Lui (Gay) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Lui (Gay) (/showthread.php?tid=9) |
Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 02-08-2020 (02-08-2020, 11:03 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour Ivan, Bonjour Philou, effectivement tu as du nez, Et tu pose tellement de questions intéressantes, a voir, peut-être que Julien va trouver le moyen de faire du chantage à Philippe ! Bisous Ivano Re : Lui (Gay) - emmanolife - 02-08-2020 Moi j'aime bien le père, qui n'a visiblement pas beaucoup d'affection pour son fils (il n'a que du pognon) et Philippe, qui a l'air d'un beau profiteur opportuniste. Des méchants, il en faut ! Sinon, le récit ne serait pas marrant. Enfin, méchants, pas encore trop... juste pas sympa pour l'instant, mais ils n'ont pas dit leur dernier mot ! J'attends que les choses se gâtent !! ;D :-\ :'( Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 02-08-2020 (02-08-2020, 12:57 PM)emmanolife link a écrit :Moi j'aime bien le père, qui n'a visiblement pas beaucoup d'affection pour son fils (il n'a que du pognon) et Philippe, qui a l'air d'un beau profiteur opportuniste. C' est vrai qu'il pourrait être plus méchant, mais Julien en a déjà vu pas mal déjà Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 02-08-2020 Donc c’est bien cette pourriture de Philippe. Et le père qui dit qu’il n’a pas trouvé le temps de voir son fils en 5 ans à quand même eu le temps de se trouver une pétasse (juste pour le fait d’être la mère de l’autre connard). Et on peu dire que Philippe est méchant vu que c’est lui qui a fait envoyer Julien à l’hôpital quand il est rentre de colo. Espérons que Julien prenne un peu de force pour ne pas se laisser faire. Bonne continuation pour la suite ? Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 03-08-2020 Voilà une vrai nouvelle suite, ça faisait longtemps ! Mais bref, Bonne lecture — Je pense donc que tu as fait ce travail, et te connaissant, tu as été forcé. Je me trompe ? — Non… — Julien, pourquoi tu as fait ça ? Tu es un très bon élément, ton dossier et ton carnet de correspondance sur tes deux années de lycée doivent contenir 2 mots à tout casser… Alors pourquoi tu fais le travail d’un autre ? Il menace de te frapper, de montrer des choses ? …Dis-moi. A ce moment j’ai hésité. Soit je lui disais la vérité, soit j’inventais un bon gros mensonge du genre « je voulais l’aider ». — C’est compliqué, et, si je vous dis quoi que ce soit, je prends un risque. — Julien…si tu ne me dis pas, je vais rapporter ça au CPE et au proviseur et les conséquences seront bien plus graves, alors que si tu me dis maintenant ce qui se passe, tu ne risqueras rien du côté scolaire et on verra pour t’aider sur le plan privé, OK ? J’ai pris une grande inspiration, et j’ai expliqué au prof ce qu’il se passait avec Philippe, le chantage et tout. A la fin, il resta pensif, et au bout de quelques secondes, il me dit qu’il allait voir ça avec l’équipe pédagogique, et me dit aussi que j’aurai dû venir le voir plutôt, lui ou un membre de l’équipe pédagogique du lycée. Il me laissa partir et j’ai retrouvé Nicolas qui m’attendait devant le lycée. Il emblait inquiet, et me demanda pourquoi j’avais mis tant de temps avec le prof. Je lui ai donc expliqué ce qui venait de se passer. A la fin, il eut un sourire et me dit : — T’as bien fait ! Ce qui me donna immédiatement le sourire. Puis nous avons pris le chemin du retour. Vers le milieu de celui-ci, Nicolas me prit la main, j’ai été étonné d’une telle initiative de sa part ! Un peu plus tard, alors que nous étions encore en train de marcher, il m’adressa la parole : — Et si on allait chez toi ? — Non, c’est pas possible ! — Bah pourquoi ? Tu m’as dit qu’il y avait personne d’habitude. A ce moment j’ai regretté de ne pas lui avoir dit que c’était le jour où ma mère ramenait ses conquêtes… — Oui, je sais, mais, aujourd’hui, y’a ma mère. — Et alors, c’est pas grave ! — Je sais pas si elle voudra bien que tu viennes, vu qu’elle doit sûrement travailler sur des dossiers importants. — Je vois pas le rapport. Pourquoi tu veux pas que je vienne ? Et ce n’est pas comme si on allait faire du bruit. — Ouais…pas faux… — Alleeez, s’il te plaît ! A ce moment j’ai fait l’erreur de le regarder, son sourire et son regard m’ont fait craquer… — D’accord. — Merci ! s’exclama t’il en m’embrassant. J’ai vite saisi mon téléphone, et envoyé un message à ma mère pour lui dire que j’avais invité Nicolas à venir à la maison. Elle me répondit dans la seconde en me disant qu’il n’y avait aucun souci… J’ai donc tout fait pour éviter qu’il vienne pour rien… Mais bref, après une quinzaine de minutes de marche, nous sommes enfin arrivés chez moi, nous nous somme dirigés vers ma chambre, et alors que j’allais commencer à monter dans l’escalier, ma mère m’appela depuis la cuisine : — Oui, qu’est-ce qu’il y a ? — Comment ça, qu’est-ce qu’il y a !? — Je vois pas quel est le problème. — Vous auriez pu venir me dire bonjour ! — Ah, oui, désolé. — Pas grave. Vous voulez peut-être de la tarte ? — Pourquoi pas ? Je vais demander à Nicolas s’il en veut. — D’accord, je vous attends. Je suis monté, et quand je suis entré dans ma chambre, je n’aperçus personne. Je m’avançai donc pour voir s’il n’était pas plus loin dans la chambre. Quand je venais de franchir la porte, Nicolas se jeta sur moi et me poussa sur le lit pour m’embrasser. Il glissa ses mains sous mon t-shirt pour me caresser, la sensation était étrange mais agréable, j'en ai eu des frissons. Quelques gémissements se sont échappés de ma bouche, Nicolas plaqua sa main sur ma bouche pendant que de l'autre main il commencer à défaire ma ceinture. J’ai compris ce qu'il voulait faire, j’ai essayé de l'en dissuader en lui rappelant que ma mère était en bas. Il me répondit que je n'avais qu'à être discret, tout en m'embrassant pour me convaincre de continuer. Pendant ce temps, il avait déjà déboutonné mon jeans et commençait à me caresser le sexe pour le réveiller, ce qui ne tarda pas. Nicolas se positionna au pied du lit pour me retirer mon jeans, il mordilla mon pénis à travers sa prison de tissu. Après quelques instants, il finit par enlever ce dernier rempart pour me prendre en bouche. Je sentis cette cavité humide et chaude à la fois, il commença à faire quelques va et vient qui m'ont excité de plus en plus. Mes gémissements se faisaient de plus en plus fort, Nicolas me mit à nouveau sa main sur ma bouche pour me faire taire. Après quelques instants de ce traitement je senti que j’allais atteindre le point de non-retour et tentai de prévenir Nicolas. Il se retira juste avant l'éjaculation et les trois ou quatre jets de sperme se sont échoués sur mon t-shirt. Après avoir repris mes esprits, j’ai entendu ma mère qui nous appelait depuis la cuisine. Je me suis essuyé avec mon t-shirt : il fallait que je le nettoie moi-même, je l’ai donc caché sous mon lit. Une fois le t-shirt changé, nous nous sommes embrassés une dernière fois, nous nous somme embrassés comme ça pendant au moins cinq minutes, puis nous somme descendus pour prendre de la tarte. En nous voyant arriver en bas, ma mère s’exclama : — Ah, vous voilà ! J’ai cru que vous ne reviendriez jamais. Dit-elle avec un clin d’œil et un sourire en coin. Nicolas rougit un peu et moi de même. — Mais bref, de la tarte ? — Avec plaisir madame. — Rho, je t’en supplie Nicolas, appelle