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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 25-09-2023

Pétaouchnok-les gondoles est située à l'embouchure du Poufflon, plus paisiblement navigable, le bled dont je parlais est en amont, plus propice au rafting. Enfin, aux raftings, de jour la descente de la rivière en bateaux gonflables, et de nuit la pratique BDSM gay d'asphyxie sous l'eau (à ce jour, je ne peux toujours pas dire laquelle j'avais préférée ¬‿¬ )


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 30-09-2023

Un retardataire,
Avec la phrase de départ et les 10 mots à caser.
____________________________________________

Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes ! se met à crier Pascal après une bonne glissade. Il se relève sans penser à faire un check-up, mais à priori, tout fonctionne, rien de cassé.

Il ne reste plus qu'à relever la moto. Un bout de guidon râpé, une extrémité de poignée cassée, carénage bien esquinté d'un coté, mais aucun problème gênant la conduite. Il peut repartir.

Voila, je suis arrivé devant l'entrée de la résidence universitaire de mon pote. Tous les deux on termine notre scolarité par un Master. J'approche ma main de l'écran tactile et met mon doigt sur Visiteur.

Je dois indiquer son nom de famille. 24 lettres classées par ordre alphabétique sont visibles. Première lettre : F.
Il ne reste plus que 6 lettres visibles : 5 voyelles et le R. J'appuie sur le A.
Maintenant, il faut choisir parmi 8 noms de famille : Fasol, c'est celui de mon pote.

J'entends une sonnerie puis :
- C'est toi Pascal ?
- Ouais !
- Entre vite, je t'attendais.

Le portail coulisse. Je peux rentrer la moto, puis je prend un escalier. Il m'attend sur la palier.
- Putain, Pascal, qu'est-ce qui t'es arrivé ? Tu t'es pris une bagnole ?
- Quand même pas. Je me suis juste vautré dans un virage à cause de gravillons non signalés par des panneaux.

On rentre dans son appartement.
- Tu dois avoir chaud avec ce blouson. Tu veux un verre ? Je ne te propose rien d'alcoolisé, mais j'ai acheté d'autres boissons. Jus de fruit ? orange ? pamplemousse ? ananas ? framboise ? mangue ? multifruit ? ou juste de l'eau bien fraîche ?
- De l'ananas, ce sera pas mal !

Il va chercher un pack d'ananas en carton et sert deux verres.
- Et ta moto ?
- Rien qui empêche de la piloter, mais un coté du carénage est bien râpé et partiellement cassé. Ça risque de coûter quelques milliers d'euros pour le remplacer. Si je choisis de le faire, l'argent de mes 2 mois de travail d'été risque d'y passer. Et le jean tout neuf acheté hier en prévision de la rentrée universitaire est déjà déchiré. Ils pourraient les entretenir leurs routes !
- Mais il y a un truc que je ne comprends pas. Il n'y a pas de virage sur la nationale durant une bonne vingtaine de kilomètres.
- Je n'ai pas prise, la nationale, j'ai pris la D 722.
- Cette petite route ?
- Oui, cette petite route viroleuse.
- Et pourquoi tu n'est pas venu par la nationale ?
- Aucun intérêt. Justement, comme tu l'as dit elle est bien droite et de plus, elle est limitée à 80, lorsqu'il n'y a pas de bagnole ou de camion devant qui plafonne à 70.
- Mais la départementale est aussi limitée à 80.
- Oui, mais il n'y a pas de radar.

Il a un petit sourire.
- Les gravillons sur la route viroleuse, comme tu dis, c'est peut-être un bizutage. Fait-il en me faisant un clin d'œil.
- Comment ça un bizutage ?
- Ils évitent de trop dépenser pour l'entretien de centaines de milliers de kilomètres de petites routes peu fréquentées. Comme ça, ça fait une série des défis à relever par les motards qui les empruntent, pas toujours avec une vitesse adaptée.
- Hé, l'utilisateur de transports en commun et du covoiturage pour les randonnées à pied, ce n'est pas la peine d'avoir un grosse moto si c'est pour plafonner à 80 km/h !
- D'un autre coté, ce n'est peut être pas la peine de choisir une grosse moto lorsqu'on sait que 80 est la limite de vitesse autorisée.
- C'est pas faux, mais si tu faisais de la moto, tu n'aurais pas cet avis.
- Possible. Mais maintenant que tu t'est pris une gamelle, comme vous dites, même si ça doit faire partie des événements de la vie de tous motard, il serait bon de te soigner ...
- Comment ça me soigner ? Dis-je en donnant un bon coup de poing sur la table. Bordel ! J'aurai mieux fait de rester chez moi au lieu d'entendre des inepties pareilles ! Ma moto serait toujours en bon état, tout comme mon jean, sans rien avoir à dépenser !

