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Le cambrioleur - Version imprimable

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Le cambrioleur - Moloch - 24-10-2021

Bonjour à tous et aux autres.

En attendant la suite de Genesia, je vous livre un petit récit que j'ai écrit il y a quelques temps.

Pour ceux qui m'ont suivi sur Docti, je reprends un de mes personnages de ''Passe ton bac d'abord''.

ATTENTION sexe brutal...


Le cambrioleur







Je suis allongé sur mon lit en boxer. Les mains derrière la tête je somnole. Je repense au dix derniers jours... ces dix jours que j'ai passé avec mon Eliott. Nous n'avons pas quitté son appartement. Nous avons fait l'amour comme des bêtes dans toutes les pièces et dans toutes les positions avec frénésie...

Eliott... un petit mec de vingt ans, épais comme un cerceau avec une belle petite gueule et des grands yeux bleus qui me font craquer... complètement craquer... et avec un petit cul chaud, doux et accueillant dans lequel je suis si bien... si foutrement bien...

Moi, Maximilien Morel, 35 ans, prof de philo, rugbyman, ceinture noire et rouge de full contact, 1 mètre 90 et 100 kilos de muscles amoureux d'une petite crevette à qui j'ai donné des cours particuliers... et qui m'a sauté dessus... ou plutôt sur ma ma bite, en fait... et qui m'a donné, avec sa bouche et son petit cul, un plaisir qu'aucune meuf ne m'a jamais donné...

Au début, j'ai voulu résister... moi qui n'ai jamais baiser que des femmes, moi qui n'ai jamais aimé que des chattes trempées et des nichons lourds et pommelant, je ne peux pas être attiré par un mec... et encore moins par un minet qui pourrait être mon fils...

Mais je n'ai pas pu... je suis tombé définitivement, irrévocablement et irrémédiablement amoureux de ce petit mec tout mignon...

Au début, je n'étais avec lui que pour le sexe... parce que mon Eliott est une véritable petite chienne au pieu... et il aime la bite... et pas qu'un peu... Mais je me trompais de nouveau... même si j'adore le baiser... non, pas le baiser, lui faire l'amour... j'adore être avec lui... le regarder dormir, serrer son petit corps fluet dans mes bras musclés, couvrir sa belle petite gueule de bisous, en terminant par le bout de son mignon petit nez et l'entendre éclater de rire... je l'aime, il m'aime et j'adore ça...

*
*    *

Dans un demi-sommeil un bruit attire mon attention. Je tends l'oreille... nouveau bruit... des meubles ouverts et des sortes de raclements de tiroir... un cambrioleur... Évidemment, j'ai été absent pendant dix jours, il a du penser que l’appartement est vide...

Je me lève silencieusement et entrouvre la porte de ma chambre. Mon appartement n'est pas grand et j'ai une vue imprenable sur le salon. Il y bien un mec avec une lampe torche. Des tiroirs ouverts et leur contenu sur le sol, il fouille. Il est habillé d'un t shirt noir et porte une cagoule. J'espère qu'il n'est pas armé... j'ai pas envie de me prendre une bastos ou un coup de couteau pour quelques babioles...

Malgré mon poids et ma taille, je suis plutôt rapide et silencieux. Je me jette sur lui... et un quintal de muscles qui vous saute dessus par derrière, ça surprend... Le voleur tombe au sol. Il veut se débattre, mais c'est peine perdue. Je lui fais une clef de bras qui m'aurait valu les félicitations de mon maître d'arts martiaux et il gémit de douleur.

J'avise un gros rouleau de scotch marron et lui lie les mains et les chevilles avec. Je le retourne sur le dos.

Alors, alors, qu’avons nous là ?

Je lui enlève sa cagoule. C'est un jeune mec d'une vingtaine d'années, un visage ovale et lisse et des cheveux châtains.

Qu'est-ce que je vais faire de toi ?
Vous allez me livrer aux flics ?
Ouais, et tu iras en tôle...
On peut pas s'arranger... je vous aide à tout remettre en place... j'ai rien cassé... c'est la première fois que je fais ça... c'est pour manger... s'il vous plaît, monsieur...

Il ment. Je suis sûr qu'il est déjà connu des services de police... il est peut-être même en conditionnelle... la prison ne sert jamais à rien, sauf à transformer des voleurs à la tire en braqueurs de banque...

Je le regarde. Il est plutôt mignon et une pensée me vient en tête. J'essaie de la chasser mais elle s'incruste. Une pensée vile et dégueulasse..

Tu as raison, on peut s'arranger. Si tu ne veux pas que j'appelle les flics, tu vas devoir... me sucer...



