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JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable

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Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 27-10-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Tout se met en place pour que la fête soit réussie.
Phil est contacté par Jacques. Il va revenir au pays pour un mois et il souhaite revoir Phil. Phil a bien fait d'en parler autant à ses parents qu'à Julien.
Je pense que ça se passera bien, Jacques sait que Phil aime Julien.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 27-10-2020

(27-10-2020, 11:44 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Tout se met en place pour que la fête soit réussie.
Phil est contacté par Jacques. Il va revenir au pays pour un mois et il souhaite revoir Phil. Phil a bien fait d'en parler autant à ses parents qu'à Julien.
Je pense que ça se passera bien, Jacques sait que Phil aime Julien.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Oui tout se met en place pour la fête.
Jacques va revenir pour un mois durant les vacances. Phil est un peu inquiet mais il sera épaulé par Julien et ses amis.
Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-10-2020

Je comptais appeler Amandine et ensuite Joseph lorsque papa arriva dans le hall où je me trouvais et il me demanda ce qu’il se passait vu les appels téléphoniques reçus ou donnés. Il voyait bien qu’il y avait quelque chose. Mon visage ne sait pas mentir et l’expression en disait long. Bref j’avais demandé à papa de me suivre pour retrouver maman qui était assise sur la terrasse. J’avais alors pris la parole pour leur dire :

Moi : « Bon voilà, je suis revenu de chez Julien pour attendre l’appel téléphonique de David concernant les deux tentes scoutes qu’il avait demandé à son chef. Lorsque le téléphone a sonné, ce n’était pas David mais Jacques au bout du fil.

Mam :  Jacques, ton copain qui est parti au Canada !

Moi :  Oui, c’est bien lui.

Papa :  Il voulait quoi.

Moi :  Il me prévenait qu’il serait de retour pour un mois dans une dizaine de jours !

Mam :  Qu’a-t-il dit d’autre ?

Moi :  Il voulait savoir s’il pouvait me revoir. Je lui ai bien dit que j’étais avec Julien et follement amoureux de mon Julien.

Papa :  Tu as bien fait Phil. Ensuite comment ça s’est terminé ?

Moi :  Je lui ai dit que j’étais d’accord à la condition que Julien soit avec moi. J’ai aussi dit que j’allais demander à Amandine et à Joseph s’ils voulaient eux aussi être présents avec nous.

Papa :  Très bonne initiative. Tu as bien fait.

Moi :  J’ai reçu par la suite l’appel de David, on peut avoir deux tentes et c’est le chef de David qui viendra les apporter demain fin de journée.

Mam :  Voilà une bonne nouvelle !

Moi :  Puis j’ai directement téléphoné à Julien pour l’avertir pour les tentes mais aussi pour l’appel téléphonique de Jacques. Je lui ai tout raconté. Puis je lui ai bien dit que c’est lui que j’aime et non Jacques.

Mam :  Tu as eu entièrement raison de tenir Julien au courant. C’est une très belle attitude et rien de tel que de se dire tout ce qui se passe à son ami, à son amoureux. Je te félicite Phil.

Moi :  Mais je me demande ce qui va se passer. J’aime Julien et j’ai peur que Jacques se mette en travers de notre relation. Julien m’a dit que nous devions d’abord songer à la fête et ensuite que nous verrions ce qu’il convient de faire !

Papa :  Julien a bien fait. Pensez à votre fête. Comme le dit Julien vous verrez ce que vous envisagerez de faire après.

Moi :  Merci Maman, merci Papa, voilà, vous savez tout.

Mam : Tu as bien fait de nous en parler. Nous serons toujours avec toi mon grand.

Moi :  Merci, je vous aime.

Papa :  Nous aussi mon fils.

Moi :  Je vais téléphoner à Amandine et à Joseph, je préfère le faire maintenant.

Papa :  Très bien Phil, après rejoint nous sur la terrasse.

Moi :  Merci Papa. »

J’avais rejoint le hall et j’avais téléphoné à mes deux amis. D’abord à Amandine, mon amie, ma confidente. Elle était étonnée de cet appel de Jacques. Elle m’a dit que j’avais bien fait de vouloir l’inclure avec Joseph dans la rencontre qui sera prévue avec Jacques. Amandine me demanda si elle pouvait venir donner un coup de main pour préparer la fête. J’avais de suite accepté. Nous devions nous retrouver le lendemain.

J’avais aussi contacté Joseph. Il était du même avis et il accepta directement d’être avec nous lorsque Jacques serait là. Joseph m’avait dit aussi qu’il avait une idée et qu’il m’en parlerait lors de la fête. Puis, je ne sais pas, mais il se proposa aussi de venir donner un coup de main pour la fête. Je l’avais aussi convié à se joindre à nous pour la préparation de la fête.

J’avais rejoint mes parents sur la terrasse. Papa me proposa de prendre l’apéro avec eux. Il me demanda d’apporter trois whisky-coca. Une fois que nous fûmes servis, papa m’avais dit que tout était en ordre pour le hall des sports, que tout avait été prévu. J’étais content car tout était maintenant en ordre pour que cette fête soit une réussite. J’étais déjà moins anxieux et j’avais relativisé la venue de Jacques. Je voulais être au mieux de ma forme tant physique que mentale. Nous avions souper à trois. C’était l’occasion de discuter avec mes parents et j’adorais ces moments passés avec eux. Nous pouvions parler de tout ou presque. Nous parlions ouvertement de sexualité, ce n’était pas un sujet tabou.

J’avais passé le début de la soirée à l’extérieur car il faisait très bon en cette fin du mois de juin. J’en avais profité pour plonger dans la piscine, nu comme d’habitude. Papa était venu me rejoindre. Nous nous étions amusés comme deux enfants. Nous nous coulions l’un l’autre en riant de bon cœur. Après cette baignade, j’étais allé me coucher après avoir souhaité une bonne nuit à mes parents.

J’avais ouvert un œil. Il faisait déjà bien clair ce matin. Un coup d’œil au réveil, il était sept heures vingt-trois. Nous étions arrivé à « J-1 ». J’étais allé prendre ma douche pour être en forme pour la journée. J’étais descendu à la cuisine où Maman était en train de boire une tasse de café tout en relisant sa liste des courses à faire pour la fête. Je savais que Papa avait déjà tout prévu et acheté pour ce qui est des boissons. J’avais embrassé Maman et en même temps je lui avais fait un énorme câlin. Cela faisait presque dix-huit ans qu’elle était aux petits soins pour moi. Bien entendu elle s’était occupée de ma sœur qui arrive sur ses vingt ans. Bref nous avions des parents en or.

Maman et moi discutions des préparatifs pour la fête. J’avais prévu avec Julien de commencer à monter les tonnelles, les tables et bancs, et tout ce qui pouvait être fait à la maison. Ensuite nous irions chez Julien pour poursuivre l’installation des tonnelles, des tables et des bancs, du barbecue à placer sous un auvent, ainsi que l’endroit réservé aux boissons en y installant les deux frigos nécessaires. Bref nous allions être fort occupés toute la journée.

