Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71
72
73
74
75
76
77
78
79
80
81
82
83
84
85
86
87
88
89
90
91
92
93
94
95
96
97
98
99
100
101
102
103
104
105
106
107
108
109
110
111
112
113
114
115
116
117
118
119
120
121
122
123
124
125
126
|
Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 10-01-2022 ... et la seconde. https://static.actu.fr/uploads/2021/10/feteforaineselection-dsc0002-960x640.jpg Coney Island est comme une foire perpétuelle, un peu ringarde, avec des attractions datées, mais ma famille d’accueil comme exchange student s’est dit que ça me plairait. Ils sont gentils, les Bottomfingers, la famille chez qui je loge ce trimestre. Un peu cons, faut dire. Daddy perd sa vie dans un entrepôt de Bezos, Mommy cumule deux boulots, quatre heures dans un 7-eleven à vendre des merdes à d’autres nuls, et quatre autres à nettoyer chez des voisines. Quant aux enfants, Sharon est la pétasse vulgaire de la high school locale, et Jason est le garçon en surpoids qui s’y fait harceler, le gamin qui va un jour venir à l’école avec une des armes surnuméraires de son père et faire un carnage. S’il arrive à en débloquer la sécurité, ce qui n’est heureusement pas certain. Les trois mois ont été longs, je vous jure, entre la malbouffe, les engueulades avec les voisins, j’aurais souvent voulu revenir en Europe, mais mes parents m’ont régulièrement persuadé que ce serait une ‘expérience’… Dans une semaine, je pars à New Orleans, Louisiane, pour un avenir… un trimestre meilleur, chez le DeVille, vieille bourgeoisie wasp (*), je les ai facebookés, le fils, Jonah, est efféminé à crever, je vais me le faire, c’est sûr ! Mais là, je suis encore coincé pour une looongue semaine avec les Bottomfingers, et là, c’est une photo que cette grosse vache de Sharon a prise, terriblement mal cadrée, on n’y voit que sa mère, à droite, elle a esquivé les mâles de la famille, mais elle y a introduit Aaron, à gauche. Le garçon Black avec la casquette et le masque, vous voyez ? Aaron est dans la classe qui m’a été attribuée pour le trimestre, on partage les cours, dont celui d’EPS, pour lesquels j’ai été drillé par mon frère ainé ‘‘expose ta bite, les Américains sont presque tous coupés, ils phasent à crever sur les prépuces, ça se raconte et les meufs sont curieuses, tu vas te taper des foufounes, mec’’. Sauf que les filles, perso… Et sauf que je suis plus dans le trip bite… Mais si Aaron a vu la mienne, l’inverse n’est pas vrai, il est discret pour ce qui le concerne, et en même temps, pas trop dans sa façon de mater, lui. - Joanie, Dick’’ j’ai dit, ‘’ça ne vous ennuie pas si je vais parler avec un pote de classe ? On se retrouve à quelle heure au parking ?’’ - OK, let’s meet at 8pm at the parking lot ? - Sounds fair, thanks’’ j’ai dit avec un grand sourire rassurant. J’ai rejoint Aaron, figé à la même place. - Hello, Aaron. - Tu connais mon nom ? - On est ensemble en classe depuis trois mois, je te rappelle… - Oui, tu es l’exchange student… Thomas ? - Européen, oui, et pas raciste, si tu as remarqué. Comme d’autres choses, je pense… Je me dis que si Aaron avait pu rougir, il l’aurait fait, mais là, ça ne se voyait pas trop. En tout cas bien moins que son regard soutenu sous les douches après le cours d’EPS, le garçon me désirait, c’était trop clair ! Après, la légende urbaine sur les Blacks bien membrés, hein ! - Ça te dit d’aller dans le train fantôme ? C’est un peu nul, mais bon… - Oui… Je… Ce que tu veux…’’ il a bafouillé. Je l’ai pris par la main et l’ai trainé jusqu’à l’attraction, où j’ai pris deux billets, suivi d’un Aaron qui, je le supposais, n’en croyait pas sa chance, et souriait, naïvement, sincèrement. La nacelle – ou quel qu’en soit le nom – s’est engouffrée dans le tunnel, et à la première apparition d’un spectre, j’ai pris sa main pour le rassurer, puis je l’ai posée sur mon sexe, il a souri. Quand notre véhicule a légèrement ralenti devant une Morticia Addams assez mal-foutue, j’ai tiré Aaron du carrosse de fortune. Et autant je suis plutôt actif, d’habitude, j’ai eu envie de lui en moi, pour la science, on dira… - Tu en as envie, je pense. Je te suce ou… ?’’ ai-je dit, en passant la main sous sa ceinture. ‘’Hmmm… ce ne sera pas nécessaire’’ ai-je murmuré en sentant la raideur de son membre fébrile. En passant les doigts sur les traits fins de son visage, j’ai dit ‘’Tes ancêtres devaient être Sénégalais, ou du moins de l’ouest de l’Afrique, tu es beau, Aaron, tu manques juste un peu d’assurance’’. Il ne lui a pas fallu plus d’encouragements. Il n’était pas surdimensionné comme la légende le dit, ni trop endurant…. J’ai rejoint le parking en pressant mon jeans – et mon boxer – sur la raie de mes fesses, la semaine s’est finie sans que j’offre mon cul ou ma queue à personne, j’étais entièrement focalisé sur Jonah de la Nouvelle-Orléans, comprenez-moi… (*) WASP = White Anglo-Saxon Protestant, l’upper-class auto-proclamée des Etats-Unis. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 10-01-2022 Il manque la première partie de la première histoire... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 10-01-2022 Au temps pour moi, voilà qui est corrigé. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 10-01-2022 Avec l'allusion à une " petite ville vaudoise" et une autre caractéristique, j'ai pensé que la première histoire de fête foraine était de Lange128, ce qu'il semble avoir confirmé. La diseuse de bonne aventure a une phrase intéressante : "je la vois… je veux dire je vois la personne que tu vas rencontrer". A-elle réellement vu ce qui se passera ? En tout cas, elle s'engage pas mal en disant que ce sera ce soir, sinon elle remboursera. En tout cas, après un film gay, les deux stagiaires sont bien décidés à perdre leur pucelage et ils y arrivent. Pour le 2ème texte je pense à lelivredejeremie comme auteur. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 11-01-2022 Intéressantes, ces deux courtes histoires et bien tournées (Tournées...enfin on peut le supposer et si possible du bon côté) MM. les auteurs sont autodévoilés, donc pas de mystère. Merci à ces deux amis. KLO. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 16-01-2022 Coucou les gens, Je viens libérer notre renardeau du poids de son costume de facteur suppléant. Un tout grand merci à lui d’avoir repris au pied levé et, vu l’urgence, sans nulles autres explications que ma demande de remplacement pour une durée indéterminée. Ce qu’il a gentiment fait. Donc : Monsieur Lelivredejeremie, Recevez mes remerciements éternels et soyez certain de ma royale gratitude pour avoir permis la survie de notre topic pendant mon absence (involontaire) du trône siège de receveur des postes du royaume d’ACSH ! Bref, jérémie, je t’envois une montagne de bizoux (sans microbes, hein !) et te libère du « fardeau » que je t’ai imposé, toi qui as déjà tant à gérer dans ton quotidien de student /jobiste. Messieurs-Dames et les autres, Les prochains MP seront de nouveau à m’envoyer. Notre renard est en congés -bien mérités- pour quelques dizaines d'années. (je l'espère, du moins. La bouffe et le personnel hospitalier, sont loin de ceux qui peuplent les récits d'ACSH! ) PS : Pour les retardataires n’oubliez pas de m’envoyer vos textes « hospitalisé ! » , je poste à partir de demain le premier déjà reçu. :-* :-* :-* :-* Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 17-01-2022 Merci, Ta Majesté, mais pas sûr d'avoir été à la hauteur de la tâche :-\ Pour y avoir été bénévole un moment, au début de la pandémie, je suis heureux que tu sois libéré de cet espace oppressant et vraiment trop déprimant :-[ Bon retour Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-01-2022 Coucou les gens, Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" de la fête foraine : 1 - lange128 2 – lelivredejeremie Daniel, c'est ton tour, nous attendons ta photo ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-01-2022 Hospitalisé, premier lit: Après les trois jours d'épreuves en juin, puis une semaine de longue attente pendant laquelle je ne bougeais pas de la maison, passant mon temps à tourner en rond. Les résultats sont enfin tombés. Ça y est, je suis interne ! Ça fait 6 ans que je bosse comme un fou pour en arriver là. Je suis sorti dans le top 50 des épreuves classantes nationales (ECN). J'ai bossé jours et nuits 365 chapitres et 25 gros bouquins de 300 à 600 pages chacun. Ma vie sociale oubliée, ma vie sexuelle se résumait à mes deux masturbations quotidiennes, matin et soir, pour calmer ma libido et à quelques rares parties de baise, quand celles-ci ne me suffisaient plus. Pour tout loisir je ne m'accordais qu'une heure de jogging par jour et une heure de salle de sport, trois fois par semaine… La semaine qui suit est de la folie. Je sors tous les soirs et je ramène toujours quelqu'un à la maison pour baiser. Je suis Thomas et j'ai 25 ans. Brun, les yeux verts, pas loin du mètre quatre-vingt-dix pour 80 kilos de muscles, je suis un beau gosse. Beau certes mais pas humain d'après mes frères, mes 'amis' de promotion et mes profs. Pour eux je suis une machine à soigner sans une once d'empathie pour mes patients. Pour moi seul le résultat compte, la mort d'un patient est un échec et je ne le supporte pas. Je suis enfin en vacances ! Il y a 6 ans que je n'en ai pas vraiment pris. J'ai une bourse qui jusqu'ici m'a permis de survivre. Pour améliorer l'ordinaire je bossais les week-ends, les jours fériés et les vacances scolaires dans une clinique privée comme infirmier. Et à partir de novembre je toucherai le SMIC. C'est pas miraculeux mais je ferai avec. Et puis je me dis que je n'en ai plus que pour 3 ans le temps d'obtenir mon doctorat, puis encore 2 ans pour le DESC. (Diplôme d'études spécialisées