JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 21-08-2020 (20-08-2020, 11:41 PM)AL gayman link a écrit :Jolie chapitre et bonne nouvelles tant pour Phil et jacques que pour Stéphanie et Delphine mais quelque chose me gène.Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Oui l'attitude du papa semble fort ampoulée comme tu dis. Il faut savoir qu'il marche sur des œufs. Il sait que c'est l'instant où il doit être attentif à ce qu'il dit. Il ne veut pas heurter et donc il tient un langage que n'est peut-être pas le sien pour le moment. L'écriture n'est tout les jours facile et parfois quand le moral n'est pas trop au beau fixe, cela se ressent dans la perception du texte. J'espère que la suite te plaira! Merci Alain de suivre le récit et de laisser un com! La critique positive est toujours intéressante, merci à toi ! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 21-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. La réconciliation a eu lieu et ce ne devait pas être facile pour tout le monde. Espérons que cet épisode malheureux sera vite oublié et que la vie de famille reprendra rapidement le dessus. Je pense qu’il y aura encore de la gêne entre Phil et son père pour quelque temps, et Phil verra son père très différemment qu’avant. Il nous reste à savoir ce qui va se passer entre Phil et Jacques. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 21-08-2020 (21-08-2020, 11:55 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui il y a une réconciliation, mais il y a toujours une certaine gène entre père et fils, tant d'un côté que de l'autre. Le père, Alain, marche sur des œufs, raison pour laquelle il semble un peu ampoulé comme le dit Al Gyaman (Alain)! Il est certain qu'il faudra du temps à tous pour retrouver un équilibre dans leurs relations qui ne sera plus comme avant, c'est indéniable! Que sera la vie pour Phil et Jacques, nous le saurons dans les suites à venir! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser à chaque fois un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 22-08-2020 Ma sœur Delphine était dans sa chambre avec son amie Stéphanie. Elles s’apprêtaient à aller à la salle de bain. Jacques et moi nous étions dans ma chambre et nous aussi nous étions occupés à nous préparer pour aller à la salle de bain. Au même moment ma sœur et moi nous avions ouvert la porte de notre chambre respective. Nous voilà dans le hall de nuit, tous les quatre nus comme des vers. J‘avais dit à ma sœur d’aller la première avec Stéphanie dans la salle de bain. Mais Delphine m’avait dit, qu’elles prendraient la baignoire et nous la douche. Nous voilà donc à quatre dans la salle de bain. Les filles se prenant un bain et nous les garçons nous étions sous la douche ! Jacques était un peu intrigué, mais je lui avais fait comprendre que c’était bien entendu l’habitude dans la famille de se balader nu dans la maison. Jacques et moi avions pris notre douche ensemble, dans la douche italienne. Ma sœur était avec sa copine dans la baignoire. Une fois la douche terminée et une fois séchés, nous avions regagné ma chambre. Les filles étaient toujours occupées à tremper dans le bain. Une fois dans la chambre, la porte fermée, j’avais attiré Jacques sur mon lit. Nous nous étions embrassés. Nos bouches s’étaient trouvées, nos langues avaient passé la barrière des dents et elles dansaient ensemble. Nos mains n’étaient pas restées à ne rien faire, elles caressaient nos corps, elles s’attardaient au niveau des fesses pour enfin venir s’occuper de nos attributs masculins. Nos pines étaient gorgées de sang et elles pointaient vers le haut. Je laissais mes mains parcourir les fesses et le mât de cocagne de mon cher Jacques. Celle qui était sur son vit allait de bas en haut, caressant le gland pour redescendre vers les deux bourses gonflées. Puis elle allait une nouvelle fois vers le haut pour s’attarder au niveau du gland. Jacques de son côté s’attelait à me rendre la pareille. Il s’appliquait à me faire du bien. Puis j’avais cessé mes caresses ! Jacques s’était lui aussi arrêté. Je l’avais regardé dans les yeux et lui avais dit : Moi : Je veux t’aimer, je veux te faire l’amour ! Jac : Oh Phil, je voudrais aussi t’aimer. Moi : Je voudrais aussi mais nous n’avons pas de quoi nous protéger. Jac : Ne t’inquiète pas, mon père m’a donné ce qu’il faut. Moi : Tu as des capotes et du gel ? Jac : Oui, j’ai ce qu’il faut, attend c’est dans mon sac. Jacques avait sorti de son sac une boite de préservatifs et un flacon de gel. C’était donc son père qui lui avait fourni tout le matériel pour que nous puissions nous aimer en toute sécurité ! Jacques avait pris l’initiative. Il avait préparé les capotes. Il avait le flacon de gel et en mettait sur ses doigts. J’avais compris, il voulait me prendre, il voulait me faire l’amour. Il s’était aventuré auprès de ma rondelle et il titillait ma rosasse. Il enfonçait un doigt puis deux dans mon anus. Il élargissait à force l’ouverture de ma grotte. Puis une fois mon anus préparé, il avait placé un condom sur sa verge bandée. Il s’était approché de mon derrière et avait donc investi les lieux en douceur. Il me pénétrait doucement en faisant des mouvements entrant et sortant, pour ne pas me faire mal. Puis il s’était décidé à me pénétrer jusqu’au fond. Ses couilles battaient sur mes fesses. Il ma labourait l’anus et moi de mon côté je gémissais de plaisir. J’avais déjà connu ça avec Julien, mais avec Jacques s’était autre chose. Il y allait doucement en prenant son temps. Il me susurrait à l’oreille des « je t’aime » et me caressait les cuisses. Il y allait de plus en plus franchement, moi de mon côté j’étais de plus en plus hors du temps. Je savourais recevoir dans mon anus le phallus de mon ami. Je ressentais un tas de sensations divines, j’avais des fourmillements dans le ventre. Je sentais que Jacques respirait de plus en plus fort puis il se cabrait et ensuite ralentissait la cadence pour mieux reprendre par la suite. Jusqu’au moment où, plein d’énergie il envoya la purée au fond de la capote. Moi-même j’avais laissé échapper quelques petits cris de bonheur. Puis Jacques avait reculé son sexe et avait déserté ma