Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 31-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Toujours l'amour entre Phil et Henri. On sent bien qu'ils s'aiment ces deux là ! Ils devraient faire attention car ils pourraient être vus par des homophobes. Jean explique que c'est pour le fun qu'il s'est branlé avec Alex et dit qu'il n'est pas gay. Merci pour cette belle suite. Je te souhaite un très bon réveillon et déjà une Bonne Année 2021. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 31-12-2020 (31-12-2020, 06:26 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui les deux garçons s'aiment et comme tu le dis, ils devraient faire attention on ne sait jamais si il n'y a pas un homophobe dans le coin! Effectivement Jean s'amuse comme les ados de son âge avec l'un ou l'autre de ses copains et il fait de même avec Alex bien qu'il ne soit pas homo. Ha les ados !!! Merci pour tes bons vœux et je te souhaite également une bonne et heureuse année 2021 pour oublier au plus vite 2020 ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - KLO7514 - 01-01-2021 D'abord et pour tous , auteurs, lecteurs-commentateurs ou plus "secrets", j'adresse l'espoir qu'avec le temps qu'il faudra, nous puissions revenir à une vie plus conforme à nos souhaits à la fois de rencontres et de liberté. Faut pas que ces épreuves durent trop longtemps! Dans ce dernier épisode, nos jeunes se rendent compte que l'amitié fraternelle et aussi l'amour plus profond de deux êtres constituent l'exacte raison de notre existence sur notre planète. "Croissez et multipliez-vous" mais aussi "aimez-vous les-uns et les autres", j'ajouterai "in petto "qui que vous soyez"! Bien à vous tous, KLO. Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 02-01-2021 (01-01-2021, 08:58 PM)KLO7514 link a écrit :D'abord et pour tous , auteurs, lecteurs-commentateurs ou plus "secrets", j'adresse l'espoir qu'avec le temps qu'il faudra, nous puissions revenir à une vie plus conforme à nos souhaits à la fois de rencontres et de liberté. Faut pas que ces épreuves durent trop longtemps! Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Merci pour ton com ! Tous mes vœux de bonne et heureuse année 2021. Oui nous espérons tous que cette pandémie s'achève pour que nous puissions nous retrouver sans "interdits"! Oui les deux garçons semblent toujours s'aimer et ils se rendent compte de l'amitié et du soutien qui est présent au sein de la famille de Phil. Merci KLO de suivre le récit et de laisser un commentaire ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 02-01-2021 Après cette baignade, nous nous étions couchés au soleil pour nous sécher et profiter au maximum du temps qui nous restait pour n’être qu’à nous deux ! A un moment j’avais observé de plus près les pieds d’Henri. Il faut avouer que j’aimais observer les pieds, les pieds de n’importe qui, je ne savais pas pourquoi, mais c’était une obsession chez moi. Henri avait les pieds « égyptiens », c'est-à-dire que les doigts de pieds allaient du gros orteil vers le petit orteil suivant une même ligne. De plus le galbe de ses pieds me fascinait, pour moi les pieds égyptiens c’étaient les plus beaux pieds qu’il puisse exister. Henri me demanda alors : Henri : « Pourquoi regardes-tu mes pieds avec tant d’instance ! Moi : Je suis tombé amoureux de tes pieds, ce sont les plus beaux du monde. Tu vois ce sont des pieds égyptiens, et j’adore ça ! Henri : Mais tu es un vrai malade Phil, tu aimes les pieds maintenant ! Moi : Tu sais Henri, ça fait longtemps que j’admire les pieds des gens et je peux te dire que les tiens sont merveilleux. Même quand tu marches sur le sable tes pieds me fascinent, ils se posent d’une façon délicate et très sensuelle. Henri : Mais tu es un grand malade ! Moi : Non mon chéri, je suis fasciné par les pieds, je suis désolé ! Henri : Mais ce n’est pas grave, je suis juste étonné ! Moi : Ne t’inquiète pas ! C’est juste que tu as des pieds égyptiens, c’est en fait qu’il y a une ligne droite qui va du gros orteil en direction du petit orteil, voilà tout. Henri : Ah, je ne savais pas, c’est vrai que parfois je vois des gens qui ont les orteils plus