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Job d'été - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Job d'été (/showthread.php?tid=143) |
Re : Job d'été - lelivredejeremie - 08-03-2022 Eliot se verrait bien profiter de sa présence dans l'appart de Rudy pour passer quelques niveaux, mais ce n'est pas si bizarre que la tension soit retombée, les reproches de Stéphane, puis le trajet en bus qui ne permet pas vraiment de lui faire retrouver son niveau de dans les douches... :-\ Re : Job d'été - Bouffondelalune - 10-03-2022 Bonjour [member=4575]Titanic50[/member] Depuis que les deux garçons se sont faits prendre par Stéphane, il y a comme un froid entre eux. L’ambiance a changé. Rudy semble nettement plus froid. Eliot prend sa douche, il est face au décors qu'il a vu sur instagram, soit le lieu choisi par Rudy pour faire quelques photos de lui. Va-t-il y avoir un nouveau rapprochement entre eux? Bouffon Re : Re : Job d'été - stuka132 - 11-03-2022 (08-03-2022, 12:17 AM)lelivredejeremie link a écrit :Eliot se verrait bien profiter de sa présence dans l'appart de Rudy pour passer quelques niveaux, mais ce n'est pas si bizarre que la tension soit retombée, les reproches de Stéphane, puis le trajet en bus qui ne permet pas vraiment de lui faire retrouver son niveau de dans les douches... :-\ sans parler de l odeur de transpi apres 8h de boulots..... Re : Re : Re : Job d'été - lelivredejeremie - 13-03-2022 (11-03-2022, 06:14 PM)stuka132 link a écrit :sans parler de l odeur de transpi apres 8h de boulots.....Rédhibitoire, j'admets... ??? RE: Job d'été - Titanic50 - 19-05-2025 Épisode 20 Ce fut à ce moment que Rudy entra dans la salle de bain avec une serviette propre dans les bras. Surpris de me voir avec une de ses protections à la main, il resta immobile. Il me regarda entièrement en s’attardant un peu plus sur mon sous vêtement. Il ferma les robinets de la baignoire car l’eau avait atteint un niveau correct. L’eau fumait beaucoup. Elle devait être brûlante. Il s’approcha de moi et il posa la serviette à côté du lavabo. À nouveau il tourna la tête vers moi. Il s’avança encore plus et m’enlaça. Nos têtes étaient si proches l’une de l’autre que je sentais son souffle chaud contre mon visage. Mon cœur cognait de plus en plus fort. Je perçus une tension sexuelle s’installer entre nous. Ne pouvant pas attendre plus longtemps, je vins l’embrasser une première fois timidement puis, hâtivement, une seconde fois plus intensément. Très rapidement nos bouches s’ouvrirent et nos langues s’entremêlèrent. La sensation qu’il me procurait était exquise. Mais un peu en deçà de ce que j’avais vécu au travail. Sûrement car ses vêtements formaient une barrière entre nous qui m’empêchaient de ressentir sa peau douce et chaude. Je glissai mes mains sous son T-shirt pour venir lui caresser le dos. Il voulut se reculer, mais je l’en empêchai avec mes bras qui l’entouraient. Constatant que je ne le lâchais plus, il s’empressa de retirer son haut qu’il jeta dans la pièce et il reprit notre embrassade encore plus vivement. Comme si le fait que je le retinsse l’avait excité. Lui aussi me caressait le dos. Une de ses mains venait même caresser une de mes fesses par-dessus mon boxer. J’aimais ça et mon sexe me le prouvait. Il était si rigide que le peu de mouvements contre Rudy me faisait le décalotter. N’interrompant sans aucune manière notre étreinte, mes doigts se mirent à explorer le postérieur de Rudy. Ne me comblant pas totalement, je décidai de lui retirer son bermuda. Je me cambrai en arrière afin de faciliter l’accès à son bouton de ceinture. Je l’ouvris puis j’abaissai sa braguette délicatement et son vêtement chuta à ses pieds. Je me recollai contre lui et je percevais son sexe dur contre le mien. Sans que je m’y attende, Rudy passa une main sous mon dernier tissu et il massa une de mes fesses. Cette surprise cumulée à son toucher divin fit bondir mon pénis qui provoqua sa sortie d’un tiers de son corps en dehors de mon boxer. Mon gland était venu se loger à côté du nombril de mon amant. Je sentis que cette zone s’humidifiait à cause du liquide pré-séminal que j’y déposais. Nous