Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 23-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. De nouveau un épisode dur, Phil a fait une tentative de suicide, ce n’est pas étonnant après tout ce qui lui est arrivé les jours précédents et l’attitude de Roland y a contribué. Roland doit finalement avouer qu’il est homosexuel et qu’il était jaloux d’Henri. Dommage qu’il ait réagi comme cela, il aurait plutôt dû montrer de la compassion pour Phil et essayer de remplacer Henri, avec tact et sans précipitation. Je te souhaite un bon week-end ! Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 23-01-2021 (23-01-2021, 01:28 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui un épisode très dur. Phil fait une tentative de suicide après les propos de Roland. Phil vit depuis l'attaque homophobe des moments dramatique et l'accumulation l'a fait basculer. Roland dit être homosexuel et qu'il aime Phil, mais son comportement est diamétralement opposé! Il aurait dû apporter son soutien à Phil et le soutenir, mais pas le briser! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement! Bon week-end! Je t'embrasse Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-01-2021 Au bout de trois jours les médecins avaient dit que j’avais cinquante pour cent de chance de m’en sortir sans séquelle. Maman était toujours dans tous ses états. Papa était moins expressif, mais je savais qu’il n’en menait pas large. Anne et Jean étaient effondrés. Ils ne savaient plus quoi faire, plus quoi envisager, ils attendaient que je me réveille. Jean-Luc avait accompagné Roland à l’hôpital. Roland était resté dans le couloir. Jean-Luc lui était entré dans ma chambre. Il avait salué maman et il s’était penché vers moi pour me parler doucement à l’oreille. Il me tenait aussi la main. Jean-Luc était resté vingt bonnes minutes avant de partir. Roland, lui était resté face à la vitre de la porte de la chambre. Il avait encore des appréhensions à entrer pour me saluer et me rendre visite. Il était reparti avec Jean-Luc. Chaque jour maman voyait un jeune qui venait en fin de journée jeter un œil par la vitre de la porte de la chambre. Au troisième jour elle lui avait demandé ce qu’il venait faire à me regarder comme ça. Le jeune lui avait alors dit : Rol : « Bonsoir madame, je suis un scout et je suis venu voir comment va Phil. Je m’appelle Roland ! Mam : Bonsoir Roland, c’est toi qui avait été au camp avec Phil cet été ? Rol : Oui, c’est bien moi. Je suis là pour faire pénitence, car c’est moi qui suis à l’origine de l’acte posé par Phil ! Mam : Comment ça, je ne comprends pas. Rol : Oui, en fait c’est moi qui avait…traité…Phil de …. (La voix enrouée) Mam : Ah, je vois, c’est donc toi qui l’avait traité de sale pédé. Rol : Oui, c’est bien moi, j’en suis désolé, je m’excuse, je… Roland s’était mis à pleurer, il était devenu livide, il s’était liquéfié sur place jusqu’à se pisser dessus ! Maman l’avait alors enlacé. Elle lui a dit : Mam : Roland, tu peux venir quand tu veux, mais fait attention à Phil. Il est très, très, très fragile. Tu ne te rends pas compte ce que tes paroles ont pu avoir comme effet. Je ne te jette pas la pierre, mais réfléchi, réfléchi trois fois plutôt qu’une quand tu veux dire quelque chose à quelqu’un. D’autant plus que tu savais qu’il était fragile. Rol : Je ne sais que vous dire, je sais que je suis impardonnable ! Je ne sais pas ce qui m’a pris. C’est quand Henri est mort que j’ai su qu’il avait été son ami, son amant. Au fond de moi, je suis désolé, au fond de moi j’aimais aussi Phil. J’ai agi par vengeance. J’aimais Phil, mais je n’avais jamais osé le lui dire ! Mam : Roland, ce n’est pas possible. Tu n’as pas pu faire ça. Rol : Mais, je ne…, je suis désolé, j’étais jaloux. Je suis impardonnable. Maman : Pourquoi es-tu là ? Rol : Parce que j’aime Phil. » Roland s’était alors remis à pleurer. Je ne savais pas que Roland, le gars très timide en fin de compte, et qui semble toujours très ouvert devant les autres, était amoureux de moi. Maman l’a alors pris dans ses bras. Un soir, Véronique et Joseph étaient venus ensemble me rendre visite. Véronique a beaucoup parlé avec maman. Elles se comprenaient bien entre elles. Véronique était anxieuse et malade de me voir comme ça. Elle savait que je n’avais pas pu faire le deuil de son fils Henri. Qu’il était dans ma peau, qu’il était tout pour moi. Elle avait compris que nous vivions ensemble un amour incommensurable, que nous étions comme deux