A peine le petit déjeuner avalé, j’avais déjà sorti les fauteuils de jardin pour les placer auprès de la piscine. Ayant presque fini, je vis arriver Julien en compagnie de mon amie Amandine et de Joseph. Ils avaient dû arriver en même temps. Nous étions quatre et donc nous pouvions débuter le montage des tonnelles. Nous étions allés chercher les tonnelles au fond du garage. Une fois amenées où elles devaient être montées, nous avions vu arriver mon cousin David. J’étais heureux de le voir, c’était celui qui avait partagé tellement de jeux avec moi, des jeux les plus drôles aux plus fous ! J’avais donc fait les présentations. C’est donc à cinq que nous avions entrepris le montage. Ensuite nous avions placé des tables pliantes et quelques chaises. Puis enfin c’était le placement des frigos pour l’apéro.

Ayant donc terminé le montage, nous avions placé les boissons dans les frigos pour qu’elles soient bien fraîches pour le lendemain. Une fois toutes les tâches remplies, j’avais demandé à Maman de venir voir le travail et donner son avis. Elle était enchantée de l’allure qu’avait pris le jardin. Il ne nous restait plus qu’à aller chez Julien pour la suite des travaux de montage pour le repas du soir. C’est donc à pied que nous avions fait le trajet. Nous parlions entre nous sur le trajet, David racontait certaines de nos bêtises à Julien et à mes amis, ainsi ils pouvaient ainsi découvrir une partie de la face cachée de « Phil ».

Une fois arrivé chez Julien, nous avions pu compter sur la présence des deux filles. C’est donc à sept que nous avions entamé le montage des tonnelles, des tables pliantes, etc. Ensuite nous avions décoré l’ensemble pour donner un peu plus de couleur, pour y mettre une atmosphère pour la fête. Le barbecue avait été placé sous l’auvent qui avait lui-même été dressé par Julien, David et Joseph. J’étais heureux de voir qu’ils s’entendaient bien et qu’il y avait une très bonne ambiance.

Sur le coup de treize heures Béatrice nous avait demandé de rentrer, de nous laver les mains pour passer à table. Béatrice avait préparé du poulet rôti avec des croquettes de pommes de terre et de la compote de pommes et d’abricots. Le tout étant accompagné de limonades. Les conversations allaient bon train. Béatrice était très amusée par l’entrain de David. Il est vrai que mon cousin avait toujours un mot ou une idée pour amuser la galerie. Nous étions tous en train de rigoler. Puis il était temps de reprendre la préparation de la fête.

Nous installions les tables qui devaient servir pour le buffet et pour servir les viandes cuites au barbecue. Nous étions certains qu’il ferait beau, le temps était radieux voir même déjà un peu chaud pour cette fin du mois de juin. Il ne restait plus qu’à attendre la venue des tentes pour que les invités qui le souhaitent restent dormir.

Amandine et Joseph étaient repartis. Ils avaient été efficaces et leur aide avait été précieuse. Béatrice m’avait dit qu’elle trouvait que mes deux amis de classe étaient super et très avenant. Je lui avais confié que mon amie Amandine était non seulement une très bonne amie mais aussi ma confidente. Béatrice m’avait répondu qu’elle le savait car Julien lui avait donné des renseignements sur les invités.

C’est vers dix-sept heures trente que le chef scout de David était arrivé chez Julien avec les deux tentes. C’était un gars très sympa, il se prénommait Pierre-Alain, il devait avoir environ vingt-trois ans, grand, plus d’un mètre quatre-vingt, cheveux mi-longs châtains clairs avec une allure sportive. Nous l’avions aidé à retirer les tentes du coffre de sa voiture. Puis nous avions entamé le montage des tentes à l’endroit prévu dans le jardin, soit vers le fond de celui-ci, question d’être un peu à l’écart du reste des installations de la fête.

En une demi-heure les deux tentes étaient montées. Il ne restait plus qu’à offrir un verre à Pierre-Alain. Béatrice et Pierre s’étaient joints à nous. Pierre avait remercié Pierre-Alain pour le prêt des tentes. La reprise aurait lieu le lundi matin car elle devait être prêtes pour le grand camp dans cinq jours. Julien et moi étions très heureux de voir que tout allait comme sur des roulettes. Nous étions impatients d’être le lendemain. Il était l’heure pour David de rentrer chez ses grands-parents. En effet c’est là qu’il avait pris ses quartiers pour quelques jours en vue de passer la fête avec nous. J’avais une nouvelle fois remercié David pour son aide précieuse, les parents de Julien ayant fait la même chose.

Nous nous étions retrouvés à six, Béatrice, Pierre, les deux filles et nous deux, Julien et moi. Nous étions assis sur la terrasse au milieu des chaises et bancs de jardin qui avaient été ajoutés en dernière minute. Pierre était impressionné de voir comment nous nous y étions pris pour tout installer comme nous l’avions prévu sur papier. Il avait été mis au courant par Béatrice des personnes qui avaient apporté leur aide ainsi que du bel état d’esprit.

Pierre avait alors demandé à Stéphanie d’aller chercher ce qui était préparé sur la table de la cuisine. Stéphanie y était allée avec Delphine. Elles étaient revenues avec deux plateaux, l’un avec des bouteilles de bières et l’autre avec des zakouskis. Une fois le tout déposé sur la table de la terrasse, Pierre nous proposa de boire une trappiste, une Orval. J’étais très heureux de cette proposition que j’avais acceptée de bon cœur. J’avais déjà bu de l’Orval et j’adorais ce breuvage qui avait une amertume assez forte. J’avais aussi remarqué que sur l’autre plateau il y avait des cubes de fromage. Pierre avait bien vu que je lorgnais sur ceux-ci et il m’avait dit que c’était aussi du fromage d’Orval. Superbe idée pour cet apéro.

Une fois tout le monde servi, Pierre avait levé son verre et avait dit :

Pie : « Nous voici à l’aube d’une nouvelle tranche de votre vie à chacun de vous les garçons. Vous allez avoir dix-huit ans. Bel âge, à l’entrée de votre vie d’adulte et au sortir de l’adolescence. Je vous souhaite de réussir tous vos projets personnels et bien entendu votre vie commune dans l’amour et surtout dans le respect, tout en gardant votre part de rêve à chacun.

Jul :  Merci Papa. Pour ma part je lève mon verre à toi Maman et à toi Papa pour l’éducation que vous m’avez donnée, pour tout l’amour que vous partagez avec vos enfants et avec vos « beaux-enfants ». Merci d’avoir accueilli Phil et de nous avoir soutenu.

Béa :  Merci, Julien vous êtes nos deux garçons, nos deux fils. Je crois que Papa a encore quelque chose à dire.

Pie :  Oui, voilà Julien, tu vas avoir dix-huit ans, alors je te donne déjà ce petit cadeau un peu en avance.

Jul :  Merci à vous. 

Julien s’était levé et avait embrassé ses parents. Il avait ensuite défait l’emballage qui devait contenir un livre, au vu de sa forme. Une fois le papier défait, Juju avait découvert le livre du code de la route « Feu Vert ». Il était très ému, il ne s’y attendait pas. Il avait sauté au cou de Béatrice et ensuite à celui de Pierre. Il disait « merci, merci, merci »

Pie :  Voilà Julien, je te suggère de déjà commencer à lire et à étudier le code de la route. Je dois te dire aussi que nous te payons les cours d’auto-école dès que tu auras tes dix-huit ans.