complémentaires). Eh oui je veux être médecin urgentiste. Mais je ne vais pas vous ennuyer avec ces détails… Novembre. Cette fois j'y suis ! Où ? Mais aux urgences, bien sûr ! Dans la clinique où je fais mon internat. L'équipe est plutôt jeune mais très professionnelle. L'ambiance est bonne et les cas intéressants – enfin, mis à part les cas de covid et les tireurs au flanc – puis parfois… inattendus. Mon premier cas ça a été Vinny, un garçon de 15 ans qui nous est arrivé avec une douleur aigüe au ventre, nausées, constipation et fréquentes envie d'uriner. La crise d'appendicite classique ! Facile comme diagnostique. En revanche il y avait eu un accident grave et tout le monde était occupé. Il a donc fallu que je prépare Vinny pour son opération. Je lui ai d'abord fait prendre une douche à la bétadine puis je l'ai fait allonger sur le lit. – Tu vas me faire quoi maintenant ? – Je vais te raser à blanc. – C'est obligé ? – Eh oui ! T'as pas le choix mec. – Putain, ça fait chier ! Tous mes potes vont se foutre de ma gueule. – Pourquoi, tu te fous souvent à poil devant tes potes, toi ? – Bin oui, au moins quatre fois par semaine. Deux fois au bahut après le sport pour prendre la douche et deux autres fois avec mes potes du foot. Putain ça fait vraiment chier ! En plus j'ai galéré grave pour avoir mes poils parce que, comme tu le vois, je ne suis pas très poilu. Rien sur le corps et tu vas me raser les seuls que j’ai. – Ça repousse et pour tes potes, dis que c’est à la mode qu’ils n’y connaissent rien. Et puis tu sais les meufs préfèrent quand y'a pas de poils. C'est plus doux et elles ne risquent pas de s'en coincer un entre les dents. Tu verras ta meuf va kiffer ça grave. – Encore faudrait-il que j'en ai une. – Ça viendra, tu verras. Bon, aller, j'y vais, ne bouge pas si tu ne veux pas que je te coupe. Je pris la tondeuse et j'enlevais le plus gros. Je ne sais pas si c'est l'effet des vibrations ou du fait que je manipulais son sexe mais Vinny se mit à bander… très dur. Il avait fermé les yeux et faisait une drôle de tète mais se laissait faire sans bouger. Très professionnellement et sans faire de remarque, j'étalais ensuite la mousse et je le rasais à blanc. Pour harmoniser l’ensemble et un peu par 'sadisme' je lui fis même les couilles et la queue. Je rinçais le tout, j’en avais fini avec lui – lisse comme un bébé. – Voilà beau gosse, j'en ai fini avec toi. Tu es tout beau. – J'ai honte Tom, tu dois penser quoi de moi ? – De quoi tu as honte Vinny ? – Tu dois penser que je suis gay. Tu me tripotte la queue et je bande raide, non-stop. – Ah, c'est que ça ? Tu es gay, Vinny ? – Hé ça va pas non ! Je suis un mec normal moi ! – Les gays sont normaux aussi Vinny, ils ont juste une sexualité différente. Regarde, ton monstre se remet au repos. Tiens, tu vas avaler ce cachet, c'est pour te calmer avant l’opération. C'est bientôt ton tour. Un autre cas se présenta à moi quelques jours après. Cette fois il s'agissait d'un mec dans la vingtaine qui s'appelait Corentin. Lui venait parce qu'il « saignait du cul et l’avait sensible » selon ses dires. Sa tête me disait quelque chose. Je le connaissais ce mec mais je ne savais plus d’où. Je le fis entrer dans une salle et je lui demandais de se mettre nu et à quatre pattes sur la table d’examen. Il se déshabilla et se positionna comme je le lui avais demandé. J'enfilais des gants en latex et je m'approchais de ses belles fesses callipyges. Ça y était, je savais d'où je le connaissais ce mec. Ces tatouages en forme de joker, un sur chaque fesse, ce cul là, je l'avais baisé au sauna il y a deux semaines. Il y était installé sur le sling et je n’avais pas vu sa tête parce qu'il portait une cagoule où il n'y avait qu'un trou pour la bouche. Je m'étais fait sucer pendant qu'un autre mec le baisait et puis je l'avais baisé à mon tour pendant qu'un autre mec avait pris ma place dans sa bouche. Je l'avais si bien baisé qu'il en avait joui. Mais il continua à se faire enfiler. Je mis un peu de lubrifiant sur mon index et je l'enfilais dans son anus. Il se crispa sous la douleur. – Je suis désolé de te faire mal mais je n'ai pas d'autre moyen pour t’ausculter. – D'habitude, juste un doigt, ça ne me fait pas même frémir. – Ha bon pourquoi, tu es un adepte du pegging ? – Euh… c'est quoi le pegging ? – C'est un terme anglo-saxon qui veut dire que tu te fais sodomiser par ta copine avec des godes. – Ha ok, euh, pas vraiment, je suis gay alors je préfère des bonnes grosses queues si vous voyez ce que je veux dire. – Oui je vois très bien. D'ailleurs je t'ai reconnu grâce à tes jokers. – Ha, tu m'as baisé aussi alors ? – Oui il y a quelques temps au sauna. Tu étais installé sur le sling avec une cagoule. – Ah oui, je me souviens, j'avais morflé grave cette fois-là. – Et tes déchirures, c'est suite à un plan du même style ? – Oui plus ou moins, j'ai