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La ville sinistrée (suites et fin) - Version imprimable

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La ville sinistrée (suites et fin) - Nostalgique - 26-08-2021

Une stupide maladresse m'a fait supprimé l'entièreté de ce récit ! Pour que vous connaissiez la fin de cette histoire, je vais remettre les dix dernières pages, en plusieurs fois vu la limitations de 20'000 signes imposées par Slygame !


Trois événements marquants ont toutefois eu lieu. J'avais très envie que mes amis fassent la connaissance d'Andy, ce jeune garçon que j'avais tant apprécié durant mon séjour à la campagne, juste avant le départ de Claude. Ils avaient insisté pour que j'y aille seul pensant, à raison, que je serais plus disponible pour Andy. Mais justement, je redoutais d'être seul avec lui, à la rivière ou dans ma chambre et de céder à la tentation de presser son corps contre le mien, de sentir et voir son sexe grossir. Oui, je craignais de l'aimer physiquement, il était tellement attirant, tellement tout ce que vous voulez, alors que je ne le voulais pas. Il fallait qu'il vive sa vie par lui-même, qu'il se découvre par sa volonté et non par mes désirs essentiellement physiques.
Finalement, nous sommes arrivés tous les trois dans cette petite auberge pour un week-end prolongé. Andy était à l'arrivée du bus pour nous accueillir avec une petite charrette à bras afin que nous puissions y charger nos bagages. En me voyant il eut un large sourire, m'embrassant en me sautant dans les bras, manquant de me faire perdre l'équilibre. Il embrassa également les William, avec toutefois plus de retenue et uniquement sur la joue contrairement à moi qui avait eu droit à un bref contact avec ses lèvres, contact qui me donna la chair de poule.
Nous avons passé la soirée dans le bar à écluser quelques bières. Andy, en parfait hôte de la maison, partageait son temps avec nous trois et recherchait incontestablement le contact physique avec nous par de discrets frôlements de jambes lorsque nous étions assis sur les tabourets du bar. Avant de monter nous coucher, nous convînmes que nous irions piqueniquer au bord de la rivière et que cela nous ferait plaisir s'il nous accompagnait.

- Andy / [scandalisé] Il ne manquerait plus que je ne vienne pas avec vous ! C'est mon domaine particulier, très particulier même. Vous verrez, c'est un endroit exceptionnel, je suis certain que cela plaira à tes amis, on se sent tout à fait libre.

En disant cela, il me lança un coup d'œil malicieux qui n'échappa pas à mes amis. En arrivant dans la chambre qui nous était destinée nous vîmes qu'un troisième lit à une place avait été installé mais de toute évidence nous n'avions aucune intention de l'utiliser sinon en froissant les draps pour donner le change. À la maison, nous avions pris l'habitude de dormir de plus en plus fréquemment ensemble et généralement très sagement. Si nous avions des vues coquines, il valait mieux n'être que deux, cela donnait plus de place !

