Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-10-2020 (23-10-2020, 12:11 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Koen apprécie beaucoup cette séance imprévue de prévention organisée par le professeur et il n’est pas dispensé de se tâter aussi les testicules. J’ai recherché la liste des élèves dans la première partie et j’avais imaginé un Philippe qui écrivait des nouvelles, j’avais déjà pensé à toi à l’époque, mais j’ai un autre Belge avec Laurent. Ce n’est pas la première fois que j’utilise les prénoms de mes lecteurs, c’est un clin d’œil pour les remercier de lire mes récits. Si Koen a plus tard une rencontre avec Philippe ce sera imaginaire mais je pourrais faire des allusions aux thèmes de tes récits. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 23-10-2020 (23-10-2020, 12:57 PM)Lange128 link a écrit :[quote author=Philou0033 link=topic=173.msg4817#msg4817 date=1603447911] Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Koen apprécie beaucoup cette séance imprévue de prévention organisée par le professeur et il n’est pas dispensé de se tâter aussi les testicules. J’ai recherché la liste des élèves dans la première partie et j’avais imaginé un Philippe qui écrivait des nouvelles, j’avais déjà pensé à toi à l’époque, mais j’ai un autre Belge avec Laurent. Ce n’est pas la première fois que j’utilise les prénoms de mes lecteurs, c’est un clin d’œil pour les remercier de lire mes récits. Si Koen a plus tard une rencontre avec Philippe ce sera imaginaire mais je pourrais faire des allusions aux thèmes de tes récits. Je t’embrasse. Daniel [/quote] Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci mon cher Daniel pour ces petits d’œil qui font plaisir et qui entretiennent l'Amitié ! Je t'embrasse! Phiolou Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 29-10-2020 Chapitre 2 - L’exposé de Koen (4) Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Le professeur prit sa sacoche et suivit les jeunes gens à la cuisine. Dans un coin il y avait une table rustique en bois avec deux bancs de chaque côté, ainsi qu’un buffet contenant de la vaisselle, c’était là que les cuisiniers mangeaient. Stefan sortit des assiettes et des tasses. Il proposa de faire du café, le Dr. Latte demanda du décaféiné. Il apporta ensuite une tarte aux pommes à la pâte très fine qu’il coupa en quatre parts. — Excellent, fit le professeur. C’est vous qui l’avez faite ? — Oui, je n’ai pas de mérite. C’est la spécialité de ma mère. J’étais à la cuisine avec elle dès mon plus jeune âge. J’aimerais travailler chez des grands chefs. — Vous avez de l’ambition, j’aime cela, comme Monsieur Grotelul dans son domaine. Le professeur mangea un peu de tarte, puis dit : — Je vais vous expliquer pourquoi je suis ici. Connaissez-vous la revue Der Ring ? Je ne pense pas. — Détrompez-vous, fit Frédéric, mon père est abonné. — Votre père ? Pourriez-vous me dire son nom ? — Charles de Goumoëns. — Évidemment, j’aurais dû m’en douter. Vous le saluerez bien de ma part. — Vous le connaissez ? — Qui ne le connaît pas, il fait aussi partie du Ring, l’anneau, un groupe informel de personnalités qui, d’une part, soutient la publication du magazine et, d’autre part, met tout en œuvre pour lutter contre la discrimination envers les homosexuels et les autres personnes dont la sexualité est différente. — Et quel est votre rôle dans ce groupe ? — J’y viens. Je suis tout d’abord le conseiller médical qui écrit ou relit les articles concernant la sexualité publiés dans le magazine. Je me suis demandé si Monsieur Grotelul pourrait m’aider dans cette tâche, je suis surchargé et j’ai vraiment été impressionné par vos connaissances. — Moi ? fit Koen, rédiger des articles ? — Nous pourrions faire un essai, vous seriez rémunéré pour le faire. — Avec plaisir. J’ai toujours besoin d’un peu d’argent de poche. — J’ai une autre fonction, c’est celle d’inspecter les établissements comme cette école. S’ils respectent la charte du Ring, ils peuvent faire de la publicité dans le magazine. Frédéric pensa que c’était surtout pour mater des jeunes gens nus que le professeur faisait ses tournées d’inspection. — Je n’ai jamais eu de problème avec