moi Martine ! Quand on me dit madame, j’ai l’impression d’avoir cinquante ans ! — Bah, t’en a quarante-cinq dans deux mois. Dis-je tout bas — Pardon ? — Je disais que tu en avais bientôt quarante-cinq mais que tu faisais trente ! — Mouais, aller, filez de là, et pas de bêtise ! Dit-elle avec encore une fois un clin d’œil et un sourire en coin. — MAMAN ! — Si on ne peut plus rigoler dans ce monde ! Nicolas et moi sommes montés dans ma chambre, et avons mangé nos parts de tarte. Après ça, nous nous somme allongés sur le lit, puis il se releva et commença à fouiller dans mon bureau : — Tu fais quoi ?! — Tu te souviens quand t’as fouillé dans mon bureau et que tu as trouvé les photos ? — Oui. — Eh bah, là, je prends ma revanche. Dit-il en rigolant — Vas-y, j’ai rien à cacher ! Puis il ouvrit le dernier tiroir de mon bureau et prit le dessin que j’avais fait de lui. — Ah, c’est quoi, ça ? — C’est rien ! Je me suis jeté sur lui pour récupérer le dessin mais trop tard. — Mais attends, c’est moi. — Oui. — Pourquoi tu ne m’as pas dit que tu savais dessiner comme ça ? — Bah, même ma mère ne sait pas que je dessine encore… — Pourquoi ? — J’ai arrêté de dessiner peu après le divorce de mes parents, parce que c’est mon père qui adorait me voir dessiner, il voulait, et veut sûrement encore, que je devienne architecte. — Ah, d’accord, je vois... —Allez, t’inquiète pas, c’est pas grave. En plus, j’ai pris grand plaisir à te dessiner. Tu sais quoi, je te le donne. — Ooh, t’es trop gentil, merci ! Dit-il tout en m’embrassant. — Par contre, j’ai galéré avec ton nez ! — Il a quoi mon nez ? Tout en se touchant celui-ci. — Rien, il est parfait comme toi. Il me fit un sourire, et se pencha vers moi pour m’embrasser. Puis quelqu’un toqua à la porte, c’était ma mère : — Les garçons, je dois aller faire une course, je reviens pour 17h. — Ok maman, à tout à l’heure. Elle me sourit et partit. Après avoir entendu la porte d’entrée se refermer, je me suis approché de lui ai lui ai dit : — Maintenant je vais te rendre la pareille. Il afficha un large sourire et me dit que je n'étais pas obligé mais il n'eut pas fini de parler que je m’étais jeté sur sa bouche pour le faire taire. On s'embrassa tendrement pendant quelques instants. Ma main droite ne resta pas inactive et se trouvait déjà dans le caleçon de Nicolas pendant que ma main gauche caressait l'arrière de sa nuque. Son jeans, bien qu'il soit un peu ouvert, ne permettait pas à ma main de tenir son sexe convenablement. J’ai donc décidé de lui retirer le jeans ainsi que son caleçon par la même occasion. Son membre était déjà en forme, il pointait vers le haut et faisait des soubresauts à cause de l'excitation. Du précum était déjà au bout de son gland, ce qui le rendait luisant. J’ai pris en main ce pénis que je tenais comme un joystick, avec mon pouce, j'ai étalé le précum en faisant des petites caresses. J’ai commencé à faire des va-et-vient tout doucement. Nous étions seuls dans la maison, Nicolas ne put s'empêcher de faire des gémissements plus ou moins forts. Je n’ai pas pu résister plus longtemps, et j’ai jeté ma bouche sur ce membre appétissant. La sensation était plutôt étrange mais je m'y suis habitué après quelques aller-retours. Les gémissements de Nicolas se sont faits de plus en plus intenses. Je lui ai procuré ce traitement pendant plusieurs minutes. Ma salive permit de rendre ce sexe bien coulissant dans ma bouche, il avait l'air d'apprécier le contact de son membre dans ma cavité buccale. J’ai senti soudainement ce bâton de chair devenir plus dur, et je me suis dit qu'il allait éjaculer… ce qui ne tarda pas à arriver, au moment où il essayait de prononcer des mots