étions tous les deux surexcités par la situation et aucun de nous ne voulait interrompre ce plaisir nouveau. Bien au contraire. Nos respirations étaient vives et profondes. À de rares occasions, Rudy émettait un léger gémissement voluptueux. Pour rien au monde, je ne voulais vivre autre chose que le moment présent. Mon partenaire se détacha de moi. Il me fit reculer contre la porte. Il baissa ses yeux sur mon sexe qui dépassait de mon sous vêtement. Étant jaloux qu’il puisse voir mon anatomie et pas moi, je retirai son boxer sans prévenir. Son pénis se libéra dans un mouvement brutal et il vint claquer contre son bas ventre. Il était magnifique et j’avais envie de toucher ses parties les plus intimes. Je débutai par caresser ses testicules. Il devait apprécier, car je sentais sa queue tressauter. Réussir à lui faire plaisir renforça également le mien. Il se plaqua contre moi pour m’embrasser de nouveau sans s’interrompre. En même temps que je massais délicatement ses bourses douces, ses mains firent glisser mon boxer à terre. Nous étions enfin nus tous les deux, seuls et profitant de cet instant charnel jouissif. Rudy était très excité. Il réalisait des oscillations avec son bassin entraînant nos verges l’une contre l’autre à faire des aller retours de haut en bas. La chaleur de nos corps et notre libido élevées déposèrent une fine pellicule humide sur nos peaux, facilitant les frottements entre nous. À chaque pression contre moi, Rudy étirait mon prépuce semblablement à une masturbation. Mes deux mains se positionnèrent contre ses fesses pour lui faire comprendre de poursuivre son action car j’aimais ce qu’il faisait. Sa respiration et son bassin accrurent leur rythme. À ce stade, je ne contrôlais plus rien : j’étais entièrement dévoué à Rudy et aux sensations qu’il me procurait. Même si je ne voyais pas son pénis, je le sentais bien coulisser contre moi. Je me le représentais dans mon imagination, moite et son gland complètement découvert. Nos mouilles fusionnantes venaient lubrifier naturellement nos chibres. Quelle magnifique illustration de ce qui passait réellement entre nous ! Je cessai un instant notre baisser pour retrouver un peu de souffle. Rudy n’interrompit pas ses frottements contre moi. Nous nous regardâmes quelques secondes, puis il remit sa langue dans ma bouche après avoir constaté qu’il me faisait beaucoup de bien. Mes poumons avaient de plus en plus de mal à trouver l’air et ma respiration s’accéléra encore d’un cran. Je commençai à gémir discrètement. Rudy accéléra encore ces gestes de friction. Je ne pouvais plus me retenir et dans un râle de plaisir, j’expulsai le fruit de notre ébat sur nos bas ventres comprimés. Mon dernier jet n’était pas encore sorti lorsque mon amant gémit intensément en libérant sa semence en même temps que moi. Je ressentais chaque expulsion de son sperme sur mon ventre. Il était chaud et visqueux. Il se mélangeait au mien et ils coulèrent le long de nos sexes distendus. Nous arrêtâmes enfin notre baiser. Nous rigolions satisfaits de notre jouissance. Pour ma part, satisfait était un faible mot. J’étais comblé. Je n’avais aucun regret bien au contraire. Rudy a su me faire monter au septième ciel et il m’a fait éprouver des sensations que je pensais inaccessibles. Mon partenaire fit un pas en arrière. En reculant, nos ventres se décollèrent. Ils étaient luisants et recouverts d’éjaculat. Nos sexes n’étaient plus bandés mais ils étaient encore d’une taille supérieure à la normale et recouverts d’une pellicule blanchâtre. Le gland de Rudy était encore à l’air libre, rouge et luisant tandis que mon prépuce avait déjà commencé à recouvrir ma couronne. - T’as bien aimé ? me demanda-t-il. - Plus que ça encore. C’était… waouh ! Tu sais que c’est la première fois que je fais des choses avec un homme. Et je ne regrette pas que ça soit avec toi. Les joues de Rudy rougirent. - Je suis content. Même si ce n’était pas ma première fois, je n’ai jamais eu autant de complicité. C’était comme si j’avais fusionné avec toi, m’avoua-t-il. On s’embrassa spontanément de manière lascive, partageant une nouvelle fois la viscosité de