Jul :  Je ne sais que dire, merci, merci pour ce très beau cadeau. Vous êtes incroyable. »

Julien était allé faire un gros câlin à ses parents. Il avait les larmes aux yeux tellement il était ému. C’était un très beau cadeau. Juju allait pouvoir conduire une voiture dans quelques mois. J’étais très heureux pour lui et je dirai même un peu jaloux, mais bon je ne savais pas ce que mes parents allaient m’offrir pour mon anniversaire, j’aurai peut-être une surprise comme celle de Juju. J’avais été embrasser mon Juju et le féliciter.

L’apéro s’achevait. Nous avions été conviés à passer à table. C’était un repas « pain – vin – fromage » que nous allions déguster. Nous étions heureux Julien et moi, nous avions chacun une famille formidable. Le repas était excellent. Le fromage avait été acheté chez un fromager réputé du quartier. Le vin était exquis, c’est Pierre qui l’avait choisi dans la cave à vin et le pain venait du boulanger implanté sur la place. Même les filles avaient trouvé leur bonheur point de vue fromage.

A l’issue du repas Juju m’avait demandé si je restais loger ou si je rentrai chez moi. Je lui avais répondu que cela m’était égal mais que s’il souhaitait que je reste et bien je resterais. Julien m’avait susurré à l’oreille « reste ». Pour toute réponse je lui avais donné un baiser sur les lèvres. J’avais téléphoné à la maison pour dire que je restais loger chez Julien, Maman m’avait alors souhaité une bonne nuit ainsi qu’à Julien.

Nous avions souhaité une très bonne nuit à la famille de mon amour puis nous étions allés nous doucher dans la salle de bain. Nous allions une nouvelle fois dormir ensemble, corps contre corps. Allions-nous dormir directement ou alors allions nous nous câliner ou même nous aimer ! L’eau chaude coulait sur nos corps, nous étions face à face, nos lèvres s’étaient rejointes, nos bouches s’étaient ouvertes et enfin nos langues avaient frayé un passage au-delà de nos barrières d’émail blanc. Ma main droite s’était placée à l’arrière de la tête de mon Juju d’amour et ma main gauche lui caressait le dos. Julien de son côté avait placé ses deux mains sur le bas de mon dos. Nous nous caressions l’un l’autre en nous embrassant avec fougue. Nos intimités s’étaient elles aussi réveillées, nous commencions à bander. Puis, ne voulant pas aller trop loin, nous avions arrêté nos caresses, ou si peu. J’avais pris le flacon de gel douche et j’avais commencé à savonner le corps de Juju. Tout de suite Julien avait fait de même. Nous nous savonnions l’un l’autre. Pas un seul centimètre du corps de Juju n’avait été lavé, j’avais même mis un doigt enduit de savon dans son anus. Bien entendu Juju avait lui aussi méthodiquement lavé mon corps sans oublier mon anus. Une fois rincés, nous nous étions séchés avant de rejoindre la chambre à coucher.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - bech - 28-10-2020

je pensais qu'en 2 semaines de vacances, certains récits avanceraient pas mal. Et même si un imprévu m'emmène à accéder à internet 2 jours plus tôt que je pensais, c'est le cas pour ce récit.

Donc, on a quelques infos sur cet examen de maturité que je ne connaissais pas. S'agit-il d'un sujet libre choisi par le candidat ou d'un sujet choisi dans une liste proposée par un/des professeur(s) ?

Lucas et Mathieu se mettent très vite à la nudité, que ce soit à la piscine ou au domicile de Phil. C'est sûr qu'une fois les problèmes de pudeur mis de coté, c'est beaucoup plus simple de ne pas se casser la tête avec l'habillement. L'histoire consistant à s'habiller pour rejoindre la douche est typique des contraintes que les "textiles" s'imposent.

La fête pour les 18 ans de Philippe et Julien va avoir lieu avant leur anniversaire réel. Ils la préparent. Philippe reçoit aussi un appel téléphonique de Jacques qui va repasser pour un mois (mais trop tard pour se rajouter à la fête). Il insiste sur le fait que maintenant, il est avec Julien.


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-10-2020

(28-10-2020, 11:18 PM)bech link a écrit :je pensais qu'en 2 semaines de vacances, certains récits avanceraient pas mal. Et même si un imprévu m'emmène à accéder à internet 2 jours plus tôt que je pensais, c'est le cas pour ce récit.

Donc, on a quelques infos sur cet examen de maturité que je ne connaissais pas. S'agit-il d'un sujet libre choisi par le candidat ou d'un sujet choisi dans une liste proposée par un/des professeur(s) ?

Lucas et Mathieu se mettent très vite à la nudité, que ce soit à la piscine ou au domicile de Phil. C'est sûr qu'une fois les problèmes de pudeur mis de coté, c'est beaucoup plus simple de ne pas se casser la tête avec l'habillement. L'histoire consistant à s'habiller pour rejoindre la douche est typique des contraintes que les "textiles" s'imposent.

La fête pour les 18 ans de Philippe et Julien va avoir lieu avant leur anniversaire réel. Ils la préparent. Philippe reçoit aussi un appel téléphonique de Jacques qui va repasser pour un mois (mais trop tard pour se rajouter à la fête). Il insiste sur le fait que maintenant, il est avec Julien.

Bonjour [member=27]bech[/member] !
Merci pour ton com !

L'examen de maturité (à cette époque: les années 70) était obligatoire pour accéder aux études supérieurs (université, hautes écoles, ...). Le thème est choisi par l'étudiant et souvent dans une branche qu'il maitrise et qui sera probablement celle qu'il suivra tout le long de son cursus universitaire. Cet exposé est présenté devant le professeur du cours abordé, par le titulaire de la classe ainsi que par une tierce personne, souvent un scientifique pour tous les sujets relatifs à la science.

Effectivement Lucas et Mathieu on vite adopté la nudité. Voyant comme la famille de Phil évolue sans complexe, ils ont vite adopté la nudité tant dans la piscine que dans la maison. Comme tu le dis, ça facilite la vie de ne pas devoir se vêtir pour aller à la salle de bain, ensuite se mettre nu pour se laver et ensuite se rhabiller pour aller se vêtir dans sa chambre, etc.
(Il est évident que je suis naturiste et que je suis souvent nu à la maison, dans le jardin et en vacances sur les plages ou même durant l'année à la piscine naturiste que je fréquente de même que le terrain du club)

Oui la fête d'anniversaire des deux garçons se prépare. Phil est un peu déboussolé d'apprendre que Jacques revient passer un mois. Phil lui a bien précisé qu'il était bien amour de Julien. Il est évident que Jacques ratera la fête.

