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L'Apprenti-voyeur - Louklouk - 04-11-2022 L'apprenti-voyeur Florentin rentrait chez les parents de sa copine, Isabelle, quand il entendit des bruits... louches. Ça niquait, là-dedans, pas de doute !
Or en cette maison, il ne pouvait y avoir que le frère d'Isabelle, le gentil Kévin, puisque le reste de la famille était parti pour la fin de semaine visiter sa parentèle.
Lui-même était là par hasard : il avait loupé son train pour rentrer chez lui, et comme il avait la clé de la maison et y dormait souvent — les parents ayant l'esprit large —, il était naturellement revenu ici... plutôt qu'en sa sinistre chambre d'étudiant en ville.
Jusque là, rien d'anormal : il savait que le Kévin, dix-huit ans, n'était pas un enfant de chœur... mais la curiosité humaine le poussa à aller voir d'où issaient ces bruits... excitants.
Or la porte de la chambre de Kévin était entrouverte, et il n'eut même pas besoin de procéder à une effraction... Mais ce qu'il vit là lui coupa la chique : Kévin était en train de se faire bourriquer par un grand noir, et semblait apprécier le traitement !
Ha ! Il en fut saisi, le gentil Florentin. Car ce mec était un genre de grand naïf, et concernant son supposé futur beau-frère, il n'avait rien, absolument rien deviné !
Et là, il en avait pour son argent : car vu de dos, le noir était un genre de splendeur, grand, mince mais baraqué, et titulaire d'un p'tit cul carré et musclé s'agitant ès profondeurs de Kévin, qui gémissait tout haut, et encourageait son fouteur avec des mots, des mots !
Il ne fallut pas des secondes pour que ce gentil garçon se sentît pousser des ardeurs dans la culotte... et il se défit promptement pour s'entreprendre, et vivement, encore !
C'était incroyable, ce spectacle-là ! Kévin semblait adorer les coups de boutoir de son bel amant, qui donnait de sa personne, vraiment ! Oui, c'était chaud, tout ça, et Florentin se palucha avec une ardeur inconnue de ses services...
Au point qu'il finit par gicler comme jamais, en faisant des efforts surhumains pour ne pas gémir. Il fila vers la salle de bains, se lavocha vite fait et alla se calfeutrer dans la chambre d'Isabelle.
Peu après, il entendit des rires dans le couloir. Il éteignit tout, par précaution. Et il demeura ainsi, comme un fugitif cerné de toutes parts. Les autres firent d'abord du bruit dans la salle de bains, avant d'en faire dans la cuisine, qu'il pouvait même entendre... et il les aurait bien rejoints, car il avait une petite faim. Mais que faire, en cette occurrence ?
Il laissa passer le temps, et vers une heure, il s'assura qu'aucun rai ne passait sous la porte de Kévin pour aller discrètement à la cuisine.
Las ! Il venait à peine d'ouvrir le frigo qu'il entendit :
— Oh ! T'es qui, toi ?
— Chuuut ! Je... Je suis le copain d'Isabelle, la sœur de Kévin ! souffla Florentin.
— Mais... fit le grand noir, qui était à poil quand Florentin était en boxer, il sait que t'es là ?
— Non, justement ! Alors tu dis rien, s'te plaît !
Le mec rigola. C'était une beauté que ce noir-là, et son sourire avait de quoi faire tomber les murailles.
— On fait quoi, alors ?
— Rien ! Vous faites sans moi et... demain est un autre jour, voilà tout !
— T'es sympa, toi ! fit le mec en venant poser une main sur l'épaule de Florentin... ce qui fit frissonner celui-ci. Et beau, aussi... tu le sais, ça ?
— Euh... Non, mais merci, oui !
Il était impressionnant, ce grand mec-là, non tant par sa couleur ou sa magnifique complexion que par sa beauté, son regard et surtout son sourire.
