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Les Vacances des cousins - Version imprimable

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Les Vacances des cousins - Louklouk - 21-08-2021

Une histoire sur une liste de mots (en gras) donnée par l'inexpugnable @Lange128
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LES VACANCES DES COUSINS

Y avait-il de la nostalgie, dans les yeux de ces deux grands garçons ? En tout cas, de l'émotion, oui : à dix-huit ans tout juste, les deux cousins se retrouvaient pour deux mois dans l'ancestrale maison de famille, après une séparation de quatre ans, le brun Bruno ayant dû suivre ses parents à l'autre bout du monde.
Il avait de la prestance, ce loupiot-là ! Quatre ans d'Australie et Nouvelle-Zélande lui avaient donné une allure des plus sportives, quand Florian était nettement plus frêle ; mais on était grand tous deux. Cependant, Florian fut très impressionné par son beau cousin : car Bruno disposait d'une remarquable paire d'yeux bleus sous ses boucles brunes, et d'un sourire à faire mouiller les rombières !
Il était gracieux comme tout, Florian, dans sa finesse même. Mais nettement moins sûr de lui que son viril cousin.
Cette fois, on dormirait dans la grande chambre du second, d'où l'on avait d'ailleurs une vue imprenable sur le bocage avoisinant. Elle disposait de deux grands lits et d'un lavabo et l'on y serait tranquille, les parents résidant au premier.
On y posa ses affaires, et l'on commença à papoter. Certes, on avait utilisé Internet pour correspondre, mais c'était pas l'idéal. Avisant un pot de chambre d'ancienne faïence posé sur une crédence autrefois baroque, Florian eut un sourire, qui n'échappa point à Bruno :
— À quoi tu penses ?
— Ben... j'me rappelle, la dernière fois qu'on était là, la porte de ta chambre était pas fermée, et... je t'avais vu pisser dans ton pot...
— Ah ! Ah ! Eh ben maintenant, j'peux te dire que tu me verras pisser dans le lavabo, parce que j'ai pas l'intention de descendre, ah ! ah !... Ho ! Fais pas cette tête-là ! Si ça te choque, j'te préviendrai !
Florian rougit de sa pruderie et tourna la tête.
— Tu sais, y font pas de manières, les Angliches de là-bas, alors, en quatre ans de basket, j'en ai vu, des mecs pisser partout ! Surtout que leur bière est loin d'être dégueulasse...
On s'installa donc, mais Florian était vraiment intimidé par l'assurance d'un Bruno... qui se déloqua sans préavis. Oh ! Un genre de merveille, çui-là ! Et déjà joliment velu, surtout des jambes, des fesses et du bas devant.
Disons ici que Florian était officiellement hétéro ; m'enfin, il avait ses rêveries... Il n'avait jamais touché un garçon, et le voilà qui se prenait à imaginer le bel ithyphalle (il avait lu ce mot sur Internet) de son cousin... qui ne le montrerait sans doute pas en procession ! Car l'objet que présenta alors Bruno était de belle allure, vraiment.
Mais... Florian avait son petit complexe.
— Allez, vire tout, mon gars, on est entre nous !
Et Florian s'exécuta. Lorsqu'il se retourna, il ouït un joli sifflement de son cousin :
— Eh ben ! T'as pas été volé, toi !
— On fait c'qu'on peut... fit le garçon, gêné... car il faut dire que la quéquette à Florian était... un morceau magnifique.
