Récits érotiques - Slygame
JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable

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Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 09-11-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Quand on fait la fête il peut y avoir des problèmes pendant la nuit, cela rappelle quelques souvenirs humides à David et Phil. Le matin tout est rentré dans l’ordre et tous les sexes sont à l’étroit dans les slips, heureusement ces jeunes gens savent comment faire pour jouer avec et ils ne s’en privent pas, pour le plus grand plaisir de tes lecteurs.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 09-11-2020

(09-11-2020, 08:49 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Quand on fait la fête il peut y avoir des problèmes pendant la nuit, cela rappelle quelques souvenirs humides à David et Phil. Le matin tout est rentré dans l’ordre et tous les sexes sont à l’étroit dans les slips, heureusement ces jeunes gens savent comment faire pour jouer avec et ils ne s’en privent pas, pour le plus grand plaisir de tes lecteurs.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement quand on fait la fête il peut y avoir des soucis durant la nuit qui suit!
Tu fais bien de rappeler que Phil et David ont quelques souvenirs humides partagés!
Au matin, les jeunes ont la gaule! Ils savent comment faire pour faire baisser la pression, ils savent jouer avec leur appendice.
Très heureux que tu apprécies les quelques moments chauds du récit !

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!
Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 10-11-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Phil a été perturbé lors de la nuit par un cauchemar faisant suite à l'attaque homophobe de la veille. Il s'est fait pipi dessus. Béatrice lui dit que ce n'est pas grave et qu'elle fera une lessive au matin.
Au réveil, les jeunes se donnent du plaisir; pour les deux couples, deux par deux et pour David, c'est tout seul.
Après la fête, c'est le rangement. Les derniers invités sont partis.
Belle baignade à l'issue de la journée.
Merci Philou pour cette suite.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 10-11-2020

(10-11-2020, 02:54 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Phil a été perturbé lors de la nuit par un cauchemar faisant suite à l'attaque homophobe de la veille. Il s'est fait pipi dessus. Béatrice lui dit que ce n'est pas grave et qu'elle fera une lessive au matin.
Au réveil, les jeunes se donnent du plaisir; pour les deux couples, deux par deux et pour David, c'est tout seul.
Après la fête, c'est le rangement. Les derniers invités sont partis.
Belle baignade à l'issue de la journée.
Merci Philou pour cette suite.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Beau résumé de la suite.
Oui Phil a eu un cauchemar et s'est pissé dessus. Béatrice a bien compris ce qui s'est passé, elle fera la lessive.
Effectivement les jeunes se sont donnés du plaisir en couple et David lui c'est seul!

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-11-2020

Cette journée de remise en état s’était ponctuée par un grand plongeon dans la piscine pour ceux qui avaient participé au rangement. Finalement Julien et moi étions très contents de cette fête. Nous savions que nous devions encore recevoir nos résultats et notre diplôme de fin d’études secondaires supérieures. Julien restait à la maison pour loger, ainsi que mon cousin David, qui allait avoir la chambre d’ami. Les deux filles aussi allaient dormir ensemble dans la chambre de Delphine.

Mes parents s’étaient arrangés avec ceux de Julien pour reprendre les restes de viande et de légumes afin de faire un barbecue pour le souper. D’ailleurs ils avaient, eux aussi, été invités à ce repas. Nous avions tout installé sur la terrasse, étant toujours en tenue d’Eve et d’Adam, au sortir de la piscine. Nous nous étions seulement rhabillés pour passer à table.

Nos parents discutaient entre eux et nous, les jeunes, nous étions occupés à parler des prochaines vacances. Nous n’avions pas encore abordé ce thème, Julien et moi. Nous savions qu’il fallait nous inscrire pour les cours à l’auto-école et avant cela réussir l’examen du code de la route. Je pensais pouvoir faire cela dans les jours qui suivaient ! Je voulais sérieusement m’y mettre pour étudier ce code de la route que nous avions par ailleurs déjà survolé à l’école. Ce n’était pas le cas de Julien. J’avais envie de revoir ce code avec Juju et ainsi le réétudier avec lui. Puis nous ne savions même pas ce que nos parents respectifs avaient prévu pour les vacances ! Nous leur avions alors directement demandé.

Moi : « Maman, Papa, au fait vous aviez prévu quelque chose pour les vacances ?

Mam : Tu sais Phil, on se demandait, ton père et moi, si vous n’aviez pas envie de partir ensemble avec des amis quelques jours. Nous aurions pris en charge les frais bien entendu !

Moi : Je ne sais pas quoi vous dire. Puis il y a le permis de conduire, le code et ensuite la pratique !

Papa : Tu as bien raison de t’en préoccuper. Vous pouvez vous inscrire pour passer l’examen du code, après dix heures de théorie, c’est compris dans le forfait qui vous a été alloué, et ensuite il vous suffira de vous inscrire pour les cours de conduite.

Moi : Je vais m’en occuper demain, si tu es d’accord Papa.

Papa : Pas de soucis Phil, je suppose que Julien veut lui aussi suivre cette même formation avec toi. Je suppose que tu ne vois pas d’objection mon cher Pierre, à ce que je m’occupe avec eux de leurs inscriptions pour la théorie et l’examen qui en découle.

Pie : Pas de souci Alain, autant les inscrire ensemble. Je m’occuperai déjà de réserver deux places pour les cours pratiques en voiture.

Papa : Parfait Pierre, c’est une chose réglée.

Jul : Alors là, vous êtes au taquet. Merci à vous deux, c’est génial.

Moi : Oui c’est super génial. Merci !

Papa : Pour le reste, en fonction des dates des cours théoriques pour le code, vous trouverez bien une destination pour vos vacances. Ou alors vous viendrez avec nous, à moins que Pierre vous invite de son côté !

Pie : C’est à vous de voir. Je vous laisse réfléchir mais il faut, comme l’a dit Alain, que cela se goupille avec les cours du code.

Jul : Merci Papa. On va réfléchir à ça.

Moi : Très bonne idée les deux papas, on va y penser. »

Nos parents s’étaient mis à rire, ils étaient contents de voir que nous nous entendions si bien et que nous nous aimions. David nous regardait avec des étoiles dans les yeux. Il se rendait compte que nous étions faits pour nous aimer, il voyait notre connivence et notre façon d’appréhender la vie, ensemble mais en tenant compte de l’avis de l’être aimé, mais aussi de ceux qui nous ont élevés dans le respect de l’autre.

C’est alors que maman avait pris la parole :

Mam : « Phil et Julien, je pense que vous êtes assez matures pour savoir bien évaluer et bien définir chacun votre orientation pour les études supérieures, lesquelles seront très importantes pour votre avenir professionnel. Nous allons vous demander de vous concentrer sur vos études avant tout. Nous savons que vous vous aimez, c’est un fait, mais vous savez que la vie n’est pas un long fleuve tranquille et qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche !

Moi : Je le sais maman et je suis certain que Julien, lui aussi, en est pleinement conscient.

Jul : Bien entendu que je sais que notre avenir est là devant nous, et qu’il faut que nous soyons attentifs à avoir notre réussite comme objectif.

Béa : Je suis heureuse de voir que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’onde. Ce que nous voulons en tant que parents, c’est que soyez bien dans votre peau, que vous vous aimiez, mais aussi que vous preniez garde à bien réussir vos études, c’est aussi une chose très importante.

Jul : Mais bien sûr maman, nous ne sommes pas « tête en l’air » pour oublier que nous devons songer à notre avenir. Nous savons ce qu’il faut avoir un bon métier pour y parvenir, il faut étudier.

Pie : Tu as tout à fait raison Julien. Je vois aussi que Phil a assez de plomb dans la cervelle pour affronter, comme toi, des études supérieures. Au fait Julien, c’est toujours le droit que tu veux faire ?

Jul : Oui papa, je veux devenir avocat et sait-on jamais, peut-être magistrat !

Pie : C’est très bien. Et toi Phil ? Oh pardon Alain, je crois que c’est plutôt à toi qu’il revient de poser cette question !

Papa : Pas de souci Pierre, je sais que tu aimes Phil autant que nous. Alors Phil, tu veux faire ce que tu avais prévu, ou alors le plan « B ».

Moi : Non papa, pas le plan « B », mais bien le plan « A », je veux faire des études pour devenir chimiste !

Mam : Très bien Phil. Je sais que tu aimes les sciences, alors vas-y !

Moi : Merci. J’apprécie que nous soyons dans des cursus différents Julien et moi. Nous avons notre sensibilité et notre envie de poursuivre les études dans la voie que nous souhaitons, sans vouloir forcement tout faire ensemble. Nous en avions déjà discuté !

Béa : Je vous reconnais bien là. On peut lire en vous comme à livre ouvert. Je vous souhaite de rester comme ça, de pouvoir parler de tout, sans arrière-pensée. Je vous adore.

Mam : Je ne sais rien ajouter de plus que Béatrice, si ce n’est que je vous aime tous les deux. »

Je pouvais voir les deux papas se regarder et apprécier ce qu’ils venaient d’entendre. Nous étions deux ados, Julien et moi, mais des ados responsables. Nous savions que nos parents allaient nous soutenir pour nos études, pour nous faire grandir encore en sagesse et nous dire de faire attention à nous et à notre amour en train de grandir lui aussi, dans le respect l’un de l’autre. La vie s’offrait, à Julien et à moi, elle était là, devant nous, nous ouvrant les bras pour que nous puissions la cueillir et l’enlacer pour vivre confiants en l’avenir et l’embrasser à bras le corps !

Nous avons ensuite passé la soirée à la maison. Béatrice et Pierre étaient retournés chez eux. Maman et papa souriaient. Ils étaient contents de voir que nous étions heureux. Même David avait le sourire. Bon il se fait tard, je propose que nous allions nous coucher, a dit Papa.

Julien me pris par la main et nous sommes montés à l’étage, direction la salle de bain. Nous nous déshabillons en vue de prendre une bonne douche après cette journée de remise en ordre. Julien et moi sommes alors allés sous la douche lorsque j’entends frapper à la porte : je dis : « oui, tu peux entrer ! ». David entre donc et il nous demande :

Dav : « Je peux me joindre à vous ?

Moi : Pour moi c’est OK, et toi Juju ?

Jul : Mais bien sûr tu peux venir David.

Dav : Merci les gars. »

La douche était assez grande, elle pouvait accueillir trois personnes en se serrant, il y avait de toute façon deux pommeaux de douche. Nous nous lavons et parfois je sens les fesses de David qui se collent aux miennes. Julien a aussi remarqué que l’anatomie de David avait pris de la dureté, le bout de son gland sortant du prépuce.

Jul : « Ça va David, tu as l’air en forme !

Dav : Désolé, mais vous voir ensemble tous les deux ça me fait réagir.

Moi : Tu nous mattes ! Mon cousin aurait-il viré de bord ?

Dav : Oui c’est ça, à d’autres.

Jul : Tu ne dois pas avoir honte.

Dav : Je crois que je n’aurais pas dû venir en même temps que vous sous la douche.

Moi : Ne t’inquiète pas David, on te charrie !

Dav : Puis vous avez l’air en forme aussi vous deux !"

Effectivement Julien et moi commencions à avoir une bonne semi-gaule. Nous nous sommes mis à rire tous les trois. Finalement, nous nous lavons sans plus faire attention à nos zizis dressés. Une fois que la douche fut coupée, nous nous essuyons. J’ai mis les affaires sales de Julien avec les miennes dans le bac à linge, il arrivait que maman lave nos vêtements avec ceux de Julien. David prend les siens pour les mettre dans son sac a été déposé dans la chambre d’amis. Nous sommes sortis tous les trois, nus, de la salle de bain pour aller dans nos chambres, en croisant bien entendu les deux filles qui attendaient de pouvoir se doucher.

Une fois la porte de ma chambre fermée, j’ai déposé un bisou sur les lèvres de mon amour. Julien m’embrasse alors dans le cou, puis il continue sur mes pectoraux. Sa langue lèche ensuite mon nombril tout propre. Je bande déjà, j’ai vu que Julien aussi était dans le même état que moi. Je prends la main de mon ami pour l’emmener se coucher sur mon lit. J’embrasse alors une nouvelle fois à pleine bouche mon Julien d’amour. Nos langues dansent, et entrent dans une farandole endiablée, tout comme dans la piscine durant la journée. Nous avons les yeux fermés et nous profitons du moment présent, collés l’un à l’autre. J’ouvre les yeux pour tomber sur le regard de Julien qui lui aussi vient d’ouvrir les siens. Nous sommes alors tous les deux sur une autre planète, n’entendant que nos cœurs qui battent ! Mes mains partent à l’assaut du corps de Julien, elles le caressent, lui procurent des massages délicats et sensuels. Julien laisse lui aussi ses mains se poser sur moi, elles parcourent mon dos et mes flancs et m’offrent de tendres et sensibles sensations. Mon sexe est dur, il est tendu et il n’attend plus que Julien s’occupe de lui, elles s’approchent déjà de l’objet convoité. De mon côté je laisse ma main droite descendre vers la toison pubienne de mon amour, puis mon pouce se place sur le dessus de cette hampe dressée. Déjà le gland est tout humide et j’en profite pour commencer une lascive masturbation de ce bâton d’amour. Je sens que mon sexe est enserré entre les doigts de la main de mon Julien, qui lui aussi me donne de très belles sensations.