— Bon, on verra ! murmura le mec. Moi, je suis Célestin, un bon pote de Kévin, qui m'a proposé de dormir là, vu que j'habite loin. On dira pas qu'on s'est vus cette nuit, tu veux ?
Florentin alla se coucher un peu rasséréné... mais tellement troublé aussi. Il avait déjà croisé des tas d'amis de Kévin, garçons ou filles de son lycée — lui était à la même fac qu'Isabelle, ces deux-là ayant vingt ans — et rien ne lui avait donné à penser que...
Et là... on passait au niveau supérieur ! Car les minets et petites filles qu'il avait vus céans sentaient le puceau à plein nez ! Or de toute évidence, Kévin ne l'était plus, lui...
Il finit par s'endormir, après avoir gambergé comme rarement. Au matin il ne pensait plus à rien, et il alla, en boxer, à la cuisine... où il tomba sur une mignonne scène de genre : Kévin et Célestin, nus, s'y embrassaient à pleine bouche, les mains sur les fesses.
Un petit bruit attira l'attention de Kévin qui, apercevant Florentin, repoussa vivement Célestin.
— Ooooh ! Mais t'es là, toi ? cria-t-il.
— Ouais... j'ai raté mon train.
— Oh putain !
— Pas d'embrouille ! J'ai rien, vu, je sais rien, j'm'en fous et je dirai rien, j'te jure, Kévin ! affirma Florentin qui ajouta à l'attention de Célestin : moi, c'est Florentin, le copain de sa sœur.
— Célestin, fit innocemment l'autre en tendant la main.
— Si vous voulez, je vous laisse déjeuner, et je reviens plus tard...
— Ben non ! T'es un peu chez toi aussi, si je comprends bien, fit Célestin, reste, tu gênes pas du tout !
Tel n'était pas l'avis de Kévin, qui était effondré. Mais comment contrer un Célestin qui entreprit de faire la conversation, questionnant Florentin sur ses études. Et le moment dura un petit temps, au terme duquel Kévin, un brin rasséréné, eut un nouveau petit choc :
— On a l'habitude de rester à poil, fit Célestin, ça te gêne pas ? T'en fais autant, bien sûr, s'tu veux !
— Euh... Oui... En fait, je vais retourner chez moi, alors...
— Dis-moi qu'on te chasse pas ! T'as dis que tu t'en foutais... T'es pas choqué, donc ?
— Ho ! sourit Florentin, chuis plus une petite fille quand même ! Et j'm'en fous, en fait...
— Bingo ! Tu restes, alors !
On se sépara et Florentin alla à la salle de bains. Il sortait de la douche quand Célestin entra sans prévenir, tout sourire.
— Ouaouh ! T'es nettement mieux sans ta culotte, tu sais ?
— Euh... Merci.
Avisant le boxer de Florentin, le bel Antillais s'en saisit et le renifla :
— Oh ! Ça sent le p'tit garçon sage, ça ! Euh... dis-moi : quand t'es rentré, hier soir, t'as fait quoi ?
— Ben... Euh...
— Tu nous as matés ? On n'avait pas fermé la porte, je crois me souvenir... hein ?
— Un peu, oui... reconnut Florentin, archigêné.
— Un peu beaucoup, j'espère, parce qu'hier, on était chauds, tous les deux !
Florentin rougit, et Célestin enfonça le clou :
— Est-ce que... tu t'es touché ?
Florentin écarlate, haussa les épaules, tandis que Célestin continuait à se frotter le visage avec son boxer... Et finit par avouer :
— J'ai un super fantasme : me faire mater par un hétéro. Puisque tu restes... en famille ici... on pourrait pas s'arranger une bonne petite séance ?...
— Mais... Kévin ?
— Maintenant que tu sais, et que t'as juré de la fermer, il est calmé... et j'me charge du reste. Y t'a d'jà vu à poil ?
— Oh... Une fois, vite fait par hasard.