cette école, continua le professeur, mais je voudrais vous demander si vous avez constaté des dérapages, que ce soit parmi le personnel ou les élèves, des insultes homophobes par exemple. Monsieur Kaiser ? — Non, répondit l’apprenti cuisinier, jamais. L’ambiance est plus détendue que dans d’autres endroits. — Et parmi les élèves ? — Franz remettrait à l’ordre tout élève qui n’obéirait pas aux règles expliqua Frédéric, il a une autorité naturelle qui fait que tout le monde obéit, mais je ne pense pas qu’il forcerait quelqu’un à faire quelque chose contre son gré. — J’ai en effet constaté que tous ont accepté de se tâter les testicules ce soir. — C’est normal, dit Koen, c’est pour notre santé. — Savez-vous s’il y a des homosexuels parmi les élèves ? demanda le professeur. — Il y a Laertes et Theo dont je suis sûr, peut-être Hiroshi. — Koen et moi, ajouta Frédéric. — Quatre ou cinq, dit le professeur, c’est plus que la proportion dans la population, preuve que cette école est tolérante. Ils terminèrent de manger la tarte. — Je peux vous offrir autre chose ? demanda Stefan. — Non merci, répondit le Dr. Latte, je ne dois pas grossir. Vous êtes libre le week-end prochain ? — Moi ? Oui, pourquoi ? — Je passe le week-end chez des amis au bord du Bodensee, ils organisent souvent des fêtes le samedi soir et invitent des jeunes hommes talentueux, comme vous. Vous pourriez préparer quelques-unes de vos spécialités. — Je serais très honoré de le faire, mais ils ne me connaissent pas. — Ne vous en faites pas, je vous recommanderai et ils vous paieront pour votre travail. Ils ont un cuisinier qui vous aidera. Je ne vous cache pas que ce n’est pas à cette soirée que vous rencontrerez beaucoup de femmes, ce sera plutôt… masculin, si vous me comprenez. — Je comprends, dit Stefan en riant. J’ai l’habitude dans cette école d’être entre hommes. Koen trouvait que le professeur s’intéressait trop à Stefan et pas assez à lui, il demanda : — Et moi ? Pourrais-je aussi être invité à cette soirée ? Je suis aussi un jeune homme talentueux. — Je ne pense pas qu’un exposé sur le pénis passionnerait beaucoup les invités de mes amis, ils préfèrent la pratique à la théorie, répondit le Dr Latte, que savez-vous faire d’autre de plus artistique ? — Pas grand-chose. — Tu pourrais faire un strip-tease, dit Frédéric en riant. — À propos de strip-tease, pourrais-je vous photographier ? demanda le professeur. — Me photographier ? Dans quel but ? — Pour la collection anatomique de l’université. Au cas où ces photos seraient publiées, nous cacherions votre visage. — Je suis d’accord de contribuer à cette collection. — Je n’en attendais pas moins de vous. — Pourrais-je la voir lorsque je ferai un stage ? — Certainement. Mais elle comporte des milliers de photos, vous n’aurez pas le temps de les voir toutes. Le professeur sortit son appareil de sa sacoche, un Leicaflex avec un flash. — Euh… fit Koen, on fait les photos ici ? — Pourquoi pas ? Mettez-vous contre le mur, le fond sera neutre. Frédéric et Stefan furent amusés de voir Koen se déshabiller entièrement. Le professeur fit une dizaine de photos, certaines en gros plan des organes génitaux. Frédéric se dit que certaines ne termineraient pas leur vie dans les tiroirs poussiéreux de l’université mais plutôt dans les albums privés du professeur. Franz entra au moment où le professeur photographiait le pénis en érection de Koen. — C’est l’heure où ces jeunes hommes doivent se coucher, dit-il. — Attendez, dit le professeur, nous devons encore terminer des prises de vue pour la collection de l’université. Voulez-vous aussi figurer dans cette prestigieuse collection ? — Non merci, je réserve mes photos pour l’organe de l’Association fédérale de lutte suisse. Bonne nuit. Franz sortit. — Il ne rate jamais une occasion de nous mater, fit Frédéric. — Cela vous dérange-t-il ? demanda le Dr Latte. — Pas vraiment, nous avons l’habitude. Et c’est réciproque, nous avons aussi pu le mater. — Bien, j’ai terminé avec Monsieur Grotelul. Voudriez-vous aussi vous déshabiller, Monsieur de Goumoëns ? Frédéric hésita, puis dit : — Seulement en gros plan, pas de photo de mon visage. — Je comprends vos craintes, je