Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 12-04-2023 (12-04-2023, 06:36 PM)fablelionsilencieux a écrit : Suisse Lindt est à mon avis l’exemple à ne pas citer car ils ont des usines dans toute l’Europe, il faut donc bien regarder la provenance si l’on veut du Lindt « suisse ». Je pense que c’est le lait qui a incité à produire en Suisse du chocolat (au lait, je préfère le chocolat noir). J’habite tout près de la fabrique du Toblerone, mais une délocalisation partielle en Slovaquie est prévue, le Cervin devra disparaître de l’emballage. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 12-04-2023 (12-04-2023, 06:49 PM)fablelionsilencieux a écrit : Quel est l'auteur du poisson d'avril? Je pense à @Louklouk, qui aurait réagi après la publication pour noyer le poisson. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 12-04-2023 Merci, cher Fab pour cette "leçon de chocolats". Est-ce que le fameux «Côte-d'Or» si prisé des visiteurs osant franchir la frontière dans les années 50 alors qu'il était introuvable en-deçà de Quiévrain, possède toujours ses qualités de l'époque juste après-guerre? Je me souviens être allé en chercher en traversant la basilique de Bonsecours dont la particularité était d'avoir une porte ouvrant côté français et une autre chez nos frères belges, chose bien pratique pour éviter les douanes fixes mais pas..."la volante". J'ai rarement vu autant de piété chez nos contemporains de cette époque...! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 12-04-2023 Pour ce que ça vaut, comme Louklouk, Fab s'est également dédouané de la paternité du poisson d'avril, mais même sans cela, j'avais pensé à Bech, et je continue à le faire ¬‿¬ Si vous avez la curiosité - et surtout l'opportunité - la gamme Topsy Turvy du chocolatier belge Charlemagne propose des carrés 40*40*3 (en mm) de chocolat fondant aux agrumes, gingembre, poivre rose... jusqu'au noir 75%, qui sont une véritable tuerie RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 12-04-2023 Moi, je pensais justement à Jérémie... Le mystère s'épaissit... comme la toison du mouton suisse ! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 12-04-2023 (12-04-2023, 08:26 PM)KLO7514 a écrit : Merci, cher Fab pour cette "leçon de chocolats". Les «Côte-d'Or» sont toujours d'actualité et, à ma connaissance, on les trouve en France Pour les curieux qui veulent connaître les chocolats qui font fondre Jérémie : Charlemagne Chocolatiers Informations de livraisons – Charlemagne Chocolatiers RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 13-04-2023 Pour le poisson d'avril, pourquoi pas Fab ? Sinon, comme je le prévoyais, ce matin, je suis allé acheter des chocolats Isaura chez Aldi. Et puis, au retour, j'ai consulté internet pour voir ce qu'il disent des différences entre les chocolats belges, suisses et français. Ce que j'en ai retenu, c'est que les Belges mettent plus de cacao et surtout de beurre de cacao, (mais je savais que les chocolats français, belges et suisses ne doivent utiliser que le beurre de cacao comme matière grasse contrairement par exemple au chocolat autrichien). La particularité de chocolat suisse serait le lait crémeux des alpages, quant au chocolat français, ce serait plutôt du noir et il serait plus amer. Donc pour ma part, je ne suis pas surpris de préférer le belge et le suisse. J'ai appris par la même occasion que Rodolphe Lindt et Henri Nestlé étaient des Suisses. Ce que dit lange sur les lieux de fabrication des chocolats de grande marque est intéressant. Je me souviens que les tablettes rouges de Nestlé au siècle dernier avaient très bon goût et cette de Lindt aussi quand j'en ai achetées. La prochaine fois, il faudra que je regarde le pays de fabrication. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 13-04-2023 Familier du Lindt 85% "noir profond", je sais qu'il est fabriqué en France. Certes, il est bon-sinon je n'en achèterais pas- mais il n'a de "suisse" que le nom. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 13-04-2023 (13-04-2023, 12:16 AM)bech a écrit : (...) au siècle dernier (...)Amusant que tu utilises la formule en mode autodérision ironique, quand je le fais, je me prends des sourcils relevés RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-04-2023 Entre deux morceaux de chocolats, Voici un peu de lecture: La liste des mots La Bande à Kévin Il y avait, dans cette bande d'arsouilles, un grand escogriffe pas ennemi de la galéjade : c'était Savate, sobriquet hérité du métier de son père... savetier, donc. De nos jours on dit cordonnier... de même qu'on ne dit plus arsouille : et Kévin avait d'ailleurs dû demander à son grand -père le sens de ce mot, qu'il avait lu quelque part, et qui lui plaisait...
