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Les Bleuets - Louklouk - 05-08-2023

Une historiette que je dédie au Génie des alpages, car je la crois dans ses fantasmes...
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Les Bleuets
C'était le début de sa deuxième année aux Bleuets, et la dernière si tout allait bien. Car il attaquait sa terminale, et si ses parents avaient les moyens de lui offrir cette boîte chic, Matthieu n'avait pas l'intention d'y faire de vieux os...
Situé dans un superbe cadre champêtre, cet internat recevait huitante garçons de bonne famille... mais pas tous des flèches en matière scolaire. Comme ailleurs, on y trouvait de tout : la différence avec le reste du monde étant la fortune de leurs parents...
Bon élève, Matthieu n'avait aucun souci à se faire. Là,  il attendait un nouveau qui partagerait sa chambre. Il faisait très beau, ce début septembre, aussi était-il en boxer sur son lit à regarder son portable. On frappa et sans attendre sa réponse, on entra comme un coup de vent.

— Ho ! Y a d'jà du monde ! Salut ! Moi, c'est Geoffroy, et toi ?
— Matthieu... Bonjour.

Le mec, un grand baraqué, jeta son sac sur le lit libre et s'y laissa tomber aussi. Il jeta un regard circulaire.
— Bon, je craignais un vague réduit, mais ça m'a l'air pas trop mal, ici. Tu vas me mettre au parfum, n'est-ce pas ? C'est pas que je sois ravi, mais j'ai pas eu le choix... Fait chaud !

Et le mec de se déloquer pour se retrouver en mini-slip. Puis il se retourna pour ouvrir son grand sac... et Matthieu constata qu'en fait de mini-slip, le nommé Geoffroy portait un string... qui découvrait de magnifiques petites fesses carrées, musclées et joliment velues de châtain.

Et le mec de se conter avec volubilité : plus doué en gym et en blabla qu'à l'écrit, il s'était vu consigner céans avec obligation d'avoir son bac. Tout en lui répondant, Matthieu ne pouvait s'empêcher de mater sa superbe académie : grand, musclé de partout mais sec, il était parfaitement proportionné, et très gracieusement décoré de fines poilures un peu sombres... dont une large touffe qui fascina Matthieu.
À quoi s'ajoutait une jolie gueule de mauvais garçon supposé, cheveu court, sourire carnassier et regard bleu et ravageur... Un super beau mec, quoi !

Matthieu, lui, venait de passer deux mois dans le lit et les bras d'une jolie paysanne de son âge, dans la campagne de ses parents... sa première expérience sexuelle et amoureuse.

— Mais putain... Pas de meuf, ici ! Et avec mes vieux qui partent bosser à l'autre bout du monde, je suis coincé ici toute l'année : pas envie de me taper les vieilles tantines et les arrière-cousins ! Tu crois que... y a du troufignon à se faire, ici ?
— Ah ! fit Matthieu, surpris, ben... oui, je sais que ça se fait...
— J'aime le cul, et sans chatte, je vais virer cinglé, moi !
— Mais... tu pratiques les mecs ? osa Matthieu.
— Jamais fait, mais faute de meuf, on tronche des mecs, comme dit le proverbe !

Matthieu éclata de rire. Il était étonnant, ce mec, entre sa beauté, et ses excès de langage. Il plut tout de suite à Matthieu. Et plus encore quand il vira son string...
— Tu me plais bien, mec, et t'as pas l'air coincé. Je vire tout, car j'aime pas avoir la bite serrée...

Et quelle bite ! Bel objet au long prépuce dont Matthieu se demanda ce qu'il devait donner, au mieux de sa forme ! Quant à lui, il s'estimait aussi bien pourvu, s'il n'avait pas le physique d'athlète de son nouveau coloc.

— En fait... poursuivit le mec, j'aime bien montrer ma bite... Je crois que suis exhib, non ?
— Oui, c'est la définition exacte ! fit Matthieu, souriant. Mais ici, entre nous, pas de souci. Et tu la feras voir aussi à nos voisins, car il y a ici une salle de bains pour quatre. Tu pourras y montrer tranquillement ton « bleuet »... car dans l'argot maison, ça désigne le zizi.
— Ouaouh ! s'exclama Geoffroy en se prenant la bite, mon p'tit bleuet chéri !

