Récits érotiques - Slygame
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Re : Bébé - gaetanbg - 12-07-2022

Ils sont jeunes et beaux [member=156]KLO7514[/member] alors je pense que ça va être dour , dour et que ça va dourer .


Re : Bébé - Louklouk - 12-07-2022

Hello !
Petite remarque... J'ai lu ça quelque part :


Entrez en premier !

Le restaurant est l’exception qui confirme la règle. Il vaut mieux que ce soit Monsieur qui entre le premier… et qui tienne la porte à Madame.


Je crois que c'est aussi pour éviter à Madame un éventuel spectacle déplaisant à l'intérieur.


Re : Re : Bébé - stuka132 - 12-07-2022

(12-07-2022, 11:11 AM)Louklouk link a écrit : Hello !
Petite remarque... J'ai lu ça quelque part :


Entrez en premier !
Le restaurant est l’exception qui confirme la règle. Il vaut mieux que ce soit Monsieur qui entre le premier… et qui tienne la porte à Madame.


Je crois que c'est aussi pour éviter à Madame un éventuel spectacle déplaisant à l'intérieur.

En effet Cher Ami,  cela date du temps où les  estaminets etaient plutot mal famés .Ainsi en cas de bagare  ou de spectacle  degradant, la Dame etait protégée....
Comme pour les escaliers, on passe devant  madame.... pour eviter de voir  sous ses jupons!



Re : Re : Re : Bébé - fablelionsilencieux - 12-07-2022

(12-07-2022, 11:46 AM)stuka132 link a écrit : [quote author=Louklouk link=topic=356.msg13278#msg13278 date=1657617115]
Hello !
Petite remarque... J'ai lu ça quelque part :


Entrez en premier !
Le restaurant est l’exception qui confirme la règle. Il vaut mieux que ce soit Monsieur qui entre le premier… et qui tienne la porte à Madame.


Je crois que c'est aussi pour éviter à Madame un éventuel spectacle déplaisant à l'intérieur.

En effet Cher Ami,  cela date du temps où les  estaminets etaient plutot mal famés .Ainsi en cas de bagare  ou de spectacle  degradant, la Dame etait protégée....
[/quote]

Ce n'est plus tout à fait exact:
Il est l’heure de dîner, vous arrivez dans ce nouveau restaurant en vue. Qui entre en premier ? Pendant longtemps c’était le devoir de l’homme, mais les choses changent.

Pourquoi ? Traditionnellement, seulement l’homme réservait un restaurant, interagissait avec les serveurs et payait la note. Mais, parité oblige, désormais toutes ces activités peuvent se voir dévolues à madame également. Donc, si c’est elle qui a effectué la réservation c’est à elle d’entrer en premier ! A sa charge également de s’assurer que la table qu’elle a réservé est bien la bonne, pour le bon nombre d’invités.

Et, si le lieu vous est connu, rien n'empêche de laisser madame passer. Ce serait même recommandé !

Pourquoi ? Madame aura sûrement fait un effort vestimentaire, et il convient qu’elle reçoive l’honneur d’être admirée en premier.


Re : Bébé - gaetanbg - 12-07-2022

Je suis perdu là!
Donc quand un bateau coule avant c'était les femmes et les enfants d'abord comme ça quand les requins étaient rassasiés les hommes pouvaient y aller . Par souci de parité c'est aux hommes de se faire bouffer en premier ?
Plus sérieusement pour les escaliers ou une échelle je savais que les hommes montaient en premier . Par contre pour le resto je ne savais pas . 


Re : Re : Bébé - stuka132 - 13-07-2022

(12-07-2022, 04:38 PM)gaetanbg link a écrit : Je suis perdu là!
Donc quand un bateau coule avant c'était les femmes et les enfants d'abord comme ça quand les requins étaient rassasiés les hommes pouvaient y aller . Par souci de parité c'est aux hommes de se faire bouffer en premier ?
Plus sérieusement pour les escaliers ou une échelle je savais que les hommes montaient en premier . Par contre pour le resto je ne savais pas .

c est la bienseance )à la Française  ca  Monsieur......  on  fait  attention  on protege  dans les  lieux publics , on baisse les yeux pour ne pas  voir  ce qui est trop personnel ......  en esperant la culbuter apres  comme  une malpropre.... !!
pour le bateau  on s en fiche il y a les requins  avant!!



Re : Bébé - gaetanbg - 13-07-2022

Ce qu'il se passa ce soir-là dans leurs chambres, je le sus petit à petit le lendemain, au cours de la journée mais dans la nôtre ce fut chaud bouillant !
Je ne sais pas quelle mouche avait piqué Liam ce soir-là, mais déjà dans la douche il m'avait appuyé sur la tête pour que je le suce, puis, quand il en avait eu assez, il se retourna pour que je lui bouffe le cul.
Puis il me fit me relever et me fit "subir" le même supplice. Sauf qu'après m'avoir bien bouffé le cul, il me doigta en me suçant jusqu'à ce que je jouisse !
Puis une fois allongés sur le lit, il me releva les jambes et me prit assez farouchement. Il me fit mettre à quatre pattes et là, il se lâcha, un pistonnage de locomotive et, dans un râle puissant, il jouit en moi.
Sans prendre le temps de récupérer, il me poussa sur le dos. J'avais la queue raide et baveuse. Il la suça en salivant bien dessus, puis il vint s'assoir d’un coup de rein sur mon sexe turgescent. Il me chevauchait comme si sa vie en dépendait. Petit à petit son sexe reprenait de la vigueur, pour finir collé contre son ventre.
Sa queue mouillait grave et quand je voulus la branler, il m'en empêcha.
Tout d'un coup il se raidit et envoya une seule grosse giclée qui retomba sur ma figure. Il se retira, essoufflé, et s'allongea sur le dos en relevant ses jambes.
Message compris, c’était mon tour de travailler !
J'investis son antre d'une seule poussée et les coups de rein que je donnais, le faisaient reculer. Sa queue n'avait pas débandé et il gémissait toujours, de plus en plus fort même.
Je sentais que ça montait pour nous deux. Et quand Liam poussa un cri sourd et que ses muscles intimes se contractèrent sur mon sexe, je jouis à mon tour et je m'effondrais sur lui. Je sentais sa queue qui pulsait entre nous et quand on se sépara, on avait le ventre plein de sperme, sans compté celui que j'avais sur la figure et qui commençait à sécher. C'était désagréable ! Aussi, on alla se doucher.
Puis on s’endormit comme des masses.