Merci Bech de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou 


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 29-10-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Belle suite. Les eux garçons préparent la fête de leur anniversaire commun.
Ils n'oublient pas de se cajoler. Je pense que le début de nuit sera assez chaud entre eux.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-10-2020

(29-10-2020, 02:49 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Belle suite. Les eux garçons préparent la fête de leur anniversaire commun.
Ils n'oublient pas de se cajoler. Je pense que le début de nuit sera assez chaud entre eux.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement les deux garçons préparent la fête pour leur anniversaire.
Ils s'aiment et ils se le montrent, ils ont les hormones en pleine ébullition!
Nous verrons si la nuit a été chaude dans la prochaine suite.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse !

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 29-10-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

La préparation de la fête se poursuit tranquillement et tout semble favorable pour sa réussite.

Julien reçoit le code de la route, un premier cadeau pour son anniversaire. Phil recevra probablement le même.

Je pense que la nuit sera chaude puisqu’ils ont lavé consciencieusement tous les endroits susceptibles d’être utilisés pour se donner du plaisir.

Je t’embrasse.
Daniel.



Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-10-2020

(29-10-2020, 07:58 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

La préparation de la fête se poursuit tranquillement et tout semble favorable pour sa réussite.

Julien reçoit le code de la route, un premier cadeau pour son anniversaire. Phil recevra probablement le même.

Je pense que la nuit sera chaude puisqu’ils ont lavé consciencieusement tous les endroits susceptibles d’être utilisés pour se donner du plaisir.

Je t’embrasse.
Daniel.

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui la préparation de la fête se poursuit et semble être conforme aux souhaits des deux ados.
Julien a déjà reçu son cadeau, c'est le code de la route "Feu Vert" . Il est probable que Phil reçoive la même chose de la part de ses parents. Nous le saurons dans la prochaine suite!
Il semble que la nuit sera chaude et bien plus que dans la douche de la salle de bain. Ils est bien probable qu'ils succombent aux attraits charnels l'un de l'autre!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse !

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-10-2020

La porte à peine refermée, Julien m’avait embrassé à pleine bouche. Puis il m’avait entraîné vers le lit. Nos bouches étaient comme soudées l’une à l’autre. Nos corps étaient en alerte, ils n’attendaient qu’une chose, c’est de pouvoir ressentir une nouvelle fois un tas de sensations toutes les plus sensuelles, les plus caressantes, les plus suggestives possibles. Nos mains s’étaient alors mises en devoir de procurer de subtiles caresses languissantes à l’être aimé. Mes doigts passaient dans la chevelure de Julien. Puis ils allaient caresser son cou ainsi que sa nuque. Notre baiser s’éternisait, nos langues n’arrêtaient pas de danser entre elles. Nos yeux étaient mi-clos, nous savourions ce moment qui nous apportait beaucoup de tendresse et de joie intérieure. Nos corps étaient en harmonies, nos cœurs battaient d’aise et de bonheur. Puis une fois notre baiser terminé, nos lèvres s’étaient attachées à embrasser nos visages respectifs. Nos anatomies dressées n’attendaient plus que nous nous occupions d’elles.

Julien avait pris du gel et des capotes dans le tiroir de la table de nuit. Pas besoin de parole, le geste suffisait à savoir ce que Julien avait l’intention de faire. Je lui avais fait un large sourire en guise d’acquiescement. Comme Julien avait pris l’initiative de prendre ce qu’il fallait, je le laissais prendre l’initiative. Il avait pris du gel et il avait commencé à me titiller l’anus. Je savais qu’il voulait me prendre, qu’il voulait m’aimer. Je m’étais alors placé de façon à lui offrir mon postérieur bien en vue pour lui procurer un accès facile à ma rondelle. Julien savait y faire, il préparait mon orifice avec doigté en y allant progressivement, un doigt et puis deux. J’avais mon bas ventre déjà en feu, mon anus était lui aussi très chaud et prêt à accueillir le bâton d’amour de Juju. Les deux doigts de Julien tournaient donc à l’entrée de ma grotte. Et enfin mon amoureux enfilait un préservatif sur son membre dressé. Un peu de gel et voilà donc la queue de Julien qui se présentait devant l’entrée de ma caverne. Délicatement, doucement, sans brusquerie, Julien prenait possession de mon corps. Je sentais son membre gorgé de sang entrer progressivement dans mon anatomie annale. Puis une fois bien placé, Julien avait entrepris des mouvements de va et vient lents, puis il avait pris une cadence un peu plus rapide sans excès. Mon corps vibrait maintenant sous les coups de butoir contenus de mon amant. Puis Juju avait accéléré le rythme et ses deux valseuses frappaient en cadence sur le bas de mes fesses. Julien commençait à haleter et moi de mon côté je lâchais des râles de bonheur. J’avais les yeux fermés et je savourais ces sensations de plus en plus puissantes au niveau de tout mon être. J’étais alors en parfaite communion avec mon Juju, avec mon amoureux, avec ma moitié. Je sentais que Julien allait arriver à la jouissance, son corps se cabrait de plus en plus et enfin dans un râle plus sonore que les autres, il éjaculait dans la capote six jets de sa semence. Nous étions tous les deux en nage. Puis, une fois que la tension avait baisé, nous nous étions retrouvés, Julien et moi, côte à côte, nous regardant, les yeux pétillants de bonheur. Nous nous étions donnés de petits bisous répétés en laissant nos corps reprendre un peu de repos.

Mon ventre était toujours aussi brûlant, mon corps n’attendait plus que le moment où il pourrait libérer toute la tension accumulée avant et durant l’acte d’amour de Julien. Mon pénis avait déjà repris vigueur. Julien l’avait bien compris, il s’était positionné de façon à présenter ses fesses vers moi. Sa lune était si accueillante que j’avais vite enduit mes doigts de gel en vue de préparer l’entrée de l’antre d’amour de Julien. J’avais presque pu faire entrer trois doigts mais je m’étais arrêté car Julien semblait avoir un peu mal. Les deux doigts étaient bien suffisants. Puis ayant enfilé une capote sur mon membre turgescent, j’avais commencé une pénétration lente et appliquée au niveau de l’anus de mon Juju. Mon appendice d’amour entrait centimètre par centimètre jusqu’à la garde. Et, enfin introduit dans cette caverne bien chaude, j’avais entrepris des mouvements lents et assez amples. J’y allais doucement, avec volupté laissant le temps à nos deux corps de se trouver en harmonie. Nos cœurs battaient de plus en plus fort, nous arrivions à nous coordonner. Puis nos sens étaient tous ouverts, nous laissant ressentir tous les bienfaits de notre corps à corps. J’émettais de plus en plus de râles de bonheur, Julien lui aussi de son côté était de plus en plus expressif. Puis j’avais dit à plusieurs reprises à Julien des « Je t’aime ! ». Julien répondait par des « oui, moi aussi ! ». Je savais que j’allais bientôt arriver au point de non-retour, mon ventre était de plus en plus brûlant. Je sentais mes muscles se contracter, je sentais la pression qui montait et que mon sexe avait pris sa dimension maximale, j’allais jouir, j’allais éjaculer. Puis dans un râle roque et sonore j’avais laissé s’écraser au fond du préservatif six jets de sperme. J’avais joui comme jamais. Je me suis retrouvé en suite comme dans du coton, comme hors du temps. Ce n’est que quelques secondes plus tard que j’entendais Julien me demander :

Jul : « Eh, Phil ça va ?