Et de se décalotter sous l'œil effaré de Matthieu... qui crut voir le joli serpent de Geoffroy croître doucettement. Il avala sa salive et poursuivit :
— Et les « moniteurs », comme on appelle ici les pions, ont l'habitude de venir se doucher régulièrement avec tous les mecs de leur section...
— Oh putain ! Tu vas être content, mon p'tit bleuet chéri !

Là, plus de doute, Geoffroy se mettait carrément à bander. Il regarda Matthieu de traviole et feula :
— Tu permets ?
Il se laissa tomber sur son lit et entreprit de se branler. À cet incroyable spectacle, Matthieu se sentit durcir aussi... mais resta figé. L'autre le regarda et sourit :
— T'as pas envie ? Me dis pas que tu le fais jamais ? Hop !

Tétanisé, Matthieu vira quand même son boxer : il bandouillait déjà. et il s'entreprit, l'œil au loin. Mais il ouït :
— P'tain, t'es beau, tu sais ? Ton bleuet est quasiment aussi... pareil que le mien, non ? Y m'plaît bien, en tout cas !

Alors ces mecs continuèrent, l'œil rivé sur la bite de l'autre. Geoffroy se donnait manifestement en spectacle... ce qui n'était pas pour déplaire à son nouveau public.
— J'pourrais durer longtemps, mais j'ai envie d'aller voir ailleurs... On finit ?
Geoffroy, toujours le regard sur Matthieu, s'activa en respirant fort, et ne tarda pas à déborder, s'arrosant tout le torse ; Matthieu l'imita aussitôt.
— Super ! On va se doucher ? Ah ! Le cul, qu'c'est bon !

Ils ne l'avaient qu'à demi-molle quand dans le couloir ils tombèrent sur leur moniteur, qui sourit, les voyant enfoutrés :
— Eh ben ! Je vois que l'année s'annonce chaude !
— S'cusez, M'sieur... c'est le Réchauffement !
— Ah oui, je me disais bien, aussi...

Dans la double douche italienne, Geoffroy se déclara ravi d'être là.
— Je craignais le pire... Dis-donc, il est mignon, le mono... Tu le crois enculable ?
— Ha ! sursauta Matthieu, chais pas, il est nouveau...

Alors la porte s'ouvrit et deux mecs parurent :
— Salut Matthieu ! dit l'un, on est voisins, c't'année !
— Salut les mecs ! Lui c'est Geoffroy. Eux, Romain et Stéphane.
— Vous venez, voisins ? fit Geoffroy avec un geste.

Les autres sourirent et se joignirenr aux garçons. Vite, on les vit prendre de belles dimensions : ces garçons étaient grands, et grandement pourvus ; Geoffroy déclara :
— Joli ! Mais vous nous excuserez si on trinque pas avec vous... On sort d'en prendre ! Y a de la queue, ici !
— Un internat de garçons...
— J'voulais dire : de la belle queue !
— Merci ! firent les mecs en riant.

Rentré à la chambre, Matthieu expliqua :
— Ils étaient amis l'année dernière, mais on n'a jamais su vraiment... Là ils ont réussi à avoir la même piaule, alors...
— Donc deux trous qui manqueront à l'appel... de mon bleuet chéri ! Mais deux belles bites, oui.
— L'année commence seulement...

Matthieu mena Geoffroy dans toute la boîte, où l'on croisa les autres minets, élèves de la troisième à la terminale.
— Je me demande lesquels je vais niquer dans ce troupeau de p'tits mâles qui pensent qu'au cul... comme moi !
— Je pense, répondit Matthieu, que dès qu'on t'aura vu à la piscine traîner à poil dans les vestiaires, tu devrais plus te poser la question...
— Pourquoi tu dis ça ?
— T'es magnifique, Geoffroy, tu le sais bien, non ?
— Oh ! C'est gentil, ça... fit Geoffroy, l'air surpris. Oui ! Mais... y a pas que du pédé, là-dedans, quand même ?
— Tu dis toi-même que tout le monde pense au cul, non ?