inaudibles mais qui devaient dire qu'il venait. Je me suis vite retiré, mais pas assez vite… ce qui me fit recevoir un jet sur le visage et le reste retomba sur le ventre de Nicolas. Je me suis emparé du t-shirt se trouvant sous le lit pour essuyer le fruit de cette jouissance. D'ailleurs il était un peu rêche à cause de ma propre jouissance de tout à l'heure. Je suis remonté auprès de lui en rampant afin de l’embrasser. Soudainement la porte d'entrée claqua, nous nous sommes donc dépêchés de nous rhabiller, et j’ai sorti le Monopoly Star Wars de mon armoire, je l’ai déballé vite fait pour faire croire que l’on jouait et quelques minutes après avoir commencé la partie, quelqu’un toqua à la porte : — Oui ? — C’est moi, je suis rentrée plus tôt, le magasin était fermé. — Ah, dommage. — Oui, je vais devoir y aller demain, sinon vous faîtes quoi ? — On joue au Monopoly. — D’accord, tu devrais ouvrir la fenêtre, ça sent bizarre ici. Et elle partit. Je me suis tourné vers Nicolas, j’ai vu qu’il était un peu rouge et gêné : — T’inquiète, elle ne sait pas ce qu’on a fait. — T’es sûr ? — Mais oui, la dernière fois elle a confondu l’odeur de la lavande avec celle de la menthe, y’a aucun risque. Il parut rassuré et m’embrassa, et quitte à faire semblant autant bien le faire, du coup nous avons joué au Monopoly pendant une heure, et Nicolas est rentré chez lui. Plus tard dans la soirée, je suis allé voir ma mère pour lui parler du chantage que me faisait Philippe. Elle était furieuse et, même si elle essayait de le cacher, ça se voyait pas mal… Elle prit une grande inspiration, et me dit qu’il fallait que je le dise à mon père : du coup, il saurait pour mon homosexualité, mais il valait mieux qu’il l’apprenne de moi et non de quelqu’un d’autre. Malheureusement elle ne savait pas non plus l’avis de mon père sur le sujet, donc c’était « ça passe ou ça casse ». Après une longue réflexion, j’ai opté pour une annonce « passive » : j’ai décidé de lui envoyer une chanson qui parle de l’homosexualité, ça me paraissait la méthode la moins « violente ». Bon, je vais lui en envoyer deux ou trois, histoire d’être sûr. Papa : — https://www.youtube.com/watch?v=fOJKGtqNJJI, https://www.youtube.com/watch?v=8ZXJijki9ik Voilà, « j’ai le droit aussi » de Calogero et « Ziggy » de Céline Dion, je crois que le message va passer. Après quelques minutes qui m’ont paru interminable, j’ai reçu une réponse de sa part : — Bonjour, Julien. Tu es gay ? — Bonjour, papa. Oui. — D’accord. — Juste d’accord ? — Bah, tu viens de me dire que tu aimais les hommes, tu veux que je te dise quoi ? — Tu pourrais dire : je suis fier de toi, je t’aime comme tu es, etc…. — J’avais des projets pour toi. — Parce que tu ne les as plus ? — Plus maintenant. — Pourquoi ? — Ecoute, Julien. Je reste ton père malgré tout, mais ne viens plus me parler pour l’instant. — Quoi ?! Ça veut dire quoi ça ? Après dix minutes sans réponse de sa part, j’ai compris et me suis résigné. Re : Lui (Gay) - emmanolife - 03-08-2020 Le CO est original ! Le père n'est pas con, il a tout de suite compris, mais ça n'a pas l'air de lui faire plaisir et il le montre. Autant la mère de Julien est adorable, autant son père est antipathique. On ne choisit pas ses parents... Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 03-08-2020 (03-08-2020, 07:10 AM)emmanolife link a écrit :Le CO est original ! Le père n'est pas con, il a tout de suite compris, mais ça n'a pas l'air de lui faire plaisir et il le montre. Effectivement, mais on choisit avec qui on se mari ! Merci pour ton commentaire Bisous Ivano Re : Lui (Gay) - Philou0033 - 03-08-2020 Bonjour [member=62]Ivan055[/member] Belle suite. Première fellation pour les deux ados! La mère est assez sympa, je pense qu'elle sait très bien ce que les deux garçons ont fait dans la chambre. Le père quant à lui est assez froid et semble na pas accepté que Julien soit gay! La relation entre père et fils va-t-elle se dégrader encore plus ou alors le père laissera-t-il son cœur parler? Il est certain que Philippe va devoir répondre du chantage qu'il a fait à Julien, tôt ou tard! Je t'embrasse! Philou Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 03-08-2020 Petits moments intimes entre les 2 avec une part de tarte au milieu. La mère est chiante à peine qu’ils soient rentré à la maison. Je crois que c’est un cas désespéré et que Julien va devoir supporter ça. Philippe va avoir des problèmes et tant mieux pour ce connard. Julien serait il fan de Star Wars? Il a pas assez de caractère pour être un Jedi. Puis le père ba c’est un con comme on a pu s’en apercevoir plus tôt. Julien manque de reparti, il aurait pu dire "moi j’aime les mecs, toi t’aime les connes, chacun son truc". Le récit donne toujours envie d’en savoir plus sur la suite. Bonne continuation. Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 03-08-2020 (03-08-2020, 09:12 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=62]Ivan055[/member] Salut Philou ! Oui la mère est sympa, elle va même "faire des courses" quand ils sont là ! Froid ou surpris par la révélation de son fils, peut-être à t'il vu ses rêves d'être grand père se volatiliser soudainement... Et oui Philippe va répondre de ses actes et ses paroles. Bisous Ivano Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 03-08-2020 (03-08-2020, 09:54 AM)Tommy06 link a écrit :Petits moments intimes entre les 2 avec une part de tarte au milieu. Tommy, Tommy, Tommy.... Tu t'obstine avec cette pauvre Martine. Philippe est effectivement un connard. Je pense que Julien est un fan oui, et si il est plein de vertu ! Tu connais Julien il n'aurait pas dis ça, mais la phrase est juste. Bien à toi Bisous Ivano Re : Lui (Gay) - AL gayman - 04-08-2020 Coucou Ivano, Julien a eu un très bon réflexe de se confier totalement à son prof (qui a été dés plus compréhensif). Philippe va pouvoir payer enfin de ses actes et là ça ne sera pas face à un jeune qui a peur de lui. Ca pourrait même aller jusqu'à l'exclusion pour chantage et persécution. Que ce moment est tendre entre Julien et Nicolas, ils avancent à leur rythme et cette grande première (même si elle a un peu surprise Julien), fut un moment de plaisir intense partagé. Martine malgré ses petits défaut reste adorable trouvant même l'excuse d'aller faire des courses pour les laisser seuls. Pour ce qui est du père de Julien aucune surprise, en ce qui me concerne, de sa réaction. 5 ans d'absences totales, tentative d'approche en achetant "son amour". Son égo en a pris un coup et bien qu'il reste où il est! Encore un très beau chapitre, visuel au possible de par les dialogues et les descriptions j'adore Bisous ALain Re : Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 04-08-2020 (04-08-2020, 02:25 AM)AL gayman link a écrit :Coucou Ivano, Coucou Alain ! Ravi que ça te plaise ! Oui Philippe va avoir la monnaie de sa pièce ! Le père effectivement il a eu une réaction à la con, mais peut-être qu'il va changer d'avis qui sais. Martine est effectivement une très bonne mère ! Merci de ton commentaire Bisous Ivano Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 04-08-2020 Voila la suite, j'espère qu'elle vous plaira ! ( et je sais qu'elle plaira à certains ) Je suis descendu voir ma mère, et apparemment ma tête en disait long… — Oula, qu’est-ce qu’il y a ? — C’est papa… — Comment ça ? Viens t’asseoir, on va parler. Je me