Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 12-10-2021 Nous rentrons à la maison, fourbus après cette journée de travail. Maman est déjà là. Jean et Anne sont aussi présents. Nous avons à peine le temps de prendre place autour de la table de la cuisine que nous sommes tous les deux bombardés de questions. Nous racontons à tour de rôle notre journée. Nous buvons un grand verre de limonade orange tout en mangeant un petit gâteau que maman a rapporté de la pâtisserie. Nous décidons Ben et moi d’aller prendre une bonne douche et de nous mettre à l’aise pour le souper. Nous nous déshabillons dans ma chambre et ensuite direction salle de bain pour une douche salvatrice. En effet nous sentons la transpiration. Nous mettons les tee-shirts dans le bac à linge ainsi que les slips. L’eau à bonne température, soit entre tiède et un peu chaude nous redonne un peu de peps. Nous nous savonnons mutuellement ce qui nous fait de l’effet et nos anatomies se sont gorgées de sang. Il n’en faut pas plus pour que je me mette à genou devant Ben pour enfourner délicatement son pénis dont le gland est déjà pratiquement sorti de son prépuce. Je m’attarde donc à sucer son sucre d’orge déjà bien dur. Ma langue et mes lèvres se déplacent le long de cette tige gorgée de sang. Je vois que Ben ferme les yeux et se laisse faire. Il laisse s’échapper quelques petits râles de satisfaction. Je m’applique donc à lui donner bien du plaisir, son gland est littéralement pris en sandwich par ma langue, je goûte déjà un peu de sécrétion qui s’écoule du son méat. Je poursuis mon travail délicat le long de cette barre de chair, barre qui prend d’ailleurs de plus en plus d’ampleur, elle est à sa taille maximum. Ben râle de plus en plus, je sais qu’il va arriver au point de non-retour, au moment où sa sève va prendre la direction du fond de mon palais. Je sens que Ben se raidit un peu, signe que l’explosion est imminente, effectivement, il laisse des jets de sperme partir dans ma bouche. Je sens qu’il a du mal à se tenir debout, ses genoux fléchissent un peu quand il émet des « je t’aime ». Je laisse Ben se mettre à genou pour qu’il récupère. Après quelques minutes, c’est au tour de Ben de s’occuper de moi, de mon anatomie qui est déjà bien « en forme ». Le méat de mon gland suinte déjà, mon corps sait qu’il va connaître un très bon moment de bonheur. Ben place ses lèvres devant mon pénis, il ouvre la bouche et il avale littéralement mon appendice de plaisir. Le gland touche le fond de sa gorge, ensuite Ben me prodigue des sensations bien délicates. Puis laissant mon sexe ressortir de ses lèvres, il lèche alors celui-ci allant de sa base jusqu’au gland et de même dans l’autre sens. Il caresse mes bourses, sa langue les lèche, ce qui me procure des frissons. Puis il en met la moitié dans sa bouche et la fait rouler sur sa langue. Ben reprend ensuite la fellation et me fait monter au ciel, je râle de bonheur, les sensations sont magiques, je suis comme en dehors du temps, comme sur un nuage. Puis à ce rythme-là, je ne vais pas tarder à décharger ma semence. Mon ventre devient de plus en plus chaud, j’apprécie au plus haut point, celle qui précède la montée du sperme dans ma colonne de chair et de sang. Enfin, comme ivre de bonheur, je lâche « la purée » dans la bouche de Ben par jets saccadés et abondants. Il tousse un peu, mais en avale une bonne partie. Je me retiens au mur de la douche pour ne pas tomber tellement c’est prenant. Une fois remis de mes émotions, Ben m’embrasse et partage un peu de mon sperme qu’il a encore dans la bouche. Notre baiser terminé, je lui dis : « Je t’aime Ben ». Comme seule réponse, il m’embrasse à nouveau. Nous terminons notre douche, les yeux remplis d’étoiles. Une fois séchés, nous regagnons la chambre pour enfiler un short. Nous descendons pour aller manger avec le reste de la famille. Nous soupons de bon appétit : cette journée à bouger dans tous les sens nous a donné faim. Nous buvons de l’eau avec un trait de grenadine. Comme dessert, nous avons droit à des abricots bien mûrs. Nous restons encore quelques minutes en famille puis nous nous mettons à bâiller. Nous saluons tout le monde et nous remontons dans la chambre pour nous mettre au lit. Une fois installés sur le lit, nous échangeons un petit bisou sur la bouche, accompagné de « bonne nuit » et de « je t’aime » pour enfin tomber dans les bras l’un de l’autre, mais aussi dans les bras de Morphée. Il faut dire que nous sommes assez fatigués après cette première journée de travail. Je suis certain que dans deux jours nous serons habitués et que nous pourrons alors passer la soirée avec les autres membres de la famille. La nuit