Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 12-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Phil se remet lentement avec l’aide de sa mère, puis avec l’aide de Jean qui s’inquiète aussi. Les vacances se terminent, entrecoupées de masturbations qui remontent le moral et les mâts de tente (allusion au camp scout). Jean aime bien, même s’il n’est pas gay. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 13-01-2021 (12-01-2021, 06:58 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil n'est bien. Cette attaque laisse des traces au moral. Il est temps qu'il puisse rencontrer un psy. Jean est attentif à son grand frère de même qu'à Henri. Ils sont comme des frères. Nous verrons comment cela va se passer après le retour de vacances. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire ! Je t'embrasse ! Philou Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 13-01-2021 (12-01-2021, 06:59 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Bienheureusement Phil peut compter sur sa maman et son frère Jean. Il en est de même pour Henri. Jean considère qu'Henri est également son "frère"! Le séjour se termine avec ses hauts et ses bas. Il y a aussi les séances de branlettes où Jean participe de temps en temps, bien qu'il ne soit pas gay. Les deux ados vont avoir besoin d'être suivi par un psy. Nous verrons par la suite. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - KLO7514 - 14-01-2021 Henri et Phil sont pourtant bien "accrochés" tous les deux. Mais par moments, de légers doutes apparaissent, assez normaux, en définitive : il n'y a pas très longtemps que les choses "sérieuses" existent entre eux. Pourtant, le séjour commun en cette région "occidentale" leur a permis de se souder davantage encore : tant mieux. Souhaitons-leur de continuer à se connaître encore plus profondément. Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 14-01-2021 (14-01-2021, 01:00 AM)KLO7514 link a écrit :Henri et Phil sont pourtant bien "accrochés" tous les deux. Mais par moments, de légers doutes apparaissent, assez normaux, en définitive : il n'y a pas très longtemps que les choses "sérieuses" existent entre eux. Pourtant, le séjour commun en cette région "occidentale" leur a permis de se souder davantage encore : tant mieux. Souhaitons-leur de continuer à se connaître encore plus profondément. Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Merci pour ton com ! Comme tu le soulignes, les deux garçons sont bien "accrochés" l'un à l'autre et par moment il y a encore parfois un doute qui subsiste. Ils ne se connaissent que depuis quelques semaines seulement et un séjour en Vendée. Il y a eu cette attaque qui a quelque peu bousculé les corps et les esprits. Phil se pose trop de question, il pense être responsable de ce qui est arrivé! Ils souhaitent poursuivre leur liaison pour leur plus grand bonheur. Merci KLO de suivre le récit et de laisser un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 14-01-2021 Chapitre 7. Retour Nous étions tous arrivés à la maison. Papa a alors souhaité que je vienne avec lui pour reconduire Henri chez ses parents. Je n’avais pas envie d’être directement confronté aux parents de mon ami Henri. J’étais une nouvelle fois très mal dans ma peau, je ne savais plus ce qui était important de faire ou ce qui était important de dire ou ne pas dire, j’étais perdu. Henri de son côté était un peu paniqué, il ne savait pas comment les choses allaient se passer et quelle serait la réaction de ses parents. Nous étions montés dans la voiture de Papa quand Maman a demandé de pourvoir nous accompagner également. J’étais un peu soulagé, j’étais certain que Maman trouverait les mots pour tout expliquer. Nous étions arrivés chez Henri. Nous avions gravi les escaliers pour nous présenter au second étage de l’immeuble. Un coup de sonnette et c’est Véronique, la maman d’Henri, qui avait ouvert la porte. Henri sauta dans ses bras et