Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) (/showthread.php?tid=167) |
RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 23-03-2023 J’ai fait quelques modifications dans cet épisode après la publication initiale, ce qui explique que le commentaire ne correspond plus exactement à ce que j’ai écrit. Chapitre 3 - La Grosse Pomme (5) Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY — Bonne idée, dit Séverin, mais je ne sais pas si cet appareil supporte l’humidité et je devrais me rhabiller pour aller le chercher. — On pourrait faire les photos dans notre chambre lorsque nous aurons terminé le reportage, proposa Koen. — Dans votre chambre ? fit Dennis. Que diront les autres hommes qui la partagent ? — Rien, pas de souci à avoir. Ce sont nos compagnons et deux Canadiens du même bord que vous et nous. — Vous faites comme vous le sentez, dit le photographe. Si vous êtes d’accord, j’aimerais encore prendre quelques photos de vous dans le vestiaire. — C’est pour une exposition ? demanda Gary. — Non, c’est pour ma collection privée. — Et peut-être pour le journal dont j’ai parlé, ajouta Koen, ils ne publient cependant pas de sexes en érection pour ne pas avoir de problèmes. — Sans bander ? dit Gary en riant, ce sera difficile. On essaie, Dennis ? — OK, on essaie. Je pourrai attendre encore une heure avant de voir si ta bite est aussi grosse que la mienne quand elle est dure. Les deux jeunes gens prirent des poses très naturelles, se regardant avec tendresse, posant leur bras sur les épaules de l’autre. Ils se déplacèrent selon les désirs de Séverin pour avoir la lumière optimale avec le contraste de leur peau noire et blanche. — Parfait, dit celui-ci, vous avez vraiment l’air amoureux, je vous laisse, nous devons aussi voir le reste de la piscine. — On vient avec vous, dit Gary, c’est l’heure de la finale et de la distribution des prix. — Nous n’avons pas été sélectionnés, fit Dennis, je préfère le basket. — Et moi la peinture. — La peinture ? C’est une occupation inhabituelle. Il faudra en parler à Daniel. — C’est qui ce Daniel ? — Un de nos compagnons. Il désire étudier l’histoire de l’art. Ils se rendirent vers le bassin, les bas des parois étaient décorés de céramiques bleues qui rappelaient celles du Portugal ; les hauts étaient peints en blanc ; les fenêtres en ogive avaient des vitraux de carrés colorés, décoration assez inattendue en ces lieux. Les huit finalistes étaient au bout, prêts à plonger ; les autres participants au camp sur le côté ; les spectateurs, essentiellement des spectatrices, assis sur des gradins. Séverin mit un téléobjectif, personne ne faisait attention à lui et il y avait d’autres personnes qui prenaient des photos, il put donc compléter sa collection de photos érotiques. Koen, lui, prenait des notes dans son carnet, il essaya même de faire des croquis des bites les plus intéressantes, sans se soucier de la compétition. Le vainqueur fut acclamé. Un homme, resté habillé puisque c’était un représentant de l’YMCA, remit des médailles aux trois premiers, puis fit le discours de clôture du camp, insistant sur les valeurs chrétiennes de l’association et la nécessité de refuser le racisme et toutes les autres discriminations. Gary et Dennis se tenaient discrètement la main. Ils eurent une surprise puisqu’on les appela afin de leur remettre un prix spécial, leur attitude ayant été exemplaire pendant le camp. Une prière conclut la cérémonie, puis tous entonnèrent l’hymne national, la main posée sur le cœur. Koen, prenant son rôle de journaliste très au sérieux, se rapprocha de ce responsable et lui demanda s’il pouvait l’interviewer. L’homme accepta, un peu surpris par les questions du Néerlandais portant surtout sur la fin de la nudité dans les piscines, que l’YMCA avait dû accepter, certains milieux lui reprochant d’être un lieu