fut très calme, il a fait assez chaud et nous avons dormi au-dessus des draps. Comme la veille, c’est maman qui est venue nous réveiller vers sept heures quinze. Elle nous a laissé dormir un peu plus longtemps, nous avions envisagé de nous lever vers sept heures. Maman affiche un large sourire, elle sait que les ados ont régulièrement la gaule le matin et souvent quand c’est le moment de se lever. Nous passons vite à la salle de bain pour nous rafraîchir. Nous nous vêtons d’un pantalon car nous sommes régulièrement à genoux pour réapprovisionner le bas des rayonnages. Le petit-déjeuner est avalé, du café pour se mettre en forme et cette fois trois tranches de pain beurrées avec de la confiture. Nous quittons la maison sur nos vélos, direction le magasin, nous sommes. Arrivée à sept heures cinquante-trois. Monsieur Bonjean est ravi de voir que nous sommes bien à l’heure. Il nous détaille les tâches à accomplir durant la matinée. Nous avons assez de travail, nous sommes séparés la plupart du temps. Je suis au rayon légumes et je donne un coup de main à l’employé de ce département. Ben, quant à lui, s’occupe du rayon pains et autres pâtisseries ainsi que du rayon crèmerie où il faut vérifier les dates-limites de consommation, tant pour les fromages, les beurres, les margarines, les œufs etc. A midi, nous sommes dans la petite cantine et nous mangeons avec la maman de Raphaël et un des bouchers. Nous parlons de nos vacances, des cours que nous allons reprendre en septembre en ajoutant que nous serons alors en rhétorique. Le boucher est ravi de voir que nous faisons un job de vacances et que nous sommes aussi de bons élèves. La maman de Raphaël nous explique que son fils va entamer des études de droit à l’université. Elle est très fière de lui. Je lui demande de remettre notre bonjour à Raph. L’après-midi se passe très bien. Nous sentons que nous avons fait attention lorsque nous réapprovisionnons les étals, de bien fléchir les genoux et non nous pencher en avant pour éviter de se faire du mal au dos. Monsieur Bonjean vient nous trouver pour nous dire qu’il est déjà dix-sept heures et que notre journée est finie. Le retour à la maison se fait sans problème. Il fait chaud, nous étions bien mieux dans le supermarché où il y avait déjà la climatisation. Nous prenons deux grands verres d’eau, c’est mieux que de la limonade pour se désaltérer car la limonade est trop sucrée. Nous allons prendre notre douche en restant cette fois plus sages mais en nous embrassant et en nous caressant les pectoraux et les fesses. Jean est heureux de nous revoir et souhaite faire quelque chose avec nous. Nous lui proposons d’aller faire un tour à vélo en direction de la forêt de Soignes où il fait moins chaud à l’ombre des grands hêtres. Hop nous voilà en route pour passer un peu de temps avec Jean. C’est vrai qu’il est trop jeune pour faire un job d’étudiant, mais il est partant pour l’été prochain. De retour à la maison nous allons nous laver les mains car il est temps de souper. Maman nous a préparé aidée par Anne un bon filet américain préparé comme nous les aimons avec des crudités (salade, tomates, concombres et betterave rouge) accompagné de frites. Papa demande à Jean d’aller chercher une bouteille de vin rouge pour accompagner le repas. Tout en mangeant, nous parlons de notre journée Ben et moi mais je demande aussi à Maman et à Papa comment ça s’est passé pour eux. C’est Ben qui de son côté demande à Jean ce qu’il a fait de sa journée. Il est bien de savoir ce que les autres membres de la famille ont pu faire durant leur journée. Puis je n’oublie pas Anne, elle me dit qu’elle est allée à la piscine avec André. Je suis si heureux de voir qu’ils s’entendent bien les nouveaux amoureux. Nous allons nous coucher après avoir bien entendu embrassé toute la famille. Pour ma part j’ai beaucoup moins mal que la veille. Je suis moins fatigué mais je sens quand même que je ne suis pas encore tout à fait habitué. Je suppose qu’il en est de même pour Ben. Nous quittons la salle de bain nus, c’est la seule tenue qui nous sied bien pour dormir. Nous nous couchons sur mon lit, nous sommes au-dessus des draps, il fait encore très chaud. Ben ne se colle pas à moi et je tente de faire de même. Il fait si chaud que nous commençons à transpirer sans même bouger. Nous sommes en érection mais nous n’avons pas envie de nous mettre en nage pour le moment. Nous aurons bien sûr l’occasion de nous aimer plus tard, soit dans la nuit ou alors au petit matin. J’aime bien ressentir des sensations au lever du jour. Je suis certain que demain, dès l’aube, nous aurons l’occasion de nous envoyer au septième ciel. Nous nous