passé ensemble renforçait leur lien, et les voisins commencèrent à remarquer cette complicité nouvelle. Les regards curieux et les sourires complices se multiplièrent, mais ni Élodie ni Gabriel n’y prêtèrent attention. Ils étaient perdus dans leur bulle de bonheur, savourant chaque instant. Un soir, alors qu’ils étaient allongés sous les étoiles, Gabriel prit la main d’Élodie et murmura : — J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé avec toi. Élodie tourna la tête vers lui, ses yeux brillant d’émotion. — Moi aussi, Gabriel. Et je n’ai aucune envie de me réveiller. La rue des Glycines n'avait jamais été aussi vivante et pleine de promesses. Les deux voisins, autrefois séparés par une simple haie, avaient découvert un amour profond et sincère, prêt à braver toutes les épreuves que la vie pourrait leur réserver. RE: Crépuscule des Désirs - bech - 24-07-2024 Bienvenu à notre nouvel auteur(e?) Lysandre_Éros. Un début d'histoire tendre et tranquille qui aurait très bien pu être mis dans le rubrique Hétéro qui n'est pas très fournie. RE: Crépuscule des Désirs - emmanolife - 24-07-2024 L'amour, l'amour... Pourvu que ça dure ! RE: Crépuscule des Désirs - Nostalgique - 25-07-2024 Ah quel plaisir de voir un nouveau venu commencer un récit qui devrait promettre si l'on en croit ton introduction ! Le plaisir est également littéraire car bien écrit et avec un minimum de fautes d'orthographe. On se réjouit de lire la suite et on te souhaite bon courage. Nostalgique RE: Crépuscule des Désirs - Lysandre_Éros - 26-07-2024 Un grand merci pour vos retours. J'essaie de m'appliquer au mieux pour vous écrire un superbe récit dans ce cas. Chapitre suivant : Les semaines passèrent, et la relation entre Élodie et Gabriel se renforçait chaque jour un peu plus. Leur complicité s’affirmait, et leurs voisins ne purent s’empêcher de remarquer combien ces deux âmes semblaient parfaitement synchronisées. Un samedi matin, Élodie décida de surprendre Gabriel en lui préparant un pique-nique. Elle avait prévu de l’emmener dans un parc voisin, un endroit paisible qu'elle affectionnait particulièrement pour sa beauté et sa tranquillité. Avec soin, elle emballa des sandwiches gourmands, des fruits frais et une bouteille de vin, ajoutant quelques douceurs pour parfaire le tout. Gabriel, enchanté par l’initiative, la rejoignit dans le jardin, un large sourire éclairant son visage. — Tu penses à tout, dit-il en prenant le panier. — J’espère que tu vas aimer, répondit-elle en lui glissant un regard malicieux. Ils se dirigèrent vers le parc, main dans la main, leurs rires et leurs conversations animées flottant dans l’air. Une fois sur place, ils trouvèrent un coin ombragé sous un grand chêne et déployèrent leur couverture. Le pique-nique était un succès, et les heures s’écoulèrent sans qu’ils ne s’en aperçoivent, plongés dans leurs échanges et leurs regards tendres. Au retour, Gabriel proposa une idée qui trottait dans sa tête depuis un moment. — Élodie, j’aimerais te montrer quelque chose. Suis-moi. Intriguée, elle le suivit jusqu’à une petite colline qui surplombait le quartier. Ils grimpèrent jusqu’au sommet, et Gabriel la guida vers un vieux banc en bois, caché parmi les arbres. — J’ai découvert cet endroit peu après avoir emménagé ici, expliqua-t-il. C’est mon refuge secret. Je viens ici pour réfléchir, pour m'évader un peu. Élodie s’assit à côté de lui, observant la vue panoramique qui s’étendait devant eux. La ville s’étalait paisiblement, baignée par la lumière dorée du crépuscule. — C’est magnifique, murmura-t-elle. Merci de partager cet endroit avec moi. Gabriel se tourna vers elle, une lueur sérieuse dans les yeux. — Élodie, tu es devenue quelqu’un de très important pour moi. Je n’ai jamais ressenti ça auparavant. Élodie sentit son cœur s’emballer. Elle posa une main sur la joue de Gabriel, le regardant droit dans les yeux. — Gabriel, je ressens la même chose. Chaque moment passé avec toi me rend plus heureuse que je ne l’ai jamais été. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre et profond, scellant encore une fois leur engagement mutuel. Ils restèrent ainsi, enlacés, à regarder le soleil disparaître à l’horizon, laissant place à une nuit étoilée. Les jours suivants, Élodie et Gabriel continuèrent de découvrir de nouveaux aspects de leur relation. Ils partagèrent leurs passions, leurs peurs, leurs rêves. Chaque conversation, chaque moment passé ensemble renforçait leur amour et leur détermination à construire un futur commun. Un soir, alors qu’ils préparaient le dîner ensemble dans la cuisine de Gabriel, Élodie se tourna vers lui, une idée en tête. — Que dirais-tu de partir en voyage ensemble ? Juste toi et moi, quelque part loin d’ici, pour découvrir de nouveaux horizons ? Gabriel, enthousiasmé par la proposition, acquiesça. — Ce serait merveilleux. Où voudrais-tu aller ? Élodie réfléchit un instant, puis sourit. — Et si nous allions en Toscane ? J’ai toujours rêvé de visiter ses paysages magnifiques, ses vignobles, ses villages pittoresques. — La Toscane, répéta Gabriel, rêveur. Parfait. Nous allons préparer ce voyage. Ils passèrent les jours suivants à planifier chaque détail, excités par l’aventure qui les attendait. Leur départ approchait, et avec lui, la promesse de nouvelles découvertes et de moments inoubliables à partager. Le jour du départ, ils se retrouvèrent à l’aéroport, impatients et remplis d’anticipation. En montant dans l’avion, Élodie se tourna vers Gabriel et lui murmura : — À nous, et à tout ce que l’avenir nous réserve. Gabriel serra sa main et répondit avec un sourire : — À nous, Élodie. Leurs aventures ne faisaient que commencer, et l’amour qui les unissait promettait de les mener vers des horizons toujours plus beaux et intenses. RE: Crépuscule des Désirs - lelivredejeremie - 31-07-2024 La conv’ du lendemain, c’est ce qui fait la différence entre le coup d’un soir et le début d’une histoire, et là, ça leur fait un sujet trèèès important à couvrir pour un futur couple, avant même les hobbies, les préférences culinaires ou la destination des premières vacances à deux ^^ Après… perso, j’ai mis 3 mois à dire les mots, je me dis que c’est p-ê un peu tôt pour eux de déjà parler d’amour, non ? RE: Crépuscule des Désirs - Lysandre_Éros - 02-08-2024 Bonjour, effectivement c'est peut-être tôt, mais il faut savoir qu'avant d'avoir leur premier ébat, ils se parlaient un peu dans les couloirs de leur immeuble. Chapitre suivant : Le vol vers la Toscane fut empreint de douceur et de complicité, mais en même temps, une certaine tension naissait dans l’air. Élodie, plongée dans un livre de romance érotique qu’elle feuilletait discrètement, ne pouvait s’empêcher de s’interroger sur des désirs plus sombres qu’elle n’avait jamais explorés. Gabriel, lui, observait Élodie avec une curiosité grandissante, ressentant que quelque chose en elle semblait se transformer. À leur arrivée en Toscane, ils furent éblouis par la beauté des paysages, les collines verdoyantes, les champs de vignes et les villages pittoresques. Leur villa, située au cœur d’un vignoble, offrait une vue imprenable et une intimité totale. C’était le lieu idéal pour des découvertes plus profondes, plus intimes. Un soir, après une journée d’exploration et de dégustation de vins locaux, ils s’installèrent sur la terrasse pour admirer le coucher de soleil. Élodie, le cœur battant, sentit que le moment était venu d’aborder le sujet qui l'obsédait depuis leur départ. — Gabriel, j’aimerais te parler de quelque chose, dit-elle, la voix légèrement tremblante. — Qu’y a-t-il, mon amour ? demanda Gabriel en prenant sa main. — Depuis quelque temps, je… je lis des choses, je découvre des aspects de moi-même que je ne connaissais pas. Des désirs plus sombres, plus intenses. Je veux les explorer avec toi. Gabriel, intrigué, fronça les sourcils mais resta attentif. — Qu’entends-tu par "désirs plus sombres" ? demanda-t-il doucement. — Je parle de BDSM, murmura-t-elle. Je ressens l’envie de découvrir cette facette de la sexualité, de jouer avec les limites, d’explorer le contrôle et la