Moi : Retrouvant mes esprits :  Oui, ça va, j’étais comme sur un nuage.

Jul :  Je m’en suis rendu compte. Mais tu as presque perdu connaissance !

Moi :  Je m’en doute Juju. Je n’avais jamais joui comme maintenant !

Jul :  Je m’en suis rendu compte car tu as très fort titillé ma prostate et je ne te dis pas comme j’ai aimé !

Moi :  Je t’aime Julien. Je t’adore !

Jul :  Et moi alors, je t’aime comme un fou ! »

Nous nous étions alors embrassés, heureux, ivre d’amour, fourbus par nos actes d’amour. Nos yeux pétillaient de bonheur, ils étaient remplis d’étoiles. Nos sourires en disaient long, nous n’avions pas besoin de mot pour savoir que nous étions en communion l’un avec l’autre. Ayant retrouvé un peu plus de calme, nous nous étions souhaités une bonne nuit, car une longue journée nous attendait, la journée de notre fête commune d’anniversaire. Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre dans les minutes qui suivaient.

C’est Béatrice qui était venue nous réveiller vers huit heures. En effet nous avions rendez-vous pour neuf heures trente chez moi pour débuter la journée. Nous étions directement allés nous doucher. Puis une fois habillé nous avions fait notre sac de sport. Nous étions ensuite attendus pour prendre le petit-déjeuner en compagnie de Béatrice, de Pierre et des deux filles.

Une fois notre repas avalé, toute la famille s’était répartie dans les deux voitures, les garçons ensemble avec Pierre et les filles ensemble avec Béatrice. Durant le trajet Pierre nous avait demandé de faire attention à notre comportement car il pouvait y avoir d’autres personnes aux abords de la salle des sports ainsi que de la piste d’athlétisme et du terrain de foot. Puis Pierre nous avait souhaité une excellente journée.

Arrivé à la maison, nous avions salué mes parents. Olivier et sa copine Julie étaient déjà arrivé hier soir. J’avais vivement remercié mon frère Olivier et son amie Julie d’avoir accepté de passer la journée avec nous. Olivier avait aussi chaleureusement accueilli Julien. Je savais que mon frère n’avait aucun ressentiment concernant notre sexualité à Julien et à moi. Papa nous avait demandé de nous rassembler en famille, soit les deux familles réunies. Puis Papa avait pris la parole :

Papa : « Voilà, nous sommes rassemblés pour vous mes deux garçons. Je sais que Pierre a remis un cadeau spécial à Julien hier soir. C’est à mon tour de remettre un cadeau à Phil.

Jul :  Oui, merci Alain, pour ceux qui ne le savent pas, j’ai reçu le livre « Feu vert » du code de la route et mes parents m’offrent les leçons de conduite. Je les remercie encore de tout cœur.

Moi :  Je suis très heureux pour toi Julien.

Papa :  Voilà Phil, voici ton cadeau !

C’était aussi un emballage qui devait contenir un livre. Je ne savais pas ce que cela pouvait bien être comme livre mais j’avais un doute, serait-ce aussi le code de la route « Feu vert » ? J’avais envie d’arracher le papier mais je voulais me contenir et faire cela doucement. J’avais donc ôté les papiers collants pour ainsi découvrir le livre « Feu vert » pour le code de la route. J’avais les larmes aux yeux. Julien l’avait bien vu et il s’était approché de moi pour m’enlacer. Puis ayant repris mes esprits, j’avais dit :

Moi :  Oh merci beaucoup, merci Maman, merci Papa !

Papa :  Tout comme Pierre l’avait fait avec Julien, nous t’offrons ta maman et moi les cours de conduite via auto-école. Bon anniversaire Philippe.

Moi :  Merci à vous, je vous aime, je vous adore !

J’avais pris mes deux parents dans mes bras et je leur avais donné des bisous tellement j’étais heureux et content. Papa s’était placé à côté de Pierre et ils s’étaient adressés à nous, leurs garçons :

Pie :  Voilà mes deux garçons, vous allez pouvoir apprendre à conduire dans quelque temps. C’est un passage particulier car vous allez pouvoir avoir une nouvelle autonomie. La seule chose que je vous demande c’est de faire très attention lorsque vous serez conducteurs, vous serez encore novices, pensez-y.

Papa :  Je me joins à Pierre pour ces recommandations. Je souligne aussi que vous devez toujours avoir en tête le respect des autres en tant que conducteur mais aussi en tout temps. Je vous rappelle aussi d’être attentifs à ne jamais heurter les autres par votre attitude.

Pie :  Nous sommes, vos mamans ainsi que nous, vos pères, heureux de voir que vous vous aimez. Ayez toujours, comme vous avez l’habitude maintenant, de faire attention à vous. N’oubliez pas que le dialogue est important et que les non-dits sont une façon de ne pas dialoguer. Respectez-vous l’un l’autre et vivez pleinement votre jeunesse !

Moi : Merci à vous quatre, vous mes parents que j’aime du plus profond de mon cœur !

Jul :  Je n’ai rien d’autre à ajouter, c’est comme Phil, je vous aime tous les quatre.

Nos deux familles s’étaient mises à applaudir. C’est d’ailleurs à ce moment-là que mon amie et confidente Amandine arrivait avec Joseph. Nos premiers invités saluaient les deux familles avant de venir vers nous. Amandine s’était approchée de moi et elle avait aussi, pris Julien par la taille. Elle avait pris la parole pour nous dire à nous deux et à ceux qui étaient là :

Ama :  Phil et Julien, j’ai entendu la fin des paroles que vous avez dites. Ce sont de très belles paroles et je sais que vous êtres sincères. Vous avez des parents en or, ne l’oubliez jamais. Vous êtes deux rayons de soleil, mais attention de ne pas vous brûler l’un l’autre. Vous avez assez de jugeote que pour faire attention. Enfin, je vous souhaite un très bon et très heureux anniversaire. Et je termine, avant les larmes, je serai toujours là pour vous deux si vous en avez besoin !

Moi :  Je.., merci, ;;; heu »

Des larmes coulaient sur mes joues. J’avais regardé Julien qui lui aussi pleurait. Amandine était vraiment une très bonne amie doublée d’une très chère confidente. J’avais pu voir que nos deux mamans elles aussi avaient des larmes aux yeux. Je savais que je pourrais toujours compter sur mon amie Amandine et que même Julien, pouvait lui aussi, compter sur elle. Joseph avait le sourire aux lèvres, il savait lui aussi combien Amandine était une très belle personne !

Enfin les invités arrivaient l’un après l’autre en apportant des cadeaux ou des enveloppes qu’ils déposaient dans la boîte aux surprises. Tous les invités étaient maintenant tous présent. J’avais pris la parole avec Julien pour les remercier.

Moi : « Merci à tous d’être venus. Vous êtes ici les bienvenus et je vous en prie faites comme chez vous lorsque nous serons de retour après l’activité, non après les activités surprises !