grotte. Il s’était couché, je dirais même qu’il s’était affalé sur le lit à mes côtés. Une fois que Jacques ait eu le temps de se reprendre, je lui avais dit à l’oreille que je voulais moi aussi l’aimer, lui rendre son amour, le faire jouir de l’anus. J’avais enduit la rondelle de mon ami avec du lubrifiant. Puis avec un doigt puis avec deux doigts, j’avais élargi le passage. Je massais son anus pour pouvoir par la suite y introduire mon sexe bandé. J’avais même osé mettre un troisième doigt mais Jacques m’avait dit qu’il avait mal. Je m’étais alors contenté de deux doigts. Puis après quelques minutes, j’avais présenté mon sexe tendu à l’entrée de sa grotte. J’avais bien entendu placé au préalable une capote sur mon vit. Mon gland se présentait au niveau de sa rondelle qui entrait dans la cavité élargie. J’y allais centimètres par centimètres. J’investissais sa grotte d’amour doucement, sans précipitation. Je demandais à Jacques s’il avait mal, il m’avait dit un peu, mais que ça allait. Une fois arrivé à la garde, mes deux boules claquaient sur ses fesses au fur et à mesure de mes mouvements pénétrants et sortants. Jacques commençait à gémir de plaisir ; moi de mon côté je sentais que ma sève montait. Je ralentissais alors l’allure pour que les coups de boutoir soient moins forts. Je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais que Jacques puisse en profiter au maximum. Mais Jacques disait de son côté « Oui, oui, vas-y. » J’avais alors repris de plus belle mon assaut dans sa cavité anale et en moins de trente secondes je laissais partir ma semence en saccades au fond du préservatif. Jacques quant à lui criait de joie. Après m’être retirer, je m’étais avachi, fourbu à côté de Jacques. Nous venions de nous aimer, nous venions de nous faire l’amour. Jacques était ravi et moi aussi bien entendu. Nous nous étions ensuite embrassés amoureusement. Nous nous étions ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre. De leur côté les filles n’étaient restées dans le même lit, celui de ma sœur, pas uniquement pour dormir. Elles s’étaient également données du plaisir. Delphine avait donné un petit bisou sur les lèvres de Stéphanie. Puis ce petit bisou s’était transformé en un baiser fougueux, les langues dansant entre elles. Puis bien entendu les mains n’étaient pas restées comme cela sans rien faire, sans bouger. Elles se promenaient sur les corps, les tétons des seins étaient gonflés par le désir montant. Puis les mains allaient aussi en direction de l’intimité de l’être aimé. Puis les doigts s’insinuaient entre les lèvres déjà ouvertes. Les clitoris étaient titillés, ils étaient sensibles aux caresses des filles. Elles savaient s’y prendre, cela faisait déjà depuis quelques mois qu'elles se connaissaient sexuellement parlant. Finalement elles s’étaient retrouvées têtes bêches et pouvaient donc se gouter mutuellement. Les langues y allaient de plus belles, de petits cris étouffés se faisaient entendre dans cette chambre où il régnait une atmosphère d’amour. Puis l’excitation étant de plus en plus forte, les filles mouillaient de plus en plus et puis dans de grands râles de bonheur elles arrivaient ensemble à l’orgasme tant convoité. Puis elles retombèrent sur le lit côté à côte comme deux oiseaux fatigués en vue de reprendre haleine. Elles s’étaient aimées, elles s’étaient données l’une à l’autre. Mes parents eux aussi s’étaient mis au lit. Je savais qu’ils faisaient encore l’amour. Je me doutais bien qu’ils étaient eux aussi nus dans leur lit et qu’ils se donnaient l’un à l’autre. Ils s’aimaient, ils avaient retrouvé un nouveau souffle après les évènements des dernières semaines. Au matin, Jacques s’était réveillé avant moi. Il me regardait dormir. Il avait remarqué que j’avais déjà une semi-gaule matinale. Il avait alors déposé sa main sur ma queue, juste comme ça, sans bouger. Mon sexe s’était encore gonflé au contact de cette main bien chaude, pour être ensuite tendu au maximum. Jacques commença alors de petits mouvements de va et vient sur mon membre dressé. J’avais ouvert les yeux à moitié et je regardais Jacques me faire du bien. Quand il s'’n est aperçu, il m’avait souri. Je savais qu’il m’aimait et qu’il trouvait un malin plaisir à me donner de l’amour et à me donner du bonheur. Il n’avait pas fallu plus de quelques minutes avant que je ne jouisse. Mon ami avait du sperme sur la main et moi sur mes abdos. J’avais bien entendu vu que Jacques bandait, son sexe ne demandait qu’une chose c’était qu’on s’occupe de lui. J’avais donc avancé ma main vers son membre dressé et je lui avais procuré à mon tour les caresses qui convenaient pour qu’il puisse lui aussi jouir. Jacques avait fermé les yeux pour savourer cette branlette qui lui faisait tant de bien. Puis il s’était cambré et avait laissé s’écouler sa semence sur ma main et son torse. Une fois essuyés, nous nous étions embrassés à pleine bouche. Petit tour à la salle de bain pour une bonne douche réparatrice. Une fois séchés, nous avions passés nos vêtements pour nous rendre à la salle à manger pour un très bon petit-déjeuner en famille. Papa était allé chercher les petits pains et des croissants à la boulangerie. Maman avait fait du café et du chocolat chaud. Les filles étaient elles aussi déjà habillées. Nous avions donc mangés en famille. Papa nous proposait ensuite de partir tous ensemble pour une balade dans les campagnes du Brabant Wallon. Nous avions tous approuvés. Après avoir pris notre petit déjeuner, nous nous étions habillés chaudement pour cette balade. Nous avions tous pris place dans l’auto de papa, hop, nous voilà en route vers la campagne. Nous avions fait une très belle balade entre près, praires et bosquets d’arbres. Nous parlions ensemble de tout et de rien, enfin de la vie quoi ! Jacques était heureux d’être avec moi et c’était la même chose pour ma sœur et Stéphanie. Maman et papa se donnaient eux aussi la main. Quel bonheur que d’être comme ça réuni en famille et de pouvoir profiter de la nature en toute quiétude. Avec Jacques nous parlions des prochaines vacances au ski, des congés de Pâques et de la fin de nos études dans le secondaire. Jacques ne savait toujours pas