Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 19-08-2021 Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 20-08-2021 (19-08-2021, 08:14 PM)fablelionsilencieux link a écrit :[member=27]bech[/member], c'est ton tour, nous attendons ta photo !J'ai été surpris qu'il faille un .jpg du coup, comme j'avais préparé aussi un gif animé, je le diffuse également. La qualité est moins bonne que l'image que j'avais mis au bas de la pages 40 de cette discussion. Les 2 photos ont été faites de plus loin avec un autre appareil. Donc, j'ai du agrandir davantage pour le gif animé alors que déjà son capteur est de moins bonne qualité. Ceci dit, l'image issue de fineartamerica.com trouvée par Fab est meilleure au niveau de l'attitude des 2 bestioles. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 20-08-2021 Y a-t-il des mouches " homos"? Il y a bien des...homozygotes. (N.B : Ce serait le moment d'utiliser l'expression bien connue pour qualifier celui qui..."cherche le petite bête" →«Enc..er une mouche»! Quoique, en l'occurrence, "chercher la petite bête" est aussi évocateur, ainsi que "la bébête qui monte, qui monte... " ). Ces mouches sont-elles de l'espèce "zygotes"? Je précise que pour la scène que nous voyons, il ne faut pas trop...zygoter sinon on rate le but ! Re : Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-08-2021 (20-08-2021, 09:38 PM)bech link a écrit :[quote author=fablelionsilencieux link=topic=55.msg10459#msg10459 date=1629396849]J'ai été surpris qu'il faille un .jpg du coup, comme j'avais préparé aussi un gif animé, je le diffuse également. La qualité est moins bonne que l'image que j'avais mis au bas de la pages 40 de cette discussion. Les 2 photos ont été faites de plus loin avec un autre appareil. Donc, j'ai du agrandir davantage pour le gif animé alors que déjà son capteur est de moins bonne qualité. Ceci dit, l'image issue de fineartamerica.com trouvée par Fab est meilleure au niveau de l'attitude des 2 bestioles. [/quote] Désolé, Bech. Je ne sais pourquoi, mais impossible de mettre ta photo directement sur la page ??? Tout comme ton gif (ou son lien) n'apparaît pas ! J'ai donc cherché au plus ressemblant. Des bizoux Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 23-08-2021 En attendant les textes "mouchetés" La ruelle : hors-série, Cette petite rue, ça fait plus de cinquante ans que je n'y ai pas remis les pieds. Et de la revoir comme ça devenue si belle, si propre, si fleurie, si touristique me fait penser à comment elle était pendant ma jeunesse. Le quartier - et ma rue principalement - étaient très populaires. Par là je veux dire que les ouvriers et les marins y vivaient et plus loin, la nuit, dans le bas du quartier une faune interlope menait une vie à part. Il y avait des bars et des prostituées, bien sûr mais aussi quelques jeunes garçons qui vendaient discrètement leurs charmes. Ça criait, ça sentait la cuisine, nous les gosses on courait et jouait dans la rue. J'y suis né dans cette rue, en plein été et j'y ai grandi jusqu'à mes quinze ans. Une fois mon certif passé, j'ai dû embarquer comme mousse sur un chalutier qui partait à la pêche à la morue du côté de Saint Pierre et Miquelon. C'est mon père qui avait arrangé ça avec le capitaine. La traversée fut un cauchemar. J'ai passé mon temps à dégueuler tripes et boyaux, sans compter que les marins du bord se servaient de mon cul pour se vidanger. Mais ça, j'en avais depuis peu l’habitude. Mon grand frère en revenant du service militaire avait découvert d’autres façons de se soulager et, sous prétexte de m’apprendre la vie, se servit de mon cul pour satisfaire ses envies car sa fiancée – superbe fille mais prude et d’une jalousie maladive – lui refusait toute privauté pour être vierge la nuit de ses noces. Et des envies, il en avait souvent. Mais comme il avait été doux, je ne lui avait pas longtemps résisté. Dès qu'on croisa un bateau qui allait décharger sa cargaison sur l’ile, le capitaine me mit dessus pour se débarrasser de moi – il en avait marre de me voir malade – et, me donnant trois pièces pour le premier jour, il me dit de me démerder sur place pour me loger et manger mais qu’il passerait me rechercher en fin de saison pour me ramener au village. C'est dans une auberge du port que je prenais mon premier repas et que je dormais dans un lit avec des draps secs. Pour avoir tout ça et