Au petit matin alors que le jour n'était pas encore véritablement arrivé, W1 dût se lever pour un besoin naturel ce qui n'était pas surprenant vu les bières que nous avions descendues. Par contre ce qui l'était plus, c'est que dans le troisième lit il y avait un corps quasiment nu qui dormait profondément, inconscient de l'impudeur de son sexe qui était sorti de son boxer à larges jambes. W1 se pencha sur le dormeur pour constater qu'il s'agissait d'Andy qui lui envoyait son souffle régulier dans la figure. W1 était fasciné par ce corps qui s'abandonnait dans le sommeil et le regarda longuement. Son regard fut attiré par le sexe du jeune homme qui soudain se contracta comme s'il sentait le regard qui plongeait sur lui. W1 se déplaça légèrement et pencha de nouveau son visage sur Andy mais cette fois à la hauteur du membre en train de prendre du volume et il put humer cette senteur masculine si typique aux garçons. W1 eut envie de poser délicatement sa main sur cet organe si tentant ou tout au moins d'y déposer un très léger baiser. Mais il résista non sans mal, d'abord par respect pour ce jeune mais également avec la crainte que le moindre contact ne déclenche une réaction inopportune. Ayant assouvi son besoin naturel, W1 se recoucha après avoir fermé complètement les volets pour éviter que la lumière ne nous réveille. Avant de retomber dans les bras de Morphée W1 entendit soudain le lit voisin qui grinçait et surtout un long gémissement de jouissance : Andy venait d'évacuer toute la semence de ses testicules. Antoine dût être légèrement dérangé par Andy car il se colla contre le corps de W1. Tous les deux étaient mûrs pour, un peu plus tard, terminer un rêve plein de promesses.
Ils avaient l'habitude de se réveiller ensemble et ce fut encore le cas ce matin sauf que W2 mit involontairement sa main dans un marasme gluant encore tiède. Le lit d'appoint était vide mais il était visible qu'il avait été utilisé et même bien utilisé car une large tâche que les trois garçons identifièrent immédiatement marquait le drap. W1 leur donna la clé du mystère. Andy prit spontanément les devants en expliquant qu'il était venu juste pour froisser les draps se méfiant que nous n'utiliserions qu'un seul lit ce qui aurait paru suspect au personnel. L'adolescent fut chaleureusement remercié pour cette initiative mais une explication s'avérerait nécessaire lors de notre excursion.

Nous étions tous impatients d'aller à la cascade et au petit lac, les William car je leur en avais souvent parlé et moi car j'appréciais cet endroit un peu magique en raison de ce que j'y avais vécu et enfin Andy dont l'excitation nous faisait rire mais connaissant le garçon je me méfiais quand même un peu :  il devait sûrement avoir une idée derrière la tête. Après presque deux heures de marche heureusement partiellement ombragée car il faisait une chaleur inhabituelle, ce petit joyau de la nature apparut. L'endroit était exactement comme dans mon souvenir, ombragé avec une eau toujours aussi claire dans laquelle se reflétaient les arbres et, en bruit de fond, le murmure de la cascade. Vu la température nous avions depuis longtemps enlevé t-shirt, polo ou autre vêtements ce qui n'empêchait pas la sueur de couler sur notre corps jusqu'à se confondre dans nos culottes et nos slips eux-mêmes trempés. Cette grande flaque d'eau était plus qu'attirante et en quelques mouvements nous nous sommes tous retrouvés dans ce bassin, nus comme le jour de notre naissance. Notre hâte était telle que nous avions oublié nos costumes de bain dans nos sacs et par là-même notre résolution de conserver au moins un vêtement pour cacher notre nudité : nous aurions voulu par cette attitude montrer à Andy que ce que nous avions fait lui et moi ne se reproduirait pas. Nous étions mal partis d'autant que W2 et Andy montraient déjà une tendance à une certaine raideur. Celle-ci disparut dès qu'ils eurent mis les pieds dans l'eau toujours bien fraîche. Comme la première fois, nous avons joué comme des gamins en nous giclant, en cherchant à nous mettre la tête sous l'eau. Mais nous n'étions plus deux mais quatre de sorte que les possibilités de contacts, volontaires ou non, avaient doublé. Nous étions trois jeunes adultes dont les hormones ne demandaient qu'à se manifester et Andy avait grandi. Dans l'eau claire, nos corps nus ne cachaient rien de nos anatomies dont certaines parties s'étaient parfaitement habituées à la fraîcheur de l'eau : quatre pénis étaient clairement visibles et c'est en sortant de l'eau que nous avons pleinement pris conscience de leur statut provoquant. Assis sur un tapis de mousse les sandwichs préparés par la mère d'Andy furent rapidement dévorés et une douce somnolence s'empara de nous, la matinée ayant été rude.
Un bruit bizarre me tira brièvement de ma sieste : j'eus juste le temps de voir W1 à plat ventre mettant bien en évidence ses superbes fesses, dures et bien formées avec un sillon qui marquait clairement la séparation entre les deux lobes. W2 et Andy étaient très proches l'un de l'autre et dans leur sommeil ils devaient faire de plaisants rêves à voir la raideur de leur sexe car tous deux dormaient sur le dos, les bras en croix et une main d'Andy sur la poitrine de son voisin. Le soleil baissait déjà, je rêvais qu'une main me caressait, que des gémissements étaient perceptibles. J'ouvris un œil puis deux, le spectacle était touchant et beau, W1 promenait sa main entre mes jambes, W2 et Andy pratiquaient un attirant 69… Le soir, en montant nous coucher, nous étions bien sûr les trois dans le même lit mais nous avons fermé notre porte à clé…
Le lendemain, jour de notre départ, Andy avait l'air triste et cela me faisait mal. Avant que le bus n'arrive, je l'ai serré dans mes bras et je lui ai murmuré à l'oreille "il fallait que cela cesse avant que nous le regrettions". Il m'a souri, il avait compris sauf qu'il a murmuré "on verra plus tard".



