Au théâtre ce soir - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au théâtre ce soir (/showthread.php?tid=227) |
RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 20-04-2023 NDA Je suis impatient d’arriver à la fin, même si je la connais déjà, voici donc la suite, un épisode plus long que d’habitude afin de l’interrompre au bon moment. Il y en aura encore au minimum deux après celui-ci. Les modifications en bleu ont été faites après la première publication et après les premiers commentaires. 9 Florian était entièrement nu, il avait aussi ôté ses chaussettes, sinon il aurait eu l’air ridicule, il n’avait pas non plus de ceinture avec l’émetteur du micro puisque nous jouions sans sonorisation. On entendit quelques murmures dans la salle, vite stoppés par le début de la déclamation. J’observais Anaïs qui était debout, prête à intervenir à la fin de la tirade. Elle n’avait pas l’air surpris, soit Florian l’avait avertie, soit elle l’avait déjà vu nu. Son pénis était assez court, épais, avec un gros gland circoncis, les testicules près du corps, c’était peut-être l’effet de la température un peu fraîche de la salle. Ophélie se rapprocha et entama le dialogue avec Hamlet nu, scène assez violente puisque celui-ci la rejetait et lui répétait à plusieurs reprises d’aller dans un couvent. Il retourna vers sa chaise et se rhabilla. Je parvins à me concentrer puisque j’allais intervenir quelques minutes plus tard, habillé en comédien pour une scène de « théâtre dans le théâtre ». Un autre moment fort fut celle avec le fameux crâne, il était posé sur une tombe amenée depuis les coulisses, la pierre indiquait le nom de Yorik. Florian s’agenouilla et déclama : Hélas ! Pauvre Yorik ! Je l’ai connu, Horatio, c’était un garçon d’une verve prodigieuse, d’une fantaisie infinie. Je pensai au jeune homme inconnu mort du sida, il avait aussi eu des qualités, oubliées à jamais, à part dans les mémoires de celles et ceux qui l’avaient connu et aimé. Hamlet apprit ensuite la mort d’Ophélie qui s’était noyée auparavant dans un bassin rempli d’eau à l’arrière du plateau. Ce fut ensuite la scène du duel. Nous avions répété chaque mouvement d’innombrables fois et tout se passa sans problème. Nous nous blessâmes mutuellement avec l’épée empoisonnée, la reine but la coupe de vin, lui aussi empoisonné, elle mourut. Hamlet força le roi à en boire aussi, il mourut. Je mourus. Il ne restait qu’Hamlet dans les bras d’Horatio, assis sur le sol. Ils échangèrent un baiser sur la bouche, pour évoquer une relation homosexuelle entre les deux, et Hamlet mourut. La salle fut lentement plongée dans le noir, le public mit quelques instants à réagir, puis ce fut un tonnerre d’applaudissements, de sifflements, de bruits de pieds, nous eûmes cinq rappels et une standing ovation. Je ne savais pas si c’était mérité, cela récompensait quand même des mois de travail et cela faisait chaud au cœur. Le public des deux représentations suivantes serait certainement plus réservé. J’avais hâte de me retrouver seul dans la loge avec Florian, je lui dis avant même d’entrer : — Tu as osé jouer nu ! — Oui, et finalement cela n’a rien d’extraordinaire, je m’inquiétais pour rien. Quelques personnes ont vu ma bite, même ma sœur, et alors, ça ne va pas changer ma vie. Et je n’ai pas bandé. — Tu l’avais dit à Anaïs ? Elle n’a pas eu l’air étonné. — Non, c’était une surprise pour elle, je n’ai décidé qu’au dernier moment d’enlever mon boxer. — Tu vas aussi le faire à la première ? demandai-je. — Oui, certaines spectatrices seront peut-être au courant et je ne voudrais pas les décevoir. — Il pourrait aussi y avoir des spectateurs qui ont envie de la voir. — On sait qu’un certain pourcentage des hommes sont gays, ce ne serait pas étonnant. Je vais prendre une douche, rapide car mes groupies m’attendent. — Je te laisse passer le premier, mais pourrais-tu attendre que je me sois aussi douché ? J’aimerais être avec toi pour voir la réaction des fans. — On pourrait la prendre ensemble, ça gagnerait du temps et économiserait de l’eau. — Euh… oui, d’accord, balbutiai-je, très surpris par cette proposition. Florian avait-il aussi envie de voir aussi ma bite ou n’était-ce que pour des raisons pratiques et