dans quelle voie il allait s’orienter. Pour moi, je pense que ce serai la chimie. Il faut dire que j’adorais ce cours et de plus la prof était très sympa. Je pensais présenter un travail sur la distillation du pétrole brut en gas-oil lourd, en gas-oil léger, en kérosène et en essence. Jacques était impressionné. Bref voilà nous nous baladions dans un petit vent très frais qui donnait une impression de gel, mais il devait y avoir environ trois à quatre degrés. Une fois de retour à la voiture papa nous demanda si nous étions d’accord d’aller manger une pizza. Il y eu comme une avalanche de « Oui ». Nous voilà donc arrivé au restaurant italien. Nous avions pris une grande table pour nous installer. Chacun avait commandé sa pizza préférée. Papa avait également demandé un apéro pour tout le monde. Nous étions heureux et souriants. Puis pour le repas papa avait souhaité avoir une grande bouteille de chianti. Maman avait alors décrété que c’était elle qui allait prendre le volant pour le retour. A l’issue du repas nous avions pris un café. Le patron avait offert soit un amaretto ou alors un limoncello. Quel excellent repas. Toute la famille était ravie. Une fois dans l’auto, papa qui était convoyeur, nous proposa d’aller au cinéma. Nous en étions tous ravi. Et nous voilà en route vers la salle de cinéma. En arrivant devant nous avions vu qu’il n’y avait que deux films, l’un était un dessin animé et l’autre le film « Emmanuelle » réalisé par Just Jaeckin, film érotique de 1974. Nous étions tous d’accord pour aller visionner le film érotique. Mon père avait eu cette très charmante idée, car nous en parlions parfois dans la cour de récréation de l’école. C’était un sujet de conversation auquel seul ceux qui étaient allés le voir pouvaient en parler. Le film nous avait très bien plu. Les images étaient très belles, et il n’y avait rien de choquant, que du contraire c’était érotique, bien sûr, mais aussi très sensuel et même parfois assez poétique. Sur le trajet de retour nous avions déposé Jacques devant chez lui. Je l’avais embrassé sur la bouche, mais très simplement, sans effervescence. Nous nous étions donnés rendez-vous le lendemain à l’école. Puis nous étions rentrés à la maison avec Stéphanie. En effet elle devait revoir des cours de droit avec Delphine ; c’est pour cela qu’elle restait loger. A l’issue du repas du soir j’avais remercié maman et papa pour cette très belle journée. Je leur avais donné un gros bisou. Nous avions regardé la télévision, maman, papa et moi. Je voyais que mes parents avaient retrouvé une certaine entente je dirai, amoureuse, qui faisait plaisir à voir. Ils se tenaient la main dans le canapé, or avant papa était content d’être seul dans un fauteuil. J’étais allé me coucher après une bonne douche. J’étais enfin très serein. Je pouvais envisager l’avenir sous un meilleur angle qu’au paravent. Demain j’allais me rendre à l’école l’esprit libre. Hop, 06h50 le réveil venait de sonner. Vite la douche, l’habillage et ensuite le petit-déjeuner avec papa. Maman partait plus tard et ma sœur et son amie Stéphanie dormaient encore. Papa m’avait proposé de me déposer à l’école et j’avais de suite accepté. Dans la voiture sur le chemin de l’école papa me parlait de sa nouvelle envie de vivre plus en accord avec les membres de la famille tout en respectant les désirs de chacun pourvu qu’un consensus soit trouvé pour aller dans la même direction. Arrivé près de l’école, papa m’avait demandé où il devait me déposer. Je lui avais dit, mais juste devant l’entrée. Je savais que quand j’étais jeune, c’était « la louze » si on était déposé comme ça à l’entrée, mais maintenant, avec mes 17 ans, presque 18, je n’en avais rien à faire. Puis je voulais montrer aux autres élèves que tout allait bien dans ma famille et plus particulièrement avec mon papa. J’avais donc embrassé mon père avant de descendre de sa voiture. Amandine qui était déjà arrivée de quelques secondes avait pu voir mon arrivée. Elle m’avait embrassé et puis elle avait dit : Aman : Bonjour Phil, alors je vois que tout s’est arrangé avec ton papa. Moi : Bonjour Amandine, oui, tout va bien, tu ne peux pas t’imaginer comme il a changé ! Aman : Mais je le vois, je le vois juste à ton visage rayonnant ! Moi : Merci. Tu sais que Jacques a pu loger le week-end et en plus ma sœur a pu recevoir son amie Stéphanie aussi tout le week-end. Nous avons fait des tas de choses en famille avec mes parents. Oh tu ne sais pas comme je suis heureux. Aman : Mais ça me fait plaisir. Tu le mérites Phil, toi qui est toujours là aider les autres, pour une fois c’est toi qui nage dans le bonheur. Jacques arrivait accompagné de Joseph. Puis Jean suivait à 20 mètres. Nous nous étions fait la bise. Jean était encore un peu triste, il avait une mine défaite. On lui avait demandé comment ça allait, mais il ne voulait rien dire. Les cours allaient commencés, la sonnerie avait retenti ! Nous étions en session d’examens, c’étaient des partiels, juste avant les congés de Noël. Nous étions rassemblés dans la salle de cours et le prof avait distribué les feuilles d’examen. Vers 12h00 nous avions tous remis nos copies. Puis nous avions l’autorisation de rentrer chez nous pour revoir les cours pour les examens du lendemain. La semaine se passa ainsi : au matin examens partiels et après-midi étude chez soi. Nous étions le jeudi soit cinq jours avant Noël. Nous avions eu notre dernier examen. Les résultats de cette session seraient connus à la rentrée de janvier. Nous n’avions pas de cours ce vendredi. J’allais enfin profiter d’une grasse matinée. Jacques était rentré chez lui. Nous avions convenu de nous revoir le vendredi après-midi pour soit aller à la piscine ou au cinéma, nous n’avions pas encore décidé. Ce jeudi après-midi j’avais flâné à la maison. J’avais pensé au réveillon de Noël puis à notre départ pour le ski. Je m’étais laissé emporter par mon imagination. Puis j’avais mes des disques et j’avais fini le bouquin que j’avais entamé il y a une dizaine de jours. Delphine était revenue vers 15h00. Elle était montée jusqu’à ma chambre pour voir comment j’allais et surtout pour savoir si j’étais content de ma session