Re : La ville sinistrée (suites et fin) - Nostalgique - 26-08-2021

Le troisième fait marquant aurait pu être lourd de conséquences mais fort heureusement ce ne fut pas le cas même si durant quelques jours cela perturba nos journées et même nos nuits.
Un jour nous avons trouvé une lettre dans notre boîte aux lettres qui devait se trouver là depuis quelque temps car il était tellement rare que nous recevions du courrier que nous ne vérifiions pas chaque jour. Personnellement, je n'en recevais jamais : qui aurait pu m'en adresser ? Et les William n'en recevaient guère plus. Cette lettre m'était adressée à moi, Antoine. L'écriture sur l'enveloppe m'était inconnue, elle était estampillée de Londres où je ne connaissais personne. Nous l'avions posée sur le petit meuble dans l'entrée et ce n'est que le lendemain que nous avons pensé à en prendre connaissance. Mon attention s'est immédiatement portée sur la signature, "Peter". Ce n'est qu'après les premières lignes que j'ai réalisé qu'il s'agissait de Peter, le neveu de Mary notre propriétaire, qui avait habité quelques jours au tout début de notre séjour alors que mon frère avait réussi à dénicher mon adresse.

"Cher Antoine, Il y a longtemps que j'aurais dû prendre contact avec toi et Claude car j'ai gardé un très bon souvenir de ces deux trois jours passés en votre compagnie. Les circonstances font que je dois venir à Liverpool pour des affaires privées et, plutôt que d'aller bêtement à l'hôtel j'ai pensé que cela pourrait être sympathique d'habiter chez vous pour quelques jours. À bientôt de vos nouvelles. Peter
PS je précise que je serai accompagné d'un ami."