Savate s'appelait Ange-Marie, dans le civil. Quoique de loin le plus grand de cette bande de cinq, il en était aussi le plus réservé, pour ne pas dire le plus timide.
Kévin était un p'tit brun à grande (mais très jolie) gueule, qui faisait figure de meneur. Mais son autorité était souvent raillée : il voyait souvent ses potes s'ébaubir devant ses idées... il faut le dire parfois Croquignolesque. Mais il n'en avait cure.
Cette bande était tout sauf une bande, en vérité, juste un groupe de bons copains, qui se connaissaient depuis la sixième, et avaient réussi à se hisser jusqu'en terminale.
Oh, ce n'étaient pas des foudres de guerre que ces p'tits jeunes gens-là ! En particulier sur le plan du sexe... On en causait, certes, mais il y avait au moins trois puceaux sur cinq... et pour les autres, on n'était pas vraiment sûr !
Mignonne marmaille donc, qui n'aurait pas fait de mal à une mouche... ni à une nana.
Car il faut bien le dire, ça commençait à les travailler, ces p'tits gars... les choses de la vie.
Et là, au début de la terminale, se produisit l'inimaginable : une fille vint s'immiscer dans le groupe. Susanna était nouvelle dans la commune, et n'eut aucun scrupule à aller faire son marché chez ces gentils garçons...
Du moins, c'est ce qu'elle croyait, la naïve, qui s'était mis en tête de consommer tout le monde, sans plus de manières que ça !
Notez que ça eut l'air de marcher, au début... Thierry et Bruno avouèrent, presque à regret, qu'ils étaient passés dans le lit de la donzelle... et qu'ils ne s'en étaient pas mal portés.
Mais ça bloqua, ensuite : car Anatole, le suivant sur la liste, ne se laissa pas faire, et les deux autres non plus. Dans un sens, ça arrangeait Thierry et Bruno, qui ne furent pas contre d'en reprendre une petite resucée... façon de parler.
Notez qu'elle était gentille, et piquante, la Susanna... et qu'elle faisait tout de même bien rire les trois rétifs.
Et un vendredi soir, après le lycée, alors qu'elle s'était invitée à leur troquet préféré, elle demanda, coincée qu'elle était entre ses deux amants :
— Mais vous, les mecs... vous avez d'jà eu des copines ?
On se regarda, gêné. On n'avait jamais parlé de ça qu'à demi-mot... et voilà que la drôlesse utilisait les mots entiers ! Qui enfonça le clou :
— En fait, c'est p't'êt' des copains, qu'y vous faudrait ?
Tête des minets ! Vite Bruno affirma :
— En tout cas, ça ne nous regarde pas !
— Et puis... chacun son goût, ajouta Thierry dans la foulée et... tu n'es peut-être pas dans les leurs, ma jolie ?
— Mais t'es jolie, ça oui ! affirma Kévin, approuvé du chef par les deux derniers.
— Belle solidarité entre mecs ! constata Susanna, j'me tais !
Peu après, elle déclara quitter les garçons, non sans déclarer, avec un sourire en coin :
— Qui m'aime me suive !
Comme un seul homme, Thierry et Bruno se levèrent. On n'eut pas d'autre commentaire.
Silence consterné, céans ! Enfin Anatole souffla :
— Je vais commander, et il se leva pour revenir peu après avec trois pintes de Leffe, déclarant :
— Il nous faut au moins ça pour assumer... notre nouvelle réputation, non ?
On trinqua avant de répondre... À la surprise des deux autres, Anatole attaqua :
— En ce qui me concerne, elle a visé juste. Alors maintenant... vogue la galère !
Les autres se regardèrent, bien incapables de poursuivre.
— Gardez ça pour vous, les mecs, merci !
— Parce que tu crois qu'elle ne dira rien, elle ?
— Si on tient à la griller, on pourra toujours répandre qu'elle est pas bandante ! répliqua Anatole.
— D'un autre côté... poursuivit Savate, en ce qui me concerne, y en a pas une qui pourrait se vanter de l'avoir été...
Kévin, lui, parut plus coincé, qui ne dit mot.
— Bon ! Y nous reste à faire avec... et d'ailleurs rien ne dit qu'elle va nous faire une réputation !
— Si elle n'est pas déjà faite ! dit enfin Kévin.
On retrinqua donc, pensif. Et l'on se sépara... songeur.