— Ça doit chauffer par où qu'ça passe ! fit Bruno, l'air réellement admiratif... et un tantinet égrillard.
— Oh ça... souffla Florian, un peu désemparé.
— Ho, cousin ! Me dis pas que... ça n'a jamais servi ?
— Je fais peur, paraît-il. Du coup, j'ose pas trop...
— Oh putain ! Bon, s'y faut, on te trouvera bien une génisse en manque d'amour, dans l'pays !
— Oh, Bruno !
— Excuse-moi, mon Florian, excuse-moi ! Non, on va chercher une belle petite fille ici et...
— T'as conscience que c'est pas un gros port de pêche, le bourg ?
— Mais y a de la touriste allemande et hollandaise ! Y a de la chatte à occuper, j'te jure ! Moi qui t'en cause, j'en ai connu, des nanas issues d'Europe du Nord implantées là-bas ! Et j'te jure que c'est pas du p'tit trou japonais !
— Bruno !
— J'te dis que la vérité.
— Oooh...
— Mon Florian, j'te promets qu'on va y arriver.
— J'ai l'impression d'être une population en détresse !
— Je suis l'ONG idéale, mon pote !
On se sourit, et Bruno vint prendre son cousin en ses bras. Les deux garçons, nus, frissonnèrent. Et Florian se sentit croître un peu... Bruno souffla à son oreille :
— Je vois que t'es chaud, mon Florian. Chuis content de te revoir, tu sais. On va bien s'amuser, tous les deux. On va niquer, niquer, niquer !
— Que Vénus t'entende ! souffla Florian.
— Ah ! Ah ! Ah !
— On rigole pas avec la déesse.
— Pardon. Mais on peut bander ?
— Elle est pas contre, fit Florian... qui se mit à bander carrément.
Il y eut là un petit moment d'indécision, où même Bruno devint dur, et même : bien dur !
— P'tain, souffla Bruno, on est...
Il se dégagea doucement, et l'on constata qu'on était chacun en la meilleure forme... et Bruno ajouta, tout bas :
— T'es drôlement beau, mon Florian, tu sais ?
— Les nanas...
— …Chut ! T'es beau, et... on va faire quèque chose de toi, j'te dis !
Alors Bruno se recula et se prit la bite, en regardant celle d'un Florian qui en fit autant. Et l'on se branla activement en se regardant alternativement les yeux et la queue... avant de se jouir exactement au même instant l'un sur l'autre.
— Ouaouh ! Trop bon, mon cousin chéri ! fit Bruno. P'tain ! T'as la plus belle queue que j'aie jamais vue, ouais ! Elle est sublime, oui !
Florian dut sourire, gêné. Bruno reprit :
— Mais faut pas que se branler ici : faut trouver de la chatte, et vite, encore !
—  T'es fou ! fit Florian, en un large sourire : il était épaté de la vivacité de son cousin... son beau cousin.
Dès le lendemain matin, jour de marché, on alla « en ville »... savoir : au bourg, la maison étant à l'extrémité d'iceluy. Pour y voir de l'animation, certes... mais point de hollandaise luronne !
— On peut tirer aussi de la paysanne locale, tu sais ? fit Bruno. Tu vois la marchande de fromages, là, avec ses beaux nichons ? Tu lui prends deux bique avec un gentil sourire, et hop, elle te saute au paf les cuisses écartées !
— Euh... j'prendrai bien les bique, mais pas les nichons !
— Ah ! Tu aimes les petits, comme moi ! Bon, on cherche ! On va trouver, j'te dis !
Florian était épaté par la vitalité de son cousin, et il se sentait lui-même comme un petit garçon, à côté. D'autant que le marché n'avait pas été entièrement écumé que Bruno avait déjà deux numéros de téléphone... C'est qu'il était rayonnant, ce cousin-là ! Et quelle dichotomie entre eux !
