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Le Gène portugais - Louklouk - 11-02-2023 Le Gène portugais On était à la piscine, ce samedi matin là. Début juillet, et le bac en poche, ces minets lézardaient au soleil, car faisait beau comme tout, et Philibert fut surpris par son ami Marc à mater le petit frère d'iceluy, Florian. — Hep, tu materais pas mon p'tit frangin, toi, par hasard ? — Non, non, c'est que... — Il est poilu, quoi. — Ben... oui. Car le minet, dix-huit ans aux fraises, était remarquablement velu de noir, pour son âge. Les deux autres avaient un an de plus, et n'en portaient pas autant. — Ouais, c'est notre grand-père portugais qui lui a filé ça... et ça le fait chier, d'ailleurs... — Eh ben... moi,je trouve que ça lui donne un air viril qui lui va bien. — Sérieux ? Je lui dirai, ça lui fera plaisir ! — Non, non ! — Alors tu lui dis, toi ! — Euh... Oui. Sauf que Philibert ne se voyait pas faire des compliments à ce p'tit mec sur son abondante poilure ! Il le connaissait trop peu, songea-t-il, pour faire allusion à cet encombrant ornement... dût-il en dire du bien ! Le jeune homme était bien fait, et ses poils soulignaient l'harmonieux dessin de ses muscles. Il avait évidemment les cheveux noirs itou mais... aussi d'étonnants yeux verts, qui lui donnaient un charme étrange et inattendu. Mais il n'eut pas à faire cet effort, car à peine le garçon sorti de l'eau, cinq minutes plus tard, Marc lui donna un coup de coude : mais d'une petite moue Philibert fit signe que non. — Tu sais quoi, p'tit frère ? dit alors Marc, Philibert trouve que ça te va super bien, tes poils ! — Oh ! sursauta le garçon, en regardant un Philibert archigêné, c'est vrai ? — Ben...Euh, oui. — Mais pourquoi ? Moi qui veux virer tout ! — Ça te donne un côté masculin... qui ne cache pas que t'es très bien foutu, et met même tes muscles en valeur. — Oh, ça ! fit le minet, épaté. C'est... C'est super gentil ! — Tu vois qu'il est content, mon p'tit frère chéri ! fit Marc. Philibert et Florian se regardèrent pour se sourire, un peu gênés, peut-être. On retourna faire les fous dans l'eau ensuite, et l'on rentra vers une heure. Philibert était accueilli en juillet par les parents de Marc et Florian, dans une antique maison de famille, sise en une bourgade de campagne... heureusement doté d'une piscine ! laquelle était censée servir de terrain de chasse à ces jeunes gens. Qu'on ne dira toutefois pas plus hardis que ça ! Déjeuner donc, et petite sieste, durant laquelle Philibert, qui partageait la même chambre que Marc, entendit de la musique chez Florian : il y alla frapper. L'autre entrouvrit et le voyant le fit entrer : il était nu. — Oh ! Je te dérange ! — Non ! T'es le seul à apprécier mes poils, alors tu peux bien voir l'intégrale ! fit le garçon en souriant avec naturel. Philibert, gêné, dut admirer la large touffe du garçon, qui s'étalait sur les côtés avant de rejoindre ses jambes... — Tu m'en dis quoi ? — Ben... pareil, ça fait... mec ! Mais je comprends que ça puisse effrayer, ici ou là... les p'tites filles sages ! — Et même les salopes, j'peux te l'dire ! déclara froidement le minet, à la stupéfaction de Philibert. Et ton intégrale, à toi, elle est comment ? Coincé, Philibert descendit son bermuda... et Florian lui ôta le haut. — Ouaouh ! T'es super joli, toi, en intégrale ! Philibert ne possédait, à ce moment de sa vie, que quelques poils entre et autour des tétons, puis une fine ligne descendait de son nombril pour rejoindre une jolie broussaille, le tout étant châtain. Sans prévenir, Florian tendit la main vers sa touffe et y mêla ses doigts. — Super doux ! Ils sont plus fins que les miens ! Touche ! Et de prendre la main de Philibert pour se la