Jul :  Bien sûr nous vous avions demandé de venir en tenue décontractée avec de quoi vous changer. Nous allons vous inviter à nous suivre, je sais que c’était une demande, et cette demande c’était d’être à vélo pour cette journée.

Papa : Très bien les garçons, je vais ajouter que nous allons avoir deux invités supplémentaires.

Julien et moi nous nous demandions qui cela pouvait-il bien être. Nous nous regardions et enfin papa avait fait signe en direction du taillis de fleurs sauvages à l’angle du jardin. C’est alors que j’ai vu arriver Jean-François, mon prof de gym et Pierre-Alain le chef scout de mon cousin David.

Papa :  Phil et Julien ont préparé toutes sortes d’activités pour tous à la salle des sports de la commune, mais Alain et moi-même voulions leur offrir encore autre chose. Vous en saurez plus après le repas de midi. C’est pour cette raison que nos deux invités surprise sont présents avec nous. Je les remercie déjà d’avoir répondu positivement à mon appel.

J’avais été saluer mon prof, Jean-François Durant. J’étais étonné de le voir. Je savais qu’il était au courant du fait que j’étais gay, mais je ne m’attendais pas à le voir.

Moi :  Merci monsieur Durant d’être venu, je ne me doutais pas que papa vous ait demandé de venir pour cette journée.

J-F :  Tu sais Phil tu peux m’appeler Jean-François, de toute façon tu as terminé ta rhéto.

Moi :  Oui, heu, Jean-François. Merci. Voilà Julien mon ami, mon compagnon.

J-F :  Bonjour Julien, je suis heureux de te connaître. Je vous souhaite un très bon anniversaire à vous deux. Et aussi, bonne chance pour la vie !

Jul :  Merci, merci d’être là pour nous !

J-F :  Je sais que vous vous aimez, je sais que vous êtes homos. Cela ne me dérange pas du tout, je vais vous dire que moi aussi je suis gay. Je vous demande de tenir votre langue.

Moi :  Mais oui Jean-François, je ne dirais jamais rien.

J-F :  Je te confie aussi que j’avais rencontré ton papa lors d’un contact avec l’association d’aide pour les gays dont il est un des bénévoles.

Moi :  Oui, je vois. Je serai muet comme une tombe.»

Jul :  Moi aussi Jean-François. Merci d’avoir été si franc envers nous.

J-F :  En tous cas vous êtes tous les deux de très beaux garçons pleins de vie et je vous souhaite d’être heureux.

Moi :  Merci Jean-François.

Jul :  Merci, oui merci à toi.

Il faut dire que Jean-François Durant, mon prof de gym était âgé de vingt-six ans. C’était un prof super, très ouvert et très dynamique. Julien était lui aussi très étonné. Il ne se doutait pas qu’un prof pouvait ainsi avoir un tant soit peu d’amitié pour un élève. Jean-François ajouta :

J-F :  Tu sais Phil, moi aussi j’aimais un gars de ma classe à ton âge. J’avais moi aussi dix-huit ans. Nous avons fait nos études ensemble et nous sommes en couple. Ce n’est pas facile de nous montrer ensemble, nous devons être sur nos gardes. Alors je vous conjure de faire terriblement attention lorsque vous êtes en public.

Moi :  Je m’en doute, Papa m’en parle souvent.

J-F :  Je sais, il m’en a parler aussi lors de nos entretiens. Vous savez que vous pourrez compter sur moi et mon compagnon si jamais un jour vous avez besoin d’aide.

Moi :  Merci Jean-François. Je dois dire que tu as été pour moi un très chouette prof.

J-F :  Merci Phil. »

Nous nous étions enlacés. Puis J-F avait une grande accolade avec Julien. Je ne reconnaissais pas mon prof de gym, je venais de découvrir un homme, un gars très ouvert et qui avait une certaine ouverture d’esprit que pour être accepté par tous ses élèves.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 30-10-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] !
Belle suite. Julien reçoit son cadeau d’anniversaire un peu à l'avance. Il reçoit le livre du code de la route "Feu Vert" qui est illustré de beaucoup de photos de mise en situation. Je me souviens aussi d'avoir appris le code de la route avec ce livre avant de passer la théorie.
Tout laisse supposer que Phil sera gratifié d'un cadeau identique.
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 30-10-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Belle nuit d’amour entre Phili et Julien, prélude à la fête.

Rencontre avec le professeur Jean-François, cela doit faire bizarre de le tutoyer et d’apprendre qu’il est aussi gay. On pourrait dire que c’est un changement de statut, Phil et Julien entrent dans le monde des adultes et sont considérés comme tels, également avec la possibilité d’apprendre à conduire.

Je te souhaite un bon week-end.
Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 31-10-2020

(30-10-2020, 07:08 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] !
Belle suite. Julien reçoit son cadeau d’anniversaire un peu à l'avance. Il reçoit le livre du code de la route "Feu Vert" qui est illustré de beaucoup de photos de mise en situation. Je me souviens aussi d'avoir appris le code de la route avec ce livre avant de passer la théorie.
Tout laisse supposer que Phil sera gratifié d'un cadeau identique.
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Après une belle nuit d'amour nos deux amis retrouvent la famille de Julien.
Pierre le papa de Julien lui remet son cadeau d'anniversaire, c'est le livre "feu vert" qui sert à apprendre le code de la route avant de passer l'examen théorique.
Il est fort probable qu'Alain fasse la même chose pour Phil!

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Très bon week-end de la Toussaint!

Je t'embrasse!

Philou


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 31-10-2020

(30-10-2020, 07:30 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Belle nuit d’amour entre Phili et Julien, prélude à la fête.

Rencontre avec le professeur Jean-François, cela doit faire bizarre de le tutoyer et d’apprendre qu’il est aussi gay. On pourrait dire que c’est un changement de statut, Phil et Julien entrent dans le monde des adultes et sont considérés comme tels, également avec la possibilité d’apprendre à conduire.

Je te souhaite un bon week-end.
Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui, nos deux ados se sont aimés durant la nuit, une façon pour eux d’entamer la fête de leur anniversaire commun!

Comme tu le soulignes, rencontre assez bizarre avec Jean-François, le prof de gym de Phil. Il est gay et accepte d'être tutoyé par les deux garçons car ils ont grandi et entrent dans les études supérieures.
Oui les deux amis entrent dans la vie adulte, ils vont pouvoir appendre à conduire avec tout ce que cela implique.

Je te souhaite également un très bon week-end.
Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-11-2020

Julien et moi nous nous étions alors dirigés vers Pierre-Alain. Je ne savais pas trop pourquoi il avait été invité par papa et Pierre. Je me posais des questions. Nous lui avions serré la main. Puis j’avais dit :

Moi : « Bonjour Pierre-Alain, merci d’être venu, c’est très gentil.

P-A :  Pas de souci, ça me fait plaisir. C’est à la suite d’une initiative de ton cousin David et aussi à la demande de ton papa que j’ai accepté de venir.

Moi :  Merci Pierre-Alain. Mais nous allons faire quoi au juste.

P-A :  C’est une surprise et je suis certain que vous allez apprécier.

Jul :  Il me tarde de savoir ce que c’est, merci déjà d’être là !