*
*    *


Soyons clairs, je suis amoureux de mon petit Eliott. Mais je n'ai jamais connu que lui... Enfin non, il y a eu Rémi aussi, un de ses potes, mais j'étais dans un état second à ce moment là... mais bref, je n'ai jamais essayé un autre cul que celui d'Eliott. Et là j'ai un petit mec à ma merci... alors, pourquoi ne pas essayer...

Ça va pas, non ?! Je suis pas pédé ! Je préfère encore les flics...
Ah ouais ? Tu préfères que tout une prison te passe dessus ? Et puis de toute façon je ne te laisse pas le choix. Tu me suces et tu t’appliques, et je te laisse partir. Si tu te rebiffes, non seulement j'appelle les flics mais je te pète la gueule avant... Allez, ouvre la bouche !

Il garde la bouche fermée. Je lui assène un grande gifle

T'as entendu ? Ouvre la bouche !

Nouvelle gifle pour qu'il comprenne que je ne plaisante pas et il ouvre sa bouche.

Je vire mon boxer et je le vois regarder ma bite, les yeux écarquillés.

Bon, c'est vrai, j'ai une queue hors norme. Extrêmement longue et extrêmement épaisse. C'est pour ça que c'est si bien avec mon Eliott. Lui, il arrive sans problème à me sucer comme un goinfre en gorge profonde et à prendre ma bite jusqu'à la garde dans son joli cul. Alors que la plupart des meufs renonçaient fasse à mon engin...

Ouvre grand, petite salope, t'as vu la taille du morceau... Et si tu y mets les dents, je te démonte la gueule, compris ?

Il acquiesce, ouvre la bouche en grand et je lui fourre ma queue.

Bordel quel pied. Elle est chaude et humide sa bouche, et il arrive à me prendre sans y mettre les dents... je reste ainsi un petit moment, le temps qu'il s'habitue, et lui dis :

Allez, suce et je veux sentir ta langue...

Il enveloppe d’abord mon gland avec sa langue et commence à hocher la tête. Je le laisse faire un petit moment puis lui bloque la nuque pour lui mettre toute ma bite dans la bouche. Il suffoque, tousse, crachote et je ressors ma queue, et la lui remets bien à fond. Ça m'excite pas mal de voir ma queue dégoulinante de salive et le regarder galérer sur ma bite me plaît pas mal aussi.

*
*    *



Il est plutôt doué le môme... tellement doué que je me demande si c'est vraiment la première fois qu'il suce une queue.

Je mets une main sur son entrejambe et sens, à travers l'épaisseur de son jeans noir, quelque chose de dur et de raide.

Je lui retire ma bite et déboucle sa ceinture.

Eh, mais qu'est-ce que tu fais ?!

Je déboutonne son pantalon. Il se rebiffe mais une nouvelle gifle le fait se calmer. Je lui abaisse son jeans et son boxer et me retrouve face à sa bite. Une jolie bite assez longue, plutôt épaisse et fièrement dressée contre son ventre.

Mais tu bandes, petite chienne, et pas qu'un peu... c'est sucer ma grosse queue qui te met dans cet état ?


Il rougit, je souris.

Je prends sa bite dans mon poing et commence à le branler lentement en pressant sa bite qui palpite. Je remarque qu'il fait des efforts pour ne pas montrer qu'il aime ça, mais je le vois. Ses yeux se ferment et sa respiration s'alourdit. Et enfin, un gémissement...

Je souris de nouveau et me mets au dessus de lui, tête bêche.

Suce...

Il reprend ma bite dans sa bouche et je me penche pour prendre la sienne. Nous nous mettons à nous sucer mutuellement. La première fois que j'ai sucé Eliott, j'avais peur que ça me dégoûte, surtout quand il a jouit dans ma bouche, mais je me suis vite rendu compte que j'adore ça. C'est hyper gratifiant pour mon petit (énorme) ego de faire jouir un mec juste avec mes lèvres et ma langue.

Je m'applique. Je suçote son joli gland rose et joufflu, le laisse ressortir un peu et l'aspire de nouveau, en serrant bien les lèvres, puis pars à l’assaut de cette belle queue, jusqu'à ce que je sente son gland au fond de ma gorge. Je reste ainsi un long moment jusqu'à ce que je commence à manquer d'air, et remonte lentement, et repars, encore et encore... Nous gémissons à l'unisson, gémissements étouffés par le morceau que nous avons en bouche...

Je lui caresse les couilles et le suce avec avidité. Ses gémissements sont de plus en plus rapprochés, et soudain, sa bite pulse dans ma bouche, la noyant de plusieurs jets de sperme chaud. Je lui retire ma queue, me mets face à lui, lui enserre la mâchoire pour qu'il ouvre la bouche et recrache son foutre dans sa gorge.

