Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 11-10-2020 (11-10-2020, 08:03 PM)emmanolife link a écrit :Il y a probablement du sentiment dans la relation entre Koen et Frédéric, mais, d'après ce que j'ai lu jusqu'à présent, ils ne l'expriment pas vraiment, ça reste très factuel. Il y a des familles comme ça, où on n'exprime pas ce que l'on ressent. Il faudrait peut-être qu'ils soient confrontés à de réelles difficultés pour que leur attachement s'exprime d'une façon plus évidente. Ont-ils la vie trop facile ? C'est dans l'adversité que se révèlent la vraie nature des gens. J’accepte volontiers tous les commentaires critiques, je ne garantis pas que je vais m’améliorer après les avoir lus. Dans ma famille nous n’avons jamais été expansifs et je suis introverti, mes personnages sont à mon image. Je n’ai pas envie de confronter mes personnages à des difficultés, ce récit est plus une comédie qu’une tragédie. Je me suis quand même demandé si je ne devrais pas envoyer ensuite les deux cousins à l’armée, ce seraient quelques mois où leur vie serait moins facile, mais ce ne serait pas érotique du tout. J’avais transposé les érastes et les éromènes à notre époque dans un pays imaginaire avec un âge plus élevé. Je n’ai cependant pas changé de thème dans mon récit actuel, il s’agit toujours d’un apprentissage avec l’intervention d’hommes plus âgés, comme Urbain. Cela aurait mieux fonctionné si j’avais eu deux éromènes chez le même éraste. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 13-10-2020 Je tiens à présenter mes excuses à mes fidèles lecteurs qui me suivent depuis des années et qui connaissent mes récits par cœur, mieux que moi, car j’ai déjà utilisé certaines idées de ce chapitre 2 dans d’autres histoires. On pourrait trouver beaucoup d’autres idées que je recycle d’un récit à l’autre, mais, si vous désirez quelque chose de plus original, je pourrais vous parler des oiseaux migrateurs comme l’a suggéré emmanolife. Restons-en au recyclage pour sauver la planète et mon récit. J’ai également repris quelques paragraphes de la première mouture de février 2020 sur Doctissimo. Chapitre 2 - L’exposé de Koen (1) Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald C’était le jour où Koen devait faire son exposé sur le pénis. Frédéric et lui avaient été dispensés des activités sportives de l’après-midi, une montée jusqu’à Unterlauchbühl, pour qu’il pussent se préparer à la salle de bal. L’école était située dans un ancien hôtel et il y avait bien longtemps que personne n’avait plus dansé dans cette salle qui servait d’aula, difficile d’organiser un bal avec une école n’accueillant que des garçons. Ni Koen ni Frédéric ne savaient danser. Koen se rendit au secrétariat pour chercher les polycopiés de son exposé qu’il distribuerait aux élèves à la fin. — Bonjour Mademoiselle Kolb. Comment allez-vous ? — Bonjour Monsieur Grotelul. Très bien, et vous ? Un peu de trac, je suppose. — Même pas, je suis incollable sur le sujet et j’avais l’habitude de faire des exposés pendant les fêtes de famille. — Vous parliez déjà du pénis ? — Il y avait des jeunes enfants qui auraient pu être troublés. Je parlais plutôt de mes dernières lectures, par exemple En quoi l’homme de génie diffère-t-il de l’apôtre ?, de Søren Kierkegaard. — Ce devait être passionnant. On peut se tutoyer, Herr Professor Grotelul. J’ai ronéotypé quelques exemplaires supplémentaires. Il pourrait y avoir des invités. — Qui donc ? — Ben… moi, si tu me permets. Tu sais que je veux devenir infirmière et je dois bien connaître les organes génitaux masculins. — J’ai fait la connaissance d’une infirmière le week-end passé. Tu pourrais peut-être faire un stage chez elle, ce serait plus utile que la dactylographie. — Bonne idée, tu me donneras son adresse, mais je devrai aussi taper des rapports. Et c’est surtout pour être plus près de Laurent, j’ai le droit de dormir ici à l’école avec lui. — Tu n’es pas peureuse, seule fille avec tous ces garçons en manque. — En manque ? La plupart sont des homos et ceux qui ne le sont pas sont des onanistes inpénitents, Je suis protégée par mon cousin Franz, un ancien roi de la lutte, il en impose. Il y a aussi l’apprenti cuisinier, Stefan, qui aimerait assister à ta conférence. — Il