grands que d’autres ! Moi : Tu vois que toi aussi tu avais remarqué ça ! Henri : Oui, mais pour moi ce n’est pas une obsession ! C’est comme quand tu t’assieds, je vois souvent ton zizi qui rétrécit, il devient plus petit ! Moi : Je sais Henri, ça m’arrive tout le temps, tu sais c’est parce que je suis un peu enveloppé et ça me fait cet effet là. Henri : ‘T’inquiète pas Phil, ça m’est égal, du moment que ton zigouigoui fonctionne bien c’est le principal. Moi : Merci mon amour, tu sais que je t’aime… et j’aime aussi tes pieds ! Henri : Oui, je te crois mon amour, l’obsédé des pieds ! Moi : Oui c’est ça, et mon amour est obsédé des petites zigounettes ! Nous nous étions mis à rire de bon cœur après cette conversation un peu particulière. Nous avions finalement fait un somme au soleil et nous nous étions réveillés presque dans les bras de l’autre. Il n’y avait presque personne à proximité de nous, personne ne pouvait deviner que nous étions amants. Henri me glissa alors à l’oreille : Phil, que je voudrai que le temps s’arrête et que nous puissions rester unis comme ça. Moi : C’est la même chose pour moi Henri. Je t’aime tu sais mon loulou, tu es le meilleur de ce qui ne soit donné de connaître, tu es la personne que j’aime le plus au monde. Henri : Tu sais Phil, c’est la même chose pour moi, tu ne peux t’imaginer comme je t’aime mon amour ! Moi : Oui Henri, tu es aussi mon amour. J’espère que ça pourra continuer comme ça le plus longtemps possible. Je t’aime. Henri : Arrête d’être pessimiste, et en plus nous avons la vie devant nous ! Moi : Oui tu as raison Henri, restons positifs, profitons de l’instant présent. Tu ne peux pas savoir comme j’aime être entre tes bras. » Nous nous étions alors donné un chaste baiser sur les lèvres. Vers la fin de l’après-midi, nous avions décidé de faire un dernier plongeon dans la mer avant de rentrer à la villa. Nous avions profité des vagues qui s’abattaient sur le rivage. Puis nous nous étions séchés mutuellement avant de rejoindre le parking et de nous vêtir d’un short. Nous avions repris nos vélos. Nous nous étions arrêtés avant de reprendre la piste cyclable menant à Notre Dame de Mont. Nous nous étions assis sur le sable et nous nous étions embrassés amoureusement, profitant des derniers moments avant de rejoindre les autres à la villa. Nous avions fait une petite course entre nous pour rejoindre la villa. J’avais laissé Henri gagner, je ne voulais pas le contrarier en aucune manière. C’était mon amour, mon rayon de soleil, mon amant, l’homme de ma vie. (De ma jeune vie). La fin de la journée s’annonçait des meilleures. Il faisait toujours un temps estival, il y avait près de 25°C à l’ombre, le soleil était généreux et une petite brise, venant du large était la bien venue pour rafraîchir l’atmosphère. Papa de son côté préparait le barbecue et oncle Pierre était occupé à faire des brochettes avec maman. Ma sœur et mon frère étaient occupés à jouer dans la piscine. Henri et moi nous étions directement allés les rejoindre dans l’eau, nus comme il se doit. Nous avions tout éclaboussé sur les plages de la piscine. Quelle joie d’être en vacances avec les gens qu’on aime ! Le repas était très gouteux, maman avait préparé des tomates mozzarella, de la salade fraîchement coupée de chez la voisine. Il y avait aussi des pommes de terre en chemises avec du beurre d’ail, bref un décile. Comme chaque soir nous allions nous délasser dans la piscine. En fait cette piscine était le centre d’intérêt de la villa et nous y allions très souvent en vue d’en profiter au maximum. Hop un petit passage par la salle de bain pour nous doucher et nous laver les dents. Nous étions allés nous coucher sagement et nous avions passé la nuit dans les bras l’un de l’autre. Au matin, nouveau réveil « tendresse » de la part de Jean. On commençait à s’y habituer ! Jean était un frère très famille, il aimait les câlins et il aimait aussi être câliné. Je pense que c’est la même chose pour tous les membres de la famille. Il avait été prévu de passer la journée sur l’île de Noirmoutier à l’Océanile. Nous nous étions donc préparés pour cette journée. Le pique-nique avait été préparé par