êtres animés d’une même force, d’un même idéal, d’un même amour aussi grand qu’il puisse être imaginé. De son côté Roland était venu me voir à l’hôpital. Il entrait dans la chambre et il venait s’asseoir à mes côtés. Il me parlait et me tenait la main. Pas un seul jour Roland n’aurait manqué son rendez-vous avec moi. Que ce soit en semaine ou les week-ends, Roland était présent. Il restait une bonne demi-heure, tâchant de me maintenir à l’écoute. C’est bien entendu Maman qui m’avait tout expliqué ainsi que la présence de Roland chaque jour par la suite. Un jour alors que Roland était présent, ma sœur Anne lui avait demandé de la suivre. Ils étaient allés s’asseoir dans la salle de repos de l’étage. Ma sœur lui disait alors ceci : Ann : « Roland, tu viens tous les jours voir Phil. C’est bien que tu veilles te racheter. J’espère que Phil s’en sortira, tu sais c’est mon frère et je l’aime. Il a déjà tellement souffert. Rol : Oui, je sais que la mort de Henri l’a profondément marqué. Ann : Roland, il n’y a pas que ça. Je vais te le dire, mais n’en parle à personne et même pas à Phil. Ce que je vais te dire restera entre nous. Rol : Oui, je te le promets ! Ann : Tu vois lors du séjour en Vendée, une fin d’après midi Phil et Henri ont été attaqués par trois jeunes homophobes. Phil a réussi à faire fuir Henri pour qu’il ne soit pas frappé. Phil a été roué de coups, il a été humilié et en plus il a été…, il a été… Des larmes coulaient sur les joues de ma sœur. Elle n’arrivait plus à parler. Rol : Dis, il a subi d’autres choses. Ann : Oui ! (Dans un râle) Rol : Oh merde alors. Je ne le savais pas. Et moi qui l’ai humilié devant les scouts. Je m’en veux, je ne suis qu’un pauvre con. Merde, merde, qu’est-ce que j’ai fait. Roland se mis à pleurer lui aussi. Ann : Puis tu vois Roland, son ami Henri était pour comme un ange, c’était comme s’il était son ange gardien ! Alors tu vois depuis sa mort Phil est excessivement vulnérable. Rol : Si j’avais su. Je m’en voudrais toute ma vie si Phil ne s’en sort pas. Désolé, je vais rentrer, je ne suis pas bien. Excuse-moi auprès de ta famille. » Roland s’était levé et avait quitté l’hôpital en pleurant. Il était directement rentré chez lui. En arrivant il est allé voir sa maman. Il s’était remis à pleurer et il lui a expliqué la conversation qu’il avait eue avec Anne. Roland était effondré, il s’en voulait cruellement de s’en être pris à Phil, le Phil qui était son copain de camp aux scouts, le Phil qu’il aimait. La maman de Roland téléphona à Jean-Luc, le jeune assistant de troupe. Jean-Luc était arrivé dans la demi-heure. Il fut mis au courant. Il s’était alors rendu dans la chambre de Roland, lequel était couché toujours en pleurs sur son lit. Jean-Luc lui demanda alors : J-L : « Alors Roland, explique-moi ce qui se passe. Rol : J’ai appris par la sœur de Phil que durant les vacances ils avaient été agressés et que Henri avait pu s’échapper. Elle m’a dit qu’il avait été roué de coups et humilié. Anne m’a dit qu’il y avait plus, mais je ne sais pas quoi. Je m’en veux d’avoir humilié Phil lors de réunion. Je ne suis qu’un imbécile, un con. J-L : Arrête Roland. Tu ne pouvais pas savoir. Je sais ce qui s’est passé. Je vais te le dire, mais je ne veux en aucun cas que tu en parles à qui que ce soit, ni à Phil, ni à aucun des scouts. Est-ce bien compris Roland ! Rol : Oui, je ne dirai jamais rien. J-L : Phil te le dira s’il le souhaite. De toute façon il faut d’abord qu’il s’en sorte. Voilà, en plus des humiliations un des agresseurs a enfoncé un bout de bois dans l’anus de Phil ! Rol : Ah non pas ça. Pas ça. Mais c’est dégelasse. ! » Roland s’était ensuite effondré en larmes. Il venait de comprendre que sa réflexion faite à Phil à la réunion avait eu un effet dévastateur. Il avait fait plonger Phil dans un abîme Il ne savait plus que dire. Jean-Luc le consolait. Jean-Luc expliqua ensuite à la maman de Roland, en bref la conversation qu’il venait d’avoir avec son fils. La maman de Roland pris la décision de venir le lendemain avec Roland me rendre visite. La maman de Roland, Marthe, avait accompagné Roland pour venir me voir. Marthe avait rencontré ma maman et elles avaient longtemps parlé entre elles. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 26-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Si Roland semble aimer Phil, pourquoi avoir agit de la sorte. S'en prendre de cette façon est indigne d'un scout. Henri est décédé, Roland avait alors tout le temps pour courtiser Phil et tenter de conquérir son cœur. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-01-2021 (26-01-2021, 03:35 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement c'est incompréhensible de voir la réaction de Roland surtout qu'il dit aimer Phil. Même s'il ne s'est pas déclaré, il pouvait, comme tu le signales, tenter de le conquérir, sachant qu'Henri n'est plus un obstacle! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 26-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Pas facile pour Roland qui se rend compter de l’erreur qu’il a faite, mais on réagit parfois impulsivement dans la vie lorsque quelque chose nous affecte. Il lui manque encore la maturité qui lui aurait permis d’éviter ce comportement déplacé. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-01-2021 (26-01-2021, 06:49 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement ce n'est pas facile pour Roland. Il se rend compte de l'erreur et il s'en veut. L'amour fait parfois réagir d'une manière inappropriée, on manque alors de discernement. Avec plus de maturité aurait-t-il agit autrement? Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 28-01-2021 Un jour, soit après vingt-trois jours de coma, j’avais ouvert un œil. Maman était présente ainsi qu’une autre personne que j’avais peine à distinguer. Maman avait directement fait appel aux infirmières qui s’étaient empressées d’appeler le médecin de service. Au fur et à mesure je retrouvais mes esprits. Elle m’avait dit alors dit qu’un jeune était venu tous les jours pour me voir. Elle me disait qu’il était présent dans la chambre. Puis enfin j’avais pu voir de qui elle parlait. Je voyais encore un peu dans le coaltar, Roland, le Roland qui m’avait insulté le jour de la rentrée chez les scouts. Je n’en revenais pas. Roland s’était approché de moi et m’avait susurré à l’oreille : Rol : « Oh Phil, je suis désolé. Je m’en veux, tu ne peux pas savoir. Je t’expliquerai plus tard. Désolé mon ami, je suis tellement désolé. (Des larmes coulaient sur ses deux joues.) Moi : Salut Roland. Je ne sais que te dire. Attends que j’aille mieux. Il faut que je retrouve mes esprits. Rol : Prends le temps qu’il te faut. De toute façon je serai là demain et les autres jours ! Moi : Merci Roland. Je ne sais que te dire, il faut que je me retrouve. » Roland me salua. Il me fit un baiser sur la joue et quitta la chambre. Durant ma présence à l’hôpital, ma famille était venue me voir, ainsi que l’oncle Pierre, mon cousin Stéphane, et même Jean-Philippe. Ils s’étaient tous inquiétés de mon état. Maman m’avait alors expliqué que beaucoup de personne étaient venues me rendre visite durant mon coma. Elle cita Jean-Luc, André et les parents d’Henri. Le médecin avait demandé à la famille de ne pas rester trop longtemps et pas à plus deux en même temps pour que je me repose après le traumatisme subi. Roland était venu le lendemain me rendre visite. Roland m’avait expliqué que Jean-Luc l’avait avisé de ma tentative de suicide et de mon coma. Roland m’expliquait alors ceci : Rol : « Écoute Phil, en fait j’étais amoureux de toi et je n’avais jamais osé te le dire. J’étais jaloux lorsque j’ai appris ta relation très intime avec Henri. Je regrette ce que je t’ai dit, ne sachant pas à quel point tu avais souffert de la mort d’Henri. Moi : Écoute Roland, merci pour ta franchise et pour toutes tes visites, mais pour le moment je préfère ne plus te voir. Excuse-moi, mais il faut que je fasse le point, je suis désolé, mais je ne peux pas te regarder, tu m’as fait tellement de mal, tu ne peux pas t’imaginer ! Rol : Oui Phil, je comprends. Si tu le veux, quand tu veux, tu peux faire appel à moi, je serai là ! » Roland quittait ma chambre aux soins intensifs, il pleurait. Je n’avais pas le courage de le voir, il m’avait fait tant de peine, ses paroles m’avaient transpercé telle une épée qui m’aurait coupé en deux ! Le médecin prévoyait de me mettre en chambre car j’allais mieux. Je devais cependant faire de la rééducation car j’avais perdu en mobilité. Il était question de me retirer la sonde urinaire que j’avais depuis mon entrée aux soins intensifs. Il était aussi question d’aller suivre une thérapie auprès d’un psychologue. L’après-midi même une psy d’une quarantaine d’année s’était présentée dans la chambre des soins intensifs. J’allais donc la revoir tous les jours. Je n’ai pas du attendre longtemps, le jour suivant, on me transférait dans une chambre en pédiatrie, bien