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Fabrice et les elfes - Louklouk - 07-09-2021
Hello !
Ce petit conte sur une phrasette de l'indispensable @fablelionsilencieux ...
Fabrice et les elfes
C’était presque inaudible :
— Hmmm, oui…
— Chhhhht ! Moins fort ! T’es fou ou quoi ?
— Rhoo, ça va, y a personne…
Dans ce coin perdu que l’on disait habité des elfes, la haie à laquelle [b]Fabrice était adossé pour sa sieste venait de parler. Des sonorités rauques et masculines en étaient sorties…[/b]
Pas de doute, ça niquait dans le fourré ! Et dans le fourré… n’était sûrement pas une humble bergerette, ni une rude paysanne de l’endroit !
Mais le pire… le pire était que cette voix, mâle à n’en pas douter, disait quelque chose à Fabrice. Mais qui, dans le pays, pouvait donc bien s’adonner à ces drôles d’exercices… avec un autre homme ?
Fabrice se leva et alla voir derrière : rien, ni personne. Mais… dans le chemin, il vit paraître son ami de toujours — ils avaient le même âge, au jour près —, Armel.
— Tiens, t’es là toi !
— Ouais, une petite balade, et je me suis assis là. Toi ?
— Disons que… j’avais un rencard, là, pas loin…
Fabrice frissonna : oui, c’était bien la voix d’Armel qu’il avait reconnue dans la haie ! Il ne se dégonfla pas :
— J’ai entendu des trucs, là, derrière…
— Et quoi ?
— Ça baisait… et bien encore.
— Ici ? T’es sûr que t’as pas rêvé ? Ou c’était des elfes, peut-être ?
— J’y crois pas ! T’y crois, toi ?
— Bof… Plus ou moins, comme les bonnes gens…
— Les elfes, ça nique pas !
— Ben… je sais pas, mais… qui sait ?
— Tu sais des trucs, toi ? demanda Fabrice.
— Ben… des trucs auxquels tu croirais pas, alors…
— Dis toujours !
— Alors… Tu dois me promettre le secret le plus absolu.
— Et pourquoi ?
— Les elfes n’aiment pas qu’on raconte leur vie.
— Les elfes ? sursauta Fabrice. T’es sérieux ?
— Oui. Alors tu jures… ou pas ?
— Je… Oh, je… Oui, je te le jure.
— Il paraît que les elfes, s’ils trouvent un humain, homme ou femme, qui leur plaît, les baisent d’abord invisibles… avant d’exiger un serment de secret.
— Invisibles ?
— Oui : tu les sens en toi, mais tu ne les vois pas. Après, tu les vois toujours. Mais pas la première fois.
— Comment tu sais ça, toi ?
— Ben… fit Armel, confus et rougissant.
— Tu t’es fait… baiser par un elfe ?
Armel hocha la tête.
— Oh ! Mais c’est pas vrai, ça ?
— Tout à l’heure… c’était nous.
— Mais… fit Fabrice, totalement désemparé.
— Surtout… tu plais à un elfe.
— Hein ? Mais je me fais pas enculer, moi !
— Il le sait… mais tu lui plais quand même. S’tu veux… cette nuit…
— Mais, Armel ! Tu sais bien que jamais je ferai ça ! Et toi... et toi... tu le fais ? bafouilla Fabrice, désemparé.
— Mon elfe est si... Et puis... je lui fais aussi ce qu'il me fait.
— Hein ? T'encules un elfe ?
— Ouais... et c'est bon, vraiment.
— Quoi ? Mais tu délires, là ?
— Chaud, musclé, serré... et quand il me la met, c'est simple, doux et délicat... Fin d'abord, et plus épais ensuite, oh.... Trop bon, oui !
— Oooh ! J'y crois pas !
— J'te demande pas de me croire. Y a un elfe à qui tu plais, c'est tout ce que je pouvais te dire.
