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Une femme ordinaire (hétéro) - Terminé - Version imprimable

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Re : Une femme ordinaire (hétéro) - emmanolife - 13-08-2020

Ambiance plus réaliste qu'érotique dans ce magasin, j'ai ressenti beaucoup d'empathie pour ce héros.
Tangua, c'est le passé simple de tanguer, 3ème personne singulier, d'après Gogol. Tanga donne un résultat plus approprié !



Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 13-08-2020

(13-08-2020, 08:27 AM)emmanolife link a écrit :Ambiance plus réaliste qu'érotique dans ce magasin, j'ai ressenti beaucoup d'empathie pour ce héros.
Tangua, c'est le passé simple de tanguer, 3ème personne singulier, d'après Gogol. Tanga donne un résultat plus approprié !
Hello Emmanolife,
Merci pour cette correction. C'est modifié.
A+
JKF


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - bech - 13-08-2020

Sympa de passer une nuit dans les dunes. J'espère qu'Alice a un pointeur laser pour lui montrer des étoiles, parce qu'avec un doigt dans le prolongement d'un bras tendu, l'orientation sera très approximative vu qu'ils n'ont pas tous les deux les yeux au même endroit.

Pareil pour l'observation aux jumelles, il vaut mieux qu'elles soient stabilisées (et donc très chères) pour servir efficacement en astronomie. Pour la planète Mars, il faut un super instrument pour distinguer mieux qu'un disque orange. Jupiter et Saturne bien visibles vers minuit en ce moment permettent des observations plus détaillées. Alors que Mars n'est visible que dans la 2ème partie de la nuit (tout comme Vénus).

Pour la lingerie féminine, c'est normal que Pascal ne soit pas spécialiste.


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - grostimido - 13-08-2020

Bonjour,
C’est, vrai que Pascal ma l’air un peu perdu dans toutes cette semaine lingeries, en Espérant qu’il ai faite bon choix et qu’elle va lui plaire

Encore un excellent chapitre, c’est un énorme plaisir de te lire à chaque fois
Merci



Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 13-08-2020

(13-08-2020, 12:26 PM)bech link a écrit :... Pour la planète Mars, il faut un super instrument pour distinguer mieux qu'un disque orange. Jupiter et Saturne bien visibles vers minuit en ce moment permettent des observations plus détaillées. Alors que Mars n'est visible que dans la 2ème partie de la nuit (tout comme Vénus).
...
Hello Bech,

Merci pour tes remarques.
Ce soir là, Mars et la lune devait apparaître sur l'horizon à partir de minuit avec une séparation de 5° pour arriver sur une séparation de 3° un peu avant le petit matin. C'est ce phénomène plutôt rare que je voulais souligner. Mais ce soir là, à l'endroit où j'étais le ciel était couvert. On a donc rien vu du tout.  Sad
Probablement la source de l'imprécision que tu relèves car effectivement, Vénus apparaît un peu plus tard dans la nuit.

A+
JKF


Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 13-08-2020

(13-08-2020, 04:30 PM)grostimido link a écrit :Bonjour,
C’est, vrai que Pascal ma l’air un peu perdu dans toutes cette semaine lingeries, en Espérant qu’il ai faite bon choix et qu’elle va lui plaire

Encore un excellent chapitre, c’est un énorme plaisir de te lire à chaque fois
Merci
Hello Grostimido,
Un grand merci pour tes compliments.
Alice n'est pas une femme compliquée et Pascal a envi de sublimer ses fesses magnifiques, probablement par égocentrisme masculin. Alice va t'elle encore le surprendre ?
La suite dans les prochains chapitres.
A+
JKF


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 14-08-2020

CHAPITRE X (Suite)


Il fait chaud en cette après-midi du mois d’août. La climatisation de la voiture calme les morsures du soleil. Le portail de Marion est grand ouvert. Je gare ma voiture à l’ombre juste à côté de celle de Sarah. Je frappe à la porte... Personne.

Je contourne la maison le long de l’allée bordée de thuyas qui mène à la piscine et j’aperçois mes deux collaboratrices allongées sur un transat.

