Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 22-03-2022 (22-03-2022, 12:18 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Se faire déflorer de cette manière est inhabituel, surtout si cela se passe en public, mais ce n’était pas mon intention d’en faire quelque chose de brutal. Si j’avais été éraste (on peut toujours rêver !), j’aurais eu beaucoup de respect pour les éromènes. Dans la deuxième alcôve, il y aura de nouveau une mise en scène, un peu moins douce, mais Hiroshi n’est plus vierge et a déjà vécu de nombreuses « aventures » au Japon. J’ai inversé les rôles d’Hiroshi et de Laertes pour qu’ils ne revivent pas ce qu’ils ont déjà connu, Hiroshi voyagera en Angleterre et Laertes au Japon. Cela me permet d’esquisser des situations sans avoir à écrire chaque fois un nouveau récit. J’avais commencé un récit avec un éraste et un éronème, mais je me suis rendu compte que ce n’était pas très intéressant. Il manquait une relation amoureuse entre les deux. Dans ce récit Koen et Frédéric sont dans une certaine mesure amoureux l’un de l’autre, mais curieux de faire d’autres expériences, tout comme Laertes et Hiroshi. François-Xavier va-t-il aussi tomber amoureux d’ici la fin du week-end ? Je ne sais pas encore, mais la probabilité est élevée... Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 26-03-2022 Il y a très rarement de la violence physique dans mes récits car je n’aime pas faire souffrir mes personnages. S’il y a de la violence elle est plutôt psychologique. Dans cet épisode, un peu de violence physique me paraissait indispensable, mais, comme c’est un jeu, elle sera appliquée avec douceur et aucune goutte de sang ne coulera. La seule fois où du sang a coulé, c’était pour sceller un serment dans un épisode d’une histoire restée inachevée, les personnages s’étaient piqué le gland avec une aiguille et avaient ensuite rajouté du sperme pour faire bonne mesure. Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (6) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Deuxième alcôve, collège anglais Hiroshi avait pu enlever son bandeau dans le vestiaire après quelques minutes d’attente. Il s’était retrouvé comme à l’école de Hiterhoden, nu devant le tailleur qui lui avait donné un uniforme de collégien complet, avec des sous-vêtements blancs. Seule l’armoirie sur la poche était différente. — C’est celle de Charterhouse School, expliqua Mr Rich, l’école que ton ami Laertes a fréquentée. Mon frère me l’a donnée car il est le tailleur de cet établissement, je les collectionne. Mr Rich ne lui remit pas le bandeau sur les yeux pour le conduire vers la deuxième alcôve qui était en face de la première, de l’autre côté du couloir. Le décor était simple : une fenêtre avec un vitrail rétroéclairé au fond, représentant Hamlet tenant un crâne ; un pupitre sur une estrade à gauche et quelques chaises. Le Chantre, Alexandre, les attendait, il avait aussi mis un uniforme de collégien. Il expliqua le déroulement de la saynète à Hiroshi : — Tu as deviné que tu es l’élève d’un collège anglais, tu t’appelles Julian Spencer. Je suis le préfet, Duncan MacDougall et Mr Rich est le directeur. — Et que dois-je faire ? — Sois naturel, comme si tu vivais cette scène, réponds spontanément et fais ce qu’on te dira de faire. — Bonjour Messieurs, dit le directeur, cessez de bavarder, mon temps est précieux. Mr MacDougall, dites-moi plutôt quelle est la cause de votre visite. — Monsieur le Directeur, j’ai surpris Julian Spencer dans une situation très délicate. Il était dans un débarras avec l’élève Laertes Gilliam. — Mr Spencer, vous savez que vous n’avez pas le droit d’entrer dans les pièces réservées au personnel de maison. — Oui, je sais, dit Julian. — On dit « Monsieur le Directeur », fit Duncan. — Oui, je sais, Monsieur le Directeur. — Et que faisaient ces deux élèves dans le débarras ? — Je les ai surpris en train de… de se masturber, Monsieur le Directeur. — Quelle honte ! Vous savez que Charterhouse School est une école sérieuse, nous ne voulons pas de pratiques d’invertis qui pourraient donner de mauvaises idées aux jeunes gens purs et nobles qui la fréquentent. Nous tolérons la masturbation en solitaire une fois par semaine, c’est déjà très généreux de notre part. — Oui, je sais, Monsieur le Directeur. — Quelle