Avec mon autre main je parviens à attraper des préservatifs et du gel déjà posés sur la table de nuit : il faut dire que j’avais prévu le coup et j’avais donc anticipé en les plaçant sur ma table de nuit.

Julien a bien vu ce que je faisais, il sait donc où je veux en venir. Il me prend le gel des mains et se met à s’occuper de ma rondelle. Je le laisse faire, lui préparant le condom. Sans trop attendre Julien place le latex sur son pénis tendu et présente son appendice dressé devant mon orifice anal. Enfin, doucement, y allant petit à petit, son sexe entre dans mon fondement et il s’arrête lorsqu’il arrive à la garde. Ensuite Julien entame des va et vient et me donne des sensations jubilatoires. Je sens son sexe qui passe et repasse le long des parois de mon anus ainsi que son le souffle sur ma nuque. Des râles de bonheur se font alors entendre, sa respiration est de plus en plus saccadée et je me doute, après cinq bonnes minutes que mon amour va arriver à la jouissance. Son sexe a encore pris de l’ampleur dans mon organisme, et d’un coup, mon Julien laisse cinq jets de sperme tapisser le fond de la capote. Nous sommes tous les deux couverts de sueur. Julien se retire et se laisse rouler à côté de moi, fourbu d’avoir ainsi investi ma grotte d’amour. Nos lèvres se retrouvent et échangent de petits bisous.

Je laisse le temps à Julien pour qu’il puisse récupérer, il a retrouvé une respiration normale et non saccadée comme il y a deux minutes. Nous nous regardons les yeux dans les yeux et dans ceux-ci, je remarque tout l’amour que Julien me porte : il y a des étincelles de bonheur qui viennent frapper mon visage ! J’affiche alors un large sourire et je regarde mon amour avec tendresse. Nous sommes toujours sur ce nuage qui nous laisse flotter ainsi dans ma chambre, dans ma tanière d’amour.

Je prends à mon tour le gel et je commence à préparer l’anus de Julien. J’y vais doucement, délicatement. Je passe deux doigts sans problème, Julien est paré à me recevoir, à recevoir mon membre dressé. J’enfile le préservatif que j’enduis également de gel et enfin je présente mon glaive à l’entrée de l’antre accueillante qui n’attend que son arrivée. Une fois positionné, je pénètre doucement, tendrement, sensuellement l’orifice anal de mon partenaire. Julien émet déjà quelques soupirs, il se place de manière à me laisser toute la place pour que j’envahisse son corps déjà très chaud. Je suis arrivé au fond de cette cavité et je me mets à faire des va et vient tantôt lents et puis plus rapides. Je jauge le plaisir que je ressens mais aussi celui de mon Juju. Je lamine donc l’anus consciencieusement pour enfin sentir que ma sève va bientôt monter dans mon sexe, j’ai le ventre très chaud et je sais que je vais jouir dans les secondes qui arrivent. Julien s’en aperçoit lui aussi, il sait que je vais arriver à l’extase, que je vais éjaculer dans son anus. Puis, d’un coup, mes muscles se contractent et je libère cinq jets de ma semence au fond de la capote. Je suis exténué, je suis en sueur et celle-ci coule un peu sur le corps de Julien. Je me retire de la caverne d’amour de mon amant et je m’affale à côté de lui.

Il nous a fallu plus de cinq minutes pour reprendre notre respiration. Nous nous sommes alors embrassés doucement, laissant retomber l’excitation du moment que nous venions de vivre et ainsi revenir « sur terre », heureux, remplis de satisfaction et d’amour partagé.

Une fois notre baiser achevé, je me love dans les bras de Julien. Nous sommes collés l’un à l’autre, nos chaleurs passent de corps en corps. Finalement, calmement, nous nous endormons ainsi soudés.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 11-11-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Les deux garçons vont voir ce qu'ils vont faire durant les grandes vacances, c'est semble-t-il d'abord passer le permis de conduire.
Ils se donnent l'un à l'autre pour leur plus grand plaisir. On sent bien qu'ils s'aiment ces deux là!
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-11-2020

(11-11-2020, 04:17 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Les deux garçons vont voir ce qu'ils vont faire durant les grandes vacances, c'est semble-t-il d'abord passer le permis de conduire.
Ils se donnent l'un à l'autre pour leur plus grand plaisir. On sent bien qu'ils s'aiment ces deux là!
Je t'embrasse
Philippe

Merci [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Oui les deux ados font des prévisions pour l'avenir. Les vacances vont effectivement débuter et ils savent qu'ils auront le loisir de passer leur permis de conduire. Après ils verront ce qu'ils feront sachant que les parents sont prêts à leur laisser le choix.
Oui nos deux garçons s'aiment et ils se le prouvent!

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 12-11-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Phil et Julien ont beaucoup de projets : le permis de conduire, les vacances, les études. La chimie est une branche qui ne m’a jamais passionné.

C’est pratique d’avoir une douche assez grande pour accueillir des invités, cela permet de les voir bander. Un point commun avec mes récits, mêmes les hétéros (ou supposés tels) sont fiers de montrer leurs zizis en pleine forme.

Je t’embrasse.
Daniel



Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 12-11-2020

(12-11-2020, 07:37 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Phil et Julien ont beaucoup de projets : le permis de conduire, les vacances, les études. La chimie est une branche qui ne m’a jamais passionné.

C’est pratique d’avoir une douche assez grande pour accueillir des invités, cela permet de les voir bander. Un point commun avec mes récits, mêmes les hétéros (ou supposés tels) sont fiers de montrer leurs zizis en pleine forme.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui les deux ados ont un tas de projets et une idée pour leurs études. Phil la chimie et Julien le droit!
Comme tu le signales la douche est assez grande que pour accueillir les jeunes , même à trois. Peu importe qu'il soit hétéro ou gay, c'est l'occasion de faire des comparaisons, ce qui est courant pour des ados!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-11-2020

Chapitre 12.

Proclamations, vacances, …



C’est vers sept heures trente que nous sommes réveillés par maman. Elle frappait depuis deux minutes à la porte avant que je ne l’entende. Je dis alors :

Moi : « Oui.

Mam : C’est moi Phil, il est temps. Tout en ouvrant la porte et en pénétrant dans notre chambre d’amour.

Moi : Merci maman, je crois que Julien doit recevoir ses résultats début d’après-midi. Tu crois que je dois le laisser encore dormir un peu.

Mam : Fais comme tu le sens Phil. Tu sais que la remise des résultats est prévue à dix heures trente ce matin !

Moi : Oui, j’ai hâte de recevoir les résultats et mon diplôme.

Mam : Je m’en doute mon grand. Allez lève-toi.

Moi : Merci maman, je t’aime !