Je fus agréablement surpris de cette demande et en même temps cela me fit plaisir car je me souvenais de ce garçon aimable et bien élevé et avec qui nous avions passé quelques bons moments ensemble.
Nous avons immédiatement répondu que c'était très volontiers que nous l'accueillerions avec son ami et que nous les attendrions à la gare. Les William étaient très curieux de cette visite inattendue et ils me bombardèrent de question auxquelles je ne pouvais répondre la plus part du temps car en fait je ne le connaissais que fort peu. Parmi les questions en suspens qui m'intriguaient également était de savoir si la personne qui l'accompagnait était un simple ami ou un petit-ami. Un télégramme arriva le matin dans lequel Peter annonçait leur arrivée dans l'après-midi mais qu'il ne savait pas encore par quel train et que donc ils viendraient directement chez nous.
La fin de l'après-midi approchait et j'avais eu le temps de faire remonter mes souvenirs lorsque mon frère Gabriel avait fait une sorte de confession et que lui et Peter avaient semblé bien s'entendre au point de passer, me semblait-il, la nuit ensemble. Peu avant 6 pm, le son strident de la sonnette retentit et Peter apparu tout souriant alors qu'une ombre dans la rue était en train de régler le taxi.
Je fis entrer Peter alors que W1 attendait notre deuxième visite. Peter était déjà dans le salon et faisait connaissance avec W2, j'entendais vaguement les voix de W1 et de l'inconnu lorsque celui-ci parut sur le seuil. Je me retournais pour lui souhaiter la bienvenue mais je faillis tomber de saisissement en reconnaissant Gabriel, mon frère. Nous nous sommes tombés dans les bras, l'émotion était à son comble, pleurs et rires se confondaient. Sans rien demander W2 sortit notre meilleur Whisky et en servit une bonne ration, nous avions bien besoin de ce remontant pour nous remettre de nos émotions. J'observais Gabriel qui me parut amaigri et avoir mauvaise mine, il avait l'air absent et son regard ne s'animait que lorsque Peter le regardait et lui adressait la parole. Je me remémorais la nuit entre les deux garçons durant laquelle, cela me revenait, les deux avaient dû partager de très intenses moments. Je devinais qu'il existait un lien très fort entre Gabriel et Peter et que ce dernier avait dû jouer et jouait un rôle essentiel dans la vie de mon frère. Ce sentiment se confirma lorsque Peter lui dit, d'une voix très douce mais très ferme en même temps "Fais attention Gabriel, tu as perdu l'habitude de l'alcool" mais où transpirait une immense tendresse.
Mon frère semblait épuisé physiquement et, me semble-t-il, moralement :  après le repas il faillit s'endormir. Peter le prit par la main et l'aida à monter les escaliers : nous avions préparé deux chambres, une avec un grand lit et l'autre avec deux lits séparés, c'est la première qui fut choisie sans hésiter. Au bout d'une demi-heure, Peter redescendit.

- Voilà, je l'ai déshabillé et mis au lit, je me suis étendu à côté de lui, je l'ai caressé pour qu'il retrouve son calme et il s'est endormi. J'ai encore attendu un moment et me voilà avec vous car je vous dois des explications, surtout à toi Antoine.

Il y a trois ans, après son retour dans sa famille, Gabriel avait pratiquement été séquestré dans une toute petite pièce. Il avait été soumis aux questions des ministres de leur religion terriblement sectaire, des médecins de toutes spécialités s'étaient penchés sur son corps et son âme, des pressions incroyables avaient été exercées sur lui pour lui faire avouer son homosexualité et admettre les pratiques innommables liées à cette perversité. Finalement, il avait été transféré dans une clinique où on "soignait" par tous les moyens imaginables ces dépravés de la société bien-pensante. Après dix-huit mois il avait été déclaré guéri, en réalité il avait été détruit. Toujours pour son bien et le salut de son âme, il avait été engagé par cette clinique où il était devenu une sorte d'esclave, corvéable à merci, ayant perdu toute volonté d'initiative. En fait, il était comme drogué afin d'être parfaitement soumis. Vis-à-vis de la famille, il était officiellement guéri mais avait librement choisi de travailler pour le bien et le salut de ceux qui n'était pas encore guéris.
Il était devenu si docile qu'il prenait de lui-même ses médicaments. Un sursaut de lucidité lui fit diminuer progressivement la posologie de sorte qu'il commença à retrouver une certaine autonomie qu'il cachait soigneusement. Un jour, il se souvint avoir caché dans un ourlet de pantalon un bout de papier avec un numéro de téléphone. Il ne savait plus à qui cela correspondait mais intuitivement il sentait que c'était une planche de salut. "Ce numéro, c'était le mien, moi Peter". Trois jours plus tard j'étais sur place, la chance était avec nous : c'était un dimanche, la surveillance était moins stricte et surtout tout le personnel savait que Gabriel était totalement soumis à ses bourreaux. Je l'ai véritablement kidnappé et mis en sécurité dans un hôtel. Je suis retourné à la clinique et j'ai exigé la remise immédiate de tous les papiers officiels le concernant avant 18 heures, faute de quoi un mien ami posterait une lettre à l'intention des autorités.
Le lendemain je ramenais Gabriel chez moi à Londres. Trois jours plus tard, comme planifié de longue date, je déménageais et le numéro de téléphone n'aurait plus été valable. J'avais une certaine renommée comme avocat, je connaissais beaucoup de monde et j'ai trouvé tous les appuis nécessaires pour prendre en charge celui avec qui je vis depuis plusieurs mois. Il n'est pas encore totalement guéri mais il est sur la bonne voie. Notre amour est certainement le plus efficace des traitements.