de rencontre pour les gays. L’homme était cependant optimiste, d’autres structures allaient prendre le relais. Koen et Séverin se rendirent ensuite au vestiaire, se rhabillèrent et rejoignirent les deux Américains dans le lobby. — Félicitations, dit le photographe, un prix spécial ! — Nous ne le méritions pas, dit Dennis, nous ne faisons qu’appliquer ce que tout chrétien devrait faire. — L’amour, pas la guerre ! ajouta Gary en riant. Nous allons passer dans notre chambre chercher nos affaires et nous vous rejoignons. — Chambre 401. Dix minutes plus tard, les jeunes Américains étaient dans la chambre des Suisses, avec leurs valises et un carton à dessins. — Tu nous montres tes peintures ? demanda Séverin à Gary. — Ce ne sont que des gribouillages, c’est le terme qu’a utilisé le professeur lors de l’atelier. Il ouvrit le carton et en sortit quelques peintures, l’une d’entre elles intéressa particulièrement Koen, on y voyait un personnage à tête de mort avec un membre rouge entre les jambes. — J’ai dit que je ne n’aimais pas l’art moderne, dit le Néerlandais, je vais réviser mon jugement, c’est original. — Ma mère m’a offert un traité d’anatomie, fit Gary. — Je crains que tu aies pris quelques libertés avec la réalité. Séverin alla chercher son Polaroïd dans sa valise. Gary et Dennis hésitaient avant de se déshabiller, Koen leur demanda si quelque chose n’allait pas. — Non, répondit Gary, c’est juste le cadre qui est un peu différent, cela parait moins naturel qu’à la piscine. — Je crois qu’il serait préférable de ne pas nous photographier, suggéra Dennis. — Bien sûr, pas de problème, dit Séverin, c’était pour vous puisque je n’aurais pas pu garder de copie. Désirez-vous qu’on sorte de la chambre et qu’on vous laisse seuls ? — Non, vous êtes chez vous. Et vous nous avez déjà vus à poil. — On ne va faire autre chose et ne pas vous observer comme si vous étiez les acteurs d’un spectacle. — Je devine ce qu’est cette autre chose, fit Gary. Vous êtes en couple les deux ? — Non, mais nous avons le droit de nous amuser ensemble, expliqua Séverin, nos partenaires ne sont pas jaloux, et le mien est en ce moment avec je ne sais qui dans des bains gays. — Vous ne croyez plus à l’amour ? — Bonne question, merci de l’avoir posée. Je te laisserai y répondre dans quelques années, quand tu auras mon âge. Les Américains oublièrent rapidement qu’ils n’étaient pas seuls. L’attente de ce moment-là depuis plusieurs jours était enfin terminée. Ils prirent le temps de se regarder, de se parler, en chuchotant dans un anglais new-yorkais que les Européens ne pouvaient pas comprendre. — Tu crois à l’amour, Dennis ? — Oui, Gary, j’y crois, pas comme le photographe. — Tu me resteras fidèle ? — Pour toujours. Et toi ? — Je te serai aussi fidèle, pour toujours. — On peut y aller, alors. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 24-03-2023 Bonjour mon cher Daniel , @Lange128 , Gary et Dennis ont été gratifié d'un prix spécial. Ils sont restés très discrets. Koen poursuit ses "recherches" sur les pénis, allant même jusqu'à faire des croquis lors de la finale de natation à la piscine de l'YMCA. Il va encore plus loin, interrogeant le responsable de l'YMCA local concernant la prochaine interdiction de la nudité au sein de l'établissement. Les deux américains ne souhaitent finalement pas être photographiés. Ils discutent avec Koen et Séverin concernant l'amour en général et la fidélité en particulier. Finalement les deux New-yorkais se dénudent, ils vont se libérer de la tension accumulée, sans même s’intéresser à Koen et Séverin, Koen se faisant sucer par Séverin. Merci Daniel pour cette suite. Je te souhaite déjà un très bon week-end. Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 24-03-2023 (24-03-2023, 11:45 AM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon cher Daniel , @Lange128 , Bonjour mon cher @Philou0033 et merci pour ton commentaire. Les deux Américains sont finalement des personnages un peu plus complexes que je ne l’avais d’abord imaginé. D’une part ils souhaitent montrer au monde entier que deux garçons peuvent s’aimer, même si l’un est Noir et l’autre Blanc, ce qui était certainement une difficulté supplémentaire à cette époque, d’où ce prix spécial pour les récompenser de leur attitude positive ; d’autre part ils gardent une certaine discrétion et n’ont pas envie de s’exhiber, mais ils acceptent quand même l’offre d’aller dans la chambre de Koen car ils n’ont pas d’autre alternative à ce moment-là. Ils s’ignoreront, ou plutôt feront semblant car je pense que la curiosité sera la plus forte d’un côté comme de l’autre. Je te souhaite aussi un très bon week-end et t’embrasse. Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Nostalgique - 07-07-2023 Sous quel titre se poursuit ce récit ? Merci d'avance ! RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Nostalgique - 07-07-2023 Inutile de répondre à ma question, parfaitement stupide ! RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Nostalgique - 07-07-2023 En fait non, ma question n'est pas si stupide car la dernière date de publication remonte au mois de mars... Qu'en est-il donc de la suite ? RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 07-07-2023 Bonsoir @Nostalgique et merci pour ta question pas stupide du tout. En fait, j’ai négligé ce récit car j’étais occupé par celui consacré au théâtre. Je vais le reprendre dès que possible sous le même titre. J’ai eu une période où je n’avais pas très envie d’écrire, mais je n’ai jamais eu l’intention d’arrêter. Si une fois je désirais cesser cette activité, je vous informerais en indiquant la cause, pour autant que je sois en mesure de le faire. Je signalerais aussi si j’interrompais définitivement un seul récit. Je t’embrasse. Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 09-07-2023 Hello très cher @Lange128, prend ton temps pour reprendre l'écriture. Tu n'es pas le seul en manque d'inspiration tu sais! Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 09-07-2023 (09-07-2023, 05:10 PM)Philou0033 a écrit : Hello très cher @Lange128, Bonjour mon cher @Philou0033 et merci de ton message. Lorsqu’on est retraité on devrait pourtant avoir plus de temps à disposition, mais ce n’est pas toujours le cas. J’ai l’impression de gérer ce temps différemment, de le « perdre » alors que je pourrais l’occuper plus utilement, en écrivant par exemple. Je te souhaite une bonne fin de dimanche et t’embrasse. Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 10-07-2023 Rapide résumé des épisodes précédents : Les deux cousins Daniel et Frédéric, Dominique (l’amie trans de Daniel), Koen (l’ami de Frédéric), Urbain le chauffeur et Séverin le photographe, l’ami d’icelui, sont arrivés à New York pour le premier jour de leur voyage en Amérique. Ils logent dans une auberge YMCA où ils ont fait la connaissance d’Alexis et de Robert, deux cheminots québécois qui logent dans la même chambre. Par un heureux hasard, ils sont aussi gays donc faits pour s’entendre. Dominique, Daniel et Frédéric sont allés visiter le MoMA, le musée d’art moderne. Urbain et les deux Québécois sont allés dans des bains, lieu de rencontre pour homosexuels. Koen et Séverin sont allés à la piscine de l’hôtel, piscine naturiste où ils ont fait la connaissance de deux jeunes new-yorkais, Gary et Dennis, qui avaient très envie de comparer leurs bites en érection, ce qui n’était cependant pas autorisé dans un lieu public. Koen leur a alors proposé l’hospitalité, faisant sa B.A. d’ancien scout. Je rappelle également que ce récit est basé presque uniquement sur le sexe de groupe, donc pas dans l’intimité d’un couple, même pas pour des novices comme Gary