Mam : Oh Phil, moi aussi tu sais ! »

Maman s’est approchée de moi et elle me donne un baiser sur le front alors que je l’enlace. Je suis si heureux d’avoir une maman comme elle, toujours disponible, aimante et prête à se sacrifier pour ses enfants. Puis j’ai mon amour de Julien. Que je l’aime aussi ce mec, mon mec à moi, mon amour, ma source de bonheur. Une fois l’étreinte relâchée, je regarde maman dans les yeux. Je suppose qu’elle se rend compte que je viens de songer à Julien et à la vie qui s’ouvre devant nous. Je le pense, car une maman ressent beaucoup de choses au premier regard.

Je me lève en laissant Julien endormi dans mon lit. Je prends ma douche, m’habille et descends pour prendre le déjeuner avec maman et les deux filles qui sont déjà levées. C’est Delphine qui vient me prendre dans ses bras, elle sait que je vais aller chercher mes résultats et mon diplôme et que c’est une étape importante pour moi. Depuis que Delphine sait que je suis gay, elle est beaucoup plus attentive envers moi. Elle veille à ce que je sois bien dans ma peau. Nous avons une certaine empathie l’un pour l’autre. Elle m’avait dit un jour : « Phil tu es gay, mais être gay est plus difficile pour toi que pour moi être lesbienne ». Je viens de me rappeler cette phrase. Les garçons gays sont plus facilement sujets à moqueries et à des attaques parfois virulentes que les filles lesbiennes. Il suffit de se rappeler l’attitude de papa lorsqu’il m’avait surpris dans la salle de bain un matin !

La nervosité prend le dessus, je vais devoir partir pour me rendre à l’école. Maman me dit alors qu’elle va m’y conduire et qu’elle reste avec moi pour la remise des résultats. Puis je vois Julien qui est prêt, il vient m’embrasser. Il prend place à table et mange une tartine en vitesse. Il me regarde dans les yeux. Voilà, je comprends, le franc tombe enfin, Julien vient avec moi et maman pour cette remise des prix. Je vois alors les deux filles rire, j’ai les larmes aux yeux, elles seront, elles aussi, près de moi. Il ne manque que Papa, mais il est au travail.

Nous partons enfin vers le bahut, pour la toute dernière fois. Maman est au volant, je suis assis devant à côté d’elle, les trois autres sont assis sur la banquette arrière. Moins de dix minutes après nous sommes sur le parking. Je vois Amandine et Joseph au loin, je leur fais signe de m’attendre. Je prends Julien par la main, main que je lâche après dix secondes, il faut faire attention. Nous rejoignons mes deux amis. Nous nous faisons tous la bise. Maman et les filles sont là elles aussi. Nous entrons ensemble dans la grande salle. Je vois Lucas avec sa maman. Je les salue de ma place. Puis, enfin, le directeur et les professeurs titulaires se placent sur la scène. Ils s’assoient derrière les tables agencées. Deux micros sont disponibles et placés sur leurs supports. Le silence s’est instauré de lui-même. Il n’y a que les classes de rhétorique présentes dans la salle avec les familles.

Le directeur prend la parole et prononce son discours. Je ne l’entends plus, je suis tellement stressé de savoir si j’ai bien réussi mes examens et mon examen de maturité. Je sais que s’il y avait eu un problème mes parents auraient été avisés au préalable, par téléphone.
Ouf, il a fini ! Voici la proclamation des résultats. Le directeur commence par les sixièmes économiques, ensuite les sixièmes latin-science. Chaque élève cité se présente devant la scène et reçoit son bulletin, une copie de son diplôme et éventuellement un prix dans la matière où il a excellé.

Je commence à avoir des sueurs froides. Julien est assis à côté de moi et Amandine de l’autre côté. Julien me tient la main, elle est moite, je suis certain que ce n’est pas agréable pour mon ami. Puis le directeur prend la parole :

Dir : « Voici les résultats pour la classe de sixième scientifique. Cette classe a très bien travaillé, c’est une de mes meilleures classes depuis des années. Certains élèves se sont surpassés et je sais qu’il y avait une très belle émulation positive entre eux. »

Des applaudissements se font entendre. Ma main est de plus en plus moite. J’ai les jambes qui flageolent, je sais que j’ai réussi, mais tout ce décorum, toute cette assemblée. J’en ai le trac. Enfin le directeur reprend sa présentation :

Dir : « Premier de classe, avec 79,65 pourcents au total : Philippe S. »

Une salve d’applaudissements retentit instantanément : c’est le meilleur résultat de toutes les classes de rhétorique de cette année. Il m’a fallu dix secondes pour réaliser. Julien m’aide pour me lever. Maman pleure ainsi que les filles. Je me rends sur la scène pour recevoir mon bulletin et la copie de mon diplôme des mains du directeur. Tous les élèves de ma classe sont debout, ils applaudissent. Puis c’est ma titulaire de classe qui vient m’apporter un paquet contenant des livres, des prix d’excellence en science (chimie), mathématique et philosophie. Je rejoins ma place sous les hourras de l’assemblée. J’ai le visage en feu, tout rouge, il me pique. Julien à les larmes aux yeux. Il ne savait pas que je suis un bon élève, même un très bon élève. C’est une surprise pour lui, une excellente surprise.

Le directeur poursuit sa proclamation en appelant le second de la classe :

Dir : Deuxième de classe, avec 79,13 pourcents au total : Amandine. »

Une nouvelle salve d’applaudissement éclate alors. Mon amie, ma confidente, elle aussi a très bien travaillé. A peine un demi-pourcent nous sépare. Des prix lui sont aussi remis en science (physique), en anglais et en mathématique. De retour à côté de moi, Amandine vient m’enlacer. Elle est ravie de ma première place. Nous étions rivaux au niveau des résultats, mais amis très, très, proches dans la vie.

La proclamation se poursuit avec les autres élèves de ma classe. Finalement il n’y a qu’un seul ajournement. Ce sont des examens de repêchage qui sont proposés. Tous les élèves dans la salle sont heureux d’avoir fini leurs humanités supérieures.

Juste avant de quitter notre place, je me suis tourné vers Julien. Les yeux dans les yeux, main dans la main, je pose me lèvres sur les siennes et je l’embrasse. Les élèves qui sont près de nous nous applaudissent. Ils sont mes amis et ils savent que je suis gay. Puis certains d’entre eux sont au courant de ce qui s’est passé lors de notre fête d’anniversaire. Je prends Julien par la main et nous sortons de la salle. Les élèves de ma classe, qui sont sortis avant nous, m’attendent. Ils nous encerclent, Julien et moi. Chacun d’eux vient vers nous avec le sourire et il nous félicite. Depuis les années que nous nous connaissons, ce sont devenus des amis. Une fois toutes marques d’amitiés exprimées, certains nous ont dit qu’ils resteraient en rapport avec moi et Julien. Maman et les filles sont un peu sur le côté. Elles attendent de pouvoir rentrer à la maison. Je n’ai pas vu que le directeur et ma prof de science avaient discuté avec maman et les filles. Je ne l’ai appris qu’en fin de journée.