branché un renoi que je connais et je lui ai servi de pute à lui et à tous ses potes tout le week-end. Putain ils m'ont bien défoncé le cul ces salauds. – Ils te l'ont massacré tu veux dire. Là, tu vas être hors service un bon moment si tu veux guérir. – Et ça va durer longtemps ? – Le temps de la cicatrisation. Un docteur arriva et me demanda mon diagnostique qui était : fissures anales superficielles, sans blessures internes et sans traces d’hémorroïdes. Il le confirma après avoir enfilé un spéculum dans le trou de Corentin. Quelques jours passèrent sans que je rencontre de cas spéciaux sauf peut-être ce jeune papa de 26 ans à qui j'avais dû enfiler une sonde urinaire parce qu'il n'arrivait plus à pisser seul. Il était rouge de honte de se laisser tripoter le sexe. Et sans mentir il en avait une belle, toute lisse et plutôt grosse. On était le week-end et en fin d'après-midi. C'était plutôt calme mais mes collègues m'avaient prévenu que ça n'allait pas durer. Les matchs de foot ou de rugby finissant, on allait avoir un arrivage d'entorses et de claquages. Et c'est ce qui arriva. Je m'occupais d'une entorse à la cheville d'un quadra quand le toubib entra. – Tom, tu couds assez bien je crois. – Oui, pas trop mal. – Alors tu vas à la 10 et tu recouds l'arcade sourcilière du gars. Tu fais ça fin, que ça ne lui laisse pas une grosse cicatrice. Je lui ai déjà fait l'injection de l'anesthésique local. Ça doit être bon maintenant. Je donnais mon diagnostique avant de changer de pièce. Je tombais sur un gars plutôt mignon avec de magnifiques yeux bleus. – Je vais commencer à vous recoudre. Si ça vous fait mal, vous me le dites et on attendra que l'anesthésique fasse un peu plus d’effet. Je commence. – Ça va je ne sens rien, tu peux continuer. Ça va me laisser une grosse cicatrice ? – Je vais faire en sorte qu'elle soit la plus discrète possible. Mais pour ça je vais devoir faire un peu plus de points. – C'est pas grave. Tu en fais autant que tu veux mais il ne faut pas qu'elle se voit. Je me marie dans trois semaines. Ma meuf va me tuer si j'ai la tête défoncée pour notre mariage. – Ne t'en fais pas, d'ici là ça ne se verra plus ou presque. Je finis de le coudre et je croisais un toubib qui me demanda d'aller voir chambre 5, un trauma en moto, qui venait de sonner. Je ne le reconnus pas tout de suite. – Bonjour, je suis Thomas, interne aux urgences. Tu as sonné ? – … Thomas, c'est toi ? – ?? Ah merde, Jean-Phi, je t'avais pas reconnu. Qu'est-ce-qui t’arrive ? – Je me suis vautré en moto-cross et comme tu peux le voir j'ai une fracture de la jambe, des deux poignets et je sais plus quel os du bras gauche. Mais là, j'ai une urgence, trop envie de pisser. Tu peux m'aider s'il te plait ? Jean-Phi, je le connaissais depuis le lycée. On était allé en classe ensemble de la troisième à la terminale. On n'avait jamais été très proche l'un de l'autre mais bon, on s’appréciait et on se parlait quand même, en simple pote. Et pour être franc, à l’époque, c'est sur lui et sa grosse queue - que je voyais dans les vestiaires ou dans les douches - que je fantasmais en me branlant. Bon, j'avoue qu'il y en avait d'autres qui hantait mes rêves éveillés, mais c'est sur lui que je me faisais le plus souvent du bien. Et c'est sans parler de son cul qui était magnifique aussi. Je pris un urinal, je soulevais le drap qui le recouvrait pudiquement et je pris entre mes doigts son sexe qui m'avait tant fait fantasmer. Délicatement je retirais son prépuce avant d'enfiler son sexe dans le pistolet. – C'est bon, tu peux te laisser aller. Il se soulagea longuement et, alors que je le regardai, il me vint une érection. Mais entre ma position au côté du lit et la blouse que j'avais par-dessus ma tenue, il ne s'en rendit pas compte. – C'est bon, j'ai fini. Je l’égouttais et remis en place son prépuce avant de le recouvrir. Puis j'allais vider l'urinal et me laver les mains. – Je vais y aller Jean-Phi. – Ok, merci. Attends, avant de partir tu voudrais pas me gratter le coin du nez, sur la gauche, ça me rend fou. – Ok, pas de souci ! Je repasserai te voir tout à l'heure avant de partir. Je ne le revis que quelques jours après sa sortie des urgences. Il était dans une chambre seule. La taille recouverte d’un drap me laissait voir sur la partie nue quelques ecchymoses et il avait une jambe en traction et les deux bras plâtrés. Quand j’entrais, il dormait. Putain, je ne me souvenais plus qu'il était si beau. Et les 6 ans où je ne l'avais plus revu lui avaient fait perdre son côté gamin pour lui donner un air de mec viril que je kiffais beaucoup. J'allais repartir quand il se réveilla. – Ça fait longtemps que tu es là ? – Non, non, j’arrive, mais comme tu dormais j'allais repartir. Comment tu vas ? – Ça va, je plane un peu à cause des anti-douleurs mais ça va, avec ça j'ai pas mal. Je m'assis sur le fauteuil à