Florian restait toujours un peu en retrait, quand Bruno se laissait aborder en souriant. Et pas par les plus moches ! Mais Bruno eut vite conscience que s'il pêchait facilement toutes les sirènes qui passaient à portée de ses yeux (ou de ses oreilles!), il n'en allait pas de même pour son timide cousin, qui restait toujours en retrait... malgré sa jolie gueule.
— On va partager, mon gars : d'abord, on va les prendre ensemble, ces deux-là, et un peu, que tu vas fourrer !
— Mais où ?
— Les parents m'ont promis que, puisque j'avais dix-huit ans, ils viendraient jamais voir dans ma chambre, et que je pourrais recevoir qui je veux... à condition de pas les réveiller ! Comme on dort ensemble, je vais leur dire de transmettre la consigne aux tiens, et voilà !
— T'es fou ! Et si elles veulent pas ?
— M'étonnerait... avec ta jolie p'tite gueule d'amour !
De fait, dès le soir, vers neuf heures, alors que les vieux prenaient le frais sous la charmille, on fit monter les deux fillettes, une brune et une rousse, qui ne firent pas de manières !
Mais certes le calibre de Florian fit réfléchir, et bien que ces drôlesses, filles du pays, ne fussent point des débutantes, elle déclinèrent poliment l'invitation, ayant déjà du mal à pomper ce super chibre... Mais elles firent jouir son propriétaire d'une main efficace, ça oui.
— Tu vois que j'avais pas menti, murmura Florian.
— C'est vrai que... Mais on va trouver, j'te dis !
— De l'Allemande ?
— De la n'importe quoi qu'aime la queue, voilà !
Cependant, les jours suivants donnèrent raison à Florian : même quand Bruno chauffait à blanc les fillettes qu'on ramenait — jamais moins de deux — aucune n'osait se risquer  à engouffrer le sceptre majestueux.
D'où vint qu'à la fin de la première semaine, et après une autre malheureuse séance pour Florian, on avait à peine éteint que Bruno déclara :
— Florian, faut que je te dise un truc sérieux.
— Hein ? Mais comment tu vas faire ?
— Oui, je sais que je déconne tout le temps, mais... quand on était p'tits, tu riais à tout ce que je disais, non ?
— Et j'ai recommencé !
— Oui... et j'apprécie beaucoup, mon Florian, mais là... c'est vraiment sérieux.
— Tu vas me faire peur !
— Non, c'est pas toi qu'auras peur. Florian... Si... — là Bruno respira un grand coup — si j'arrive pas à te dégoter une nana à fourrer avant la fin du mois... alors c'est à moi que tu la mettras.
— Bruno... murmura Florian, tétanisé, tu... tu... te rends comptes de ce que tu dis ?
— J'y réfléchis depuis plusieurs jours, et... je veux que tu saches. Si les nanas te font la gueule... mon cul te fera des sourires, lui.
— Ah ! Ah ! Ah ! Tu peux vraiment pas t'empêcher, toi !
— Sauf que je suis sérieux, là.
— Je sais pas quoi te dire.
— Tu le diras quand t'auras joui dans mon p'tit trou, et voilà tout.
— Bruno...
— Chut ! Demain matin, j'te suce.
— Bruno !
— Bonne nuit !
Si Florian put s'endormir, alors ! Il était déjà fort admiratif de Bruno, mais là...
Ce fut une douce sensation qui l'éveilla : il sentit les lèvres délicates de Bruno caresser sa longue hampe fortement roide, à cet instant. Il poussa un énorme soupir, et Bruno continua en le décalottant doucement. Il eut un petit sursaut et sut qu'il allait faire ce qui aussi rebutait ces dames : mouiller beaucoup.