est homosexuel ? — Je ne lui ai pas demandé, fit Vreni en riant. Et il va encore arriver quelqu’un d’autre en fin de journée, Franz m’a prié de ne pas te dire son nom. Koen et Frédéric firent une répétition générale. Frédéric assistait Koen, il projetait les photos des bouquins avec l’épiscope. Koen n’était pas satisfait à la fin de son exposé. — C’est trop théorique, dit-il. Il faudrait que je montre ensuite les organes génitaux-urinaires dans la réalité sur un volontaire. — Tu penses que c’est vraiment nécessaire, alors qu’on se voit à poil tout le temps ? — Il y aura Stefan qui n’a peut-être jamais vu de pénis autre que le sien, et je pourrais aussi expliquer ma méthode pour les examens que j’envisage de faire sur nos camarades. — Bon, si tu trouve un volontaire… — Toi, tu seras volontaire s’il n’y en a pas d’autre. Koen commença son exposé ponctuellement à 20 heures. Il avait mis un veston et une cravate, provoquant quelques ricanements parmi les élèves. Le visiteur inconnu était un homme d’une quarantaine d’années, assez maigre, des cheveux noirs coupés courts, en bras de chemise, assis au dernier rang. — Madame la Directrice, Monsieur Franz, Mademoiselle Vreni, Messieurs, chers élèves, bonsoir. Je ne vais pas vous parler de mon pays natal, je vous propose de le visiter si vous désirez le découvrir, nous avons des moulins à vent, des tulipes, des marins qui pissent dans le port d’Amsterdam, des putains et du gouda. Entre pisser et aller trouver des prostituées, il y a un point commun qui ne vous aura pas échappé et c’est de ceci dont je vais vous parler ce soir : le pénis. Frédéric alluma l’épiscope, projetant l’image d’un pénis en érection. Gros rires parmi les élèves. Franz se leva et les remit à l’ordre. — Nous sommes tous passés à l’intérieur d’un tel organe, sous la forme d’un spermatozoïde et nos descendants y passeront aussi. Il est donc primordial de bien en comprendre le fonctionnement et de l’entretenir régulièrement. Frédéric projeta une image avec un schéma des organes génitaux masculins, Koen les commenta avec beaucoup de détails. Les élèvent étaient beaucoup plus attentifs que lors des autres exposés où la moitié somnolaient. Frédéric montra ensuite un deuxième schéma où le pénis était en érection, ce qui provoqua à nouveau des rires et l’intervention de Franz. Koen expliqua les mécanismes de l’excitation sexuelle. Ensuite, ce fut un tableau avec la taille des pénis des élèves, au repos et en érection. Koen avait omis de mettre les noms, pour des raisons évidentes de discrétion. Il expliqua quels calculs il avait fait pour obtenir la taille médiane, il ne voulait cependant pas donner le résultat car les mesures n’étaient que des estimations et il n’avait pas vu le pénis de tout le monde en érection. Ses auditeurs furent déçus, mais au moins personne n’eut des complexes d’être en-dessous de la moyenne. Koen interrompit son exposé et demanda s’il y avait des questions. Le visiteur leva la main et se leva : — Je me présente, Prof. Dr. Med. Friedrich Wilhelm Schirrmacher, plus connu sous mon nom d’auteur, Prof. Dr. Latte. Herr Grotelul, les mesures des pénis en érection, bien qu’incomplètes, sont fort intéressantes. Comment avez-vous fait pour les obtenir ? — Herr Prof. Dr. Med. Schirrmacher, je suis très honoré de votre présence à ma présentation et c’est bien volontiers que je réponds à votre question. Lors d’une excursion il y a dix jours, nous avons fait un exercice en nous lavant dans une fontaine : il consistait à déterminer si des serviettes de toilette tenaient sur un pénis en érection. Je précise que tous les élèves présents ont passé le test avec succès. — C’est normal, vous êtes jeunes. C’est assez original, je n’y avais jamais pensé. Il faudra que je fasse un essai avec mes étudiants. — Les étudiants participent-ils à vos recherches ? — Oui, nous manquons de volontaires externes à l’université. D’habitude, les jeunes de votre âge comparent la longueur de leur pénis en érection lors de masturbations collectives et cela m’étonnerait que vous ne l’ayez pas fait. — Vous avez raison, Herr Prof. Dr. Med. Schirrmacher, nous l’avons aussi fait, mais il y avait moins de monde, certains avaient préféré se coucher. — Vous pouvez m’appeler Prof. Dr. Latte, comme tout le monde. Herr Grotelul, envisagez-vous de poursuivre cette étude ? — J’allais y venir, s’il n’y a pas d’autres questions. Koen se versa un verre d’eau d’une carafe posée sur le pupitre, puis poursuivit : — J’aimerais vous expliquer en quoi consistera mon étude, mais pour cela il me faudrait un volontaire qui accepte de nous montrer ses organes génitaux. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 14-10-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Voilà enfin Koen qui présente son exposé aux élèves, aux différentes personnes de l'école qui sont intéressées par le sujet et une personne "invitée". Le sujet étant "le Pénis"! On suit l'exposé et enfin l'invité n'est autre qu'un professeur ayant déjà écrit des revues sur différents sujet et sur le pénis, entre autre. Nous allons savoir dans la prochaine suite si quelqu'un osera montrer ses organes génitaux devant toute l'assemble pour la fin de l'exposé de Koen. Sera-ce Frédéric? Il me tarde de lire la suite. Je t'embrasse ! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-10-2020 (14-10-2020, 09:33 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Koen peut enfin faire son exposé avec le professeur Latte (érection) en invité surprise. Koen va certainement bien s’entendre avec lui. Un nouveau personnage qui permettra à Koen et Frédéric d’agrandir le cercle de leurs relations et de ne pas rester tout le temps dans leur école. On verra qui ose montrer ses organes génitaux, les paris sont ouverts. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 14-10-2020 On voit que l'histoire se passe en Suisse. D'abord la conférence se tient dans un aula (j'ai dû chercher le mot que je n'avais jamais vu). Ensuite, les réaction des élèves sont très calmes et sérieuses : je crois que si on nous avait proposé un tel sujet, du temps où j'étais étudiant à Paris, il y aurait eu un chahut général, des rires, des huées, des hourrahs, des tapements de pied, des sifflements, des cris, des chansons, toutes sortes de manifestations bruyantes qui auraient empêché l'orateur de continuer dans la sérénité. Merci, L'Ange. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-10-2020 (14-10-2020, 10:30 AM)emmanolife link a écrit :On voit que l'histoire se passe en Suisse. D'abord la conférence se tient dans un aula (j'ai dû chercher le mot que je n'avais jamais vu). Ensuite, les réaction des élèves sont très calmes et sérieuses : je crois que si on nous avait proposé un tel sujet, du temps où j'étais étudiant à Paris, il y aurait eu un chahut général, des rires, des huées, des hourrahs, des tapements de pied, des sifflements, des cris, des chansons, toutes sortes de manifestations bruyantes qui auraient empêché l'orateur de continuer dans la sérénité. Merci [member=67]emmanolife[/member]. Aula est effectivement un helvétisme, je n’en étais pas sûr et j’ai contrôlé, mais je l’ai laissé car on pouvait deviner le sens en fonction du contexte. J’ai eu un cours d’éducation sexuelle, tous les élèves étaient très calmes et intéressés, il n’y avait évidemment pas de déshabillage d’un élève. Dans cette école la nudité était courante, cela ne devait plus étonner personne, ailleurs cela aurait provoqué un scandale. C’est un fantasme qui est toutefois basé sur une émission de télévision anglaise où il y avait des filles et des garçons qui se dénudaient entièrement devant le public, ils étaient probablement payés pour le faire et ce n’étaient pas des volontaires. J’utiliserai encore une autre idée qu’on peut trouver en vidéo. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 15-10-2020 Holala, la aula (magna) est connue en Belgique aussi. Bien que le terme soit plus ciblé sur l’historique du palais du Coudenberg à Bruxelles et, de nos jours, lié à un haut lieu culturel dont c’est le nom à Louvain-la-Neuve. Mais je n'ai -hélas- jamais eu ce genre d'exposé pendant mes années d'étude... j'ai dû apprendre sur le "tas" ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 15-10-2020 (15-10-2020, 05:26 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Holala, la aula (magna) est connue en Belgique aussi. Bien que le terme soit plus ciblé sur l’historique du palais du Coudenberg à Bruxelles et, de nos jours, lié à un haut lieu culturel dont c’est le nom à Louvain-la-Neuve. Mais je n'ai -hélas- jamais eu ce genre d'exposé pendant mes années d'étude... j'ai dû apprendre sur le "tas" ! Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member] pour ces précisions concernant l’aula. Je pense que tu n’es pas le seul et qu’aucun de mes lecteurs n’a malheureusement eu ce genre d’exposé, mais les élèves de l’école n’ont pas non plus attendu Koen pour apprendre sur le tas. J’étais aussi un autodidacte pour découvrir les fonctions des organes génitaux. Je me rappelle avoir épaté mes parents en utilisant le mot « verge » au lieu d’un nom plus enfantin. J’avais cherché dans le dictionnaire « circoncision », ce qui m’avait conduit au « prépuce », puis au « gland » et à la « verge ». Cet organe m'intéressait déjà beaucoup dans mon enfance. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 16-10-2020 Chapitre 2 - L’exposé de Koen (2) Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald La directrice préféra sortir et s’excusa, elle devait encore corriger des copies. Aucun étudiant ne manifesta de l’intérêt pour répondre à la demande de Koen. Frédéric allait se porter volontaire lorsque l’apprenti cuisinier, Stefan, qui était assis au premier rang, leva timidement la main en disant : — Je pourrais aussi participer, Monsieur ? Je ne suis pas un élève de l’école. — Bien sûr, fit Koen, avec plaisir, la seule condition est d’avoir des organes génitaux masculins. Stefan se leva et monta sur l’estrade sur laquelle se trouvait Koen, l’assemblée applaudit pour l’encourager. Il n’était pas très grand, il avait les cheveux bruns foncé, presque noirs, en frange sur le front, il était vêtu de sa veste blanche de cuisinier et de pantalons gris. Frédéric remarqua que ses initiales SK étaient brodées sur la poche. — Afin d’avoir une vision complète d’une population donnée, expliqua Koen, j’aimerais établir une fiche pour chacun d’entre vous. Je pourrais vous rencontrer séparément, dans un endroit plus discret que cette salle. Je vais vous monter comment pourrait se dérouler cette rencontre afin de vous motiver. Frédéric sera mon assistant. Comment vous appelez-vous, Monsieur ? — Stefan Kaiser. — Votre date de naissance ? — Le 12 mars 1946. — Ce sera plus pratique d’enlever votre veste, Frédéric la prendra pour la mettre sur une chaise. Stefan obéit, il avait mis un tee-shirt gris sous sa veste. — Dois-je aussi enlever mes pantalons ? demanda-t-il. — Vous pouvez seulement les baisser. Lors d’examens ultérieurs je préférerais la nudité, mais je ne veux pas vous brusquer car vous n’avez pas l’habitude d’être à poil comme les élèves de l’école. L’apprenti cuisinier avait un slip blanc classique. Il le baissa aussi spontanément jusqu’aux mollets, déclenchant quelques rires dans la salle. Ses organes génitaux n’étaient pas très gros, mais bien proportionnés avec le reste du corps. Son pénis semblait déjà un peu tendu, le gland était découvert. Les testicules pendaient. Il remonta son tee-shirt, dégageant son nombril et son ventre svelte. — Vous n’avez pas une toison pubienne très fournie, observa Koen. Vous rasez-vous ? — Oui, en été il fait chaud dans les cuisines, je trouve plus agréable et hygiénique. — Tu notes tout ? demanda Koen en se tournant vers son ami. — Ja, Herr Professor. Frédéric pensa que Koen le prenait pour son larbin. — Vous le faites avec un rasoir ? continua Koen. — C’est mon frère qui s’en charge, il est apprenti coiffeur. Koen voulut demander à Stefan s’il se branlait avec son frère, mais il se retint. Le professeur n’aurait pas trouvé cette question pertinente pour une étude scientifique. Il prit le pénis dans sa main et examina le gland. — Je vois que vous êtes circoncis. C’était pour quelle raison ? — C’est plus hygiénique, j’habite dans une ferme qui n’a pas de salle de bain. On ne se lave pas tous les jours et c’est dans une bassine à la cuisine. Frédéric repensa à la ferme d’alpage où ils s’étaient lavés dans la fontaine et à Peter qui fabriquait du fromage et qui chantait. Les apprentis de cette région étaient décidément très charmants. — Puis-je vous demander si vous avez déjà eu des éjaculations ? questionna Koen. — Ça m’arrive, oui, répondit Stefan en riant. Les