Devant mon accès de colère, il s'est levé et s'approche de moi et me regarde d'un air très sérieux.

- Mon petit Pascalou.
Du haut de ses 1,75 m environ, il me toise. Je me lève à mon tour pour rééquilibrer les choses. Même sur la pointe des pieds, il aura du mal à me dominer. À présent, c'est lui qui doit lever les yeux pour regarder les miens et moi qui les baisse.

- 1 mètre 83 !
- Peu importe. Pascal, tu sais que nous sommes de très bons amis depuis qu'on ce connaît, depuis 4 ans. Il serait dommage que cela change pour un malentendu. Tu m'as coupé la parole pendant que je te disais qu'après ta gamelle à moto, il serait bon de te soigner la jambe. Mais comme en plus, cette chute t'as pas mal énervé, je crois qu'un massage relaxant te ferait du bien et j'ai l'habitude d'en faire.

Pendant que Rémi me parlait, tout en me regardant dans les yeux, il a ouvert mon jean et l'a entièrement baissé, dévoilant ainsi la carnation de ma peau bien bronzée durant l'été, mais aussi des zones bien rouge, bien plus rouges qu'un coup de soleil en début de bronzage, aux endroits où j'ai laissé quelques morceaux d'épiderme sur le bitume, alors que d'autres zones ont déjà noircies. Je l'écoutais et je l'ai laissé faire sans réagir.

On voit tous les deux le résultat de mes égratignures. Il me demande d'enlever les chaussures, les chaussettes et le jean pendant qu'il va chercher ce qu'il faut dans sa pharmacie. Il me dit que je peux même tout enlever en prévision des massages. J'enlève le bas et me retrouve pieds-nus quand il revient.

À la plupart des endroits, les soins se limitent à un peu d'alcool. Mais à deux endroits la désinfection réactive les saignements. Rémi y met un peu de coton puis un pansement par dessus en posant le carré des pansements, l'endroit sans colle, sur les morceaux de coton.

- Voila. Pour les soins à ta jambe, c'est fait. Maintenant, pour les massages, il faudrait finir de te déshabiller. Je n'aime pas masser du tissu et c'est d'ailleurs moins agréable pour celui qui se fait masser.
- Je dois vraiment enlever tout ?
- Si tu es trop pudique, enlèves au moins le tee-shirt, à moins que tu aies une religion qui t'oblige à garder la poitrine couverte.

Je me retrouve donc torse nu et il m'accompagne à une table et m'y fait allonger sur le ventre, les avant-bras et mes mains posées au delà de la tête.

Il commence les massages. Ses mains parcourent divers endroits de mon corps en faisant de temps en temps rouler les muscles. Il étire aussi doucement les extrémités des membres, les doigts, les jambes, les pieds. Mes membres sont de plus en plus détendus. J'apprécie ses mains, des mains de maître, qui s'occupent de diverses parties de mon corps.

- Voila, j'ai fini ce coté.
- Pas tout à fait, tu n'a pas fait mes fesses.
- Je t'avais dit que je m'aime pas masser du tissu.
- Enlève mon boxer alors, c'est trop bon.

Je soulève un peu le ventre pour qu'il puisse saisir plus facilement mon boxer No Publik et l'enlever, dévoilant la face arrière de mon anatomie encore cachée. Il passe ses mains sur les parties qu'il avait évitées, le haut des cuisses, le bas du dos qui était près de l'élastique et bien sur les fesses qu'il fait rouler dans ses mains. Après une vingtaines de secondes d'arrêt, il me dit :

- Voila, maintenant, tu peux te retourner et mettre les bras le long du corps.

Je le fais sans hésiter et me retrouve couché sur le dos. Ma bite a pris de l'ampleur et est légèrement surélevée, mais il ne s'en occupe pas de suite. Il masse d'abord le haut du corps, les bras et la poitrine, puis descend vers le ventre. Je suis crispé n'aimant pas les chatouilles. Il n'insiste pas trop et passe directement aux pieds, puis remonte par le jambes et le devant des cuisses qu'il n'avait pas fait tout à l'heure.

Il reste la partie du milieu avec ma bite qui se redresse pour ne pas être oubliée. Ses mains passent à proximité. Elles caressent mon scrotum et massent les testicules. Puis il me dit :

- Pour le bout de tuyau qui reste là, tu veux que je fasse quelque-chose ?
- Oh oui, branle-le ou suce-le. C'est trop bon !