maman avec l’aide de ma sœur Anne. Papa s’était occupé de préparer le frigo-box avec quelques boissons. L’oncle Pierre avait été acheté plusieurs baguettes pour le déjeuner. Bref, tous les sacs de piscine étaient prêts ainsi que les maillots de bain. Eh oui, ce n’est pas naturiste à l’Océanile. Nous nous étions rendus à Noirmoutier en voiture, le trajet n’était pas long, à peine une bonne demi-heure. Nous étions déjà arrivés juste au moment de l’ouverture des portes. Nous étions directement allés nous changer dans les vestiaires. Pour aller un peu plus vite nous étions souvent deux par cabine. Toutes nos affaires avaient été placées dans les sacs de bain. Quel enthousiasme, nous nous étions lancés dans la rivière sauvage (torrent) Anne, Jean, Henri et moi. Nous nous amusions comme des gosses et les rires éclataient tout au long de la descente. Maman, Papa et l’oncle Pierre étaient allés faire quelques longueurs dans la piscine couverte. Il faut dire que le fond de l’air était encore un peu frais. Pour nous les jeunes, pas d’importance, nous étions toujours partant pour affronter le parc aquatique. Nous avions profité de la piscine à vagues pour nous trouver au plus près de la corde maintenant les nageurs à distance de la machinerie. Nous sautions pour retomber dans les vagues. Quel délire entre nous. L’oncle Pierre n’était pas en reste non plus. Il était venu nous rejoindre dans les toboggans. Nous alternions le torrent, les toboggans, la piscine à vagues durant des heures. Pour le déjeuner nous nous étions rassemblés à une grande table. Nous avions mangé d’un bon appétit à la suite de la dépense d’énergie mise dans les attractions aquatiques. L’après-midi, rebelote, torrent, toboggans, piscine à vagues. Nous étions tous heureux d’être là en famille. Même Papa nous a accompagnés durant près de deux heures. Puis dans un délire nous étions allés nous coucher dans la pataugeoire au milieu des petits enfants qui barbotaient sous le regard de leurs parents. Nous étions très calmes pour ne pas les effrayer. Nous n’y étions restés que quelques minutes. Puis d’un coup, comme ça arrive souvent sur la côte atlantique, le ciel s’était obscurcit, de gros nuages noirs s’étaient avancés vers l’île. Puis un coup de tonnerre, « boum ». C’est alors que nous avions entendu au micro, que nous devions tous rentrer dans le hall de la piscine couverte pour nous abriter durant l’orage. Toues les attractions extérieures étaient fermées. Il était vrai que les orages pouvaient être assez violents en Vendée. Il y avait beaucoup de monde, mais nous avions trouvé un coin pour nous asseoir en famille. J’avais alors demandé à Henri comment il avait trouvé la journée. Henri était aux anges, il m’avait dit ne s’être jamais autant amusé comme ça de sa vie. Il était tout sourire et il remerciait mes parents pour l’avoir convié à cette activité. L’orage grondait, les éclairs étaient de plus en plus rapprochés. Le bruit devenait de plus en plus impressionnant. Nous étions contents d’être à l’abri. Puis c’était le déluge, des trombes d’eau s’étaient abattues sur l’île. Nous attendions sagement que les éléments se calment. Puis une bonne demi-heure après, nous avions pu reprendre nos activités extérieures, l’orage avait quitté l’île. Durant notre présence sur le site aquatique, nous devions, Henri et moi, rester sages, nous nous étions promis de ne pas attirer l’attention sur nous et je l’avais d’ailleurs promis à mes parents. Nous aurions Henri et moi l’occasion de nous cajoler par la suite. Nous avions terminé cette journée au centre aquatique par une dernière descente de la rivière sauvage, même maman y avait été avec nous. Nous avions tous bien ri de bon cœur. Nous nous étions ensuite tous changés dans les vestiaires avant de nous rendre sur le parking. Puis juste avant de remonter dans les voitures, Papa nous dit : Papa : « Bon, voilà, pour clore cette très belle journée, je vous invite tous dîner au restaurant. Il y aura pour ceux qui veulent des fruits de mer à volonté. Êtes-vous partants? Nous tous : Oh oui, merci, c’est génial ! Papa : Aller, suivez-moi ! » Nous nous étions rendus en voiture jusqu’au restaurant