endormons tout simplement, rompus par la fatigue d’une journée de travail. C’est donc dans les bras de Morphée que nous nous glissons pour accéder aux pays des rêves. J’avais bien entendu laissé les deux fenêtres de ma chambre grande ouvertes pour nous donner un plus d’air pour la nuit. C’est vers cinq heures que je me suis réveillé, j’avais un peu froid, étant nu, toujours au-dessus des draps. Ben lui avait déjà pris un drap pour se couvrir. Je fais de même pour tenter de me réchauffer. Je me rendors en quelques minutes et je fais un nouveau rêve. Je vois Raphaël qui nous cherche, il est nerveux, il est rempli de haine, mais je ne sais pas envers qui. Je commence à suer et je crie car on s’en prend à Ben et je suis emporté, les mains et les pieds entravés par des liens. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 12-10-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. Le travail leur a donné faim, et j’ajouterais aussi soif de la semence de l’autre. Le lendemain soir il fait trop chaud pour se donner du plaisir, dommage… C’est gênant d’avoir une érection et de ne pas pouvoir s’en occuper. Ça aurait pu peut-être éviter à Phil de faire un cauchemar. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-10-2021 (12-10-2021, 06:29 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui les deux garçons découvrent le travail d'étudiant et toutes ses facettes. Il y a la fatigue à la fin de la journée. Rien de tel qu'une bonne douche pour se remettre d'aplomb. C'est aussi le moment de se faire du bien, une belle fellation fera l'affaire! La nouvelle journée de travail se passe bien. Discussion avec la maman de Raphaël, etc... Au soir les deux garçons ont tellement chauds qu'ils n'ont pas le courage de s'occuper de leur pénis en érection! Phil fait un cauchemar durant la nuit! Peut-être que s'ils s'étaient donnés du plaisir cela ne ce serait pas passé! Ou alors il y a quelque chose de particulier. Nous en saurons plus dans les suites à venir. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 13-10-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Une très belle suite. Les deux amoureux sont fatigué de leur journée passée au magasin où ils sont engagés comme étudiants. Une bonne douche bien chaude dans les deux sens du terme. Une belle fellation partagée. Une très belle nuit de repos avant de repartir au taf. La pause de midi se fait avec la maman de Raphaël. De retour les deux garçons vont faire une balade avec Jean. Repas et ensuite c'est le moment d'aller se coucher. Il fait fort chaud et ils restent sages malgré le fait qu'ils bandent. Phil fait un cauchemar durant la nuit. Est-il perturbé? Merci Philou pour cette suite et ton super récit. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-10-2021 (13-10-2021, 11:38 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Travail d'étudiant pour les deux ados. Bonne douche avec gâteries. Nuit de repos. nouvelle journée de travail. Balade avec Jean en forêt. Pas de gâterie le soir ni la nuit. Phil par contre fait un cauchemar! Phil est-il perturbé comme tu le sous-entant? Ou alors y-a-t'il autre chose. Les suites nous en dirons plus! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-10-2021 Je me réveille en sursaut, je suis trempé de sueur. Ben lui aussi est réveillé, je suis certain que c’est à cause de moi. Ben me demande si ça va, je lui réponds que oui, que j’ai fait un cauchemar. Ben m’essuie le corps humide de sueur. Puis à force de passer un peu partout, mon phallus prend de l’embonpoint, celui de Ben est dressé aussi, tel un mât de cocagne. Ben se colle à moi, nos deux pénis sont eux aussi collés l’un à l’autre. Je regarde Ben dans les yeux, j’intercale ma main droite entre nos ventres pour ensuite descendre en direction de nos appendices. Je m’empare des deux objets de plaisir, ma main, mes doigts se répartissent sur les deux colonnes de chair pour les enserrer, puis je commence un mouvement de va et vient. Ben ferme les yeux, moi aussi je fais de même, les paupières closes, je me concentre sur cette double masturbation. Je tente de m’occuper de nos glands en les caressant avec douceur ; Ben gémit de plaisir, moi aussi. Je réalise que les caresses nous apportent plein de sensations. Des frissons me parcourent toute l’échine. Je poursuis donc mes palpations appuyées et Ben râle de plus en plus. Cela fait plus de cinq minutes que je nous masturbe, ma main commence à faiblir, Ben s’en rend compte et je sens sa main droite qui s’immisce entre nos deux corps brûlants de bonheur, sa main vient au contact de la mienne et elle prend le relais. Ben me fait alors un large sourire et nous nous roulons un patin