— Oh ! Me faire enculer ! Et par un elfe, en plus ! Non, ça, je saurai pas faire, hein ?
— Et par un mec... normal ?
— Oh ! Non, non ! Mais t'es fou, toi !
— Non. J'te raconterai.
Il y eut un petit silence, là, évidemment. On se sépara sur ce constat, et ce fut bien indécis que Fabrice rentra chez lui, perturbé par ce que son meilleur ami venait de lui débiter. Oh ! S'il était devenu fou, Armel ? M'enfin, il avait bien reconnu sa voix... s'il se faisait réellement tirer... par un elfe... ou quelqu'un d'autre !
Bref, il avait la tête bien pleine de choses désagréables, le pauvret ! Son meilleur ami, objet de toutes les admirations, se faisant tirer par un elfe ? Et pis quoi, encore ?
Pourtant... Pourtant il se branla frénétiquement en imaginant Armel se faire tirer. Par qui, il ne le savait guère, mais... oui, dans son fantasme, il voyait Armel être baisé... et bien !
Ayant débordé, il songea... un peu. Il ne savait rien, en vérité. Il avait toute confiance en Armel, mais ces bizarres histoires d’elfes, dont chacun parlait, dans le pays... Oh, que c'était désagréable ! Et puis… qu’est-ce que ça lui apporterait, de se faire niquer par un elfe ? Ça vous mène pas au mariage, ça ! Oh, ces folies ! Il résolut de reparler de tout ça à son ami. Armel ! Armel baisant avec les elfes !... Jamais chose aussi extravagante ne lui serait arrivée en l’esprit !
Mais voilà... ces extravagances lui saisissaient la pensée, malgré lui, et... ils se décida à aller mater son ami à sa prochaine séance de baise... Armel lui avait confié qu'il adorait cet exercice, et qu'il y allait tous les jours.
Oh ! Sans doute il avait honte, Fabrice ! Car c'était bien là du voyeurisme qu'il s'apprêtait à faire... Et pourtant... il le fallait bien ! Et le lendemain, il se posta dans un réduit entre deux arbres, sur le chemin de l'endroit où il avait entendu de ces choses...
Il vit Armel, effectivement qui marchait d'un pas vif et l'œil guilleret ; il le suivit donc discrètement. Il arriva même à le voir d'assez près, se déshabiller. Nu, il l'avait vu moult fois quand on allait faire les fous à la rivière. Mais... il avait grandi, Armel, qui montrait maintenant de jolies poilures un peu partout... et un bien joli morceau, entre les jambes... que ce garçon empoigna.
Soudain, un jeune homme apparut, fin, blond, incroyablement beau, et porteur d'une superbe érection. Il se jeta sur Armel et l'embrassa à la fois sauvagement et doucement, tandis que ces deux garçons... êtres ? Se caressaient partout, partout...
Sidéré, Fabrice se sentit bander instantanément, et il se déculotta à toute vitesse, avant de se branler avec frénésie... tandis que l'elfe prenait son temps.
Enfin, Armel et son elfe se mirent à faire l'amour. Chaud comme braise, Fabrice essaya de se retenir, tant le spectacle l'excitait ! Il y parvint... tout en serrant les dents.
Les deux autres multipliaient les postures et les jeux, et Fabrice, qui n'en aurait jamais imaginé autant, regardait ça avec des yeux grands comme des roues de charrette !
Voir son meilleur ami se faire baiser par cet être d'une si irréelle beauté était un spectacle tellement incroyable que...
M'enfin, il tint bon, Fabrice, et ne gicla que quand Armel en fit autant, sur le fin visage de son elfe. Et il s'en fut à toute vitesse. Un peu plus tard, il croisa Armel au village... à qui il n'osa rien dire.
— Miam ! fit le garçon. Mon elfe est si parfait...
— Me dis pas que...
— Bien sûr que si.
— Mais... se força à dire Fabrice, si... tu aimes ça... pourquoi pas un vrai mec ?