Kévin surtout était perturbé : si ses deux potes avaient reconnu leur manque d'intérêt pour ces dames, il n'avait pas osé aller jusque là. Oh ! Il ne doutait pas que les autres l'eussent compris depuis longtemps, mais...
En tout cas, malgré cette mauvaise surprise que lui fut l'intervention de Susanna, il se sentait rassuré de n'être pas seul visé, et donc d'être en bonne compagnie.
« Scrogneugneu ! se dit-il plaisamment, décidément, les nanas ! »
En attendant, il pensa aussi aux deux autres qui, selon toute apparence, étaient en train de se partager la donzelle... et il se mit à rêvasser, d'abord aux supposées beautés de Bruno et Thierry, puis aux charmes non moins imaginés de Savate et d'Anatole... Il soupira profondément. La vie était bien dure, allez ! Rentré chez lui, il zona un peu sur Internet avant de se retrouver en conversation avec ses deux copains... gays, donc.
Assez vite, on ressentit l'envie de se voir, et il prévint ses parents qu'il sortait. Cet enfant sage disposait de toutes les autorisations qu'il voulait : il n'avait jamais fait de connerie de sa vie.
Et, différence importante, Savate disposait d'un studio en ville, ses parents ayant dû changer de province pour le boulot de sa mère.
On s'y retrouva donc, comme souvent. Surprise, Savate sorti de vagues petites flûtes et offrit des bulles.
— En quel honneur ? demanda Anatole... qui avait apporté lui même deux grandes bouteilles de bière forte.
— Eh ben... du moins les choses sont-elles claires entre nous, et... je crois que ça valait bien que je fasse sauter un gorgeon offert par ma mère pour mon anniversaire !
On opina, et Savate continua :
— Mais toi ? Pourquoi t'as apporté ça ? Tu bois que de la bibine, d'habitude !
— Ben... pour la même raison que toi.
— Ah ! Ben tu vois ! Kévin, t'es pas contre qu'on fasse la fête... pour cette importante raison ?
Où Kévin rougit... tout en se sentant en aussi belle position que ses amis : il ouvrit son sac à dos et en sortit une bouteille de vodka, acquise à la supérette du coin.
— Ah ! s'écrièrent les autres. Mais... tu voulais fêter quoi, toi ?
— Pareil.
On se regarda finalement un peu gêné. Mais Savate se reprit et fit sauter son bouchon. Il avait prévu assez de petites choses annexes pour qu'on ne fût pas grisé tout de suite... Pensez : ces jeunes gens n'avaient l'habitude de boire qu'une petite bière par-ci, par-là, et là...
Mais l'entrain avec lequel ils descendirent le crémant de Saumur dit assez bien l'émotion qui les avait saisis. Et Savate, pourtant le plus réservé de ces Messieurs, y alla vivement de son couplet. Kévin resta d'abord plus sur son quant à soi, quand Anatole n'hésita pas à faire de petits débuts de confidences...
Et l'on apprit, au début de la troisième flûte, qu'il en pinçait pour un grand type de la classe, gosse de riche considéré par les autres comme un faquin, bon élève, et pas méchant bougre, mais sans intérêt.
Un peu parti, Anatole raconta qu'il s'était rapproché de lui... et que même, au vestiaire de la piscine, il avait pu en apercevoir le superbe équipement... Anatole était un littéraire, et un mec à formules !
On pouffa de bon cœur, évidemment, et malgré le peu d'estime qu'on accordait à l'heureux possesseur du superbe équipement, on souhaita bonne chance à son soupirant...
Et l'on glosa aussi sur les autres beaux mecs du lycée... et tout le monde y passa ! Et puis... Anatole eut un message ; il se retira pour y répondre, et revint, l'œil vif.
— C'était Julien... Il va sortir d'une soirée et me propose...
— Cours-y vite ! fit Savate. Tu veux te doucher ici, d'abord ?
— Non, non, c'est gentil ! Mas je crois pas que...
— Est-ce que... tu nous raconteras ? demanda Kévin.
— Oh, je... Oui, oui, tout, promis !
Le minet s'habilla à toute vitesse et fila, laissant les autres en joie, d'abord.
— Il a de la chance, çui-là, non ? soupira Savate. Toi, tu restes, hein ? Il reste une des bouteilles d'Anatole, et la tienne !
— On va être malade, non ?
— C'est si tu restes pas, que je vais être malade, oui ! fit alors Savate, gravement.
Kévin baissa les yeux. On était assis sur le lit. Savate vint se poser contre lui et le prit par le cou, pour lui susurrer :
— T'embête pas de ce que je dis, Kévin, chuis déjà un peu bourré...