Le matin quand on se leva la queue raide, on se fit un 69 qu'on fit durer le plus possible et on alla, après une bonne douche réparatrice, prendre le petit déjeuner.
Pas de Jim ni de Jane, pas plus de Rémi ou de Chad. On s'installa à une table et on alla se servir.
On avait commencé à manger quand Chad et Rémi arrivèrent se tenant par la main.
Ils avaient les yeux bordés de reconnaissance et je ne pense pas qu'ils avaient dû dormir beaucoup.
Ils se dirigèrent vers nous et Rémi nous fit la bise. Chad l’imita. Ils partirent se servir et revinrent s’installer à table.

- Alors, heureux les p’tits mecs ?

Ils rougirent et firent ceux qui n'avaient pas entendu ma question.

- Vous avez vu Jim ce matin ?

- Non, pas encore, il doit encore dormir.

- Ou s'occuper de Jane. Tu sais Bé, Jim, depuis que nos parents sont morts, n'a pas eu trop de temps pour lui. Il a galéré pour reprendre en main l'entreprise de nos parents, pour ça il bossait jour et nuit ! Sa vie sexuelle ? Je ne crois pas vraiment qu'il en ait eu une !
Des coups par ci ou par-là, oui, mais il mérite mieux. C'est un romantique et je suis surpris de ce qu'il a fait hier avec Jane ! J'espère juste qu'il ne sera pas malheureux après. Il s'attache vite aux gens ! Surtout aux filles je trouve.

- Mais dis donc, tu l'aimes ton frère ! Et là, on dirait que le grand frère c'est toi !

Rémi parla en français :

- Heu, je sais pas trop comment vous demander ça, à toi et à Liam. Mais je voudrais bien vous avoir quelques détails techniques parce que, autant lui que moi, on a une connaissance théorique du sexe, mais de la théorie à la pratique c'est différent alors si vous pouviez nous donner quelques conseils, ils seraient les bienvenus…Même si on a eu beaucoup de plaisir !

Chad demanda :

- Rémi! Tu dis quoi, t’as oublié que je ne comprends pas !

- Il disait que tu étais un gros pervers lubrique qui l'avait empêché de dormir toute la nuit !

- Mais, c'est même pas vrai, non ! C'est lui… enfin, c'est nous… pas que moi, quoi ! Oh, je ne demanderai plus ce que vous racontez!

Avec Liam on éclata de rire, tellement il avait rougi, puis plus sérieusement Liam lui dit :

- Il parait qu'entre la théorie et la pratique vous avez rencontré quelques problèmes techniques, alors si vous avez besoin de conseils, vous n'hésitez pas à nous demander.

-A vous demander quoi ? fit Jim qui arrivait

- Des trucs de garçon Jim ! Et si tu veux servir de testeur, avec Liam on se fera un réel plaisir de t'avoir comme cobaye !

- Jane, tu entends ça ! Ils veulent encore me violer ces satyres !

Habillée, Jane était mignonne, mais nue, c'était une beauté ! Il n'y a que son " ticket de métro " que je trouvais un peu ridicule. Eux aussi, se tenaient par la main et après être allés se servir, ils revinrent s'installer avec nous. Leurs cernes trahissait le manque de sommeil !
Je retournais me servir. J'avais faim !
On fit trainer le petit déjeuner, puis on alla chercher nos affaires et on partit se faire bronzer au bord de la rivière.
Chaque couple se tartina de crème et Jane se moqua un peu de nous, enfin de nos érections naissantes, pourtant elle, elle avait les tétons qui pointaient.
Il y avait Jane et Jim, puis Chad et Rémi et enfin moi et Liam.
Je donnais un coup de coude à Liam et en français je lui dis :

- Regarde les frangins, ils ont le même petit cul ! Un peu comme Tony et toi !

- Mais enfin, Bé, quand même ! Tu en as des comparaisons toi ! … Mais c'est vrai qu'ils sont mignons.

Rémi qui avait entendu notre conversation se retourna pour regarder à son tour.

- C'est vrai que c'est joli à regarder mais pas touche ! Celui-là il est à moi, le temps des vacances !

- Tu repars quand ?

- Je suis là jusqu'à fin aout. Je repars le 31 et je recommence les cours le 3 septembre et vous ?

- Moi, c'est comme toi, je reprends le 3, mais je repars dans huit jours hélas et Liam me rejoindra que mi-septembre car ses cours ne commencent que fin septembre.

- Putain, le bol ! Vous allez pouvoir rester ensemble ?

- On ne se verra que le weekend, mais c'est déjà ça ! Tu es originaire d'où Rémi ?

- De Lyon. Et toi ?