côté du lit et on se parla de nos vies respectives depuis qu'on avait quitté le bahut. Lui avait fait STAPS. Il était prof de gym dans notre ancien bahut. Il me parla aussi de sa famille qui avait quitté la région et qui maintenant vivait dans les Landes. On discuta un petit moment et il se rendormit alors que je lui parlais de ma vie. (la suite, directement ici en dessous) Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-01-2022 Suite J'y retournais le lendemain mais on l'avait conduit à la radio. Ce n'est que le surlendemain que je pus le revoir - mieux réveillé. On reparla de nous et il me demanda si j'avais une copine. – Pour être franc avec toi, non, je n'en ai pas. Evidemment, je baise de temps en temps pour l’hygiène mais rien à longs termes ni de bien sérieux et toi tu en as une, parce que si je me souviens bien tu étais avec Nadège au bahut non ? Et après je vous ai croisé quelques fois en ville aussi. – C'est du passé tout ça. On n'est plus ensemble depuis l'an dernier. Elle voulait qu'on se marie, qu'on ait des gosses et je ne suis pas encore prêt pour ça. – Ha dommage, vous formiez un beau couple d’amoureux. – Pour ça oui, et je te dis pas comme elle était chaude au lit. Sous ses airs de petite fille sage se cache une vraie salope, que des bons souvenirs… Merde fait chier ! – Qu'est-ce-qui ne va pas, tu as mal ? – Non c'est pas ça, c'est juste que de parler de Nadège ça me fait bander et que, bin comment te dire, depuis que je suis là je me suis pas branlé et tu vois ça me manque vachement. Putain, j'ai trop envie de me vider les burnes. – C'est vrai que dans ton cas c'est pas trop pratique pour te branler, même, on va dire impossible. – Je te dis même pas, quand le personnel infirmier vient me faire la toilette le matin dès qu'ils me touchent je bande comme un âne. Il y a trois jours c'est sorti tout seul pendant la nuit j'ai cru que j'avais pissé au lit tellement j’étais humide. Là, j’ai la trique pour un moment, comme je ne sais pas me soulager seul. – Tu veux que je te branle, pour te la faire passer ? – Ho ! Tu le ferais ? – Si tu veux, oui, pour te rendre service mais, si tu préfères, je peux glisser un mot au chef de service et il te donnera ce qu'il faut pour que ça te passe. – C’est-à-dire : qu'il me donnera ce qu'il faut pour que ça me passe. – Simple, il va te donner une gélule anaphrodisiaque qui te fera passer tes érections. – Hein ! Mais elles reviendront après ? – Oui bien sûr, ne t'en fait pas. – Je crois que je prends déjà assez de médocs, tu… tu veux bien m'aider Tom. Il avait dit ça en rougissant. – Euh… Tom, ça reste entre nous. – Tu es un patient et c'est un acte médical. Je suis tenu au secret professionnel. – Tu vas où ? – Juste appuyer sur le bouton comme quoi tu es en soins. Comme ça personne ne viendra nous ennuyer. J'étais en train d'enfiler un gant en latex quand il me dit : – Tom, je suis allergique au latex ! – Pas grave je vais faire sans. J'enlevais le drap qui le recouvrait, dessous il était évidemment nu et, putain, c'est vrai qu'il en avait une longue et grosse, sa queue bandait tellement que de la mouille en sortait. Rien que par l’excitation, il était presque décalotté complétement ! Je l'avais là, à portée de main. Je me retournais vers lui et il avait fermé les yeux. Quand je pris son sexe en main, il pulsa plusieurs fois. Je commençais de lents mouvements de haut en bas. Un flot de liquide séminal sortait de son gland et je m'en servis pour le lubrifier. Il commença à respirer de plus en plus fort et sans me prévenir il lâcha plusieurs grosses giclées. Mais je continuais à le branler et il en sortait toujours. – Arrête toi Tom s'il te plait, ça me fait mal maintenant et je crois que je n’ai plus rien à cracher pour l’instant. – Je vais te nettoyer parce que là tu en as vraiment de partout. J'allais à la salle de bain prendre de quoi le laver. Jean-Phi était sur le lit et il bandait toujours autant (moi aussi). J'enlevais le plus gros avec du papier et je finis au gant. Et c'est encore en rougissant qu'il me demanda si je voulais bien recommencer parce que sa queue lui faisait encore mal tellement il bandait. Je le fis languir un peu mais je fis ce qu'il demandait. Mais cette fois il fut plus long à venir. Je dus lui masser les couilles un bon moment, jouer avec ses seins qui pointaient… et j'étais à deux doigts de lui tailler une pipe tellement sa queue me faisait envie quand il éjacula. – Putain Tom, t'es un branleur de première toi ! – Je ne sais pas si je dois le prendre comme un compliment ou comme un reproche. – T'es con, c'est un compliment. On ne m'a jamais si bien branlé. – Ha bon parce qu'à part Nadège, tu te faisais branler par d’autres ? – Tu sais ce que c'est Tom, branler ou se faire branler, sucer ou se faire sucer, c'est pas tromper. – Ah bon, mais si je te comprends bien, tu es en train de me dire que