suis dirigé vers le fauteuil sur lequel je m’assois à chaque discussion, et ma mère s’est mise en face de moi. — Allez, raconte-moi tout. — Bah, j’ai dit à papa que j’étais gay. Enfin, je lui ai envoyé des chansons pour mieux faire passer la pilule, et il m’a dit qu’il ne voulait plus que je lui parle… J’avais à peine fini ma phrase que je pleurais déjà. Ma mère s’est précipitée vers moi et m’a serré dans ses bras. — T’inquiète pas. Soit fort ! Des gens comme ça, tu vas en croiser, mais dis-toi qu’il ne te mérite pas, mon grand. Ces mots m’ont fait chaud au cœur. La soirée s’est bien déroulée, je suis allé me coucher tôt. Je n’avais envie de parler à personne, et j’ai envoyé un message à Nicolas pour lui dire que je ne lui parlerais pas ce soir et que je lui expliquerais demain. Il avait l’air de s’inquiéter, mais il a respecté ma décision. Avant de m’endormir, vers 3h00 du mat’, j’ai regardé pendant au moins deux bonne heures le dernier message de mon père. Je me suis senti abandonné : je ne l’ai pas vu pendant cinq ans, je le revois une semaine, et il m’abandonne une deuxième fois, c’est comme si on mettait le doigt dans une blessure par balle et qu’on le remuait dans tous les sens… Le lendemain je me suis réveillé en retard, j’ai loupé la première heure de cours. Bon, rien de très grave, c’était une heure de maths. L’heure suivante, nous n’avions pas cours. J’ai attendu Nicolas au foyer, et apparemment j’avais encore une tête horrible, car le surveillant et quelques élèves m’ont demandé si j’allais bien… et dire que ces mêmes élèves se moquaient de Nicolas et moi il y a quelques semaines…. Nicolas est arrivé, quand il m’a vu, il a presque couru pour me rejoindre : — Qu’est-ce qui se passe ? Y’en a un qui te fait chier ? — Déjà bonjour, moi aussi je t’aime. — Oui, désolé. Bonjour, je t’embrasse aussi ? — Je dis pas non. Il s’approcha de moi et m’embrassa. — Du coup, il se passe quoi ? — J’ai dit à mon père j’étais gay…. — Ah, il l’a mal pris je suppose ? Je me suis contenté de hocher la tête, car, si j’avais prononcé le moindre mot, j’aurais fondu en larmes. Il me prit dans ses bras alors que des larmes réussissaient à s’échapper. Le reste de la journée s’est plutôt bien passé. J’ai dormi pendant l’heure de philo, et ça m’a valu un joli autographe de la prof dans mon carnet de correspondance. A la sortie du lycée, Philippe est venu me voir : — Julien, j’ai pas reçu mon DM ! Je l’ai ignoré et j’ai continué à avancer. — Ce serait dommage que ton père apprenne que t’es PD ! Dit-il en criant. Je me suis retourné vers lui, et lui ai lancé un regard noir qui l’a fait reculer. J’ai remarqué que tout le monde nous regardait. Nicolas s’approcha et me chuchota : — Allez, fais pas attention, c’est un con. Et il me prit par le bras et j’ai recommencé à marcher, mais Philippe ne le voyait pas de cet œil-là : —¬ Ah, je vois, tu lui as dit et il t’a jeté comme une merde ! Après, c’est ce que tu es ! Je me suis arrêté net, j’ai jeté mon sac au sol et j’ai couru vers lui. Il n’a pas eu le temps de se rendre compte de ce qu’il se passait, que je l’avais déjà plaqué au sol. J’ai pu lui foutre deux ou trois coups de poing, avant que les autres ainsi que les surveillants arrivent à me détacher de lui. Même après ça, j’ai réussi à lui caler un coup de pied et je me suis payé le luxe de lui cracher dessus. Certes, ce n’était pas propre, mais c’était tout ce qu’il méritait. Pendant que Nicolas m’éloignait, j’ai pu voir que Phillipe était sonné. Il était assis au sol, ses potes l’aidaient à se relever. Nicolas m’a ramené chez moi, et a expliqué à ma mère ce qu’il s’est passé, puis il est reparti. Ma mère avait l’air énervée, et à mon