que j’avais 16 ans. Si non j’aurai été au milieu d’adultes. On m’avait dit qu’un autre jeune de mon âge partageait aussi la même chambre. J’étais un peu rassuré. A peine installé, côté couloir, le lit du côté de la fenêtre étant occupé par l’autre jeune, on m’avait conduit dans la salle d’exercices pour ma rééducation en chaise roulante. Arrivé dans la salle, j’ai vu qu’un jeune, âgé de plus ou moins de seize d’ans, faisait ses exercices avec un kiné. Il était svelte, un peu plus grand que moi, les cheveux blonds mis-longs, un beau petit nez, des pommettes saillantes et un peu rosées. Bref une frimousse et un corps d’adonis. Il était vêtu d’un short moulant bleu marine et d’un tee-shirt blanc. Je ne voyais que lui dans cette grande salle où une dizaine de personnes de tous âges travaillaient à leur rééducation. Cet ange tombé du ciel avait tourné la tête vers moi et j’avais pu bien distinguer ses yeux, ils étaient d’un bleu profond, bleu comme l’océan. De son côté il me regardait intensément, lui aussi. Il loupait même son exercice. Durant toute la séance nous nous regardions. J‘avais des fourmis dans le ventre. Mais quoi, je tombais amoureux de ce jeune sans même le connaître. Je devais fou, j’extrapolais, je rêvais déjà à une rencontre plus discrète, bref j’étais aussi inattentif aux exercices que je devais faire. Il fallait que je retrouve mon équilibre, que je puisse retrouver de la mobilité. Je tâchais de me concentrer. Puis au fur et à mesure d’un exercice, je m’étais pissé dessus. Le kiné ayant vu cela interrompit la séance. Une fois en chambre j’avais pu prendre une douche. Le kiné avait demandé aux infirmières de me mettre une couche pour faire les exercices pour les prochaines séances. Moi de mon côté j’étais honteux de m’être fait dessus devant ce jeune beau comme une icône. J’étais sorti de la salle d’eau de la chambre, nu, alors que mon voisin de chambre était revenu. C’était ce jeune éphèbe blond que j’avais vu dans la salle d’exercices qui partageait la chambre avec moi. Il me regardait de haut en bas. N’étant pas très pudique, j’étais resté nu jusqu’au moment où l’infirmière était arrivée pour me donner de quoi m’habiller. Elle voulu placer le rideau de séparation et je lui avais dit que c’était inutile. Elle avait rétorqué, « Comme vous voulez. » Mon voisin de chambre n’avait rien dit et il s’était tourné vers la fenêtre. Une fois habillé, je m’étais mis sur le lit. Je regardais mon voisin et je lui avais alors demandé : Moi : « Bonjour, comment t’appelles-tu ? Ben : Oui, bonjour, on s’est vu dans la salle d’exercices, je m’appelle Benoît, et toi. Moi : Moi c’est Philippe, mais on m’appelle Phil. Je préfère d’ailleurs. Au fait désolé, mais tu vois je vais devoir remettre des couches pour faire les exercices à la salle. Ben : Salut Phil, ne t’inquiète pas, tu n’es pas le seul, ça m’est arrivé aussi. Au fait tu as quel âge ? Moi : Juste 16 ans. Et toi ? Ben : Comme toi ; bientôt 16 ans aussi. Moi : Tu es là pourquoi, sans être indiscret ? Ben : J’ai été renversé par une voiture alors que j’étais à vélo. Cela s’est passé il y a trois mois, soit vers mi juillet. Et toi ? Moi : Ah, et tu n’as pas trop eu de séquelles. Pour moi c’est assez, comment dire, c’est …je…ne.. Des larmes coulaient sur mes joues. Je ne savais plus parler. Ben : Ce n’est pas grave Phil. Je suppose que c’est encore assez frais à ton esprit. J’avais pu me contenir, j’avais arrêté de pleurer. Et dans un sursaut j’ai pu dire : Moi : Benoît, je vais te le dire, c’est une tentative de suicide ! Ben : Oh là, je vois. Et tu vas un peu mieux ? Moi : Oui, je suis sorti du coma avant-hier après 23 jours dans le noir. Ben : Ben alors, tu as failli y rester. Je ne veux pas être indiscret, mais pourquoi, tu as mon âge. Moi : Benoît, je ne vais pas tout te dire, mais j’ai perdu un ami très proche et je n’ai pas supporté sa perte. Ben : Bon, je te laisserai tranquille avec ça. Puis-je te demander, je t’ai vu à poil tantôt et tu n’avais pas de trace de maillot, tu es naturiste ? Moi : Oui, tu n’aimes pas. Ben : Moi j’aime bien, mais mes parents sont assez retissant pour ça. Moi aussi j’ai l’habitude d’être nu dans les douches au sport, aux scouts etc. Moi : Tu es scout, moi aussi. Tu es dans quelle unité ? Ben : Je suis dans la 12ème et toi ? Moi : Je suis, ou plutôt j’étais dans la 16ème. Ben : Alors ça c’est cool, on n’est pas loin l’un de l’autre alors. Moi : Oui, c’est vrai. Merci de me parler Benoît, ça me fait