Joyeux Nawal ! Et bonne année (un truc me dit qu’elle le sera) – Concours de Noël - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Bienvenue (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=5) +--- Forum : CONCOURS DE NOËL (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=21) +--- Sujet : Joyeux Nawal ! Et bonne année (un truc me dit qu’elle le sera) – Concours de Noël (/showthread.php?tid=197) |
Joyeux Nawal ! Et bonne année (un truc me dit qu’elle le sera) – Concours de Noël - lelivredejeremie - 12-12-2022 — Tu fêtes Noël avec nous, ce soi, j’ai dit !’’ a claqué maman. ‘’J’en ai assez d’excuser ton absence, et pour tout te dire, j’en ai marre des Noëls gnangnan en tête-à-tête avec mes parents et ceux de ton père…’’ — Mais qui voudrais-tu inviter à la place ? — En plus, tu veux dire ? Parce que je dois bien garder les vioques, puis ton parrain et ta marraine, et je veux rappeler l’esprit de Noël, dooonc… j’invite aussi la voisine, et pour emmerder tes bigots racistes de grands-parents, j’ai ajouté le garçon Kurde du centre de réfugiés qui s’occupe de notre jardin. — Je peux amener quelqu’un ? ai-je demandé, salivant à l’avance à l’idée que mon match Grindr de cet après-midi mette son petit Jésus dans ma crèche sous le toit parental, cette nuit, par provocation. — Avec ta sœur et toi, on sera déjà douze à table, ne poussons pas le blasphème, veux-tu ? Après que maman m’a raccroché au nez, j’ai appelé Marie. ‘’Fait chier, on est tous convoqués pour Noël, tu as vu la liste des invités ? Mais moi, je ne peux amener personne.’’ — Fais pas la gueule, tu ne vois les grands-parents qu’à cette occasion, Madame Martinot n’est pas bien méchante, et Nawal, c’est un peu moi qui l’ai suggéré… Tu verras, ça pourrait être bien, je ne te dis rien de plus… Allez, à ce soir, frérot. Que veut-elle dire par là ? Mes grands-parents sont chiants comme la pluie, la vieille voisine n’est guère mieux, et quelle idée d’inviter son jardinier… euh… comment a-t-elle dit, déjà ? Ah oui, kurde. — Siri, c’est où, le Kurdistan ?’’ ai-je demandé, mon portable toujours à la main. — Le Kurdistan est une région géographique et culturelle transfrontalière qui s'étend dans le sud-est de la Turquie, le nord-est de l'Irak et le nord-ouest de l'Iran, Jérémie’’ a répondu l’IA. Maman est complètement dingue, me suis-je dit, inviter un musulman potentiellement kamikaze, sombre et poilu, qui pue probablement le bouc, à un repas de Noël… … — Eh flûte ! On aurait dû reconduire Nawal quand les autres sont partis’’ ai-je grogné. ‘’Tu as vu la congère qui s’est installée devant la maison en même pas une heure ?’’ — Tu as raison… Mais il a lui-même gentiment proposé de nous aider à tout ranger, et avoue qu’il est très efficace’’ a-t-elle dit, en tournant le regard vers la salle à manger effectivement débarrassée de la moindre trace de cette soirée aussi longue qu’ennuyeuse. ‘’Mais on ne pourra clairement plus sortir cette nuit, alors la moindre des choses est de le laisser partager ta chambre cette nuit, tu ne penses pas ?’’ — Mouais… Bon, j’ai bien dû admettre que Nawal n’est pas tout ce que j’ai imaginé, et même son contraire absolu, en réalité, mince et finement musclé, de beaux yeux étrangement verts au regard impénétrable que j’ai surpris quelques fois posé sur moi. Sauf qu’en tenant compte de sa culture, si je lui touche… accidentellement la bite cette nuit, il va me décapiter avec le couteau qui a servi pour la dinde. Avant qu’il referme derrière lui la porte ma chambre, j’ai vu passer dans le couloir de nuit ma sœur, qui m’a fait un clin d’œil. Les doigts serrés sur l’élastique de mon boxer descendu à mi-cuisse, j’ai réalisé que j’étais un peu en mode pilote automatique, je me suis ressaisi et redressé en le remontant sur mon