Sans le vouloir, Matthieu venait de river son clou à un Geoffroy qui l'avait d'abord fortement impressionné. ce garçon resta sans voix un moment, avant d'aborder un autre sujet :
— T'es doué en quoi, toi ? Moi... en rien, sauf en gym... et en baise.
— Rien que pour ça, tu pourras en donner, des leçons ! Moi... je me débrouille en tout le reste, pourquoi ?
— Ben... si des fois t'avais des conseils...
— Ouais, bien sûr. Tu m'en donneras aussi, hein ?

Geoffroy envoya alors à Matthieu un regard et un sourire qui firent frissonner ce garçon. Qui se demanda quel serait l'avenir de cette drôle de relation, obligée, et qui semblait démarrer sur les chapeaux de roues...
Deux jours pour que tout le monde arrive, et le troisième pour mettre le règlement dans toutes les têtes... Puis l'année commençait. Il se trouva que les options choisies par Geoffroy et Matthieu étaient toutes les mêmes, aussi ne se quittèrent-ils plus d'une semelle.
Et Matthieu apprit le naturisme en chambre, comme il fut atteint par la branlomanie de son coloc. Geoffroy ne ratait pas une occasion de se tripoter, et Matthieu fut vite saisi des mêmes envies... Il ne fallut pas une semaine pour que Geoffroy déclarât, triomphant :
— J'ai fait une touche, à la piscine, comme t'avais dit ! Un redoublant de troisième qui m'a l'air d'un vicieux hors normes ! Mais... j'aurais besoin de la chambre, ce soir...

Matthieu resta donc avec Stéphane et Romain, qui le menèrent à leur carrée, tant que Geoffroy n'en avait pas fini.
— Ça te choque pas si on se déloque, voisin ? On a l'habitude d'être à poil, tous les deux... Toi aussi, s'tu veux...
Matthieu dit en faire autant avec Geoffroy, et il se désapa.
— Mais... demanda le brun Romain, il est pas hétéro, lui ?
— Si, mais... il a besoin de ça, et... normalement c'est la première fois qu'il se fait un mec.
— Il t'a pas invité ? fit le blond Stéphane.
— Chais pas si j'aurais accepté... Chuis mieux avec vous !
— Tu sais que t'es avec deux féroces gays assoiffés de sexe ? Et qu'on pourrait te violer sauvagement ?
— Ah ! Ah ! Non, avec vous je sais qu'il n'y aurait ni viol, ni sauvagerie, les mecs... Vous êtes trop mignons !
— Raté ! dit Romain à Stéphane, va falloir trouver autre chose !
— Parce que vous aviez des projets criminels à mon endroit ?
— L'endroit... et l'arrière ! avoua Romain.
— Ah ! Ah ! Je vous vois mal agresser un mec, vous deux !
— Mais en douceur, tu verrais ça comment ? fit Stéphane en venant s'asseoir contre Matthieu, tandis que Romain venait se poser de l'autre côté.
— J'ai une bonne amie, vous savez ? hasarda Matthieu.
— Ah ! Ah ! D'ici qu'elle vienne nous égorger, on sera barrés en Suisse, avec toi qui nous supplieras de t'attendre !

On l'avait pris par la taille et par le cou, où l'on lui posait mille petits bisous : Matthieu poussa un énorme soupir et se laissa aller en arrière, fermant les yeux. Les fines caresses de ces Messieurs le firent d'abord frissonner, avant de lui occasionner une solide bandaison, dont on s'occupa promptement, et avec toute la délicatesse présupposée...
Bien sucé et brouté de partout, il finit même par accepter en sa bouche les langues de ces garçons...

— Pour la suite, fit Romain après qu'on eut bien giclé, t'adresse pas à ton hétéro : les pros sont là pour ça !
On passa à la douche... pour tomber sur Geoffroy embrassant son minet à pleine bouche. On resta fort urbain...