- Un petit bled dans les Alpilles au nord d’Arles. Mais je vais aller à Valence pour suivre mes cours. Mais Liam est à la fac de Lyon. Il fait un master en histoire de l'art et archéologie. Tu vas entrer en terminale, c’est ça ?

- hé oui, j'ai le bac cette année et après je ne sais pas ce que je vais faire. Tu vas faire quoi toi ?

- Je vais suivre des cours pour devenir infirmier. J'en ai pour trois ans d’études. Après je ne sais pas si je bosserai en libéral ou en milieu hospitalier. L'avenir me le dira et ça dépendra aussi de ce que Liam envisage pour son avenir professionnel. Mais on a encore le temps d'y penser. Tu sors sur Lyon ?

- Non, pas du tout ! disons que ma famille n'apprécie pas mon orientation sexuelle.
Mais comme je suis le petit dernier de quatre garçons et que deux sont déjà mariés et parents, que la pérennité de notre nom de famille à rallonge est assurée alors on me fout la paix, on me demande juste la discrétion sur mes frasques comme ils disent ! Je voudrais bien me trouver un petit copain mais ce n'est pas pratique en ne sortant pas. Et puis comme tu le sais mon cousin est gay aussi. Mais lui, vit à Paris alors il a la vie belle, sexuellement parlant. Pour le reste, c'est un gros con imbu de sa personne et ses amis ne sont pas mieux !

- Mais alors pourquoi tu es venu en vacances avec eux ?

- C'était ça, ou les vacances en famille chez les grands parents au fin fond de la Creuse, au château familial ! Alors le choix était simple ! Et les deux autres font aussi partie de notre milieu alors mes parents n'ont pas vu d'inconvénients à ce qu'ils me servent de chaperons ! S'ils savaient ! Mais Bé, dis-moi, toi et Liam ça fait longtemps ?

Je lui racontais notre rencontre.

- Et en plus vous allez pouvoir continuer à vous voir, c'est trop beau !

- Tu pourras voir Liam quand tu seras rentré. Il a son appart à Lyon et même une voiture. Tu pourras venir nous voir aussi le weekend si tu en as envie.
Je rentre plus tôt car je dois aller faire mes papiers pour mes études et avec mon coloc on doit aller signer le bail de location pour notre appart.

- Ton pote, il sait que tu es gay ?

- Oui depuis toujours, enfin, le jour où moi je m'en suis rendu compte, je le lui ai dit. Il m'a simplement répondu en riant que lui était hétéro et qu'il ne fallait pas que j’aie des vues sur son petit cul musclé !

- Il est cool ton pote.

- Oui, plus que ça même. On sera trois à la colloc. Il s'est trouvé une copine et elle suit ses cours sur Valence aussi, alors elle s'installe avec nous.

- Bé, je voudrais faire une surprise à Chad, tu aurais une idée ?

- Quoi comme surprise ? Un cadeau ?

- Non, je pensais à un truc plus… sexuel. Mais on a déjà fait pas mal d’essais hier. Alors je sais pas trop quoi lui faire pour le surprendre.

- J'ai une idée.

Je me penchais vers lui et je lui murmurais ce à quoi je pensais à son oreille. Il était rouge vif, mais il souriait.

- Je vais essayer, tu crois que ça lui plaira ?

- Je pense, en tout cas, ça plait à Liam !

- Qu'est ce qui me plait ?

- Je te montrerai ça ce soir. On va se baigner ?

On se leva et Rémi caressa le dos de Chad qui se réveilla.

- Tu viens te baigner avec nous ?

Chad allait se lever quand il se rallongea vite.

- Heu, oui, j'arrive dans un petit moment.

Puis se tournant vers nous il se mit de côté et nous montra sa queue raide. ça nous fit rire avec Liam mais du coup, Rémi plongea au sol, car la sienne avait suivi le mouvement !
On alla nager un peu jusqu'à ce que les quatre nous rejoignent et essaient de nous couler. On se calma finalement et Rémi et Chad s'éloignèrent un peu. Ils étaient face à face, la tête hors de l’eau, et étaient rouge jusqu’aux oreilles.
Jim et Jane étaient ressortis de l'eau et se faisaient des bisous.

- Bé, tu sais ce qu’ils font ces deux zouaves ?

- Viens, je vais te montrer.

On avait de l'eau jusqu'aux épaules et Liam fut surpris quand je commençais à le masturber sous l’eau. Une fois qu'il fut bien dur, je m'approchais de lui, je mis mon gland contre le sien et je nous masturbais avec mon prépuce.
La situation, l'excitation firent que l'on jouit assez rapidement. Les deux tourtereaux avaient dû jouir aussi car ils sortaient de l'eau ! On les suivit de près.
et vers dix-huit heures on remonta se doucher et on alla au restaurant.
Jane nous avait présenté à ses amis et le courant passait.

Le reste de la semaine se passa en sexe, baignade, resto et bronzette.
Rémi avec l'accord de Jim avait décidé de finir ses vacances avec Chad, chez eux à Monterey.
Jane habitait Salinas, pas loin de Monterey aussi, elle et Jim, allaient continuer à se voir et voir si quelque chose pouvait naitre de leur rencontre fortuite. Autant l'un que l'autre avaient bon espoir.
Puis ce fut le jour du départ. On suivit Jim, Chad et Rémi jusqu'à chez eux où l'on passa la nuit.
On repartit le lendemain et on s'arrêta chez Kaleb où l'on resta deux jours et on regagna Los Angeles.
Je profitais des quatre jours qui restaient pour aller dire au revoir à tous ceux que je connaissais et avec Liam on passa notre dernière nuit à faire l’amour.
Trois semaines sans se voir, ça allait être l'horreur !
Ni lui ni moi, on ne pleura quand on se sépara à l'aéroport mais à peine assis à ma place je laissais les vannes de mes émotions s'ouvrir ! Et la charmante mammy assise à côté de moi, versa sa larme de compassion quand je lui expliquais que je laissais mon cœur ici !
L'avion décolla et après avoir pleuré encore et encore, je finis par m’endormir.
Je dormis aussi presque tout le trajet de New York à Lyon où mon père m’attendait.
On se fit la bise et durant le trajet jusqu'à Valence je lui racontais mon voyage.