et Dennis. J’ai fait quelques modifications dans l’épisode précédent après la publication initiale, ce qui explique que le commentaire ne correspond plus exactement à ce que j’ai écrit. Je vous propose de le relire. Au moment où je reprends le récit, tout le monde est encore habillé. Chapitre 3 - La Grosse Pomme (6) Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY Afin de ne pas déranger Gary et Dennis, Koen s’était couché sur son lit afin de relire ses notes concernant les bites états-uniennes, Severin avait fait de même pour documenter le film qu’il avait exposé à la piscine. Les deux Européens regardaient discrètement du côté de la fenêtre où se tenaient les jeunes Américains, à contre-jour. Gary n’avait pas la peau très foncée, il avait des cheveux noirs et crépus. Dennis était blond, ses cheveux longs reposaient sur ses épaules, il avait la peau claire. Ils étaient les deux maigres, n’ayant pas été séduits par le clown Ronald. Ils enlevèrent leurs tee-shirts, leurs chaussures et leurs jeans, ils avaient mis des slips blancs, de taille haute, ce n’était pas encore la mode des mini slips. Koen délaissa ses notes et observa les bosses sur le devant des sous-vêtements, il était impatient de voir leurs bites mais les deux Américains n’étaient pas pressés, Gary tira l’élastique du slip de son ami et en examina le contenu. — Comme l’infirmière à la visite médicale au début du camp, dit-il. — Tu as bandé devant elle ? — Bander devant une femme, ça m’étonnerait. Et toi ? Dennis regarda à son tour l’intérieur du slip de Gary. — Qui a la plus grosse ? demanda Koen. — Difficile de dire, répondit Gary. — Je pourrais vous aider à comparer, j’ai une réglette, mais c’est seulement si vous le désirez, je ne voudrais pas vous déranger. — Tu nous as déjà dérangés, fit Dennis, ce n’est pas grave, un expert impartial évitera tout litige ultérieur. — Dennis veut devenir avocat, dit Gary, il gagnera très bien sa vie, mieux que moi avec mes gribouillages. — Qu’en sais-tu ? Tu pourrais devenir célèbre. Ils baissèrent leurs slips, leurs pénis circoncis pointèrent vers le haut, celui de Gary un peu plus. Koen les mesura avec sa réglette. — Gary 15,6 cm, Dennis 15,8. Cela fait mentir la légende qui dit que les Noirs ont une plus longue. — Je suis métis, expliqua Gary, ma mère d’origine haïtienne et mon père d’origine portoricaine. La mienne est plus épaisse. Ça fait combien en pouces ? — 6,141132 et 6,220472. — Bon, ça fait tous les deux 6, on est à égalité. Elles vont encore grandir ? — Je ne sais pas, dit Koen, la mienne a cessé de grandir à votre âge. Je vous laisse. Ils restèrent debout, l’un en face de l’autre, Gary demanda quelque chose à Dennis qui acquiesça et dit à Séverin : — On a changé d’idée, c’est OK pour les photos avec le Polaroïd, cela nous fera un souvenir. — Oui, mais vous enlevez d’abord vos slips sur vos genoux et surtout vos chaussettes, ce n’est pas très photogénique. Séverin prit deux photos en pied, puis deux photos de chaque membre dressé en gros plan. Koen regarda l’image qui apparaissait lentement, songeant qu’on pourrait trouver quelque chose de plus rapide et plus pratique. Les deux Européens se recouchèrent sur leurs lits, laissant les jeunes gens se masturber, toujours debout. Koen sentait son propre membre qui prenait ses aises et mit sa main dans sa culotte de survêtement. Gary le vit et l’interrompit : — Attends que nous ayons fini, on aimerait aussi te mater. En attendant, donne-nous une boîte de kleenex, on va bientôt jouir. Gary et Dennis s’étaient caressés de manière assez rapide et ne prirent pas le temps de faire durer leur plaisir, ils éjaculèrent presque en même temps, projetant leur sperme sur l’entrejambe de l’autre. Ils effacèrent consciencieusement les traces de leur acte avec des mouchoirs, puis ils regardèrent les photos : — On