— P'tain ! Il était puceau, ce p'tit con ! On a un peu ramé, mais bon : c'est fait. Pas mécontent !... Et toi ? fit Geoffroy.
Matthieu conta son asile politique... et la proposition des mecs de le mener plus loin.
— Est-ce que... je pourrai regarder ? demanda Geoffroy.
— Oh ! J'ai pas encore accepté ! Mais... est-ce que... tu voudrais être... mon témoin ? demanda Matthieu, surpris.
— Ben... on se branle toujours ensemble depuis le début...

Matthieu resta songeur. Ainsi, Geoffroy ne pensait pas qu'à son seul plaisir... qui déclara le lendemain :
— Mon p'tit con, Victor, te trouve très beau... et serait d'accord pour que tu regardes, la prochaine fois.
— Ça me gênerait plutôt...
— Tu préfères te faire niquer par les deux autres... sans moi ?
— Oh... Je ferai ce que tu voudras, abdiqua Matthieu.

La séance suivante ne tarda pas, car Geoffroy et son Victor semblaient chauds... et Matthieu se branla vivement en matant les galipettes encore maladroites de ces débutants...

Cuisiné par les voisins quelques jours plus tard, Matthieu avoua tout. Romain n'y alla pas par quatre chemins :
— On adorerait te mettre au courant... par un bon petit branchement, mon pote ! Mais... si tu préfères te faire perforer par le sublime Geoffroy — si, si, sublime ! — alors on te propose notre coaching personnalisé de préparation bio, et c'est lui qui te le fera : qu'en dis-tu ?
Matthieu dut sourire, ému aussi par tant d'intérêt pour lui. Il promit de réfléchir. Et dès qu'il fut seul avec Geoffroy, il lui déballa tout.

— Ouais ! Super ! Oh, j'adorerais ! On pourrait même inviter le p'tit pour mater, non ? Il est loin de tout savoir...
Ça faisait un peu beaucoup, tout ça, pour un Matthieu qui était par nature un garçon pondéré... Et un peu rapide, aussi !
Mais l'ambiance de sexe qui régnait ici — et qui ne se limitait pas à ces chambrettes — finit par lui donner envie d'aller plus loin. et il céda aux instances de tous.

Ô ciel ! Si ses dignes parents eussent appris les turpitudes par lesquelles il avait décidé de renoncer à l'honneur de sa jeune vertu ! [alexandrin]
La cérémonie se fit chez les voisins, sous l'œil attentif d'un Geoffroy, qui tenait sous le bras le jeune Victor. De l'autre main, il lui tenait la quéquette, fin et mignon objet, tandis que le mecton avait en main son beau chibre.

Les garçons y allèrent d'abord de la langue faisant gémir au plus haut un Matthieu déjà abandonné. puis ils passèrent à la digitalisation (façon moderne de dire qu'ils le doigtèrent d'importance), avant que Geoffroy, bien chauffé par le jeune Victor, fût prié de s'insérer en ce jeune homme... sous les conseils des deux autres. Matthieu gémit hautement, mais dit apprécier, et la cavalcade dura bien vingt minutes. Sur les bancs du public, on se paluchait avec frénésie...

Quand Geoffroy ne put plus se retenir, il hurla et gicla. Matthieu gémit quand il se retira... et regarda les autres. On lui envoya le jeune Victor, qui inséra facilement son fin bleuet en Matthieu, et tint plus de cinq minutes... avant que s'annonçassent les vits beaucoup plus imposants de Romain et Stéphane... qui fourrèrent bien un quart d'heure chacun.
— Qui fait jouir le bel enculé ? demanda enfin Romain.
— Moi ! cria Geoffroy en se jetant sur la pine à Matthieu la bouche grand ouverte... pour pomper comme un damné !

La fin de l'histoire, et de l'année, fut un long rêve... dont le couronnement fut que Geoffroy eut son bac, grâce à Matthieu... Geoffroy pria tout le monde chez lui pour l'été, ses parents étant retenus en Australie, et il se déclara à Matthieu. Victor, lui, jura de niquer tout le monde aux Bleuets dès la rentrée !

3. VIII. 2023


NB : selon la charte, Victor a bien 16 ans, puisqu'il redouble sa troisième.