— Pas facile, ici ! Et des mecs aussi beaux que les elfes, y en a pas au monde !
— Sauf que tu pourras rien vivre avec.
— Oui, mais... trouver un gentil mec... réel, au village, tu vois ça, toi ?
— Eh ben, tu vas à Liège, y en a plein les rues !
— Oui, oui, mais... fit mollement Armel. Oh ! J'aimerais tant que tu le voies !
— Tu m'as dit que les non initiés ne voyaient rien !
— Oui, mais... je lui ai demandé de se faire visible pour toi, au cas où... Peut-être que tu viendras nous voir, un de ces jours ?
Où Fabrice rougit violemment. Et où surtout il se sentit obligé d'avouer :
— Armel... Je... Oh, excuse-moi !... Je... Je vous ai vus.
— Je suis content que tu me le dises... Mon elfe me l'avait dit. Alors ?
— Il est... sublime, oui, mais...
— T'as toujours aussi peur ?
— Je sais pas comment te dire... C'est pas mon truc et... un elfe, c'est... impressionnant.
— Ils sont incroyablement doux, tu sais ? Et tout se passe... divinement bien !
— Mais...
— Peut-être que... je pourrais te montrer... des trucs ?...
Fabrice rougit derechef. Apprendre des « trucs » avec son ami de toujours ?
— Maintenant que tu m'as regardé... tu seras moins gêné.
C'était un fait, que Fabrice reconnut in petto. M'enfin... M'enfin, il accepta.
— Qu'est-ce que... tu penses ?
— Tu me baises, et... tu vois. Et pis... je t'apprends à t'amuser avec ton p'tit trou...
— Oh...
Armel eut alors un adorable sourire, et... et Fabrice eut envie de l'écouter. Il hocha la tête, en essayant de sourire.
— Ton elfe est encore plus beau que le mien, tu sais ?
— Je fais quoi, moi ?
— Est-ce que... On pourrait dormir ensemble, ce soir ?
— Tu voudrais que...? — Armel eut alors un bien mignon sourire — ...Oui.
On se sépara pour l'après-midi, et à l'heure dite, on se retrouva dans la chambre d'Armel. Qui se déshabilla sans même regarder son ami.
— Allez ! fit-il en souriant.
Où Fabrice s'exécuta, le cœur battant.
— Tu sais que t'es vraiment beau, toi ? fit Armel en souriant gentiment.
— Pas mieux que ton elfe, quand même ?
— Ben... toi, t'as les poils marrons et... c'est sexy.
— T'aimes... les mecs, vraiment ?
— Je sais pas... T'es beau, c'est tout.
Il y eut là un petit silence indécis. Fabrice eut la vague impression que son ami... son ami... l'admirait, pour le moins. Mais il fallait aller de l'avant. Et il osa :
— Qu'est-ce que tu comptes me faire ?
— Ce que je t'ai dit. Oh ! Tu sais... les elfes sont là, et nous regardent...
— Ah !
Fabrice vit qu'Armel n'osait pas le regarder en face, quand bien il l'enserra doucement, et se mit à le caresser partout...
— Détends-toi, souffla Armel, les elfes sont bien plus doux que moi.
— T'es... Oh ! T'es si doux, toi ! avoua Fabrice.
— Merci, grand garçon.
Alors Armel se pencha sur la quéquette de son ami, et la prit en bouche, au grand soupir d'iceluy. Ô divin moment ! Fabrice banda à toute vitesse, comme s'il n'avait jamais attendu que ça ! Et que la suite lui fut bonne !
Cependant, Armel lui avait délicatement mis un doigt au petit trou, puis deux, et... Fabrice aima ça bien, oui !
— Baise-moi d'abord, bébé ! souffla alors Armel.
— Oh ! Mais... tu veux ?
Les elfes sont pas jaloux, tu sais ? Ils sont éternels, et...
— ...et ils s'en foutent !
— Je pense. Viens, mon pote, viens vite.