— Moi aussi... alors ça m'embête pas... et même... tu peux continuer !
Où Kévin posa la tête dans le cou de Savate. Il souffla :
— Ange-Marie... t'es gentil.
— Oh ! fit le garçon, en resserrant doucement son étreinte, c'est gentil aussi de m'appeler comme ça !
— C'est comme ça que je t'appelle... quand je pense à toi.
— Et... tu penses à moi... souvent ?
— Ben... on se connaît depuis longtemps alors... oui, ça fait longtemps.
— Oh ! souffla Ange-Marie. Mais... tu m'as jamais rien dit...
— Tu sais bien que c'est pas facile.
— Oh ! Alors... Alors... moi aussi, je pense à toi. Et là... c'est à cause... ou grâce à la Susanna que...
— On n'est pas obligés de la détester, donc !
On soupira de concert, et l'on se tut un moment. Enfin, Ange-Marie murmura :
— Tu crois que... tu pourrais dormir ici ?
— Ben... j'écris à ma mère, alors.
On termina la première bouteille d'Anatole — une rude belge, celle-là ! — mais on n'attaqua pas le seconde.
Dans un silence où l'entendait presque battre le cœur de ces jeunes gens, les lèvres de ces garçons finirent par se trouver... sans même s'être cherchées.
La suite fut une longue succession de mouvements timides, et de sourires gênés.
Avant que les choses de la vie prissent enfin en main l'immédiat destin de ces Messieurs. Qui ne s'en trouvèrent pas mal. D'autant qu'ils avaient déjà accumulé, l'un et l'autre, des tas d'idées sur la question !
Bref, pour une première séance, ce fut ce qu'on doit appeler une réussite. Surtout parce que... parce que cette réussite aboutit à ces mots :
— Tu serais choqué si... murmura enfin Ange-Marie, je te disais que...
— Je sais pas. Moi... Oh moi !... Ange-Marie, je t'aime !
Tableau.
La nuit fut ce que vous imaginez... Courte !
Au matin, tendresses et retendresses, comme de bien s'entend. Puis on fut appelé par un Anatole aux anges, qui proposa de passer avec les croissants... ayant appris que Kévin était encore là.
On l'attendit... nu, selon la décision d'Ange-Marie. Or, surprise ! Le minet parut avec les croissants susnommés... et Julien. On pouffa en se découvrant, mais Anatole décida aussitôt de se mettre au diapason et se déloqua, comme son compagnon. Qui, effectivement, était... superbement équipé.
Mignon petit déjeuner que celui-ci, vraiment ! Vite, Anatole raconta le sommet de la soirée :
— En fait, Julien m'a fait retourner avec lui à sa soirée... où il y avait nos potes, et la Susanna. Mais cet abruti d'Olivier a dit en me voyant arriver : « Pourquoi t'as amené ce p'tit pédé, Julien ? On est normaux, ici! ». Alors la Susanna s'est levée et a crié : « Pas toi, sans doute, tête de con ! Si tu redis une seule fois un truc comme ça sur un de mes amis, j'te les coupe avec les dents, tu vois ça ? » Ça a évidemment jeté un froid, et il a fermé sa gueule.
Les garçons étaient sidérés.
— On a papoté un peu avec tout le monde, puis Julien a voulu qu'on aille chez lui. Mais je voulais absolument vous le présenter... en vrai.
— T'as bien fait ! Et on remerciera Susanna... à notre manière, évidemment !
On rigola, et ce samedi s'engagea sous les plus agréables auspices. Où l'on découvrit le ci-devant faquin : Julien était un mec dans le genre des trois autres, tout simplement, mais timide, sans doute. Et infiniment gentil, aussi !
On enchaîna sur l'apéro... vu qu'il restait du kérosène. Et ce furent quatre minets rayonnants qui se séparèrent sur le coup de cinq heures.
Pas pour longtemps. Car à sept heures et demie, Kévin était appelé par Susanna :
— Bon ! Thierry, Bruno et moi, on organise chez moi une soirée gay : tu viens ?
— Hein ? Mais c'est quoi, ça ? gémit Kévin.
— Ben, une soirée où le pourcentage de gays dépasse la moyenne nationale, tiens !
Sidéré, Kévin accepta donc et fut de la fête avec tout le monde... connu. Ce fut Ange-Marie qui solennellement, au moment de trinquer avec le champagne des parents de Susanna, déclara :
— Mes amis et moi, on veut te remercier d'avoir cloué le bec à ce connard d'Olivier, Susanna !
— On touche pas à mes amis, j'y ai dit, c'est tout !