Quelques années plus tard
Les deux William et moi vivons toujours ensemble dans la maison de Mary que nous avons rachetée et complètement transformée. Nous formons un trio très solide, nous nous aimons sentimentalement et physiquement tous les trois. Nous aimons nos corps, tous les trois ensemble. Il nous arrive de faire l'amour mais comme cela est rare, nous apprécions en conséquence. Je suis convaincu que rien ne pourra nous séparer.
Andy a choisi sa voie, il est marié et nous sommes les parrains de ses trois enfants, des jumeaux et une adorable petite fille. Andy et moi avons besoin, de temps à autres, de nous retrouver seuls, tous les deux, dans la petite auberge qu'il dirige maintenant. Nous faisons régulièrement l'excursion jusqu'au petit lac, berceau de notre affection toujours très vivante. Mais lui comme moi éprouvons le besoin impérieux de nous ressourcer là où notre histoire a débuté. Sa femme et mes amis le savent.
Peter a repris la direction d'un grand bureau d'avocats dans notre ville. Gabriel et lui vivent ensemble, ils se suffisent à eux-mêmes et sont heureux, même si mon frère porte toujours les séquelles des traitements et tortures psychiques qu'on lui a appliqués "pour le guérir". Nous avons déposé une plainte contre la clinique qui a été très vite fermée et les responsables arrêtés. Ils ont été condamnés à de lourdes peines J'espère, sans le dire, qu'ils auront des codétenus qui vengeront mon frère.
Et Claude ? Je ne l'ai jamais revu, je sais juste qu'il est dans un grand bureau d'avocats, Aston and Co. J'ai fait une tentative en lui adressant un message où j'exprimais le fait qu'il serait peut-être temps d'oublier ce qui nous avait séparés pour ne voir que tout ce qu'il y avait eu de positif. Je n'ai eu droit qu'à une réponse on ne peut plus brève et concise : Inutile !
Nous avons toujours les mêmes places dans la salle de concert, mais nous en avons maintenant sept car Andy vient régulièrement avec sa femme.
Je suis parfaitement heureux de ce que m'accorde la vie avec mes deux William. Mais je sais aussi que dans mon existence je n'ai et n'aurai que deux grands et véritables amours : Claude qui m'a tout révélé et Andy qui m'avait donné, sans calcul, l'innocence de son amour.
"Carpe Diem" telle a été notre devise, elle l'est toujours, pour nous tous.


FIN





Re : La ville sinistrée (suites et fin) - Philou0033 - 27-08-2021

Bonjour [member=146]Nostalgique[/member] !
Très belles suites et fin de l'histoire.

Antoine a trouvé un équilibre avec les deux William et Andy. Il a aussi retrouvé son frère Gabriel qui a subi les atrocités de la part de médecins pensant le guérir de son homosexualité! Quelle infamie!
Comme mentionné in fine, il y a deux personnages qui sont importants pour Antoine, son premier amant avec qui il a beaucoup appris, Claude et ensuite c'est Andy qui par sa candeur a éveillé une nouvelles fois ses sens!

Merci pour tous les bons moments de lecture!

Je t'embrasse!
Philou