- Hello les filles vous allez bien. J’ai sonné désespérément…

La situation est plutôt épique. Mon arrivée interrompt les deux jeunes femmes qui discutaient jovialement, allongées presque l’une à côté de l’autre. Marion, une jambe recroquevillée entre celles de Sarah m’offre une vue imprenable sur ses fesses nues et ouvertes. Sarah, surprise par mon apparition semble plutôt gênée par sa nudité totale. Son pubis entretenu est recouvert d’un léger duvet. Ses seins sont fermes, très jolis. Elle cherche désespérément une serviette de bain… mais rien à portée de main.

Marion imperturbable m’invite à me joindre à eux avec un grand sourire narquois. Trop coquine cette Marion.

- Bonjour Pascal. Prends un transat et viens nous rejoindre. Tu veux boire quelque chose ? Une coupe de champagne ?
- Va pour le champagne.
- Jean a eu un empêchement. Il ne viendra pas.

Marion se désolidarise de Sarah avec un geste magnifiquement calculé où les jambes s'écartent, se déplient, se replient faisant apparaître l'espace d'un éclair, le sexe brillant de Sarah. Elle disparaît dans la cuisine d’été. Sarah lève ses yeux vers moi, gênée, angoissée, timide, presque tétanisée, une main en guise de cache sexe. Je lui tends une serviette.

- Je ... Je… Je suis désolée.
- Désolé de quoi Sarah ?
- Avec Marion, je …
- Sarah, que les choses soient claires. Ta vie privée, c’est ta vie privée. Moi je ne suis pas là pour porter un jugement sur la façon dont tu gères ta sexualité. Sur le plan professionnel, tu es une collaboratrice remarquable que j’apprécie énormément et sur un registre plus personnel, j’aime beaucoup ta personnalité. Le reste après... Et pour ne rien te cacher, je vous trouve plutôt amusantes toutes les deux mais ça c'est mon côté masculin qui ressort. Allez, cool. Détends-toi. On n’est pas ici pour faire un procès d’intention. Marion est une très belle femme. Elle sait être redoutable en amour.
- Tu veux dire que toi …
- Hum. Chut !!!
- Ça complote encore ? Et voilà le champagne. Tu restes manger un morceau avec nous ?
- Merci pour l'invitation Marion mais ça ne va pas être possible. Je passais juste prendre un verre à la sauvette. J’ai un rendez-vous en fin d’après-midi. Je trinque et je file.
- Ok comme tu veux Pascal.

Marion, rien ne l’effraye. Elle mène sa barque comme elle l’entend. Franche, posée, calme, sereine, libre, elle assume tout. C'est une femme que je respecte et que j'admire. Elle pose une main insouciante sur la jambe nue de Sarah et me jette un regard complice. Sarah esquisse un sourire encore un peu coincé mais je ne me fais aucun souci quant à la capacité de Marion à détendre l’atmosphère.

Je laisse les filles ensemble finir la soirée. J’ai rendez-vous au centre équestre avec Julie. Sur la route, je peste contre ces touristes qui bouchonnent le seul pont d’accès à la station. Dans les embouteillages, je me surprends à imaginer Sarah et Marion. L’homosexualité féminine a toujours été source de fantasmes les plus fous et si j’étais resté, il eut probablement été possible de déborder cette après-midi sur un trio infernal. Marion s’y serait prêtée sans aucune retenue, j’en suis certain. Quant à Sarah, qui n’est pas non plus des plus effarouchées, un petit travail au corps à corps eut été nécessaire pour recueillir son adhésion. Je laisse mes pensées m'emporter dans un élan de sexualité mentale où les deux femmes se caressent, se lèchent mutuellement les seins, se touchent avec une fougue passionnée, un plaisir délibéré, une sensualité frénétique. Je vois la langue de Marion fouiller la chatte duveteuse de Sarah tout comme j’aurai aimé y planter la mienne. Marion s'applique. Elle donne des petits coups de langue fébriles en me laissant suffisamment d'espace pour que je puisse moi aussi y contribuer. La chatte de Sarah s’ouvre tour à tour sous nos langues fouineuses. Sarah gémit de plaisir, se tord dans tous les sens. Son sexe déborde de mouille et plus il coule plus nos langues s’activent consciencieusement. Parfois mes lèvres croisent celles de Marion et elles s’enroulent ensemble dans un mélange de salive et de mouille réuni. Sarah se caresse les seins, sa main vient rejoindre nos langues pour parfaire l’excitation et son clitoris prend une taille démesurée. Marion quitte la vulve ouverte de Sarah pour se focaliser seule sur le puits de son plaisir, tandis que ma langue se perd aux confins de ses fesses, pour laper délicatement sa petite noisette brune.