écologiques ? Cette douche n’eut rien d’érotique, cela ressemblait à nos étreintes à la fin des combats, nous étions vidés après l’effort. Je n’eus pas l’impression que Florian regarda attentivement mon entrejambe ou alors il le fit très discrètement. Il remit un de ses slips blancs alors que moi je gardai mon boxer noir car j’avais oublié d’en prendre un de rechange. Je devrais le laver moi-même pour la première. Ce fut de nouveau un triomphe à notre entrée dans la Kantina, il y avait une cinquantaine de personnes qui étaient restées pour boire un verre. Florian fut assailli par ses groupies qui lui demandèrent de signer le programme, j’eus beaucoup moins de succès. Des garçons demandèrent aussi un autographe à Anaïs. Nous nous assîmes ensuite à une table réservée pour souper. Florian nous présenta sa sœur Christelle ; Olivier, avec son sans-gêne habituel, lui demanda : — Alors, tu es contente d’avoir vu le zizi de ton frère ? — Bof, je l’avais déjà vu quand il était petit, tous les garçons ont le même engin entre les jambes. — Ils peuvent être différents. Félicitations, Florian, tu as osé ! — Merci, merci, répondit-il, à présent j’entendrai des murmures chaque fois que je croiserai quelqu’un dans les couloirs du gymnase. — Et toi, Anaïs, continua Olivier, satisfaite ? — Du zizi de Florian ou de la représentation ? — Des deux. — Je dirais comme Christelle, tous les garçons ont le même truc qui pend entre les jambes et je te rappelle que c’était ton idée de le faire jouer nu, pas la mienne. Quant à la représentation, je suis très satisfaite, mais nous ne devons pas nous endormir sur nos lauriers. Les deux représentations suivantes se déroulèrent encore mieux, nous prenions l’habitude et avions un peu moins le trac. Comme prévu, le public fut moins enthousiaste mais les applaudissements très chaleureux. Après la première, Florian nous présenta ses parents et ses quatre grands-parents, dont le grand-père qui lui avait prêté le crâne. Ils étaient très fiers de leur petit-fils. Le dimanche, je pus à mon tour présenter mes parents et grands-parents qui avaient fait le déplacement. Avant de repartir, ma mère me glissa à l’oreille : — Tu as l’air de bien t’entendre avec le jeune homme, celui que tu as combattu en duel. — Oui, répondis-je, je t’en ai parlé, je cours avec lui tous les samedis. — Il est très beau, surtout quand il est en nu. Pourquoi n’as-tu pas dû te dénuder aussi ? — Je ne suis pas responsable de la mise en scène, demande à Olivier. — C’est sans importance. Nous nous étions de nouveau douchés ensemble, en tout bien tout honneur. Je ne revis pas Florian les semaines suivantes, il devait préparer ses examens pour le bac et nous n’avions plus de répétitions avant la fin juin, afin de préparer notre déplacement en France. Les décors et les costumes étaient prêts pour être chargés dans un camion, nous ne répétâmes que quelques détails à améliorer. Florian rayonnait, il avait réussi son bac et se réjouissait des longues vacances avant de commencer l’université. Je lui demandai s’il partirait, il me répondit qu’il était trop content d’être seul chez lui car ses parents seraient en voyage. Je lui proposai de faire quelques randonnées avec moi dans le Jura en août, période que je passerais chez mes parents. Il accepta avec plaisir. Nous avions décidé de faire le voyage en train pour des raisons écologiques, nous prîmes donc un TER à Genève jusqu’à Lyon Part Dieu puis un TGV jusqu’à Béziers. Nous arrivâmes le jeudi au milieu de l’après-midi. Les organisateurs du festival nous avaient réservé des chambres dans un hôtel Ibis et mis un car à disposition pour les transferts. La présidente alla chercher les cartes à la réception, puis nous dit : — Il n’a pas été possible d’avoir des chambres individuelles, les hôtels sont pleins en ce moment. Comme nous sommes un nombre impair, il y aura un ou une solitaire. — Il y a aussi des plaisirs solitaires, fit Tiago. Je savais que les hôtels Ibis avaient des grands lits, il faudrait donc non seulement partager la chambre, mais aussi le lit. Lucie commença la distribution, à la fin nous n’étions plus que cinq : Anaïs, Nadège, Dylan, Florian et moi. J’allais enfin savoir : si Florian était en couple avec Anaïs, ils