l’embrassa. Joseph, le papa, était un peu en retrait. Nous étions tous rentrés dans l’appartement. Les embrassades étant terminées, papa avait souhaité prendre la parole en vue d’expliquer ce qui s’était passé lors du séjour en Vendée. Papa avait commencé son récit et il était soutenu par maman. Maman apportait parfois un détail pour bien expliquer ce qui s’était passé. Joseph fronçait les sourcils et il regardait Véronique qui elle avait les yeux embués. Joseph s’était levé et s’était dirigé vers Henri, je me demandais ce qu’il allait faire à Henri, j’avais pris peur, papa l’avais vu et il s’était placé à côté de moi et près d’Henri. Puis j’avais vu Henri fondre en larme, j’étais de plus en plus mal, j’allais défaillir, mes jambes étaient en coton. Et contre toute attente, Joseph pris son fils Henri dans ses bars pour le réconforter et l’embrasser. Joseph avait la voix enrouée pour dire combien il aimait son fils. Voyant cela je me suis effondré en larme. Papa m’avait soutenu. Véronique s’était alors approchée de moi et elle était venue m’embrasser. Elle était stupéfaite de ce qui m’était arrivé et tout ce qui avait été fait pour moi et son fils Henri. Une fois que tout le monde fut un peu calmé, Henri avait dit à ses parents : Henri : « Maman, Papa, êtes vous toujours d’accord pour que je puisse continuer…à voir…Phil ? (Avec une voix chevrotante) Véro : Henri, pour moi il n’y a aucun problème, tu peux continuer à voir Phil et pour toi Phil, tu seras toujours le bienvenu chez nous. Qu’est ce que tu en pense Joseph ? Joseph : Phil et Henri, vous êtes des enfants charmants et je ne peux qu’approuver, vous vous aimez et rien n’y changera rien, alors oui, vous pouvez continuer à vous voir. Henri : Oh merci Maman, merci Papa. Moi : Merci Véronique, merci Joseph, j’avais tellement peur du contraire Véro : Non Phil, je te considère comme un de mes fils. Maman : Oui Phil, Véronique a raison. Tu sais aussi que je considère Henri comme mon fils également, vous êtes pour nous, les quatre parents, nos enfants, nos fils. » Finalement nous avions pris un verre de l’amitié. J’étais très heureux de voir comment les explications avaient été abordées. Henri était super heureux de voir la façon dont ses parents avaient pris la chose. Dans la discussion il avait été décidé que nous nous reverrions dans deux jours, pas avant, car il fallait préparer la rentrée des classes. Dans la voiture, avant de rentrer à la maison maman m’a regardé dans les yeux et elle m’a souri. J’aimais ce regard aimant et maternel. Puis en me regardant avec insistance, elle me demanda : Mama: « Dis Phil, mon chéri, je ne veux pas te froisser, je ne porte aucun jugement, ni même ton père et le reste de la famille, mais ne crois-tu pas qu’il serait, pour le moment préférable, que tu portes des couches pour aller dormir. Je sais, c’est abrupt comme proposition, mais je crois que pour toi, tu te sentirais plus à l’aise et cela évidement restera entre nous, je veux dire en famille. Moi : Maman, je…ne sais pas, tu sais que j’ai…honte quand je me fais pipi dessus, mais mettre une couche, je ne sais pas. Mam : Phil, c’est pour ton bien. Réfléchi, mais il faut qu’on sache car si tu le souhaite, nous devons en acheter ce soir car demain les magasins sont fermés. Moi : Maman, tu sais que je t’aime. Je vais tu dire que je suis d’accord, car tu as déjà assez de lessive comme ça pour que je t’en ajoute avec des draps pisseux. Mam : Oh, mon Philou, viens près de moi que je t’embrasse. Tu es un si gentil garçon. Allez, viens que je t’embrasse. » Nous nous étions enlacés. Je me devais de faire cet effort pour tout ce que mes parents faisaient pour moi. Nous étions alors allés chercher des couches adultes pour moi. Il faut bien le dire, j’étais un peu gêné lorsque dans le magasin spécialisé maman avait signalé que c’était pour moi. En rentrant à la maison, après avoir raccompagné Henri, Anne et Jean étaient venus à ma rencontre pour