Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 09-09-2021 Coucou les gens, Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" : 1 - [member=54]fablelionsilencieux[/member] 2 - [member=168]lelivredejeremie[/member] 3 - [member=206]gaetanbg[/member] 4 - [member=28]Lange128[/member] 5 - [member=331]Anonymous[/member] [member=54]fablelionsilencieux[/member], c'est ton tour, nous attendons ta photo ! (Hi, hi, hi ! J’adore parler à moi-même… Je suis toujours d’accord avec mon double) Donc, nouveaux cliché… Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 09-09-2021 Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 10-09-2021 La première histoire avec la phrase imposée, — J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais... — Mais t'étais chaud comme une braise, hein, mon p'tit cochon ? compléta le bel Hervé. Allez, la suite ! Tu t'es fait démonter le fion comme jamais, c'est ça ? — C'que ça peut être vulgaire, un hétéro ! soupira Vincent en haussant les épaules. Ce jeune homme racontait son vendredi soir à son meilleur pote de fac — sans doute un ami en devenir —, fieffé hétéro qui bouffait de la chatte à tous les repas. Une fort belle bête blond foncé et apparemment bien pourvu de poils sur ses nombreux muscles... mais pour ça, Vincent en était réduit aux conjectures, car il n'avait jamais vu son ami en petite tenue... On était ensemble à la fac depuis un an et demi, et l'on avait copiné tout de suite... et disons aussi que le superbe Hervé avait vite compris que sa plastique, comme ses yeux et son irrésistible sourire avaient touché le cœur du fin Vincent... Il en jouait, d'ailleurs, sans trop de cruauté, mais quand même... Mais il savait que Vincent était un fan club à lui tout seul. Ce qui n'empêchait pas ce mignon garçon de vivre sa vie... assez frénétiquement, parfois. Et comme Hervé ne lui épargnait pas les détails de ses parties de baise, il en faisait autant... espérant trouver la faille qui lui ouvrirait l'alcôve de ce beau mec... En vain, pour l'instant. — Et en fait, poursuivit Vincent, il y avait derrière un mec à poil. — Ah ! Ah ! Ah ! Ça t'a pas étonné, quand même ? — Non. Ce qui m'a étonné, c'est qu'il te ressemble de façon étonnante : même gueule, même gabarit, même allure générale... Pour la bite, je sais pas... mais la sienne est superbe. Les cheveux un peu plus foncés, peut-être. Et plein de jolis poils ! Donc : miam ! Hervé resta coi. Sans se l'avouer, il appréciait d'être admiré et désiré par ce gentil mec, qui était l'intellectuel qu'il n'était pas, et globalement, les choses allaient fort bien entre ces deux-là. Il se força à demander : — L'homme de ta vie ? — L'homme de ma vie, c'est toi. Mais lui... il veut me revoir. Alors tu penses bien que j'ai pas dit non ! Prudent, Hervé changea de sujet. On n'en manquait pas, entre les choses de la vie, et celles de la fac. Et puis on s'entendait réellement bien, tous les deux. Enfin, Hervé osa : — Tu me le présenteras, si... ? — Évidemment. Et ce qui serait pas mal, en fait... c'est que je vous voie tous les deux à poil, pour me faire une opinion. J'ai bien l'impression qu'il est mieux foutu que toi, in fine. Sans te vexer, bien sûr ! — Ta gueule ! bougonna Hervé, qui tenait à son statut de beau sportif. Lorsqu'on se sépara, ce samedi midi, Hervé n'était pas tout à son aise. Normal que Vincent vécût sa vie, évidemment ! Mais qu'il fût lui-même comparé à un autre, lui dont la plastique était louée par toutes les minettes de la ville ! Cependant, il acceptait bien que ce qu'il refusait à Vincent, celui-ci l'irait chercher... et trouver ailleurs. — Et pis... fit soudain Vincent alors qu'on s'était fait la bise, il a un truc qui m'a un peu surpris... mais bien plu. — Hein ? Et quoi ? — Il mouille super beaucoup. — Ah ! Et... — Ouais, c'est sympa... Miam ! Là, Hervé rougit in petto. Ce qu'il ne pouvait dire à son pote, c'est que lui aussi mouillait bien... ce qui n'était pas sans lui causer maint déboire au moment de se faire sucer. Bref, c'était un samedi qui débutait mal. D'autant que la meuf qu'il avait à tirer le soir-même était une chieuse de première... et qui ne le sucerait sûrement pas, justement à cause de... Il passa un après-midi des plus détestables, vraiment. En fin duquel il se décida à aller zoner un peu en ville. Pour tomber sur son pote attablé, sur une terrasse du centre ancien, avec un fort beau mec... qu'il détesta tout de suite. Mais il fut prié de s'asseoir, et associé à la conversation, d'ailleurs anodine. Le mec était souriant et réellement charmant. Et il vit que son pote Vincent le regardait avec les yeux d'un merlan frit réellement accro... Qu'est-ce qu'il faisait là ? Tenir la chandelle ? Et pis quoi encore ? Enfin, il trouva prétexte de son rencard du soir pour les quitter, et s'en fut, la mort dans l'âme... et surtout pas la moindre envie de baiser une connasse... Ce qu'il fit pourtant. Quand elle eut dégagé, il osa un message à Vincent : « Bonne soirée ? Content d'avoir rencontré ton pote ». Vincent lui donna alors rendez-vous pour le lendemain, vers une heure. — Bruno vient de partir dans sa famille, dit alors Vincent. Il est génial, ce mec ! — Ça se passe bien, donc ? — Ouais... C'est drôle : il te ressemble vachement, sans avoir les même goûts que toi, mais... les mêmes façons de réagir, et puis... la même carrure, et.... Bref, tu vois. — Oui, fit mornement Hervé. — Tu sais... j't'aime toujours, mon Hervé ! Hervé dut sourire... sans savoir que dire, certes. Vincent se lança alors dans un vif dithyrambe adressé à son nouvel amant. Hervé eut enfin le courage de le couper : — Bon ! Si je comprends tout, on va se voir nettement moins souvent, maintenant ? — Ben... ouais... mais ça change pas trop : toutes tes soirées « à chatte » sont aussi des moments où on se voit pas... Vincent avait marqué un point, qu'Hervé ne lui refusa pas. On alla se promener, et les réflexions de Vincent sur les mecs qu'on voyait montrèrent à Hervé que son ami avait changé et n'était plus le timide puceau qu'il avait connu... Et puis... Vincent ne cessait de parler de son Bruno... M'enfin, on décida de passer la soirée ensemble... encore qu'Hervé ne fût point si sûr de son coup. Et l'on alla chez Vincent. — En fait, ça m'a fait plaisir de voir que Bruno te ressemblait autant ! attaqua Vincent, après qu'on eut entamé deux vastes chopes de Leffe. Je sais rien de toi, pour le privé, mais bon ! Il te ressemble tellement que... — ...Que ? — Que je me dis que j'avais pas tort de t'aimer. — Ah ! — T'embête pas, Hervé : je te laisse tranquille, maintenant... Je