Il commence par approcher son nez pour humer les senteurs de mon gland. Il m'y fait un petit bisou dessus puis descend me lécher l'entrejambe autour du scrotum. Il prend mes testicules en bouche et les fait rouler sous sa langue. Puis, c'est au tour de la tige qu'il prend entre les lèvres qu'il fait coulisser. Il atteint enfin le gland qu'il enfourne dans sa bouche, passe la langue dessus et entreprend les mouvements de va et vient.

C'est vraiment trop bon et j'émets des soupirs de plaisir. Je sens une montée de liquide et je finis par inonder la bouche de Rémi, d'abord un grand jet prolongé, puis 4 jets plus courts. Ça faisait longtemps que je n'avais pas joui comme ça. Rémi a la bouche pleine et a du mal à en garder le contenu. Je viens lécher ses lèvres puis nos bouches se rejoignent et on partage mon liquide.

Lorsque je me suis retourné, j'ai vu que Rémi bandait un peu, mais là, après la fellation qu'il vient de me faire, il bande au maximum et semble se trouver à l'étroit avec son short.

- Rémi, il faut que tu en profites aussi.

Et sans lui demander, comme il avait fait avec moi, je baisse son short et son boxer Freegun. Effectivement, il bande bien. C'est à mon tour de lécher l'entrejambe, les testicules et la hampe de mon meilleur ami avant que ma bouche rejoigne son gland. C'est à son tour d'émettre des cris de plaisir et de jouir dans ma bouche. Nos bouches se rejoignent, mais j'ai envie de plus. Il a toujours son tee-shirt. Je le lui enlève et prend plaisir à humer et lécher sa poitrine, notamment les tétons. Je n'ai pas appris les massages, mais je prends plaisir à le caresser.

- Merci Rémi pour tes massages et le reste qui a suivi.
- Content que ça t'ai redonné le sourire mon pote.
- À l'occasion, ça pourrait être bien de recommencer et d'en faire un petit peu plus.
- Quand tu voudras, et aussi dès que tu voudras.
- Dès que je voudrais, ça pourrait vouloir dire que je reste ici ce soir...
- Aucun problème, tu pourras dormir ici et rester tout le week-end si tu veux, ou plus, si c'est ton choix. Profites-en.
- Je ne voudrais pas te déranger.
- En quoi ça me dérangerait si je te le propose ? Et bien que et tu me l'ai déjà dit, peux-tu me rappeler ce que je représente pour toi ?
- Tu es mon meilleur ami. Depuis qu'on se connaît, tu as toujours été un ami fidèle ... et ... pardonne-moi pour tout à l'heure de m'être emporté lorsque tu as cherché à me dire qu'il fallait me soigner ... la jambe.
- Pour l'incident de tout à l'heure, il a été réglé. Et pour mon invitation, tu sais que dans cet appartement, il y a de la place avec aussi un grand lit où on peut être à l'aise à deux.
- Oui. D'ailleurs, lors de notre première année de fac, on est plusieurs à ne pas avoir compris pourquoi au bout de quelques mois, tu as déménagé dans ce grand appartement qui coûte près de 2 loyers d'étudiants avec un grand lit où tu dors tout seul depuis plus de 3 ans.

- Pascal ! Mon petit Pascalou d'1 mètre 83. Je vais te répondre. Le grand lit, c'est pour pouvoir bien accueillir quelqu'un qui m'est très cher. Et effectivement, depuis 3 ans et demie que j'occupe cet appartement, ça me pèse certains soirs de passer la soirée, puis la nuit tout seul, dans ce grand lit. Tu me rends souvent visite, je réponds aussi à tes invitations, mais jusqu'à présent, on s'est toujours séparé dans la soirée et je me retrouve tout seul dans ce grand lit à penser souvent à toi. Mais je n'ai jamais cherché à te forcer. Tu as droit à ta liberté.

Pendant que nous parlons, nos corps se sont rapproché. Tes mains me caressent le dos et semblent apprécier ce contact. Les miennes te caressent aussi et j'apprécie d'avoir l'occasion le faire vu que tu comptes beaucoup pour moi. Nos poitrines sont très proches et pour ma part, j'apprécie le contact. Nos pénis se sont bien redressés.