savoir comment cela s’était passé. Je leur avais expliqué que tout c’était passé sans problème. J’avais ajouté que nous pouvions toujours nous voir Henri et moi, que nos parents n’y voyaient aucun inconvénient. Nous avions alors dîné avec l’oncle Pierre, tous réunis autour de la table. Seul Henri manquait, mais je savais que j’allais le revoir dans deux ! Fatigué par le voyage et tout ce qui s’était passé lors de notre séjour en Vendée, j’avais demandé à maman si je pouvais aller me doucher et ensuite aller dormir. Maman m’avait dit qu’il n’y avait pas de problème, qu’elle comprenait que je sois fatigué. Puis j’avais fait un clin d’œil à maman, elle avait de suite compris. Je m’étais levé de ma place à table et prenant une bonne dose de courage, j’avais annoncé à Anne et Jean, ainsi qu’à l’oncle Pierre : Moi : « je dois vous dire quelque chose qui n’est pas facile, mais il faut que je vous le dises. Avant de revenir j’ai été avec maman et papa acheter…des couches ! Des larmes commençaient couler sur mes joues. Je n’ai plus su parler. C’est maman qui a poursuit : Mam : Oui Phil a décidé de porter des couches pour dormir, il ne veut plus se réveiller le matin avec le lit trempé. Je lui en suis extrêmement reconnaissant. C’est très difficile pour lui, alors je vous en conjure, pensez qu’il a du prendre beaucoup sur lui pour l’accepter. Papa : Je vous le dis, je ne veux aucune moquerie de votre part, c’est déjà assez difficile pour lui comme ça ! Anne s’est levée et est venue m’embrasser sur les deux joues, elle a alors ajouté : Anne : Phil, mon adoré frère, je suis de tout cœur avec toi, ne sois pas honteux, au contraire, c’est une démarche très difficile à faire et toi tu l’as faite. Je t’aime mon Philou. » Jean qui s’était lui aussi levé, s’était approché de moi. Il avait la gorge nouée, des larmes perlaient à ses paupières. Il m’a embrassé lui aussi sur les deux joues, sans rien dire. Je savais qu’il m’aimait, mon petit frère adoré ! Maman et papa furent très heureux de voir les marques d’amour qu’une sœur et qu’un frère peuvent avoir envers l’un des siens. Il n’y avait rien à ajouter. J’ai embrassé tout le monde avant de monter à la salle de bain. Une fois ma douche prise, je suis rentré dans ma chambre. J’avais ouvert le sac de couches. Je m’étais aperçu qu’il s’agissait de couche culottes faciles à enfiler. J’avais donc essayé une couche culotte, c’était facile à mettre. Puis quelqu’un avait frappé à la porte de ma chambre, je me doutais que c’était maman. Elle entrée pour voir comment je m’en étais sorti avec la couche. Impeccable ! J’avais embrassé Maman et je lui avais susurré à l’oreille : Moi : « Merci maman d’être là pour moi. Oh tu ne sais pas combien je t’aime ! Mam : Oh oui Phil, je sais combien tu m’aimes, moi aussi je t’aime et je t’aimerai toujours. Tu as déjà assez souffert comme ça. Repose-toi sur nous, sur ta famille. Tu as une sœur et un frère formidables, et Papa t’aime aussi très fort. Nous t’aimons tous ! Moi : Oui, je sais vous êtes tous formidables avec moi. Mais, j’ai peur pour Henri ! Mam : Phil, tu sais, ses parents et son frère André sont là pour lui, comme nous sommes là pour toi. Ne t’inquiète pas. Moi : Merci maman. As-tu honte de moi car je suis homo ? Mam : Pourquoi vas-tu dire ça ? Mais non, au grand jamais je n’ai eu honte de toi, ni même ton père. Tu sais que ta sœur et ton frère non plus ! Arrête d’être aussi pessimiste que ça. Moi : Tu vois Maman, j’ai peur de la rentrée des classes. Je ne sais pas ce que je vais faire. Je crois que le mieux c’est de ne rien dire. Mais pour les scouts, je ne sais pas quoi penser. Mam : Il sera encore temps d’y penser au moment même. Allez Phil, calmes-toi et dors bien. » J’avais une nouvelle fois embrassé Maman, mais je voyais qu’elle était quand même inquiète à mon sujet. Il n’avait pas fallu cinq minutes avant que je ne m’endorme. Henri quand à lui était chez lui avec sa maman et son papa. Il