Mais à sa surprise, la langue de Bruno se posa sur son méat, et commença à tourner autour, allant jusqu'à la couronne du gland, puis remontant puis...
Il gémit alors, tant la sensation était... Et Bruno s'amusa ainsi un petit temps avant de le prendre enfin carrément en bouche... à son nouveau geignement. Bruno prit son temps, en habitué du sexe qu'il était ; mais il faisait si bien que plus d'une fois, Florian dut le retenir...
Enfin, il fit jouir son cousin avec une ardeur qui fit gueuler Florian... Le pauvret n'avait jamais connu ça ! Qui susurra :
— Oh, t'es fou ! Tout le monde m'a entendu !
— On dira que nous pas, parce qu'on dormait. Oh p'tain, ta queue ! La prochaine fois, tu me mets tout dans le gosier hein, mon cousin chéri ?
— Oh !
La journée commençait bien... et la suite ne s'annonçait pas mal : Bruno avait décidé l'acquisition du gel indispensable à ses lubriques projets. Mais Florian refusa de l'accompagner à la supérette pour l'achat de ce compromettant ingrédient... Où Bruno dragua éhontément.
Petit problème, les parents avaient décidé d'une raclette, ce soir-là... Il fallut donc remiser les fillettes.
— Donc pas de minettes ! fit l'un des Papas.
— Mais vous aurez droit au p'tit coup d'gnôle pour faire passer ! ajouta l'autre.
— C'est le gel, qui va faire passer ! murmura Bruno à l'oreille de son cousin, qui pouffa.
— On peut savoir ? fit l'une des Mamans.
— Ah non ! C'est des trucs de grandes personnes, ça !
En réalité, les garçons eurent aussi droit au champagne à l'apéro, ce qui leur donna un peps certain ; mais Bruno avait ordonné à Florian de ne pas céder à la gourmandise, afin d'être en forme pour la suite...
Sans doute atteint d'un élan holistique, Bruno avait tout prévu. Et puis il allait perdre son pucelage ! Les garçons se retinrent de bâfrer, en se lançant des regards entendus, et l'on alla jusqu'aux eaux de vie en évitant le dessert... Bruno (un démon, pensa Florian), fit le service des alcools, et sous les yeux aveugles des parents servit une, puis deux méga doses à son cousin, comme à lui. Et le moment venu, on s'éclipsa... prêt à tout.
Oui, on était un peu pétés ! Mais Bruno savait où l'on allait, et ça ne traîna pas : les doigts de Florian furent vite priés de s'activer en son petit trou, tandis qu'il pompait iceluy. Prudent, Bruno exigea jusqu'à six doigts avant de tester le chibre sublime. On dut s'y reprendre plusieurs fois, mais... Bruno en voulait, qui en eut. L'affaire fut belle, grandement, et dura. Et effectivement, Florian connut un plaisir immense en se déversant en Bruno.
Alors... après qu'on se fut lavé, Florian déclara faire jouir son cousin. Surpris et souriant, Bruno demanda comment... et fut prié de niquer Florian. Qui prit un pied pas possible. Où Bruno lui promit derechef de s'occuper de son cas... mais non plus en lui fournissant des chattes !
— Pensais pas que je prendrais tant de plaisir avec un damoiseau, moi qui en prends tant avec les damoiselles !
— Est-ce que... tu es sûr... que t'as pas fait ça pour me faire plaisir, seulement ? murmura Florian, tétanisé.
Bruno se jeta alors sur Florian pour lui rouler un patin olympique. La suite fut à la fois simple et pleine d'interrogations : où irait cela ?
Ça alla jusqu'à des études dans la même ville, et une colocation, évidemment : le tout ardemment réussi !