- Tu bandes dur Pascal et je bande tout autant. Il serait dommage de refuser à nos deux corps du plaisir juste parce que tu as peur de me déranger. Et même si tu voulais rester au delà du week-end, ça me conviendrait de partager avec toi ce grand appartement et de ne plus être seul dans le grand lit. Tu disais tout à l'heure être ennuyé par le coût estimé de réparation de ta moto. Mais si tu libères ton appartement pour habiter ici, tu pourras récupérer le montant de ton loyer. Je t'aime Pascal, et ça me ferait plaisir de t'accueillir durablement ici, mais tu as droit à ta liberté. Plus tard, tu trouveras peut-être une fille ou un garçon, peu importe, avec qui rester pour une vie commune. Si vous êtes heureux, ce sera très bien. dans ce cas, j'espère quand même rester très longtemps ton meilleur ami. Mais si celui que tu choisis est un garçon, et que ce garçon, c'est moi, j'en serai vraiment très très heureux. Je t'aime Pascal, et je souhaite avant tout ton bonheur. Mais je ne dois rien t'imposer. Tu as aussi le droit de choisir et je t'aime trop pour entraver ta liberté.
- Rémi ! Oh Rémi, je t'adore ! Tu es le plus super pote de l'univers.

Pendant quelques minutes les deux garçons sont tendrement enlacés et laissent couler des larmes de joie. Puis leur corps finit par ce séparer.

- Alors, tu restes ici ce soir ?
- Oh oui !
- Et pour les jours qui suivent ?
- Je verrai. C'est tout nouveau pour moi, je pense rester au moins jusqu'à demain, en fin d'après midi.
- Donc, tu vas coucher ici plutôt que de rependre ta moto.
- Sans problème ! On a tant de chose à découvrir tous les deux !
- Dans ce cas, on pourrait boire autre-chose que du jus de fruit.

Rémi va chercher un bouteille et deux flûtes à Champagne dans le placard.

- Cuvée 2019. C'est l'année de début de nos études, ça !
- Je l'ai achetée peu après avoir emménagé dans cet appartement, mais je commençais à désespérer de la partager un jour avec toi, vu qu'à chaque visite, tu repartais avec ta moto. Du coup, je ne l'ai pas mise au frigo. On peut se servir une flûte et mettre la bouteille au congélateur pour que les prochains verres soient plus frais.
- Ça marche !

La soirée fut très joyeuse. Le contenu de la bouteille fut absorbé avant minuit. Les deux garçons expérimentèrent de nombreuses chose relatives au plaisirs du corps avant de se coucher très tard puis de dormir enlacés jusqu'en début d'après-midi.

Pascal resta chez Rémi au delà du week-end. Avec de la colle époxy, de la résine et du papier verre, le carénage de la moto fut réparé puis repeint pour un faible coût mais quelques dizaines d'heure de travail.

L'histoire ne dit pas si après avoir brillamment réussi leur Master, les deux étudiants se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, mais il faut bien laisser au lecteurs le soin d'imaginer la suite.

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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 30-09-2023

Coucou les gens,

Je vous invite à  aller voir via le lien ci dessous le nouveau "CONCOURS NOEL 2023"

https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=274


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 30-09-2023

Alors là, c'est juste a-do-ra-ble, j'ai juste été un peu Undecided lorsqu'il dit que ça fait trois ans qu'il attend Pascal, c'est looong, et en même temps, c'est encore plus beau, cette idée d'amour idéal auquel il n'ose croire Smile

Je me dis qu'un grand mec d'1m83, qui pourrait très bien faire de la moto, puis un plus petit au prénom récurrent, l'explicite retenu... ça pourrait bien être une production Stuka132, non ? ¬‿¬ Je mise mes habituels 100 roubles (qui ne paient mm plus un rouleau de sopalin, maintenant) Wink


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 30-09-2023

"Vieux motard que jamais" serais-je tenté d'écrire ! Mais, au diable les idées : rien ne vaut l'exécution d'icelles. Et avec Pascalou et Réré ou Mimi, au choix, c'est une montée en gamme que nous lisons, surtout avec son patronyme : Fasol. Ne manque plus que "Lassido" au tableau : ne serait-ce pas le nom de jeune fille de madame Fasol, la maman de Réré? Si oui, suivant la coutume traditionnelle du Nord voire du Pas-de-Calais, sur ses cartes de visite l'hôte de Pascalou indiquerait : Rémi Fasol-Lassido. Quelle mise en musique ! Ces deux gars pourraient encore, pour rester dans le ton, inventer un duo de gémissements, bien dans l'esprit de certaines partitions de musique contemporaine et vendre des centaines de cet exemplaire histoire de se payer quelques grands crus champenois. Je conseille un Krug Cristal, à base de pur chardonnay ou quelque chose d'équivalent à trouver chez un caviste de réputation internationale dont l'enseigne est un prénom, le saint patron étant fêté le 6 décembre. D'ailleurs, par un curieux usage, ce jour-là est aussi la fête des artilleurs et des mineurs. Allez savoir pourquoi !
Bon, je remercie l'auteur "retardataire"  pour son très aguichant travail, en lui souhaitant de prendre garde à la sinuosité des "petites routes" (À noter quand même que cette  D 722 ne serait autre qu'une ancienne nationale déclassée en "départementale". Il arrive fréquemment que l'ingénieur départemental des Ponts-et-Chaussées conserve l'ancien numéro des routes en remplaçant simplement "N" par "D").
Serait-ce Gaétan BG? C'est assez dans son style.
Sur ce, salut à tous et...bonne nuit !
KLO.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 30-09-2023

Il se trouve que le nom de famille Fasol existe réellement :

https://www.filae.com/nom-de-famille/fasol.html

C'est le nom de famille de la présidente de l'Association pour la Promotion du Naturisme en Liberté (APNEL).