expliquait ce qu’il avait fait lors de son séjour en Vendée. Il avait expliqué la journée à « l’Océanile », la journée en bateau à voile, les deux journées à la Tranche sur mer, sans oublier les plages naturistes. Les soirées piscine à la villa où il aimait se baigner, en ajoutant « à poil ». Sa maman et son papa le regardaient avec malice tellement il était enjoué. Puis Henri avait abordé la terrible journée, ou plutôt la terrible fin d’après-midi, celle qui avait tout fait basculer. Henri n’avait rien omis de dire, du moins de ce qu’il avait vécu. Il expliquait ensuite ce qu’il avait retenu de ce qu’il m’était arrivé. Il n’a pas omis de dire que le grand con m’avait enfoncé un bout de bois dans le fondement. Lorsque Henri avait abordé ce passage, sa voix était enrouée, pleine de haine, pleine de compassion, pleine de larme. Arrivé au bout de ce chapitre autant désagréable, il fondait en larme. Il avait expliqué qu’il aurait voulu rester pour me défendre, mais qu’il avait eu comme instruction de quitter les lieux, de fuir. Véronique avait pris son fils Henri dans les bras et elle lui avait expliqué que c’était la seule chose à faire, c’était de quitter les lieux et d’aller chercher du secours. C’est à ce moment là qu’André était rentré à l’appartement. Il voyait son frère en pleur et ses parents à ses côtés. Son sang ne fit qu’un tour. André criait tout haut : And : « Dis Henri c’est Phil qui t’as mis dans cet état. Hen : Non, non…non. Arrête ! Véro : Arrête André, arrête, tu ne sais pas ce qui s’est passé ! And : Alors pourquoi Henri pleure t’il ? Véro : Assieds-toi, calmes-toi et écoutes moi sans broncher. » Véronique expliqua alors à André ce qui s’était passé. Une fois le récit des événements terminés, André s’était mis à pleurer. Il fulminait, il rageait sur les trois cons qui avaient osé s’en prendre à Henri et à moi. Puis il avait pris son frère Henri dans les bras pour le câliner. Une fois calmé, André avait souhaité me téléphoner, mais Véronique n’avait pas voulu. Elle lui avait dit que je viendrais dans deux jours à l’appartement pour dîner. Qu’il valait mieux me laisser récupérer. Henri expliqua que j’étais très mal, que lui ça allait, qu’il avait juste eu peur, mais il se demandait comment j’allais m’en sortir. Henri : « Maman, j’ai peur pour Phil. J’ai peur car il est si fragile sous son air de costaud ! Véro : Écoute Henri, les parents de Phil ont déjà pris les devants, ils savent bien ce qu’il faut pour Phil, leur fils. Ne t’inquiète pas pour lui. Je comprends ce que tu ressens, mais rassures-toi, il est dans de bonne main. Je vais ajouter que je suis heureuse de voir comment ils se sont également occupés de toi. Jacqueline te l’as dit, tu es comme son fils et pour moi, Phil est comme mon fils aussi. Allez calmes-toi Henri. Tu sais bien qu’on t’aime. Henri : Merci maman, mais j’ai peur pour mon cher Phil. Véro : Bon ce n’est pas tout, va prendre une bonne douche ou un bon bain, mais rassures-toi, Phil va aller mieux. Et puis il vient dans deux jours ! Henri : Merci maman. Je t’aime tu sais ! Véro : Oui mon chenapan, je t’aime aussi grand bêta. Allez oust à la salle de bain. » Re : Au camp scout (reprise Docti) - KLO7514 - 14-01-2021 "Debriefing" toujours utile : parler de ce qu'on a sur le cœur est une des meilleures façons de surmonter ce qui peut nous peser et nous empêcher d'être nous-mêmes. On dit souvent que "la parole libère" et ici nous vérifions encore cette constatation de bon sens. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 14-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Cela se passe bien chez Henri, Phil se faisait du souci pour rien. Question plus délicate avec les couches, le fait d’en porter va probablement le rassurer et il n’aura plus de soucis. C’est ce qui nous attend tous lorsque l’on sera vieux… Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 15-01-2021 (14-01-2021, 01:55 PM)KLO7514 link a écrit :"Debriefing" toujours utile : parler de ce qu'on a sur le cœur est une des meilleures façons de surmonter ce qui peut nous peser et nous empêcher d'être nous-mêmes. On dit souvent que "la parole libère" et ici nous vérifions encore cette constatation de bon sens. Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, tu fais bien de le souligner, le fait de parler de ce qu'on a vécu de traumatisant ou pas d'ailleurs, est important. Cela permet de relativiser et de se concentrer sur l'avenir, de se libérer l'esprit et de chasser les idées noires. Une fois libéré par la parole, un poids est ôté, ce qui soulage l'âme! Merci KLO de suivre le récit et de laisser un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 15-01-2021 (14-01-2021, 06:55 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement ça se passe bien chez Henri. Il est soutenu par sa famille. Bien entendu André réagit au quart de tour, mais il se rend alors compte qu'il avait tout faux. Il comprend alors l'infamie subie par son petit frère Henri et Phil. Le fait de porter des couches pour Phil est important et ça le rassure. Bien entendu il y a toujours une part de "honte", mais elle est vite oubliée si le lit reste sec. Bien entendu, avec l'âge, nous sommes susceptible d'en porter des couches. Le plus tard possible. Mdr. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 15-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Pas évident de rentrer à la maison pour Henri et de raconter ce qui s'est passé. Phil de son côté à peur de sa relation avec son chéri, il a peur qu'elle en prenne un coup. André a une réaction "normal" pour un grand frère qui veut protéger le plus petit. Il serait bien que les deux ados puissent enfin se retrouver et qu'ils oublient ce qui s'est passé. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 15-01-2021 (15-01-2021, 02:41 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Henri raconte ce qui s'est passé. Il a besoin de le dire à ses parents. André lui ne voit que son frère en pleur, d'où sa réaction. Il comprend par la suite l'horreur de ce que son frère et Phil ont vécu! Oui Phil a peur de perdre son chéri. Mais il y a toujours cette petite flamme! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse ! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 16-01-2021 Je m’étais réveillé vers les neuf heures. J’avais la couche culotte pleine de pipi. J’étais content de ne pas avoir mouillé le lit, mais j’étais déçu d’avoir pissé durant la nuit. Je m’étais rendu à la salle de bain pour y prendre une bonne douche. Je suis arrivé à la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Toute la famille était là. J’avais embrassé tout le monde. Maman m’avait regardé dans les yeux, je savais ce qu’elle voulait savoir, c’était de savoir si j’avais passé une bonne nuit dans tous les sens du terme. J’avais pris mon courage et j’avais annoncé à maman et aux autres que le lit était sec, que j’avais quand même bien dormi et que la couche culotte était pleine. Jean m’avait dit : Jean : « Écoute Phil, on s’en fout que tu pisses dans une couche, que tu pisses au lit, je n’en n’ai rien à branler. Oups, excusez-moi ! Mais on s’en fout. La seule chose que je vois c’est que mon frère que j’aime n’est pas bien et qu’il faut le soutenir. Mam : Merci Jean, je n’ai rien à dire de plus. » Je m’étais une nouvelle fois mis à pleurer. C’est Anne qui était venue me consoler. J’avais une famille formidable. Le reste de la journée s’était bien déroulée. Nous étions tous allés faire les achats pour la rentrée des classes. Classeurs, livres, crayons, compas, lattes, gommes, taille-crayons, etc. Nous avions des sacs pleins de fournitures scolaires. En rentant à la maison, nous avions tout rangé dans les cartables. J’avais ensuite proposé à Jean d’aller faire un tour à vélo. Nous avions alors enfourché nos destriers de métal pour nous balader dans le quartier et le bois avoisinant. Jean était content