- Oh !!! Purée, le C…

Tout à mes allégations, j’ai failli m’emplafonner dans le touriste arrêté devant moi, prêt à tourner à gauche dans une rue perpendiculaire sans clignotant. Mon sexe qui par mes pensées on ne peut plus érotiques avait pris un enthousiasme certain, c’est retrouvé subitement relégué aux oubliettes, reprenant sa forme léthargique habituelle.

Ça t'apprendra à avoir des visions lubriques me dis-je à moi-même. Le visage d'Alice traverse mon subconscient. J'enterre illico presto le film érotique de mes rêvasseries luxurieuses au fin fond de ma mémoire de peur que ma jolie infirmière ne tombe dessus.

Avec tout cela, j’arrive au centre équestre avec dix minutes de retard, encore un peu en émoi.

- Julie ? Bonsoir
- Vous êtes Pascal ? Vous êtes en retard.

L’accueil est plutôt froid. Il est vrai que les coachs féminins ont la réputation d’être des femmes de caractère et du caractère, Julie en a à revendre. Je lui explique que je voudrais apprendre à monter. Mon objectif serait de pouvoir tenir sur un cheval au pas, au trot voire si possible au galop dans un laps de temps très court ; une dizaine de jours tout au plus.

- Pascal. Si vous voulez jouer les cowboys du Far-West, je ne suis pas la bonne personne. Trouvez quelqu’un d’autre.

Comme réponse, il n’y a pas plus direct et pour une chic fille comme le prétendait Alice, elle est plutôt expéditive. Je refoule au plus profond de moi l’envie de me défouler verbalement et j’abrège le rendez-vous poliment. J’en profite pour rendre visite à « Voie Lactée ».

C’est la première fois que je me retrouve seul en présence de la jument. Devant son box, « Voie Lactée » passe la tête à travers les barreaux. Elle me regarde impassible. J’ai lu sur Internet qu’en regardant les oreilles, on peut avoir une idée précise de son humeur, si elle est craintive, méfiante ou en confiance. Et comme les oreilles bougent sans arrêt, impossible de décoder. Je présente ma main doucement et je la passe sur une de ses joues. Elle est toute chaude. « Voie Lactée » se laisse caresser. C’est plutôt un bon début. De temps en temps elle secoue la tête. Je lui parle doucement, une suite de banalités.

- Demain matin huit heures, ça vous convient ?

Je sursaute. Je me retourne. Julie est là debout derrière moi. Je ne l’ai pas entendue venir.

- Ok pour huit heures Julie. Merci.

Julie est une jeune femme dans la trentaine, des petits seins et un fessier sympathique mis en valeur par le tissu moulant du pantalon d'équitation. Elle est plutôt jolie avec des cheveux mi long, une mèche rebelle qui se détache sur son front, les yeux bleus et des lèvres appétissantes.

- Venez un quart d’heure avant pour établir le dossier et … soyez à l’heure cette fois.

Elle retourne à ses occupations aussi discrètement qu’elle est arrivée. Ce faisant, elle me tourne le dos m’offrant une vision royale sur le contour de ses fesses bien enveloppées et s’il n’y a pas un string là-dessous, il n’y a rien ou alors j'y perds mon latin.


- °° -



Re : Une femme ordinaire (hétéro) - curieux - 14-08-2020

Bonsoir jkf
Cela s'étoffe pas mal : Marion, Alice, et que va t'il arriver avec les belles fesses de Julie ? ? ? on va le savoir bientôt.


Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 14-08-2020

(14-08-2020, 09:59 PM)curieux link a écrit :Bonsoir jkf
Cela s'étoffe pas mal : Marion, Alice, et que va t'il arriver avec les belles fesses de Julie ? ? ? on va le savoir bientôt.
Hello Curieux,
Oui effectivement ça s'étoffe un peu  Wink
A+
JKF


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 14-08-2020

CHAPITRE X  ( fin du chapitre)


La sonnette retentit.