P-A :  Pas de problème c’est de bon cœur. Je sais que vous êtes gays et cela ne me dérange pas. J’ai deux amis qui le sont aussi et cela ne nous m’empêche pas d’être amis.

Moi et Jul :  Merci Pierre-Alain »

Nous étions donc tous prêt pour le départ. C’est Papa qui avait donné le signal d’enfourcher nos vélos. Nous étions tous à vélo à l’exception de nos parents. Ils avaient pris deux voitures et une remorque au cas où l’un de nous aurait de problème avec son vélo.

Nous étions en route vers la salle de sport communale. Nous allions surement passer une excellente journée, il y avait du soleil et il faisait déjà chaud. Tous les participants étaient heureux d’être présents avec nous. C’est donc très heureux, le sourire aux lèvres que nous circulions en vélo en faisant quand même attention à la circulation.

Au bout d’une bonne vingtaine de minutes nous étions arrivés à salle omnisports communale. Nous avions rangé les vélos et ils avaient été fixés entre eux par une chaîne en vue d’éviter le vol. Il faut dire que ça arrivait parfois et de plus si certains jeunes avaient de beaux vélos munis de dérailleurs et autres accessoires du dernier cri. Chacun avait repris son sac, lequel avait été transporté en voiture. Nous étions alors rentrés dans le hall d’entrée. Direction les vestiaires pour nous équiper de nos chaussures de sport et mettre notre tenue de sport.

Une fois entrés dans la salle nous avions été surpris de voir que presque tout le matériel de gymnastique avait été monté et arrangé pour finalement composer un circuit. J’étais stupéfait de même que Julien et les autres jeunes également. C’était donc Jean-François qui avait tout monté avec l’aide de la personne qui gère la salle. Cette personne c’était monsieur Lambert. Il s’était d’ailleurs présenté à l’ensemble du groupe. Papa l’avait remercié pour son accueil et surtout pour l’aide apportée pour le montage. Nous les avions applaudis.

Jean-François, le prof de gym, avait préparé une feuille sur laquelle il y avait deux colonnes. Son intention était de composer deux équipes, soit une colonne par équipe. Il ne restait plus qu’à inscrire le nom des équipiers dans chaque colonne. J’avais bien entendu pensé que Julien aurait l’équipe « A » et moi l’équipe « B ». J’avais fait cette proposition à mon cher Juju, qui avait accepté.

Jean-François et Pierre-Alain allaient s’occuper des équipes. J’avais demandé à Julien de pouvoir faire un mélange harmonieux pour éviter des regroupements familiaux. Tout de suite Juju avait été d’accord. J’avais demandé à Jean-François de s’occuper de l’équipe « A » et Pierre-Alain de l’équipe « B ». Puis les équipes avaient été composées de cette façon :

Eq A : Julien, Delphine, Olivier, David, Amandine, Joseph, Lucas et Maxime.

Eq B : Phil, Stéphanie, Julie, Aymeric, Brieuc, Adrien, Christian et Mathieu.

Il y avait donc deux équipes de huit participants. L’équilibre étant respecté, deux filles par équipe et les frères et sœurs séparés, du moins pour Juju et moi. Il ne restait plus qu’à s’échauffer, c’est Jean-François qui avait pris les deux groupes en charge pour cette mise en train. Les parents eux étaient spectateurs et ils nous encourageaient.

Une fois bien échauffés, nous devions faire chacun le parcours qui était chronométré. Jean-François l’avait fait en premier pour nous montrer le circuit ainsi que ses astuces. Nous nous étions donc lancés dans cette activité. Le premier de l’équipe « A » débutait puis le premier de l’équipe « B » et ainsi de suite. Jean-François prenait le chrono de l’équipe « A » et Pierre-Alain celui de l’équipe « B ». On entendait crier dans la salle de sport, on se serait cru spectateurs d’un grand match. Nous étions tous excités par ce parcours et par les prouesses des deux équipes. Les rires fusaient de toute part et nous étions tellement pris dans le jeu que rien ne pouvait nous en détourner. Il fallait compter environ 2 minutes pour faire le tour du circuit. Selon les jeunes qui passaient au bout du compte l’équipe « A » avait été proclamée première avec dix-sept minutes et trente secondes l’équipe « B » terminait avec dix-sept minutes et trente-cinq secondes.

Comme nous étions tous très heureux d’avoir pu faire ce parcours nous avions tous souhaité le refaire une seconde fois. Nous avions alors remis le couvert. C’était au premier de l’équipe « B » de commencer suivi par le premier de l’équipe « A ». Ce fut la même passion qui animait tous les participants. Les parents étaient franchement très heureux de voir ce qu’il se passait entre les jeunes ainsi que toute la solidarité entre les équipes pour s’encourager mutuellement. Les rires étaient légion tout comme les applaudissements à l’arrivée de chaque candidat. Nous avions terminé par tous nous congratuler.

Le résultat de la seconde manche était pour l’équipe « A » de dix-sept minutes et six secondes et pour l’équipe « B » de dix-sept minutes et une seconde. Un grand moment de tension s’était fait ressentir le temps de faire la moyenne pour les deux manches et le verdict était de trente-quatre minutes et trente-six secondes pour l’équipe « A » et de trente-quatre minutes et trente-sept seconde pour l’équipe « B ». Une seule seconde séparait les deux équipes. Nous étions tous certains que les temps étaient les mêmes. Quel superbe parcours pour les participants. Les parents étaient très heureux de voir comment nous étions emballés par cette activité. Nous étions tous heureux car pour nous il n’y avait pas de gagnant et pas de perdant. J’avais déposé un bisou sur les lèvres de Julien. Toutes les personnes présentes avaient applaudi.

Je pouvais voir dans le regard de Julien qu’il était super content de ce début de journée. Il était heureux et il m’avait dit :

Jul : « Tu sais Phil, nos invités sont vraiment super. Ils ont tous adhéré à cette activité et ça m’a donné des frissons surtout à la fin pour toute cette bonne humeur affichée.

Moi :  Oui Juju, je suis très heureux de voir combien nos invités sont heureux d’être présents avec nous !

Jul :  J’espère que ça va continuer.

Moi :  Ne t’inquiète pas, ça va aller. Nous sommes si bien entourés.

Jul :  C’est juste, ils sont géniaux ! »

Les mamans avaient alors apporté des boissons rafraîchissantes ainsi que des biscuits pour que nous puissions faire une pause. Les papas étaient enthousiastes et discutaient avec Jean-François et Pierre-Alain. Tout était parfais, une ambiance de tonnerre. Nous allions ranger tout le matériel avant de poursuivre les activités. Nous avions laissé dix bonnes minutes le temps de faire la pause et de reprendre des forces. J’avais été avec Julien remercier nos mamans pour cet en-cas. J’avais dit à Julien que l’allais prendre un peu l’air question de me rafraîchir au bord du terrain de football qui se trouvait à côté de la salle. M’ayant entendu mon cousin David m’avait accompagné.