de faire quelque chose avec moi. Il voulait me faire plaisir et m’accompagner pour me soutenir que d’aller voir ses copains. Une fois de retour à la maison, nous avions pris un très bon goûter, maman avait fait des crêpes. Alors que nous étions à table, maman, Anne, Jean et moi, je me suis adressé à Jean en ses termes : Moi : « Jean, mon petit frère adoré, qui est presque aussi grand que moi, tu peux aller voir tes copains, je vais mieux. Occupes toi un peu de toi ! Anne : Tu sais Phil, nous ne voulions pas te laisser seul à te morfondre, nous sommes là pour toi aussi, tu es notre frère et tu sais qu’on t’aime énormément. Mam : Oui Phil, nous t’aimons tous et nous ne voulons que ton bien tu sais ! Moi : Oui maman, je sais, mais vous devez aussi penser à vous. Je ne suis pas le centre du monde ! Jean : Non Phil, tu n’es pas le centre du monde, je le sais très bien, mais aujourd’hui tu es mon centre d’intérêt, je ne veux pas te laisser seul ! Mam : Tu sais Phil, tu as une sœur et un frère du tonnerre, ils t’aiment, laisse-leur t’accompagner dans ce moment difficile. Moi : Oui, merci Anne, merci Jean, vous êtes des anges gardiens pour moi. Je vous aime très, très fort. » Je me suis une nouvelle fois effondré en larmes !!! Tant d’amour fraternel, tant de compassion, tant de réconfort, je ne pouvais pas lutter, c’était ma famille, c’était une terrible famille unie dans l’adversité et aussi pleine de bonheurs partagés. Le lendemain, nous avions rendez-vous Henri et moi au parc. Nous avions envie de faire de skate sur la piste. C’est vers 14 heures que nous nous étions retrouvés. Nous nous sommes fait la bise sur la joue, ne voulant pas choquer la moindre personne et surtout pour ne pas attirer l’attention de l’un ou l’autre homophobe qui aurait pu se trouver dans le parc. Nous avions ainsi joué jusque passé 18 heures. Je pensais que nous allions nous séparer pour rentré chacun chez soi. C’est alors que Henri avait insisté pour je passe chez lui, ses parents voulaient m’avoir pour le dîner. J’avais accompagné Henri chez lui. Véronique nous attendait. Dès que j’étais entré dans l’appartement, elle m’a embrassé et m’a serré dans ses bras. Elle voulait savoir comment j’allais ! Je lui avais dit que ça pouvait aller mais que j’avais encore des cauchemars durant la nuit. Je n’avais pas parlé des couches que je portais la nuit pour ne pas mouiller mon lit. Henri avait alors proposé de jouer un peu avant le dîner. Nous avions joué au combat naval. A un moment, alors que je jouais avec Henri dans la chambre, André avait ouvert la porte. Dès qu’il m’a vu il s’était dirigé vers moi et d’un coup il m’a soulevé de terre pour m’enlacer. Il m’embrassait sur les joues sans dire un mot. Un fois mes pieds sur le sol et l’étreinte terminée, j’avais vu des larmes sur les joues d’André. Il était ému mais il ne savait pas prononcer un mot. Il demanda à Henri, d’un mouvement de la tête, de venir près de lui. André nous avait alors pris tous les deux dans ses bras pour nous câliner. Je ne savais pas qu’André était aussi émotif que ça. J’étais rassuré et certain qu’André serait toujours présent pour nous défendre Henri et moi. André était pour moi comme un grand frère. Nous étions à table, Véronique, Joseph, André, Henri et moi. L’ambiance était au beau fixe, nous parlions de chose et d’autre. Nous n’avions pas parlé des faits qui s’étaient produit une fin d’après-midi ! Une fois le dessert terminé, André a regardé Henri, puis il m’a regardé. André pris alors la parole : And : « Henri, Phil, je vais aller chez un copain pour passer la nuit, je vous laisse donc à deux dans la chambre. Mais soyez sages mes loulous ! Véro : Mais enfin André, ils vont être sages et de toute façon ce qu’ils font ne te regarde pas ! And : Mais maman, c’était pour les charrier un petit peu ! Véro : J’aime mieux ça ! Henri : Merci grand frère, tu es super gentil. And : Oui, je sais, je suis content que tout s’arrange