frénétique. Je sens que je ne suis pas loin de la jouissance, je me rends compte que Ben lui aussi est prêt à lâcher la soupape pour libérer sa semence. Je place ma main gauche sur la main de Ben et j’accompagne le mouvement de va et vient qui est de plus en plus lascif. Puis, je sens ma sève qui parcourt ma colonne de chair, je sais que je vais déverser ma semence sur nos abdominaux, Ben se cabre lui aussi et je me doute qu’il va arriver à l’extase. Puis, dans un râle commun, nous nous libérons en même temps, déversant nos fluides d’amour, parcourus par des mouvements de bassin en parfaite synchronisation, nous permettant de savourer ô combien ! ce moment de bonheur partagé. C’est avec regrets que nous nous séparons pour ensuite nous embrasser avec fougue durant cinq bonnes minutes. Quelques instants après, j’entends dans le hall de nuit quelqu’un passer devant la porte de ma chambre, je suppose que c’est maman. Je tourne la tête vers le réveil, non, ce n’est pas elle car il n’est que six heures quarante-trois. Puis quelques minutes plus tard, j’entends à nouveau des pas ; je me lève et en ouvrant la porte je vois que c’est Jean qui vient de repasser. Il sort des toilettes. Il est nu, tout comme moi. Il me voit et il vient vers moi. Il entre dans la chambre. Ben le salue. Puis je vois le visage de Jean qui s’illumine d’un large sourire, il dit alors : Jea : « Oh là les gars, ça sent le fauve ici ! Moi : Tu crois ? Jea : J’en suis sûr, vous n’avez pas fait que dormir me semble-t-il ! Ben : Tu ne crois pas si bien dire. Jea : Petits cochons ! Moi : Tu ne fais pas mieux, je pense aussi que tu ne te prives pas de te faire du bien. » Nous éclatons de rire tous les trois. C’est alors que Maman vient pour nous réveiller. Elle voit que nous sommes bien réveillés et en pleine forme. Jean retourne dans sa chambre. Ben et moi nous allons à la salle de bain et nous reprenons notre train-train quotidien. C’est notre troisième jour de travail qui va commencer. Nous sommes comme d’habitude bien en avance devant la porte d’accès à l’arrière du magasin. Monsieur Bonjean vient juste d’arriver lui aussi. Il nous fait un large sourire. Il nous demande de faire comme la veille et qu’il en sera ainsi chaque jour. Nous nous mettons à la tâche en apportant notre aide aux autres employés en ce début de journée. Durant cette matinée, je vois quelques personnes qui me reconnaissent. Elles viennent me saluer. A un moment je vois que Raphaël fait les courses avec sa maman, elle est en journée de récupération. Il vient me saluer de même que Ben qui passe près de nous avec un chariot rempli de boites de conserves à placer dans les rayons. Nous poursuivons notre tâche tout en parlant avec Raphaël, car nous ne pouvons pas rester sans rien faire et nous n’avons pas envie d’avoir des remarques particulières de la part du gérant. Alors que Raphaël rejoint sa maman, j’entends une personne que j’avais déjà vue avec maman à la maison. Elles faisaient partie d’une association caritative du quartier. Cette dame parlait avec la maman de Raphaël en disant qu’elle trouvait que nous étions bien polis et serviables et que nous ne nous affichions pas devant la clientèle. Je savais qu’elle parlait du fait que nous étions gays. Comment le savait-elle, qui lui a révélé cela ? La maman de Raphaël lui répond, qu’elle est aussi, admirative et qu’elle considère que nous avons bien entendu notre place comme des jobistes et que notre vie privée n’avait pas à être divulguée. La dame s’est excusée d’avoir parlé à haute voix, car d’autres clients avaient bien compris qu’il s’agissait de nous. Je me suis senti mal, j’avais les joues en feu, j’avais peur d’une réaction de la part de quelqu’un. Puis d’un coup j’ai vu du blanc autour de moi ! Je me suis retrouvé à terre. Raphaël était penché sur moi et demandait de me laisser de l’air. Sa maman est allée directement chercher un coussin qui trainait dans la cantine pour me le mettre sous la tête. Ben est arrivé et n’osait pas s’approcher. Il se demandait ce qui m’était arrivé. C’est Raphaël qui lui a expliqué la situation. Monsieur Bonjean est arrivé lui aussi, avec un peu d’eau froide pour m’en mettre doucement sur les joues. Après cinq minutes, je me suis relevé. Le gérant m’a conduit à l’extérieur pour prendre l’air. Il me demande alors : Bon : « Ça va mieux Phil, tu étais si blanc bien que tu eusses fort chaud. Moi : Oui, ça va mieux. J’ai eu un étourdissement. Bon : Mariette (la maman de Raphaël) m’a tout expliqué. Tu as eu une réaction face à une situation particulière. Je sais que toi et Benoît vous êtes gays et ensemble, cela ne me dérange pas. Tu sais que tu peux compter sur moi pour