d’examens. Nous avions bavardé une petite heure. Nous avions convenu de l’achat d’un cadeau commun pour nos parents. C’était le début de la vidéo sur bande magnétique et je savais que papa rêvait d’avoir un lecteur vidéo. Par la suite il avait dit qu’il s’achèterait bien une caméra, mais il devait attendre car les prix étaient assez élevés. Nous avions alors convenu que nous offririons à nos parents un lecteur vidéo, Delphine en avait vus en promotion chez un vendeur de matériel TV-hifi du centre-ville. Maman était revenue vers les 17h30. Elle avait fait les courses pour le repas du soir. Je m’étais proposé pour donner un coup de main. J’avais épluché les pommes de terre et les carottes. Maman avait prévu de faire un rôti de porc avec une potée aux carottes agrémentée de lardons fumés coupés en lamelles. Nous attendions papa en vue de passer à table, mais nous avions le temps. Papa rentrait normalement vers 19h20, mais avant 19h00 il était déjà revenu. Nous avions alors pris l’apéro en famille. Le repas s’était très déroulé. J’avais parlé de mes examens partiels et Delphine de ses révisions en vue de sa session d’examens de janvier. J’avais débarrassé la table pour aider maman. Puis j’étais remonté dans ma chambre. J’avais ouvert un nouveau livre. Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 22-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Nuit très chaude : après une douche en commun, tout le monde se donne du plaisir. Jacques est prudent, il a des préservatifs (tu as bien fait de l’évoquer, même s’ils n’en auraient peut-être pas eu avant l’apparition du sida). Phil découvre de nouvelles sensations. Ils sont de nouveau en pleine forme au réveil (ah, la jeunesse…). J’aime bien l’idée d’aller au cinéma en famille pour voir un film érotique. Cela me rappelle un souvenir. Le premier que j’ai vu était Histoire d’O, du même réalisateur. J’habitais toujours chez mes parents et ils m’avaient demandé ce que j’en avais pensé, j’avais répondu que le film avait de beaux décors… qui m’avaient plus marqué que la jeune femme dénudée. Il me semble que la scène de sexe était floutée. Un mois plus tard, j’ai vu Salò ou les 120 Journées de Sodome, de Pasolini, ambiance très différente… Bon week-end ! Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 22-08-2020 (22-08-2020, 07:14 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, en effet nuit très chaude après une bonne douche en commun. Jacques a été prévoyant, il a des préservatifs et du gel! Oui quelle jeunesse, plein de ressources! Voir un film en famille permet d'en parler par après, bien que ce ne soit pas si facile qu'on ne le pense, surtout en famille. Merci Daniel de suivre et de commenter le récit! Très bon week-end à toi aussi! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - AL gayman - 22-08-2020 Ah ça y est j'ai retrouvé mon film, enfin ton récit visuel. Phil et Jacques se sont donnés l'un à l'autre, une nouvelle étape pour eux et ils l'ont fait avec amour et douceur. La journée en famille avec un froid bien vif mais sain est super visuelle un régal. Tout doucement nous terminons une année et les enjeux pour nos deux amoureux est de taille puisque leurs avenirs vont prendre un nouveau tournant après le bac, un tournant qui se fera à deux ou pas selon l'évolution de leur relation. En tous cas belle page d'un WE familial plein d'Amour et de semaine studieuse Bisous Alain Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 22-08-2020 (22-08-2020, 10:22 PM)AL gayman link a écrit :Ah ça y est j'ai retrouvé mon film, enfin ton récit visuel.Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Merci pour tes compliments, cela me touche! Comme je l'ai déjà mentionné, le récit bien qu'étant toujours en cours de rédaction a été publié sur Docti depuis 2016. Cette partie représente en fait trois suites sur Docti et elles ont été postées en décembre 2016 environ! Le récit dépasse le 800 page A4. Il va donc y avoir assez bien de bouleversements et cela commence déjà dans la prochaine suite! Merci Alain de suivre le récit et de le commenter. Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-08-2020 Chapitre 6. Tout s’écroule. Il est tard, environ 21 heures. J’entendais sonner à la porte d’entrée. Delphine qui était au rez-de-chaussée était allée voir qui sonnait. Elle ouvrait la porte et elle voyait Jacques les yeux remplis de larmes. Elle l’avait fait entrer. Il demandait à me voir. Delphine lui avait dit que j’étais dans ma chambre. Jacques était monté à l’étage et frappait à ma porte. Sans attendre de réponse, il est entré. En me voyant il s’est mis à pleurer de plus belle. Je m’étais levé de mon lit, nu. J’avais pris Jacques dans mes bras pour le consoler. Je ne savais pas ce qui se passait. Une fois Jacques un peu calmé, il s’était assis sur mon lit. J’enfilais mon peignoir et je m’étais assis à côté de lui. Jacques m’avait alors dit : Jac : Oh Phil, je ne sais pas comment te le dire, j’ai une mauvaise nouvelle. Moi : Dis-moi quoi Jacques, ne me laisse pas comme ça sans rien dire. Jac : Mon père est muté au Canada. Moi : Oui et alors. Jac : On doit tous le suivre, toute la famille. Jacques s’était remis à pleurer. J’avais directement compris que je ne reverrai plus. Que nous allions être séparés pour longtemps. Je pensais aussi à Alexis qui allait lui aussi perdre ses amis. Et Jacques aussi, il était apprécié par Amandine, Joseph, Jean et les autres. C’est comme si nous vivions un tremblement de terre. Je n’en revenais pas. Moi : Oh Jacques, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas possible. Dis-moi c’est une blague ! Jac : Non Phil, je sais ça depuis ce midi et je ne savais pas comment te le dire. C’est maman qui m’a dit d’aller te le dire ce soir. Moi : Et c’est pour quand le départ. Jac : Oh Phil, c’est pour dans quinze jours. Moi : Jacques, mais ce n’est pas possible. Tu ne sais pas rester, tu logerais ici à la maison, maman sera surement d’accord. Jac : Phil, mon père m’a dit que ce n’était pas possible, qu’il n’y avait pas d’alternative, que je devais les accompagner. Moi : Mais qu’est-ce qu’on va faire. Jacques, je t’aime, je ne veux pas que tu partes. Jac : Je t’aime aussi