- Hello ma chérie.

Alice dépose un petit baiser sur mes lèvres.

- J’ai vu ta voiture sur le parking.
- Rentre ma puce.
- Je vais prendre une douche, grignoter quelques chose et dodo. Je viens chez toi ou tu passes chez moi ?
- La douche t’attend et pendant ce temps-là, je vais te préparer un petit quelque chose.
- Non, je n’ai pas mes affaires ici.
- Qu’est-ce qu’il te manque ?
- Une culotte pour me changer.
- J’ai.
- Comment ça tu as ?
- Arrête de poser des questions. Allez zou file à la douche et quand tu as terminé tu m’appelles.

Alice sourit un peu interloquée. Elle me dévisage du coin de l’œil en se demandant ce que j’ai bien pu trouver encore.

- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui un grand verre d’eau bien fraîche.
- Je t’apporte ça de suite ma puce.

C’est rigolo. On dirait presque déjà un vieux couple et quelque part, ça me fait chaud au cœur. Je réalise pour la première fois que le simple fait d’être à deux est une composante sine qua none de notre bonheur. Alice est partie se déshabiller dans ma salle de bain. J’arrive avec le verre d’eau. Instinctivement elle se retourne pour cacher sa poitrine et elle se retrouve face à mes miroirs qui lui renvoient son image. Je souris. Elle revient vers moi résignée, s’avance les seins apparents.

- J’ai encore du mal à m’y faire.
- Oui je sais. Embrasse-moi.

J’écope d’un tout petit baiser furtif sur le front avec un immense sourire.

- Mieux que ça quand même. Radine !

Elle m’enlace tendrement, toute nue et nos langues virevoltent ensemble, lèvres contre lèvres. C’est bon. C’est immensément bon. Ce corps tout chaud entre mes bras que je caresse amoureusement. Un délice. Cette langue si douce qui emporte mes sens. C’est diabolique.

- Je te laisse sinon, je vais encore avoir des idées.
- Encore ? Comment ça encore ?

Je quitte la salle de bain. Ma langue a fourché. Comme quoi c’est facile de se faire piéger.

- Tu cries au secours lorsque tu as terminé. Ok ?

Dans la cuisine, je prépare la table. Je sors deux assiettes de crudités que j’avais préparées de retour du centre équestre.

J’entends Alice s’égosiller dans la salle de bain. J’ouvre la porte.

- Fini ? Attention, j’éteins la lumière.
- Non, tu m’as déjà fait le coup la dernière fois.

L'obscurité inonde la pièce.

- Tiens c’est pour toi.
- C’est quoi ?
- Ben ouvre.
- C’est tout doux, c’est tout petit. On dirait … Euh un string ?
- Essaye.
- J’allume. Tu l’as mis à l’envers. Aller recommence.
- Ben non, il est à l’endroit. Tu crois tout de même pas que je vais le retirer juste pour que tu te rinces l’œil ? Coquin.
- Ça te fait un petit cul mais un petit cul. Trop mimi. J’adore.
- Je n’ai pas trop l’habitude de mettre ce genre de sous-vêtement. Mais c’est vrai que mes fesses sont mises en valeur et tu as bien choisi. Le vert, c’est ma couleur favorite.
- Un bibi là et zou à table p’tit cul.

Alice m’a emprunté une chemisette blanche dans mon armoire sous les yeux de Camille médusée. Elle est superbe mais elle ne le sait pas. J’ai parfois l’impression d’être seul devant sa beauté juvénile et si des autres je m’en fou, j'aimerais en revanche partager cette beauté au moins avec elle. Elle est pourtant sexy à souhait. Le string lui va à ravir. Il souligne les formes majestueuses de ses petites fesses. La ficelle plonge vers son intimité. Le sous-vêtement se veut habillé dans ce somptueux déshabillé, ni vulgaire ni agressif, juste désirable.

Le souper est pris sur le pouce. Alice évoque sa journée, pas toujours facile avec ses joies et ses peines. La reprise du Covid-19, les accidentés de la route, les personnes âgées, les enfants. Tout un monde d’espoir et de désillusion.