fils de paysans de montagne ne sont pas complètement demeurés, on sait comment on fait des enfants très tôt. Koen n’osa pas lui demander s’il était puceau, cela aurait été gênant de l’avouer en public. Il expliqua à nouveau où se trouvaient les différentes parties du pénis en les montrant, puis il sortit un mètre de couturière de sa poche et mesura la longueur et la circonférence du membre. — Quelles dimensions ? demanda Torsten, provoquant quelques rires. — Je préfère garder cette information pour moi, répondit Koen. Avez-vous d’autres questions ? — On peut aussi le voir bander ? ajouta Torsten, provoquant encore plus de rires. Franz intervint pour rétablir le calme. — Je rappelle que Monsieur Kaiser n’est pas un élève et qu’il ne doit pas effectuer les exercices masturbatoires vespéraux. Ce sera seulement s’il le désire, sinon Monsieur Torsten le remplacera. Stefan prit les devants, caressa sa hampe et banda rapidement, l’assistance applaudit à nouveau. Koen en profita pour mesurer le membre dressé, il sortit un préservatif de sa poche et montra comment le dérouler en rappelant l’importance de se protéger et d’éviter des grossesses indésirables. Koen aurait encore voulu demander à Stefan quelle orientation sexuelle il avait et bien sûr évaluer l’intensité de son orgasme. Il renonça, il ne voulait pas humilier davantage l’apprenti cuisinier qui ne semblait pourtant pas trop gêné de s’exhiber. Koen se dit qu’il devait y avoir pas mal de promiscuité dans la ferme où il vivait, pas étonnant si tout le monde se lavait à la cuisine. — Je vous remercie, dit Koen à Stefan, ce sera tout pour moi, à moins que quelqu’un ait encore des questions. Koen enleva le préservatif et le tendit à Frédéric. Le professeur Latte se leva et vint sur l’estrade. — L’exposé de Herr Grotelul était remarquable, je lui prédis un brillant avenir. — Merci beaucoup, Herr Prof. Dr. Latte. — Je vais maintenant encore vous expliquer comment on doit tâter les testicules pour détecter des néoplasies, autrement dit des excroissances que pourrait provoquer une grave maladie. Faites-le au moins une fois par mois. Le professeur mit des gants de latex, demanda à Stefan de soulever son pénis qui débanda. Il tâta les testicules sans ménagement en expliquant comment le faire. Koen demanda : — Désirez-vous encore lui examiner la prostate, Herr Prof. Dr. Latte ? — Ce n’est pas nécessaire à votre âge, mais si ça vous fait plaisir et si Herr Kaiser est d’accord. — Ce n’est pas pour le plaisir, je voudrais juste voir votre méthode, je pourrais ainsi m’entraîner. — Avez-vous un sujet pour vous entraîner ? — Mon ami Frédéric. Stefan indiqua qu’il était d’accord, il était un peu hypocondriaque et voulait s’assurer qu’il n’eût pas de maladie. Le professeur lui demanda de se pencher en avant, les mains sur une chaise et les fesses face au public, puis mis son doigt dans le rectum après l’avoir enduit de gel lubrifiant. Koen trouva que c’était trop rapide. Frédéric pensa que le Dr. Latte avait prévu à l’avance de faire cette démonstration puisqu’il avait pris du matériel. Il eut pitié de Stefan qui avait pris sa place et lui avait évité d’exhiber son fondement. — Très bien, dit le professeur en enlevant ses gants et en les tendant à Frédéric, vous pouvez vous rhabiller. Vous êtes en parfaire santé Herr Kaiser, je vous demanderais de rester un moment vers moi, je dois vous parler. Stefan se demanda ce que le professeur allait lui dire. Il était rassuré d’être en bonne santé. Le Dr. Latte s’adressa aux autres élèves : — Maintenant je vous prie de monter sur l’estrade l’un après l’autre et de tâter vos testicules, je vais regarder si vous le faites correctement. Comme je l’ai dit, c’est très important pour détecter toute anomalie. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 16-10-2020 L'exposé de Koen se termine sans devoir utiliser l'anatomie de Frédéric. Un marmiton qui expose sa saucisse et ses rognons… quoi de plus normal ! Le docteur Latte est : très professionnel, coquin, ou les deux !? la suite nous en dira un peu plus. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 16-10-2020 (16-10-2020, 07:50 PM)fablelionsilencieux link a écrit :L'exposé de Koen se termine sans devoir utiliser l'anatomie de Frédéric. Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member]. Il faut aussi penser à la cuisine du terroir, l’occasion pour Frédéric et Koen d’aller à la rencontre de personnes venant de milieux moins favorisés, mais tout aussi talentueux qu’eux. En fait je ne sais pas si Frédéric a beaucoup de talents, à part d’être un fils à papa. On en apprendra un peu plus sur le docteur Latte et le motif de sa visite dans cette école, mais je n’ai pas encore répondu à la question que tu poses, même si l’on peut imaginer qu’il préfère examiner les garçons, sinon il serait dans un pensionnat de jeunes filles (j’avais cependant imaginé un cours d’éducation sexuelle dans un tel pensionnat, preuve que je recycle les idées). Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 22-10-2020 Chapitre 2 - L’exposé de Koen (3) Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Les élèves ne réagirent pas à la demande du Prof. Dr. Latte, personne ne se leva. Vreni dit à son ami Laurent assis à côté d’elle : — Tu n’as pas compris ou tu fais semblant ? Le professeur voudrait voir si tu sais tâter tes testicules pour détecter des anomalies, comme il l’a montré avec Stefan. — Je pensais que c’était toi qui me le ferais, répondit Laurent en riant, et que tu masserais ma prostate. — Tu dois aussi prendre en main ta santé, vas-y, montre l’exemple. Laurent se leva en soupirant, ça lui rappelait des mauvais souvenirs, lorsqu’il avait bandé chez le médecin pendant la visite du premier jour, il espérait que cela ne se reproduirait plus depuis qu’il faisait l’amour tous les soirs avec sa compagne. Il monta donc sur l’estrade sous les applaudissements, baissa son pantalon et son slip, puis prit ses testicules dans sa main. Le Dr. Latte le corrigea, lui indiquant d’être un peu plus énergique. Koen avait sorti son carnet de sa poche et prenait des notes, c’était pour lui une occasion inespérée de compléter ses observations. Le professeur fut satisfait des manipulations de Laurent et appela le suivant. Koen regretta que le Prof. Latte n’eût pas demandé au Belge une érection car il savait bien que tous n’accepteraient pas sa proposition d’une rencontre particulière qui permettrait des investigations plus poussées, mais il devait se rendre à l’évidence que ce n’était pas très bandant de se tâter les couilles. Franz prit les choses en main et décida dans quel ordre les élèves passeraient vers le professeur. Il voulait aussi s’assurer que personne ne se défilerait. Le deuxième fut Roberto, un Italien noiraud aux cheveux longs, toujours très élégant avec ses caleçons blancs au fines rayures bleues. Il était hétérosexuel, mais s’était branlé avec les autres devant le chalet d’alpage. Hiroshi, le Japonais énigmatique, fit une profonde courbette devant le professeur avant de dévoiler son fundoshi noir qu’il dénoua pour exposer ses grosses couilles. Il semblait assez sûr de lui, Frédéric pensa qu’on lui avait déjà appris à le faire. Hiroshi n’avait jamais dit s’il était homosexuel ou pas, il s’était pourtant masturbé avec les autres. Matthis, l’Alsacien, n’était certainement pas homosexuel puisqu’il n’avait pas fait l’excursion afin d’aller rendre visite à la prostituée Gertrud. Il avait un gros pénis que Koen n’avait malheureusement jamais vu en érection et il ne le vit pas non plus ce soir-là. Laertes, un Anglais, avait avoué qu’il était gay. Koen était toujours étonné de voir son pubis de la même couleur rousse que ses cheveux. Il avait des sous-vêtements blancs faits sur mesure par son tailleur, un certain Mr. Rich, fournisseur officiel de la famille royale. Il banda pour faire plaisir à Koen, son pénis n’était pas très long. Torsten, un Suédois dont Koen et Frédéric ne savaient pas grand-chose, sinon que c’était un danseur au corps maigre et musclé. Il avait un pénis assez gros pour qu’on en devinât les formes sous son costume, cela devait réveiller les spectateurs. Suivit Theo, l’Islandais, le seul que Koen avait pu étudier sous toutes les coutures et qui avait la plus grosse queue de tous les élèves, au repos comme en érection. Il avait mis un jockstrap comme d’habitude, ce qui intrigua beaucoup Stefan qui n’en avait jamais vu. Philippe, un Parisien, avec un slip blanc trop petit et qui laissait