intimité. — Oh ! Désolé, les vieilles habitudes, mais je vais rester couvert pour la nuit, ne t’inquiète pas. Puis aussi, je peux te laisser un moment, tu dois peut-être… je ne sais pas… prier ou un truc comme ça ? Pour que ton Dieu te pardonne d’avoir partagé une fête païenne, déjà ? — S’il y a des coutumes occidentales que je continue à découvrir tous les jours, il en est d’autres que je pratique depuis longtemps, comme celle de dormir nu, alors si tu le permets, moi aussi… Pour le reste, Allah a trop souvent oublié mon peuple pour que je lui doive encore des explications, je ne suis pas… enfin, je ne suis plus croyant. De toute manière, si je devais me faire pardonner certaines… errances, et ma participation à ce réveillon est loin d’être la pire, cinq prières par jours n’y suffiraient pas. J’ai simplement décidé que l’hypothétique accès à un quelconque paradis ne pèse décidément pas bien lourd en regard d’un peu de chaleur humaine, comme lors de ce réveillon, par exemple, ou a d’autres occasions bien moins… catholiques, dans tous les sens du terme’’ a-t-il conclu, en abandonnant à son tour son sous-vêtement, exposant un sexe lourd qui émerge d’une touffe de poils sombres. ‘’Après, sans me donner trop de détails, ta sœur m’a laissé comprendre que tu partages un peu la même philosophie, et peut-être pas que ça, en fait… Dis, Jérémie, mes yeux sont situés plus haut, tu sais’’ a-t-il ajouté, notant ma fascination pour cet élément de sa physionomie. — Oh ! Oui, désolé, je n’ai jamais vu, en vrai… — De sexe circoncis ? Avant d’arriver en France, je ne savais pas ce qu’est un prépuce, nous sommes à égalité. Mais je trouve ça très… joli, et j’aime particulièrement en voir lentement émerger un gland, comme le tien en ce moment. — Ça t’est déjà arrivé souvent ? Et Marie t’a dit que… Mais pourquoi l’a-t-elle fait ? — D’abord, en effet, vu, touché, et goûté, oui, à huit… non, neuf occasions’’ a-t-il dit en me rejoignant sur mon lit. ‘’Ensuite, ta soeur travaille au centre pour réfugiés, et elle m’a surpris hier, le sexe dans la bouche de Mouss, un grand Guinéen… — Un grand Black, ça manque aussi à mon expérience…’’ me suis-je entendu gémir, sans pouvoir détacher mon attention de sa bite maintenant à moitié dressée. — Ce n’est pas tout ce qu’on en imagine, tu sais, j’ai eu moins de sensations avec lui qu’avec le jeune flic qui m’a amené au centre, par exemple, et… Oh ! Plop ! — Hein ? Quoi, plop ? — J’ai juste voulu imaginer le son qu’il serait amusant d’entendre lors de l’éclosion de…’’ a-t-il murmuré en dirigeant mon regard, qui a suivi le sien, sur mon sexe décalotté. ‘’Marie m’a dit que tu étais trop souvent déçu des cadeaux de ta famille, mais que je pourrais être le sien pour toi cette année. Peut-être puis-je admettre qu’elle a été perspicace ?’’ a-t-il ajouté avant de porter les lèvres sur ma barre. … Empalé sur son sceptre dressé que je remonte lentement jusqu’à ne garder en moi que son gland gonflé, ma seule pensée un minimum cohérente est que j’ai joui très vite, trop vite, dans sa bouche, il y a… quoi ? cinq minutes. Puis que je vais clairement répéter l’exploit dans très peu de temps car, profitant de mon absence passagère, Nawal a pris l’initiative de soulever son bassin et de marteler mon rectum à grands coups du sexe le plus épais que j’aie jamais connu ! N’était que le temps semble être devenu une abstraction, il y a peut-être un quart d’heure, en fait, vu qu’il m’a laissé lui rendre la caresse, sans que je puisse cependant la conclure, avant de me tourner sur le ventre et de lentement, patiemment, appliquer la douceur tiède et humide de sa langue sur l’accès, jusqu’à le faire palpiter de plaisir, et que je mendie, sans trop de dignité, qu’il me prenne. Il s’était allongé sur le dos, en murmurant ‘’J’ai conscience de mes dimensions, Jérémie, et je suis ton cadeau, tu te souviens ? Prends ton plaisir comme tu le souhaites, à ton rythme, je trouverai toujours le mien, joli garçon.’’ Et me voilà, pilonné par dessous, au bord de l’orgasme… qui maintenant me foudroie et me fait envoyer une seconde série de jets de ma semence, cette fois sur son torse, me laissant pantelant. Je me ressaisis pourtant. ‘’Mais, et toi, Nawal ? Tu n’as pas joui…’’ — Si, il y a bien deux minutes, je n’ai pas tenu, tu es si beau, et si serré... — Tu n’en as rien montré ! Et là, tu… tu es toujours raide’’ je murmure, en reprenant les mouvements de mon corps sur son érection qui ne faiblit pas. — Ce que tu n’as pas remarqué, ni heureusement personne, c’est que j’ai bandé presque non-stop pendant tout le repas en te regardant, en espérant que je te plairais moitié autant que tu ne me plais, c’en était presque douloureux, tellement j’avais envie de toi, alors quinze minutes d’érection, pour le plus beau garçon que j’aie aimé… J’ai fini par me relever sur les genoux et, un peu à regret, me dégager de son invasion de mon corps, pour retirer le préservatif, le nouer et le jeter sur le sol, avant d’enrouler mes doigts sur sa hampe, toujours incompréhensiblement dressée et de remonter son urètre de la pulpe de mon pouce, pour faire suinter de son méat une dernière coulée de son sperme épais que j’ai effacé d’un coup de langue. — Tu as raison, dans cet état, à l’oeil, il n’y a aucune différence’’ ai-je dit en rapprochant les extrémités de nos sexes, ‘’mais à d’autres points de vue, crois-moi, ça la fait, la différence. Et là, j’ai presque env…’’ — Moi aussi, j’ai envie de toi, Jérémie, et de voir ton regard briller, mais cette fois, je voudrais te faire longuement l’amour en missionnaire, je veux être le seul artisan de ton plaisir. Puis aussi, je veillerai à te montrer le mien. — Longuement, hein ?’’ ai-je murmuré, avec un sourire lubrique. Ses belles intentions n’ont pas tenu, par ma faute, j’avoue que la première fois avec lui m’a donné goût à une possession plus virile et sauvage, j’ai écrasé les talons sous ses fesses pour l’inviter à accélérer le rythme de son pilonnage, jusqu’à ce qu’il s’immobilise, le corps tendu, les yeux écarquillés dans l’abandon, ses lèvres entrouvertes laissant s’échapper un gémissement rauque, pour lentement reprendre ses mouvements en moi, et provoquer ma troisième petite mort en une heure. … — Les parents ?’’ ai-je demandé en rejoignant la table du petit déjeuner, suivi par Nawal, comme moi en boxer. — Chez ceux de papa, on est dispensés du repas de midi, ne me remercie pas, je n’y tenais pas trop moi-même, j’ai menacé d’imposer Nawal, maman a souri en disant que ça provoquerait un double AVC à ses… pôôôvres beaux-parents. Sinon, tu as déballé mon cadeau ?’’ a murmuré Marie. — Ouiiiii ! Et j’ai déjà joué avec… trois fois. — Et vous avez eu la force de vous trainer jusqu’ici ? Trois fois, donc… Eh ben, quelle endurance ! — Tout le mérite lui revient’’ ai-je répondu, en passant les doigts sur le sexe du beau garçon un peu mal à l’aise toujours debout à côté de moi, qui grandit à vue d’œil sous le tissu. ‘’Et un peu à toi, tu es la meilleure sœur du monde, merci, Marie’’. RE: Joyeux Nawal ! Et bonne année (un truc me dit qu’elle le sera) – Concours de Noël - bech - 27-12-2022 Maintenant que les votes sont théoriquement terminés, je donne un avis sur les deux récits. Celui-ci est comme très souvent avec Jeremy comme auteur basé sur la psychologie des gens. Ici, le personnage narrateur, qui s'appelle justement Jeremy a un préjugé négatif envers le immigrés kurdes. Mais finalement Nawal se révèle un "sex toy" intéressant pour la nuit de noël. La sœur qui, comme par hasard s'appelle Marie a bien intuité. Récit sympa. |