poser sur sa belle forêt. Les garçons se regardèrent alors de près, et Florian sourit, murmurant : — C'est drôle et sympa qu'on puisse comparer ses poils, alors que les nanas sont tout de suite dégoûtées !... J'adore les tiens. Alors Florian passa les doigts sur les tétons de Philibert, qui eut un sursaut. — Oh ! T'aimes pas ? — Si mais... c'est super sensible, là ! — Oh ! Moi aussi, ça me fait ça ! Viens ! Et de prendre les deux mains de Philibert pour se les poser sur les tétons... à travers les poils. Il soupira grandement. Les garçons laissèrent alors filer les secondes, puis les minutes à se triturer les tétons... en croisant le regard par-ci, par-là... Vite, Philibert vit que Florian se mettait à bander... au point que ce joli vit vint à toucher le sien... qui réagit de même sorte. On ne disait rien, et l'on continuait à se tripoter délicatement... Florian se pencha enfin vers l'oreille de Philibert, où il souffla... avant de lui mettre un bisou dans le cou... tandis qu'il frottait sa bite contre celle de Philibert : — J'aime bien, Philibert. Toi ? — Oui, c'est... murmura Philibert, incapable d'aller plus loin, sur ce coup-là. Et ce n'étaient pas les lents frottements de la pine à Florian contre la sienne qui allaient le faire parler autrement ! Au reste, Florian continuait à lui faire des bisous dans le cou, sur la joue, l'épaule... Philibert était à la fois tétanisé et excité, pensez ! Il n'osait bouger, ni lâcher les beau tétons du minet... Mais que diable était-il allé faire dans cette galère ? – T'aimerais que je te suce ? murmura enfin Florian. – Oh !... Je... Si tu veux... Florian le mena à son lit, où étendu sur le dos, il ferma les yeux, tandis que le minet se mettait à l'ouvrage... et bien, encore. Qui fit durer les choses au-delà du raisonnable. Quand Philibert se mettait à geindre un peu plus fort, il lui serrait brusquement le gland pour le calmer, et se mettait à lui lécher les parties sacrées... et même, in fine, il se mit à lui brouter la rondelle, sensation inconnue du pauvret ! Et ça, il apprécia, le gars Philibert ! Là, il geignit tout haut... envoyant ainsi un bon signal à son praticien ! Qui y alla de plus belle, menant Philibert à des sommets inconnus de sa jeune lubricité. Dès lors, il alterna : la bite, les burettes et le petit trou. Ça pouvait durer longtemps... Et de fait, ça dura. M'enfin, on entendit une porte s'ouvrir, et l'on en déduisit que Marc venait de finir sa sieste. Florian pompa alors Philibert comme un diable, qui lui gicla dans le gosier, des quantités jamais imaginées par lui, même en rêve ! Ce fort lot fut entièrement avalé par Florian. On eut juste le temps de remettre sa culotte avant que Marc frappât... qui sourit en voyant les minets. – Alors, ça papote ? On s'abstint de lui rétorquer que céans, on ne papotait pas la bouche pleine... mais on n'en pensa pas moins. Marc proposa la piscine, derechef, ce que Florian déclina. – T'as causé avec mon p'tit frère, alors ? demanda Marc sur le chemin de la piscine. – Ouais, il est vraiment sympa. – Tu lui as redit que tu trouvais ses poils bien ? – Non, mais je lui ai fait remarquer qu'il n'y avait pas que ça sur un mec, et dans un mec, et qu'une nana qui s'y arrêterait ne s'intéresserait pas au reste. – Ouh ! Tu fais psy, en plus ? – Idiot ! C'est vraiment un gentil garçon, et plutôt mûr pour son âge... si je peux avoir un avis ! – Donc vous avez pas parlé de poils ? – Si bien sûr ! Je lui ai conseillé de les garder autant que possible, ou d'en ôter ici ou là... pour attirer les regards... De toute façon, ça repousse ! Mes conseils l'ont fait rigoler. – Je suis content que tu copines avec lui, tu sais ? Car je me suis dit qu'à cause de ses poils, il restait