échapper des poils noirs. Il n’avait pas fait la marche, il devait terminer une nouvelle pour un concours. Frédéric lui avait demandé ce qu’il écrivait, Philippe avait été gêné et avait fini par avouer que c’était un récit érotique, il avait montré un manuscrit, une histoire de jeunes hommes. Kenneth était Écossais, il mettait des kilts et n’avait eu qu’à le remonter pour exhiber son pénis circoncis et ses grosses couilles, c’est Koen qui avait tenu le vêtement pendant que Kenneth suivait les instructions du professeur. Frédéric y passa ensuite, aucune surprise pour Koen qui rangea son carnet, puis remercia le professeur. — Merci Herr Prof. Dr. Latte, c’était passionnant. Je proposerais de faire la même chose avec les élèves qui commenceront à la rentrée. J’ai bien compris la méthode et je pourrais leur expliquer. — Je n’en doute pas, Herr Grotelul, mais il me semble que je n’ai pas encore vu comment vous appliquez la méthode. Rires dans la salle, Torsten s’exclama : — À poil Koen ! — Vous pensez que c’est vraiment nécessaire ? demanda le Néerlandais. — Comme je vous l’ai dit, fit le professeur, je demande à mes étudiants de participer à mes recherches sur l’orgasme. Si vous voulez faire un stage à l’université de Heidelberg, il faudra accepter de me montrer votre pénis. — Je pourrais faire un stage dans votre université ? — Avec plaisir, quand vous voudrez. Vous pourrez même venir avec votre assistant. — Dans ce cas… Koen baissa son pantalon et son slip bleu. Après avoir constaté sans surprise que Koen exécutait parfaitement les palpations, le professeur lui demanda s’il pourrait l’examiner lui-même. Koen acquiesça. Les gestes du Dr. Latte n’étaient pas aussi sensuels que ceux d’Urbain, mais il réussit quand même à le faire bander, suscitant quelques remarques dans l’assistance. Le professeur dit que c’était un signe de bonne santé, qu’il n’y avait aucune honte à avoir et qu’ils devraient intégrer cet exercice à leur gymnastique matinale. Franz trouva l’idée excellente et se promit de l’ajouter au programme. L’exposé de Koen se termina ainsi. Vreni distribua les polycopiés et Franz envoya tout ce petit monde faire les activités en chambre en leur disant qu’ils devaient être suffisamment excités pour se branler. Le professeur demanda à Koen, Frédéric et Stefan où ils pourraient s’installer pour discuter. Le cuisinier leur proposa la cuisine, il avait un reste de tarte aux pommes. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 23-10-2020 Un beau panel de quequettes que voilà ! La perspective d’un stage met également Koen au beau fixe. À présent on attend une part de tarte et ce qu’il sortira de leur passage en cuisine… Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-10-2020 (23-10-2020, 12:56 AM)fablelionsilencieux link a écrit :Un beau panel de quequettes que voilà ! Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member]. Mon idée serait de raconter la vie de chacune de ces quéquettes et de leurs propriétaires, par l’intermédiaire de Koen et Frédéric, un genre de galerie de portraits. Je viens d’acquérir le livre d’une artiste qui a photographié les pénis de 100 hommes de tous âges, belle collection, chacun des hommes a aussi parlé de sa sexualité et de sa vie. C’est évidemment moins jouissif que mes récits puisque ces hommes ont été confrontés à des difficultés. Les textes sont en anglais. Référence : Manhood: The Bare Reality, de Laura Dodsworth Le passage en cuisine sera plus pour mettre en place la suite de l’histoire et je ne pensais exceptionnellement pas évoquer de quéquettes, mais je viens d’avoir une nouvelle idée… Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 23-10-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Une nouvelle fois, une belle suite ! Koen est bien placé pour voir tous les pénis de ses camarades. Il prend des notes dans son carnet. Il découvre certain attribut dont il ignorait la grosseur, tant au niveau valseuses et qu'au niveau pénien. Finalement le professeur Latte demande à Koen de procéder comme ses camarades. Après une petite conversation il s'exécute et fini même par bander. Je ne sais pas si le Philippe est une allusion au Philou que rédige ce commentaire, si c'est le cas: MERCI! Je t'embrasse! Philou |