Phil, mais j’ai retourné le problème dans tous les sens, mon père part pour au moins cinq ans. Moi : Mais Jacques, qu’est-ce qu’on va faire. Je ne veux pas que tu partes ! Jac : Je sais Phil, je voudrais tellement rester et ne pas partir. Nous étions dans les bras l’un de l’autre en pleur. Delphine avait prévenu maman que Jacques était arrivé en pleurs et qu’il était monté dans ma chambre. Maman et Delphine se demandaient ce qui se passait. Maman avait attendu cinq minutes puis elle était montée pour venir voir ce qui se passait. Maman frappait à la porte de la chambre. N’entendant pas de réponse mes des pleurs étouffés elle avait ouvert la porte. Elle nous trouva tous les deux dans les bras l’un de l’autre occupé à pleurer. Maman s’était approchée de nous et nous avait enlacés. Un peu calmé, elle nous demanda ce qui se passait, car elle n’en savait rien. C’est donc Jacques qui pris la parole : Jac : Bien voilà, mon père est muté pour son travail au Canada et la famille l’accompagne. Je ne verrai plus Phil. Mam : Mais c’est tout récent. Et le départ s’est pour quand ? Jac : Je l’ai appris ce midi et nous partons début janvier, mais je ne connais pas la date. Mam : Mais il n’y a pas de solution pour que tu restes ! Jac : Non papa demande que nous soyons avec lui la-à bas et c’est pour cinq ans apparemment. Moi : Tu vois maman, je ne sais plus quoi penser. Nous ne serons jamais heureux, nous ne pouvons pas nous aimer, c’est le sort qui s’acharne sur nous et sur moi ! Jac : J’aime tellement Phil. Je ne sais pas comment je vais faire pour rester éloigné de toi. Moi : Nous sommes maudits, c’est injuste, mais pourquoi, pourquoi ! Mam : Je vais téléphoner chez toi pour voir si ça peut s’arranger pour que tu restes avec nous. Jac : Je sais que papa ne voudra pas, il me l’a déjà dit ! Mam : Je vais essayer de lui faire changer d’avis. Jac : Merci, peux-tu lui demander si je peux rester loger cette nuit chez vous ? Mam : Je vais le faire, mais pour moi tu peux rester loger. Maman avait quitté la chambre. Nous étions un peu calmés. Nous étions restés assis sans rien dire durant près de cinq minutes. Delphine était montée pour voir comment nous allions, maman l’avait mise au courant. Elle s’était assise sur mon lit entre nous. Elle nous avait enlacés. Elle avait dit que nous pourrions nous voir de temps à autre lors de congés et des vacances. Elle avait ajouté que maintenant avec l’avion c’était plus facile de voyager. Maman était revenue auprès de nous. Elle avait la mine d’une personne qui n’avait pas de bonnes nouvelles. Elle nous avait alors annoncé : Mam : Jacques, Phil, je suis désolée mais apparemment Jacques doit suivre sa famille au Canada. J’ai tenté de dire que notre famille était d’accord de t’héberger Jacques, mais rien n’y fit. Jac : Je vous l’avais dit, je n’ai pas cessé de demander de rester, mais mes parents ne veulent rien entendre. Mam : Je m’en doute car moi aussi j’ai tenté de leur faire changer d’avis. Puis Jacques tu peux rester loger. Jac : Merci c’est déjà ça. Mais je suis déçu, très déçu de devoir vous quitter dans une quinzaine de jours. Mam : Concernant les vacances de ski, il n’y a rien de changé, Jacques tu peux toujours venir avec nous ! Moi : Merci, ce sera notre première et dernière vacances ensemble Jacques et moi. Del : Ne dis pas ça Phil, vous aurez encore d’autres occasions de vous revoir et d’être ensemble pour des vacances ! Jac : Je l’espère aussi, je l’espère. Maman : Bon les garçons, je pense qu’il va bientôt être l’heure de dormir. Bonne nuit mes deux amours. Jac : Merci, bonne nuit ! Moi : merci maman, bonne nuit à toi aussi. Maman nous avait embrassés avant de sortir de la chambre. Puis c’était Delphine qui nous fit un gros câlin. Jacques et moi nous nous étions une nouvelle fois étreint. Nous savions que nous pouvions encore profiter d’une semaine ensemble au sport d’hiver. Nous étions passés par la salle de bain pour y prendre une douche. Nous étions ensemble mais il y avait comme une chape de béton qui s’était placée au-dessus de nous et de notre relation. Nous étions silencieux. Nous nous étions douchés comme des robots, nous étions comme hors du temps. Je continuais à penser, à me poser des questions. Puis comment pourrions-nous nous aimer séparés par un océan. Jacques de son côté devait lui aussi se poser pas mal de questions. Une fois la douche et le séchage fini nous nous étions rendus dans ma chambre. Nous nous étions couchés dans mon lit. Cela faisait plus d’un quart d’heure que nous n’avions plus dis un mot ! Je me suis tourné vers Jacques, j’ai plongé mes yeux dans les siens et toujours sans rien dire nos larmes coulaient sur nos joues. J’ai pris mon ami dans mes bras et je lui donnais un baiser sur les lèvres. Jacques me rendu ce baiser et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre. Au réveil nous avions comme ma gueule de bois, mais sans avoir bu ! C’est comme si un dix tonnes nous était passé dessus. Jacques avait desserré les dents et m’avais dit : Jac : Bonjour Phil. Je ne sais pas si tu as bien dormi, mais moi j’ai eu difficile, je me suis réveillé toutes les heures ! Moi : Bonjour mon Jaco, moi c’est comme toi, j’ai vu le réveil très souvent. Jac : Ecoute Phil, les choses sont ainsi, il faut faire avec. Alors concentrons-nous sur la semaine de ski qui nous attend. Moi : Tu as raison mon Jaco, il faut que nous en profitions. Après on verra, on fera en fonction. Allons, levons-nous pour prendre un petit-déjeuner pour être en forme pour cette journée sans cours. Et ensuite, deux semaines de vacances ! Jac : OK, très bien parlé, hop levons nous ! Nous étions passés à la douche et ensuite après nous être habillés, nous étions allés prendre un super bon petit-déjeuner. Le reste de la journée s’était très passé, au matin nous avions joué ensemble a des jeux de société et l’après-midi nous avions été nagés à la piscine communale. A la fin de la journée Jacques était revenu chez lui. Nous avions convenu que nous nous retrouverions le lendemain à moins que ses parents n’aillent faire des achats pour les fêtes de fin d’année, ou tout au moins pour le réveillon de Noël ainsi que pour le jour de Noël. Une