Délicieux moment que ce qu'offrit Susanna à ses invités. On décida de se revoir régulièrement à sept, désormais.
Et de s'entraider... en vue du bac ! Et Julien fit particulièrement merveille en quelques matières épineuses...
On s'en sortit avec mention, et l'on envisagea la fac d'un bon œil... Susanna règne désormais sur ses deux galants, et les autres loupiots roucoulent, roucoulent !
RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 14-04-2023 Je n'ose jamais m'attaquer à ces textes avec des mots imposés, que je trouve sinon souvent construits de bric et de broc tant on y force les termes à grands coups de marteau, pour un résultat peu digeste, mais ce n'est pas du tout le cas ici, il y a une vraie construction et une histoire qui tient la route parfaitement Diplôme avec mention pour Susanna, plus forte et courageuse que tous les Olivier(s) du monde ! Et sans qui le rapprochement des minets ne se serait peut-être jamais fait. Presqu'inutile de le dire, mais pour les prénoms, et la proportion de 60% de gays de la petite bande, c'est du Louklouk RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 14-04-2023 Oh bien...qu'elle est donc belle, celle-là! J'y vois la patte d'un Grand Maître de la chose, très coutumier du fait et, oserai-je, expert es-contes*. Il me fait penser, parfois, à un célèbre fabuliste du 17ème qui nous laissa aussi de fort aimables choses, certes en vers mais notre actuel conteur s'en débrouille aussi fort bien : plusieurs petits poulets** le prouvent abondamment. -------------------------------------------------- *Rien à voir avec une caisse (d'escompte) quelconque. **"qu'il nous donna" viendra se placer à cet endroit. Mais ça ne collait plus avec l'alexandrin...transformé en ce cas en vers libre à la Paul Fort, natif des Halles, d'où son sobriquet : "Paul Fort des Halles". RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 23-04-2023 Coucou les gens, L'auteur du poisson d'avril est l'ami @Louklouk L'auteur de « la liste des mots d'avril » est @Louklouk L'auteur du défi « Phrasette de départ » est @lelivredejeremie La photo -bientôt - en cours : La prochaine photo : RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 23-04-2023 J't'adore, Nestor ! « Avancer, avancer encore, avancer sans faiblir, ne pas le laisser me rattraper… » c'est ce que se répétait fiévreusement Fabrice, en allongeant le pas autant qu'il pouvait.
En sortant de chez Anne-Sophie, qui recevait en l'absence de ses parents — comme tous les étudiants bien élevés du monde — il avait papoté un moment avec ses potes de la première année de fac... avant de fuir à toutes jambes en voyant sortir de la maison le redoutable Nestor, non pas un tueur en série, mais un fameux macho... qui en avait pris pour son grade ce soir, car il s'était engueulé avec sa dernière conquête, une Emma de toute beauté, mais pas commode.Et il y avait eu un éclat, au terme duquel elle s'était barrée en assénant au gars Nestor des qualificatifs un peu rudes... Lui était resté là, car il y avait aussi tous ses potes.. mais le petit groupe où était Fabrice n'avait pas caché ses rires... et c'est pourquoi ce jeune homme, qui n'était pas dans les meilleurs termes avec le Nestor, craignit des représailles : on savait le mec homophobe, et aviné, qui sait ce qu'il pouvait donner ? Bref, il hâtait le pas, le jeune Fabrice ! Mais l'autre avait adopté le pas de charge, et Fabrice, qui n'osait se retourner ne le vit pas arriver... juste au moment où il s'élançait sur la chaussée pour traverser. Dans son affolement, il avait oublié que même à deux heures du matin, il faut regarder... Il fut happé par les bras puissants de Nestor, tandis que l'automobiliste, surpris, faisait une embardée en klaxonnant fortement... — Putain ! Mais tu voulais te tuer, ou quoi ? — Oh je, je ! suffoqua Fabrice avant de s'effondrer en larmes : il avait eu la peur de sa vie. L'autre le serra un instant contre lui... ce qui n'était pas la pire des choses, car Nestor était un beau mec sportif. — Merde ! Qu'est-ce qui m'a foutu des guignols pareils ? grommela-t-il, tandis