que Papa avait repéré. Nous avions eu une grande table pour pouvoir déguster des fruits de mer, enfin ceux qui en voulait bien sûr. Henri se demandait ce qu’il allait pouvoir manger. Il n’avait jamais mangé de fruits de mer. Papa lui avait dit qu’il allait goûter et s’il n’aimait pas, qu’il pourrait commander autre chose à manger. Nous fûmes servis. Henri regardait comment nous nous y prenions. Il goutait les fruits de mer et il semblait les apprécier. Finalement tout le monde était content. A la fin du repas, Papa avait pris la parole. Il s’était un peu reculé sur sa chaise et il dit : Papa : « Voilà, nous avons passé une excellente journée à Océanile. Et je voudrais tous vous féliciter, vous avez eu un comportement exemplaire. Mam : Oui, merci Jean-Claude, c’est vrai vous vous êtes très bien comportés. Je tiens à ajouter que je suis très, très fière du comportement d’Henri et de Phil. Vous êtes restés tous les deux très sages. Aucun geste déplacé ou qui aurait pu prêter à confusion. Vous avez été plus qu’à la hauteur de mes attentes. Je sais, nous savons, que nous pouvons compter sur vous et nous pouvons vous faire pleinement confiance. Moi : Merci maman, mais c’est normal, nous sommes conscients qu’il faut pouvoir se comporter sagement. Maman : Je sais, mais vous êtes exceptionnels. Je vous aime mes loulous. Et aussi Anne et Jean bien entendu. Éclats de rire général. Henri : Je voudrais dire un petit mot si je peux. Mam : Oui, bien sûr, nous t’écoutons. Henri : Je voudrais tous vous remercier de m’avoir accueilli pour passer quelques jours avec vous. Je n’ai jamais passé d’aussi bonnes vacances. Vous ne pouvez pas … (des larmes coulent sur les joues d’Henri) savoir combien je vous aime. Plus aucun mot ne sortait de la bouche d’Henri, il pleurait. Maman s’est levée et s’est approchée de lui, elle l’a pris dans ses bras. Moi-même j’avais les yeux tout embrumés. Maman ajouta alors : Maman : Ne pleure pas Henri, tu es comme un fils pour nous et nous t’aimons comme nous aimons tous nos enfants, tout comme Phil ton ami. Henri : Merci. Excusez-moi. Papa : Aller, pour fêter ce moment d’émotion, qui veut un bon dessert ? » Je me rendais une nouvelle fois compte de la sensibilité d’Henri. C’était une personne délicate, il avait cet air d’ange que je lui connaissais depuis le camp. C’est ce que qu’on appelle « une bonne personne ». J’étais fier de le connaître, d’être son petit ami, d’être son amant. Je l’avais dans la peau et je pense que lui aussi. J’étais merveilleusement heureux avec Henri et ma famille. Après ce délicieux dîner nous avions rejoints la villa. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 02-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] C'est vrai que les pieds sont parfois source de "beauté" pour certaines personnes. Cela fait partie du corps humain qui est pour moi aussi beauté. Tout se passe au mieux, Henri est très bien accueilli par toute la famille, il se sent comme un des enfants de cette famille, de la famille de Phil, son petit-ami, son chéri. Belle suite. Bon week-end. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 02-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Conversation amusante entre Henri et Phil. C’est vrai qu’on parle rarement des pieds dans les récits érotiques, par contre plus souvent des petites zigounettes. Encore un aveu de Phil qui est un peu enveloppé, il mange peut-être un peu trop… D’habitude les personnages ont des corps parfaits, on peut bien rêver. Bon week-end ! Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 02-01-2021 (02-01-2021, 05:40 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement il y en a qui aiment les pieds, ça fait partie des fantasmes! Henri se sent très bien accueilli par la famille de Phil. C'est important pour les deux garçons de se savoir ainsi aimés! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Bon week-end également! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 02-01-2021 (02-01-2021, 07:04 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui discussion amusante entre les deux garçons. Il est question de beauté des pieds, ce qui est rare sachant qu'il est souvent questions de zigounettes (petites ou grandes). Oui Phil est un peu enveloppé. On pense que les personnages des récits sont "parfais", un corps de têve, une belle paire de couilles avec un beau zizi! Ici on sait que ce n'est pas le cas pour Phil! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire ! Bon week-end également! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 05-01-2021 Une fois arrivés à la villa, nous les jeunes, nous nous étions rués vers la piscine. Nous nous étions désapés et nus nous avions piqué une tête dans la piscine. Nous nous amusions une nouvelle fois comme des gosses. Une fois cette baignade terminée, Papa nous avait dit que nous pouvions monter à notre chambre si nous voulions. Je suis certain que Papa voulait que nous puissions avoir un peu d’intimité. J’avais regardé Henri et il m’a fait signe que nous avions encore le temps. Nous étions restés avec toute la famille pour savourer cette ambiance familiale pleine de bonheur et d’amour. Une fois cette belle soirée terminée, nous avions tous regagné nos chambres. Henri m’avait pris par la main, il m’avait conduit en direction de notre lit. Il était radieux, son visage respirait le bonheur, il était très heureux d’être là, avec moi. Ses yeux débordaient d’amour, ils avaient un éclat malicieux, cachant une âme très sensible. Une nouvelle fois son regard angélique avait prise sur moi, il m’envoûtait, j’étais ensorcelé, j’étais tout à lui ! C'est une impression bizarre que je l’avais connue lors du camp scout. Quels souvenirs impérissables ! Nous nous étions couchés, nus, sans artifice aucun, sans pudeur aucune, tels que nous étions l’un pour l’autre, unis par un faisceau invisible, livrés, l’un à l’autre, en communion d’âme et d’esprit. Henri me murmurait à l’oreille : Henri : « Oh, Phil, que je t’aime, je suis si heureux avec toi. Dis-moi, est-ce que ça va durer ? Moi : Oh oui, Henri je t’aime aussi, je suis pleinement heureux avec toi, tu es mon rayon de soleil au travers de la nuit ! Je souhaite de tout cœur que notre amour dure jusqu’à la fin des temps ! Henri : Merci de me rassurer, j’avais un pressentiment, embrasse-moi s’il te plait ! » Nous nous étions embrassés voluptueusement. Nous étions à l’unisson, nous étions en plein accord, en parfaite communion. Les mots n’avaient pas besoin d’être prononcés, nous étions au nirvana, nous planions dans un océan de bonheur ! Pas besoin d’amour physique, nous étions heureux comme ça ! Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre dans un amour plein de bienveillance ! L’aube pointait déjà le bout de son nez. Le soleil était au rendez-vous, la journée promettait d’être belle. Henri dormait encore à mes côtés dans le lit. Nous étions nus, nos corps étaient reposés par une nuit pleine de beaux rêves d’amour et partages. Comme chaque matin au réveil, mon sexe était gonflé, il pointait vers le plafond. Je voyais que celui de mon très cher Henri était dans le même état. N’y résistant pas, j’avais posé ma main sur l’intimité dressée d’Henri. J’avais lentement caressé sa colonne de chair, elle avait d’ailleurs pris plus de volume. J’avais approché mes lèvres et doucement j’avais gobé le membre dressé. J’avais appliqué une pression douce et sensible ; puis au fur et à mesure je m’étais affranchi et j’avais accéléré les mouvements le long de ce sexe bandé. Henri commençait à gémir, j’avais pu voir qu’il avait les yeux ouverts et qu’il se délectait de cette fellation matinale. Puis j’avais encore accéléré le mouvement et la pression de mes lèvres sur son sexe, Henri était sur le point de non-retour et puis dans un mouvement de son bassin, il laissa 5 jets de semence s’écraser au fond de ma gorge. Il se laissa aller sur le lit savourant son orgasme ! Ensuite, dans un murmure il me glissa à l’oreille : Henri : « Merci Phil, un réveil comme ça tous les matins, ce serait le pied ! Moi : Oui, je suis pour ! Henri : Laisse-toi faire mon amour. C’est à mon tour ! » Henri avait avancé sa main vers mon intimité dressée. Il s’empara de ma zigounette et il la fit gonfler un peu plus. Henri me masturbait lentement et délicatement. Il savait comment s’y prendre pour me faire déconnecter de la réalité. Puis Henri approcha ses lèvres de mon mât tendu vers le ciel. Il lécha d’abord mon gland qu’il avait décalotté au préalable, il titillait le frein, il caressait avec sa main mes bourses, il descendait avec sa langue vers la base de mon plantoir, il remontait ensuite vers le gland puis il goba mon vis. Avec ses lèvres il fit des vas et viens délicieux, je ne savais plus où j’étais. Henri s’en donnait à cœur joie, c’était devenu un expert en pipe. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, je me sentais porté comme sur un nuage, j’étais comme envoûté par tant de volupté ! Enfin, me cabrant, j’avais laissé 5 longs jets de sperme s’écraser au fond de la gorge de mon amant ! Quel délice. Je m’étais alors laissé tomber comme une masse sur le dos. Henri, lui, riait de me voir ainsi ! J’avais alors glissé à l’oreille d’Henri : Moi : « Merci, merci de m’aimer comme tu le fais ! Henri : Mais de rien mon amour, je t’aime tu sais. Moi : Oh, Henri, si tu savais combien je t’aime aussi. » Nous avions alors échangé un baiser langoureux ! Une bonne demi-heure plus tard nous nous étions levés pour aller prendre une bonne douche. A peine installés sous la douche, nous avions vu arriver Jean. Il était encore un peu dans le cirage. Il avait la demi-gaule du matin. Nous l’avons autorisé à nous rejoindre. Nous nous étions savonnés le dos l’un l’autre en laissant nos attributs tranquilles. Même Jean était resté de marbre. Une fois notre douche terminée, nous nous étions revêtus d’un short pour descendre prendre le petit-déjeuner. Papa et maman étaient déjà à table. On entendait l’oncle Pierre chanter sous la douche tandis que ma sœur Anne devait encore être dans son lit. Nous avions donc mangé de bon appétit. J’avais sollicité de la part de Papa l’autorisation d’aller à la plage des Lays à la Barre de Mont. Papa avait donné son accord pour que nous puissions y aller durant l’après-midi. Henri était heureux car il savait que nous aurions enfin un peu de moment d’intimité à deux. Nous avions décidé, Henri et moi, de donner un coup de main à Maman pour le déjeuner. Nous l’avions donc accompagné faire les achats. Nous avions été dans le centre de Saint-Jean de Mont faire quelques emplettes. Une fois nos achats terminés, Maman nous avait proposé de prendre une collation sur la terrasse d’un bar. Henri et moi avions choisi de prendre un chocolat chaud, maman ayant quant à elle opté pour une café serré. Nous avions regagné la villa et avions apporté un petit coup de main pour la préparation du plat froid du midi. Une fois cette tâche terminée, nous étions allés nous jeter dans la piscine. Nous avions rejoint Jean qui y barbotait tout seul. Quel amusement de se détendre dans l’eau d’une piscine, de jouer comme ça en famille, car entre temps Anne nous avait rejoints. Par la suite, nous avions joué, toujours nus, au badminton sur la pelouse. L’oncle Pierre avait fait l’arbitre. Quelle belle matinée encore une fois passée avec la famille ! Nous avions mangé en famille le déjeuner que maman avait préparé. C’était donc un plat froid. C’était bien apprécié par la chaleur qu’il faisait. A l’issue du repas, Henri et moi nous avions enfourché nos vélos pour nous rendre à la plage. Papa nous avait recommandé de faire attention lorsque nous allions nous baigner car la mer était un peu forte à la suite de la marée. Nous nous étions Henri et moi dirigés vers la plage en passant par les pistes cyclables qui évitent la route. Nous étions arrivés au parking et nous avions mis nos vélos en sécurité le long des barrières en les y attachant avec un cadenas. Nous nous étions dirigés vers la plage en passant pas les dunes, ce qui nous évitait de longer la mer par la plage en vue de rejoindre la partie naturiste. Une fois sur cette plage naturiste nous nous étions dévêtus. Nous avions placés nos effets à proximité des oyats comme nous l’avions fait deux jours avant. Nous nous étions mis de la crème solaire sur le corps, nous nous étions aidés pour nous en mettre également dans le dos. Chacun en mettant sur le dos de l’autre. Nous nous étions étendus au soleil, côte à côte