C'est même en Essonne où elle habite qu'on trouve le plus de personnes de ce nom là durant les années 1941 à 1965, période durant lesquelles elle a du naître, bien qu'il s'agisse certainement du nom de famille de son mari (décédé).

Ce nom de famille se prononce Fazol, mais on ne trouve pas de variante orthographique utilisée à la place de Fasol.

En cherchant un peu plus, on trouve même un ou plusieurs Rémi Fasol, mais pas à notre époque :

https://www.filae.com/v4/genealogie/Search.mvc/SearchForm?ln=fasol&fn=r%C3%A9mi&idf=True&tab=2&nf=0&fnf=0&fnvf=False&ef=0;1;2;3;4;5;6;7;8;9&mp=False&yf=6&pf=0&cpf=0&dpf=0&img=False&src=False&hka=False&rf=0&ord=1&srt=0&ps=100&pi=1&mz=5&hmtr=True&gmsr=True&fnr=False&pe=0

Par contre, rien pour la famille Lassido avec ses variantes orthographiques.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 04-10-2023

Coucou les gens,

Je livre le nom du retardataires :

@bech

-----------------------------------------------------------
en cours :

Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes..

-------------------------

Puis, le choix de @bech !

[Image: MHlqCegVLra_change-voiture.jpg]


Ensuite, le choix de @Lange128 !

[Image: MHunMho587a_b9717377465z.1-2018102421333...l.1-0.jpeg]


Ensuite, le choix de @lelivredejeremie !

[Image: MIdl1DlGWUa_undefined.jpg]


A prévoir, défi Halloween pour le 31 octobre:

[Image: depositphotos_141791564-stock-illustrati...creepy.jpg]


Et le nouveau "CONCOURS NOEL 2023"


https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=274


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 08-10-2023

Deuxième défi phrase de départ: (au milieu du récit  Tongue)

Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes..


— J’ai jamais vu ça… a gémi le stagiaire urgentiste. ‘’Je… vais demander son avis au médecin de garde… ne… ne bougez pas.’’
— Et j’irais où ? a grogné Thomas, alors que le joli mec s’éloignait.
— Mignon, lui, non ? ai-je soufflé.
— Mouais, je suppose, je n’ai pas trop regardé, manquerait plus que je bande, le débit de sang, c’est déjà pas mal, là.
— Tu as raison, c’était juste idiot, je m’en veux déjà assez de… Ooooh ! ai-je glapi, en voyant revenir Rémi - d’après son badge - accompagné d’un renard argenté, la cinquantaine élancée, sèche et musclée.
— Ça va aller, je peux t’aider ? m’a reproché Thomas. ‘’Note, je peux comprendre, belle bête…’’
— Bonsoir, je suis le docteur Troisfontaine, je… Ah oui, d’accord, c’est… inattendu comme pansement !
— Le truc, a osé le stagiaire, c’est que je soupçonne ce qui… mais avec le sang, on ne voit rien, alors, je perce d’abord ?
— On peut demander les détails de… l’accident ? a ironisé son aîné.
Non, mais j’explique ça comment, moi ? C’est tellement ridicule, aussi.
— Eh bien, voilà…
 
(***)
 
D’après le GPS, on est encore à vingt-cinq bornes du gîte, mais on a trois kilomètres en ligne droite, et j’ai une petite faim.
— Ou une petite soif, avait répondu Thomas, avec un grand sourire, en relevant la sangle abdominale de sa ceinture de sécurité.
On fonctionne ainsi, un regard, une allusion, suivis d’une courte lutte qui détermine qui dévoile le premier l’intimité de l’autre… Et là, avec lui au volant, j’avais un petit avantage, encore facilité par ses mouvements de bassin qui m’ont permis d’ouvrir et partiellement abaisser d’un seul geste son pantalon, et son boxer, sur ses cuisses, pour dévoiler son sceptre déjà à demi glorieusement dressé, sur lequel j’ai fondu, comme l’épervier que je suis sur le cou d’un cygne.
Thomas a doucement gémi alors que, des lèvres, je repoussais son prépuce pour dévoiler un gland gonflé de désir que j’ai tété comme veau au pis, jusqu’au nid-de-poule, et à mon coup malheureux d’incisive du bas…
— Tom, tu saignes !
— La trousse de secours, dans la boîte à gants !
— Il n’y a rien, là-dedans, juste des petites compresses, ça va pas le faire… ai-je gémi, avant d’avoir l’idée de génie, et de sortir de ma poche l’emballage d’un préservatif.
— C’est pas le moment, Jonas, je pisse l’hémoglobine, là !
— Justement, ça va la contenir, le temps d’arriver à l’hôpital de L***.
 