est beaux, dit Dennis, le spectacle vous a plu ? — Oui, dit Séverin, mais vous étiez trop pressées. La prochaine fois, il vous faudra prendre plus de temps, échanger des caresses, des mots doux, toucher le sexe de l’autre. — Vous nous faites une démonstration ? — Avec plaisir. Séverin s’assit sur le lit à côté de Koen et lui baissa sa culotte en disant en français : — Ils ne sont pas si innocents que ça ces deux avec leur air candide, ils voulaient aussi profiter de la situation. Je me demande s’ils se sont vraiment branlés ensemble pour la première fois ou si ce n’était qu’un prétexte pour venir dans notre chambre. — Bah, à leur âge la curiosité est normale. Et ils n’ont surement jamais côtoyé d’autres gays. — À leur âge… Tu es à peine plus vieux. — Ouais, mais moi j’ai déjà une certaine expérience. — Alors ne jouis pas tout de suite comme eux. Le photographe avait maintenant entièrement dégagé du slip le sexe dressé de Koen et le caressait doucement. Gary se rapprocha et dit en riant : — Je sais aussi le français, il faudra choisir une autre langue pour vos commentaires secrets. Tu nous montres comment on suce une bite ? — Moi ? fit Séverin, étonné. Sucer Koen, je n’oserais jamais, tu ne veux pas essayer toi-même ? — Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’ai juré à Dennis de lui rester fidèle. — Je te permets, fit l’intéressé, ce n’est pas de l’amour, juste un cours d’éducation sexuelle. Fais attention à ne pas le mordre. — Il n’est pas dommage, dit le photographe, il criera si tu lui fais mal. Gary prit prudemment le gland luisant de Koen dans sa bouche. À ce moment-là, la porte de la chambre s’ouvrit. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 16-07-2023 Bonjour mon cher Daniel (@Lange128) nous voilà avec les gars dans la chambre. Koen n'attend qu'une chose c'est de pouvoir éventuellement noter dans son carnet les dimensions des bites de Gary et de Dennis. Finalement ils sont presque à égalité. Séverin à la demande de Gary va prendre des photos polaroïd. Les deux gars en profitent pour se masturber face à face. Koen a sa main dans sa culotte et se caresse. Séverin est prié de sucer Koen, mais il ne le fait pas! C'est Gary qui s'y colle en guise d'apprentissage. Merci Daniel pour cette suite. Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 16-07-2023 (16-07-2023, 06:29 PM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon cher Daniel (@Lange128) Bonsoir mon cher @Philou0033 et merci pour ton commentaire. Petit cours d’éducation sexuelle pour les deux New-Yorkais, il faut joindre l’utile à l’agréable. Toujours un côté initiatique dans mes récits. Je pense qu’ils vont encore faire d’autres découvertes, à moins qu’on les dérange puisqu’on a ouvert la porte… Je réfléchis à écrire quelque chose au sujet de ces deux personnages en dehors de la scène de sexe. Je t’embrasse. Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 08-09-2023 Chapitre 3 - La Grosse Pomme (7) Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY C’étaient Frédéric, Daniel et Dom qui rentraient du musée, chargés de livres d’art dans des sacs. Ils furent surpris en découvrant Gary qui suçait Koen, observés par Séverin, habillé, et Dennis, nu. — Oh, désolés, vous avez des invités, fit Dom. On ne vous dérange pas ? On peut aller boire un Coke et revenir plus tard. — Non, restez, fit le photographe, ces jeunes gens ne sont pas très pudiques, ils ont l’habitude de se baigner nus et ont finalement désiré des Polaroïds de leurs organes en érection. Celui qui suce Koen est Gary, un futur peintre de talent qui aimerait montrer ses œuvres à Daniel pour avoir son avis, et l’autre est Dennis, son futur avocat. — Bonjour Monsieur Daniel, fit celui-ci, je vais représenter les intérêts de mon ami puisqu’il a la bouche pleine. C’est vous le spécialiste en art, vous avez une