crois que... je suis amoureux. Hervé fit bonne figure, évidemment. Et il sut gré à Vincent de ne pas insister sur son amoureux, et de changer de conversation dès qu'il s'oubliait... Sauf quand il déclara : — C'est bizarre, un mec qui mouille beaucoup... J'en avais rencontré des qu'avaient une petite goutte, comme moi, mais là... Et j'adore ! On peut bien jouer avec le prépuce, génial ! Hervé se demanda ce qu'il ratait là : pourvu lui aussi d'un long prépuce, il n'avait jamais vu de nana jouer avec, et encore moins avec sa mouille en plus ! Bref, il ferma sa gueule. Et ce fut bien songeur qu'il quitta son ami. Plus question de lui faire la moindre confidence intime, désormais ! Il eut la désagréable impression qu'une étape venait d'être franchie, entre Vincent et lui. Le petit s'émancipait. Il en avait bien le droit, et les moyens, mignon comme il était ! Mais... Hervé se rendit vite compte que le chaud confort que lui offrait cette muette mais ardente admiration risquait de lui manquer, et vite ! Il alla zoner en ville, et revint avec un ancien coup qui ne lui posa pas de problème. Un message de Vincent l'avertit qu'iceluy venait de retrouver son amoureux... On était fin juin, et il fallait bosser dur pour les derniers examens. Pas de problème pour ces jeunes gens, qui étaient bons en tout. On avait donc un prétexte pour ne pas trop se voir... Mais on s'aperçut, car ledit Bruno était aussi à l'université, et Hervé dut bien l'apercevoir au restau U, avec un énamouré Vincent... Et quand on se croisait, Hervé fut bien obligé de constater que Vincent rayonnait. Mais bon ! Boulot d'abord, et quelques petites chattes par-ci, par-là, en guise de soupape. On fut évidemment des heureux du jour, à l'heure des résultats. Et donc de la soirée de la victoire, organisée chez un gosse de riche — genre de joli play-boy fort accueillant —, dans une superbe villa où se retrouvèrent une quarantaine de loupiots bien décidés à déconner un max. Ce que nul ne savait était que la maison disposait d'une piscine... et nul n'avait évidemment prévu de maillot. Qu'à cela ne tienne ! Le bel Épiphane, qui recevait, décréta qu'on se baignerait à poil, pour ceux qui le voudraient... La moitié des invités vira tout tout de suite en hurlant et sauta dans l'eau à pieds joints. Dont Vincent et son Bruno. Mais Hervé s'en garda, bien gêné. Cependant, il n'était pas seul, Hervé ! Et vite, il oublia Vincent, sous les mains baladeuses de quelques délurées drôlesses. Et avec l'aide des bulles offertes par la maison, bien sûr. La soirée fut chaude, mais sans excès. Le bar était largement garni, et le buffet ne manquait pas de ressources. Hervé ne croisa pas Vincent, qui était le plus souvent dans l'eau avec son amoureux. M'enfin... les heures avançant, on s'en fut petit à petit. D'aucuns batifolaient encore gentiment sur les rives de la piscine, emmy [parmi] lesquels Vincent et Bruno... Qui décidèrent de prendre leurs aises ailleurs. Intervouillant le bel Épiphane, ils s'entendirent répondre : — J'ai un très grand lit... pour trois ! Vous venez ? — Euh... Dès demain on voit ça, tu veux ? fit Vincent, soucieux de baiser tranquille avec son Bruno. — Bon, j'dois avoir c'qu'y faut... Mais vous me promettez, un autre jour ? — Oui, juré ! fit un Vincent étonné de la proposition : Épiphane était un fort joli hétéro qui... Bon ! Il n'était pas du genre à se plaindre que la mariée est trop belle, et suivit Épiphane vers l'étage. La maison était immense, et Épiphane les mena vers une vaste chambre où un couple baisait déjà sur un des deux grands lits, à la lumière d'une seule lampe de chevet. Comme on était à poil, on ne fit pas de manières pour se vautrer l'un sur l'autre, et agir en conséquence. Miam et remiam ! Ils étaient chauds, ces p'tits-là ! Et la manœuvre suivit, avec une sportive ardeur. Jusqu'à ce que la nana voisine émît un genre de geignement de fin du monde... Faute de combattants, l'action s'éteignit, à côté, et la nana alla vers la salle de bains. Ce fut là qu’en son fouteur... on reconnut Hervé. Saisi, ce garçon ! Mais Vincent réagit vite, lui : — Oh, Hervé ! Viens, viens ! — On t'a pas entendu gueuler... t'as pas joui, hein ? ajouta Bruno. Viens ! — Non, fit le mec en se levant, mollement. Vif comme l'éclair, Vincent issut hors du lit et vint lui saisir le poignet brusquement, afin de l'attirer vers son paddock, où Hervé chut lourdement. Et se fit essuyer la bite avec le drap, évidemment ! Avant que Vincent se jetât sur icelle, toute bouche ouverte... La scène n'avait pas duré une douzaine de secondes, et Hervé soupirait déjà comme une jeune épousée. Il n'avait pas prévu que son supposé sosie l'empoignerait aussi, et virilement, encore ! Car Bruno lui pétrit les tétons incontinent, le tripota ailleurs encore, et dans des proportions qui dépassèrent vite les simples mondanités bourgeoises ! Mais... s'étant un instant relevé pour respirer, Vincent souffla : — Oh p'tain ! Tu mouilles, Hervé ! — Plus que moi ? demanda Bruno. — Ouais, viens voir ! On s'appliqua alors à tripoter le gland bien humide d'un Hervé qui n'en demandait pas tant... — Ouais, super ! fit Bruno. Miam ! — Miam et remiam, oui ! ajouta Vincent, non sans lécher alors les couilles de son ex-aimé, tandis que Bruno en pompait la mouille. — Oooh... soupira Hervé, incapable de réagir. Il n'était pas au bout de ses surprises, le superbe hétéro ! Car il ouït soudain : — Tu vas nous baiser tous les deux, hein, mon Hervé ? — Maaaais ! bêla ce bel enfant. — T'as pas joui, faut que nous donnes ton p'tit jus ! ajouta Bruno. Faut que tu prennes ton pied, bébé ! — Oooh ! Et dans la lumière feutrée de la chambre, on s'occupa de se faire baiser par le bel Hervé. Qui fit ça bien, d'ailleurs. Et même... sembla y trouver de l'agrément. Et ce fut sur la gueule des deux mectons qu'il finit par jouir, longuement. Les mecs s'entreléchèrent avant de lui pomper les dernières gouttes... Hervé demanda la permission de s'aller doucher dans la petite salle d'eau attenante... et s'en fut sans que les autres le remarquassent. Bien sûr, le téléphone marcha, le lendemain ! Archigêné, Hervé ne sut que dire à Vincent. Qui fut de toute douceur. — Je veux pas t'emmerder, Hervé ! Bruno t'aime aussi, maintenant. Tu voudrais être notre ami... préféré ? Faute de mieux, Hervé accepta et... ne s'en trouva pas mal. Mais on causa : — J'adore Bruno, mais je t'aime toujours, mon Hervé ! — T'es casé, non ? — Il te reste une partie de mon cœur... et Bruno l'accepte. Il t'aime beaucoup aussi, tu sais ? — Tant que je suis seul... lâcha Hervé sans y