que Fabrice ne se calmait pas. J'vais m'pieuter, moi ! — Oh, excuse-moi, je, je... hoqueta Fabrice, toujours aussi défait, et... je suis pas à côté... Oh, me laisse pas ! Nestor le tint à bout de bras, et trancha : — Bon, j't'embarque ! Mais t'arrêtes de chialer, hein ? Et de mener le pauvret chez lui, manu militari. Nestor logeait non loin de là dans un beau studio, et sans lui demander, servit deux verres de vodka. — Ça va te rendre forme humaine, ça ! affirma-t-il en trinquant... puis en se déloquant, à la douche ! Allez, je dors pas avec un poivrot sans le laver avant ! Ah ! Ah ! Ah ! Tétanisé, Fabrice dut cependant se défaire lui aussi. L'exceptionnel physique de Nestor l'impressionna aussitôt, pensez ! Parfaitement découplé, finement velu de partout et avec un sourire à damner les patronages, Nestor en imposait... et Le jeune Fabrice, qui n'avait pas beaucoup bu de la soirée et à qui la vodka venait de donner un coup de fouet, se sentit bander tout de suite. À la joie de son sauveur : — Ah ! Ah ! Ah ! Eh ben pour la forme humaine, je suis servi ! Ah ! Ah ! Il vient de frôler la mort, mais y perd pas l'nord, mon p'tit pédé ! Ah ! Ah ! Mais... p'tain... c'est un sacré gourdin que t'as là... Une mauviette comme toi ! — Oh ! Te moque pas... murmura Fabrice. — Non, je suis sérieux, minet... On le dirait pas à te voir comme ça, mais t'assures un max ! On se savonna donc, puis au séchage, alors que Fabrice ne débandait pas, Nestor lui prit la main pour se la mettre sur la bite : — Touche-moi, mec ! J'ai envie de comparer... et comme l'autre connasse m'a laissé tomber... pendant que tu rigolais... ça devrait le faire... Tu me dois bien ça, non ? De fait, Nestor était chaud, qui ne tarda pas à durcir sous la frêle menotte d'un Fabrice plus si intimidé que ça... et se mit à ronronner doucement, d'abord. Son vit roide était à peine moins long que celui de Fabrice, mais un tout petit peu plus épais. Une splendeur, lui aussi ! — Qu'est-ce qu'il me dit de ça, mon p'tit pédé ? — T'es... magnifique, Nestor, murmura Fabrice, tétanisé. — On boit un coup, p'tit mec ? — Oh oui, oui ! On rejoignit le petit canapé, Nestor resservit une rasade de vodka, et l'on trinqua, les yeux dans les yeux. Enfin Fabrice osa : — Merci, Nestor... — Et de quoi ? — De m'avoir sauvé la vie. — Oh, ça... Mais pourquoi t'allais si vite ? — J'avais... Oh ! J'avais peur de ta réaction. — Pour t'être foutu de ma gueule avec tes pétasses de copines ? Tu crois qu'une bande de folles décolorées comme ça me faisait peur ? — Alors je fais quoi, moi ? — Pour me remercier ? Ce qui te fera plaisir à toi aussi... Tu me prends pour une brute, c'est ça ? Mais te sauver la vie, tout le monde l'aurait fait, à ma place, même la plus vieille mémé du quartier ! Fabrice dut sourire. Il poussa un grand soupir. Nestor lui prit alors la bite, délicatement, et il comprit devoir en faire autant. Nestor lui passa l'autre bras autour du cou et Fabrice se crut autorisé à poser sa tête dans celui du garçon... — Pensais pas finir ma nuit comme ça... murmura Nestor. — On arrête, s'tu veux ! — Non, non, j'veux pas, justement... fit le beau macho en se mettant à branler doucement Fabrice. Tu te foutais de moi parce que je me suis fait larguer... alors tu vas faire ce qu'elle n'aurait pas fait, elle... — Et quoi ? — Être simplement gentil, et doux, et tendre... — Nestor ? — Oui. Sauf si t'as pas envie. — Oh si ! Ainsi commença la nuit la plus improbable du monde... On se branla un gentil temps, doucement, en ronronnant faiblement, avant que Nestor demandât : — Tu me fais jouir, bébé ? Fabrice s'activa et fit éclater Nestor de la belle façon. On alla se laver, et Nestor souffla : — Je tombe de sommeil... mais je m'occupe de toi demain ! Fabrice s'endormit aussitôt, tout contre Nestor. Et il rêva, rêva ! Eu point qu'il croyait rêver encore quand, au matin, il fut éveillé... par une bouche sur son gland. Oh ! Cela lui prit quelques secondes, avant qu'il réalisât les choses... Mais oui ! Le superbe Nestor était en train de le sucer ! — Oh, Nestor ! — Chut ! Et t'arrête