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Re : Bébé - KLO7514 - 14-07-2022

Après le plaisir et d'enrichissantes occupations en tout genre, il faut bien rentrer "at home" et songer un peu à l'avenir immédiat.
Donc, inscription en école annexée au CHU, si j'ai bien suivi.
On voit que le jeune Bé est, finalement, un grand sentimental et la séparation de son premier vrai amour lui fend le cœur (Pas, cependant, comme dans la partie de manille où le capitaine Escartefigue* "fend le cœur" de César le patron du bar de la Marine).
---------------------------------------
*Le capitaine du "Ferry-boâte" qui traverse le Vieux Port marseillais.


Re : Bébé - bech - 14-07-2022

Avec ce chapitre, le voyage aux États Unis de Bé se termine. Ces derniers chapitres auront été l'occasion de rencontres. Plutôt éphémères avec celles de Las Végas ou San Francisco, peut être plus durables avec celles du camping naturiste.

J'ai commencé à rédiger un commentaire la semaine dernière, mais il n'est fait qu'à la moitié des chapitres concernés. Et puis je pense que Gaetanbg est moins intéressé par des commentaires réguliers que d'autres auteurs.

Par contre, un truc qui doit se vérifier pour pas mal de monde (enfin, ça dépend si vous conservez les cookies à chaque fermeture du navigateur). Lorsque je regarde sur ce forum s'il y a du nouveau dans les textes que je suis, c'est en mode déconnecté. Et le design par défaut des pages de ce site n'affiche pas les noms d'auteurs avant chaque discussion, seulement leurs avatars lorsqu'ils existent. Mais plusieurs intervenants réguliers n'en ont pas. Pour ce récit, c'est le cas de :
  • gaetanbg
  • KLO7514
  • stuka132
Ce serait mieux si vous en mettiez un.
Une fois connecté sur mon compte, j'ai choisi le même design que pour les pages de https://forum.slygame.fr/ et dans ce cas, pas de problème.




Re : Bébé - gaetanbg - 15-07-2022

- Pa, tu as oublié de tourner, on a raté l’embranchement !

- Non, j'ai oublié de te dire qu’on a rendez-vous chez les gens qui vont vous louer l’appartement. C'est Tim qui a organisé ça pour qu'on n'ait pas à redescendre exprès pour. C'est les propriétaires qui veulent vous rencontrer avant de prendre leur décision.

Mon père avait sorti un plan et il me demanda de le guider. On était sur la bonne voie, on longeait le parc qu'on contourna. Voilà, on y était ! On alla jusqu'au fond de l'impasse et Tim, son père, et une fille avec une dame qui devait être sa mère, nous attendaient.
Putain ! Il avait fait fort le Tim, sa copine c'était de la bombe ! Marie était assez grande et elle avait tout ce qu'il fallait là où il faut !
Je fis la bise à Tim et à Marie ainsi qu'au père de Tim. Et j'allais pour serrer la main de la mère de Marie quand cette ci me dit :

- Je suis Sylvie, la maman de Marie, tu peux me dire tu et me faire la bise.

On sonna et deux vieux messieurs dans les 70 ans vinrent nous ouvrir. Tim me donna un coup de coude discrètement. Je lui fis les gros yeux !
Ils nous firent entrer dans le parc - qui avait l'air immense - et on alla jusqu'à la maison.
On s'attendait à un manoir ou quelque chose du genre mais pas du tout ! Il s'agissait d'une maison ultra moderne, un gros cube où on entra dans un hall impressionnant.

- Au rez-de-chaussée, vous avez un studio loué à un étudiant qui est déjà là et à l'étage, il y a notre appartement, et celui que nous louons. Si vous voulez bien nous suivre nous allons vous le faire visiter.

Ils ouvrirent la porte et wow ! Juste en face de la porte un escalier montait à l’étage et sur la droite un immense espace ouvert salon, salle à manger, cuisine. Des baies vitrées de partout. Le tout meublé avec gout et moderne. Et un balcon en L de deux mètres de large.
On grimpa à l'étage et là, deux belles chambres, très grandes, séparées par un couloir avec chacune sa salle de bain et ses toilettes ! Une grande baie vitrée donnait sur une terrasse de vingt mètres carrés où les propriétaires avaient installé un barbecue, des transats, et un salon de jardin.
Chaque chambre avait aussi deux bureaux, un grand placard, presque un dressing, un lit king size et deux chevets.
La visite finie, ils nous conduisirent chez eux et le contraste était flagrant ! Eux aimaient l'ancien ! Liam serait heureux ici. Que des meubles de luxe et des bibelots de partout !
Là c'est plus aux parents qu'ils s’adressèrent, caution, garanties ...
Je regardais la photo qui était sur la cheminée à côté de moi. C'était deux mecs et derrière eux le Golden Gate Bridge ! Avec Liam on en avait fait une du style et presque au même endroit.

- C'est Jean et moi, il y a des lustres quand on était jeunes. On est allé aux USA pour fêter la fin de nos études avant de commencer notre vie active. Vous connaissez ?