vous assure que je n’ai jamais utilisé des photos dans un autre but que pour la science. Frédéric ne baissa que ses pantalons et le professeur fit quelques photos du pénis. Stefan fut d’accord de se déshabiller si le professeur lui envoyait une copie de toutes les photos. Frédéric demanda : — Vous les faites développer où ? — Nous avons notre propre laboratoire, pour des raisons évidentes de discrétion. Nous ne voudrions pas que des photos de nos recherches sur l’orgasme soient interceptées pas des agents de l’est. Le professeur fit de nombreuses photos de Stefan qui ne paraissait pas le moins du monde intimidé. Il rangea ensuite son appareil dans sa sacoche. — Monsieur Franz avait raison, il se fait tard. Je quitterai l’école à 16 heures demain, soyez à l’heure si vous voulez venir avec moi. Je dois encore demander à mes amis s’ils vous invitent les trois, mais je pense que cela ne posera pas de problème. — Même si nous n’avons pas de prestation artistique ? s’étonna Koen. — Vous regarderez celle des autres, il y aura un couple de danseurs et un chanteur. Et les soirées se terminent par un bain de minuit dans le lac s’il fait beau, pas nécessaire de prendre votre slip de bain. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 05-11-2020 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (1) Vendredi 24 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Le professeur Latte s’était levé avant six heures ce matin-là, il ne voulait manquer pour rien au monde la gymnastique naturiste dans le jardin de l’école. Franz ne l’avait malheureusement pas autorisé à prendre des photos afin de respecter la sphère privée des élèves. Le professeur ne comprenait pas qu’on pût être indifférent à l’intérêt scientifique des corps nus, il rêvait d’un monde futur où les photos de tous les pénis des hommes de la planète seraient stockés sur des ordinateurs et consultables sur des téléviseurs. Franz avait tout de même retenu la proposition du Dr. Latte et il proposa aux étudiants de bander avant de débuter le premier exercice de gymnastique, tout en leur précisant que cela n’était pas obligatoire. La plupart se plièrent de bonne grâce à ce nouvel exercice, ils n’avaient plus de fausse pudeur et ils étaient assez fiers de leurs virilités triomphantes. Et pour les hétéros il y avait Vreni qui participait aussi et qui chuchota quelques appréciations à l’oreille de son petit ami Laurent. Le professeur regretta une fois de plus de ne pas pouvoir faire de photos. Il envia Koen qui côtoyait tous les jours ses camarades nus. Le professeur assista ensuite à la toilette en face des lavabos, Franz lui avait expliqué que c’était pour économiser l’eau qu’il n’y avait pas deux douches par jour, il y avait eu une période de sécheresse. Le Dr. Latte ne put s’empêcher de donner des conseils sur l’hygiène du gland, en particulier chez ceux qui n’étaient pas circoncis. Il contrôla que tous se décalottassent pour se savonner. — Il est vicieux ton professeur, dit Roberto à Koen pendant le petit déjeuner. — Ce n’est pas mon professeur et il a raison, j’approuve sa démarche de vérifier l’hygiène intime des élèves. — Tu ne penses pas qu’il est homosexuel et que ça l’excite de voir des jeunes hommes nus avec lesquels il ne peut plus coucher parce qu’il est trop vieux ? — Je pense qu’il sait très bien distinguer le travail scientifique et sa vie privée. Il ne m’a fait aucune proposition déplacée. — Tu aurais accepté de coucher avec lui pour que tu puisses faire un stage dans son université ? demanda Frédéric en riant. — Seulement après t’en avoir parlé. Frédéric se demanda si le professeur leur ferait des propositions déplacées lors du week-end et quelle serait sa réaction si c’était le cas. À 16 heures, Koen, Frédéric et Stefan montèrent dans la voiture du professeur, une BMW 1800 bleue. Franz avait grommelé qu’ils étaient plus souvent en congé qu’au travail avec ces départs avancés le vendredi, de la jalousie de ne pas être invité avait pensé Koen qui s’était assis à l’avant. Le temps était beau, pendant la première partie du trajet ils contemplèrent le paysage, longeant le lac de Brienz. Ils s’arrêtèrent au col du Brünig pour boire une