Avale !

Il refuse. Je le gifle et le vois déglutir. Il fait une grimace quand le liquide amer passe sur ses papilles.

Je le regarde.

T'as aimé te faire sucer par un mec, hein ?

Il ne répond pas.

Tu vas voir, petite pute, tu vas encore plus aimer la suite...
Mais, t'avais dit que si je te suçais tu...
Ouais, mais toi t'as jouit, pas moi...

Je me lève et, la bite au garde-à-vous, je vais vers la cuisine. Je prends un long couteau et reviens vers lui. Il écarquille les yeux.

Qu'est ce que... qu'est ce que tu vas faire ?

Ça me plaît assez de le voir flipper comme ça.

Je commence à couper son t shirt pour le dénuder. Il est assez fin, mais pas maigrichon. Il a de jolis muscles finement dessinés et n'a pas un poil sur le corps. De jolis tétons rose tendre se découpe parfaitement sur sa peau blanche. Je le caresse du bout des doigts. Il frémit sous mon passage et sa peau est très douce.

Je tranche le scotch qui lie ses chevilles et le débarrasse de son pantalon et de son jean, après avoir enlever ses chaussures et ses chaussettes. Il est complètement nu devant moi et je bande encore plus fort.

Je le soulève et le jette sur le canapé, sur le ventre. Je me couche de tout mon long sur lui, ma bite venant se nicher entre ses fesses, et lui murmure à l’oreille, d'une voix rauque :

Je vais te baiser, petite salope. Je vais te faire japper, chienne.
Non, non ! Je suis pas pédé, je...
Ta gueule, petite pute, tu m'excites trop. Je vais t'en mettre plein le cul. Et tant mieux si c'est ta première fois, ça sera encore plus serré...

Je le laisse ainsi et vais récupérer le gel silicone dans ma table de chevet. Je reviens vers lui et lui claque les fesses. Je les écarte de mes mains. Gros plan sur son petit trou. Je laisse tomber de longs filets de salive sur son œillet et plonge en avant. Et je me mets à le laper comme un dingue, lissant les plis et replis de son cratère onctueux. Après un petit moment de ce doux traitement, son cul a capitulé et se laisse déflorer par la pointe dardée de ma langue lubrique, rapidement remplacée par un, deux et trois doigts. Je les fais aller et vernir et tournoyer pour préparer l'arrivée imminente de ma grosse queue Je bande comme un âne et je meurs d'envie de le baiser comme une bête.


*
*  *

Je fais claquer ma bite contre ses fesses, pour lui montrer à quel point elle est dure, et la tartine copieusement de gel. Il frisonne quand le lubrifiant coule sur son cul et gémis quand je lui en met juste à l'entrée de son petit trou, sur la profondeur d'une phalange.

Prêt à te prendre la grosse queue de ton maître, esclave ?
Non, je t'en supplie, non...
Ta gueule, salope, ça te passera l'envie de venir voler chez moi...

Je positionne mon gland contre son œillet et pousse. Son cul convulse contre ma queue, mais je m'en fous complètement. Je force le passage et m'enfonce en lui jusqu'à la garde. Il couine et mord le coussin, la douleur lui coupant le souffle. Je reste planté en lui un petit moment.

Putain ce qu’il est étroit ton cul !

Je commence à me retirer de quelques centimètres, que je lui remets aussitôt, en faisant claquer mon bas ventre contre ses fesses rebondies. Et je me mets à le limer, à le ramoner. Je le pilonne, le martèle et lui rosse la prostate à grands coups de bite puissant, en l'insultant :

Tu t'attendais pas à ça en venant chez moi, hein, salope. Je vais te le démonter ton petit cul, chienne. Tu vas morfler, roulure. Tu la sens, là, tu la sens ma grosse bite. Tu sens comme elle te nique ?

Je le bourrine comme une brute.

Son cul a complètement rendu les armes. Et un petit gémissement étouffé lui échappe. Un doute m'assaille. Je passe la main sous son ventre et mes doigts rencontrent sa bite, bandée à fond.

Mais tu bandes de nouveau, sale petite pute, t'aimes ça hein ? T'aimes te faire baiser comme la dernière des traînées.

Il ne répond pas mais se met à gémir de plus belle. Je le retourne et regarde sa bite dressée.

Libère mes main, s'teu plaît...
Si tu essaies de...
Non... mais je vais crever si je ne peux pas me branler...
Petite salope...

Je récupère le couteau et le libère. Il n'essaie pas de se rebiffer mais écarte les cuisses et ramène se genoux vers son torse.