RE: Les Bleuets - Lange128 - 06-08-2023

Merci @Louklouk pour la dédicace, si elle me concerne vraiment, car je connais un autre génie des alpages actif sur ce site et qui habite un pays où l’on dit « huitante ».

J’imagine « Le Rosay » avec son campus d’hiver à Gstaad, montant de l’écolage environ 140’000 € par année, et qui prévoit également une éducation concernant les « habitudes à prendre en matière d’hygiène, moments qui précèdent le sommeil ». Je ne sais pas si le port d’un mini-slip est prévu par les codes de bonne conduite, mais elle correspond bien à mes fantasmes, tout comme les diverses activités des étudiants.



RE: Les Bleuets - lelivredejeremie - 06-08-2023

Exhib' *et* voyeur, sexopathe, mentor attentif, du moins dans les rares matières où il excelle, endurant pour les premières fois dans un orifice différent... Geoffroy a décidément toutes les qualités que j'imagine seulement pour être populaire dans un internat Wink


RE: Les Bleuets - bech - 06-08-2023

Bizarre le nom de Bleuets pour un établissement scolaire. Quant au terme "boîte", en France, il est employé dans le sens d'entreprise (lieu de travail professionnel) mais pas pour les endroits où on fait des études. Je ne sais pas s'il en est différemment en Suisse.

Appeler bleuet une partie du corps dont la couleur, lorsque le bout le plus coloré dépasse, s'approche plus du rose framboise n'est pas non plus très approprié.

Pour le Génie des alpages, pour ma part, je n'ai eu aucune difficulté à penser à Nostalgique, alors que sans la remarque de KLO7514, je l'aurai récemment oublié parmi les auteurs Suisses de ce forum.

Pour ce qui est de l'histoire, finalement Mathieu et Geoffroy auront vraiment été complémentaires : le bon élève qui a tout à apprendre sur la sexualité entre garçons et le "branleur" qui aura besoin d'aide dans les matières scolaires mais pourra former Mathieu sue ce qu'il sait faire (quoiqu'il y aura aussi Romain et Stéphane pour ça).


RE: Les Bleuets - Lange128 - 06-08-2023

(06-08-2023, 02:15 PM)bech a écrit : Quant au terme "boîte", en France, il est employé dans le sens d'entreprise (lieu de travail professionnel) mais pas pour les endroits où on fait des études. Je ne sais pas s'il en est différemment en Suisse.

J’ai consulté « Le Dico romand » qui ne donne pas de signification particulière au mot « boîte » en Suisse romande.

Le dictionnaire de l’Académie française mentionne par contre cette acception :

3.  Fig., fam. et péj. Entreprise pour laquelle on travaille. Il cherche à changer de boîte. Le patron de la boîte. Argot scolaire. Établissement d’enseignement. Une boîte privée. Ce cancre s’est fait renvoyer de plusieurs boîtes. Boîte à bachot,



RE: Les Bleuets - Louklouk - 06-08-2023

Hello !

Merci, Messieurs !

Pour répondre à Bech :

Je ne saurais te dire pourquoi le mot "bleuet" m'est venu dès le début de l'écriture... Peut-être parce que c'est un internat de garçon ?
Que l'argot local en découle s'ensuit donc.

Boîte : ça ne m'a pas du tout gêné d'utiliser ce mot que, je crois, tout le monde comprend, et donc l'extension du sens ne me paraît pas choquante. En réalité, j'avais en tête l'expression "boîte à bac".
De plus, il existe en français l'expression familière "boîte privée" pour désigner tout établissement de ce type.
D'ailleurs, l'établissement étant une entreprise commerciale (et pas donnée !), cela se justifie aussi...

Enfin, j'ignorais que Nostalgique fût suisse. N'allons pas susciter une guerre civile entre génies helvétiques !


RE: Les Bleuets - Philou0033 - 18-08-2023

Bonjour mon cher @Louklouk,

quel bon moment de lecture, quel beau récit bandant !
Comme a chaque fois on retrouve ta "patte" et expressions, j'adore.

Merci pour ce récit !
Je t'embrasse!
Philou