boisson fraîche dans un café. Ils eurent la surprise d’y retrouver Peter, l’apprenti fromager qu’ils avaient rencontré deux semaines plus tôt dans le chalet d’alpage. — Bonjour, dit le professeur, je pense que vous êtes Monsieur Kolb que je dois conduire à Kesswil. — Bonjour, oui, c’est bien moi. — Monsieur Kolb est chanteur et c’est à ce titre qu’il a été invité par Messieurs Graf & de Bruson. — Nous avons eu l’occasion de l’entendre, c’était très émouvant, dit Frédéric. — Et de nous branler avec lui, ajouta Koen. — Le contraire m’aurait étonné, dit le Dr. Latte. Ah, la jeunesse insatiable ! Profitez, ce temps est court. — Vos amis sont-ils les célèbres architectes ? demanda Frédéric. — C’est exact. Les connaissez-vous ? — Ce sont eux qui ont dessiné les nouveaux meubles de ma chambre. Mais comment ont-ils entendu parler de Peter ? — C’est Monsieur Franz qui a fait la proposition de l’inviter. Frédéric se dit que Franz devait aussi faire partie de ce cercle, Der Ring, et que c’est lui qui avait suggéré au professeur de l’inviter avec Koen. Cela pouvait être utile de faire connaissance avec l’héritier de celui qui tient les cordons de la bourse. Ils repartirent, Frédéric était maintenant serré à l’arrière entre les deux apprentis, ce qui n’était pas pour lui déplaire car ils les trouvait mignons. — Monsieur le professeur, dit Koen, pourriez-vous me parler de vos recherches sur l’orgasme ? — Monsieur Grotelul, je vous propose de nous appeler par nos prénoms lorsque nous ne sommes pas en public, je m’appelle Friedrich Wilhelm. — Enchanté, je suis Koen. — Et vous aussi à l’arrière, nous pouvons nous appeler par nos prénoms. Vous verrez, l’atmosphère chez mes amis Graf & de Bruson sera très conviviale, ils ne tiennent pas compte de la situation sociale des invités. Pour en revenir à mes recherches, c’est assez simple, il s’agit d’observer des sujets soumis à une excitation sexuelle et de mesurer certains paramètres corporels, nous faisons un électroencéphalogramme, un électrocardiogramme et une pléthysmographie pénienne. Nous codons ensuite les résultats sur des cartes perforées afin de faire des statistiques sur un ordinateur IBM. — Et comment obtenez-vous cette excitation sexuelle ? — Par des moyens tout à fait naturels, le massage de diverses zones érogènes. Nous essayons plusieurs techniques sur le même sujet pour voir s’il réagit différemment. — Autrement dit, vous branlez les sujets, dit Frédéric. — Nous n’utilisons pas cette expression triviale pour nos études, mais on peut dire que c’est de cela qu’il s’agit. Frédéric imagina Koen nu, jambes écartées, le corps bardé d’électrodes, se faisant branler par un étudiant qui s’applique tout en regardant les stylets des machines traçant des graphiques. Il sentit une pression dans son slip et posa machinalement sa main sur son sexe. — Koen, ta discussion fait de l’effet à ton ami, dit Stefan en riant. — Vous pouvez vous branler pendant que moi je parle de choses sérieuses avec Friedrich Wilhelm. — On peut se branler ? s’étonna Frédéric. Chiche ! Je ne l’ai jamais fait en voiture, et vous ? — Moi, jamais, dit Peter. — Moi non plus, dit Stefan. Je ne l’ai même jamais fait avec quelqu’un d’autre. — Même pas avec ton frère ? demanda Koen. — Tu es bien curieux, je voulais dire en dehors de la famille. — Ne fais pas attention, fit Frédéric, Koen est toujours très curieux. Je suis sûr qu’il nous matera si on se branle. Le professeur regretta de ne pas pouvoir se retourner, mais il aurait l’occasion de les voir pendant le week-end, l’ambiance était toujours très sensuelle chez les architectes et peu ne se laissaient pas envoûter. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 06-11-2020 Chic, une suite qui promet… une poursuite en voiture à multiples ‘changements de vitesses’ ! le paysage, alpestre et champêtre, ne sera plus l’attraction du moment. Bien que le professeur Latte serait fort avisé en gardant un œil sur la route. Les bas-côtés Suisse sont parfois… dangereusement vertigineux ! Des bizoux Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 06-11-2020 (06-11-2020, 01:26 AM)fablelionsilencieux link a écrit :Chic, une suite qui promet… une poursuite en voiture à multiples ‘changements de vitesses’ ! le paysage, alpestre et champêtre, ne sera plus l’attraction du moment. Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member]. Je te rassure, ils ne vont pas faire de sortie de route, cela serait ennuyeux car je devrais interrompre le récit, faute de personnages. Ces jeunes gens, qui viennent d’avoir 18 ans, n’ont pas encore de permis de conduire et vont effectivement pouvoir apprendre à changer les vitesses. J’espère qu’ils auront assez d’endurance car ce ne sera pas le seul orgasme du week-end. Heureusement qu’il n faut pas de permis pour se branler… Bisous. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 06-11-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! J'ai lu les deux suites. J'avais loupé la première, désolé!!! Belles suites au demeurant! Le professeur doit avoir une fameuse collection de photos d'appareils génitaux pour ses études et les observations universitaires, quoi que certaines soient peut-être dans ses albums personnels! L'idée pour les deux jeunes et l'apprenti de pouvoir participer à une soirée du cercle "ring" parait presque irréalisable, mais le professeur a déjà tout prévu. Durant le voyage vers le lieu de destination pour la soirée, ils prennent en charge Peter, déjà rencontré dans les alpages. Il sera celui qui va chanter pour les membres du cercle "ring". Discussion sur l’orgasme entre le prof et Koen. Les trois passagers sur la banquette arrière semblent avoir des réactions au niveau de leur pénis qui prend de l’ampleur. Ils se masturbent probablement durant le trajet sous le regard de Koen, mais le professeur lui doit resté vigilent car il conduit sa BMW 1800. Merci pour ces deux suites. Déjà un très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 06-11-2020 (06-11-2020, 07:21 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member]. Pas de souci pour la suite que tu as loupée. J’avais envie de réunir les deux apprentis qui ne se connaissaient pas, j’avais d’abord pensé à retourner dans le chalet d’alpage, puis j’ai eu l’idée de les inviter à ce week-end, c’est l’avantage d’être l’auteur du récit et de faire la liste des invités. Le mélange des classe sociales n’est peut-être pas très réaliste, il y a de toute façon des gens qui ont beaucoup d’argent et d’autres moins, mais j’aime bien l’idée que ces gens riches et influents fassent progresser la cause homosexuelle avec leur « ring », ce qui était moins évident à l’époque où se déroule se récit que de nos jours. Leur attitude peut aussi être ambigüe avec l’invitation de jeunes hommes pour cette soirée, je pense cependant que ceux-ci sont très intéressés à faire des découvertes et à élargir leurs horizons, ils y vont librement. Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 07-11-2020 Désolé, L'Ange, je ne commente plus, mais le zizi en tant qu'objet esthétique ne m'intéresse pas trop. Je trouve qu'un pénis flaccide est plutôt moche, l'aspect fonctionnel est plus intéressant, nécessaire mais pas suffisant : j'ai aussi besoin de sentiment ! Je ne me rendais pas compte que j'étais aussi fleur bleue... :'( Je continue à lire, je ferai un commentaire si le texte éveille quelque chose en moi. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 07-11-2020 [member=28]Lange128[/member] ! J'admire le sérieux avec lequel tu alignes tes fantasmes au kilomètre !... Voilà une plume qui ne débande pas ! Une petite remarque : "Bodensee" n'est peut-être pas connu de tous les francophones. J' y ai vu un jour une superbe tempête. Bises, et hardi petit ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-11-2020 (07-11-2020, 10:55 AM)emmanolife link a écrit :Désolé, L'Ange, je ne commente plus, mais le zizi en tant qu'objet esthétique ne m'intéresse pas trop. Je trouve qu'un pénis flaccide est plutôt moche, l'aspect fonctionnel est plus intéressant, nécessaire mais pas suffisant : j'ai aussi besoin de sentiment ! Je ne me rendais pas compte que j'étais aussi fleur bleue... :'( [member=67]emmanolife[/member], je comprends que tu ne désires pas commenter si mon récit ne correspond pas à tes attentes. J’ai déjà expliqué pourquoi j’ai choisi cette approche non-sentimentale, je ne vais pas y revenir. Je pourrais de nouveau m’intéresser au couple Daniel/Dominique qui semblent plus amoureux que Frédéric/Koen, mais pour le moment je ne sais pas que raconter à leur sujet. Je n’ai pas le même avis que toi concernant le pénis flaccide, chacun ses goûts. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-11-2020 (07-11-2020, 01:47 PM)Louklouk link a écrit : [member=87]Louklouk[/member], je pense que la forme du roman-feuilleton pose un problème : chaque épisode est lu séparément et doit comporter un peu de sexe pour inciter le lecteur à poursuivre la lecture. En plus, je n’ai pas d’intrigue qui pourrait accrocher le lecteur. Je vais donc poursuivre avec les fantasmes en essayant de les varier. Je me disais l’autre jour que ce récit est une comédie, avec un peu d’exagération et de caricature. C’est cela que j’ai envie d’écrire en ce moment. Le Bodensee est traduit en français par lac de Constance, je n’aime pas trop cette référence à une ville, comme je n’aime pas qu’on appelle le lac Léman le lac de Genève. J’aurais pu parler du Bodan, ce qui ne serait pas très connu non plus. Ce lac est partagé entre trois pays : la Suisse, l’Autriche et l’Allemagne. J’aime bien cette région, même si les paysages ne sont pas aussi spectaculaires que ceux d’autres lacs suisses. Je suis allé souvent au festival d’opéra de Bregenz (Brégence en français), avec ses décors lacustres spectaculaires (et parfois aussi une tempête qui interrompt la représentation). Bises Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 07-11-2020 Hello [member=28]Lange128[/member] ! Tout de même, c'est pas si difficile de tricoter une petite intrigue entre deux minets qu'ont envie l'un de l'autre ! Tu n'as qu'à les laisser causer, et ils te diront ce qu'il faut écrire... Ce qui n'empêche évidemment pas les visites médicales à répétition ! Courage ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-11-2020 (07-11-2020, 10:24 PM)Louklouk link a écrit : Hello [member=28]Lange128[/member] ! Hello [member=87]Louklouk[/member] ! C’est la trame classique de beaucoup de récits : deux minets qui ne se connaissent pas se rencontrent, découvrent progressivement qu’ils ont envie l’un de l’autre, finissent par se déclarer leur amour et passent à l’union charnelle après quelques péripéties (ou quelques visites médicales). Il n’y a malgré tout pas vraiment de suspense puisque le lecteur devine dès le premier épisode qu’ils vont coucher ensemble, l’intérêt est plutôt de savoir comment cela se passera. Et après ? Faut-il repartir à zéro et recommencer avec d’autres personnages ? C’est ce que j’ai souvent fait, ici je vais essayer d’écrire la suite. En fait un roman d’apprentissage devrait être conçu autrement : le personnage principal devrait rester seul pendant la première partie, faire de nombreuses rencontres et découvrir le grand amour seulement à la fin. J’ai deux personnages secondaires, Peter et Stefan, qui vont pouvoir causer, mais si je les laisse ce sera en dialecte suisse alémanique… Je vais traduire, peut-être auront-ils envie l’un de l’autre ? Re : Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 08-11-2020 (07-11-2020, 11:23 PM)Lange128 link a écrit :[ Bonjour L'Ange, bonjour Louklouk. En fait, le scénario brossé par Louklouk n'est pas passionnant : une fois que les deux amoureux sont réunis, l'histoire n'a plus grand intérêt. C'est ce que je constate dans toutes les histoires que je lis sur Docti et maintenant Scribay depuis un peu plus d'un an que j'y suis. Et beaucoup d'histoires s'arrêtent au moment du mariage : ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants... Plus dur pour les gays. Le scénario le plus intéressant, à mon avis, c'est celui qui décrit les obstacles à l'union des protagonistes et comment ils font pour les surmonter. On vibre pour eux, en espérant qu'ils vont y arriver. C'est immuable depuis Roméo et Juliette, et même probablement avant. Le scénario décrit par L'Ange : je n'ai pas d'exemple qui me vienne en tête. Il faut voir. Il y aussi le scénario de Jérémie dans ses histoires récentes, celui de la séparation... mais c'est moins romantique. Bonne journée. |