tu es bi. – Je n’ai jamais dit ça, moi ! – Mais si, parce que branler ou se faire branler à la rigueur, c’est mixte, tu peux branler une fille ou un gars, mais sucer ou se faire sucer, ça tu peux le faire qu'avec un autre mec. – C'est ma langue qui a fourché, j'ai voulu dire se faire sucer ou faire un cunni. – Ha ok, j'avais pas compris comme ça. – Et puis bon quand on était ado, on a tous fait des concours de branlettes entre potes. Et je t'avoue que certains d'eux m'ont branlé et que j'en ai branlé quelques-uns aussi. Tu as bien dû le faire aussi pas vrai ? – Oui comme tout le monde, je suppose. Je te laisse beau gosse. Je file travailler. Je repasse après si tu veux. – Tom, tu pourrais me rendre un service ? – Oui, évidemment. – Tu pourrais passer chez moi me récupérer quelques trucs et me les rapporter ici ? – Oui bien sûr. Tu n'as qu'à me dire ce que tu veux. – Ok, j'y pense et je te dis ça ce soir. Son explication sur sucer et se faire sucer ne m'avait pas convaincu mais bon … Le soir quand je passais le voir, il me donna une liste qu'il avait dicté à une infirmière. Il me dit de prendre les clefs de son appartement dans son placard. J'allais rentrer chez lui, quand la porte d'en face s'ouvrit et qu'une femme la cinquantaine me demanda qui j’étais. – Bonsoir Madame, je suis Tom et je suis interne à l'hôpital où Jean-Philippe est soigné. C'est lui qui m'a demandé de passer récupérer quelques affaires le temps que sa famille remonte des Landes pour le voir. – Votre tête me dit quelque chose. Je vous ai déjà vu mais je ne sais pas où. – Je suis du coin et j'ai fait toute ma scolarité ici. – C'est quoi votre nom de famille ? – Je me nomme Thomas Martin. – Ah oui tu étais en classe avec mon fils, c'est ça, je m'en souviens maintenant. – Et votre fils s'appelle comment ? – Aloïs. – Aloïs Dupont c'est votre fils ? – Oui c'est ça. – Et il devient quoi ? – Laisse tomber, il ne mérite pas qu'on parle de lui. Il a mal tourné. Bon je te laisse faire ce que tu as à faire. Mon diner va bruler si je ne le surveille pas. Bonne soirée Tom. – Bonne soirée Madame. L'appartement de Jean-Phi était plutôt bien rangé. Dans la chambre il y avait bien un peu de bordel sur une chaise mais rien de bien méchant. Je trouvais tout ce qu'il m'avait demandé. Je repartis en me disant : Comme demain je ne bosse pas, je pourrais rester plus longtemps avec lui et bricoler certaines choses pour qu'il puisse s'en servir avec le bout de ses doigts. Il me fit un grand sourire quand j'entrais dans la chambre. – Salut Jean-Phi, ça va ? – C'est toi le docteur pas moi. – Ha, ha, ha tu as mangé du clown au petit-déjeuner ce matin ? – Non c'est juste que je suis content de te voir. Tu as tout trouvé ? – Oui et j'ai même eu droit à un interrogatoire serré de ta voisine d'en face. – Tu m’étonnes, c'est une vraie fouine celle-là. – Je ne savais pas que c'était la mère d’Aloïs. Il est devenu quoi lui ? Parce que quand je lui ai demandé elle m'a répondu qu'il avait mal tourné. – T'es pas au courant ? Il fait du porno. – Putain, lui qui était si timide ! – Il a bien changé, crois-moi. Branche mon ordi. Dans un de mes dossiers j'ai une vidéo de lui en pleine action. Tu veux la voir ? – Oui pourquoi pas. Il tapa son mot de passe, chercha la vidéo du bout des doigts et la lança. Aloïs, une fille et un autre gars se baignaient. Quand Aloïs sortit de l'eau l'autre gars tira en jouant sur son maillot de bain qui tomba à ses pieds nous laissant admirer ses fesses et quand il se retourna, je pus voir son énorme bite qui bandait. – Putain mais il a une bite encore plus grosse que la tienne ! – J'arrive pas à en faire le tour avec ma main. Enfin, j’y arriverais pas ! Dans le film Aloïs baisait la meuf, le mec et puis se faisait baiser par lui, sans parler des caresses et autres prélis comme les pipes, cunni ... J'avais la queue raide et Jean-Phi aussi, à voir le chapiteau que faisait l’étoffe le recouvrant. Je me mis à me caresser à travers mon fute de jogging. Je passais la main sous le drap et je branlais Jean-Phi au même rythme que moi. Le film venait de finir et on n'avait pas joui. – Je sais que je peux te faire confiance et que tu ne diras rien. Je vais t'en montrer un autre. Il chercha une vidéo et la lança. Au début j'eu du mal à reconnaître les acteurs mais très vite je reconnus Nadège, Aloïs et Jean-Phi. Ils étaient tous les trois sur un canapé. Nadège était entre les deux garçons qui ne se privaient pas de la tripoter. Nadège ne gardait pas ses mains dans ses poches et explorait les braguettes des garçons. Tous se roulaient des pelles. Puis Nadège les suça un petit moment, ensuite elle se releva. Jean-Phi lui fit un cunni tandis qu'Aloïs le suçait, lui. Enfin, ils allèrent à la chambre où ils se mirent en triangle et Nadège suça la bite de Jean-Phi pendant que lui suçait celle d'Aloïs et qu’Aloïs bouffait l’abricot