dormiraient ensemble, Nadège serait seule et je serais avec Dylan. S’ils n’étaient pas en couple, il y aurait trois possibilités… Mon cœur battait très fort. RE: Au théâtre ce soir - bech - 20-04-2023 Je doute que Florian soit en couple. Donc ... RE: Au théâtre ce soir - lelivredejeremie - 21-04-2023 Je me dis que le mec mort du sida dont ils utilisent le crâne, où qu’il soit, doit apprécier de voir un beau mec nu lui presser les joues (entre deux coups de cravaches ou de tisonnier rougi, selon le Vatican)… Après, j’avoue, une fille nue avec des talons-aiguilles reste paradoxalement ‘habillée’, mais un mec à poil en chaussette, c’est nul :o En plus, je soupçonne plus de foot-fetishists parmi les gays que les hétéros. Et Florian ne veut décevoir personne le jour de la première ¬‿¬ J’adore le suspense sur la distribution des chambres (très relatif, le suspense…) RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 21-04-2023 (20-04-2023, 10:56 PM)bech a écrit : Je doute que Florian soit n couple. Donc ... Merci @bech pour ton commentaire. De nouveau un suspense très relatif, la vraie question qui va se poser est de ce qu’ils feront ou de ce qu’ils ne feront pas s’ils partagent la même chambre. RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 21-04-2023 (21-04-2023, 01:41 AM)lelivredejeremie a écrit : Je me dis que le mec mort du sida dont ils utilisent le crâne, où qu’il soit, doit apprécier de voir un beau mec nu lui presser les joues (entre deux coups de cravaches ou de tisonnier rougi, selon le Vatican)… Merci @lelivredejeremie pour ton commentaire. J’ai oublié de vous prévenir, cher lectrices, cher lecteurs, que lire ce récit peut vous mener tout droit en enfer. Comme l’a écrit Dante : Vous qui entrez, laissez toute espérance. Ce sera la fille nue avec les talons aiguilles qui assénera les coups de cravache et pas un beau diablotin à deux queues, supplice supplémentaire pour les gays. Plus que les chaussettes, c’est effectivement l’émetteur et les câbles du micro collés sur le corps qui sont gênants et qui nous rappellent que ce n’est pas la réalité que nous voyons au théâtre. Très souvent, les acteurs n’ont pas le temps de se dénuder entièrement, ils baissent seulement leur pantalon et leur sous-vêtement jusqu’aux genoux, ce qui souligne le côté incongru de la situation. RE: Au théâtre ce soir - Philou0033 - 21-04-2023 Bonjour mon très cher Daniel ( @Lange128 ) , très belle suite. Comme je m'y attendais Florian s'est mis nu pour la scène, pour la tirade. Il a bien fait cela a permis aux spectateurs d’apprécier le spectacle en lui même et la plastique de Florian. Les douches après le spectacle étaient en fait banale, rien de particulier. Voilà les acteurs prêts à se produire à Béziers, reste à savoir si Florian et Camille allaient partager le même lit dans la chambre de l'hôtel Ibis ! Merci Daniel pour cette suite. Je te souhaite déjà un très bon week-end! Je t'embrasse! Philou RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 21-04-2023 (21-04-2023, 10:17 AM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon très cher Daniel ( @Lange128 ) , Bonjour mon cher ami @Philou0033 et merci pour ton commentaire. Douches banales, comparables à celles que prennent deux amis dans le vestiaire d’une salle de sport. Je voulais cependant que Camille découvre la nudité de Florian sur la scène du théâtre, ce qui explique d’une part que la salle de répétition n’avait pas de douche et qu’ils ont couru à l’extérieur, d’autre part que Florian gardait son sous-vêtement avant la générale. Camille ne connaissait pas les véritables intentions de Florian. S’ils dorment dans le même lit à l’hôtel, ils auront plus de temps à disposition. Que vont-ils faire ? C’est la question… Dormir, rêver peut-être. Sauf dans un récit érotique, cela doit être très gênant de partager le lit d’une chambre d’hôtel avec quelqu’un d’autre sans avoir une relation intime. À part une fois avec mon frère, cela ne m’est jamais arrivé. Je me suis cependant retrouvé dans le sauna d’un hôtel avec un collègue de travail, j’avais trouvé cette situation gênante, mais aussi excitante (pour moi, lui était hétérosexuel). Je te souhaite aussi un très bon week-end et t’embrasse. Daniel RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 21-04-2023 NDA J’ai modifié la fin de l’épisode précédent, il y a maintenant trois hommes et deux femmes. Cela ne changera pas le résultat, seulement la manière d’y parvenir. Je savais que les hôtels Ibis avaient des grands lits, il faudrait donc non seulement partager la chambre, mais aussi le lit. Lucie commença la distribution, à la fin nous n’étions plus que cinq : Anaïs, Nadège, Dylan, Florian et moi. J’allais enfin savoir : si Florian était en couple avec Anaïs, ils dormiraient ensemble, Nadège serait seule et je serais avec Dylan. S’ils n’étaient pas en couple, il y aurait trois possibilités… Mon cœur battait très fort. RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 22-04-2023 NDA Un épisode plus court, toujours pour l’interrompre au bon moment. 10 La présidente tendit une carte à Florian en lui disant : — Tu es notre ange, voici donc la clef du paradis, la suite princière numéro 128. — Une suite princière ? s’étonna-t-il. Dans cet hôtel ? — Puisqu’un prince y habite. Je serai dans la suite royale avec mon mari. Tu peux rester seul ou choisir quelqu’un pour te tenir compagnie. — Je peux aussi choisir une femme ? — Seulement si elle est consentante, ce doit être clair entre vous si vous désirez avoir une relation sexuelle, tu connais les nouvelles règles. — Aucun risque, l’homme n’a pas de charme pour moi, non, et la femme non plus, bien que votre sourire semble insinuer le contraire. — C’est ta vie privée. Il se tourna vers Anaïs et Nadège : — L’une d’entre vous désire-t-elle se pâmer dans la couche du prince ténébreux ? — Ce n’est pas l’envie qui me manque, fit Nadège en riant, tu es un charmant prince, je serais même prête à signer un contrat de consentement avant, mais mon mari pourrait l’apprendre et en être jaloux. — Et toi, Ophélie ? — Tu m’a envoyée au couvent, prince Hamlet, j’ai suivi tes ordres et fait vœu de chasteté. Je dormirai donc avec Nadège. Cela m’indiquait qu’il n’avait jamais eu de liaison avec Anaïs, comme je le supposais, ils n’auraient pas eu de raison de le cacher pendant des mois. J’étais rassuré et je devais saisir ma chance, je dis : — Comme tu es mon ennemi préféré et que l’homme n’a pas de charme pour toi, je partagerais volontiers ta chambre et ta couche. — À la bonne heure, fit Lucie, j’espère que vous ne vous battrez pas. — Les épées sont dans le camion, dis-je. — On peut se battre au sabre, fit Tiago, décidément très en verve. Je suivis Florian dans la chambre 128 et je lui demandai : — C’était sérieux cette proposition de coucher avec une fille ? — Pourquoi pas ? Je ne l’ai jamais fait, mais c’était surtout un petit test pour voir quels sentiments a Anaïs pour moi. — Elle n’a pas eu l’air enthousiaste. — C’est le moins qu’on puisse dire, ma mère pense pourtant que nous sommes faits l’un pour l’autre et que nous sommes trop timides pour nous le dire. J’en doute. — Il me semble que tu as pris beaucoup d’assurance ces derniers mois. — Depuis que je suis à poil sur toutes les scènes d’Europe ? — Entre autres. Tu n’as donc toujours pas rencontré l’amour de ta vie ? — Déduction élémentaire, mon cher Laërte, mais je compte bien y remédier pendant les vacances. — Avec qui, si ce n’est pas indiscret ? — C’est la question… La suite princière était exigüe, nous dûmes laisser nos valises sur le sol et nous renonçâmes à les vider. Florian dit : — Nous avons le temps de nous doucher jusqu’à 18 heures, l’un après l’autre… — Oui, vas-y le premier. Florian se déshabilla, hésita à enlever son slip blanc, puis le fit en riant : — Je ne vais pas te choquer, tu as déjà vu ma bite, il me semble. Il se tourna vers moi afin que je la visse bien après l’avoir étirée — elle me parut plus grosse — et disparut ensuite dans la salle de bain, en fermant la porte. Je me couchai sur le lit pour relier mon smartphone au wifi et lire mes messages. Il ressortit un quart d’heure plus tard : — À toi, excuse-moi si le sol est mouillé. — Pas de souci, j’en ai vu d’autres à l’armée. — Tu as fait l’armée ? Quel grade ? — Soldat, je n’avais pas de grandes ambitions. Je me déshabillai aussi entièrement. J’eus l’impression qu’il regarda ma bite avec beaucoup plus d’attention