- Oui, j'y étais encore tout à l’heure, enfin hier. Désolé, je suis un peu perdu avec le décalage horaire. Et ça n'a pas changé du tout. J'ai presque fait la même.

- Je peux la voir ?

Je sortis mon téléphone et je cherchais et je la lui montrais. Il la regarda longuement et dit :

- En effet, ça n'a pas beaucoup changé. Un ami à vous ?

- Non, c'est mon petit ami. Il viendra me voir les weekends, enfin si vous nous louez l’appartement. Il est américain mais suit des études à la fac de Lyon.

- Pierre, as-tu quelque chose à ajouter ?

- Pour le parc, vous pouvez y aller autant que vous voulez et la piscine c'est le petit plus auquel vous avez droit aussi quand la saison le permet. Au fond du parc, il y a aussi un jardin potager où Jean et moi faisons pousser nos légumes et il reste une belle parcelle que notre âge nous a fait abandonner, donc si vous vous sentez une âme de jardinier vous pourrez vous occuper de toute la surface nécessaire. Je crois que j'ai tout dit. Comme vous êtes les dernières personnes que nous avions sélectionnées, si vous nous accordez un moment, nous pourrons vous donner notre réponse tout de suite.

On redescendit et on attendit dans le parc derrière. Les parents étaient tout aussi anxieux que nous. Et une demie heure après, Pierre et Jean sortirent. Leur visage n'exprimait rien.

- On peut signer le bail si vous êtes toujours intéressés.

On sauta de joie et on retourna chez les propriétaires pour les formalités administratives.
Ils nous donnèrent une clef à chacun, un passe qui ouvrait le portillon ou le portail d’entrée, la porte du hall, celle de l'appartement et celle de notre chambre. Ils nous donnèrent aussi le code de l’alarme.
On se serra la main et on partit, Marie avec sa mère, le père de Tim tout seul car bien sûr Tim monta avec moi derrière mon père.
Quand on arriva aux Fourches, mon père sortit et interpella le père de Tim et lui dit :

- Et on dit que les femmes sont bavardes ! Ils n'ont pas arrêté de parler une seconde, pendant tout le trajet ! On garde Tim à manger et à coucher, ils en ont encore pour des heures, si c'est pas des jours !

- Tu m'étonnes, un mois et demi sans se voir ! Ils en ont pour presque autant à tout se raconter… Quand tu en as marre d'eux tu nous les envoies !

- Bé, Tim, prenez les affaires dans le coffre et on va manger, j'ai faim et ta mère ne doit plus tenir en place !

La table était mise pour quatre. J'allais embrasser ma mère qui m'engueula !

- C'est comme ça que tu donnes des nouvelles toi ! Tous les quatre ou cinq jours un misérable message !

- Mais ! Tu voulais quoi ? Que je t'en envoie un tous les jours ?

- Oui, c'est ça ! Tu l'as bien fait avec Tim ! Enfin pas tous les jours, peut-être mais plus souvent qu’à ta mère !

- Chérie, laisse-le un peu tranquille ! Il avait autre chose à faire !

On mangea vite fait et après avoir débarrassé la table, avec Tim on monta à l'étage, on prit la douche ensemble et on s'allongea sur le lit, tout ça en continuant nos bavardages. Bien installé, on se remit à discuter, mais cette fois de choses de garçons !
Tim me raconta ses exploits sexuels avec Marie, moi je lui racontais les miens avec Liam, enfin on faisait ça à tour de rôle, si bien qu'on bandait comme des cerfs tous les deux et on se branla, chacun la sienne, bien sûr !
On finit par s’endormir. Et c'est Tim, me secouant, qui me réveilla.

- Bé, c'est presque huit heures ! Il faut qu'on se lève !

Mes parents étaient partis travailler et ne rentreraient que ce soir. Après un bon petit déjeuner on retourna dans ma chambre. Je branchais mon ordi et j'y transférais toutes les photos faites pendant mon séjour. Puis je commençais à les trier. Sur l’une d’elle on voyait Liam, nu et en érection.

- Putain Bé ! tu prends ça dans le cul ! Tu dois couiner grave !

- Bin même pas, et si je couine c'est de plaisir. Tu devrais essayer une fois ! Et jouisseur comme tu es, je suis sûr que tu apprécieras !

- Je suis pas un gros PD comme toi, moi ! Ho, putain ! c'est qui cette meuf ?

- Méli, la sœur ainée de Liam, elle est maquée avec mon cousin !

On monta un diaporama que je pourrais passer à la famille, pour expliquer mon voyage. On mangea un bout puis on alla se baigner nus à la rivière.

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Re : Bébé - KLO7514 - 16-07-2022

Retour à la bergerie. Il faut bien avancer un peu. M'est avis que Pierre et Jean sont de "sacrés apôtres" : déjà par les prénoms et puis leurs goûts domestiques des "belles choses". Nous sentons des gens de grande culture. Pas étonnant que les "p'tits jeunes" vont très apprécier cette présence. Enfin, ces deux messieurs semblent favoriser la jeunesse et ne paraissent nullement offusqués par l'aveu de Bé à propos de Liam.
Ah, au fait, Bé l'amateur de jardinage va donc se mettre à planter de jolies graines : des plants de tomates. Mais bien préparer la terre avec un peu de sable puis des orties au fond et  alterner  par des œillets d'Inde  pour éloigner certains insectes. Seulement ensuite, replanter les pousses de "tomatiers" Big Grin quand elles auront atteint une quinzaine de cm. Ne pas oublier les tuteurs. Et, en été prochain, déguster les excellents fruits. Et pourquoi pas, non plus, essayer des framboisiers?