20. VIII. 2021



Re : Les Vacances des cousins - Lange128 - 21-08-2021

Merci [member=87]Louklouk[/member].

Je suis heureux que ma liste de mots t’ait inspiré une histoire familiale de cousins (est-ce un hasard ?). Je me suis demandé si je ne vais pas aussi écrire une nouvelle avec la même liste pour comparer, je ne me souviens pas avoir déjà essayé cet exercice.

PS Bientôt ta millième nouvelle ou suis-je trop en avance ? Tu n’oublieras pas de nous la signaler pour qu’on puisse t’offrir quelques bulles.



Re : Les Vacances des cousins - Philou0033 - 21-08-2021

Bonjour [member=87]Louklouk[/member] !

Très beau récit!
Les cousins c'est fait pour se donner des conseils, pour se déniaiser, pour aller au-delà ce qu'ils avaient l'habitude faire, pour aussi braver l'inconnu et pour se montrer combien on s'aime en fin de compte.

Très beau moment de lecture.

Bon week-end!

Je t'embrasse
Philou


Re : Les Vacances des cousins - lelivredejeremie - 22-08-2021

Tu aimes régulièrement retourner les clichés, non ? Comme celui des filles de la campagne (et du bord de mer) que la légende veut plus faciles  Wink D’un autre côté, tu gardes des valeurs sûres, comme ce fier à bras tout en gueule de Bruno qui se promet de démonter des 'génisses en chaleur' tout l’été et de généreusement aider le timide cousin à atteindre le dixième de son tableau de chasse, le genre de mec très vite énervant en vrai, mais indispensable à l’histoire, ne fut-ce que comme faire-valoir au doux Florian  :Smile En cours de route, il gagne en sympathie les points qu’il perd en virilité absolue, la scène de fellation est très joliment décrite, ni trop ni trop peu, et laisse sous-entendre que quoi qu’il (se) raconte, il maîtrise trop bien la technique, ce n’est probablement pas le premier gland qu’il décalotte de la bouche…
Aussi, merci d’avoir ignoré les proportions trop frustrantes de la statuaire classique pour le décrire le fin blond (j’ai décidé qu’il l’est), mais le petit mec fluet monté comme un âne tient autant de l’idéal que de la douce légende, vu que bon, sauf cruelle plaisanterie de la nature pour certains mecs taillés rugbyman, il y a qd mm toujours ce truc de… ben oui, de proportions  :o Enfin, ce n’est encore qu’une supposition, la vie me donnera p-ê tort, mais peu importe au final, Florian venge un peu toutes les crevettes, on dira  ;D
Par contre, j’ai déjà une certitude, c’est qu’au début d’un texte de Louklouk, je sais que je le terminerai avec un sourire, et ça l’a encore fait  Wink

Euh… la crédence autrefois baroque, elle a changé de style ?  :Smile


Re : Les Vacances des cousins - Louklouk - 22-08-2021

Merci, les mecs !

Première réponse : non, la crédence n'a pas changé de style ! Mais j'ai gardé cette proposition que j'ai trouvée jolie avec le sens de "bien [ou beaucoup] vieillie"...

Et oui, j'aimerais qu'on organise entre nous un autre jeu qu'ACSH, avec des listes de mots, ou des phrasettes. Et avec ou sans anonymat. Il faut quand même forcer tout le monde à écrire, non ?
Ce qui ne retire évidemment rien à ACSH, bien sûr, qui doit absolument demeurer.

En tout cas : merci de votre attention, les minets !

Et réponse à  l'indéfinissable@Lange128 : oui, j'ai encore 23 nouvelles à écrire avant la fin de l'année pour arriver à mille. Avec votre aide (phrasettes ou listes de 10 mots) ?

Bisous à tous,
der alte Lukluk








Re : Re : Les Vacances des cousins - lelivredejeremie - 22-08-2021

(22-08-2021, 11:08 PM)Louklouk link a écrit :
der alte Lukluk
Es ist alles in deinen Kopf, junge Lukluk  8)

Pourquoi ne pas développer, oui ! Perso, je marcherais plus aux 'phrasettes', les liste de mots du genre 'holistique' ou 'ithyphalle', mm si c'est jamais perdu d'en apprendre de nouveaux, les replacer...  ???


Re : Les Vacances des cousins - Lange128 - 23-08-2021

J'ai aussi écrit une nouvelle avec les mêmes mots, elle se trouve ici :

https://recit.slygame.fr/index.php?topic=321.0


Re : Les Vacances des cousins - Bouffondelalune - 25-08-2021

Bonjour [member=87]Louklouk[/member]
Pas mal le récit.
C'est une belle façon d'écrire des petits récits avec des mots "imposés". De plus si c'est suivi par d'autres auteurs!
J'ai passé un bon moment de lecture.
Bouffon