sans plus. Nous ne voulions pas attirer les regards en notre direction. Nous faisions comme si nous étions des copains, sans plus, pas de geste équivoque entre nous. Je n’avais pu m’empêcher d’une nouvelle fois admirer les pieds de mon cher Henri. Il avait les pieds les plus beaux du monde ! Plus tard dans l’après-midi étions allés dans la mer pour y prendre un bain et nous amuser. Nous plongions dans les vagues qui étaient plus hautes que les jours précédents. Nous nous frôlions, nos corps se touchaient et puis se séparaient. C’était un jeu de « séduction », une façon à nous de montrer à l’autre que nous étions là, plein de force et de vigueur. Puis nos mains se sont retrouvées, nous avons échangé un tout petit bisou sur la bouche, sans plus. Nos mains ont parcouru le corps de notre amant. Nous nous étions caressés, nos mains s’étaient ensuite attardées au niveau de nos attributs masculins, nous nous masturbions mutuellement au milieu des vagues. Nous étions loin de la plage, personne ne pouvait deviner ce que nous faisions ensemble. Puis au bout d’un bon quart d’heure nous nous étions libérés, nous avions éjaculé presque en même temps, nous avions savouré ce moment d’osmose entre nous. Nous étions une nouvelle fois comme seuls au monde, plus rien n’interférait, nous étions deux un point c’est tout. Ensuite nous étions restés environ deux bonnes heures à nous amuser dans les vagues, nous lançant du sable mouillé, l’un sur l’autre, pour rigoler. Nous avions quitté la mer pour enfin nous étendre et nous sécher au soleil. Il faisait très bon avec un petit vent qui nous caressait le corps. C’est une sensation de liberté que seuls les naturistes peuvent ressentir, n’ayant aucun morceau de tissus sur eux. C’était un après-midi qui s’était très bien déroulé, sans aucune faille, pleine de bonne humeur et d’amour partagé avec l’être aimé. Finalement, nous avions décidé de rentrer à la villa rejoindre la famille pour passer avec ses membres la fin de cet après-midi. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 05-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Les deux garçons, Phil et Henri, n'arrêtent pas de cajoler. On sent bien qu'ils s'aiment. La nudité est omniprésente dans le récit. Je comprends très bien que c'est tout à fait naturel pour eux d'être nus, ils n'ont pas honte de leur corps, c'est ça qui est génial. Petit moment de liberté pour Phil et Henri, ils vont à deux sur la plage naturiste, la plage des Lays. Charmante plage de sable fin. Merci Philou pour ces beaux moments d'intimité. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 05-01-2021 (05-01-2021, 03:21 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Comme tu le soulignes les deux ados s'aiment et se donnent l'un à l'autre très souvent et de diverses manières! Effectivement la nudité est présente dans le récit, tant pour les jeunes que les moins jeunes. Je suis adepte du naturisme et c'est pour cela que j'en parle. Phil et Henri peuvent aller à la plage des Lays, plage où ils sont déjà allés. C'est bien entendu une plage naturiste. Les deux ados s'amusent et se sentent libres face à l'océan. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - KLO7514 - 05-01-2021 C'est presque divin ces moments de quasi béatitude. On ne peut leur souhaiter que cela dure le plus longtemps possible. Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 06-01-2021 (05-01-2021, 11:44 PM)KLO7514 link a écrit :C'est presque divin ces moments de quasi béatitude. On ne peut leur souhaiter que cela dure le plus longtemps possible. Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Merci pour ton com ! Heureux de voir que tu apprécies ces moments d'intimité entre Henri et Phil. Bien entendu que leur souhait est que cela perdure le plus longtemps possible, mais la vie prend parfois de vilains détours ! Merci KLO de suivre le récit et de laisser un commentaire ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 06-01-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Les vacances se déroulent agréablement, avec des moments de sexe, de nudité et de baignades. Est-ce le calme avant la tempête ? Je t’embrasse Daniel |