Nous sommes rentrés à la maison, en ayant d’abord déposé Julien chez lui. Maman m’a dit qu’elle s’était arrangée avec Béatrice pour que je retrouve Julien avant sa remise de diplôme. Vu l’heure, nous mangeons un bout. Je suis si excité que je n’arrive pas à avaler ma tartine. Je suis comme paralysé à l’idée que Julien ne soit pas reçu. Je suppose que c’est comme dans mon bahut, en cas de report ou d’échec les parents sont avertis. J’ai donc grand espoir de retrouver mon Juju diplômé, tout comme moi.

Béatrice a tout prévu, Pierre, le papa de Julien, venait me chercher avec Stéphanie et Delphine pour prendre Julien et Béatrice en charge à leur domicile. A peine garé devant l’entrée de la maison que je vois Julien et Béatrice se diriger vers la voiture. Quel étonnement pour Julien de me voir assis à l’arrière. Il ne s’attendait pas à me voir là. Julien m’embrasse et je vois ses yeux humides. Puis je lui dis :

Moi : « Oh Juju, tu ne crois pas que j’allais te laisser y aller seul quand même !

Jul : Merci Phil, c’est une surprise, mais alors là une bonne surprise.

Moi : Tu es venu pour moi, pour ma remise de diplôme, alors je ne pouvais pas faire moins pour toi, c’est pour cela que je suis ici, à tes côtés.

Jul : Merci, merci bande de cachotiers. (En s’adressant aux autres.)

Béa : Tu sais Julien, c’est parce qu’on t’aime mon grand, on veut être avec toi dans ce moment important.

Pie : Oui fils, ça compte beaucoup pour moi et la famille. Alors on y va, en route ! »

Nous nous sommes tous mis à rire. Julien a pris ma main dans la sienne, c’est lui qui avait la main moite maintenant. Nous ne parlons pas durant le trajet. Une fois que nous serons arrivés, je verrai ses copains de classe, ses profs. A ce moment une idée me traverse l’esprit et m’inquiète un tantinet. Dans ma classe, mes compagnons savaient que je suis gay, mais pour les copains de Julien, savent-ils qu’il est gay et avec moi ? Je me tourne alors vers Julien :

Moi : « Juju, désolé de te poser cette question, mais tes copains de classe, ils savent pour toi ?

Jul : Comment ça !

Moi : Oui Juju, savent-ils que tu es gay ?

Jul : Oui Phil, presque tous. N’aie pas peur. Ils sont très sympas tu sais.

Moi : Merci Juju, car je n’ai pas envie de te mettre mal à l’aise si je te prends la main ou même si je te fais un bisou.

Jul : Pas de soucis, mais attend que nous soyons uniquement ensemble avec ma classe, pas dans la salle, je pense que c’est mieux.

Moi : C’est ce que je voulais savoir. Merci mon amour. »

Je peux voir le regard de Pierre dans le rétroviseur. Il nous regarde Julien et moi. Il a tout entendu et il semble apprécier cette mise au point. Il se retourne vers Béatrice, elle semble sourire, il y a comme une certaine connivence entre eux. Les deux filles n’ont rien dit.

Arrivé à l’école de Julien nous entrons dans la salle de théâtre, c’est là que seront remis les diplômes. Julien s’installe avec ses compagnons de classe, il me place à sa droite. Les filles et les parents sont assis derrière nous. Il y a assez bien de bruit de conversation. Il a fallu attendre vingt bonnes minutes avant de voir arriver les premières personnes sur la scène.

Le silence s’est installé, comme par magie. Je sens comme une tension d’un coup. Pour moi, ça ne me fait rien, j’ai déjà mes résultats. C’est le directeur qui prend la parole. Il débite son allocution d’un ton calme. Puis enfin c’est le moment de la proclamation des résultats. C’est d’abord la classe de Julien.

Dir : « Premier, avec 75,20 pourcents, Grégory. (Applaudissements)

Dir : Seconde place, avec 73,89 pourcents, Sylvie. (Applaudissements)

Dir : Troisième place, avec 73,35 pourcents, Julien. (Applaudissements)

Julien s’est levé pour aller chercher son diplôme et les prix obtenus. Il est premier en français et en histoire. Les élèves des autres classes applaudissent aussi. Une fois à sa place, Julien n’écoute plus les autres résultats. Il sait qu’il a réussi et qu’il va pouvoir faire des études supérieures. Il est heureux, il y a des étoiles dans les yeux. Je n’ose pas l’embrasser, il faut que j’attende que nous soyons sortis du théâtre. Mais je suis moi aussi très heureux pour mon amour. Nous avons tous les deux très bien étudié et travaillé pour terminer nos études avec fruits et mentions.

Enfin, nous sortons et le prof de Julien invite sa classe à le suivre dans un coin du réfectoire. Un verre de l’amitié est prévu. C’est le prof qui a pris cette initiative. C’est un jeune prof, il a moins de trente ans. Julien demande si je peux me joindre à lui pour ce verre. Le prof lui dit au creux de l’oreille :

Pro : « Julien, c’est ton ami.

Jul : Oui, c’est Phil.

Pro : Il peut venir et ta famille aussi. Au fait, Julien, il est beau ton ami. Félicitations !

Jul : Oh, heu…. Merci !

Pro : Mais pour moi cela n’a aucune importance Julien. Tu aimes un garçon, hé bien soyez heureux.

Julien revient vers nous et nous invite à se joindre au groupe. Le prof discute avec les parents de Julien et d’autres élèves. Un copain de Julien, Grégory, le premier de classe, vient vers nous. Il félicite Julien et en se tournant vers moi :

Gré : « Salut, tu es Phil, content de te connaitre.

Moi : Merci, moi de même. Félicitations.

Gré : Julien m’a dit que tu as reçu tes résultats ce matin, félicitations.

Moi : Merci, de même pour toi.

Gré : Je te confie Julien, rends le heureux et je pense que c’est bien parti.

Jul : Arrête Gérg, il va rougir et moi aussi.

Gré : Il faut qu’on se recontacte avant la fin des vacances.

Jul : Sans faute.

Julien me dit que c’est son meilleur ami de classe et qu’on peut lui faire confiance. Julien me prend la main et il me regarde dans les yeux. Il avance son visage vers le mien. Il dépose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse. J’entends applaudir, je suis gêné. Puis Julien dit :

Jul : « Voilà, c’est Phil, c’est lui que j’aime ! »

On entend des bravos et des félicitations. Je suis étonné de voir des jeunes si ouverts. Nous finissons notre verre et Pierre nous demande de ne pas trop traîner pour rentrer à la maison. Lors de notre départ beaucoup d’élèves saluent Julien en lui souhaitant de bonnes vacances.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 13-11-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Épisode intéressant qui explique comment se déroulait la proclamation des résultats. Ce n’était pas le cas dans les écoles que j’ai suivies, les résultats étaient affichés quelques jours avant la remise des diplômes. Je n’ai pas eu de prix de français, il faut dire qu’à cette époque je n’écrivais pas encore de récits érotiques.

Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse.
Daniel.



Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 14-11-2020

(13-11-2020, 09:17 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Épisode intéressant qui explique comment se déroulait la proclamation des résultats. Ce n’était pas le cas dans les écoles que j’ai suivies, les résultats étaient affichés quelques jours avant la remise des diplômes. Je n’ai pas eu de prix de français, il faut dire qu’à cette époque je n’écrivais pas encore de récits érotiques.

Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse.
Daniel.

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Une proclamation des résultats pour les élèves de dernières années d'humanités était assez courante à mon époque. C'était l'occasion de mettre en valeur les élèves et de montrer aux plus jeunes la voie à suivre.
Dans d'autres établissements, c'était plus simple, il se limite à un affichage des listes des élèves reçus.
Peut-être pas de prix de français pour toi Daniel, pourtant tu l'aurais bien mérité. Je ne sais pas si tu l'aurais obtenus en rendant des récits érotiques à tes professeurs, quoi que !!!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com !

Très bon week-end!

Je t'embrasse !

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 15-11-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
les deux garçons ont très bien réussi leur année scolaire, la dernière, la plus importante, la rhéto.
Les condisciples de classe sont super, ils savent pour Phil et Julien, ils leurs font la fête. Très belle acceptation de l'homosexualité au sein d'une classe, ce qui n'arrive pas souvent.
Les dialogues sont aussi très sympa.
Il ne reste plus qu'à penser aux vacances.
Merci Philou pour cette suite très positive.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-11-2020

(15-11-2020, 12:26 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
les deux garçons ont très bien réussi leur année scolaire, la dernière, la plus importante, la rhéto.
Les condisciples de classe sont super, ils savent pour Phil et Julien, ils leurs font la fête. Très belle acceptation de l'homosexualité au sein d'une classe, ce qui n'arrive pas souvent.
Les dialogues sont aussi très sympa.
Il ne reste plus qu'à penser aux vacances.
Merci Philou pour cette suite très positive.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Très beau résumé de cette suite. Tu as raison, l'ouverture de l'esprit des deux classes est superbe. Les gars savent que Phil et Julien sont gays et ils l'ont accepté!
Il est évident que les deux grands ados vont pouvoir penser à leurs vacances. Ils doivent cependant penser à leur permis de conduire en débutant par l'examen du code de la route!

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com!

Bon dimanche!

Je t’embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 16-11-2020

Nous quittons l’école de Julien et nous montons dans la voiture de Pierre. Julien est assez euphorique, il a le sourire aux lèvres et les yeux qui pétillent. Les filles sont très contentes pour nous, elles savent que cela va nous mettre en confiance pour la suite de nos études, au niveau supérieur.

Sur le trajet de retour, je suis étonné de voir que nous ne prenons pas le chemin habituel. Je ne dis rien, mais je me pose quand même la question de savoir où nous allons. Nous sommes sur la chaussée de Waterloo en direction de Rhodes. Finalement Pierre arrête la voiture sur le parking de l’auberge du Prince D’Orange. Je vois que la voiture de mes parents y est aussi stationnée. C’est une surprise qui a été orchestrée par nos parents. Je suis ému. Mes yeux sont humides… je n’en reviens pas. Nous entrons dans l’établissement

A peine entré, je vois Maman et Papa qui nous font signe : ils sont debout près d’une grande table dressée et particulièrement bien fleurie. Je vais tout de suite vers Papa, car il a les bras ouverts, comme pour me dire de venir l’embrasser. Je l’enlace et je fonds en larmes. Il me félicite avec tant de belles paroles, je suis submergé par l’émotion. Qu’il est loin le temps à j’avais peur de lui, maintenant je sais qu’il m’aime plus que tout. Papa fait signe à Julien de venir aussi près de lui. Julien l’enlace aussi et des larmes coulent de ses beaux yeux toujours scintillants. Nos mamans s’embrassent et les filles restent là, debout, ne prononçant aucun mot, elles assistent à ce moment de grande émotion. Il est indéniable que papa nous aime tous le deux, Julien et moi. Pierre n’est pas loin, il observe cette effusion de joie. Il sourit, il est heureux de voir combien son fils est aimé par son amour mais aussi par le père de ce dernier.

Nous nous reprenons Julien et moi, nous allons vers maman pour l’embrasser. Pierre vient saluer papa et ils se font un câlin amical. Nous finissons tous pas éclater de rire. Les deux serveuses qui attendent, ont aussi le sourire aux lèvres, voyant les deux familles si heureuses. Nous prenons place à table. Julien est à ma gauche, à ma droite c’est Béatrice et à gauche de Julien, c’est maman. Les deux papas sont de l’autre côté de la table avec les deux filles. Je peux maintenant sentir tout l’amour que les deux mamans nous donnent. C’est comme si Julien et moi avions deux mamans et deux papas, ils ne font aucune différence entre nous. J’ai une nouvelle fois mes yeux qui se remplissent de larmes. Béatrice s’en rend compte et me demande :

Béa : « Phil, ça ne va pas !

Moi : Non tout va bien, au contraire, je suis si heureux d’avoir deux mamans et deux papas !

Béa : Vous entendez ça, merci Phil c’est le plus beau compliment que tu pouvais nous faire. (Béa a les larmes qui lui montent aux yeux)

Mam : Oh Phil, tu es si gentil, tu es si extraordinaire. Nous t’aimons tous, tout comme nous aimons Julien et les deux filles.

Jul : Je crois comprendre Phil, tu es si sensible et c’est ça que j’aime en toi. On ne peut que t’aimer !

Les deux papas ne disent rien, on sent qu’ils sont émus. Les deux filles écrasent une larme elles aussi. Puis Julien dépose ses lèvres sur les miennes durant dix secondes.

Moi, peu après : Merci, merci à vous tous, je vous aime tellement !

Pie : Il est temps de prendre cet apéritif et ainsi fêter vos réussites et vos diplômes. Nous sommes tous très contents de vous voir si heureux, n’est-ce pas Alain ?

Papa : Tu as raison Pierre, vous nous rendez très heureux les garçons et vous aussi les filles. »

Nous nous mettons à rire. Puis nous trinquons tous ensemble en portant au toast à la « vie ». Le repas se poursuit, nous avons droit à la totale : entrée, entremets, plat principal, fromages et dessert, le tout arrosé d’excellents vins. C’est le patron qui arrive ensuite avec le café et les pousse-cafés, pour clore notre dîner. Nous avons très bien mangé, ce repas restera un excellent souvenir pour Julien et moi. Nous étions si heureux. Nous étions maintenant en vacances et nous allions pouvoir faire un tas de chose ensemble et avec nos familles et nos amis.