galerie ? — Je commence seulement mes études, répondit Daniel en riant, il faudra plusieurs années pour que je décide quelle sera mon occupation définitive. — Mon ami étudiera encore à la high school pendant deux ans, mais ce serait utile d’avoir déjà des contacts, et, peut-être, un peu d’argent pour l’aider à étudier par la suite, ses parents n’auraient pas les moyens de l’inscrire dans une école d’art. — Vous pensez à tout. Je n’ai pas d’argent, à moins que… Frédéric ? — Oui, la filiale américaine de notre entreprise familiale a aussi une fondation culturelle. Mais tout cela me parait un peu prématuré. — Je ne le pense pas, dit Dennis, si nous posions les bases d’un accord maintenant, sans obligation, ce serait une situation gagnante pour tout le monde. — Vous êtes déjà un véritable avocat d’affaires, dit Frédéric. Attendons d’avoir l’avis de l’expert. Dennis prit le carton à dessins et montra les peintures à Daniel qui fut impressionné par le style en apparence naïf mais qui dénotait déjà une grande maitrise. Il expliqua à Frédéric les éléments sur lesquels il se basait, faisant référence à des tableaux vus au MoMA. Si Gary continuait dans cette voie, il avait effectivement des chances de percer. Daniel dit à son cousin : — Cela ne m’enchanterait pas de passer par les avocats américains de ta boite, si cela pouvait rester entre nous, ce serait mieux. Tu n’as pas accès aux fonds de la fondation de ton père ? — Si c’est toi qui cautionnes la demande, je pense qu’il acceptera, surtout que Gary n’en aura pas besoin tant qu’il est au lycée. C’est un investissement à long terme. — Très bien. Dennis, vous nous préparerez un projet de convention entre Gary, la fondation « Starship » et moi-même pour l’exclusivité d’achat des futures œuvres de votre ami. Je vous donnerai les détails plus tard. — Je vous le livre dès demain soir, dactylographié par ma mère avec des copies carbone. — Nous n’en demandons pas tant. Les deux cousins sortirent ensuite de la chambre pour aller pisser, ils voulaient en fait se parler seuls devant les urinoirs sans séparation. — Tu crois vraiment à ce jeune artiste ? demanda Frédéric. — Oui, mais pas à ce projet de collaboration. Je doute que s’il devient un jour célèbre il pensera à moi, mais ça vaut la peine d’essayer. Et on fera revoir la convention par les avocats de ton père, on ne va pas la signer tout de suite. — D’accord. On les invite à souper ce soir ? — Bonne idée. Pendant ce temps, Gary avait cessé de sucer Koen pour demander à Dennis : — Qu’as-tu manigancé avec les autres ? — Un projet de collaboration, dans ton intérêt, mais fais plutôt jouir Koen. Gary n’avait pas envie d’avaler le sperme, il termina donc à la main, s’intéressant particulièrement au prépuce, jusqu’à ce que Koen laissât échapper sa semence. Frédéric et Daniel étaient revenus, ils demandèrent aux jeunes s’ils étaient d’accord de manger avec eux le soir. Ceux-ci acceptèrent, désirant passer d’abord chez leurs parents les informer et se changer. Frédéric ressortit pour réserver une table par l’intermédiaire de la secrétaire de Mr. Evans, le PDG de la filiale américaine, qui lui conseilla un bon restaurant. Il restait une bonne heure à occuper. — Si on m’avait dit ce matin que je sucerais la bite non-circoncise d’un Européen aujourd’hui, fit Gary, je ne l’aurais pas cru. — Il y en a encore quatre autres à votre disposition, dit Séverin. Vous désirez faire quoi ? — J’aimerais aussi sucer quelqu’un, fit Dennis. — Qui ? — Il aimerait comparer avant de choisir, dit Gary. Frédéric, Daniel, Dom et Séverin se mirent en cercle et baissèrent leur pantalon. Dennis fut étonné du sous-vêtement de Dom : un slip rose. — Bizarre, dit-il, vous n’avez pas peur qu’on vous fasse des remarques désobligeantes ? Qu’on vous traite de pédé ? — Je suis une femme, mais ce serait trop compliqué