Re : Bébé - gaetanbg - 18-07-2022

La semaine passa rapidement. Il nous fallut bien trois jours pour tout nous raconter avec Tim et je ne vous dis pas les conversations que j'avais avec Liam qui duraient des heures au téléphone ! Tim se foutait de ma gueule mais ce n'était pas mieux pour lui qui passait sa journée à pianoter sur son tel avec Marie !
Samedi, mon frangin arriva avec sa copine qui était de plus en plus grosse et ma sœur et son chéri étaient là aussi. Ma mère avait aussi invité mes grands-parents et l'arrière-grand-père et sitôt le repas fini j'allais chercher mon ordi et je passais le diaporama que j'avais fait.
Je commentais au fur et à mesure chaque photo.

- Papé, tu les reconnais ?

- C'est qui c'est deux vieux chnoques ?

- Tes amis du maquis !

- Bin, je suis mieux conservé qu'eux !

On éclata de rire parce que pour être franc, il était chiffonné comme eux ! Mais bon, à 90 ans passés, on ne peut pas être et avoir été !
Le Papé essuya discrètement une larme qui perlait au coin de son œil et personne lui fit remarquer son geste.
Et, ce n'est qu'après avoir soupé avec les restes du midi que les grands parents et le Papé repartirent.
Avec Tim, on partait demain avec mon frangin. On allait passer la nuit chez lui puis on irait à la gare prendre le train pour Valence.
Mardi je devais aller à l'école d'infirmiers pour mon inscription et le mercredi Tim devait aller dans son lycée agricole pour la sienne. Et on ne rentrerait que le mercredi dans la journée.
L'excuse officielle, c'était qu'on n'avait pas de correspondance pour rentrer facilement et l'officieuse c'était que Marie venait aussi mardi s'inscrire et Tim voulait Ken avec elle !
Et en plus on avait trouvé un train qui partait de Valence à 12 h 55 qui nous faisait arriver à Arles à 14 h 39. On avait décidé de voyager léger parce que le samedi, le père de Tim nous emmènerait en voiture afin de déménager le gros de nos affaires.
On était sur le quai de la gare, on venait de descendre du train. Le temps de nous repérer et dix minutes plus tard on était devant le portillon. On ouvrit et on entra. J'allais enfiler la clef dans la porte du hall quand celle-ci s’ouvrit.
Un mec sortait et faillit me tomber dans les bras.

- Oups, salut, désolé, je suis Joris. J'habite le studio du rez-de-chaussée.

- Salut, je suis Jean François dit Jeff ou Bé.

- Salut, moi c'est Timéo dit Tim.

- Venez, j’irais faire mon tour plus tard, je vous offre un verre comme ça on pourra faire connaissance.

On le suivit jusque chez lui. Joris était un petit blond d'un mètre soixante-quinze tout au plus et devait faire une cinquantaine de kilos tout mouillé. Il devait être assez sportif car ses vêtements laissaient voir des bras et des jambes musclés. Et son bermuda mettait en valeur ses petites fesses rebondies.
Il nous fit entrer dans son studio. Tout était en ordre.

- Mais c'est plutôt grand pour un studio.

- Oui, il fait trente-deux mètres carrés.

Il nous fit asseoir et nous proposa à boire. On parla de nos études et comme moi il allait suivre des cours à l'école infirmière.

- Cool, on pourra y aller ensemble et bosser nos cours tous les deux. Demain tu y vas aussi pour faire les papiers ?

- Oui, on est venu exprès, moi c'est demain et Tim c'est mercredi, après on repart et on revient samedi avec nos affaires. Les proprios sont pas là ?

- Non, ils sont partis trois semaines en Espagne. Ils ont laissé des consignes pour le jardin et la piscine. Mais vous ne deviez pas être trois normalement ?

- Si, mais Marie ne viendra que ce soir et elle reviendra s'installer dimanche.

- Ha d’accord, vous avez une fille dans la colloc ! Vous n'avez pas peur que ça crée des tensions ?

- Non pas du tout, Marie est la copine de Tim et moi je suis gay. Alors ça ne vas pas créer de problèmes entre nous. Au fait ça ne te gêne pas que je sois gay ?

- Non pas du tout, je n'ai aucun aprioris contre les gays. Mieux même! Je suis gay aussi. C'est un peu pour ça que Pierre et Jean m'ont choisi. Et c'est surement aussi pour ça que vous avez été pris. Vous aurez remarqué que les proprios sont gay aussi.

- Oui, bon après, ça ne nous regarde pas ! Au fait tu as repéré pour aller à l'hôpital en bus ?

- Heu, non pas encore. Mais Jean m'a dit que le 10 était direct pour y aller. Il faut juste marcher jusqu'au boulevard à 500 m d’ici. Vous avez le permis vous ?

- Non, on a eu 18 ans depuis peu et là où on habite, il n'y a pas d'auto-école. Et toi tu as le permis ?

Il se mit à rire. Il avait un beau rire cristallin.

- J'ai tout juste 17 ans depuis le mois de juillet, alors il va falloir que j'attende encore un an avant de le passer. J'ai un an d’avance. Mes parents voulaient que je redouble et que je fasse un autre bac mais j'ai insisté et ils ont cédé. Vous venez d'où ? Avec l'accent que vous avez si vous me dites que vous venez de Paris ou de Lille je ne vous croirai pas !

- On vient des Alpilles, c'est en dessus d'Arles pour te situer le coin. Et toi tu viens d'où ?