nos corps. Ce fut bref mais tendre. - Cette fois-ci, je crois que j’ai bien mérité ma douche, annonçais-je. - Je crois aussi. Tenez, le bain de monsieur est prêt, me dit-il en dirigeant sa main vers la baignoire. Sans me faire prier davantage, je plongeai mes pieds dans l’eau. Elle était encore bien chaude et je mis quelques instants avant de m’y allonger complètement. Avec mes mains, je retirai le liquide blanc de mon ventre. Rudy était là à me contempler puis il s’approcha de moi. Sans un mot, il monta dans la baignoire. Il se tenait debout, dos à moi, ce qui me permis de contempler ses fesses musclées. Elles étaient rondes mais pas trop, assez fermes… bref elles étaient parfaites. Il s’assit entre mes jambes et il s’allongea contre mon buste, sa tête venant se loger sous mon menton. - Ça ne te gêne pas que je m’incruste ? - Non. Au contraire. RE: Job d'été - bech - 19-05-2025 Un Titanic qui remonte à la surface. Tu avais publié tes chapitres à un moment où j'étais peu disponible et je n'avais commenté qu'une fois. Je ne me souvenais pas vraiment de ce récit que pourtant j'avais répertorié dans Récits de la rubrique Gay. Je l'ai relu entièrement. Pour ce qui est de filmer une palette terminée, j'avais pensé prendre une photo pour l'enregistrer en associant un code barre ou quelque-chose comme ça. Il s'agirait juste de la recouvrir de plastique transparent. C'est finalement fou le nombre de cas d'homonymie qu'on peut trouver dans des langues autres que l'esperanto. Beaucoup de commentateurs ont souligné des coquille orthographiques. Moi pour ma part, j'ai remarqué quelques terminaisons en e pour des mots au masculin. Ça m'a rappelé quand à l'école primaire l'institutrice (ou l'instituteur) avait parlé des e muets. Je n'avais pas compris de quoi il s'agissait vu que dans ma région, ils se prononcent comme les autres. Donc en côtoyant Rudy, Eliot découvre son homosexualité (ou au moins sa bisexualité). Ça le rend hésitant, mais c'est finalement Rudy qui, au moment de la douche fait le premier pas en y allant carrément d'un bisou sur la bouche. Mais le bruit de leur chute alerte le patron et du coup, c'est chez Rudy qu'Eliot pendra sa douche qui se transforme en bain partagé. C'est assez rare qu'une histoire reprenne plus tard mais ce sera une occasion de suivre la suite. RE: Job d'été - Nostalgique - 20-05-2025 Quel plaisir de te retrouver cher Titanic50, du coup j'ai relu tous les épisodes avec délectation. Est-ce que nous verrons les deux lascars sortir de la baignoire ? Leur position dans l'eau est, je me le rappelle, très jouissive ! Alors suite ou non ? Mais dans tous les cas ne nous fait pas trop attendre car l'eau de la baignoire va rapidement se rafraichir... Nostalgique RE: Job d'été - Titanic50 - 21-05-2025 (19-05-2025, 03:17 PM)bech a écrit : Un Titanic qui remonte à la surface. Effectivement, après une très longue traversée du désert, pris par de nombreuses activités personnelles, j'avais comme un goût amer d'inachevé vis à vis de ce récit. C'est pourquoi, je poursuis cette histoire maintenant, alors que j'ai un peu plus de temps. En tout cas, je te remercie d'avoir pris la peine de reprendre ce récit depuis le début. Je n'étais pas certain que les lecteurs potentiels allaient faire l'effort de tout recommencer, alors je te remercie. Je m'excuse pour les fautes passées et à venir. Je ne suis pas un crack en conjugaison et en orthographe. Mais je fais au mieux et je suis presque sûr que les fautes restantes ne sont pas si dérangeantes à la lecture (j'espère... ![]() (Hier, 06:12 PM)Nostalgique a écrit : Quel plaisir de te retrouver cher Titanic50, du coup j'ai relu tous les épisodes avec délectation. Est-ce que nous verrons les deux lascars sortir de la baignoire ? Leur position dans l'eau est, je me le rappelle, très jouissive ! Merci Nostalgique. C'est un réel plaisir aussi de retrouver la plateforme et ses membres. Je te remercie pour ton courage de relecture intégrale, cela me touche. Il y aura bien une suite épilogue qui devrait arriver d'ici le week-end. L'eau du bain risque de refroidir un peu mais moins qu'une attente de 2 ans, promis. ![]() |