penser. — Et pis... Bruno et moi... on aime bien... que tu mouilles comme ça. — Oh, ça ! — Ben oui, on aime. Alors tu nous en prives pas, hein ? Hervé dut sourire. Quelle bizarre situation ! Alors que sa mouille en rebutait plus d'une ! Les jours passèrent doucement, et puis un jour, les mectons retombèrent sur le bel Épiphane qui apprécia vivement la mouille de Bruno. D'où l'idée que... Hervé accepta de revoir ce mec, très jolie bestiole pleine de poils et hétéro sans préjugés... ni morale aucune ! Et puis... petit à petit... Hervé aima baiser son joli et musclé cul velu... Avant d'en prendre autant. D'iceluy, et des deux autres ! Et depuis... la vie est belle, dans l'pays ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 11-09-2021 Fort joli conte d'insensible transformation. "Petit à petit, l'oiseau fait son nid", disait souvent un de mes anciens "supérieurs" dans mon boulot. Et c'est bien à cela que nous assistons ici. J'ajoute cette autre "moralité" bien connue : «Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage». M. son auteur que j'ai cru deviner à son style très particulier, n'aura pas besoin que j'en dise davantage à son sujet : il se sera reconnu! (J'écris exprès cette dernière partie de phrase qui pourrait sembler incompréhensible placée là. J'apprécie assez d'intriguer mes amis, hi hi!) KLO. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 12-09-2021 J’adore le jeu du fin Vincent, qui opte pour la provocation pour faire réagir son pote, c’est pas un mauvais plan de retourner la classique fierté de mâle, en mode psychologie inversée Après… il est con ou il fait le con, Hervé ? Un peu de présperme qui suinte du prépuce, c’est hyper flatteur, déjà pour le receveur ! 0.0 Ce que j’aime bien chez [Louklouk, très supposé], ce sont les bons sentiments et l’ouverture d’esprit généralisés, puis le fait que souvent, tout le monde finisse par se mélanger. Fantasme perso, déjà Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 12-09-2021 Deuxième porte, J’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, , après le match sur grindr avec 'Turing' (dont je m’étais dit qu’à son inscription, il était trop excité – ou très con – et avait oublié le 'o' de son pseudo), la conv’ messenger anonyme, par messages, avait pris un tour un peu étrange… [Jonathan ? J’en ai connu un. Enfin, pas 'bibliquement', malheureusement, il était mon élève, mais j’aurais aimé être son premier] [J’espère ne pas être *ton* premier] ai-je répondu, un peu pour le vexer, en espérant un accueil… disons… pas agressif, mais viril. [Oh non ! J’ai tenté d’assouvir le fantasme avec tant d’autres garçons… Mais je me dis que cette fois sera peut-être la bonne] Un fantasme ? Ça veut tout dire et rien, en même temps. Au pire, il m’imposera d’enfiler un uniforme de collégien anglais avant une dictée vicelarde dont chaque faute d’orthographe me vaudra une claque sur les fesses, j’en ai croisé de tellement bizarres… Les aléas du métier, on dira. [Ton profil me plait : physique twink mince, passif - et j’espère soumis - amateur de 'kinky' et de bdsm] [Ouais, euh, soft, le bdsm, hein !] [Pas de violence, promis ] Là, j’imagine les sourcils et les coins de bouche relevés, et je sais, depuis Joris, le vrai, le bon, je m’étais promis de stopper les rencontres tarifées, sauf qu’on ne peut pas vivre d’amour et d’eau fraîche, et malgré ce que nos parents nous filent, ben, il nous reste du mois à la fin de notre argent, quoi… Lorsque j’ai suggéré de trouver un petit boulot d’appoint, il a compris directement. Après, il a le cerveau, lui, il peut donner des cours de rattrapage dans plein de matières, je suis bien moins brillant mais j’ai mon corps, dont il a capté autant que moi qu’il plait à pas mal de mecs. - Promets-moi juste de ne pas embrasser et de ne pas tomber amoureux d’un autre. - Non, beurk ! Et ça non plus, c’est impossible" l’ai-je rassuré. Et j’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, les mots me reviennent à l’esprit 'je t’espère soumis… bdsm…'. Bah, je viens d’envoyer l’adresse à Joris par texto, je vais montrer l’écran de mon iPhone à ce mec dès qu’il aura ouvert, en guise de bonjour et j… - Monsieur Prégardien ? - Ah ! Tu te souviens de moi, Jonathan ? Je n’étais pourtant pas ton prof préféré, tu as toujours refusé tout rapprochement, jusqu’aux cours de soutien que je t’avais proposés, tu étais pourtant un élève médiocre en maths et en informatique, et dieu sait que j’aurais pu me contenter de cette vague intimité, mais non ! - Aaah ! C’est pour ça, votre pseudo, Turing ! - Eh oui, un précurseur de l’informatique, gay, un génie abattu par une société bien-pensante. - Mais… quelle intimité ? Mais vous étiez mon prof ! - Etais-tu encore plus nul en sport ? Après une délibération d’examens, ce pochard abruti de Delvenne m’a dit religieusement conserver les capotes utilisées dans les vestiaires avec les plus mignons de ses élèves, et qu’il y en avait une à ton nom. Enfin, bref, tout cela est loin, ce con s’est tué en voiture, probablement bourré et j’imagine à peine la surprise de sa veuve lorsqu’elle aura découvert sa ridicule collection, mais nous voilà, le contexte a changé" a-t-il lâché en me tendant deux billets de 50€. "Déshabille-toi et allonge-toi sur le lit, sur le ventre, jambes écartées". Le temps qu’il vire ses fringues à son tour, mon regard a scanné le studio pourri, et je me suis tourné vers lui alors qu’il déroulait le latex sur son sexe. - Vous vivez ici ? Mais votre maison à E*** ? - Je ne veux pas connaître ta vie, Jona, comme tu n’aurais objectivement aucun droit de connaître la mienne" a-t-il grogné en écrasant mon bassin légèrement surélevé contre le matelas, avant de me pénétrer sans considération "mais sans qu’elles ne le sachent jamais qui tu es, la femme de ton prof d’EPS n’est pas la seule dont tu aies amené le mari à briser les illusions…" Second coup de reins sans ménagement. "Et le désir que je ressentais pour toi, j’ai essayé de l’assouvir avec beaucoup de garçons qui te ressemblaient, trop sans doute, sans jamais y arriver, jusqu’à ce que ma femme réalise… Divorce sordide où elle a étalé mes rencontres pathétiques de plaisir avec autant de petits mecs insipides, que de mouvements que je vais m’autoriser dans ton corps !" Il s’est retiré, m’a arraché des mains le flacon de poppers que j’essayais d’ouvrir et l’a jeté au fond de la pièce, en maintenant une poigne ferme sur ma nuque, puis est revenu en moi pour reprendre l’invasion de mon corps, et de l’autre main, il a agité devant mes yeux la capote qu’il avait retirée "Ton plaisir n’était pas inclus dans l’accord, Jona, et là, je… Aaaaah… Tu es entièrement à moi !" a-t-il éructé en se vidant sans considération en moi. Sans un mot, je me suis rhabillé et j’ai quitté la pièce minable, en me promettant d’imposer la visio pour mes prochains contrats ! Trois jours plus tard, sur le groupe FB des anciens du lycée, j’ai appris que Monsieur Prégardien s’était suicidé, comme Alan Turing... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-09-2021 J’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, mais... je n'ai pas d'autre choix que de l’ouvrir, j'ai trop envie de baiser. Je suis en vacances dans le sud de la France et mon meilleur pote dois me rejoindre. Lui n'arrivera que demain – pour raison familiale, m’a-t-il dis. Je m'appelle Antoine et j'ai 30 ans depuis peu. Je suis de style BCBG. Par là il faut comprendre beau cul, belle gueule. Je suis plutôt grand (180) pour 75 kg musclé. Je fais du foot dans l'équipe locale et, officiellement, je suis un coureur de jupons invétéré, bien qu'étant toujours célibataire. Officieusement, l'intérieur de certains boxers m'intéresse aussi beaucoup (autant le devant que le derrière). Hé oui, je suis bi depuis que ma libido me travaille. J'ai branché une appli connue de tous, et, depuis un petit moment, j'échange avec un mec qui dit avoir 28 ans et être beau gosse. Seulement il ne veut pas me montrer de photo de lui. Par contre, il me chauffe grave et me donne rendez-vous dans une heure dans un hôtel F1 tout proche. J'ai grave envie d'y aller parce que ça fait un moment que je n'ai plus baisé. J'ai les couilles qui ne vont pas tarder à exploser, si je ne m'en occupe pas et ce n'est pas mes branlettes quotidiennes qui vont me calmer. Après j'ai peur de tomber sur un fake, j'ai pas envie de me taper un gros thon non plus. Le mec insiste en me disant que je ne serai pas déçu, qu'il est réel beau gosse, qu'il m'attendra sur le lit à quatre pattes avec une cagoule sur la tête et un plug dans le cul. Que je pourrai faire ce que je veux de lui … je lui redemande des tofs. Il ne veut pas mais se décrit en détail. Donc, il a 28 ans, blond et imberbe. Il fait 182 pour 78 kilos, le corps athlétique. Il dit avoir de beaux pecs avec des pointes de seins développées qu'il aime qu'on travaille, il dit aussi avoir un cul tout lisse, rasé et très musclé, une bonne bite bien juteuse qui, quand il est bien excité touche son ventre en laissant échapper une cascade de liquide séminal ! Il sait se vendre, en tout cas. Il me dit aussi s'être lavé l'extérieur et l’intérieur, qu'il y aura du lubrifiant et des capotes, il précise : facultatives, sur le chevet. Et pour m'exciter encore plus, il rajoute que je pourrais faire TOUT ce que je veux de lui sauf lui quitter sa cagoule. Je suis grave chaud là et je crois que je vais y aller. Non je ne crois pas j'en suis sûr ! Le temps de prendre une douche et de me donner un coup de peigne. Ça y est je suis prêt. Je lui envoie un message auquel il répond en me donnant le code de la porte d'entrée de l’hôtel, puis le numéro de sa chambre et le code qui permet d'y accéder. Le premier code est correct. J'entre dans le hall où il n'y a pas de réception. Je cherche des indications et je trouve où aller pour gagner sa chambre. Je suis devant l’ultime obstacle. J’ai toujours une certaine appréhension. Je ne sais pas ce qui m’attend derrière cette porte, mais l’excitation face à cette situation inédite fait que je tape le second code et j’ouvre. La lumière est fortement tamisée et à quatre pattes sur le lit, le gars est bien là, dans cette pénombre. Ma queue fait un bon dans mon boxer. Il est bien comme il s'est décrit. Entre ses fesses je vois un rond noir. Surement le plug. Sa cagoule ne laisse rien voir à part sa bouche. Je commence par lui caresser les fesses avant de les claquer assez fort. Il gémit et sa queue qui bandait quand je suis rentré commence à suinter. Je l’observe. C'est vrai qu'il est bien comme il s'est décrit. Je me fous à poil et je grimpe sur le lit en face de lui. Je frotte mon gland sur ses lèvres et il ouvre grand sa bouche dans laquelle j’enfonce progressivement mon sexe. Je le prends derrière la tête et je m'enfourne loin dans sa gorge. Il s’étouffe, il bave, il manque vomir. Mais je m'en tape de tout ça. Il m'a dit de faire ce que je voulais de lui. Je me fais donc sucer un long moment en gorge profonde en lui tirant fort sur les tétines ce qu'il semble fortement aimer. Parfois je lui claque le cul bien fort quand il manque de motivation pour me sucer. Sa queue bave comme un escargot qui a rencontré du sel et du vinaigre. Je suis en train de réfléchir pour savoir si je lui jouis dans la bouche ou dans le cul ou alors si je lui jouis dans la bouche et dans le cul. Parce qu'en fait je sens que je ne vais pas tarder à envoyer mon jus mais aussi je suis déjà sûr qu'une seule éjac ne me satisfera pas. Dommage que la cagoule m'empêche d'attraper ses cheveux parce que je kiffe grave bourrer la gueule d'un mec avec ma grosse queue en lui imposant mon rythme en lui manœuvrant la tête par les cheveux. Bon tant pis ça vient. Je m'enfonce à fond et j'envoie mon jus. Le mec suffoque un peu mais il avale tout. Je me retire le temps de lui laisser prendre une gorgée d'air et je me renfonce bien à fond. Au passage la cagoule a pris une giclée. Un fil de mouille coule de la queue du mec jusque sur le lit. Je m'amuse à le faire gémir en lui tirant fort sur ses tétines et en lui baisant la bouche histoire de maintenir mon érection qui, de toute façon, ne semble pas vouloir passer. Je prends du gel et commence à en faire couler le long de sa raie qu'il a toute lisse. J'enlève le plug qui obstrue mon futur champ de tir. Putain, la taille de l’engin que j’ai sorti, c'est qu'il est gourmand le mec ou alors très prévoyant. J'enfonce trois doigts d'un coup et ça rentre tout seul. Je vois les capotes. J'en mets une ou pas ? Et puis merde j'ai trop envie de la féconder cette salope. On a échangé nos test avant et il ne m’a pas menti jusqu’à présent. Je me place derrière lui, je me tartine la queue de lubrifiant et je m'enfonce d'un seul coup, le faisant gémir. Je fais quelques allers retours tranquille avant de me mettre à le baiser comme la chienne qu'il est. Et je vous promets que je fais durer longtemps en me retirant quand je sens que je ne vais plus pouvoir résister. Il a le cul rouge tellement je lui ai collé des claques dessus. On voit même la trace de mes doigts. Et plus j'y vais fort, plus il cambre bien ses fesses pour que je rentre encore