que tout se passe au mieux. Moi : Merci monsieur, vous êtes gentil. Bon : Je dois te dire que je vous trouve Benoît et toi d’excellents éléments, toujours à l’heure et en moins d’une demi-journée vous avez compris ce qu’il fallait faire, vous êtes très professionnels. Moi : Merci Monsieur Bonjean. Bon : Si ça va mieux, nous allons reprendre le boulot. Si tu veux boire un coup d’eau, n’hésite pas. Moi : Merci. » Nous reprenons notre travail. Raphaël vient me trouver et me demande si je vais mieux. Je lui dis que ça va. Les clients présents dans le magasin poursuivent leurs achats, certains parlent entre eux, mais je ne fais pas attention à ce qui se dit, je pense que ça vaut mieux, tant qu’on me laisse travailler tranquillement. Je repense au cauchemar de cette nuit. En fait je me rends compte que Raphaël était là pour me venir en aide, il était fâché de voir qu’on puisse parler sur le dos de quelqu’un sur un sujet si personnel que son orientation sexuelle. Raph n’est pas homophobe, que du contraire, il sait que ce n’est pas évident pour un jeune qui est gay. Le fait d’être dans les vapes, c’est comme si j’avais été entravé, comme pieds et mains liés. Ai-je fait comme un rêve prémonitoire ? Je ne sais pas, mais toujours est-il que j’étais mal, couché sur le sol du magasin. Il est maintenant midi, l’heure de la pause. Je rejoins Ben dans la cantine. Nous mangeons les sandwichs que maman nous a préparés. Les boissons sont à disposition vu la période de chaleur. Nous sommes rejoints par l’employé boucher, Michaël. Il me demande : Mic : « Alors Phil, tu as fait un malaise ce matin, ça va mieux ? Moi : Oui, ça va mieux, c’est passé. Mic : C’est un peu embarrassant, heu, comment dire, j’ai entendu dire que vous étiez homos ! Moi : On ne va pas le nier, oui, Ben et moi nous sommes gays et nous nous aimons ! Mic : Je suis content pour vous, je vous souhaite d’être heureux. Ben : Merci, c’est super sympa. Mic : Vous savez, moi aussi je suis gay, mais je suis seul, j’ai eu une aventure qui s’est mal terminée ! Moi : Oh, mais tu trouveras sûrement ton âme sœur. Mic : Merci, je sais que vous êtes supers les gars. Vous êtes les premiers étudiants aussi avenants, tant avec les clients qu’avec nous les employés. Moi : Merci Mickaël, mais nous sommes toujours comme ça ! Mic : Je n’en doute pas. » Nous finissons notre repas et nous allons prendre l’air à l’arrière du magasin avant de reprendre le travail. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 17-10-2021 Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] Phil a fait un cauchemar, il à rêvé que Raphaël s'en prenait à lui! Il est en suer eu Ben l'essuie. Excités le deux garçons se font une branlette collé serré! Jean vient les réveiller et il se rend compte que les deux gars se sont aimés, l'odeur de foutre est belle et bien présente. Alors que Phil est dans le magasin, il se rend compte que la maman de Raphaël est là avec son fils pour faire ses achats. Elle discute avec une autre dame, il est question de lui et de Julien qui étant gays sont des employés modèles. Phil commence à avoir chaud, il voit tout blanc et tombe dans les pommes. C'est Raphaël qui s'en aperçoit et s'occupe de Phil. Phil a-t-il fait un rêve prémonitoire? Dans la cantine à midi, Phil et Juju apprennent que Michaël, l'aide-boucher est lui aussi homo. Il sera là pour aider les deux garçons en cas de besoin. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 17-10-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. Le rêve de Phil a finalement été bénéfique puisqu’ils se sont donnés du plaisir pendant la nuit. Jean serait-il jaloux puisqu'il se moque gentiment d'eux en les traitant de petits cochons ? Journée mouvementée au magasin, Phil a un malaise. Il a toujours peur qu’on sache qu’il est gay, mais ici il n’y a que des personnes bienveillantes, puisque Raphaël, M. Bonjean et Michaël le soutiennent. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-10-2021 (17-10-2021, 08:18 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de la suite. Malgré le cauchemar Phil est en forme, cela ne l'empêche pas les deux amoureux de se donner du plaisir. Au magasin Phil a peur semble-t-il d'être désigné comme le gay de service. Finalement c'est Raphaël qui se rend compte qu'il fait un malaise. Phil et Ben seront soutenus par Mr Bonjean et Michaël. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-10-2021 (17-10-2021, 09:26 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement le cauchemar de Phil n'a pas empêché les deux amoureux de se masturber de concert! Je pense que Jean n'est pas jaloux, il lance seulement une boutade à son grand frère et au chéri de celui-ci! Phil fait un malaise dans le magasin. Il s'est rendu compte que certains clients parlaient de lui et Ben concernant le fait qu'ils soient gays! Mais rien de malveillant, au contraire c'étaient des remarques positives! Phil et Ben seront soutenus par Mr Bonjean et Michaël. On se rend compte que Phil reste sur ses gardes, mais cela ne l'a pas empêché de faire un malaise. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Bonne semaine! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 19-10-2021 L’après-midi se passe bien. Ben et moi travaillons comme d’habitude, c'est-à-dire consciencieusement. Il arrive qu’un responsable de rayon vienne nous trouver, l’un ou l’autre, pour peaufiner l’agencement des rayons le concernant. C’est très positif pour nous. Nous sommes en quelque sorte mis en valeur et appréciés. Nous sommes disponibles et ne rechignons pas sur le travail demandé. C’est vers seize heures que Ben aperçoit maman qui vient faire des achats comme elle en a l’habitude. Elle fait le tour du magasin sachant déjà ce dont elle a besoin. Elle croise donc Ben, elle lui fait un sourire en lui demandant si ça va. Il dit oui ça va bien et il continue ses occupations. De mon côté je ne vois pas maman car je suis dans les sous-sols où je prépare un chariot avec de quoi remplir le rayon « produits d’entretien ». C’est moi-même qui me charge de réapprovisionner le dit département. Bien entendu je suis aidé de l’employée qui a en charge ce genre d’articles. La journée de travail touche à sa fin. Monsieur Bonjean nous dit que nous pouvons rentrer à la maison et qu’il est très content de nous. Ben est lui aussi soulagé car il commence à avoir mal aux jambes. Il est vrai que nous sommes souvent debout et aussi accroupis. Nous saluons les autres employés avant de quitter le magasin pour ensuite enfourcher nos vélos qui sont placés à proximité de l’entrée des « artistes ». Le retour se fait à notre aise, nous sentons encore le poids du travail dans nos jambes. Il nous faut plus de temps que d’habitude. Nous sommes accueillis à l’entrée de l’allée de garage par Jean qui fait le pied de grue. Il est impatient de nous revoir et il est certain qu’il veut parler avec nous ou même jouer un peu. Nous saluons Jean et nous rentrons pour aller à la cuisine où se trouve maman. Ben et moi embrassons maman ; laquelle a déjà préparé un grand verre d’eau fraîche et un morceau de tarte au riz pour chacun, de quoi nous requinquer avant le souper et après cette journée de travail assez physique somme toute. Nous sommes assis autour de la table de la cuisine, Jean se joint à nous. Il mange lui aussi un bout de tarte. Puis maman me regarde et me demande comme a été ma journée. Il faut dire que Ben ne m’a pas dit que maman était passée faire ses courses durant l’après-midi. Mam : « Alors Phil, comment s’est passée ta journée ? Moi : Fort bien nous avons travaillé d’arrache-pied. Mam : Mais encore. Moi : Mais… (je regarde Ben et je sais que j’ai fait un malaise et Ben aussi, il était là) il faut que je te dise que…enfin…Maman, j’ai fait un malaise en fin de matinée ! Je vois la tête de Jean qui change, il s’interroge, il se pose des questions. Ben ne dit rien, il regarde devant lui. Mam : Je suis au courant, j’ai vu monsieur Bonjean cet après-midi lorsque je faisais mes courses. Il m’a expliqué ce qui s’est passé. Moi : Je t’en aurai parlé, mais je … je … j’ai eu peur avec les paroles qui ont été dites sur Ben et moi. Mam : C’est ce que M. Bonjean m’a expliqué. Je sais Phil que ce n’est pas évident, tu fais ton job d’étudiant dans notre quartier, les gens nous connaissent. Il est vrai qu’il y en a qui ne savent pas tenir leur langue. Moi : Je m’en doute et puis, avec cette chaleur, j’ai eu la tête qui a tourné et je me suis évanoui ! Mam : M. Bonjean m’a dit qu’il t’avait parlé et qu’il veillerait à ce que tout se passe au mieux. Puis il a ajouté que vous étiez ses meilleurs jobistes depuis qu’il en engage. Je suis fière de vous deux ! Moi : Merci Maman. Ben : Merci Jacqueline, je ne savais pas qu’il nous appréciait à ce point ! Jea : Dis-moi mon grand frère, les personnes parlaient sur votre dos, c’est parce que vous êtes gays, c’est ça ! Moi : Oui frérot, mais c’est arrangé. Puis le jeune boucher lui aussi est gay, il sera lui aussi vigilant envers nous. Jea : Tu parles de Michaël ? Moi : Oui Jean, il est lui aussi homo mais il a été largué par son ami il y a peu. Jea : Il faut que vous fassiez attention, je ne veux pas qu’il vous arrive des bricoles ! Ben : Ne t’inquiète pas Jean, nous sommes appréciés par tout le personnel du magasin et nous serons bien encadrés. Mam : Bon les garçons, allez