de Nadège. Ils bougèrent pour recommencer inversement. Ça dura un petit moment. Puis Jean-Phi sodomisa Nadège tandis qu’Aloïs la prenait dans le vagin. Je vous dis pas comment on était excités Jean-Phi et moi. Je dus arrêter plusieurs fois de nous masturber pour ne pas jouir. Puis Nadège s'allongea sur le dos et Aloïs la prit. Jean-phi s'approcha des fesses d'Aloïs la queue tendue et s'enfonça entre ses fesses. J'en pouvais plus. J'avais très envie de jouir mais je fis tout pour durer. Je voulais éjaculer en même temps qu’eux. Nadège gémissait de plus en plus fort. Aloïs se retira et Jean-Phi prit sa place. Et à ma grande surpris Aloïs se mit derrière lui et l’embrocha d’une seule traite. J'en pouvais plus. Je tombais mon jogging et mon boxer et je nous branlais comme un fou. Ça ne dura pas longtemps et on jouit ensemble. La vidéo continuait. Les trois gémissaient maintenant et chacun prit son pied. – Putain Jean-Phi je savais pas ça de toi, ni de Nadège et encore moins d’Aloïs. Vous m'avez fait bander grave là. Je m'en suis mis de partout. Une chance que l’essui est à portée de main. – Moi itou, je m'en suis mis de partout, si tu veux bien m’éponger aussi. Ça me fait penser que ce jour-là, Aloïs m'a tellement dosé et démonté le cul que j'ai été obligé de prendre une des serviettes hygiéniques de Nadège pour pas salir mon boxer. Dis-moi Tom, tu es bi aussi ? – On peut dire ça, même si je préfère les mecs. Ça m'arrive de baiser avec une fille. – T'en a une grosse aussi toi. Un peu plus grosse que la mienne mais moins que celle d’Aloïs. Ça te dirait qu'on se fasse un plan à trois quand je serai en état ? – Grave trop oui. Mais dis-moi, j'ai encore un peu envie là. Tu me sucerais pas ? – Suffit de demander. J'ai que la bouche pour le moment. Mais tu verras, je sais aussi me servir de mes mains et mon cul est accueillant également. Il ne me suça pas cette fois-là parce que quelqu'un frappait à la porte. J'eus juste le temps de le recouvrir et pour moi de tout remonter qu'elle s'ouvrait sur ses géniteurs fébriles. Je les laissais seuls. Ses parents restèrent le week-end. Jean-Phi resta encore quelques jours, le temps qu'on lui mit une broche et il partit en maison de convalescence. * ** Il se remettait bien et d'ici quelques jours il allait revenir en pleine forme. Entre temps Aloïs avait pris contact avec moi et on s'était vu plusieurs fois, au début ça m'avait cuit de prendre sa matraque. Mais je m'y étais fait, maintenant. Tout était organisé pour le retour de Jean-Phi. J’espérais que les kinés l’avaient bien remis sur pieds, car ça allait être sa fête ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 17-01-2022 Eeeh ben ! Le sayxe, en fiction ou irl, plus c'est long, plus c'est bon, dans le sens où on finit bien par lire ou faire un truc qu'on aime particulièrement, et il y en a eu quelques-uns, ici Tom commence par dire qu'il n'a pas une once d'empathie pour ses patients, mais là, il a marché le km de plus pour son pote. Question de motivation, on dira... : C'est plutôt très documenté au niveau 'technique', mais vu que je ne connais pas l'activité principale des auteurs, il faut chercher les indices ailleurs, et je me dis que les protagonistes qui se mélangent à 3 ou 4, et qui sont tous autoreverse ou presque, c'est un gimmick de... gaetanbg, non ? Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 17-01-2022 C’était « l’hôpital en folie », je me suis bien amusé en lisant ce premier lit. Ça m’a rappelé mon dernier passage à l’hôpital, heureusement très court, avec un demi-rasage du pubis, seulement le côté droit. Je m’occupais moi-même de l’urinal, c’était déjà assez gênant d’appeler chaque fois l’infirmière pour le vider. Dans des forums non-érotiques, j’ai déjà souvent vu l’excuse des deux bras plâtrés pour justifier des soins « intimes » à un proche, j’ai toujours eu l’impression que c’étaient des fantasmes. Ici, nous sommes sûrs que ce sont des fantasmes, à moins que Fab nous dise qu’il avait les mêmes « traitements » lors de son séjour. Par élimination, je dirais aussi que c’est gaetanbg qui l’a écrit. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 17-01-2022 Ma dernière photo n’a pas soulevé un enthousiasme délirant, j’espère que la prochaine aura plus de succès, d’autant plus que Fab est de retour et prêt à recevoir des dizaines d’histoires… Je désire illustrer une activité, vous pourrez situer votre récit dans un autre lieu et à une autre époque. PS Nous pourrions laisser une fois les lectrices et lecteurs publier une photo, les auteurs doivent se taper tout le travail. Léon Matthieu Cochereau (1793–1817), Intérieur de l’atelier de David. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 18-01-2022 Hospitalisé, deuxième lit: La nuit de Noël, beaucoup réveillonnent, pas moi. Pas de chance, je suis cloué sur un lit d’hôpital. La chambre n’est pas trop moche, je suis seul, belle vue sur les Alpes qui me rappellent la chute à skis de cet après-midi. Jambe cassée. Fracture ouverte. Hélico. Opération. Quelques jours ou semaines de repos forcé. Le réveillon dans le chalet de mes parents ne me manque pas vraiment. Grand-maman ne pourra pas me dire : « Côme, tu n’as toujours pas de petite amie ? Tous mes autres petits-enfants sont en couple. » Non, mémé, je n’ai pas de petite amie et je n’en aurai jamais. Je suis toujours puceau. Et, malgré tout le respect que je te dois, les pulls que tu m’offres chaque année à Noël sont moches et démodés. Si seulement tu m’en tricotais un avec toutes les couleurs de l’arc-en-ciel… Je me réveille le lendemain matin lorsqu’un jeune infirmier entre. — Bonjour Monsieur Dusapin. Bien dormi ? — Pas trop mal. Grâce aux calmants. — Je m’appelle Grégory. Je vais contrôler votre jambe. Il soulève la couette et inspecte mes blessures. Pas seulement mes blessures, également mon pénis. Dur et dressé sous la chemise d’hôpital. Je balbutie : — Désolé. Érection matinale. — Pas de quoi. C’est un bon signe. Je vais vous apporter un urinal. Un peu de peine à débander, mais je finis par remplir le récipient sous le regard amusé de Grégory. Il revient plus tard pour la toilette après le petit déjeuner. Je bande à nouveau. — Dans votre situation, me dit-il, il n’est pas interdit de vous masturber. Il y a des mouchoirs sur votre table de nuit. — Merci pour le conseil, je le suivrai. — Pas besoin d’ordonnance du médecin et je ne le noterai pas dans votre dossier. Nous allons sauter ce séjour à l’hôpital, assez monotone et inintéressant, surtout lorsque Grégory avait congé et qu’une infirmière hors d’âge le remplaçait. Au moins, je ne bandais pas, tandis qu’avec lui… J’avais pourtant suivi son conseil. Toutes les mauvaises choses ont une fin et, ce matin-là, je sors de l’hôpital. J’arrive à marcher avec une canne et à me laver la bite moi-même. Je prends congé de mon infirmier lorsque j’ai une inspiration. Je prends mon courage à deux mains et lui dit : — Je ne sais comment vous remercier de m’avoir soigné malgré quelques manifestions corporelles qui auraient pu vous importuner. — Ne sous faites pas de souci pour cela, Monsieur Dusapin. J’en ai vu d’autres. — Oserais-je vous inviter à dîner au restaurant un de ces jours ? — Vous osez. Demain soir ? Ça vous va ? — Bien sûr, cela me permettra de reprendre contact avec la vie. Nous échangeons nos numéros de portable et je quitte l’hôpital avec ma mère. Je lui explique que j’ai invité mon infirmier à dîner, elle approuve ma générosité, qui est un peu la sienne puisque je vis à ses crochets, n’ayant pas terminé mes études. Je choisis un petit resto aux prix raisonnables, le trois étoiles sera pour une autre fois. Le lendemain, ma mère fait le taxi et me dépose devant l’entrée du restaurant. Je suis en avance, je présente mon passe et m’assieds à la table que j’ai réservée. Gregory arrive quelques minutes plus tard. — Bonsoir Monsieur Dusapin, me dit-il. Ça va cette jambe ? — Bonsoir, Grégory. Elle va bien. On se tutoie ? — Bien sûr… Côme… Joli prénom. — J’ai fini par m’habituer. Il enlève son masque. Je dis : — Je me rends compte que c’est la première fois que je vois ton visage en entier. — Oui, avec cette fichue pandémie. Alors que moi j’ai vu le tien. Il te plaît mon visage ? — C’est comme cela que je me l’imaginais. — Et j’ai aussi vu ta bite… — Elle te plaît ? — C’est contraire à l’éthique de faire de commentaires au sujet du corps des patients. — Mais encore… — Oui, elle me plaît. Il faudra que je te montre la mienne un de ces jours. Sans masque mais couvert. Inutile de vous dire, mais je vous le dis quand même, que j’ai vu la bite de Grégory le soir même. Il a été prudent pour me dépuceler, à cause de mon plâtre. Et j’ai enfin pu rassurer ma grand-mère : je suis en couple, j’ai un petit ami, j’ai bien dit un petit ami, pas une petite amie. Elle ne l’a pas trop mal pris, elle offre aussi des pulls moches et démodés à Grégory. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 18-01-2022 Coucou les gens, c'est encore moi, Le prochain défi hors-série sera sans photo et sans phrasette… Hé oui ! Je vous propose un titre et il vous faut écrire une histoire y correspondant. Premier titre : « Le facteur remplaçant se déniaise en tournée » Vous avez jusqu’au 20 février pour me les faire parvenir en MP. [member=331]Anonymous[/member],[member=27]bech[/member], @Gaétan, [member=156]KLO7514[/member], [member=28]Lange128[/member], [member=168]lelivredejeremie[/member], [member=87]Louklouk[/member], @Noostagique, [member=301]stuka132[/member] et les autres -auteurs ou lecteurs- tentés par l'exercice, à vos claviers, stylos, crayons, plumes… et soyez bien inspirés, comme toujours ! PS : L’idée m’a été soufflée par un auteur bien connu de tous, qu’on se le dise !!!!!! |