pas de bander, surtout ! Où Fabrice, désemparé ne sut que faire... avant de revenir à la réalité : et il changea de position pour aller happer le superbe rondin de Nestor... Intense moment, car Nestor y allait de bon cœur... et il fit hurler Fabrice en le faisant gicler. — À moi, maintenant ! dit ce garçon en reprenant la belle tige de Nestor... où il tenta de mettre toute sa science, et son imagination. Il traita longuement les parties sacrées (et velues) du beau sportif... et s'aventura entre les fesses de celui-ci, endroit non moins arboré... Nestor cria d'abord, de surprise, puis geignit significativement, et Fabrice sut qu'il tenait le bon bout... Et il y alla, au bout : car lorsque Nestor se mit à bramer qu'il allait aboutir à quèque chose... il ne modifia point le mouvement, et in fine, il prit tout le jus de Nestor dans le gosier... sans en recracher une goutte. — Oh !... Oh !... suffoqua Nestor, tu... tu... — Tu m'as sauvé la vie, dit théâtralement Fabrice. — Mais... Mais !... Je te demandais pas ça ! — Je voulais te l'offrir. — Oooh !... Nestor vint alors prendre Fabrice en ses bras, et souffla : — Ça, elle me l'aurait pas fait, l'autre sauterelle ! Ni me bouffer le cul, évidemment. Pourquoi... Pourquoi tu l'as fait ? — Je crois... que je suis gay, finalement, et... que t'es super beau, et drôlement sexy ! On pouffa doucement, et Nestor murmura : — Merci. Je savais pas que ça pouvait être comme ça, les péd... — Gays ! — Pardon, murmura Nestor, qui enlaça doucement Fabrice. Est-ce que... tu me considères toujours comme un sale macho homophobe, comme toutes tes folles de copines ? — On jugeait sur ce qu'on voyait, et ce qu'on entendait... et mes folles de copines sont tous de gentils garçons, tu sais ? Ah ! Tous ne sont pas fans de toi, non ! M'enfin... tu plais. Nestor sourit. Et il ferma les yeux, quand Fabrice lui passa doucement la main sur la poitrine. — J'adore tes poils, souffla Fabrice. T'es si doux ! — Ça non plus, on me l'a pas dit ! Oh, pourquoi tu me dis tout ce que les meufs me disent pas ? — Tu le sais : t'es un super beau mec. Si les nanas te le disent pas... ben là, je sais pas c'qu'y faut faire... sauf de changer de bord ! Nestor dut sourire. Il murmura : — Non, je me vois pas changer de bord.... J'ai envie de créer une famille et... — Beau et gentil comme t'es, tu devrais avoir le choix, je pense. Bien sûr, y a pas de mec qui portera ton enfant ! Nestor regarda Fabrice dans les yeux et murmura : — C'est dommage, sans doute... mais c'est comme ça. — Le Seigneur savait-il ce qu'il faisait ? — Oh, çui-là ! Évitons d'en parler, j'te prie ! Trop de conneries dans tous les sens, et aucune mise en examen ! — Ah ! Ah ! J't'adore ! Nestor...j'adorerais passer encore d'autres moments avec toi... Est-ce que... Nestor ferma les yeux, et souffla : — Je sais pas l'avenir, p'tit mec. Fais... ce qui te fait plaisir, profite du moment, et me pose plus de questions ! Soufflé, Fabrice dut se forcer lui-même... car ce n'était pas rien que d'aborder telle merveille ! Mais il avait là tout pouvoir sur cette incroyable beauté et... il ne pouvait déchoir ! Il se lâcha donc : oh, qu'il était sublime, le Nestor ! Il le bouffa de haut en bas comme de bas en haut, sans oublier les côtés, ni les recoins... et Nestor gémit comme une jeune épousée ! Mais on ne prit point son plaisir, compte tenu des états de service de ces Messieurs... — Tu lèches toujours aussi bien ? demanda enfin Nestor. — Première fois que je me défonce comme ça ! Nestor regarda le plafond et murmura : — Tu me dirais... comment faire ? — Nestor... Je te dois déjà tant de choses que... bien sûr que je te dis tout... si ça te choque pas ! Mais... tes meufs ? — Oh, celles-là ! Je t'en parle pas. Et m'en parle pas non plus, s'te plaît ! T'ouvres la bouche... juste pour lécher, bébé ! Il ne se le fit pas répéter, Fabrice ! Il crut un moment qu'il allait manquer de salive, m'enfin il assura. Le moment traîna un temps, et Fabrice dut partir. Il souffla alors à Nestor : — Est-ce que... t'aimerais me faire l'amour ? — Tu veux dire...? — Oui. Sauf