— Bon ! Tu restes comme t'es, et on parle entre mecs.
Et Célestin de venir serrer fermement en ses bras un Florentin nettement dépassé... qui eut même droit à des bisous dans le cou !
Il prévint sa famille que tout compte fait il restait en ville... en s'abstenant d'en donner la raison, pensez !
Tout en tapotant son clavier, il songeait doucettement... Le programme proposé par le superbe Antillais était... invraisemblable, mais... ô combien excitant ! Et il se représenta sa petite vie tranquille avec une Isabelle pas farouche, mais guère aventureuse non plus, et cette extraordinaire occasion de sortir des sentiers battus...
Selon le conseil de Célestin, il avait laissé ouverte la porte de la chambre d'Isabelle, et Kévin s'y aventura :
— J'te dérange pas ?
— Non, bien sûr, pose-toi là.
— Je sais pas trop comment commencer...
— Facile : je vous ai vus, j'ai compris, et je dirai rien à personne : Kévin ! C'est un secret entre nous, et voilà, juré ! Et j'espère que tu vas pas te torturer avec ça, hein ? Je suis ton ami... et même, plus encore maintenant.
— T'es gentil... Célestin...
— ...est adorable, je confirme !
— Il va nous faire bouffer antillais, ce soir.
— Ça va être chaud !
— Oh, avec lui... ça l'est tout le temps ! lâcha Kévin.
Chute qui rassura Florentin : Kévin ne semblait pas traumatisé, et la suite des événements... serait sans doute plaisante. Il n'avait jamais été plus voyeur que ça, ce gentil mec, sauf quand les circonstances l'exigeaient. Mais là... somme toute, ça l'excitait bien, de mater !
— Je ferai tout ce que Célestin voudra, affirma Florentin, t'as d'jà remarqué que je reste à poil...
— Ouais... et c'est tant mieux pour le peuple, parce que t'es vraiment beau !
On pouffa et Kévin sortit. Décidément, pensa Florentin, les choses s'annonçaient gentiment. Il termina la matinée à s'occuper son son ordinateur, et quand il descendit à la cuisine, il y trouva Célestin occupé à sucer Kévin, qui avait les fesses sur la table. Le suceur lui fit signe de rester, et il se posa sur une chaise. Compte tenu de la situation, il ne tarda pas à se sentir pousser une mignonne raideur... mais il n'osa se toucher... jusqu'à ce que Kévin lui en l'intimât l'ordre, d'un geste fort expressif !
On ne tarda pas à parvenir à des extrémités qui virent d'abord Kévin déborder dans le gosier de Célestin, puis Florentin sur le carrelage ; enfin, Célestin se branla sur le museau de son amant, et zou ! Il y vint lécher son p'tit jus.
— Miam ! fit Célestin, tout sourire. Tu vois, dit-il alors à Kévin, je t'avais dit qu'il était gentil, ton beauf' !
On gloussa , avant de se servir un apéro de grenadier : de l'explosif, donc, concocté par l'incomparable homme des Isles... qui y alla de son commentaire :
— Kévin a exigé que tu nous filmes, Florentin.
— Nooon ! Il ment !
— Bref, tu vas nous filmer. Ce sera pour nos petits-enfants, quand c'est-y qu'on n'en fera plus autant !
Florentin restait sidéré par la santé mentale et l'humour du beau Célestin... et il constata aussi que Kévin semblait fasciné par ce mec. Comme il commençait à le devenir lui-même.
On déjeuna dans un festival de conneries et de cochonneries, et donc en riant tout le temps. Sortant de table, Célestin ordonna à Florentin, en le prenant doucement par le cou :
— Bon ! Va faire tes devoirs, gentil garçon ! On t'appelle dès que le casting est en forme !
Vers trois heures, Célestin parut :
— Amène ta gueule, beauté ! On a besoin de toi. En fait... j'adore niquer, mais... je suis toujours puceau du fion. Alors... ce que tu vas filmer, c'est mon dépucelage... Eh oui !