La journée s’achève comme elle a commencé, dans la joie et la bonne humeur. Nous sommes tous les deux très heureux d’avoir des parents comme les-nôtres. Papa demande qui vient à la maison pour profiter de la piscine. Tous répondent par oui. Nous voilà donc en route vers la maison, les filles sont avec Béatrice et Pierre, nous les deux « diplômés » sommes avec maman et papa.

Une fois arrivés, hop, ni une ni deux, nous voilà tous nus pour plonger dans l’eau. Et enfin nous savourons, Julien et moi, le fait de pouvoir profiter de ce moment, en dehors du stress lié aux proclamations et à cette ambiance quelque peu électrique qu’est la fin des études secondaires.

Julien vient me rejoindre et se blottit dans mes bras. Son regard plonge dans le mien. Nous venons de rentrer dans notre bulle. Plus rien ne peut nous déranger, nous n’entendons même plus les parents ou les filles, nous voici seuls, dans cette piscine, à profiter de ce moment. Nos lèvres se rejoignent, nos bouches s’ouvrent et laissent passer les deux langues qui n’attendent qu’une chose, c’est de pouvoir se rencontrer, se toucher, se lécher et entrer dans une folle farandole. Nos yeux sont clos, nos mains tiennent d’une part la nuque de l’être aimé et l’autre est blottie dans le creux du dos. Ce moment comme hors du temps dure pour nous comme une éternité. Ce n’est qu’avec les éclaboussures d’eau que nous redescendons de notre petit nuage. Les filles s’en donnent à cœur joie pour nous éclabousser. Nous répondons à cette « attaque » inqualifiable, attaque qui a mis fin à notre baiser torride, en les aspergeant à notre tour ! Nous rions tous les quatre devant les yeux de nos parents. Ils sont satisfaits de leurs progénitures, ils sont heureux eux aussi de voir qu’ils ont de beaux enfants très responsables.

Une fois cette baignade terminée et que nous nous soyons séchés, nous avons pris un verre de limonade. Nous n’avons plus très faim, mais nous prenons un fruit en guise de collation. Nos papas nous signalent que dans deux jours, nous devons suivre les cours du code de la route à l’auto-école. Les choses sérieuses commencent pour nous, nous qui sommes devenus adultes du fait d’avoir eu nos dix-huit ans !

Le reste de la soirée nous a permis une nouvelle fois de confronter nos talents au cours des jeux de société vis-à-vis des deux filles et de nos quatre parents. Nous avons bien ri. Béatrice et Pierre sont ensuite partis avec les deux filles pour rentrer chez eux. Julien quant à lui reste loger avec moi.

Maman nous propose un petit en-cas, si nous avons faim, mais avec ce que nous avons ingurgité au restaurant à midi, nous n’avons plus faim du tout. Puis c’est papa qui nous propose de boire un verre, le denier de la journée pour une nouvelle fois fêter ce jour où nous avons reçu chacun notre diplôme. Papa a ouvert une bouteille de champagne, il verse le précieux nectar dans des flutes et il nous en présente une à chacun. Nous levons nos verres et nous portons un toast pour que l’avenir soit le plus beau possible pour nous, les deux garçons de la famille.

Papa me fait signe de venir près de lui. Il fait comme ce midi, lorsqu’il nous attendait au restaurant, il ouvre les bras. Je me réfugie contre lui en l’enlaçant. Puis il me dit dans le creux de l’oreille : « Je t’aime mon grand. Quand je pense que j’ai failli te perdre il n’y a pas si longtemps ! » J’ai senti une larme me mouiller le cou, c’est papa qui pleure, il pleure de m’avoir gardé comme son fils, comme son grand, comme il avait l’habitude de dire. Je ne sais pas quoi lui dire si ce n’est que : « Moi aussi je t’aime Papa. Je resterai ton fils quoi qu’il arrive ! » J’ai mes yeux qui sont embrumés. Les larmes sont là, elles vont s’échapper, mais je les retiens. Je reçois alors un bisou sur le front. En guise de réponse, je donne un bisou sur la joue gauche de Mon Papa, c’est « côté cœur » !

Papa appelle alors Julien, il l’enlace et il lui dit :

Papa : « Julien, mon second fils, soit heureux avec Phil, restez amoureux l’un de l’autre, le plus longtemps, jusqu’à la fin !

Jul : Merci, « Papa Alain », merci de nous aimer comme tu le fais !

Moi : Merci Papa, c’est un très beau cadeau que tu nous fais, c’est de nous aimer tels que nous sommes !

Papa : A votre santé mes fils, à votre santé mes deux grands !

Mam : Je vois que les hommes sont encore plus sensibles que les femmes ! »

Nous nous sommes tous mis à rire. Maman a l’art de nous faire retrouver la terre ferme ! Nous buvons donc ce champagne. Julien a les yeux qui pétillent tout comme ce liquide coloré que contient nos flûtes. Je suis certain que mes yeux aussi pétillent de joie. Papa et Maman s’embrassent, ce qui nous fait penser que nous aussi on peut se bécoter un moment. J’embrasse mon amour de Juju, je l’aime ce mec ! J’aime mes parents et Julien aussi les aime, tout comme j’aime les siens. Nous avons le privilège d’avoir quatre parents très, très aimants.

Nous sommes tous assez fatigués, nos parents ont l’intention d’aller dormir. Je regarde Julien et je lui demande :

Moi : « Dis Juju, tu veux aller dormir maintenant ou alors un peu plus tard ?

Jul : Si je suis avec toi, cela m’importe peu ! C’est comme tu le sens, soit on monte, soit on va encore faire un tour dans la piscine !

Moi : C’est une bonne idée Juju, je te suis, on va nager !

Jul : Merci Phil, je n’ai pas sommeil pour le moment et on en profite une demi- heure, il fait si bon ce soir.

Moi : Effectivement c’est le temps idéal pour en profiter. (Je donne un petit baiser sur les lèvres de mon amour de Julien.)

Moi : Maman, Papa, on vous laisse aller dormir, nous allons plonger un moment dans la piscine.

Maman : Très bien les garçons, mais faites attention et pas trop tard. Bonne nuit.

Jul : Bonne nuit Maman.

Moi : Bonne nuit, on sera sage ! »

Julien ôte ses habits et je fais de même tout en allant vers notre lieu de baignade. C’est donc in naturalibus que nous plongeons dans l’eau, qui est à une très bonne température. La piscine est éclairée sur les pourtours par des projecteurs, ce qui donne un aspect particulier à ce plan d’eau. Il commence à faire noir. Il doit être passé vingt-deux heures : nous n’avons pas vu le temps passer. Nous nous amusons sans faire trop de bruit, nous ne voulons en aucun cas embêter les parents ni les voisins non plus. Nous nous embrassons, nous nous caressons. Nous sommes simplement heureux ! Nous ne cessons de nous regarder dans les yeux.