si l'Emma te remet le grappin dessus... et encore ! Moi, j'adorerais. — Oh, c'est... C'est si... étonnant, tout ça ! souffla Nestor. — J'te laisse, Nestor. J'ai adoré que tu me sauves la vie, tu sais ? Hésite pas à recommencer ! Et adoré te rencontrer. Nestor le regarda, incrédule. Il murmura : — C'est aussi à moi de te remercier. On... On s'appelle ? Dans la rue, Fabrice eut un coup de mou... et il se mit même à pleurer. Cette extravagante histoire, depuis son sauvetage de la veille, c'était... trop, vraiment. M'enfin, il retrouva son chemin. Il avait envie de parler... mais à qui ? Et surtout : parler sans trahir Nestor ? On était samedi midi, et il se demanda ce qu'il ferait du reste de la fin de semaine... pris soudain d'un long frisson. Selon toute évidence, il fallait attendre que Nestor l'appelât... mais le ferait-il ? Il fut enfin appelé par une des folles de son cercle, un mignon Gaétan qu'il supposait amoureux de lui, mais qui n'avait jamais osé lui en rien dire. Il en accepta la rieuse compagnie, et l'on alla se promener en ville : il faisait beau. — Oups ! fit soudain Gaétan, regarde pas à droite, y a le Nestor à la terrasse du Cochon farceur ! Mais évidemment, Fabrice tourna la tête, et reçut un signe de la main de Nestor, auquel il répondit en souriant. On passa. — Qu'est-ce qui lui arrive ? Il est encore bourré, ou quoi ? — Non, non... Je dirai. Tout va bien. D'ailleurs t'as vu qu'il était avec l'Emma : y va bien réussir à se la fourrer, c'te mégère ! affirma Fabrice. Gaétan pouffa et l'on alla se poser sur une autre terrasse. Fabrice avait envie de tout sauf de parler de Nestor à Gaétan, mais bon ! D'autant que voir le garçon avec l'Emma ne présageait rien de bon... Il opta pour la bière la plus forte du troquet... et l'offrit aussi à Gaétan. On fut vite en ribote... d'autant qu'on en prit une autre... et ce fut rigolant comme des demeurés que ces jeunes gens aboutirent dans la chambre de Fabrice... qui avait chopé d'autres bières à la boutique du coin. Il proposa qu'on pissât dans la douche dont sa chambre était heureusement dotée. Il avait envie d'oublier, et de se soûler, et de picoler encore... On vira tout et l'on se compissa en rigolant le plus bêtement du monde : Fabrice était décidé à faire toutes les conneries possibles... quand bien il gardait en tête que ce n'en serait sûrement pas une que de s'amuser avec le gentil Gaétan. On picola, donc, et les choses se firent toutes seules. Et fort gentiment. Dans un moment de lucidité, Fabrice se demanda même pourquoi il avait reculé devant ça si longtemps... Car il était gracieux comme tout, le fin Gaétan, et armé comme un paladin ! On s'amusa bien, quoique un peu maladroitement, puisqu'on était pété... Le dimanche matin, Fabrice apprit avec soulagement que Gaétan en pinçait pour un autre étudiant. Mais en attendant... Vers midi, il fut appelé par un Nestor extrêmement doux, et chaleureux. Et qui proposa qu'on se vît promptement. On s'enlaça chastement, chez Nestor, qui attaqua aussitôt : — Emma ! Bon ! J'en ai fini avec cette virago ! Et j'ai envie de voir du pays... Tu m'avais pas dit que tu m'apprendrais des trucs... sympas, toi ? Et même demandé de te faire... quoi, déjà ? — L'amour. — Ah oui ! L'amour ! Eh ben... ça roule, tout ça, non ? RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 23-04-2023 Qui dira si Nestor n'a pas été un peu jaloux de voir Fabrice avec Gaëtan, et si ça ne l'a pas motivé à récupérer son territoire, mais simplement pour ''apprendre des trucs sympas", quitte à éventuellement lui faire l'amour, mais juste comme ça, hein ! vu qu'il reste évidemment hétéro et entend bien fonder une famille ¬‿¬ Ils finissent bien sûr par le faire, se rendant (et les autres) malheureux, déçus et aigris... Fabrice ne se fait probablement pas trop d'illusions et prendra tranquillement ce qu'il y a à prendre sans trop le devenir, lui, si j'en crois un pote qui affirme que le machisme inné de ces grosses honteuses les pousse paradoxalement à dépasser leurs limites, ça ne fait pas de couples heureux mais bon... ¯\_(ツ)_/¯ |