Gueule de Florentin ! Qui y alla, donc. Sous les ordres de Célestin, il se posa sur une chaise, dans tel axe, et avec telle lumière... Puis les acteurs s'engagèrent en un vibrant soixante-neuf, qui les mena vite à des duretés minérales, au moins !
Nul doute, pensa Florentin, que ces jeunes gens s'étaient entraînés avant de paraître en scène, car lorsqu'il lui fut ordonné de commencer le tournage, une dose de gel suffit à ouvrir la noire et mignonne rondelle de Célestin... qui gémit comme une jeune épousée, avant que Kévin s'activât virilement. Lui ne perdait pas de vue sa mission, et s'efforça de filmer selon tous les angles disponibles.
Et c'était bien mignon, tout ça ! Auparavant, il faut dire qu'il avait photographié la langue de son beauf sur la rosette de Célestin, et en gros plan...
Ajoutons qu'il avait commencé à bandouiller dès ce moment, et qu'asteur, il triquait comme un âne de concours !
Or donc Kévin bourrait gentiment avec une ardeur digne d'admiration, et cette chevauchée dura bien des quarts d'heure... Florentin ne filma pas tout, mais s'efforça de faire un reportage complet... et il ne manqua pas les hurlements de Kévin débordant en Célestin. Il n'avait pas prévu la suite...
— Viens ! hurla Célestin alors que Kévin se retirait, viens, vite ! Et bourre-moi, bébé, vite !
Et Kévin de tirer Florentin vers le lieu de l'action. Chaud comme tout, Florentin n'eut pas de mal à s'insérer en un Célestin hautement lubrifié par la cavalcade précédente.... Ouh ! La drôle de sensation ! Car ce trou-là était à la fois ferme, et bien glissant... Il ne réfléchit pas, en l'occurrence, et fourra comme un damné, aux sonores gémissements du bel Antillais... dont la chaude couleur l'excitait grandement, réveillant chez lui un vieux fantasme... Et Kévin filmait.
Célestin voulut in fine se mettre sur le dos, et ce fut en le regardant dans les yeux que Florentin jouit à son tour, en criant. Restait que le beau noir n'avait pas giclé, lui : il fit signe à Kévin de le sucer... et voilà qu'iceluy prit Florentin par le cou pour qu'il en fît autant...
Et ce fut sur les museaux réunis de ces jeunes gens que Célestin envoya une large rasade blanche...
Vautrés sur le beau et grand corps sombre, les mectons reprenaient leur souffle. Célestin souffla enfin :
— Merci, les mecs, vous avez été... géniaux. Florentin ?
— Ben... Je sais pas encore : faut que je réfléchisse, mais... oui ! C'était... super. Entre nous, n'est-ce pas ?
On éclata de rire, et ce fut un genre de serment. Qui lia ces Messieurs dès lors, et qui les vit mainte fois reprendre ces amusements. Avant que Kévin s'affirmât en famille... où Kévin aida Isabelle à comprendre les choses. Et les beaux-parents aussi, qui l'avaient à la bonne.
S'ils avaient su ! D'apprenti-voyeur, Florentin devint le meilleur ami de ce joli couple.
4. XI. 2022RE: L'Apprenti-voyeur - Philou0033 - 08-11-2022 Bonjour mon cher Louklouk, une nouvelle fois un très récit. Florentin l'hétéro qui passe de voyeur à cinéaste et enfin acteur, c'est très bien amené! Florentin est devenu l'ami très intime du couple et avec ce qui s'est passé cela se comprend. Merci pour ce bon moment de lecture! Je t'embrasse! Philou RE: L'Apprenti-voyeur - fablelionsilencieux - 10-11-2022 Coucou Louklouk, Comme toujours... appréciable et fort apprécié ! Même en noir et blanc, tu nous fais des histoires en technicolors. Des bizoux |