à t’expliquer maintenant. — Mais vous avez des couilles ! — Tu peux les tâter. Et tu peux me tutoyer. Dennis passa la main sur les organes de Dom puis tira l’élastique du slip. — Tu es bien un homme, enfin non puisque tu es une femme. Je peux te sucer ? — Avec plaisir. — Mais je veux d’abord voir la bite des autres. Ils baissèrent leurs slips. Koen se leva, les rejoignit, fit des commentaires sur chaque organe en mentionnant sa mensuration en érection convertie en pouces. Dennis les observa avec intérêt puis quitta le cercle avec Dom. — Et toi, Gary, que désires-tu ? demanda Frédéric. — J’aimerais bien voir comment deux hommes font l’amour, mais je ne suis pas prêt à le faire moi-même. Je préférais le faire avec Dennis la première fois. — C’est tout à fait normal. Qui devrait te montrer ? — Pourquoi pas mes futurs bienfaiteurs si j’ai bien compris ? Vous voir baiser scellera notre accord bien plus que la paperasse de Dennis. — D’accord. Quelle position ? — Tu m’en demandes trop, celle qui est le plus facile pour la première fois. — N’oubliez pas les préservatifs, dit Koen, il faut leur montrer le bon exemple. — Oui, docteur, fit Frédéric. Les deux cousins se déshabillèrent puis se mirent sur le lit de Daniel et optèrent pour une levrette, cela leur rappela leur première fois l’année précédente, dans la nature, avant même qu’ils ne fissent avec leurs partenaires. Gary s’assit sur le lit voisin après avoir pris son carton à dessins, une feuille de papier vierge et des pastels. Frédéric était actif. Il ne restait que Séverin et Koen qui n’eurent aucune peine à se mettre d’accord : une pénétration par le photographe dans la position du bateau ivre. Tout le monde se mit au travail afin d’assurer l’éducation sexuelle des jeunes Américains. À ce moment-là, la porte de la chambre s’ouvrit. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 08-09-2023 Bonsoir mon cher Daniel (@Lange128) Très belle suite! C'est l'initiation des deux américains à l'amour entre mecs version européenne. Mais avant c'était la sucette qui était d’actualité, Koen se laissant sucer par Gary. Un mécénat pour les "œuvres picturales" de Gary sous l'impulsion de son compatriote. Attendons le repas, mais l'on entre dans la chambre! Qui ??? Merci Daniel pour cette suite! Je te souhaite un bon week-end! Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 08-09-2023 (08-09-2023, 09:05 PM)Philou0033 a écrit : Bonsoir mon cher Daniel (@Lange128) Bonsoir mon cher @Philou0033 et merci pour ton commentaire. Je ne sais pas si l’initiation aurait été différente avec des Américains, c’est surtout l’initiation en elle-même qui m’intéresse. On dit souvent que les Américains sont prudes, mais ce n’est probablement qu’en apparence. Ceux de mon récit ne le seront pas, j’aime toujours imaginer mes personnages se dénudant et ayant des relations sexuelles en groupe sans aucun complexe. On peut évidemment aussi préférer cela dans l’intimité d’un couple. C’est une personne réelle qui m’a inspiré Gary : le peintre Jean-Michel Basquiat (1960 - 1988), dont j’ai vu deux expositions dernièrement, aussi bien que pour son physique que pour ses oeuvres. Il était cependant trop jeune en 1965 pour figurer dans ce récit sous son vrai nom. J’ai imaginé que Daniel deviendra son galeriste quelques années plus tard, fonction qu’avait effectivement un Suisse, Bruno Bischofberger. Espérons que mon Gary ne mourra pas d’une surdose de drogue, mais je ne pense pas que je raconterais sa vie. Suspense éculé pour inciter à la lire la suite, je vais essayer de publier plus souvent des épisodes de ce récit maintenant que j’ai terminé « Au théâtre ce soir », mais je navigue à vue car il n’y a pas de véritable intrigue. J’ai quand même noté une dizaine d’idées que je pourrais développer. Je te souhaite un bon week-end et je t’embrasse. Daniel |