On se pose sur le canapé. On allume la télé. Alice s’endort sur mon épaule. Je n’ose plus bouger de peur de la réveiller. Je regarde ce corps alangui, trop beau, trop doux. Elle bouge légèrement. Elle me donne de tous petits baisers dans le cou en dormant. C’est trop mignon. Son chignon flou lui donne un visage d’ange. Les paupières closes, je suis conquis. Sa respiration est lente, douce, confiante. Sa poitrine se soulève à chaque inspiration découvrant la naissance d’un de ses seins à travers ma chemisette entre-ouverte. Une naissance perturbée par l’opération qu’elle a subie. Je suis spectateur involontaire de la souffrance morale et physique qu’elle a accumulée. Je pense à Marion et Sarah. A leurs poitrines somptueuses, à leurs corps certes désirables mais à mille lieues de m’apporter ce qu’Alice est capable de me faire ressentir et ce en toute innocence.

Je me libère à regret de l’étreinte de ma chérie. Dans la chambre, j’ouvre le drap qui nous enveloppera pour la nuit. Je récupère ma princesse sur le canapé avec toute la douceur du monde. Je déboutonne la chemise et je la lui retire. Dans mes bras, sa tête indolente blottie contre ma poitrine, je la dépose sur le lit avec mille précautions. Elle dort et j’aime ce corps endormi. Je la recouvre du drap et je m’allonge à ses côtés. Elle devine ma présence. Elle vient se blottir tout contre mon corps. J’adore cette chaleur qui me laisse tout chose.


- °° -



Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 15-08-2020

CHAPITRE XI


Tôt ce matin, j’ai laissé Alice au lit. Un bras est venu m’enlacer furtivement, très vite pelotonné sous le drap pour vaincre la fraîcheur matinale.

Sept heures quarante cinq pétantes, je suis devant la guitoune. Fermée. J’attends une bonne dizaine de minutes avant de voir Julie passer.

- Bonjour Pascal. Toujours décidé ?
- Bonjour Julie. Oui évidemment sinon je ne serais pas ici à cette heure là.

Julie sourit. C’est la première fois que je la vois sourire, ce qui rend beaucoup plus sympathique son visage de femme acariâtre. Un sourire, ça vous change une femme. Y a pas à dire.

J’ai l’impression qu’elle a remis les vêtements qu’elle portait la veille. Le même haut. Le même pantalon moulant. Je me demande en mon fort intérieur si elle a conservé aussi le même string et les mêmes chaussettes et l’image m’amuse.

Après le formalités d’usage, Julie m’amène à la sellerie. Je découvre un univers totalement inconnu et je commence à me rendre compte de l’immensité du domaine à appréhender. Il faut savoir manipuler les différents ustensiles à commencer par le licol, la selle, le filet. J’en prends vite plein la tête.

Julie est patiente même si son côté autoritaire est parfois revenu au galop. Et tout compte fait, ce premier cours s’est bien passé, dans une ambiance plutôt sympathique. Je prends congé. Rendez-vous est fixé au lendemain à 18h00.


- °° -



Re : Une femme ordinaire (hétéro) - grostimido - 15-08-2020

Bonjour encore deux très beau chapitre

En sent bien que Pascal fait tout pour sa copine, il va même prendre des cours pour pouvoir monter à cheval
Cool merci


Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 15-08-2020

(15-08-2020, 04:25 PM)grostimido link a écrit :Bonjour encore deux très beau chapitre

En sent bien que Pascal fait tout pour sa copine, il va même prendre des cours pour pouvoir monter à cheval
Cool merci
hello Grostimido,

Merci pour ton commentaire.
Effectivement, Pascal a compris que l'équitation est importante pour Alice et probablement que le plaisir suprême de chevaucher ensemble sur la plage, bride abattue sera un ciment d'une telle intensité que rien ne pourra plus les séparer.
A+
JKF


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - grostimido - 16-08-2020

Tu sais c’est une super histoire d’amour entre Pascal et Alice en espérant qu’il y est pas un fin tragique car pour moi ces deux personnages que j’apprécie énormément

Merci encore pour c’est deux chapitres


Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 16-08-2020

Merci Grostimido,