surtout le garder, je dus vendre mon cul, bien sûr. J'arrivais tant bien que mal à survivre, la patronne de l'auberge n'était pas la méchante harpie que tout le monde craignait. Contre quelques services je pouvais dormir sur une paillasse sous les escaliers, près du poêle et manger à ma faim. Ce que je faisais après avec les clients ne l’intéressait pas, tant que ce que je devais faire était fini. Ça devait faire deux mois que je travaillais à l'auberge quand un groupe de marins arriva pour y loger. Ils allaient être là le temps de faire réparer leur bateau. Enfin il n'y avait pas tout l'équipage mais le capitaine - qui ne viendrait que pour souper - son fils de vingt ans et le second qui, eux, restaient à la nuitée. Je tombais sous le charme de Rémi - le fils du capitaine - mais lui semblait n'avoir d'yeux que pour le second qui, il est vrai, était un bel homme dans la trentaine. Ils furent les derniers à monter. Moi, j'allais rejoindre le client qui m'avait réservé pour la nuit. Le lendemain je dus les conduire aux bains publiques et ils m'en offrirent un. C'est vrai que je n'y allais qu'une fois toutes les deux semaines, le reste du temps je me lavais à l'évier de la cuisine. C'est ainsi que je vis le second et Rémi nus - sur lesquels mes yeux glissèrent souvent et inversement. En rentrant le second me réserva pour la nuit. Rémi parut surpris mais ne dit rien. Toute la fin de journée je fantasmais sur le second et sa belle bite. J'allais prendre un pied grave parce que oui, je l’avoue, j'adorais me prendre des bites dans le cul et plus elles étaient longues à jouir plus je bandais dur et j'avais des orgasmes faramineux. Mon travail fini, je rejoignis sa chambre. Je frappais à la porte et entendis ‘’entre !’’. Il était allongé nu sur le lit. Il me dit de me mettre à poil et de le rejoindre et quand je fus près du lit il me demanda de le sucer. Je n'avais jamais fait ça moi ! Habituellement on me demandait de me mettre à quatre pattes sur le lit, le gars me crachait un peu sur le trou et sur sa queue, me baisait jusqu'à me jouir dedans puis je me cassais. Il m'expliqua quoi faire et au final après de longues, très longues minutes il envoya son jus. Je me mis à quatre pattes mais il me dit de m'habiller et d'aller voir Rémi qui m’attendait. Il me glissa une pièce pour lui et une pour son voisin – mon rêve. Et quand je frappais à la porte de la chambre de ce dernier, il vint m'ouvrir vêtu d’un caleçon complètement déformé par une grosse érection. Il était vraiment dans l’urgence ! Je baissais mon pantalon et je me mis à quatre pattes sur le lit. Il cracha sur mon cul et me prit aussitôt. Ça ne dura pas longtemps et bien vite il se mit à gémir très fort et je sentis ses jets de sperme me remplir. Il se retira encore raide. J'avais trop envie qu'il me prenne encore et je mis en pratique ce que le second venait de m’apprendre, plutôt bien je pense parce qu'il me demanda de me mettre à poil et il me prit en missionnaire assez longtemps pour que je jouisse aussi cette fois. Lui aussi me glissa une pièce que je refusais au départ mais il insista. Ce petit jeu dura toute la durée de la réparation de leur navire c'est à dire deux semaines. Le second avait fait de moi un parfait giton. Maintenant je suçais, j’embrassais, je caressais et je me faisais prendre de plein de façons. Ça surprit plusieurs de mes clients et les pièces qu'on me donnait pour me récompenser se transformèrent en billets et bien vite je me fis un bon gros pécule. Quand le premier capitaine vint me chercher pour rentrer, je refusais et je passais plusieurs saisons à Saint Pierre et Miquelon. En fait j'y restais quatre ans. Je fus, comme tout bon Français, appelé à faire mon service militaire mais je fus réformé à cause de ma… profession ! Je venais de fêter mes dix-neuf ans quand une sorte de paquebot arriva au port et quelle ne fut pas ma surprise de voir descendre le second et Rémi - que je prenais toujours pour le fils du capitaine. Ils vinrent à ma rencontre et me demandèrent de les suivre sur leur navire. Ils me proposèrent un nouveau travail. Je serai à leur disposition sexuelle, évidemment, mais officiellement garçons de cabines lors des voyages sur l’eau et le reste du temps, quand on serait à terre je serai une espèce de valet, coursier, homme à tout faire au service de Rémi. Parce que celui que je prenais pour le fils