pour vous deux. Pas d’imprudence, c’est la seule chose que je veux vous dire. Si vous saviez combien je vous adore ! Jos : Merci André, c’est justement ce que je voulais aussi leur dire. Moi : Mais mes parents ne savent pas que je reste loger chez vous ! Véro : Avant que vous ne reveniez du parc, j’avais contacté Jacqueline, ta maman, elle est d’accord pour que tu loges chez nous ce soir. Je ne vous l’avais pas dit, c’était la surprise ! Moi : Oh, merci ! Henri : Oh merci maman, je t’aime. Véro : Bon hop, à la vaisselle mes deux chenapans ! » Nous avions donc fait la vaisselle tous ensemble. Même Joseph avait donné un coup de main pour le rangement. Une fois que tout était remis en place, et la cuisine rangée, nous avions regardé dans le salon la télévision. Je m’étais assis à côté d’Henri, sur un bout du canapé. Véronique était assise à côté de nous. Henri et moi nous nous tenions la main, nous ne voulions pas en faire plus, nous voulions montrer que nous pouvions nous tenir. Vers vingt-trois heures, une fois le film terminé, Henri et moi nous étions allés prendre une douche dans la salle de bain. Une fois lavé, nous avions regagné la chambre, nus, en passant par le hall de nuit. Joseph nous voyant nous avait dit : « On voit bien qu’ils ont bien bronzé les deux loulous, et même pas de trace blanche sur les fesses. Ils ont bien fait du naturisme ! » Henri et moi, nous nous étions mis à rire. Joseph avait lui aussi rit de bon cœur. En entrant dans la chambre j’avais dit à Henri : Moi : « Ton père est super sympa, et ta maman aussi. Elle avait tout manigancé pour que je puisse passer la nuit avec toi. Et puis André qui, pour ne pas nous déranger, a proposé d’aller dormir chez un copain, il est très gentil. Henri : Oui, ils sont supers ! Moi : Oh, Henri, je n’ai pas de ... Henri : Quoi, tu n’as pas de quoi ? Moi : Henri, je ne t’ai pas dit, mais pour la nuit…je…porte… (D’une voix chevrotante) Henri : Ah oui, tu veux dire que tu portes des couches. Moi : Oui Henri, mais je n’en ai pas ! (Les yeux embrumés) Henri : Écoute Phil, pas de soucis. Je n’en a rien à faire. Si on dort ensemble ça ne me pose pas de problème. Puis je préfère que tu pisses dans mon lit que dans celui de mon frère André ! Moi : Merci Henri. J’ai honte tu sais, j’ai honte ! Henri : Tu ne dois pas avoir honte, ça va s’arranger tôt ou tard, mais ça va s’arranger ! Moi : Merci Henri, tu es si gentil avec moi. Je t’aime, je t’aime tu sais ! » Henri s’était alors approché de moi et m’avait donné un baiser sur les lèvres. Directement je lui avais rendu son baiser. Puis nous bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées, nos lèvres s’étaient desserrées, nos langues s’étaient retrouvées, elles s’emmêlaient, nos salves se mélangeaient. Nous nous étions embrassés un bon bout de temps. Henri m’avait ensuite conduit jusqu’à son lit. Nous nous étions couchés, nus, côte à côte. Nous nous regardions dans les yeux et une nouvelle fois nous nous étions langoureusement embrassés. Nos queues s’étaient tendues, elles avaient pris de belles tailles. Nos mains caressaient le corps de l’être aimé. Nos bouches allaient sur les tétons, dans le creux du cou, sa la bouche de notre partenaire. Nous nous caressions langoureusement, calmement sans aller trop vite. Nous parcourions nos corps avec nos mains délicatement. Puis Henri me regarda dans les yeux. Il avait à nouveau son regard angélique, son regard plein de malice, rempli de cette lueur spéciale que j’avais découverte lors du camp scout. Je me retrouvais des semaines en arrière, lors de notre première nuit, dans mon sac de couchage ! J’avais souris, Henri lui avait de nouveau son sourire ravageur. Puis Henri se pencha vers mon oreille et me susurra : Henri : « Phil, tu veux bien me faire l’amour ! Moi : Oh oui Henri, je me doutais que c’est cela que tu attendais. Oui je vais t’aimer, je vais me donner à toi ! Henri : Merci, je t’aime Phil ! » Henri sortait