Un peu coincé, sur ce coup-là, le jeune Fabrice ! Mais il assura avec d'autant plus de facilité que son elfe avait bien alésé son joli mortel de copain ! Or donc, il y entra comme dans du beurre. Mais défense de jouir ! On interrompit donc la chose, et Armel se jeta toute langue devant à l'assaut de la fine rondelle de son ami. Qui gémit comme un veau...
Les doigts suivirent, selon le protocole en usage dans toutes les Cours d'Europe et, quand Armel tenta d'entrer en son ingénu ami, il eut l'agréable impression qu'on l'y attendait... Les soupirs émanant du sujet confirmèrent amplement l'impression, et la suite fut des plus amusantes...
Armel ayant pris un fort gentil pied, il pria son ami de se déverser en lui, ce que ne rata pas Fabrice... avec force geignements... Des cris, même !
— Bon ! T'es d'accord pour demain ? demanda Armel après la douche (un peu intimidée, celle-ci).
— Oh... Les elfes... Oh, ça, je sais pas dire, hein ?... Les elfes, ça est...
— Ça est mieux que moi, les elfes, et voilà ! Et puis... n'aie pas peur, car... je t'ai déjà dit leur secret : quand il te pénètre, un elfe est tout fin et tout doux. C'est petit à petit qu'il prend de l'épaisseur... et à la fin, c'est carrément génial !
— Oh ! Si c'est vrai...
Et à l'heure dite, les minets se déloquaient dans un coin de campagne, pour voir arriver, par les airs, une merveille blonde et nue, et bellement dotée par sa surnaturelle nature. Une queue... irréelle, oui ! Mais... il y avait deux voix. Fabrice eut un frisson.
— N'aie pas peur ! dit l'elfe d'Armel, qui prit la main de Fabrice pour la poser sur un superbe objet... invisible.
— Nouveau frisson, quand Fabrice sentit se poser sur lui deux mains d'une douceur extrême, et tout aussi venues de nulle part. Alors il se laissa enlacer par un genre de merveille... sans la voir, et embrasser aussi. Bien surpris de la douceur de la chose, d'ailleurs. Et lorsqu'il dut lui-même sucer, il le fit en une sorte de rêve éveillé. Étrange sensation que de sentir une queue grandir en sa bouche, en l'absence de toute vision ! Et pourtant... il sentait sur son nez l'incroyable douceur de la toison de l'elfe... De la soie !
Comme annoncé, la pénétration fut de toute douceur, et procura à Fabrice un plaisir sans mélange. Il dut lui même prendre son elfe... qui finit par lui apparaître.
Ô splendeur ! Fabrice n'en crut pas ses yeux, et en fut si intimidé qu'il débanda incontinent. Mais l'elfe lui vint saisir la quéquette en la bouche, tout en planant à l'horizontale, au-dessus de l'herbette... L'instant dura... et les elfes dirent d'une même voix :
— Nous nous reverrons. Aimez-vous, en attendant !
Et de disparaître, laissant là des garçons désemparés. Armel fondit en larmes, et Fabrice le reçut en ses bras. Qui parvint à le ramener chez lui, où il dut rester. Et remercier les elfes... qui avaient fait comprendre que... les mortels doivent aimer les mortels. Certes, on les revit, mais... en plus de s'aimer. Autant dire que la vie ne s'annonçait pas mal...
6. IX. 2021
Re : Fabrice et les elfes - lelivredejeremie - 08-09-2021
J’ai essayé d’imaginer me faire posséder par un être invisible, la surprise à chaque geste qu’il pose sans qu’on sache où et comment, ça laisse rêveur, un peu. En plus, c’est cool, un amant elfe, sauf pour les jeux derrière une haie, ils ont peu d’interactions avec les humains, ça restera assez discret. Puis surtout, techniquement, fin d’abord puis plus épais ensuite, c’est presque idéal ;D J’irais bien me balader une nuit dans les Ardennes :
Vu qu’à Liège, des gentils mecs plein les rues, faut le dire vite, hein… ??? (tu tiens l’info de Fab ?) Merci pour le lapsus du dernier paragraphe, qui m’a permis de vivre le sayxe elfique par procuration
Re : Fabrice et les elfes - fablelionsilencieux - 08-09-2021
Que voilà un joli conte !