fois à la maison j’avais été trouvé ma sœur Delphine. J’avais besoin de lui parler, d’avoir des conseils. Moi : Dis-moi, tu crois que je serai toujours avec Jacques après la semaine de ski ? Del : Pourquoi pas mon frérot, pourquoi pas. Évidemment avec la distance ce sera beaucoup plus compliqué. Moi : Tu vois si nous sommes séparés durant une longue période et si je fais ou lui fait connaissance d’un autre gars et que l’un de nous tombe amoureux, ça la fout mal. Del : Tu sais Phil, ce sont des choses qui peuvent arriver. Il faut voir sur le moment. Nous n’y sommes pas encore. Puis il te reste encore des choses à faire et à vivre avec Jacques ! Moi : Oui, je sais, nous devons être positif et savourer le séjour au ski, plutôt que de nous lamenter. Del : Voilà qui est bien parlé Philou. Delphine s’était levée et m’avait donné un baiser sur le front. J’étais content d’avoir pu parler un peu avec elle. Nous devions en tout cas vivre les prochains jours, moments après moments, au jour le jour. Finalement il avait été convenu que nous irions au ski et qu’il fallait que ce séjour se passe au mieux. Nous devions partir le 26 décembre. Puis nous allions déjà préparer nos affaires pour ce séjour. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 24-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Il fallait s’y attendre, on savait bien que Phil quitterait Jacques pour revenir vers Julien. Tu avais certainement de bonnes raisons de mener le récit comme ça. Maintenant on connaît la raison de leur séparation, plausible, même si c’est très rapide. Ce n’est pas de leur faute, ils vont encore pouvoir passer des vacances de ski ensemble (j’espère que ce sera en Suisse…). Je t’embrasse. Daniel Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - AL gayman - 24-08-2020 Coucou mon Philou, Très bien amenée cette fin d'une histoire d'amour qui ne résistera pas à la distance. :-\ Ton chapitre est déchirant pour nos deux amoureux mais n'oublions pas le titre de ton roman……………….. : Qu'ils profitent au maximum du peu de temps qu'il leur reste et peu à peu le temps fera sont œuvre, chacun reprenant un chemin qui ne sera jamais plus commun. Gros Bisous ALain Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-08-2020 (24-08-2020, 09:31 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Bien entendu qu'il fallait s'y attendre, Phil et Jacques vont être séparés par la distance, un océan va se mettre en travers de leur route! N'oublie pas que le titre du récit c'est "Julien"! Ils se séparent pour une raison d'éloignement, c'est déchirant mais la vie est parfois injuste! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-08-2020 (24-08-2020, 09:35 PM)AL gayman link a écrit :Coucou mon Philou,Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, une histoire d'amour adolescente qui prend fin malgré que les deux garçons s'aiment. La distance est implacable et leur amour ne résistera probablement pas! Oui le titre du récit c'est bien "Julien". C'est la faute pas de chance, mais les deux garçons pourrons passer une semaine au ski pour encore s'aimer et rêver! Merci Alain de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 26-08-2020 Nous étions le 24 décembre et nos parents attendaient des invités pour passer le réveillon avec nous en famille. Puis cerise sur le gâteau, mon frère Olivier était venu avec Julie sa compagne. J’étais content de revoir mon frère. Il était arrivé la veille. J’avais eu l’occasion de parler un peu avec lui. Moi : Oli, je suis si content que tu sois venu passer Noël à la maison. Oli : Moi aussi mon Philou je suis content, tu sais que tu es mon petit frère adoré ! Moi : Oui, arrête, je vais bientôt avoir 18 ans, alors c’est bon ! Oli : Mais je te taquine ! Moi, prenant un ton neutre : Oli, j’ai quelque chose de très important à te dire. Voilà, je suis gay. Oli : Oh là mon Philou, je ne le savais pas, mais je m’en doutais. Mais tu sais mon frérot adoré, pour moi ça ne change rien, tu sais que je t’aime et reste comme tu es, c’est ta vie et je la respecte. Olivier m’avait pris dans ses bras pendant que je lui répondais : Moi : Oh merci Oli, merci. Puis je veux te dire que j’ai un ami, tu sais c’est Jacques, un élève de ma classe. Oli : Félicitations mon Philou. Et tu le connais depuis quand. Moi : Quelques mois. Puis un jour ça a fait du grabuge à la maison, papa n’en savait rien. Oli : Explique-moi, tu peux tout me dire. J’avais donc expliqué à Olivier tout ce qui s’était passé, depuis la scène de la salle de bain jusqu’à l’annonce du départ de Jacques et de sa famille pour la Canada. Oli : Eh bien, mince alors. Tu n’as pas de chance mon loulou ! Olivier m’avait une nouvelle fois pris dans ses bras et m’avait fait un gros câlin. Il m’avait dit que j’aurai pu le contacter et qu’il aurait tenté de me venir en aide. Je lui avais dit que je ne voulais pas le déranger et qu’il avait à s’occuper de son couple qui venait de prendre son envol pour l’avenir. Il était vers le 19h45 ce 24 décembre et on sonnait à la porte d’entrée de la maison. Je savais qui devait venir pour passer le réveillon de Noël à la maison. Je m’étais donc levé et j’étais allé ouvrir la porte aux invités. Moi : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain. Entrez. Béa et Al : Bonsoir Phil. Moi : Bonsoir Alexis, bonsoir Jacques. Alex : Bonsoir Phil. Jac : Bonsoir mon amour ! Moi : Allez, entrez-nous vous attendons au salon. Mam : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain, bonsoir les enfants. Merci d’avoir accepté notre invitation à nous rejoindre pour passer le réveillon en notre compagnie. Béa : Merci c’est très aimable à vous. Voici ces quelques gâteaux maisons, je les ai faits pour vous et peut-être pour agrémenter le café. Mam : Merci, il ne fallait pas. Al : Voici une bonne bouteille pour la soirée. Papa : Merci Alain, il ne fallait pas. Eh bien nous allons y gouter. Delphine avait salué les invités. Alexis était lui aussi très content de venir passer le réveillon J’avais présenté Olivier et Julie aux invités. Jacques était content de voir pour la première fois mon frère dont je lui avais parlé à maintes reprises. Nous étions une dizaine à participer à ce