plus profond. Mais c'est une vraie salope ce mec. Pour me finir, je le prends en missionnaire en lui donnant des grands coups de rein et en étirant ses tétines au maximum. Cette salope bande raide. Sa queue est palpitante et tendue à l'extrême, et elle mouille grave, pire que la fontaine des Trois Grâces, LOL ! Il y a une grosse flaque de liquide séminal sur son ventre et son nombril en est plein. Je l'entends gémir plus fort et, ce trou à bite jouit sans même se branler. Pas qu'une petite giclée de minot mais plusieurs giclées bien blanches, bien grumeleuses mais surtout, bien puissantes. Son cul se resserre sur ma queue et, sans possibilité d’encore me retenir, je le féconde de plusieurs giclées. Je me retire, je lui donne ma bite à sucer pour la nettoyer… je me rhabille et je me casse les couilles vides. Je me fais la réflexion qu’en dehors de ses gémissements, je n’ai pas entendu le son de sa voix ! Le lendemain, c'est mon pote qui me réveille. Je râle, mais il me fait remarquer qu'il est midi passé et que je pourrais lui dire bonjour avant de l’engueuler. On se tape la bise, il pose ses affaires dans la chambre, va prendre une douche et se changer. Quand il revient je remarque qu'il marche de façon bizarre. – Hé Tom, t'as pris une bite dans le cul pour marcher en canard ? – Connard ! J'ai bouffé du couscous et j'y ai mis trop de sauce piquante. Du coup, j'ai une crise d’hémorroïdes. – Si tu veux j'ai la solution pour te les faire passer. – Je suis pas une grosse tafiole comme toi alors tu te trouves un autre trou que le mien pour te vider. – Ça ira. Hier je suis tombé sur une grosse salope qui m'a avalé et que j'ai niqué de ouf. – Elle a dû apprécier. – Il a dû apprécier. C'était un mec. Il te ressemblait un peu même. J'ai bien kiffé le remplir des deux côtés. – Cool pour toi et tu as aussi fait du repérage nana ? Y'a de la moule à brouter ? – J'ai pas eu le temps mais on mange un bout vite fait et on part à la plage ? Le temps de bouffer, de nous changer et nous voilà, deux beaux gosses, en train de nous tartiner de crème solaire. Tom mate tous les beaux petits culs qui passent. Je fais de même mais en matant aussi le cul et les paquets des beaux males qui se baladent. On va se baigner, y'a des grosses vagues. On joue à plonger et… Tom se retrouve la tête entre les jambes d'une belle rousse à laquelle il sourit. Immédiatement, la conversation s’engage. Au fil des vagues, le rapprochement devient de plus en plus évident et c'est seul que je regagne ma serviette. Je me sèche au soleil et Tom discute toujours. Il a les mains baladeuses mais ça n'a pas l'air d'offusquer la belle rouquine. Je m’ennuie. Je sors mon tel et je me branche sur l'appli de la veille. Il y a cinq mecs à moins de 100 m de moi. J'essaie de les repérer. Ok, il y a le couple de quarantenaires un peu plus loin à gauche. Puis le gamin plein d'acné qui s'est installé à côté de nous. Ça fait trois. J'ai plus de mal pour les deux derniers. Ça y est le quatrième c'est un des CRS qui assure la surveillance de la plage et le cinquième… Oh ! c'est mon mec d'hier, sauf que des blonds, à part Tom, il n'y en a pas dans le coin. Je ne comprends pas et me décide à lui envoyer un message. Aussitôt, j'entends le téléphone vibrer dans le sac de mon pote. Ça me fait sourire. Il faudra qu'on ait une loooongue discussion entre quatre yeux. Ces quinze jours de vacances s’annonce plus mouvementés que prévu ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 14-09-2021 J'ai assez vite imaginé que Tom était le mec du F1, confirmé par son petit numéro de super-straight Puis, l'histoire d'une seconde et demie qu'il était hétéro-curieux, et avec qui essayer sinon avec son best bi... 8) Mais le mec qui se fait baiser la bouche en contrôlant aussi bien son 'réflexe nauséeux', qui se prend une b*te d'un seul mouvement, et qui jouit sans les mains, il s'en est clairement déjà pris des kilomètres La conv' entre quatre yeux promet d'être au moins aussi jouissive que sa fécondation 8) Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 14-09-2021 Oui, du même avis que Jérémie : dommage que le suspense s'envole trop tôt... Sinon... on aimerait bien la lire, cette "looongue discussion" ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 14-09-2021 Hé hé...on ne va pas s'ennuyer durant ces 15 jours ensemble, j'ai l'impression! Il y en a qui vont s'envoyer en l'air sans brevet de pilotage! Nous comprenons mieux la façon de marcher du gars Math qui en a pris plein le fondement hier. L'hétéro "pur et dur"nous la baille bonne! (Il sait aussi être "dur" au bon moment, ). J'aurais préféré une rencontre dans un hôtel "1ère classe" car il y existe une petite douche exiguë certes, tandis que les F1 n'en ont pas dans la chambre : il faut sortir de celle-ci pour trouver cette pièce non "privative". Enfin, la chambre est souvent moins chère. Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 15-09-2021 (14-09-2021, 11:12 PM)KLO7514 link a écrit :... tandis que les F1 n'en ont pas dans la chambre : il faut sortir de celle-ci pour trouver cette pièce non "privative".Et même là, mtnt je ne sais pas, mais il y a qq années, ça tenait de la légende urbaine, on n'y croisait que la famille néerlandaise de 5 à 35 ans, bruyants et sales, beurkh ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 16-09-2021 Un petit retardataire, ‒ Tien, salut ! ‒ Bonjour ! ‒ Qu'est-ce que tu fais là ? Tu as l'air bien mal en point. ‒ Oui, ça fait longtemps que je suis bloqué ici et toi ? ‒ Je viens juste d'arriver. Un morceau de mur a pivoté et je suis passé. ‒ On peut donc ressortir ? ‒ Non, une occupante a récupéré quelque-chose et puis elle est partie en remettant le mur comme il était. ‒ On est donc bloqué. ‒ Oui. Et toi, comment tu as pu rentrer ? ‒ C'était un soir. Il y avait de la lumière et un mélange de 2 odeurs. Deux odeurs de plantes. L'une pas terrible qui donne du mal à respirer, l'autre beaucoup plus sympathique assez attirante. Je me suis approché et à ce moment là, il n'y avait pas de barrière magique pour m'empêcher de passer. Je suis donc rentré. L'odeur venait d'un tube qui s'élargissait avec un peu de lumière au bout. L'occupant de la pièce avait le tube à sa bouche. ‒ Et après ? ‒ Je suis resté là pour l'observer. ‒ Et alors ? ‒ Après, il a prit une petite boite. D'abord, il s'est mis à taper dessus avec le bout des pattes. Et pendant qu'il tapait, il y a avait des formes bizarres qui apparaissaient à un autre point de la boite. et puis après avoir fait ça assez longtemps, il s'est allongé et a fait apparaître