qu’à Vidy, je restai quelques instants face à lui, sans rien dire, alors que je durcissais et que mon gland se découvrait. Je finis de me décalotter, puis j’entrai dans la salle de bain et me douchai. En me séchant, je sentis mon pénis grossir à nouveau. Comme je n’avais pas pris de boxer, je laissai ma serviette autour de la taille pour ressortir. Florian était couché nu sur le lit, il se caressait et bandait. RE: Au théâtre ce soir - bech - 22-04-2023 Ça va être l'heure la la branlette alors. RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 22-04-2023 (22-04-2023, 09:40 PM)bech a écrit : Ça va être l'heure la la branlette alors. Merci @bech pour ton commentaire. C’est l’heure de la branlette, on ne peut rien te cacher, mais que pouvait-il se passer d’autre ? Florian aurait pu rester seul ou coucher avec Anaïs, au grand désespoir de Camille qui aurait cependant trouvé consolation dans les bras de Dylan. C’était exclu car je ne désirais pas de coup de théâtre. PS Florian est circoncis, comme Mehdi dans le récit sur Kepler. Ils vont peut-être en parler mais je ne vais pas refaire les comparaisons au sujet de l’éjaculation et de l’orgasme. La raison est autre : le comédien que j’ai vu nu au théâtre jouer Hamlet l’était. Ce n’est pas fréquent. PS du PS Les princes du Royaume-Uni le sont, d'après les mémoires du prince Harry, alors pourquoi un prince danois ne le serait-il pas ? RE: Au théâtre ce soir - lelivredejeremie - 22-04-2023 Florian est donc hétéro (ou se présente comme tel), mais il va loin dans la provocation avec Camille, qu'il sait divorcé (d'une femme), objectivement dans les 90% statistiques d'hétéros, et sui lui a sorti la réplique de Hamlet, alors il joue à quoi ? J'ai lu que la circoncision des monarques anglais tenait à la légende absurde qu'ils descendraient du roi David... RE: Au théâtre ce soir - bech - 23-04-2023 La mode de la circoncision dans les pays anglophones date de l'époque de la reine Victoria. À ce moment là, c'était pour décourager la circoncision masturbation qui n'était pas jugée conforme aux bonnes mœurs. Pour ce qui est du Danemark et plus généralement des pays scandinaves, ils ne poussent pas à la circoncision. C'est même le Danois Jacob Oster qui a fait une étude qui conclue qu'à 10 ans, un garçon sur deux a encore des difficultés à décalotter, mais que ça s'améliore dans les années qui suivent sans intervenir. RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 23-04-2023 (22-04-2023, 10:44 PM)lelivredejeremie a écrit : Florian est donc hétéro (ou se présente comme tel), mais il va loin dans la provocation avec Camille, qu'il sait divorcé (d'une femme), objectivement dans les 90% statistiques d'hétéros, et sui lui a sorti la réplique de Hamlet, alors il joue à quoi ? Merci @lelivredejeremie pour ton commentaire. Il y a effectivement une sorte de jeu entre les deux, je tenterai de donner une explication plausible à ce comportement (de leur point de vue) d’ici la fin. Je désire en fait retarder le plus longtemps possible le moment où ils avoueront les véritables sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre et que toute le monde aura deviné depuis longtemps. Cette provocation de Florian est cependant le premier signe explicite qu’il donne à Camille. Jusqu’à présent, on pouvait penser qu’ils étaient les deux hétérosexuels et c’est peut-être l’impression qu’ils voulaient donner au reste de la troupe avant de dormir dans la même chambre, en répétant cet extrait de la pièce. Florian devait savoir que Nadège était mariée et qu’Anaïs n’était pas amoureuse de lui. RE: Au théâtre ce soir - Lange128 - 23-04-2023 (23-04-2023, 02:07 AM)bech a écrit : La mode de la circoncision dans les pays anglophones date de l'époque de la reine Victoria. À ce moment là, c'était pour décourager la circoncision qui n'était pas jugée conforme aux bonnes mœurs. Je pense que tu voulais dire « décourager la masturbation ». J’ai lu qu’au Royaume-Uni la circoncision pouvait avoir un lien avec les classes sociales, les étudiants des écoles et universités prestigieuses étant autrefois tous circoncis ou fortement encouragés à l’être. C’étaient cependant des discussions sur des forums dont on ne peut pas vérifier la véracité. |