vachement plaisir. Je vais faire un somme, ne m’en veux pas, je suis fatigué par cette séance de kiné. Ben : Pas de problème Phil, je sais ce que c’est j’étais comme toi après la première séance. » J’avais été réveillé vers midi par les bruits des charriots qui contenaient le repas. J’avais pu enfin manger quelque chose de consistant car j’avais été aux toilettes. Benoît s’amusait de me voir ainsi dévorer mon repas. Je n’en pouvais plus, il fallait que je mange, j’avais tellement faim. Une fois le repas terminé nous avons encore parlé Benoît et moi de nos activités, de l’école et d’autres choses. J’avais été conduit chez la psy. Cette dame était très sympa. Elle m’écoutait, m’apportait son soutien, bien sur elle ne me jugeait pas. Elle savait que j’étais homo et elle m’avait dit que pour elle cela n’avait aucune importance que j’étais un patient comme un autre, qu’elle ne faisait aucune différence. J’étais moi et elle me voyait comme une entité unique. La première séance s’était très bien passée. Une fois de retour en chambre, l’après-midi passait très vite, nous ne voyions même pas le temps passer. Benoît m’avait expliqué qu’aux scouts ils avaient fait de la spéléo. C’était mon rêve de pouvoir ainsi entrer dans les entrailles de la terre. Sur le moment je n’avais pas remarqué que maman était devant la porte ouverte de la chambre. Je ne savais pas depuis combien de temps elle était là. Elle avait le sourire. En la voyant j’ai eu moi aussi un large sourire aux lèvres. J’étais heureux de voir ma maman. Elle m’avait embrassé et puis était allée dire bonjour à Benoît. Maman me donnait des nouvelles de la famille. Elle me disait que, Anne et Jean allaient mieux, depuis que j’étais sorti du coma. Puis c’est la maman de Benoît qui arrivait. Elle alla dire bonjour à mon voisin de chambre avant de nous saluer maman et moi. Les mamans ont parlé un peu ensemble pendant que Benoît et moi nous poursuivions notre conversation. Il m’expliquait le fonctionnement de sa troupe, j’étais émerveillé. L’après-midi a très vite passé. Les deux mamans nous avaient quittés après nous avoir embrassés. Bref voilà l’heure du repas du soir, bien qu’il ne soit que 17h45. C’est en fait l’habitude dans les hôpitaux. Le repas a été expédié moins vite que celui de midi. J’avais fait attention de ne pas manger trop vite, c’est mauvais pour la digestion. Nous avions ensuite continué à discuter Benoît et moi. C’était pour moi comme une bouée de sauvetage. Benoît était là et le seul fait de l’entendre me parler me rassurait. Je pensais encore à Henri bien entendu, mais je parvenais à penser à autre chose. Vers les 20h00, l’infirmier s’était présenté à la porte de la chambre. Il avait salué Benoît et puis en se tournant vers moi, il m’avait fait un clin d’œil et m’avait alors dit : Inf : « Bonsoir Phil. Je vois que ça va mieux mon gars. Si tu as le moindre problème, la moindre angoisses, tu n’hésites pas tu sonnes. Moi c’est Alexandre, soit Alex pour les gars comme vous. Moi : Salut, merci Alex. Ça va un peu mieux et puis j’ai de la compagnie, et en plus je m’entends bien avec Benoît. Inf : Je suis content pour toi, car tu nous as fait peur depuis ton arrivée. Moi : Désolé, mais je suppose que tu sais ce que c’est d’avoir perdu un être très cher. Inf : Oui Phil. Au fait vous allez bientôt prendre votre douche, c’est quand vous voulez. Benoît, tu sais que tu dois faire attention de ne pas glisser dans la douche, elle est grande assez pour deux. Ben : Oui je sais Alex. Puis si j’ai besoin d’aide, Phil est là ! Moi : Ok, merci Alex. Tu as l’air super sympa. Ben : Oui Alex est super. Tu verras tantôt Phil. Merci Alex. Inf : Oh, ça va les mecs. Bon, Phil vers 21h30 je viendrai te mettre une couche pour que tu n’inonde pas le lit. Je compte sur toi Benoît pour ne pas te foutre de sa geu.., je voulais dire sa tronche ! Ben : Pas de soucis, Phil a déjà eu pas mal de merde que je ne vais surement pas en rajouter. » Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 28-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Je sais évidemment ce qui va se passer avec cet « ange tombé du ciel », le coup de foudre… Ce sera un plaisir que de redécouvrir ces premiers moments d’intimité entre Ben et Phil. C’était mieux qu’une relation entre Roland et Phil. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 28-01-2021 (28-01-2021, 01:16 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, un "ange tombé du ciel"! C'est la découverte l'un de l'autre, en toute simplicité et sans artifice! Merci Daniel, tu le sais, je te remercie de suivre le récit et de le commenter. Ça me fait vachement plaisir! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 30-01-2021 Benoît me regarde et puis il me demande si je suis d’accord de prendre la douche avec lui. Je n’en revenais pas. J’avais envie de voir mon voisin de chambre dans le plus simple appareil. Je lui avais dit qu’il n’y avait aucun souci. Nous nous étions mis nus et nous avions pris place dans la grande douche. En fait elle pouvait servir pour des personnes à mobilité réduite. Puis c’était bien car il y avait des barres partout pour pouvoir se tenir. Je devais aussi faire attention car j’étais assez faible sur mes jambes, mes muscles avaient fondus durant toute la période où je me trouvais dans le coma. Benoît était splendide, c’était un adonis. Il avait un sexe plus gros et plus long que le mien. Il avait toujours son prépuce, comme moi aussi. Il avait les couilles d’une taille assez honorable. Ses fesses étaient super bien galbées, et puis sa bouche était, comment dire, pulpeuse à souhait. J’aurai bien déposé mes lèvres sur les siennes. Bon restons calme, j’avais déjà une semi-bandaison. En y regardant bien Benoît également. Nous nous étions savonnés. Benoît me demandait si je pouvais faire son dos. J’avais tout de suite accepté en lui demandant de faire le mien par la suite. Mon sexe ayant repris sa dimension initiale, j’avais entrepris de nettoyer mon gland, j’avais décalotté mon gland et je l’avais nettoyé avec du savon. Benoît me regardait faire les yeux grands ouverts et étonné. Je lui avais demandé ce qui se passait et Benoît m’expliquait : Ben : « Eh, Phil, tu sais décalotter ton pénis pour laver ton gland sans problème. Moi : Oui, je le fais tous les jours. Pourquoi tu demandes ça ? Ben : Je n’y arrive pas facilement. Je ne sais pas pourquoi ! Moi : Regarde, tu t’y prends doucement, entre tes deux doigts tu fais rouler ton prépuce et puis tu laisses sortir le gland. C’est comme tu m’as vu faire. Ben : Oh, je vais essayer. » Benoît s’appliquait, mais son gland avait difficile à sortir. Je lui avais expliqué qu’il devait le faire tous jour pour ne pas avoir de problème pour les relations sexuelles à venir. Benoît s’était mis à rire mais il était rouge pivoine. J’avais ajouté que c’était aussi bien mieux au point de vue hygiène. Une fois la douche terminée, nous nous étions séchés. Nous avions regagné la chambre et nous nous étions couchés dans nos lits. J’étais resté nu car Alex devait venir mettre ma couche pour la nuit. Il semble que c’étaient plutôt des langes. Benoît lui aussi était resté nu. Je me demandais pourquoi. Puis Benoît me regardait avec insistance, sans rien dire. Je lui posais alors la question : Moi : « Il y a quelque chose qui ne va pas. Ben : Ben, non, mais tu sais le soir, souvent je …me .. Moi : Ah, oui, j’ai compris, tu te branles. Ben : Oui, mais comme tu es là, je n’ose pas. Moi : Oh, ne t’inquiètes pas, moi aussi je me masturbe. Tu sais à notre âge c’est tout les jours. » Ma queue était déjà mi bandée, il n’a pas fallu plus de trois ou quatre va et vient pour qu’elle prenne sa position verticale, direction le plafond. Benoît s’y était lui aussi mis à prendre son sexe en main. Nous voilà tous les deux occupés à nous branler dans la chambre. Nous nous regardions l’un l’autre, nous nous observions ou plutôt nous regardions le sexe de notre voisin. Cela faisait plus de trois semaines que je ne m’étais pas masturbé, j’avais très vite éjaculé. Six jets de sperme sont venus s’écraser sur mon torse. Dès que Benoît m’avait vu juter, il avait lui aussi de son côté laisser partir cinq longs jets sur son ventre. J’étais heureux. J’avais un voisin de chambre au top, il était scout, il n’hésitait pas à se branler et il était super sympa. Nous nous étions essuyés avec des mouchoirs en papiers. Quelques minutes plus tard Alex entrait dans la chambre. Il nous regardait puis il nous a dit : Inf : « Hum, hum, ça sent le foutre dans cette chambre. J’espère que vous n’avez pas trop salopé vos draps ! Alex avait un large sourire en disant ça. Ben : Ohé, mais non Alex, on a fait attention. Je te l’avais dit Phil qu’Alex était super sympa. Inf : Eh Phil, tu sais, je suis ici depuis plus de 10 ans et je sais que les ados ont besoin de se satisfaire. Je l’avais dit à Benoît et j’étais certain qu’il passerait le mot. Alors il ne faut pas avoir honte, c’est dans la normale des