avis, pas que contre Philippe… Je suis monté dans la chambre, pour faire mes devoirs. Pendant ceux-ci, Nicolas m’a envoyé un message pour me dire que son père proposait de faire la sortie au lac qui avait été prévue la semaine dernière, et apparemment, je n’avais pas le droit de dire non ! Après le diner ma mère m’a appelé au salon, et je me suis dit que ça allait être ma fête ! Je suis arrivé au salon, elle était assise, les jambes croisées, ce qui n’était pas bon signe. Elle m’indiqua de m’asseoir, et, une fois que j’étais assis, elle prit la parole : — Bon, je comprends que tu sois triste et que tu puisses ressentir de la colère, mais c’est pas une raison pour frapper un de tes camarades parce qu’il te parle de ton père. — C’était pas n’importe quel camarade, c’était Philippe, et il ne m’a pas que parlé de mon père. Je cite : « Ah, je vois, tu lui as dit et il t’a jeté comme une merde. Après, c’est ce que tu es ! » et, sur le coup, j’ai pas réussi à me retenir. Elle resta bouche bée pendant quelques secondes : — Ah, ceci explique cela…. Demain j’appellerai le lycée pour leur demander le numéro de sa mère. Mais je te préviens, Julien : une fois, pas deux ! — D’accord. Je me demandais, je peux aller chez Nicolas samedi ? — Depuis quand tu me demandes ? Dit-elle en rigolant. — Bah vu que j’ai frappé Philippe, tu aurais très bien pu me priver de sortie ou autre. — Pas faux, du coup t’es puni. — Quoi !? — Rhoo, je rigole ! Tu peux retourner faire ce que tu faisais. J’ai couru dans ma chambre pour prévenir Nicolas que c’était OK pour samedi, mais quand je me suis allongé dans mon lit, j’ai trouvé que quelque chose était bizarre. J’ai changé moultes fois de position mais rien n’y faisait. C’est à ce moment que j’ai compris que ça ne venait pas de moi, mais de mon oreiller. Je l’ai donc déplacé, et je suis tombé sur une boite de préservatifs. J’ai appelé ma mère : — MAMAN ! — Je suis en bas, viens si tu veux me parler ! Je suis descendu, elle était en train de travailler sur la table du salon : — C’est quoi ça ? En lui montrant la boite de préservatifs — Bah, Julien. A ton âge, tu ne sais pas ce que c’est ?! — Si, je sais ce que c’est, je te demande juste pourquoi y’avait ça sous mon oreiller ? — Ah, c’est parce que je me suis dit que tu étais en âge d’avoir des rapports. Peut-être que tu en as déjà eus, mais ça ne me regarde pas. J’ai voulu t’éviter une possible gêne à m’en demander, ou d’aller en acheter, mais, apparemment, si ça a eu l’effet inverse, je m’en excuse. — Ah, bah… Merci, maman. Et je me suis dirigé vers l’escalier en me sentant un peu con. — Julien, attends ! — Oui, quoi ? — Prends ton linge au passage, il sort de la machine. J’ai pris ma pile de linge, quand je l’ai regardé, j’ai tout de suite remarqué le premier t-shirt, c’était celui que j’avais mis sous mon lit, donc elle savait, mais elle n’a pas fait de remarques, et heureusement ! Je suis monté dans ma chambre et j’ai rapidement rangé mes vêtements, puis j’ai prévenu Nicolas que c’était OK pour samedi. Voila, c'est tout pour aujourd'hui, j'attends vos retours avec impatiente ! Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 04-08-2020 Je suis dubitatif sur cette suite. Philippe n'est pas assez amoché, la mère ne comprend pas grand chose et fais une morale bidon. Vu que l'on parle de la mère il manque une phrase dans le dialogue. " -Maman, ta boite je te l'as fais bouffer cru ou tu veux que je te les cuises pour que ce soit plus mou? et t'aurais du prendre à la fraise, ça aurait donné du gout. " Et elle dit que le linge sort de la machine , elle a cru que ça aller se repasser tout seul? Que va t'il se passer dans la suite? Bonne continuation. Biz |