(***)
 
La mort dans l’âme, j’ai montré ma dent ébréchée…
— T’étais absolument obligé de dire que tu m’as fait une pipe au volant ? Sérieux, Jonas ?
Ne blâmez pas votre ami, la description précise des évènements permet de poser un diagnostic précis.
C’est une blague, ou quoi ? a demandé Thomas. ‘’Jonas me suçait le gland, obstacle sur la route, coup de dent, fallait pas avoir fait huit ans de médecine pour comprendre.’’
 
 
— Et là, après l’avoir emballé, vous avez donc comprimé le… membre, m’a-t-il dit. ‘’Bonne idée, le latex est bien sûr commodément extensible, mais sans qu’heureusement on se retrouve avec une poche d’un litre de sang difficilement réutilisable, vous l’imaginez.’’
— Le sarcasme, c’est nécessaire ? a grommelé Thomas.
— Nous sommes à la campagne, a glissé le docteur, les métaphores animales, l’épervier, le veau, ça nous parle forcément, ne fut-ce que pour poser un diagnostic… déchirure du frein. Et je ne me moque pas, au contraire, merci de me signaler deux dangers potentiels ! Rémi, rappelle-moi de signaler au maire d’enfin faire colmater les nids de poule de ce tronçon de la nationale, il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes… a-t-il tonné, avant de reprendre d’un ton plus doux, en abaissant délicatement la lèvre inférieure de son stagiaire sur une dent également endommagée, ‘’et fais soigner ça, nous ne souhaitons pas que ça nous arrive, n’est-ce pas ?’’
— Oh non, Maximil… euh… docteur, a répondu le joli Rémi.
 
(***)
 
— Tu as vu le désir du jeune ? m’a demandé Thomas en quittant l’hôpital. ‘’On devait à peine les avoir quittés qu’il suçait son daddy.’’
— Je sais pas, le coup de la dent doublement incisive a dû le refroidir, non ?
— Sauf que je ne sais pas qui de Rémi, de toi ou de moi lui a mis la trique, mais il bandait dur, le docteur.
— Calme-toi, Tom, il a dit que pendant quinze jours…
— Ça va être looong, a-t-il gémi.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 09-10-2023

Amis, même si ce qu'il se passe est encore assez éloigné de la France-et de notre voisin Belge- pas le cœur à commenter le texte ci-dessus*. Nous n'avions sans doute pas suffisamment avec l'Ukraine et la Russie, voici de nouveaux massacres au Proche-Orient et, un de plus!, un tremblement de terre chez les Afghans avec 3 000 victimes au bas mot.
Bien à vous quand même,
KLO.
--------------------------------------
*Je l'avais lu voilà 6 ou 7 jours. Mais , sans doute avais-je oublié d'écrire un petit mot à la suite...


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 09-10-2023

Mignonne histoire... mais j'ai dû rire à cette image :

"  j’ai fondu, comme l’épervier que je suis sur le cou d’un cygne. ", écrit l'auteur.

Or les éperviers ne mangent pas de cygnes... car ils ne pèsent que 220 g, et les cygnes 11,5 kg (soit 52 fois plus) !
D'ailleurs, les cygnes n'ont pas de prédateurs (sauf s'ils sont jeunes, vieux ou malades, comme tous les animaux).


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 09-10-2023

(04-10-2023, 08:05 AM)fablelionsilencieux a écrit : Coucou les gens,

Je livre le nom du retardataires :

@bech

Je n'étais pas retardataire du tout puisqu'on en était au défi "phrase de départ" et que j'ai commencé mon texte par cette phrase qui conditionne le reste du récit.

Les 10 mots à caser, c'était du bonus.

Du coup, le récit posté hier (8 octobre) à 20 H 40, c'est le troisième récit avec la phrase de départ (et le premier où elle n'est pas au début).

Bon, pour ce qui de trouver l'auteur de mon texte, 2 avis distincts, chaque avis ayant proposé quelqu'un d'autre. Parmi les personnes proposées, j'avais vu à un certain moment une photo de moto sur le profil de gaetanbg, pas d'information dans ce domaine pour stuka132.