choses. Moi : Merci Alex, tu est super. » Alex me présenta un lange. Il me demanda de m’allonger, de relever et d’écarter un peu les jambes. Il mit un peu de talc sur mon service trois pièces et la raie du cul et il referma le lange. Benoît avait assisté à la scène sans dire un mot. J’étais prêt pour la nuit. Benoît m’a souhaité une très bonne nuit et moi de mon côté j’avais fait de même. Au matin, c'est-à-dire vers 06h35, je m’étais réveillé. J’avais passé une excellente nuit. Benoît était encore endormi et je l’avais laissé dormir. Je m’étais aperçu que mon lange était plein d’urine. Je m’étais alors levé pour le retirer. Je m’étais remis dans mon lit, nu comme un ver. Je le regardais, sa tignasse blonde en éventail sur l’oreiller. Il était beau comme un dieu. Ne fusse que de le regarder, j’avais la gaule. J’étais tombé amoureux de Benoît. Mais, était-il gay, je n’en savais rien. Il fallait que je sache, car dans quelques jours il allait quitter l’hôpital. Finalement Benoît avait ouvert un œil. Tout de suite je lui ai souri en lui disant bonjour. Benoît m’avait alors souri à son tour, il était rayonnant avec son sourire, c’était un ange. Ben : « Alors Phil, tu es en train de me regarder, tu m’observais. Moi : Heu, bien oui, je trouvais que tes cheveux étaient splendides éparpillés sur l’oreiller. Ben : Oui, c’est ça ! Tu me matais, c’est plutôt ça. Moi : Mais non, ce n’est qu’une impression. » Voilà les petits déjeuners. Nous avions mangé d’un bon appétit. Puis après une douche nous nous étions habillés pour la séance de kiné. J’avais au préalable mis un lange pour éviter d’inonder mon pantalon de training. La séance de kiné s’était déroulée de la meilleure des façons. J’arrivais à faire tous les exercices sans trop de difficultés. Benoît lui aussi avait fait beaucoup de progrès. En rentrant en chambre, je m’étais rendu compte que le lange était sec. J’étais content. Benoît l’avait aussi remarqué, il m’en avait fait part et il m’avait dit que j’étais sur le bon chemin. La matinée était presque finie. On nous apportait déjà le déjeuner. Nous avions mangé sans trop d’appétit, la nourriture n’était des meilleures. Nous avions dû nous forcer. Juste le dessert était bon. Après le repas, je m’étais un peu assoupi. C’était la fatigue de la kiné. Après une grosse demi-heure j’avais ouvert un œil. J’avais directement vu que Benoît m’observait. Je lui avais alors dit « Salut ». Benoît a alors piqué un phare. Je me demandais si Benoît n’était pas gay. J’en étais de plus en plus certain. Bref il restait deux ou trois jours pour en savoir plus. A 13h45 j’étais chez la psy. Cette séance a été très positive, j’avais pu faire le point et mettre des mots sur des impressions, sur des idées non encore épanouies. J’avais l’impression de grandir, de progresser. Je pouvais réfléchir et me poser les bonnes questions. De retour en chambre, vers 14h30 alors que je bavardais avec Ben, j’avais vu sa tête me montrer la porte de la chambre. Je m’étais retourné et il y avait dans l’embrasure de la porte Anne et Jean. Mes yeux s’étaient embués en les voyants. Les deux visiteurs s’étaient approchés de moi et je m’étais mis à pleurer. Il y avait quatre bras qui m’enlaçaient. Cela a duré cinq bonnes minutes. Benoît nous regardait sans dire un mot. Puis une fois un peu remis de mes émotions, j’ai dit : Moi : « Ça me fait chaud au cœur de vous voir. Je vous demande pardon, je sais que je vous ai fait très peur. Anne : Non Phil, arrête, ne t’en veux pas. Je t’aime tu sais mon frère, ne t’inquiète pas tu as déjà tellement souffert. Moi : Merci ma grande sœur. Jean : Oh, Phil ne me refais plus jamais ça. Tu as de la chance que je sois rentré assez tôt. Je t’en supplie Phil, plus jamais, tu m’entends ! Jean s’est effondré en larmes. Maman m’avait dit que c’était lui qui m’avait trouvé et qu’il avait fait appel au service de secours. J’avais pris Jean dans mes bras pour le consoler et le remercier. Une fois le calme revenu dans la chambre Benoît m’avait regardé dans les yeux et il avait alors dit : Ben : Tu as une famille formidable. Tu as de la chance. Ne recommence pas, il y a des gens qui tiennent à toi. Moi : Oui Ben, j’en suis conscients. » Anne et Jean étaient restés une partie de l’après-midi en ma compagnie et celle de Benoît. Nous avions parlé à quatre de choses et d’autres, ainsi que de mon retour dans quelques jours. Jean avait hâte que je rentre à la maison, il disait que la maison sans moi, c’était comme une maison