jouer ou faire quelque chose, j’ai besoin de la place pour préparer le souper ! Ouste ! » Nous quittons la cuisine et nous nous rendons dans le jardin. Nous discutons de bd, des derniers films qui viennent de sortir au cinoche, du dernier disque de « Led Zepplin », etc… Le souper et la soirée se passent calmement. Nous passons par la case douche avant d’aller nous mettre au lit. Ben et moi nous discutons de la journée et de l’attitude de Raphaël qui s’est occupé de moi. Puis je n’ai plus de réponse de la part de Ben, il s’est endormi. Je me repasse cette journée et je vois encore la tête de mon jeune frère Jean, il était choqué d’apprendre que j’avais eu un malaise dans le magasin. Je suis pleinement conscient que Jean m’aime, qu’il tient à moi, qu’il veut me protéger. Je me rends compte qu’il est plus « fort » que moi dans le sens où il sait réagir et qu’il ne se laisse pas intimider par les autres. Il a grandi le bougre, il est aussi grand que moi et probablement plus baraqué. Mais je l’aime mon « petit frère ». C’est alors que je me laisse glisser dans les bras de Morphée pour enfin récupérer de cette journée un peu mouvementée. Les jours passent, nous allons travailler au supermarché tous les jours, sauf le dimanche bien entendu, ni même le quinze août. L’entente avec les autres employés est super, nous avons été « adoptés ». Tous sont très heureux de nous avoir eu durant les trois semaines de travail. Même M. Bonjean ne tarit pas d’éloges. Plus aucun incident de quelque sorte à déplorer, nous n’avons eu aucun problème avec les clients. Nous terminons notre job d’étudiant un samedi. La veille, soit le vendredi en fin de journée, notre brave M. Bonjean nous signale qu’il a besoin de nous demain jusqu’à la fermeture du magasin et que de ce fait nous ne commençons pas avant dix heures. Je me pose des questions, mais il y a sûrement du travail qui nécessite que nous soyons présents jusqu’à la fermeture. Ben et moi avons donc droit à une grasse matinée, nous pouvons dormir deux heures de plus que d’habitude. Inutile de dire que nous en avons profité. D’abord nous ne sommes pas restés sans avoir fait l’amour, nous nous sommes donnés l’un à l’autre. C’est une chose importante pour nous, nous avons besoin de contacts physiques, c’est plus fort que nous. (Ah les hormones !) Nous dormons encore lorsque l’on frappe à la porte de la chambre. J’ouvre un œil qui très vite se referme. On frappe une seconde fois et la porte s’ouvre. J’ouvre à nouveau un œil et je vois que c’est André qui est dans l’encadrement de la porte. Il affiche un large sourire et pour cause, Ben et moi sommes nus au-dessus des draps, il a fait si chaud cette nuit et nous avons la trique du matin ! Il me dit qu’il est l’heure. Je le remercie et il referme la porte. Lors du petit déjeuner, André ne se prive pas de faire allusion au spectacle que nous lui offrions dans le lit. Jean rigole, car il est déjà venu nous réveiller maintes fois. Anne demande à André de ne pas en rajouter. Bref c’est un fou rire généralisé qui s’ensuit. Nous finissons notre repas et c’est maman qui nous conduit au magasin pour notre dernier jour. La journée se passe très bien, les employés du magasin sont souriants et très affables avec nous. Lors de la pause de midi, plus tôt vers treize heures trente, nous avons eu droit à un frisko comme dessert. C’est donc dans la bonne humeur que nous poursuivons la journée. Vers dix-huit heures Mr Bonjean nous demande de nous rendre au sous-sol pour l’aider à changer certaines étagères en vue de faire de la place pour de nouveaux articles qui seront livrés durant la nuit de dimanche à lundi. C’est avec le même enthousiasme que nous l’aidons à cette tâche. Une fois ce travail terminé M. Bonjean nous demande de nous rendre dans son bureau pour remettre notre tablier et bien entendu pour nous donner notre paye. Il nous remercie pour notre travail. Il nous demande ensuite d’aller avec lui vers la cantine. Ben est devant moi et c’est lui qui ouvre la porte, il entre et tombe nez à nez avec la plupart des employés du magasin. La grande table est dressée avec des verres, des bouteilles de mousseux, des chips et autres morceaux de saucissons. J’entre aussi et je reste coi. Puis je vois mes parents et ceux de Ben, Arlette et Yves. Mais pourquoi tant d’égard pour Ben et moi. Monsieur Bonjean prend la parole : Bon : « Voilà chers amis, je tenais, avec mes employés aussi, à vous remercier pour votre travail. Je n’ai jamais eu de jobistes qui arrivaient à votre niveau. Vous avez été disponibles pour les clients, répondant à chaque fois à leurs demandes, vous avez secondé les responsables de rayons qui sont très