des gens comme lui dans la boite, mais beaucoup plus petits. ‒ Il y a des nains parmi eux ? ‒ Je ne sais pas. Mais ils arrivaient à rester dans la boite noire qui n'était pas très épaisse. ‒ Et qu'est ce qu'ils faisaient ? ‒ D'abord, ils ont commencé à enlever leur deuxième carapace. Chacun avec deux de ses pattes enlevait la deuxième carapace de l'autre. Et puis, ils se sont passé les pattes doucement sur la première carapace de l'autre. Ils avaient l'air d'aimer ça. L'un d'eux avait un aiguillon qui grossissait et l'autre a mis l'aiguillon à sa bouche. ‒ Il voulait le manger ? ‒ C'est ce que j'ai pensé, mais il faisait juste des mouvements de va et vient et à la fin, il l'a laissé sans l'avoir croqué. Et on a vu dans la boite une montagne rouge avec des éruptions. ‒ Et pendant ce temps là, que faisait l'utilisateur de la boite ? ‒ Il a lui aussi crée une ouverture dans sa deuxième carapace, plus précisément à l'endroit où partent les pattes du bas. Mais il s'est contenté de déplacer un peu cette carapace. En dessous, il y en avait une autre avec des dessins colorés, mais juste à l'endroit où les pattes du bas se rejoignent. Et il y avait une bosse au milieu de cette deuxième carapace qu'il a déplacée. En fait, la bosse que j'avais vu provenait d'un aiguillon. ‒ Et après ? ‒ Il semblait captivé par ce qu'il voyait dans la boite qu'il tenait avec une patte. Et avec l'autre patte, Il frottait l'endroit où commence ses pattes du bas. Il faisait ça doucement, ça avait l'air d'une caresse. A la base de son aiguillon, il y avait deux boules qu'il pétrissait. Et son aiguillon s'allongeait, il grossissait aussi légèrement tout en restant bien raide. Et au bout de son aiguillon commençait à apparaître un bout beaucoup plus rouge. Alors, avec une patte, il a saisi son aiguillon et fait des mouvements de va et vient. Et il s'est mis à émettre des bruits : AAaah AAAaa AAAAaaaaa AAAaaaaaaa AAaaaaaaaa. ‒ Il avait mal ? ‒ Non, je ne pense pas, il avait la tête souriante. ‒ Et après ? ‒ Il s'est mis à respirer fort comme s'il manquait d'air et il continuait à crier des AAAAaaaa AAAaaaaa AAAAaaaaa AAAAaaaaa AAAAAAAaaaaaaaa. Et tout à coup, un liquide blanchâtre est parti en l'air de son aiguillon pour retomber sur sa carapace. Il y a eu plusieurs jets de liquide successifs. Ça ressemblait un peu à l'éruption qu'il y a eu dans la boite. Alors, il a posé sa boite qui est devenue toute noire, il a enlevé complètement sa 2ème carapace bleu clair qui couvraient les pattes du bas ainsi que celle qu'il avait en plus avec les dessins colorés qu'il a utilisé pour essuyer les traces des jets. Il a éteint la lumière mais j'arrivais encore à y voir et s'est endormi assez vite alors que son aiguillon diminuait de volume. Mais quand le nouveau cycle de lumière a commencé, il avait de nouveau grossi. Il s'est réveillé, et il a recommencé à manipuler son aiguillon jusqu'à ce que d'autres jets en sortent. Il les essuyé, et puis, il s'est remis les éléments de sa 2ème carapace. Il a alors fait bouger un morceau de mur et est allé à un autre endroit. Il a ouvert le haut de sa 2ème carapace bleue, a sorti son aiguillon,, mais cette fois, c'est un liquide jaune qui a coulé vers le bas pendant un certain temps sans qu'il ait eu à faire des mouvements sur son aiguillon. Et puis il est allé manger avec d'autres gens de son espèce. ‒ Et les autres, tu as observé des choses intéressantes avec eux ? ‒ Ça dépend. Il y a une pièce intéressante mais dangereuse. A certains moments, de l'eau tombe du plafond et elle s'en va par un trou dans le plancher. Il faut faire attention de ne pas être sur le trajet des gouttes pour éviter d'être emporté. Certains y vont sans aucune couche supplémentaire sur leur carapace, d'autres enlèvent ces couches après être rentré dans la pièce. Ensuite, il y a de l'eau qui coule sur leur carapace. A ce moment là, deux d'entre eux qui ont un aiguillon ont un jet de liquide jaune qui coule un certain temps de celui-ci. Il y a quelquefois une personne sans aiguillon qui fait pareil. Le liquide jaune sort du milieu de la zone où sont attachées leurs pattes du bas. Après avoir laissé couler le liquide jaune, celui de cette pièce se passe les pattes du haut un peu partout sur le thorax, le haut des pattes du bas et sur l'aiguillon qui s'allonge. Il arrête ces manipulations une fois qu'un liquide blanc est sortie par saccade de son aiguillon. ‒ Il sortirait donc deux choses de leur aiguillon ? ‒ Oui, un liquide jaune qui coule en flot continu et un semi-liquide blanc assez visqueux. Mais pour le liquide blanc, il faut manipuler l'aiguillon. ‒ Et après ? ‒ Il y a une personne assez petite (elle n'a pas du manger beaucoup) qui n'a pas d'aiguillon. Mais elle passe le doigt dans un trou qu'elle a l'endroit où peut couler le liquide jaune et comme celui qui manipule son aiguillon, elle semble apprécier de faire ça. ‒ Et ils ont besoin d'aller dans une pièce où de l'eau tombe du plafond pour faire ça ? ‒ Je ne pense pas. D'ailleurs tous ne le font pas. Par contre une fois leur carapace mouillée, ils se passent tous un produit qui fait des bulles et qui a une odeur assez artificielle. Je n'aime pas cette odeur. Celui qui aime secouer son aiguillon va moins souvent à cet endroit. Il a du comprendre que ça lui permet de garder plus longtemps son odeur naturelle. Puis, il y a de nouveau de l'eau qui coule sur leur carapace et ils ressortent, épongent l'eau sur leur carapace et vont mettre des couches supplémentaire, soit d'autres que celles qu'ils avaient avant de rentrer, soit les mêmes, surtout pour les couches du dessus. ‒ Et il y a des différences au niveau des couches de carapace supplémentaires ? ‒ Oui, surtout pour les pattes du bas. Quelquefois, des personnes qui n'ont pas d'aiguillon mettent juste un tube de la largeur de l'abdomen qui tombe jusqu'à mi hauteur des pattes du bas. Par contre, ceux qui ont un aiguillon mettent tous une couche bleue qui couvre entièrement les pattes du bas. Toutefois, celui qui vient souvent dans cette pièce a des ouvertures sur le devant au niveau de l'articulation des pattes du bas. C'est astucieux, comme ça, ça augmente la souplesse. Il y a aussi quelques trous en dessus de ces ouvertures. Mais je ne sais pas si c'est pour aérer ou si cette carapace du dessus a été abîmée. ‒ Mais actuellement, ils ne sont plus là. ‒ Oui, ça fait un bon nombre de cycles de lumière qu'il n'y a plus personnes et que je suis bloqué par des barrières magiques. ‒ Combien de cycles de lumière ? ‒ Je dirai, peut être 2 fois plus de cycles que j'ai