alors de la table nuit un paquet de préservatifs. Il en prenait un et me le tendait. Je voyais cette lueur d’envie dans les yeux de mon amant. Je m’étais préparé à le combler. J’avais pris de la vaseline et lui avait préparé l’anus, gentiment. J’avais ensuite enfilé la capote et j’avais présenté mon sexe bandé entre les fesses d’Henri. J’arrivais à sa rondelle et j’avais ensuite introduit lentement et doucement mon sexe dans son anus. Puis je l’ai aimé, je l’ai possédé, nous étions heureux. Henri gémissait de jouissance. Puis n’y tenant plus j’avais éjaculé de bonheur au fond de la capote. Henri était comme sur un nuage, il n’avait pas gémi de mal, mais bien de bonheur. Henri était heureux. Après un petit moment Henri s’était adressé à moi : Henri : « Phil, je ne sais pas si pour toi, si je peux…, si je peux moi aussi t’aimer, te faire l’amour ! Moi : Oh Henri, ne t’en fait pas, moi ça va aller, je pense que tu peux me faire l’amour à ton tour. Il faut juste que tu y ailles doucement ! Henri : Merci Phil, merci mon amour, merci mon cœur, je t’aime. » J’avais aussi envie de m’offrir à Henri, je lui devais bien ça. Il était tout pour moi et il fallait que je passe le pas, il fallait que je puisse aller de l’avant, nous n’avions plus fait l’amour depuis longtemps. Je me sentais prêt malgré une certaine appréhension. Henri avait préparé mon anus délicatement, il y avait mis le temps. Il ne voulait pas me faire mal. Puis une fois le préservatif enfilé, il présenta son membre bandé au niveau de ma rondelle. Il avait attendu un moment, juste le moment pour moi de me préparer à le recevoir et aussi à évacuer tout le stress. Puis j’avais dit à mon amant : « Oui, Henri, oui vas-y, je me sens prêt. ». Henri me pénétra doucement, délicatement. Henri prenait soin de ne pas aller trop vite, il voulait faire de son mieux, il ne voulait pas me faire mal. Puis, n’ayant presque pas mal, j’avais dit à Henri d’y aller, de me posséder, de m’aimer, de me faire l’amour. Henri avait dosé son énergie, il y allait par touche de mouvements lents et rapides. J’étais moi aussi à l’unisson avec lui, je pouvais enfin avoir à nouveau du plaisir et je ne pensais plus à ce bout de bois, à cet après-midi là ! Henri a joui et nous avions crié de bonheur ensemble. Vidés, heureux, fatigués, mais ivre de bonheur nous étions restés couchés dans les bras l’un de l’autre durant une bonne demi-heure. Nous nous embrassions amoureusement en disant des « je t’aime ! » Avant de nous endormir, j’avais été une dernière fois à la toilette. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 16-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Cele me rappelle un camarade d’école qui mettait des couches aussi pendant la journée, ils les cachait sous un short pour qu’on ne les voie pas lors des cours de gymnastique. Coïncidence, il s’appelait Philippe. Pas besoin de couches pour faire l’amour, même si du liquide pourrait aussi s’écouler et faire des taches sur le drap… Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 16-01-2021 (16-01-2021, 04:53 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! J'avais aussi en primaire un garçon de ma classe qui portait des couches la nuit lors des classes de neige. Un hasard a permis à ce garçon, Thierry, de loger la même chambre que moi. De plus c'était une chambre avec seulement deux lits contrairement aux autres chambrées de six lits! Il a été rassuré quand je lui avais dit que ça m'étais arrivé de porter des couches quand j'avais huit ans et que ça avait duré environ trois mois. Il avait compris qu'aucun remarque ne serait faite le concernant. A mon avis notre institutrice savait qu'en mettant Thierry avec moi, que cela se passerait bien. Les deux ados n'ont pas besoin de couches pour s'aimer. Bien entendu il risque d'y avoir d'autres fluides sur les draps ! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement ! Très bon week-end ! Je t'embrasse Philou |