Sinon, je mesure 1,69 m, je fais de la moto (ce que KLO7514 devait savoir), même si depuis quelques petits excès de vitesse (moins de 5 km/h relevés) j'en fais beaucoup moins et j'utilise pas mal les transports en commun genre train à 10 € pour 183 km, mais j'ai eu fait des trajets de 247 km pour 1 ou 2 € lorsqu'on trouvait des billets à 1 € plus facilement.

Pour ce troisième récit avec la phrase de départ, (récit qui m'a bien fait rire) le début du texte m'a fait penser à gaetanbg et la fin à Lange128 (qui est plus actif sur cette rubrique).


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-10-2023

Coucou les gens,

Je livre le nom des auteurs, phrase de départ:
Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes..

Premier : @Louklouk

Le non-retardataires : @bech Wink

Deuxième :  @lelivredejeremie


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-10-2023

Maintenant le choix de @bech !

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Ensuite, le choix de @Lange128 !

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Ensuite, le choix de @lelivredejeremie !

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A prévoir, défi Halloween pour le 31 octobre:

[Image: depositphotos_141791564-stock-illustrati...creepy.jpg]


Et le nouveau "CONCOURS NOEL 2023"


https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=274


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-10-2023

OUPS!
J'ai oublié une participation que j'avais mise de coté, vu son double emploi... je  rectifie mon erreur.

[Image: MGoqDw8A0ya_Friends-drinking-beer-and-playing-cards.jpg]


Un pour deux, photo et phrase de départ.




— Il serait temps qu’ils entretiennent un peu mieux leurs routes… dit Matt en jetant rageusement un 6 de trèfle sur la nappe verte avant de grignoter une chips.
— Ouais, ajouta Patrick, pour une fois que nous avions de la chance, ou plutôt que tu as eu de la chance, Ralf.

Ralf avait en effet eu de la chance puisqu’il avait été tiré au sort pour assister à l’Évènement. Seuls 100 véhicules étaient autorisés sur le Site d’Oumpahpah Dry Lac. Manque de chance, le pont de la seule route qui menait à cet endroit s’était effondré dans le lit asséché de la rivière. Vu l’importance de l’Évènement, le Président avait ordonné à un bataillon du génie d’en construire immédiatement un nouveau qui serait prêt afin que tout le monde fût sur place pour l’heure H, le lendemain à l’aube.

En attendant, Matt, Patrick et Ralf étaient bloqués dans leur camping-car de location au bord d’une route encombrée et jouaient aux cartes. Ils ne se connaissaient pas, ils s’étaient rencontrés le matin même dans la grande ville voisine. Ralf avait cherché des partenaires pour l’accompagner et avait eu de longs échanges avec eux avant de sélectionner Matt et Patrick, deux collègues qui travaillaient dans d’autres succursales de son entreprise de plomberie.

— Il fait chaud, fit Ralf, je ne peux pas remettre la clim en route pour ne pas décharger la batterie, je peux juste laisser le frigo alimenté.
— Pas de souci, dit Matt, tant qu’on a de la bière fraiche… On tiendra le coup.
— Tu sais pourtant que boire trop de bière empêche de bander.
— Non, je ne savais pas. On n’a pas de filles avec nous, ce n’est pas un problème non plus.
— Les garçons peuvent bander entre eux, dit Patrick.
— T’es un pédé ? demanda Matt.
— Pour te servir… Pas toi ?
— Sais pas, j’ai rien contre les gays, mais j’ai jamais essayé.
— On fait un strip poker ?

Matt éclata de rire :

— Je m’y attendais à celle-là. Pas original, on finit tous à poil. Dites, vous vous connaissiez, les deux ? Vous m’avez attiré dans un piège pour déniaiser un hétéro ? On se croirait dans un récit de Louklouk.
— Non, je t’assure, dit Ralf, j’ai suivi mon gaydar pour vous choisir.
— Bon, je suis ouvert à de nouvelles sensations mais je dois d’abord sortir pour pisser.
— On t’accompagne.
— Le contraire m’aurait étonné.

Les trois hommes sortirent du véhicule, le soleil s’était voilé en ce début de soirée, rendant la chaleur un peu plus supportable. Ils urinèrent en cercle afin d’avoir une première vue d’ensemble. Même Matt l’hétéro exhiba sa bite sur toute sa longueur, et elle était longue. Il faut dire qu’il sortait de plusieurs jours d’abstinence, sa copine Yacinthe l’ayant plaqué pour coucher avec son professeur de yoga tao-tantrique, Maitre Harekrishna.