punition proposez-vous, Mr MacDougall ? — Six coups de canne pourraient remettre Julian dans le droit chemin. — C’est une excellente punition. L’acceptez-vous, Mr Spencer, ou voulez-vous passer devant le conseil de discipline ? — Je… je l’accepte, Monsieur le Directeur. — Très bien, je suis fier de vous, quand on désobéit, il faut l’assumer. Baissez votre pantalon. Julian obéit. — Le slip aussi, fit le directeur. Hiroshi sourit, Mr Rich avait déjà vu son sexe dix minutes plus tôt, ce n’était pas très gênant de le lui montrer à nouveau. Il s’inquiéta plus des coups de canne, puis se rappela que le règlement interdisait de blesser un autre confrère. Il n’y avait pas eu de punitions lors du camp de shudō au Japon, désobéir aurait été un déshonneur bien pire que quelques coups sur les fesses. Le directeur prit une canne d’osier sous le pupitre et se leva, il demanda à Julian de se pencher en avant en s’appuyant sur une chaise puis donna six coups sur les fesses nues du jeune homme, en attendant longtemps entre chaque coup. Hiroshi se rappela que Laertes avait vécu la même chose dans son école en Angleterre et qu’il avait bandé. Il ne fut donc pas étonné que son sexe grossît chaque fois que l’osier entrait en contact avec sa peau, très doucement, c’était presque une caresse. — Monsieur le Directeur, dit Ducan, regardez ! Il a une érection ! — Il apprécie les coups… Serait-ce réellement un inverti ? — Il me semble. Je vous suggère de lui donner six coups de plus. — Cela ne servirait à rien puisqu’il aime ça. Un masochiste, sans aucun doute. Il devra passer devant le conseil de discipline, mais je dois être sûr qu’il est un inverti. — Comment le prouver, Monsieur le Directeur ? — Ouvrez votre braguette, Mr MacDougall, si Mr Spencer prend du plaisir à mettre votre membre dans sa bouche, ce sera une première preuve. — Mais, Monsieur le Directeur, je ne suis pas un inverti, moi. — Je sais, mais le devoir de la vérité exige que vous fassiez ce sacrifice. Hiroshi n’était pas très sensible à ce genre d’improvisation théâtrale, il se demanda qui en était l’auteur, était-ce celui qu’on avait présenté comme le Poète ? Il préférait l’action, il s’empressa d’extirper le pénis de Duncan par l’ouverture du slip et le prit dans sa bouche en le décalottant. Hiroshi était modeste, il ne s’était jamais vanté d’avoir eu les meilleurs résultats au camp de shudō dans les disciplines sexuelles, il avait été moins bon dans les disciplines sportives. Le membre de Duncan durcit immédiatement, pour le plus grand plaisir des spectateurs dans le couloir qui admiraient l’habileté du Japonais. Il sortit le pénis juste à temps pour recevoir le sperme sur le visage. Il y eut quelques rires. — Vous êtes convaincu, Monsieur le Directeur ? demanda Duncan. Julian est-il bien un inverti ? — Il me faudrait une autre preuve. Je vois que Mr Spencer ban… a une érection. — Dois-je lui présenter mes fesses ? — Non, je le ferai moi-même. — Vous, Monsieur le Directeur ? Vous faire sodomiser par un élève ? — Mes fesses ne sont pas aussi belles que celles d’un jeune homme comme vous, elles sont blanches et flasques. Si Mr Spencer arrive à me pénétrer malgré cela, ce sera la preuve indiscutable qu’il est un inverti. Hiroshi avait sodomisé de nombreux instructeurs de shudō qui avaient acquis de la sagesse et une grande beauté intérieure avec l’âge, et perdu de leur beauté extérieure. Baiser le directeur ne serait pas problématique pour lui. Duncan déroula un préservatif sur sa bite érigée puis du lubrifiant. Le Culottier baissa ses culottes et se pencha en avant sur son pupitre. Hiroshi le pénétra facilement. Il se dit que cette mise en scène manquait de surprises, il préférerait la suite, lorsque les relations seraient plus spontanées. Le directeur gémissait, Hiroshi accéléra la cadence. Lorsqu’il sentit que le directeur avait un orgasme, ils se laissa aller et éjacula. Il ne se serait jamais permis de le faire lorsqu’il sodomisait l’un de ses professeurs, il devait attendre d’en avoir reçu l’ordre. Il ressortit son pénis encore dur, Duncan lui ôta le préservatif. Quelques spectateurs applaudirent, Hiroshi fit une courbette. Il réalisa qu’il avait toujours le pantalon et le slip baissés sur les chevilles, il mit la main devant son sexe. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 29-03-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Deuxième alcôve, c'est un collège anglais avec tout le décorum voulu, décors et tenues vestimentaires. C'est donc Hiroshi qui est habillé en collégien. Il a fauté avec un autre élève dans une réduit et surpris alors qu'ils se masturbaient. Il a alors droit à une punition, six coups de canne sur ses fesses nues. Bien entendu Hiroshi bande en appréciant la scène à laquelle il participe. Bien entendu les coups de canne sont pus des caresses qu'autre chose! Bien entendu il y a de l'éjaculation dans l'air, Hiroshi ayant une capote, il pénètre le directeur pour le bonheur des quelques spectateurs. Merci Daniel pour cette suite. Bien entendu j'ai hâte de lire la suite, soit de découvrir la troisième alcôve! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 29-03-2022 (29-03-2022, 10:48 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Tu as bien résumé cet épisode. En écrivant, il m’a semblé qu’Hiroshi n’étais pas très sensible à la mise en scène, il a fait ce qu’on lui disait de faire parce qu’il a l’habitude d’obéir, plus que par plaisir, mais il a parfaitement répondu à ce que les spectateurs et les « acteurs » attendaient de lui et bandé au bon moment. Tout ceci se déroule en même temps, cela aurait été préférable que les spectateurs puissent assister à toutes les « représentations », mais cela aurait duré trop longtemps. Les anciens confrères connaissent chaque alcôve et peuvent aller vers celles qu’ils aiment le mieux. Je réfléchis à une huitième alcôve qui serait dévoilée pour la première fois ce jour-là, mais je ne sais pas encore ce qu’il pourrait y avoir à l’intérieur. Pour la troisième alcôve, j’ai trouvé quelque chose d’assez spécial, mais qui sera imaginaire. Comme au théâtre, c’est rarement la réalité qui est représentée, plutôt l’idée que se fait le metteur en scène de cette réalité. Cela me plaît d’ajouter dans ce chapitre ce niveau supplémentaire « théâtral ». Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 31-03-2022 Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (7) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Troisième alcôve, expérience scientifique Le Connétable Martin, le masseur des architectes, prit les jumeaux par la main pour les mener à la troisième alcôve. Ils étaient nus et avaient toujours les yeux bandés, ils resteraient ainsi jusqu’à la fin de l’expérience scientifique à laquelle ils seraient soumis. De chaque côté de l’alcôve, il y avait une table rectangulaire avec un rembourrage en cuir brun. Martin aida les jumeaux à se coucher dessus, la tête surélevée, les bras le long du corps, les jambes légèrement écartées. Il remarqua qu’ils étaient rasés, cela mettait en valeur leurs fins pénis et les faisait paraître plus longs. Il entrava leurs poignets et leurs chevilles avec une lanière pour qu’ils ne pussent plus bouger. Au bout des tables, contre le mur du fond, il y avait une rangée de dix ampoules placées verticalement ; entre les deux un tableau électrique avec des manomètres et des commutateurs ; au-dessus, un chronomètre ; au milieu de l’alcôve, sur le sol, un appareil ressemblant à une grosse cocotte-minute, de près d’un mètre de diamètre, en aluminium, d’où sortaient de nombreux câbles électriques, dont certains étaient reliés au tableau électrique et aux ampoules. Les Bâtisseurs, les architectes Graf & de Bruson, les avaient rejoints, ils étaient entièrement nus. Ils se mirent debout à côté des tables, de manière à pouvoir accéder facilement aux génitoires des jumeaux. Martin passa une blouse blanche avant d’expliquer en allemand le déroulement de l’expérience : — Je suis le Dr. Franz Anton Mesmer et l’appareil auquel vous serez reliés se nomme un « baquet de Mesmer », j’en suis l’inventeur et je l’ai baptisé de mon nom, sans fausse modestie. J’ai découvert que le corps humain produit un fluide magnétique lors d’une excitation sexuelle et que ce fluide peut être mesuré et transmis à d’autres personnes. Les jumeaux seront les émetteurs et les Bâtisseurs les récepteurs de cette énergie magnétique. Les ampoules permettront de visualiser le niveau de l’excitation des émetteurs, elle sera au maximum lorsque les lampes seront toutes allumées. Le fluide sera amplifié dans le