soumission. Avec toi. Un silence s’installa entre eux, seulement troublé par le chant des cigales et le doux souffle du vent. Gabriel, après un instant de réflexion, serra doucement la main d’Élodie. — Si c’est ce que tu désires, je suis prêt à explorer cela avec toi. Mais nous devons être honnêtes l’un envers l’autre, communiquer et respecter nos limites. Es-tu prête pour ça ? Élodie hocha la tête, les yeux brillants d’excitation et de gratitude. Le lendemain, ils commencèrent leur exploration. Gabriel, désireux de bien faire les choses, passa une partie de la journée à se renseigner sur les bases du BDSM, la sécurité, le consentement et les pratiques courantes. Élodie, de son côté, prépara la chambre de manière suggestive, avec des bougies, des draps en satin et quelques accessoires qu’elle avait discrètement emportés. Lorsque Gabriel entra dans la chambre, il découvrit Élodie vêtue d’une lingerie noire en dentelle, l’attendant avec une lueur de défi dans les yeux. Ils s’approchèrent l’un de l’autre, et Gabriel prit le contrôle, guidé par leurs désirs mutuels. — À partir de maintenant, c’est moi qui décide, dit-il d’une voix ferme mais douce. Es-tu prête à me laisser te guider ? — Oui, répondit-elle avec un sourire provocateur. Leurs jeux commencèrent doucement, Gabriel explorant chaque centimètre du corps d’Élodie, testant ses réactions, ses limites. Les premières fessées furent légères, suivies de caresses et de murmures rassurants. Élodie, enivrée par cette nouvelle dynamique, se laissait aller à une confiance totale. Les jours suivants, ils continuèrent d’explorer cette nouvelle facette de leur relation. Gabriel, prenant de plus en plus confiance en son rôle de Dominateur, découvrait une satisfaction profonde à guider Élodie, à la voir se perdre dans les plaisirs qu’il lui offrait. Élodie, quant à elle, savourait chaque instant, trouvant une liberté et une intensité qu’elle n’avait jamais connues. Un soir, alors que la lune brillait haut dans le ciel toscan, ils décidèrent de pousser les choses encore plus loin. Gabriel attacha doucement les poignets d’Élodie à la tête du lit avec des foulards de soie, murmurant des mots doux et rassurants à son oreille. Il sortit ensuite un bandeau et le plaça délicatement sur ses yeux. — Fais-moi confiance, murmura-t-il. — Toujours, répondit-elle dans un souffle. Gabriel utilisa divers objets, de la plume douce au fouet léger, alternant entre douleur et plaisir, créant un tourbillon de sensations qui faisaient gémir Élodie de plaisir. Chaque geste, chaque caresse était calculé pour la conduire au bord de l’extase, sans jamais franchir cette limite, la tenant suspendue dans un état de désir intense. Leurs nuits se firent de plus en plus passionnées, chaque nouvelle expérience renforçant leur lien. Ils découvrirent ensemble les nuances du BDSM, construisant une relation basée sur la confiance, le respect et une passion brûlante. La Toscane devint leur terrain de jeu, un lieu où ils purent se découvrir et se redécouvrir, explorer leurs désirs les plus profonds. Leur amour, déjà fort, s’intensifia, marqué par cette exploration commune de leurs désirs les plus sombres et les plus intimes. Leur voyage en Toscane prit fin, mais les souvenirs et les nouvelles dimensions de leur relation qu’ils avaient explorées restèrent gravés en eux. Ils rentrèrent chez eux, plus unis et plus amoureux que jamais, prêts à continuer cette aventure ensemble, à explorer chaque recoin de leur amour, à savourer chaque instant de cette dark romance qui avait commencé sous le ciel étoilé de la Toscane. RE: Crépuscule des Désirs - lelivredejeremie - 03-08-2024 Quel immeuble ? Ils sont voisins de pavillon et se saluent de chaque côté de la haie (chap 1)… Ô.o Mais Gabriel a raison, il faut des règles, dont honnêteté et respect des limites pour le plaisir de l’autre ! RE: Crépuscule des Désirs - Lysandre_Éros - 03-08-2024 Oui, effectivement, je me suis emmêlé les pinceaux avec un autre récit que j'écris en parallèle, mais ils se parlaient déjà avant de toute façon. |