repas de réveillon. Papa avait été cherché du champagne pour l’apéro. Tout le monde avait eu droit à sa flute, même Alexis. Maman avait fait des zakouskis chauds et papa avait préparé des petits toasts avec un tas de choses bien bonnes. Les conversations allaient bon train. Olivier s’était approché de Jacques et moi. Il nous avait dit ceci : Oli : Phil et Jacques vous êtres très amoureux à ce que j’ai pu savoir. Je ne vais plomber l’ambiance, mais quel dommage que tu doives Jacques, quitter la Belgique pour aller au Canada. Moi : Tu sais Oli, nous ne pouvons que nous y résoudre. Je ne sais pas si notre amour pourra résister à un si long éloignement. Il y a un océan qui nous sépare. Puis il y aura les vacances, mais ce ne sera plus la même chose. Bon nous allons passer une semaine au ski, cela nous permettra de nous éclater. Oli : Bien dit Phil. Jacques je suis heureux d’avoir pu te rencontrer. Vous méritez tous les deux d’être heureux, soit entre vous où alors, vous vous en doutez, avec un autre garçon. Ce sont les circonstances de la vie qui veulent ça. Jac : Je sais Olivier, mais il nous faut nous en faire une raison. Nous allons quand même tenter de rester en contact et de nous aimer malgré le temps et la distance. Oli : Très bien Jacques, je vous le souhaite à tous les deux. Allez, venez dans mes bras les deux amoureux. Après l’apéro nous étions passés à table. Maman avait préparé du gibier, car en fait nous n’aimions pas la traditionnelle « dinde de Noël ». C’était du chevreuil sauce grand veneur avec des croquettes de pommes de terre, des poires et des abricots ainsi que de la compote d’airelles. Papa avait débouché deux bonnes bouteilles de Bordeaux millésimé. Nous avions mangé l’excellent repas : tous les convives étaient élogieux quant à la qualité du gibier de ses accompagnements. Certains d’entre nous avaient envie d’un bout de fromage. Maman avait déjà tout prévu et préparé le plateau. C’était papa qui était allé faire son choix chez le fromager du quartier. Après le dessert, le café et le pousse café sans oublier les petits gâteaux de Béatrice, nos invités avaient décidés de rentrer chez eux, sauf Jacques qui restait loger avec moi. Pour Olivier et Julie, il y avait la chambre d’amis évidemment. Nous avions passé un superbe réveillon. J’étais heureux de voir que nous deux familles s’appréciaient, mais j’avais un gout amer car je savais que nous allions être séparés Jacques et moi. Bon, après une bonne douche nous étions allés nous coucher nus dans mon grand lit. Jacques me regardait, il avait plongé ses yeux dans les miens. J’étais un peu étonné, mais je fis de même. Il y avait des étincelles de bonheur dans les yeux de Jacques. Puis nos deux visages s’étaient rapprochés l’un de l’autre. Je sentais l’haleine de mon ami sur mes lèvres et le nez, il devait en être de même pour Jacques, il devait ressentir la même chose. Ensuite comme aimantées, nos bouches s’étaient soudées l’une à l’autre. Nous nous donnions de petits bisous furtifs. Nos bouches s’étaient ouvertes pour laisser nos langues aller à la conquête l’une de l’autre. Elles dansaient entre elles, elles se titillaient, elles se frôlaient pour mieux se toucher par la suite. Mon sexe était déjà à demi bandé, je me doutais bien que celui de Jacques prenait lui aussi plus de dimension. Nos mains entraient alors dans la danse et se baladaient sur nos corps nus, livrés à nos envies. Elles allaient et venaient au gré de leurs fantaisies. L’une ou l’autre frôlaient déjà nos membres dressés pour parfois venir caresser nos burnes elles aussi bien en proportion. Puis après avoir ré-ouvert les yeux nous avions dessoudé nos lèvres. Nous nous regardions une nouvelle fois dans les yeux et sans rien dire, comme si c’était déjà convenu à l’avance, nos corps s’étaient retrouvés en position idéale pour venir gouter à l’attribut de l’être aimé et désiré. J’avais donné quelques baisers sur le gland déjà à moitié décalotté de Jacques. Ma langue avait commencé par parcourir le frein, cela donnait déjà des frissons à mon amour. Ensuite j’avais décalotté entièrement le gland avec mes lèvres. Jacques de son côté avait déjà mis mon sexe bandé dans sa bouche, ses lèvres effectuaient une variante de pressions au passage de ma colonne de chair. C’était sa langue qui avait repris le dessus en venant léchouiller mon gland et mon frein. Nous étions tous les deux comme hors du temps, nous étions à l’écoute de nos corps et bien entendu à l’écoute de celui à qui nous donnions du plaisir buccal. J’avais maintenant englouti la queue de Jacques et j’accentuais le va et vient entre mes lèvres. Nous commencions chacun à râler de plaisir. Nous allions toujours à la limite de l’orgasme pour arrêter à temps en vue de prolonger le plaisir. Nos murmures en disaient long sur l’état de jouissance qui allait arriver. Nos corps étaient tendus et ivres de bonheur, dans un mouvement des muscles sous abdominaux et pelviens, nos corps s’étaient raidis presque en même temps et puis ce fut le tsunami de bonheur et de grandes sensations, nos poils étaient hérissés sur tout le corps et enfin nous laissions partir avec puissance toute la sève qui attendait cette ultime libération pour venir s’écraser au fond de nos gorges. Nos corps étaient mouillés de sueur et nous nous étions repositionnés pour partager un baiser en mêlant nos semences. Nous nous étions affalés l’un à côté de l’autre, le temps pour nous de récupérer un peu. Puis nous étions allés reprendre une douche toujours un peu dans un nuage de bonheur et de partage mutuel. Après nous être rafraîchis et séchés, nous étions ressortis de la salle de bain, nus et nous avions croisés Delphine, en tenue d’Ève qui allait prendre sa douche à son tour. Elle affichait un large sourire, elle avait bien deviné la raison de cette seconde douche avant l’aller dormir. Elle ajoutait même : Del : Je suis heureuse de voir que vous vous aimez si fort. Moi : Pourquoi dis-tu ça. Del : Tu sais Phil, vous n’avez pas été des plus discrets. Jacques et moi avions piqué un phare. Puis nous avions souhaité une bonne nuit à ma grande sœur. Une fois dans la chambre nous nous étions couchés pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin. Nous voilà tous enfin prêts pour faire du ski durant une semaine. Pour faire le trajet en direction de la France et plus précisément en direction de Chamrousse, nous étions partis en voiture. Papa avait loué une camionnette pour nous y rendre. En effet il y avait Delphine et Stéphanie, maman, papa ainsi que Jacques et moi. Nous étions donc six avec tout le matériel, soit les skis, les bottines, les bagages, etc. Au fait la station de Chamrousse, c’est une station de ski qui a été utilisée lors des Jeux Olympiques d’Hiver en 1968. Il y avait eu entre autres la descente dames. Cette piste où eu lieu cette descente est en fait une piste noire fort prisée par les skieurs. Le trajet s’était effectué sans problème. Les routes étaient dégagées mais un peu encombrées vers la fin du trajet. Nous étions arrivés au chalet que papa avait loué pour la semaine. Il était assez spacieux, trois chambres à coucher avec lit double, deux salles de bain, un grand séjour ouvert sur une terrasse et un dressing spécialement conçu pour entreposer les skis et tout le matériel. Une fois installés, nous sommes allés faire un tour dans la station. Il y avait quelques boutiques, des restaurants, un cinéma, etc. Nous avions effectué les achats pour nous restaurer au chalet. Je savais que nous irions souvent manger à l’extérieur. Jacques était emballé tout comme Stéphanie. Jacques avait déjà fait un peu de ski et n’était donc pas novice, nous aurions donc l’occasion de nous y mettre dès le lendemain matin. En ce qui concerne Stéphanie, elle n’avait fait que dix jours de ski en classe d’hiver avec son école. Bref, Delphine lui avait bien dit qu’elle serait toujours auprès d’elle. Papa avait d’ailleurs conseillé à Stéphanie de suivre peut-être quelques heures de remise à niveau avec un moniteur. Stéphanie était enchantée, car elle avait un peu d’appréhension. La première nuit s’était bien passée. Nous avions, chaque couple, notre chambre. Papa avait donc bien fait les choses. Nous étions, Jacques et moi, restés assez sages ; nous nous étions embrassés et nous nous étions simplement branlés mutuellement. Dès le matin, après être allé récupérer les forfaits pour la semaine, nous étions partis sur les pistes Jacques et moi. Nous avions chacun une combinaison de ski. Nous étions partis sur le site skiable de la station. Nous voulions entre autres effectuer la descente dame des JO. Nous y étions et nous avions entrepris sa descente. C’est vrai que le début était assez pentu, mais nous n’en avions pas trop peur. Vers 12h00 nous avions rejoint la famille pour manger un bout. Nous étions tous réunis sur la terrasse d’un établissement. Nous avions mangé de bon appétit, mais sans trop exagérer car nous voulions encore profiter des pistes pour l’après-midi. Vers 15h30 alors que nous étions sur le tire-fesses, celui-ci s’était arrêté subitement. Nous étions à vue de nez à mi-chemin. Je ne sais pas si c’étaient les boissons du repas de midi ou alors le froid qui commençait à monter, mais je commençais à avoir envie de pisser. Je voyais Jacques qui était juste devant moi, qui lui aussi semblait avoir envie de pisser, il se dandinait d’une jambe à l’autre, signe d’un pipi pressant. Nous avions dû attendre et puis une bonne demi-heure plus tard, le tire-fesses avait repris du service. Au moment où le tire-fesses s’est ébranlé, j’ai lâché prise et je me suis crouté comme un bleu. Mais en plus, pour en ajouter à ma situation, j’avais laissé passer un jet d’urine qui avait mouillé mon slip, puis un second jet alors que j’étais étendu sur la neige. Je n’avais pas pu me retenir et j’avais inondé ma combi, heureusement qu’elle était étanche. J’étais un sale petit pisseux. Jacques lui était arrivé au-dessus et avait entrepris la descente pour me rejoindre. Jacques m’avait rejoint et nous avions terminé la descente à deux. Nous avions ensuite repris le tire-fesses pour renouveler une nouvelle descente. A l’issue de celle-ci, j’avais vu à sa tête que Jacques n’était pas dans son assiette. De mon côté de commençais à avoir froid, surtout au niveau de mes attributs. J’avais demandé à Jacques ce qui se passait. Il m’avait dit, en ayant piqué un phare au niveau du visage, qu’il s’était pissé dessus alors qu’il attendait que le tire-fesses reparte. Je m’étais mis à rire, en lui disant que moi aussi j’étais trempé car j’avais pissé moi aussi dans ma combi lorsque je m’étais croûté. J’avais alors vu un début de sourire sur les lèvres de Jacques. Pour notre premier jour de ski, nous avions fait très fort, nous nous étions pissés dessus. Nous avions regagné le chalet pour nous changer et bien entendu pour y prendre une bonne douche. C’est donc à deux que nous étions sous la douche de la salle de bain réservée aux jeunes. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - bech - 26-08-2020 Je reprend la lecture des différentes histoires après une semaine d'arrêt. Le père de Phil était sincère et il s'est bien fait pardonner. J'avais été surpris qu'il soit déjà question d'examens en novembre mais le lieu de promenade à la campagne organisé par le père de Phil et plus tard une confirmation directe indique que l'histoire se passe en Belgique. A l'approche de noël, tout va pour le mieux. Le père a décider d'organiser une semaine au ski et Jacques tout comme Stéphanie qui ont été très bien acceptés par le père sont du voyage. Mais jacques vient d'apprendre qu'il va devoir suivre ses parents au Canada dès le début janvier. Lui et Phil sont désespérés car ils risquent de ne plus se voir souvent. C'est sûr qu'à la nage, il faudrait bien compter une centaine de jours entre les 2 pays. Juste quelques 7 H d'avion (pour Montréal), mais au siècle dernier, ça ne devait pas être bon marché. Mais ils décident de passer au mieux le temps qui leur reste ensemble. Pour le ski, à l"époque où j'en faisais avec mes parents, j'avais un pantalon de ski (étanche, mais avec une fermeture éclair pour la braguette) et un anorak. C'est sûr que si Phil et Jacques avaient des combinaisons une pièce qui nécessite d'enlever tout le haut pour pisser, c'est pas pratique si on doit en plus tenir la cane du remonte pente. |