du capitaine était en fait le fils de l’armateur qui apprenait le métier, sur le tas. Le salaire qu'on m'offrait était digne d'un ministre. J’acceptais, bien sûr. Ils me demandèrent simplement de ne parler de ce qu'il se passerait la nuit à qui que ce soit, si je tenais au boulot. J'allais informer la patronne de l'auberge de mon départ. Elle ne fit aucun commentaire, me glissa une coquette somme en main et elle me souhaita une bonne continuation en me faisant la bise. Je récupérais mes quelques habits et possessions, sans oublier mon propre pécule, et je rentrais au bateau. Le second, qui en fait était maintenant capitaine de ce paquebot, m'installa dans une cabine juste à côté de la sienne et il me demanda de me laver à fond. Dès la première nuit il s'occupa de moi puis j'allais rejoindre le fils de l’armateur. On voyagea quelques mois où j’appris les bases de ma fonction. J’avoue avoir été surpris de ne pas avoir eu, un seul jour, le mal de mer. Quand on rentra en France je partis avec le fils de l'armateur dans le château familial. On me donna une petite chambre à côté de la sienne. Et je le servis du mieux que je pus et que je sus. Je m'étais arrêté au certificat mais je surpris par mes aptitudes. Et bientôt je fus plus que l'amant caché de Rémi mais je fus son arme secrète, ses yeux, ses oreilles, son homme à tout faire. Peu avant ses trente ans il y eu son mariage – obligation de rang et besoin d’héritier. Maintenant qu'il était marié je le vis moins souvent mais nos rencontres furent beaucoup plus intense. Le second était constamment en mer et je ne le voyais plus que lors de nos rares voyages en bateau. Au fil des ans une forte amitié et une grande confiance nous lia tous les trois. J'étais devenu le bras droit de Rémi qui, lui, était devenu armateur à ses quarante-huit ans, au décès de son père. Plus tard, mon bas de laine me permit de racheter, à la mort de nos parents, sa part de la maison à mon frère. L'heure de la retraite allait sonné pour moi mais je contait rester auprès de Rémi, bien qu’il n’occupât plus officiellement son poste depuis des années. Notre affection restait forte, même si nos galipettes devenait rares. Un matin, il m’annonça le verdict des médecins sur les maux de tête qui le terrassait de plus en plus souvent : Tumeur au cerveau et maximum trois mois en espérance de vie… il en eu deux ! Je l’accompagnai jusqu’à son dernier souffle. Sa mise au caveau familial fut un vrai crève-cœur. L’adieu à l’amour de ma vie ! C'est à ce moment-là que je décidais de rentrer chez moi. Et c'est ainsi, alors que les souvenirs affluaient dans ma tête, que je redécouvris ma rue telle qu'elle est sur la photo. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 23-08-2021 Moi, je verrais bien @KLO7514 ... avec toutefois une remarque : la ruelle est manifestement du sud... alors les terre-neuvas... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 23-08-2021 Quelle belle histoire et la fin assez "nostalgique" malgré tout. L'auteur est certainement quelqu'un qui a "vécu", comme on dit, un homme d'expérience en tout cas. J'ai beaucoup apprécié ce récit. J'y retrouve des accents assez "britanniques" genre Charles Dickens ("Les Grandes Espérances") mitigés Kipling. Ce n'est , apparemment, aucun d'eux qui l'a écrit... ! Quant à nommer l'écrivain de ce soir, j'hésite entre la Belgique et le pays des Helvètes. Je ne peux en dire davantage. Bises à tous, KLO. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 25-08-2021 Petit devoir de vacances pour TOUS les écrivains (si, si, tous !) Écrire une histoire à "phrasette". C'est à dire, commençant par : J’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, mais... ou J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais... En MP avant le 10 septembre, si possible. (les premières seront postées à partir de cette date) Bon amusement et n’oubliez pas les « mouches » ;D ;D ;D Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 25-08-2021 (23-08-2021, 07:56 PM)fablelionsilencieux link a écrit :La ruelle : hors-série,Eh ben, quelle vie ! A 19 ans, le narrateur avait déjà de quoi écrire ses mémoires, en tout cas le premier tome ! Sans la rencontre avec le second et Rémi, il n’aurait p-ê jamais découvert l’autre manière de donner (et prendre) du plaisir et serait resté un simple vide-burnes pour marins dans un port du bout du