Sans bubules, sans marquise ou autre nobliaux, ici pas de mobilier d'un autre temps...
Et pourtant c'est du Louklouk pur jus !
Bravissimo Maestro !
Re : Re : Fabrice et les elfes - fablelionsilencieux - 08-09-2021
(08-09-2021, 01:52 PM)lelivredejeremie link a écrit :J’irais bien me balader une nuit dans les Ardennes :
Merci pour le lapsus du dernier paragraphe, qui m’a permis de vivre le sayxe elfique par procuration
Je ne suis responsable en rien du choix de la ville, hein !
Seule certitude: dans les grandes agglomérations, il doit être plus facile d'explorer sa gaytitude que dans les petits patelins campagnards. ;D
(Encore faut-il ne pas habiter au Cameroun, Égypte, Éthiopie, Maroc, Nigeria, Soudan, Tanzanie, Bangladesh, Irak, Iran, Indonésie, Myanmar, etc.) :'(
Re : Fabrice et les elfes - KLO7514 - 12-09-2021
Avec un peu de retard [j'ignorais ce texte en...(petit
)...chanteur] j'avoue mon plaisir : merci "maître" Louklouk. Une fois encore, tu nous a gâtés de ces joutes campagnardes où, finalement, avec de la bonne volonté et beaucoup d'attrait réciproque, les caractères finissent par se réunir, comme s'il y avait une sorte d'attente cachée qui finit par s'épanouir au grand jour (enfin pas en public, bien sûr : je pense que ces deux loulous se donnent l'un à l'autre bien à l'abri d'un local discret).N.B : Combien de décades voire de siècles faudra-t-il encore par chez nous pour que deux gars ou deux filles puissent se montrer "comme ils ou elles sont profondément" pour que leurs "démonstrations" soient admises au même titre que des relations entre gars et filles?
Re : Fabrice et les elfes - Philou0033 - 15-09-2021
Bonjour [member=87]Louklouk[/member] !
Superbe comte! J'ai super bien aimé ce mélange de réalité et de fiction!
Des Elfes, qu'elle superbe idée.
C'est une découverte pour Fabrice qui ne connaissait pas la beauté de cet échange particulier entre Humains et Elfes!
C'est aussi ce rapprochement entre Fabrice et Armel. Les deux amis se sont alors aimés, comme des humains avec encore en tête la connivence avec les Elfes de leurs souvenirs!
Merci pour ce beau comte et ce très beau moment de lecture!
Je t'embrasse!
Philou
Re : Fabrice et les elfes - Louklouk - 06-11-2021
Merci, @Philou0033 , pour ton gentil commentaire !
C'est vrai que j'aime écrire des contes, tandis que je n'apprécie pas la science-fiction, trop tarabiscotée à mon goût.
J'en profite d'ailleurs pour suggérer à mes lecteurs de m'envoyer des phrasettes me permettant d'en écrire, comme celle de Fab'...
Avec mes amitiés, Louklouk
Re : Re : Re : Fabrice et les elfes - bech - 26-02-2022
Une histoire sympa et très originale.
(08-09-2021, 07:40 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Seule certitude: dans les grandes agglomérations, il doit être plus facile d'explorer sa gaytitude que dans les petits patelins campagnards. ;D
(Encore faut-il ne pas habiter au Cameroun, Égypte, Éthiopie, Maroc, Nigeria, Soudan, Tanzanie, Bangladesh, Irak, Iran, Indonésie, Myanmar, etc.) :'(
En Éthiopie, il y a la vallée de l'Omo.