de pattes ! ‒ Oh là là ! Ça fait une éternité dans la vie d'un moustique ! Et depuis, tu n'as rien trouvé à manger ? ‒ J'ai essayé de grignoter des choses qu'il y a dans cette pièce. J'ai mangé un peu de la plante qui avait une bonne odeur. C'est pas mal, mais ça m'a fait un effet bizarre. Je me suis mis à voler en faisant des exercices de changement de direction, j'ai heurté plusieurs fois la barrière magique. J'aurai pu me faire très mal, mais je rigolais. J'ai aussi atterri les pattes en l'air et j'ai eu du mal à me remettre d'aplomb. Cette plante qui produisait de la fumée semble spéciale et j'ai préféré éviter d'en remanger car je crois que ça peut être dangereux. Depuis, je suis à la diète. J'aurai surtout besoin du sang d'un vertébré. ‒ Moi sur ce point, j'ai plus de chance. J'en ai trouvé un juste avant d'arriver ici. ‒ Tu as du bol ! L'idéal serait de pouvoir m'en refiler. ‒ Avec ton aiguillon, tu pourrais peut être m'en pomper un petit peu. ‒ C'est une idée, il faut que j'essaye. Tu crois que si je fais un trou ça ne te posera pas de problème ? ‒ Normalement, le sang, quand on le laisse à l'air libre, il devient solide. Donc, ça pourrait boucher le trou jusqu'à ce qu'il se répare. ‒ Il faut que j'essaie, je suis trop en manque ! ‒ Vas y ! ‒ Un petit trou ici, ça devrait aller. Aie ! Ta carapace est plus dure que je le pensais, je réessaie. ‒ Ouch ! ‒ Je t'ai fait mal ? ‒ Ça m'a surtout surpris. ‒ Mon aiguillon a dérapé et s'est enfoncé dans un trou, je vais l'enlever et essayer de viser à coté. ‒ Aou, Aaaahhhh ! ‒ C'est douloureux ? ‒ Pas trop, en fait, ça fait des sensations bizarres, mais j'aime assez. ‒ Et le fait d'enfoncer puis de retirer mon aiguillon, c'est pas mal non plus. Par contre, pour arriver d'accéder à ta réserve de sang ... ‒ Aaaa AAAAAaaaahhh ! ‒ Ouch, Ouch ! ‒ Aaaa ! C'est peut être pas possible, mais tu auras essayé. AAAaaaahhh ! ‒ Bon, je vais laisser tomber. Autant que tu profites du sang que tu as pu récolter. Moi, à cause de ces barrières magiques, je risque de ne plus vivre très longtemps. Je me demande pourquoi ils les mettent. ‒ C'est peut être pour les empêcher de tomber à l'extérieur. ‒ Pour la plupart des barrières du bâtiment, ils auraient du mal. L'arrivée de la lumière ne commence que vers le milieu de leur thorax. A moins de vouloir s'envoler, ils risquent peu de passer par là sans le vouloir. ‒ Il y a qu'un endroit où elle commence au niveau du sol. ‒ Oui, mais même en supposant qu'il tombent, ce ne serait que de 3 ou 4 fois la taille de leur corps. Ils ne risquent pas de se faire mal pour si peu. En proportion de notre taille, on tombe de beaucoup plus haut lorsqu'on atterrit. ‒ Tien, j'entends du bruit. ‒ Hourah, les vertébrés de ce bâtiment reviennent ! Un peu plus tard ‒ Je sens un courant d'air, une barrière magique semble désactivée, on peut sortir. ‒ Je récupère du sang de cette femelle et je te suis. En plus, c'est du O- mon préféré. ... ‒ C'est bon, allons y. Paf ! ‒ La barrière magique a été réactivé, on est de nouveau bloqués ! ‒ Non, moi, je suis de l'autre coté, et je ne peux pas te rejoindre. ‒ Tant mieux pour toi. Maintenant que j'ai fait un bon repas, je devrai retrouver la santé. Par contre, je ne revoie pas le secoueur d'aiguillon. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 16-09-2021 Bzzz Bzzz zzz zizi et guillons, du vieux verbe "guiller" qui aurait donné le diminutif "guilleret" lorsqu'on est prêt à manœuvrer l'aiguillon en tous sens, même les sens interdits! Nos frères d'Helvétie ont la chance de pouvoir se procurer des sens à Sion, dans la vallée du Rhône, où leur prix n'est pas très élevé vu leur abondance. Une variété très prisée sont les sens de térébenthine (©) à cause de leur bonne odeur. Et on les mêle à de la cire pour bien rigoler dans la nuit du 31 décembre afin de passer un jour de l'An caustique. Mais attention : utiliser avec précaution car ça peut devenir très vite glissant! Bon courage pour ces expériences, KLO. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 18-09-2021 J’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, mais... Lucien, mon chef d'équipe sur ce chantier, s'appuyait sur sa pelle pour souffler un peu. Il faut dire qu'il faisait une chaleur terrible et que travailler au soleil pour ouvrir une tranchée et trouver l'origine d'une fuite d'eau était une véritable torture. Nous n'étions pas particulièrement pressés car la conduite avait été fermée et les dégâts ne pouvaient pas s'étendre. Je regardais Lucien dans son bleu de travail, à vrai dire un minuscule jean qui ne cachait pas grand-chose de ses attributs dont il était très fier et dont il n'arrêtait pas de nous venter les mérites. Lucien était ce qu'on appelle un bon vivant qui la fin de journée s'envoyait avec ses potes de nombreuses bières. Je ne faisais pas véritablement partie de son cercle intime mais il m'avait à la bonne et aimait me charrier et m'entraînait régulièrement avec lui. Je n'intervenais que rarement dans leurs grands débats philosophiques qui, généralement, tournaient autour du sexe. C'était de grands éclats de rire qui redoublaient lorsqu'ils me voyaient rougir ce qui m'arrivait fréquemment. Notre équipe était composée de quatre membres. Jack était un adorable homo qui n'aurait pas fait de mal à une mouche mais qui toutes les quatre à six semaines nous déclarait avec grand sérieux qu'il avait trouvé, "oui je vous assure", l'homme de sa vie. Il était relativement discret sur sa vie sexuelle mais nous lâchait de temps à autres des détails croustillants qui faisaient la joie de mes compères mais qui me laissaient souvent perplexes même si, bien sûr, je riais avec eux. Jack n'était pas baraqué mais il disposait d'une bonne musculature qui lui permettait de faire largement sa part de travail. Comme nous tous, il était célibataire et avait une quarantaine d'années. Nous l'aimions tous et il aimait à me dire en riant qu'il m'aimait bien. Emile était un coureur de jupon au point qu'il s'embrouillait dans les prénoms et les visages, invitant l'une en croyant que c'était l'autre. Il était un peu comme Jack et nous ne savions pas grand-chose de ses dames mais il ne cachait pas qu'il préférait les cinquantenaires aux jeunettes qui croient tout savoir alors qu'il faut tout leur expliquer. De plus, dès que l'on s'approche de leurs chattes elles commencent à minauder et si par malheur Emile tourne autour de leur anus ce sont des cris de femelles effarouchées jusqu'à ce qu'un beau jour elles crient "vas-y plus fort, plus profond, continue etc." Emile choisissait des