baquet et transmis aux récepteurs. Nous pourrons voir son effet sur leurs organes génitaux qu’ils n’auront pas le droit de stimuler eux-mêmes. Avez-vous compris ? — Pas du tout, dit Sacha. — Moi non plus, dit Vania. — Ce n’est pas grave, vous n’avez absolument rien à faire. Je vais placer les capteurs sur votre corps. Il y aura seulement un très faible courant qui passera d’un à l’autre pour mesurer le niveau d’excitation. — Et comment serons-nous excités ? demanda Vania. — De la manière la plus traditionnelle, un massage du pénis pratiqué par les récepteurs. Ils devront moduler ce massage en fonction des sensations qu’ils recevront du baquet. — Vous êtes sûr que cela fonctionne ? demanda Sacha. — C’est une méthode encore expérimentale, nous ne pourrons pas être sûrs avant d’avoir essayé. Le Dr. Mesmer colla une électrode reliée à un câble noir sur la base du pénis de Sacha, près des bourses ; il introduisit ensuite un petit plug de métal dans l’anus et le relia à un autre câble. Une première ampoule s’alluma, indiquant que le contact était établi. Il vérifia si l’histoire que lui avait racontée Franz était exacte et que l’un des jumeaux avait un grain de beauté sous le prépuce. Celui-ci n’en avait pas. Il répéta ensuite les mêmes gestes sur Vania. Il fut étonné de ne pas voir de grain de beauté. — Nous ne l’avons plus, expliqua le jumeau, nous sommes allés chez le dermatologue et il l’a enlevé. — Nous en avions assez, nous ne pouvions plus nous doucher sans que tout le monde regarde nos bites et nous demande de les décalotter. — Mais comment vous distinguera-t-on à l’avenir ? demanda le Dr. Mesmer. — Ce sera impossible, nous mourrons les deux en même temps, comme cela il n’y aura pas de problème pour nos héritiers. — Mais nous ne sommes pas pressés. J’espère qu’il n’y aura pas de court-circuit dans votre bidule. — L’électricien de la confrérie l’a vérifié, c’est du courant de faible voltage et de faible intensité. Le Dr. Mesmer posa aussi une électrode sur les pénis des Bâtisseurs et leur mit un plug dans l’anus, plus gros que ceux des frères. Les câbles des récepteurs étaient rouges pour les distinguer de ceux des émetteurs. Il se rendit ensuite vers le tableau électrique, mit en route le chronomètre et annonça que l’expérience avait débuté. Les architectes enduisirent les pénis des jumeaux avec de l’huile de massage et débutèrent une très lente masturbation, caressant alternativement les couilles et la bite. Ils avaient déjà pu essayer le baquet et savaient qu’il fallait beaucoup de temps pour que les fluides magnétiques se transmissent des pénis des émetteurs à ceux des récepteurs. Sacha et Vania avaient déjà de très belles érections et trois ampoules s’étaient allumées. Graf & de Bruson finirent aussi par bander, beaucoup plus modestement, stimulés par les courants électriques. Les spectateurs qui avaient assisté au début de la présentation s’en allèrent voir d’autres alcôves plus captivantes. Le chronomètre indiquait une vingtaine de minutes lorsque les dix ampoules furent allumées. Les jumeaux avaient déjà été plusieurs fois près de l’orgasme mais s’étaient retenus, leurs organes luisaient d’huile de massage et de précum, leurs petites couilles glabres étaient collées au corps. Il fallut encore deux minutes jusqu’à la délivrance, ils éjaculèrent en même temps, comme à leur habitude, ce qui surprit les récepteurs, une décharge dans leur bas-ventre les fit aussi jouir. — L’expérience a parfaitement réussi ! fit le Dr. Mesmer, enthousiaste. Il délivra les jumeaux, puis enleva les bandeaux, les électrodes et les plugs. Il leur donna du papier pour se nettoyer. Sacha et Vania s’assirent sur le bord de la table et regardèrent le baquet, incrédules. — Je pense qu’il y a une supercherie, dit l’un des deux. — Je le pense aussi, dit l’autre. — Je vous assure que non, dit le Dr. Messmer. — Mouais, on demandera à Koen. — Avec lui il est impossible de tricher sur tout ce qui est scientifique. — Il faudra qu’on lui dise pour le grain de beauté, il devra mettre à jour sa documentation. — Je suis sûr qu’il a deviné quand on a pris congé pour aller chez le dermato. — Vous avez fait comment pour jouir en même temps ? demanda Graf. — Nous somme télépathes. — Et Koen vous croit ? demanda de Bruson. — Non. Il veut nous mener chez son professeur Latte pour faire des vrais tests, c’est un vrai professeur et pas un charlatan comme vous, Dr. Mesmer. — Bon, on est ici pour s’amuser, fit Martin, vous avez au moins aimé ces branlettes ? Les jumeaux se regardèrent. — Oui, cela méritait le détour, dit Vania. J’ai juste trouvé le plug dans le cul trop petit. On ne le sentait plus. — Je crois qu’on va demander aussi à devenir membres à part entière de la confrérie, dit Sacha. — Vous pourriez nous parrainer ? — Vous avez vu qu’on a des queues et un cul fonctionnels. — Pas de souci, fit Graf. — Nous serons vos parrains, ajouta de Bruson. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 01-04-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour cette suite. Pas fort convaincus par cette expérience les jumeaux! Il n'empêche qu'ils ont été satisfait de la branlette qui leur fut prodiguée! Les deux garçons parlent de télépathie, c'est semble-t-il ce qui uni souvent les jumeaux, ils savent ce parler ainsi et même à distance! Très bien d'avoir suggéré d'être eux aussi intronisés dans la confrérie, Graf et Bruson semblent d'accord! J'ai passé un très bon moment de lecture, merci Daniel! Je t'embrasse! Philou Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 01-04-2022 (01-04-2022, 10:21 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Je vais laisser Koen donner son avis sur cette « expérience » dans un épisode ultérieur. Il faut d’abord que je présente les autres alcôves, j’ai encore des incertitudes, ce n’est pas sûr que je me tienne à ce que j’avais annoncé. Je reparlerai aussi de la télépathie des jumeaux beaucoup plus tard. Koen donnera également son avis. Ils auront encore l’occasion de se faire branler pour la science… Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 06-04-2022 J’avais prévu un voyage au Japon car je voulais présenter une pratique d’inspiration japonaise, mais je n’ai pas eu d’idée de décor et mes personnages étaient déjà allés à l’ambassade du Japon à Berne. Comme je suis dans une période « SF », ce sera un voyage dans l’espace. Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard ( 8 ) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Quatrième alcôve, voyage dans l’espace Après un passage au vestiaire, Laertes fut conduit par le Maître de Cérémonie Dorian dans la quatrième alcôve. On lui enleva le bandeau des yeux et il se retrouva à l’intérieur d’un vaisseau spatial qui lui fit penser à une soucoupe volante. La paroi était blanche, incurvée, avec des hublots laissant entrevoir un ciel noir étoilé. Un matelas recouvert d’un drap noir était posé sur le sol au milieu de la pièce ; une armoire fermée était adossée à la paroi, au fond. Contrairement aux autres alcôves, celle-ci était éclairée indirectement par des tubes fluorescents en haut de la paroi et pas par des torches. Ce n’étaient pas des extraterrestres qui la pilotaient, mais bien des Terriens, avec des combinaisons une pièce qui ressemblaient à des pyjamas : celle du Chambellan Urbain était bleue, celle du Maître de Cérémonie Dorian kaki et celle de Laertes blanche. Le tissu plaquait contre le corps et, comme il n’y avait pas de slip dessous, on devinait nettement les contours des organes. Laertes avait déjà vu le pénis circoncis XXL d’Urbain, il s’intéressa plutôt à celui du chorégraphe qui était d’une taille plus raisonnable. Dorian expliqua le déroulement de l’action : — Cadet de l’espace Laertes, tu es un jeune homme intéressé à devenir cosmonaute et nous sommes en orbite autour de la Terre pour tester tes aptitudes, dont celle de supporter l’apesanteur en état d’excitation sexuelle extrême. — Cela va être difficile de simuler ceci, fit Laertes. — Nous avons eu une idée, mais ce sera une pratique assez spéciale, le shibari. Ton ami japonais t’en a-t-il parlé ? — Non, jamais. — Je vais te laisser découvrir ce que c’est. Il y a une précaution à prendre avant, c’est celle de convenir d’un mot que tu pourrais prononcer si quelque chose ne te convenait pas ou te faisait mal, nous arrêterions immédiatement. Quel mot choisis-tu ? — Hiroshi, le prénom de mon ami. — Nous avons noté. Je vais me présenter : je suis le capitaine Dick et voici le docteur Cock, spécialiste scientifique. — Enchanté. — Couche-toi sur le matelas, fit le Dr Cock, à plat