en retrait et ne voyait pas grand monde... surtout ici ! – Tu voudrais que je l'incite à sortir... avec nous ? – Ouais, ce serait vraiment sympa de ta part. L’après-midi réserva une surprise à ces jeunes gens, car deux minettes se posèrent près d'eux, et ne marchandèrent pas leurs œillades... Bien évidemment, comme ces Messieurs n'avaient rien contre, ils acceptèrent d'aller boire un coup dans un café du village, après qu'on se fut bien frôlé dans les eaux côtières... Delphine et Malena n'avaient semble-t-il pas froid aux yeux... contrairement à leur cousin, qui était à quelques mètres, et qui affectait de lire, alors qu'on s'esclaffait de part et d'autre. Néanmoins, ce garçon eut un fort joli sourire à l'adresse des garçons qui passèrent devant lui avec les fillettes, et on laissa le cousin, grand brun sérieux, à ses chères études. Ces trois-là logeaient au camping, et l'on ne tarda pas à s'y retrouver les quatre fers en l'air, et les yeux à la retourne ! En oubliant le café... Ce n'était pas la première fois que ces deux amis se retrouvaient à niquer de concert, aussi n'en fit-on pas de commentaire... sauf sur ces demoiselles, qu'on avait échangées au cours du match... un double-mixte ! Philibert, cependant, pensait et repensait aux divins plaisirs que lui avait offerts Florian... Il l'alla voir dès qu'on fut rentré. Le garçon était en maillot de bain, température obligeant, et le reçut avec un immense sourire. – Pourquoi tu veux pas venir avec nous à la piscine l'après-midi ? Y a des nanas tu sais ? – Raconte, alors ! Et Philibert de narrer l'intégralité de ses exploits sexuels de la fin de l'après-midi. Dont Florian sourit gentiment. Qui avoua : – Je serais curieux de voir mon frère baiser... soit dit entre nous ! – Un beau garçon bien monté qui aime ça tiens ! — Et toi ? — Oui, j'aime ça aussi... pas toi ? — Tu as sans doute compris que... — Euh... oui, fit Philibert en rougissant... car cet idiot-là n'y avait même pas pensé ! — Et puis... si je vais à la piscine le matin, c'est qu'il y a moins de monde, et que... — On regarde moins tes poils, continua doucement Philibert en souriant. Si du moins on peut les voir le matin ! — Toi, tu peux les voir tout le temps, tu le sais, fit gravement le minet. Et... grâce à ce que tu m'as dit, je vais pas les raser, conclut le garçon en prenant la main de Philibert pour se la poser sur la poitrine. La suite fut tendre : Philibert l'avait déjà acceptée. Il jouit derechef dans la bouche du garçon... avant qu'iceluy vint lui prendre la bouche, qu'il ne lui refusa pas. Le lendemain matin on eut une surprise : le cousin des fillettes baisées la veille était à la piscine, qui lisait en faisant celui qui ne voyait rien alentour. Mais Marc ne l'entendit pas de cette oreille, qui s'arrêta devant lui en arrivant, pour le saluer gracieusement, comme le firent les deux autres. Et le garçon sourit... très joliment. D'ailleurs, dès que les garçons sautèrent à l'eau, il se joignit à eux. Et l'on commença à faire connaissance... si l'on peut le faire dans le grand bain ! Mais vite il fut évident aux deux autres que ce garçon n'avait d'yeux que pour Marc... qui souffla à Philibert : — Je fais quoi, moi ? — Tu te laisses sucer, après t'avises ! Il a l'air gentil... Et, lâchement, sans doute, Philibert se retourna vers un Florian qui le prit par le cou, sous l’œil effaré de Marc... Marc qui accepta dès lors les petites façons du grand brun, lequel fut d'ailleurs de la plus exquise délicatesse. Donc on sortit de l'eau. Et il fut décidé d'aller se rincer le gosier au camping, lequel disposait d'une supérette, et même de s'y rincer entièrement : on zappa les douches de la piscine. Et l'on fila directement aux sanitaires