femmes mures, bien enrobées car dit-il "on a quelque chose à se mettre sous la main et sur la langue". Il nous a confié un soir bien arrosé que la plus âgée avait passé soixante-dix ans et l'avait fait grimper au mur comme jamais, il en bandait encore ! Et je reviens à Lucien. En fait nous ne l'appelions jamais pas son prénom qu'il trouvait ringard. Pour nous c'était Noireau, une évidence vu la couleur de sa chevelure mais également par l'abondante et impressionnante toison noir sur toute sa poitrine, son ventre et autour de ses parties privées comme il aimait à dire. Par contre, sa puissante queue et ses couilles volumineuses étaient vierges de tous poils. A cet endroit jamais exposé au soleil, la peau était blanche de sorte que lorsqu'il était nu, la première chose qu'on voyait c'était sa tige toujours bandée et ses deux testicules, plus ou moins haute selon son degré d'excitation. Et son excitation était sinon permanente du moins très fréquente. Il faut savoir que Noireau n'était pas regardant. Que ce soit une chatte ou un cul masculin, il était preneur et il savait comme personne dispenser le bonheur qui vous faisait flirter avec le ciel. Chaque matin nous attendions avec impatience, même moi, le récit de ses prouesses de sorte que nous débutions notre travail avec la queue en avant ! Quand nous nous sommes reposés Noireau et moi, nous dégoulinions de sueur, c'était quasiment une cascade qui descendait dans nos mini-jeans. Chez Noireau, il y avait un attrait supplémentaire qui me fascinait, sa toison noire était non pas humide mais trempée comme un linge qu'on viendrait de sortir d'une bassine. Nous nous étions assis à l'ombre d'un arbre, les couilles de Noireau sortaient de son jean et j'avais une bosse dans le mien. Je le regardais avec une intensité inhabituelle ce qui lui fit dire "eh ! attend ce soir avec ta copine". Je rougis lorsqu'il compléta "ou avec ton copain". Je deviens alors écarlate et il comprit que c'était un garçon, sauf que je n'avais pas de garçon, pire j'étais puceau ce que je lui avouais. Il me regarda, sidéré qu'à trente-sept ans je puisse être vierge, et je comprends sa stupéfaction. Sa conclusion, il allait s'occuper de moi en me trouvant un partenaire mais qu'il tenait à ce que ce soit quelqu'un de convenable. C'était un vendredi, chacun est rentré chez lui, je ne savais pas encore ce que j'allais faire mais je me doutais de ce que seraient l'activités de mes collègues. "J'entendis la sonnette de mon studio et j'eus peur que ce ne soit Noireau qui tienne parole aussi je ne bougeais pas. Mais la sonnette se fit insistante de sorte que je finis par me "lever sans réaliser que j'étais nu. Une sorte de crissement émanait de la porte comme si quelqu'un cherchait à forcer la serrure et je percevais une odeur que je ne connaissais pas. "J'avais peur de découvrir qui venait me rendre visite, je me sentais dans un état second, comme si j'étais à côté de mon corps. Je me ressaisis, j'ouvris la porte et je vis une "énorme toile d'araignée qui couvrait toute l'entrée avec au milieu une araignée noire et velue de la taille d'une grosse soucoupe. Un fil du bas de la toile, épais comme une "cordelette, s'enroula immédiatement autour de mes chevilles m'interdisant tout déplacement alors qu'un autre fil tout aussi gros me bloquait les mains dans le dos. L'araignée avait quitté sa toile à laquelle ne la rattachaient que quelques fils et me regardait fixement. Je sentis un fil fin qui entrait dans ma narine gauche puis un autre dans la "droite. Ma langue était empêtrée dans un mélimélo de fils qui paralysaient sa mobilité malgré une salivation anormalement abondante. Mes deux oreilles furent également "attaquées par de nouveaux fils qui me chatouillaient agréablement. Dans ma bouche, j'avais l'impression que les fils fondaient mais se reconstituaient au fur et à mesure. Un fil, "très fin celui-là, cherchait à s'introduire dans mon méat ce à quoi je m'opposais vigoureusement, sans succès. La sensation de ce fil qui remontait, qui prenait divers "embranchement pour finalement aboutir dans mes testicules me procurait un sentiment que je n'avais jamais connu avec une telle intensité. L'araignée tournait autour de mon cul "et paraissait jouer avec ma rondelle au point que je sursautais lorsque je vis un dard sortir de sa carapace et chercher à pénétrer dans mon intérieur. Je serrais les fesses, "contractais les muscles qui auraient dû défendre l'entrée de mes intestins, rien n'y fit. Le dard relié par un fil était de plus en plus loin dans mon fondement me procurant des "sensations horribles mais voluptueuses. Le pire, je nageais dans une baignoire de sperme alimentée par un jet continu sortant de mon sexe, soudain libre de fil. Je surpris un "grognement de l'araignée qui disparut rapidement. " J'entendis la sonnette de ma porte d'entrée et je réalisais qu'elle sonnait depuis un bon moment. Fatigué de ma journée je m'étais endormis. Complètement dans les vapes, nu, j'allais ouvrir mais j'avais peur que ce soit de nouveau l'araignée. J'hésitais à ouvrir, j'entendis des rires derrière la porte et comme je n'avais jamais entendu qu'une araignée puisse rire j'ai ouvert et j'ai vu mes trois collègues, intégralement nus, la pine bandée comme une barre de fer se précipiter sur moi, leurs six mains se promenant sur tout mon corps mais plus spécialement sur mes oreilles avec leurs langues et dans ma bouche. Des mains tripotaient joyeusement mes fesses. Des doigts cherchaient à pénétrer mon anus. Ils crièrent tous les trois "on vient te dépuceler" Le dépucelage fut long et laborieux car je me débattais. Mais ils arrivèrent tous les trois au but convoité, mon petit cul. Et tous les trois durent ensuite subir les assauts de ma tige. J'ai perdu la phobie des araignées et autres bêtes semblables et, surtout, je n'ai plus peur de qui est derrière ma porte, je sais que c'est l'un de mes trois compagnons quand ce n'est pas les trois à la fois qui viennent faire le plein de sensations pour ma plus grande joie. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 19-09-2021 Ce très surprenant texte, fort joli par ailleurs, me fait penser à cette poésie que l'on pourrait donner à apprendre aux enfants de 8 ans : «La petite aiguille», toute mignonne. Il y est dit (C'est l'aiguille qui parle) "...Quand il faut que l'on m'enfile, je donne à la plus habile, les plus piquantes leçons». Ici, le terrassier de 37 ans s'est, lui aussi, "fait enfiler" en songe puis en réalité. Et il apprécie, le gaillard. On peut le comprendre! Gaëtan serait-il dans le coup? |