- Du Vercors, vers Vassieux en Vercors. Une ferme isolée. Chez nous le trajet ne se compte pas en kilomètres mais en temps. Il faut pas loin de deux heures trente pour rentrer chez moi, en voiture. En car il faut compter quatre heures. J'étais en partance pour voir justement les modalités d’abonnements aux bus et lesquels prendre. On pourrait se renseigner pour le tien, Tim, et aussi celui de ta copine suivant où elle va faire ses études.

- Elle les fait au même endroit que moi, donc ça va le faire.



On marcha une petite demie heure pour arriver au pôle des bus et se renseigner.

- Il faudra revenir quand vous aurez vos cartes d’étudiants. Je suis persuadé que vous me dites la vérité mais sans la carte, je ne peux rien faire.

Le préposé nous renseigna sur les bus. Pour Joris et moi c'était simple le 10 à l'allée comme au retour. Pour Tim et Marie c'était plus compliqué. N'importe quel bus pour aller jusqu'au pôle bus et de là le 33. On acheta un carnet de tickets pour le lendemain. Et on rentra.

- ça vous dit la piscine ?

- On n'a pas de maillots.

- Je peux en prêter un à Tim et encore il va être serré dedans mais pour toi Jean François je peux rien faire.

- Bah tant pis, on se baignera en boxer, avec le soleil ils seront vite secs !

On y alla et on plongea. L'eau était bonne. Tim essaya de me couler, comme d'habitude, il n'y réussit pas et quand je sortis de l'eau mon boxer descendit jusque sous mes fesses.

- La lune en plein soleil ! Bé, tu as fini de faire l'exhibitionniste !

- Tu n’as presque pas de marque, tu fais du naturisme ?

- Quand je peux oui, j'aime bien ça.

Il baissa un peu son maillot de bain et lui aussi n'avaient pas de trace de maillot.

- Tu vois Tim, Y'a que toi qui est vieux jeu !

- Ha je suis vieux jeu !

Il quitta son boxer, remua des fesses, puis se tourna vers nous fit balancer son sexe et plongea.

- Alors c'est qui qui est vieux jeu maintenant ?

On l'imita et on se retrouva tous les trois à poil dans la piscine. puis on ressortit et on s'allongea sur les transats.
On apprenait à se connaître par une conversation question, réponse, question… Tim demanda à Joris :

- Tu as un copain ?

Il rougit.

- Je suis puceau. Mais j'espère bien ne plus l'être rapidement ! et toi Jeff tu as un copain ?

- Oui, il s'appelle Liam, il arrive en France dans deux semaines et il est étudiant en master sur Lyon.

- Il est en vacances à l'étranger ? Il est de Lyon ?

- Non, il est américain. Attends, je te montre à quoi il ressemble.

Je sortis mon téléphone et je lui montrais des photos de Liam.

- Wow, il est beau lui aussi. Mais je te trouve plus joli quand même. Enfin, je veux dire que ton gabarit me plait plus que le sien.

Il se tut et éclata de rire à notre plus grande surprise.

- On peut savoir ce qui te fait rire comme ça ?

Il rougit un peu et se lança.

- Je nous imaginais toi et moi en train de faire l’amour, je mourrais étouffé ou écrasé 1000 fois par toi ! Et c'est sans parler de ce que tu as entre les jambes, ça m'éclaterait en deux !
Ou si on voulait faire un 69, il faudrait que tu te plies en quatre pour pouvoir me sucer !

Tim et lui étaient pliés de rire. Je me levais, je le pris par les chevilles ce qui lui fit pousser un cri aigu. Je le soulevais à bout de bras jusqu'à ce que son sexe arrive au niveau de mes lèvres et je soufflais dessus. Lui me fit un bisou sur le sexe.
La tête toujours en bas il me dit :

- Tu as le choix, tu me reposes ou je taille ma première pipe.

Je m'approchais de la piscine. Il comprit.

- Non Jeff, pas ça, je suis à peine sec !

Je le lâchais et il entra dans l'eau sans bruit. Il remonta à la surface, il riait tellement qu'il but la tasse. Il me tendit la main pour que je l'aide à sortir et il essaya de me tirer dans l’eau. Ce traitre de Tim me poussa au cul, - au propre, pas au figuré - et je me retrouvais à l’eau en culbutant au-dessus de Joris.
Tim et Joris étaient hilares. Tim plongea et vint nous rejoindre. Je m'approchais de lui, menaçant, il se coula tout seul.
On ressortit et on se re-sécha au soleil. On enfila nos boxers et alors qu'on allait rentrer, le portillon s'ouvrit et Marie entra avec sa mère. Bon on était en boxer, c'était déjà ça !
Joris rentra dans son studio et nous on aida Marie à monter ses affaires.

- On est dans quelle chambre Tim ?

- Choisis celle que tu veux, avec Bé on prendra l’autre.


Fit il, en me faisant un clin d’œil.

Elle avait commencé à monter les marches puis se retourna.

- Tu as dit quoi là ?

- Je t'ai dit, choisis une chambre et Bé prendra l’autre. De tout façon on s'en fout, c'est les mêmes !

Tim, Sylvie et moi on se bidonnait. Marie n'y comprenait rien.

- Mais pourquoi vous riez à la fin ?

- Pour rien ma chérie, c'est nerveux, la joie de te voir !

La mère de Marie murmura entre ses dents :

- La pauvre, je la plains avec deux lascars comme vous !

La mère de Marie ne s'éternisa pas et sitôt qu'elle fut partie, Tim prit Marie par la main et ils montèrent en riant.

- Trainez pas trop ! C'est bientôt l'heure de manger !

- Au chorizo pour moi la pizza sans poivron et aux quatre fromages pour Marie ! On mangera froid si on traine trop ! Ne vous occupez pas de nous !