Je le pénètre de nouveau d'un long mouvement ample et il feule. Je me couche sur lui, il entoure mes reins de ses cuisses et gémit à chaque coup de reins.

Mes va et vient deviennent frénétiques. Le corps ruisselant de sueur, je me remets à genoux.  Mon cambrioleur est en transe.

Branle toi, salope, branle toi !

Il saisit sa queue et se met à se masturber comme un dingue en poussant des petits cris.

Ouais branle toi bien à fond. Ça m'excite de te regarder t'astiquer la bite pends que te défonce le cul. T'aimes ça, hein, t'aimes ça te faire péter la chatte !

Il ne répond pas. Je le gifle de nouveau et lui dis :

Dis le, chienne, dis le que tu aimes ça !
Oh oui... oh c'est bon... j'aime me faire baiser comme une petite pute... défonce moi... je veux être ton vide couilles... je ne suis bon qu'à ça... c'est tout ce que je vaux... c'est tout ce que je mérite...

Ses mouvements de poignets deviennent erratiques et tout son petit corps se tend. Et, dans un gémissement d’agonie, il jouit, striant son petit corps de plusieurs giclées de sperme. Je me couche de tout mon long sur lui, mets ma tête dans son cou et jouis à mon tour, trois puissants coups de reins plus tard.

Nos respirations heurtées se calment, nos cœurs reviennent à des battements normaux, ma bite sort d'elle-même des confins du corps de mon cambrioleur.

Mon visage apparaît au dessus du sien. Yeux brillants et sourire aux lèvres. Je me penche vers lui et l'embrasse passionnément.

Ça t'a plu, mon amour .
Oui, et pas qu'un peu. J'ai jamais jouit comme ça... même si tu y es aller un peu fort avec les gifles...
Désolé Eliott, je me suis laissé emporter par le jeu... tu m'en veux ?
Oui, énormément... me dit-il avec un petit sourire.
Oh, il va falloir que je me fasse pardonner, alors...
T'as plutôt intérêt... mais la prochaine fois, on inverse les rôles...

J'éclate de rire.

Mis à part le fait que je ne suis toujours pas prêt à me faire baiser, mon petit chéri, ton petit physique de crevette c'est pas très... crédible... à moins que tu amènes des copains...
Ça te plairait ? Que j'amène des copains ?
N'y pense même pas. Tu es à moi, tout à moi et rien qu'à moi...
On range ?
Tout à l'heure mon amour. D'abord nous allons prendre un bain chaud et je vais serrer ton mignon petit corps contre le mien et te peloter tout mon saoul sous prétexte de te savonner...
Comme si tu avais besoin d'un prétexte pour ça... mais tu me laisseras te savonner moi aussi, tu sais à quel point j'aime tes sublimes muscles...
Tout ce que tu voudras, mon amour, tout ce que tu voudras...

Je le soulève. Il enroule ses cuisses autour de mes reins, et, en nous embrassant langoureusement, je l'emmène jusqu'à la salle de bain.


Re : Le cambrioleur - lelivredejeremie - 25-10-2021

Oooh ! Un jeu de rôle, j’adooore trop ! Et autant je me rappelle Eliott, je n’ai pas pensé un instant que c’était vraiment lui  0.0  Et je suis c*n, vu que sucer et avaler, sans parler d’être pénétré par un mec si on ne veut pas, je sais d’expérience (relative, et passive, avec mon abruti d’ex abusif) que c’est pas si évident  :o  Mais c’est Eliott, et je me souviens qu’il est très réceptif à ce que son prof particulier propose  8)

Dommage que les récits de doctissimo ne soient plus accessible, je me le serais bien refait, rien que pour le fantasme du mec de 20 ans de plus  :-[

Merci, Maître Moloch !  Wink



Re : Le cambrioleur - stuka132 - 25-10-2021

bien amené ...  serieux  grave  et  tres cool a lire  ..  comme toujours!!!

merci moloch



Re : Le cambrioleur - Philou0033 - 25-10-2021

Bonjour [member=91]Moloch[/member] !

Super ce petit récit. C'est un jeu de rôle qui met un peu de piment dans le joli couple formé de Max et Eliott.
Ce n'est qu'à la fin qu'on sait qu'il s'agit d'un jeu de rôle. C'est super cette tension apportée au travers du récit.

Merci pour ce bon moment de lecture.

Bien à toi.
Philou


Re : Le cambrioleur - Mako - 28-10-2021

Je tranche le scotch qui lie ses chevilles et le débarrasse de son pantalon et de son jean
Petite erreur.non ? Son jean et son caleçon

J'ai adoré comme d'habitudes
Tu écris toujours aussi bien

Tu compte reposter tes autres récit ?