Une fois les dernières gouttes expulsées, ils retournèrent dans le camping-car pour y découvrir la fusion entre leurs corps et leurs âmes et intégrer une dimension sacrée à leurs ébats. Non, ça c’était pour l’ex et son yogiste, leurs relations furent beaucoup plus viriles, mais empreintes de douceur car il ne fallait pas dégouter Matt avec les premiers phallus qu’il accueillit à l’intérieur de son corps. Il sembla très satisfait de cette découverte et s’empressa de rendre la pareille à ses nouveaux compagnons.

Ils ressortirent alors que le soleil se couchait, vêtus de leurs seuls boxers, sans se soucier de choquer les passagers des autres véhicules bloqués, et burent une dernière bière. Ils se couchèrent ensuite en se serrant sur le lit étroit qui n’avait que deux places, réveillant une dernière fois leurs sens avant de s’endormir profondément.

Ralf avait mis une alarme sur son téléphone, mais la batterie de celui-ci rendit l’âme à la suite d’un phénomène atmosphérique inexpliqué. Ils se réveillèrent vers 5 heures du matin pour se rendre compte qu’ils étaient les seuls et qu’ils arriveraient trop tard pour l’Évènement. Ils vidèrent leurs vessies, leurs boxers sur les cuisses.

— Zut, dit Patrick, on a tout fait foirer en baisant.
— Désolé, fit Ralf, c’est ma faute, j’aurais dû recharger mon smartphone.
— Bah, ce n’est pas grave, dit Matt, vous avez fait découvrir l’amour gay à un hétéro, ça vaut bien n’importe quel Évènement du Millénaire. On verra des millions de vidéos sur YouTube.

C’est alors qu’ils remarquèrent les deux créatures qui les observaient à quelques mètres, deux géants nus, êtres diaphanes aux longs cheveux d’or qui cachaient malheureusement leur entrejambe. L’un dit à l’autre :

— Je t’avais bien dit, Hzr%6gd, qu’ils avaient les mêmes bites que nous.
— Oui, je reconnais que tu avais raison, (uejgs))O, mais ils ne bandent pas, pour notre pari c’est la taille en érection qui compte.

Les trois hommes avisèrent ensuite la soucoupe volante, de métal gris et qui paraissait bien déglinguée. Hzr%6gd s’approcha et leur adressa la parole dans un anglais d’aéroport :

— C’est bien ici le Site de Oumpahpah Dry Lac ? On nous y attend pour le Premier Contact.
— Non, répondit Ralf, ça doit être à une vingtaine de kilomètres au nord, le pont était naze.
— Je t’avais bien dit, (uejgs))O, qu’on n’aurait pas dû acheter le positionneur positronique sur AliOmnibus, c’est de la camelote.
— De plus, on a le tuyau d’alimentation en sous-ions suractivés qui fuit, vous ne sauriez pas où il y a un plombier ?
— Vous avez de la chance, fit Patrick, nous sommes plombiers, on va vous réparer ça en deux temps, trois mouvements.
— Oh, rien ne presse, sur notre planète, 7fujehs*4vef, on doit au moins attendre trois mois pour avoir un plombier.
— Et on aurait un autre problème de plomberie, dit (uejgs))O , on aimerait comparer nos bites aux vôtres. J’ai parié avec Hzr%6gd que les nôtres sont plus courtes, mais lui il a vu que sur des statues que vous en aviez des toutes petites. Le problème avec les statues c’est qu’elles sont toujours au repos.
— Vous n’avez pas trouvé de photos sur Internet ? demanda Patrick.
— Notre dernière visite remonte à l’Antiquité, on vient d’arriver et on n’a pas encore pu s’acheter de forfait 6G.

Ralph regarda les deux extraterrestres et déclara, aux anges :

— Finalement, l’Évènement, le Premier Contact, c’était pour nous !
— Tant mieux, dit (uejgs))O, vous êtes plus sympas que les officiels, et je ne pense pas que le Président nous aurait montré sa bite.
— Euh… Il y a aussi des gays sur votre planète ?
— Bien sûr, 90% de la population. C’est pas la même chose chez vous ?

Pendant que les officiels et les invités attendaient patiemment l’arrivée des extraterrestres qui avaient envoyé un drone hermésien pour annoncer leur retard, la première branlette intergalactique se déroulait tranquillement à l’aube d’une nouvelle ère de paix et d’harmonie.

PS Ce sont les Terriens qui en ont une plus grosse, du moins les Terriens de la photo et qui ne sont pas forcément représentatifs de la majorité. Quant au Président… Laissez-moi rire.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 17-10-2023

Une histoire décalée, un scénario légèrement compliqué (pour égarer le lecteur ?), un goût pour la technique (et mm celle d'aliens, encore imaginaire), des scènes intimes juste implicites... Je dirais Bech.