du camping... où deux cabines étaient libres : Florian attira d'autorité Philibert dans l'une... et Marc dut bien suivre le nommé Nicolas... tandis que les deux autres riaient aux éclats à côté ! Puis on passa à la supérette avant de s'envoyer de bonnes et belges bières... puis de faire la dînette, les parents ayant été prévenus... tandis qu'on avait croisé les deux filles partant à la piscine : on ne s'inquiéta pas trop pour leur avenir proche ! On picola devant la grande tente, et bientôt, au vu de leurs entreprises, Nicolas proposa à Florian et Philibert d'aller dans sa chambre... Invitation retenue... tandis que Nicolas se posait contre Marc... pour lui souffler : — On n'a pas eu le temps, dans la douche... tu veux, là ? — Hein ? Mais... où ? — Avec les autres... ils font pareil ! Tétanisé, Marc suivit : de fait, les deux autres s'entrepompaient goulûment et ne les virent même pas entrer. Où Marc dut subir les derniers outrages, comme on disait dans les livres sérieux... Outrages qui le firent gémir assez haut pour que les autres relevassent le museau, pour en pouffer discrètement. Mais ces mectons avaient d'autres projets, et lorsqu'il ouvrit enfin un œil, Marc put voir son pote bourrer son p'tit frère comme un chef ! Ce qu'apercevant, Nicolas le lui demanda aussi... La toile de tente faillit fondre ! Rentrés, les garçons sirotaient dehors comme si de rien n'avait été, quand les filles appelèrent : elles avaient affaire en ville... On pouffa, et Marc et Philibert furent enfin seuls dans leur chambre... — Alors, les poils de mon frère ? — Je crois que... je suis totalement accro. T'es... choqué ? — Étonné, ça oui ! Pour Florian, je me doutais depuis un moment... mais toi, non ! Et dire que c'est moi qui... — Regrette rien : c'est génial ! On épilogua encore un peu... puis Florian vint quérir Philibert, nu et souriant... Dès le lendemain, il fut prévu que Marc s'occuperait de ces demoiselles un jours sur deux... l'autre étant consacré aux « activités d'éveil » avec Nicolas. Autant vous dire qu'on ne vit pas souvent tel mois de juillet dans la commune ! Et puis... il y eut un soir où... alors que les garçons étaient tous les quatre... le programme dérapa un peu, et où Marc se retrouva avec la pine de son pote dans la bouche... Il s'en accommoda... puisque Philibert lui donnait la réplique. Par chance, Nicolas vivait près de chez Marc... et il put continuer à entretenir ce viril jeune homme... Tandis qu'entre Philibert et Florian, ça roula tout seul. Et ils servent même d'exemple aux autres... Bref, tout n'est pas encore dit, mais ça se profile... et Florian est si fier de ses poils, maintenant ! « Mon gène portugais », comme il dit en souriant... 20. I. 2023 RE: Le Gène portugais - lelivredejeremie - 12-02-2023 Cruel Louklouk, tu entretiens tjs aussi efficacement le regret que plus d'hétéros ne soient pas un peu plus curieux, après tout, une bouche est une bouche :o (Et même 'any hole is a goal' comme m'a un jour dit un Ecossais légèrement bourré) ¬‿¬ Par contre, on sous-estime trop souvent l'effet catalytique d'un compliment prétendument innocent... RE: Le Gène portugais - Philou0033 - 13-02-2023 Bonjour mon cher Louklouk, un récit très agréable qui nous fait vivre l'évolution entre deux garçons depuis un compliment qui change tout! J'ai passé un excellent moment de lecture, merci! Je t'embrasse! Philou RE: Le Gène portugais - Lange128 - 13-02-2023 Où y a d'la gêne, y a pas d’plaisir ; où y a du gène, y a des plaisirs ! RE: Le Gène portugais - Louklouk - 03-03-2023 Merci Messieurs ! Et notre Helvète préféré a parfaitement résumé la philosophie de cette histoire ! J'ai d'ailleurs raté le coche... car j'aurais dû la faire moi-même, celle-là ! |