Une fois sortis de la salle de sport nous avions vu un groupe de jeunes qui jouaient sur le terrain de foot. Il faisait moins étouffant dehors que dans la salle. Il me semblait reconnaître un gars de mon école, il était en avant dernière année. En fait il était avec six autres jeunes. Ils semblaient bien s’amuser. J’en avais fait part à David. Puis à un moment le gars de l’école, qui se prénommait Olivier, s’était dirigé vers David et moi. Il était suivi par ses copains. A une dizaine de mètres de nous il avait dit à haute voix, « Qu’est-ce que tu faut là espèce de sale PD » Il avait ajouté pour les autres, « C’est surement son petit copain qui est avec lui ! ». J’étais très mal, je m’étais dit que ce n’était pas possible. Puis j’avais dit à David de rentrer dans la salle et d’expliquer ce qui se passait.

Moi : « Que veux-tu Olivier, pourquoi tu t’en prends ainsi à moi ?

Oli :  Parce que je n’aime pas les PD.

Moi :  Tu sais pourtant que je me tiens bien et que je n’emmerde personne !

Oli :  Mais tu me débectes suceur de bites ! 

Moi :  Mais arrête, je ne t’ai jamais rien fait et je ne t’ai jamais rien dit.

Oli :  ‘Je n’en ai rien à foutre, tu vas déguster.

A ce moment-là Olivier s’était avancé rapidement vers moi. Il levait le poing en ma direction. J’avais pu esquiver le coup mais je voyais aussi que ses copains s’approchaient de moi, l’air menaçant !

Moi :  Arrête Olivier, ce n’est pas marrant.

Oli :  Ta gueule sale PD.

Il armait alors son poing qui me frôla la joue droite. J’avais pu esquiver une nouvelle fois son coup. Je n’étais pas certain de pouvoir esquiver le prochain coup, effectivement j’avais reçu une droite dans le visage. C’est à ce moment-là que Julien, accompagné de mon papa, de Pierre et Olivier, Joseph, Aymeric, Brieuc, Adrien, Christian, Lucas, Mathieu, Jean-François, Pierre-Alain ainsi que Amandine et les deux sœurs, sortaient de la salle. Au vu de cette sortie, les copains d’Olivier s’étaient reculés. Olivier lui n’avait même pas vu qu’il y avait du monde qui approchait. Olivier armait une nouvelle fois son bras pour me donner un nouveau coup. C’est Aymeric qui avait bondi et qui avait au passage attrapé Olivier pour le plaquer au sol. Brieuc et David l’avait ensuite ceinturé, en le maintenant au sol.

Jean-François arrivant à hauteur du trouble-fête, avait alors dit :

J-F :  Alors je vois qu’une nouvelle fois ce cher monsieur Olivier Vandenplas ne sait pas se tenir.

Oli :  Merde monsieur Durant.

J-F :  Et en plus vous êtes impoli. Je pense que nous allons nous revoir d’ici peu.

Oli :  Je suis désolé. Mais je n’aime pas les PD.

J-F :  D’abord on ne dit pas PD mais homo ou gay, c’est une chose, d’autre part on ne vous a pas appris à être tolèrent. Il me semble que vous aviez eu un cours sur ce sujet durant ce dernier trimestre !

Oli :  Je m’excuse.

J-F :  C’est facile, mais ce n’est pas à moi qu’il faut demander à être excusé ou à demander pardon. C’est à Phil et à toute sa famille réunie ici ce matin.

Moi :  Tu sais Olivier ce que tu fais est impardonnable. Je ne t’ai jamais rien fait, je n’ai jamais rien montré concernant ma vie privée. Alors il est temps que tu réfléchisses.

Papa :  Bonjour Olivier, je suis le papa de Phil. Ce que tu viens de faire est inqualifiable comme l’a dit Phil et monsieur Durant ton professeur de gymnastique. Mais je pense que nous serons appelés à nous revoir.

Oli :  Je te demande pardon Phil.

Moi : C’est si facile Olivier, tu frappes et puis tu oublies. Mais tu ne te rends pas compte du mal que tu fais. Ton attaque est une attaque homophobe. Tu as profité de la présence de tes copains pour t’en prendre à moi. Oui je suis gay, et alors, je ne t’ai jamais rien fait, je n’ai jamais rien dit, je me tiens tranquille. Et toi pour te sentir valorisé tu te comportes de la sorte.

Ama :  J’approuve ce que Phil vient de dire. Ton attaque gratuite est inqualifiable. Je ne savais qu’un gars comme toi pouvait se comporter de la sorte.

J-F :  Tu comprends Olivier que les choses ne vont pas en rester là. La direction de l’école en sera avertie.

Papa :  ‘On va voir si mon fils n’a rien de grave comme blessure. Il saigne du nez et j’espère qu’il n’est pas cassé. Je sais qui tu es maintenant et monsieur Durant a été témoin des faits.

Jul :  Et les gars, les copains d’Olivier, je crois que vous devriez faire attention à vos relations, il y a certains qui vont s’attirer des ennuis en restant avec un individu comme lui.

Moi :  Je crois que tout est dit.

Monsieur Lambert, le responsable des installations sportives était arrivé à la suite du remue-ménage se passant à l’extérieur au bord du terrain de foot, était arrivé et il avait assisté à la discussion. Il avait alors pris la parole :

Mr Lambert :  Monsieur Vandenplas, je ne veux plus vous voir ici. Vous n’êtes plus le bienvenu ainsi que vos amis. Je vous prie de quitter immédiatement les lieux. Ce genre de comportement est inqualifiable et la direction sera avisée de ce qui s’est passé. »

Olivier et ses amis avaient fait demi-tour. Ils étaient allés reprendre leurs effets et ils s’étaient éloignés en se dirigeant vers la grille du stade. J’avais la hargne, j’étais contrarié et déçu de voir qu’un seul individu pouvait mettre une ambiance par terre comme ça gratuitement sans se rendre compte des conséquences que cela engendrerait. Ce qui faisait le plus mal c’était cette blessure morale, se sentir une nouvelle comme une bête de foire tout ça parce que j’étais « différent » des autres. Julien s’était approché de moi et m’avait enlacé. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à pleurer de rage. Maman était venue près de nous pour nous réconforter.

Tous mes amis réunis parlaient de ce qui s’était passé. On sentait bien qu’ils étaient fâchés de voir le comportement homophobe d’un jeune vis-à-vis de moi. Puis c’est Amandine qui avait alors dit :

Ama : « Bon, on va positiver. On va se bouger et oublier pour un moment ce qui s’est passé et poursuivre cette journée.

Mam :  Merci Amandine, tu as raison. Bon on se bouge. Alain tu va avec Phil voir chez le médecin s’il n’y a rien de grave.

Moi :  Non maman, ça va, mon nez n’est pas cassé. Le sang s’est arrêté de couler. Je vais me rafraîchir au vestiaire et on va reprendre nos activités. »

Je sentais bien que toutes les personnes présentes à cette fête étaient outrées de ce qui s’était passé. La seule chose qu’il fallait retenir, c’est qu’un homophobe peut surgir de n’importe où et qu’il faut toujours rester sur ses gardes.
La seule chose à faire c‘était de reprendre nos activités et de poursuivre cette journée. Ce n’est pas un sale petit conard qui allait nous empêcher de nous amuser.