Je regardais un moment la télé et comme ça me gonflait j'allais faire un tour jusqu'au jardin où Joris arrosait les plans.

- Tu veux leur apprendre à nager ou les noyer ?

Il sursauta.

- Putain ! t'es con ! Tu m'as fait peur !

- C'est pas comme ça qu'on arrose. Tu poses le tuyau dans la raie et tu attends que l'eau arrive jusqu'au bout. Et en attendant tu arraches la mauvaise herbe entre les raies.

Il éclata de rire, à la limite de s’étouffer.

- Mais qu'est-ce que tu as, à rire comme ça ?

Entre deux éclats de rire il réussit à me dire :

- On n'a pas de mauvaise herbe dans la raie mais lui est plutôt fourni.

- Je ne comprends pas la blague.

- Toi et moi, on est rasé ! Tim faudrait franchement défricher.

- Ha oui, c'est vrai que de ce côté-là il est vraiment poilu !

- Si Marie est comme lui, vous allez vous ruiner en cure dents, ou ils vont zozoter !

On éclata de rire.

- Y'a une pizzéria pas loin qui livre ou qui fait des pizzas à emporter ?

- Oui, il y en a une mais il vaut mieux appeler une autre plus loin, les pizzas sont meilleures et plus grosses et le livreur je t'en parle même pas ! Une bombe sexuelle encore plus beau que toi !

- Bon au lieu de dire des âneries change donc le tuyau de raie, l'eau est arrivée au bout.

On passa ainsi une heure à discuter de tout et de rien. Une fois le jardin arrosé on alla chez lui et on commanda nos pizzas.

- On les aura vers vingt heures.

  Ça faisait déjà deux semaines qu'il était là. Lui aussi courait tous les matins et il faisait de la gym à un haut niveau. Mais il voulait se mettre à la muscu pour se faire un peu plus les bras et les pecs. Il me demanda si je ne voulais pas en faire avec lui.

- ça dépendra du prix, parce que ma bourse n'est pas très grosse et je ne voudrais pas trop pomper mes parents.

- Oui, je comprends mais ne t'en fait pas, c'est un club de fitness qui dépend d'une association et pour les étudiants c'est juste une cotisation annuelle de 20 euros et ça te donne droit à la salle de sport et à une piscine en ville.

On sonnait au portail. On alla ouvrir et le mec en moto quitta son casque et sourit.
C'est vrai qu'il était beau gosse mais pas tant que mon Liam ! Et bien moins beau que moi !
Je payais et je laissais un bon pourboire. Il me remercia et repartit.

- Putain Jeff, tu as vu ce sourire qu'il a !

- Je regarde plutôt son cul ! Et oui c'est du lourd ! Tu m'invites à manger chez toi ?

- Bien sûr, mais on n'attend pas Tim et Marie ?

- On peut si tu veux manger froid ! Je vais monter leurs pizzas. Ils se débrouilleront!

On ne revit pas Tim et Marie jusqu'au lendemain matin. Et encore pas de bonne heure.
Le matin j'avais vu qu'ils avaient mangé leurs pizzas et ils devaient dormir.
On alla jusqu'à l'école où des étudiants nous expliquèrent comment fonctionnaient la sécu étudiante, la mutuelle ...
Une fois les formalités effectuées, notre carte d’étudiant en poche on alla faire celles pour les bus. On tomba sur le même gars qu’hier. Il nous demanda la carte d’identité, notre carte d'étudiant et il revint quelques minutes après avec les deux titres de transport.
On paya et on repartit à pied. Je montais à l'étage et Marie et Tim étaient à table en train de boire un café.

- Salut les amoureux, ça va ?

- T'étais où, Bé ?

- Comme vous ne vous leviez pas, avec Joris on est allé à l’école, on a fait ce qu'il fallait et on a même fait notre carte pour les bus. Vous je vous demande pas !

- Gna, gna, gna ! Jaloux !

- Attends que Liam vienne, tu verras si je suis jaloux !

- On fait quoi aujourd'hui ?

- Cet après-midi tu veux dire. Je venais voir si vous vouliez venir manger avec nous. Il y a un Flunch pas loin.

- T'en penses quoi Marie ?

- Ok, oui, j'ai pas trop faim mais ça me permettra de voir un peu la ville. Et après on rentre !

On alla manger, on fit un tour dans les rues piétonnes et on rentra. Je montais récupérer ma serviette et je rejoignis Joris à la piscine. On se mit nu et on plongea.
On fit des longueurs puis on sortit et on s'allongea au soleil.

- Jeff, je peux te poser une question indiscrète ?

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Re : Bébé - KLO7514 - 19-07-2022

Installation et prise de contacts. Un Tim esseulé (pas le p'tit copain de Marie). Que va-t-il donc demander à Bé? (Sa couleur préférée pour ses sous-vêtements, je parie ! Big Grin.  Il voudrait lui offrir un joke-strap).


Re : Bébé - emmanolife - 19-07-2022

Ah ! Si j'avais su, je serais allé faire des études d'horticulture à Valence...  8)


Re : Bébé - bech - 20-07-2022

Sympa Joris.

Et peut être que ça fera un copain pour Rémy s'il passe dans le coin, vu que Chad est quand même assez éloigné.

Sinon, un boxer qui tombe et montre un bronzage quasi uniforme, c'est l'occasion de s'avouer réciproquement qu'on est naturiste. Du coup, ils ne feront plus de chichis pour se baigner. En fait, j'avais été surpris qu'ils parlent de maillot et boxer avant de faire trempête.