sans vie et sans âme. Ca m’avait fait rire. Benoît me disait lui aussi que normalement dans deux jours il pourrait rentrer chez lui. Il fallait donc que je ne tarde pas trop pour savoir quoi ! Un peu avant le repas du soir Anne et Jean m’avaient embrassé avant de rentrer à la maison. J’avais été heureux de les revoir. Cela m’avait fait chaud au cœur. Comme avait dit Benoît, j’avais une famille formidable. J’étais ému et mes yeux s’embrumaient. J’avais pu contenir mes larmes. Une fois le repas avalé, Benoît m’avait proposé d’aller faire un tour dans le jardin de l’hôpital, l’infirmière de jour lui ayant donné l’autorisation. Nous étions donc allés prendre l’air à l’extérieur. C’est Alex, notre infirmier de la nuit, qui était venu nous dire qu’il était temps de rentrer. Nous avions regagné la chambre. Nous étions tout de suite allés prendre notre douche. Nous étions une nouvelle fois ensemble dans la douche. Sous le jet je sentais que mon sexe se gonflait de plus en plus. Celui de Benoît également. Nous nous étions mis à rire. Puis sans vergogne nous nous étions mis à nous branler chacun de notre côté. Il n’avait pas fallu longtemps pour nous éjaculions sur les murs de la douche. Une fois essuyés, nous étions allés nous coucher sur nos lits. Nous attendions la venue de notre infirmier Alex. Alex était entré dans la chambre. Il voyait que nous avions déjà pris notre douche. Il m’avait mis mon lange pour passer la nuit. Il nous regardait et nous demandait : Alex : « Alors les gars, vous avez été sages ce soir ! Ben : Bon, écoute, c’est très sympa aussi dans la douche sous le jet d’eau ! Moi : Bien sympa, je peux te le dire ! Alex : Vous êtes des couchons. (En riant). «Bonne nuit les mecs. Ben et Moi : Merci Alex. A demain. » Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 30-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Ben et Phil vont prendre leur douche ensemble. C'est l'occasion pour Phil de voir Ben dans le plus simple appareil. Un fois sec ils se couchent chacun dans leur lit. Phil attend le passage d'Alex l'infirmier pour la pose de la couche pour la nuit. Ben est fébrile, il semble nerveux, Phil s'en aperçoit, en fait Ben n'ose pas se branler devant Phil. Après concertation, les deux ados se masturbent chacun dans son lit. Alex sent par l'odeur que les deux garçons se sont masturbés. Il sait très bien qu'à cet âge là, c'est très habituel. La nuit se passe bien. Au réveil, les deux ados prennent leur douche ensemble et ils se branlent sous le jet d'eau. C'est l'occasion de dire par la suite à Alex qu'il est possible de se donner du plaisir sous la douche. La glace est vraiment rompue entre les deux garçons. Il est certain qu'ils se rapprochent de plus en plus. Ils semblent tombés sous le charme l'un de l'autre. Phil va-t-il pouvoir à nouveau aimer? Merci pour cette suite. Très bon week-end ainsi qu'à tes lecteurs. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 30-01-2021 (30-01-2021, 12:49 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Phil et Ben se découvrent l'un l'autre au grès des journées. Douches partagées ainsi que masturbation chacun dans son lit. Il est clair que les deux ados ont flashé l'un sur l'autre, mais qu'il manque encore cette petite intervention "divine ou spirituelle" pour qu'ils se rendent enfin compte qu'ils sont fait l'un pour l'autre! Nous en saurons plus dans les suites à venir! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Bon W-E. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 30-01-2021 Merci Philou. Première douche entre Phil et Ben qui semble avoir besoin d’un cours de rattrapage sur l’hygiène du gland. Par contre, il sait comment se branler. L’infirmier n’est pas très discret, j’ai l’impression qu’il est jaloux. Je te souhaite un bon week-end ! Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 30-01-2021 (30-01-2021, 04:55 PM)Lange128 link a écrit :Merci Philou. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement première douche commune pour Phil et Ben. Ben découvre que Phil se lave le gland en se décalottant. Phil lui en explique la raison. C'est un "apprentissage" pour Ben. Ben et Phil savent très bien ce que c'est que de se branler, ils s'y prennent bien chaque jour. Il est vrai qu'Alex l'infirmier n'est pas très discret, il semble apprécié la vue du corps des ados qui sont dans son service. Il semble aussi apprécier les gays, il doit en être! Un très bon week-end pour toi également. Je t'embrasse! Philou |