Nos caresses sont de plus en plus prononcées, nous nous caressons sans vergogne en n’omettant pas nos attributs qui ont déjà pris du volume. Nos bouches se joignent et nos langues se mélangent amoureusement. Nos mains ne sont pas en reste, elles parcourent toujours les corps de l’être aimé avec tendresse et volupté. Je suis amoureux fou de Julien. Cet amour augmente de jour en jour. Nous allons pouvoir nous aimer dans le respect mutuel, l’un l’autre. Je retire mes lèvres de celles de Juju. Puis je lui susurre à l’oreille :

Moi : « Je t’aime Juju, je t’aime comme un fou.

Jul : Et moi alors Phil, je t’aime de plus en plus.

Moi : Je veux t’aimer, ce soir, maintenant !

Jul : Moi aussi, on va où ?

Moi : Ici ou dans ma chambre !

Jul : Je crois qu’il est préférable de monter dans ton antre, mon Philou !

Moi : Très bien, suis-moi, j’ai hâte de te prendre, de t’aimer, de te faire jouir ! »

Nous montons main dans la main, toujours nus, en direction de ma chambre, laissant nos vêtements qui jonchent le sol. Nous ne faisons pas de bruit et nous entrons. Nous nous couchons sur mon lit, je prends des préservatifs et du gel. Julien a les yeux qui pétillent, il sait que je vais l’aimer et qu’il va m’aimer. Je ne veux pas brusquer les choses, je veux en profiter et que Julien en profite aussi, doucement, sensuellement et amoureusement !

Mes lèvres reprennent possession de celles de Julien, nous reprenons là où nous avions interrompu notre baiser fougueux dans la piscine. Ce baiser actuel est plus réservé, plus doux et plus sensuel. Nous savourons la salive de notre partenaire, nous profitons de chaque seconde, du moment présent. Mes mains enlacent Julien dans le dos, l’une au-dessus des fesses et l’autre au milieu de ses omoplates. Julien calque lui aussi ses mouvements sur les miens.

Je me tourne alors vers mon amour et je lui demande s’il veut m’aimer, et que je suis prêt à le recevoir. Pas besoin de réponse, il me donne un baiser sur les lèvres et prend au passage un préservatif et le gel. Je me place de façon à lui laisser libre accès à mon fondement. Julien enduit mon anus avec du gel et il se charge de dilater l’entrée de ma grotte. Je sens bien que Julien fait tout pour qu’il puisse introduire son phallus sans me faire mal. Puis il place le préservatif sur son sexe en érection. Je sais que mon Julien va tout faire pour que je me sente bien et que je puisse profiter de son vit dressé. Je sens que son gland se présente à l’entrée de ma rondelle. Je me laisse faire et je sens son membre entrer doucement, sensuellement dans ma cavité anale. Julien est très doux, il en profite pour me faire sentir que doucement il prend possession de mon corps. Ses mains me caressent la poitrine, les pectoraux et mon cou. Nos lèvres se donnent de petits bisous répétés. Puis Julien y va, il entame des va et vient. Je ressens comme des décharges électriques quand il enfonce son sexe au plus profond de mon anatomie. Il alterne les mouvements lents et un peu plus rapides. Il ne veut pas brusquer les choses. Je gémis de bonheur, la respiration de Julien se fait plus haletante plus saccadée. J’ai moi aussi du mal à respirer, je suis en transpiration tout comme Juju. Nous savourons ce moment partagé, ce moment d’amour. C’est bien un quart d’heure plus tard que Julien jouit enfin, il laisse partir six jets de sperme au fond de l’étui en latex. Il râle de bonheur tout comme moi. Nous sommes dans notre univers, dans notre bulle, rien n’est venu nous déranger. C’est après trente seconde que Julien se retire de ma caverne d’amour. Il est exténué mais heureux.

Nous restons un bon moment couchés côte à côte, prenant le temps de savourer ce retour sur Terre. Nous avons besoin de faire descendre la température, il faut que nous puissions passer à la seconde étape, celle où je vais prendre possession du corps de mon amour. Il faut que nos sens reprennent un peu de légèreté et de répondant pour nous y remettre.

Je suis enfin prêt à aimer Juju. Je prends le gel et j’enduis sa corolle annale. Je fais passer un, puis deux et enfin trois doigts. Julien est très détendu ce qui facilite la dilatation de sa rondelle. J’enfile le condom sur mon appendice dressé. Julien est très bien placé, offrant sa lune à l’arrivée de ma « fusée ». Mon gland touche délicatement l’orifice de mon ami. Puis, subrepticement mon pénis entre doucement, sans forcer, dans la caverne de Julien. Pas un cri de sa part, il n’a pas mal et au contraire savoure cette intrusion tant désirée, tant espérée depuis quelques jours. C’est en communion que nous ressentons tout le plaisir qui commence à sa propager dans nos corps en demande. Je suis arrivé au plus profond de cette cavité accueillante. J’entame des mouvements de va et vient, au début assez lascifs et puis de plus en plus prononcés. Je me concentre pour que Julien ressente au maximum tout l’amour que je lui porte. Mes mouvements se font de plus en plus amples et appuyés. Julien semble apprécier ce passage de mon membre dressé le long de sa cavité anale. Je modère de temps à autre mon ardeur, je ne veux pas aller trop vite, il faut que nous ressentions le plus possible de belles sensations voluptueuses et empreintes de douceurs et d’amour partagé. C’est alors que julien me dit : « Plus vite Phil, plus vite, vas-y, déchaine-toi ! ». J’accélère le mouvement et je sens que Julien est emporté par la jouissance, il vient de laisser cinq jets de semences s’étaler sur son ventre et son abdomen. A la vue de ce spectacle, il n’a pas fallu dix secondes pour que moi aussi je jouisse dans le préservatif. J’ai laissé échapper six longs jets de sperme dans un râle de satisfaction, me rendant compte que je n’avais pas encore joui aussi fort. Nos corps sont tous les deux trempés de sueur. Je me retire doucement de ce fourreau d’amour pour me coucher, exténué à côté de Julien, qui lui aussi reprend ses esprits.

Dix bonnes minutes plus tard, nous nous embrassons avec fougue, ayant encore tout le ressenti de notre union charnelle en mémoire. Nos langues se mélangent une nouvelle fois avec passion. Nos corps entiers exultent de bonheur. Nous nous sommes aimés d’un amour fou, d’un amour si bien partagé. Nous nous aimons !

Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre, très heureux de nous être aimés.