monde, sans trop de perspectives sinon celle de finir, le coude du colon explosé après une passe un peu trop brutale, au fond de l’eau, à taper la conv’ avec les morues :'( Je n’ai pas relevé de belgicisme, du moins pas les miens, mais quelques discrètes coquilles et le choix inhabituel du temps de narration qui excluent Lange, alors p-ê Nostalgique ou Gaetan ? Re : Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 25-08-2021 "un simple vide-burnes pour marins dans un port du bout du monde, sans trop de perspectives sinon celle de finir, le coude du colon explosé après une passe un peu trop brutale, au fond de l’eau, à taper la conv’ avec les morues.." Oui ! Des morues au bout du monde ? C'est en Islande, et pas en Extrême-Orient... Mais des mecs à matelots, je dis pas... Et puis... "morue" n'a pas qu'un sens. Enfin, je dis ça rien que pour t'énerver ! PS : d'ailleurs, la morue n'est pas un poisson : c'est le cabillaud. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 26-08-2021 À propos de morue, voici une petite anecdote "salée" . Ces charmantes bestioles qui avaient passé parfois jusque deux mois dans la saumure ou carrément dans le sel en revenant des eaux nordiques, étaient attachées à l'arrière des bateaux de Saint-Nazaire ou de Nantes qui remontaient la Loire à l'aide de la grande voile rectangulaire en profitant des vents d'ouest. En arrivant à destination, entre Tours et Roanne, la morue, salée au départ, redevenait cabillaud au sortir de l'eau douce. Y'a pas qu'Nini Peau d'chien qui se faisait...dessaler : on prend les Bastilles qu'on peut! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-08-2021 Jérémie a trouvé, l'auteur du hors série est bien [member=206]gaetanbg[/member] ; Bravo renardeau pour ton flair !!! ;D ;D ;D :-* Première "Mouches", — Hé, Germain, qu’est-ce que tu fout dans mon dos ? Je te rappelle que pour la reproduction c’est avec une femelle ? — Ça, Gustave, c’est les deux géants à coté qui m’ont donnés l’idée d’essayer. Je les ai survolé un bon moment et ils y prennent visiblement du plaisir. Et pas qu’un peu ! — Ben, eux peut être mais… Ohh ! Là, oui, continue, c’est agréable… Oui... plus vite... plus fort... oh, par Sa Majesté des mouches, ne t'arrête pas ! Je vais jouir ! — Moi aus… *PAF !* — Benoit, où tu restes, mon amour ? C’est long pour aller nous chercher à boire, j’ai encore envie de toi. — J’arrive mon Lulu chéri. J’ai juste pris le temps d’écrabouillé deux mouches d’un coup. — Ha, ha, ha. On vas t’appeler la tapette à mouche ! — Andouille, au moins, celles-là ne viendrons pas nous emmerder. Prépare tes fesses, la ‘’tapette’’ arrive. Ça vas chauffer ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 26-08-2021 Les mouches n’ont pas encore inspiré beaucoup de monde, cette première nouvelle est très drôle, et très cruelle. Les mouches auront-elles une chance de survivre sous le clavier d’autres auteurs ? Je pense que l’auteur pourrait être [member=54]fablelionsilencieux[/member], les mouches doivent l’importuner dans sa savane, je ne suis pas sûr. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 26-08-2021 (26-08-2021, 12:34 AM)KLO7514 link a écrit :À propos de morue, voici une petite anecdote "salée" . Ces charmantes bestioles qui avaient passé parfois jusque deux mois dans la saumure ou carrément dans le sel en revenant des eaux nordiques, étaient attachées à l'arrière des bateaux de Saint-Nazaire ou de Nantes qui remontaient la Loire à l'aide de la grande voile rectangulaire en profitant des vents d'ouest. En arrivant à destination, entre Tours et Roanne, la morue, salée au départ, redevenait cabillaud au sortir de l'eau douce. Y'a pas qu'Nini Peau d'chien qui se faisait...dessaler : on prend les Bastilles qu'on peut! Ça devait prendre pas mal de temps pour le trajet. Cette histoire me fait penser à Ordralphabétix qui faisait venir du poisson frais de Lutèce par char à boeufs plutôt que d'aller pêcher dans la mer du poisson sans garantie de qualité. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 26-08-2021 Au resto que je fréquentais dans le "93", il m'était proposé un "écrasé de pommes de terres" fort bon par ailleurs. Ici, c'est un «écrasé de mosca» qui clôt cette cruelle histoire de deux pauvres insectes qui n'en demandaient pas tant. J'apprécie à sa juste valeur la nouvelle dénomination de Benoît ! Fallait y penser . |