satisfait de votre travail, vous avez été d’une disponibilité hors pair, il y a encore un tas de choses positives que je pourrais souligner. Nous tenions donc tous à vous remercier. Nous allons prendre le verre de l’amitié ensemble et vos parents ont aussi été conviés à ce moment de félicitations. Il me reste une chose à ajouter, si vous comptez revenir pour un nouveau job d’étudiant l’été prochain, vous êtes bien entendu en tête de liste tous les deux. Ben et moi : Merci, oui merci du fond du cœur. » Toutes les personnes présentes applaudissent à tout rompre. J’ai les yeux humides, je regarde Ben, lui aussi est au bord des larmes. La maman de Raphaël, Mariette, vient nous enlacer et elle est suivie de Michaël. Finalement nous retenons nos larmes et nous trinquons ensemble à la fin de cette aventure, à la fin de ce job. Maman parle avec Arlette, elles sont enchantées de ce qui a été dit sur nous. Les papas discutent avec M. Bonjean. Ben discute avec certains employés et moi avec d’autres. Je ne me suis jamais senti aussi heureux, en dehors des moments passés avec Henri ou avec Ben, qu’aujourd’hui. Le seul fait de rester soi-même, d’être à l’écoute des autres (employés ou clients) fait de nous des personnes conscientes de ce que peuvent être des relations interpersonnelles franches et vraies. Je souhaite que chacun puisse un jour connaître ce que je viens de vivre. C’est une reconnaissance de son savoir-faire et de son savoir être, de son être en tant que tel, avec ses défauts et ses qualités. Cette petite réception s’achève. M. Bonjean nous remercie une dernière fois. Ce soir, je vais avec Ben chez ses parents, Arlette et Yves. Nous embrassons mes parents en leur disant que nous allons profiter de notre dernière semaine de vacances avant la rentrée scolaire de septembre. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 20-10-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil et Ben terminent leur journée de travail au magasin. Phil ne sait pas que sa maman est venue faire ses courses au magasin, il était alors dans les sous-sols. De retour à la maison c'est le moment de discuter en mangeant un bout de tarte. Phil fini par dire qu'il a fait un malaise. La maman le savait car elle en a été informée par Mr Bonjean. Jean change de tête, il se demande ce qu'il s'est réellement passé. La dernière journée de travail pour les deux garçons. Ils font la fermeture avec Mr Bonjean. Ils sont alors conviés à aller à la cafétéria. Là presque tous les membres du personnel ainsi que leurs parents sont présents pour fêter la fin de leur job. Mr Bonjean signale qu'il n'avait jamais eu d'aussi bons jobistes. Il est même prêt à les embaucher pour l'année prochaine. Merci Philou pour cette suite et ton beau récit! Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-10-2021 (20-10-2021, 09:13 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Bonne analyse de la suite! Le job d'étudiant des deux garçons se passe au mieux. Il touche à sa fin. Phil raconte ce qu'il a vécu, soit son malaise dans le magasin. Sa maman le savait car elle en a été avertie lorsqu'elle faisait ses achats! La dernière journée de travail se clôture par une petit fête organisée par le patron pour remercier Phil et Ben de leur très bon travail. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 20-10-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. La journée se termine, avec toujours les interrogations au sujet du malaise de Phil et les soutiens qu’il a eus. Le dernier samedi c’est la grasse matinée avec André qui vient les réveiller et qui s’amuse de les voir nus sur le lit avec leurs membres au garde à vous. Toute la famille a déjà pu « profiter » de ce moment particulier. M. Bonjean leur a réservé une petite surprise pour les remercier car il a été très satisfait de leur travail. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-10-2021 (20-10-2021, 12:13 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member] pour cette suite. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! C'est l'interrogation après le malaise de Phil dans le magasin. Est-ce la sensibilité de Phil qui en fonction de la chaleur et des mots entendus qu'il a fait une syncope? C'est le dernier jour de travail en tant que jobiste. Ils peuvent faire une grasse matinée. Ils sont réveillés par André qui découvre les deux garçons nus et bandant sur leur lit. La famille à l'habitude de ce genre de situation! Le patron du magasin réserve une belle surprise aux deux garçons pour les remercier pour leur travail exemplaire! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser si régulièrement un commentaire! Je t'embrasse! Philou |