ventre. — Je dois me déshabiller ? demanda le cadet. — Non, pour la première fois ce sera moins désagréable avec le tissu. Laertes obéit. Le Dr Cock sortit des cordes de l’armoire et les passa autour du corps de l’Anglais, comme on aurait ficelé un morceau de viande avant de le cuire à la broche. Le Capt Dick vérifiait que les nœuds étaient correctement faits et les cordes pas trop serrées. Laertes ne put bientôt plus bouger. — Ça va ? demanda Dick. Pas de membres engourdis ? — Juste la queue, répondit Laertes. — Pourtant elle n’a pas de cordes. Prêt pour l’apesanteur ? — Oui, let’s go ! Cock ouvrit une petite porte dans le mur, derrière celle-ci se trouvaient des commandes. Trois câbles reliés à un treuil descendirent du plafond. Il les crocha aux cordes avec un mousqueton et souleva lentement Laertes, d’une dizaine de centimètres. Dick vérifia encore une fois que l’empaquetage était correct, puis Laertes fut soulevé presque jusqu’au plafond. les deux hommes avaient la tête juste sous le corps du cadet. — Ça va toujours ? demanda Dick. Pas le mal de l’espace ? — Non, tout va bien. — Tu nous dis si tu as des nausées, on a une cuvette. — Ça te plaît cette sensation de voler ? demanda Cock. — Oui, combien de temps devrais-je rester ainsi ? J’ai besoin de pisser. Vous auriez dû me dire de passer aux WC avant. — S‘il n’y a que ça… Quelqu’un pourrait-il aller chercher un récipient à la clinique ? fit-il en s’adressant aux spectateurs. Laertes se dit qu’il devrait pisser dans la combinaison, mais le Dr Cock prit des ciseaux dans l’armoire et tira l’étoffe à la hauteur du sexe. — Attention à ne pas lui couper le bout, fit le Capt Dick. — Bah, il est déjà coupé, il ne risque plus rien. Cock entailla la combinaison, faisant un large trou pour sortir la bite et les couilles. Un des confrères était revenu avec une verre doseur gradué. Cock le plaça sous le gland et dit à Laertes de se soulager. Une fois qu’il eut fini, Dick secoua le pénis pour faire tomber les dernières gouttes. — 5 dl, fit le Dr Cock en regardant la graduation. Tu avais la vessie pleine. — Ce doit être la température plutôt fraîche dans la cave, fit Laertes. Cock redonna le pot au confrère en lui disant : — Va le vider sans le boire, il y a du meilleur vin dans la cave que de la pisse anglaise. — Ça va toujours dans l’espace ? demanda Dick. Tu veux redescendre sur la Terre ? — Non, ça va beaucoup mieux depuis que j’ai pissé. J’aime bien cette sensation d’avoir la queue qui pend dans le vide sidéral. — On va s’en occuper, elle pendra encore plus bas. Cock et Dick s’en occupèrent alternativement avec leurs doigts et leurs lèvres, les spectateurs découvrirent le sexe érigé, pas très long, mais bien dur et droit. Malgré sa situation inconfortable, Laertes sentit le plaisir monter et jouit assez rapidement, sa semence chut sur le sol de la soucoupe. — Pas très réaliste, fit-il, en apesanteur il aurait flotté dans la cabine sour forme de gouttelettes et j’aurais pu en attraper une pour la boire. — Toujours pas le mal de l’espace ? demanda le Capt Dick. — Non, je me sens bien, je pourrais passer la nuit comme ceci. — Ce n’est pas possible, il faudrait qu’on reste les deux pour te surveiller, mais on va te descendre un peu. Le Dr Cock descendit Laertes pour qu’il fût à la bonne hauteur. Il coupa la combinaison du Capt Dick, Laertes découvrit le pénis du chorégraphe avec le gland déjà à moitié découvert et luisant. Cock le mit à la hauteur des lèvres de l’Anglais pour une irrumation puis tint le corps de celui-ci pour éviter les balancements. Dick faisait des va-et-vient plus ou moins rapides, plus ou moins profonds. Lorsqu’il sentit le point de non-retour arrivé, il sortit le gland de la bouche de Laertes pour éjaculer sur son visage. — Voilà, dit le Dr Cock, Le baptême de l’espace est terminé, à moins que tu aies encore envie de me sucer. — Une autre fois, fit Laertes qui avait peur d’étouffer dans sa position inconfortable avec la gigantesque bite d’Urbain dans sa bouche. Cock le descendit sur le matelas et ils le libérèrent de ses liens. — Nous devons encore vérifier que tu n’as pas de blessures, c’est la règle après ce jeu, fit le Dr Cock. Il prit les ciseaux et découpa la combinaison de la tête aux pieds puis l’enleva. Il vérifia consciencieusement le dos et les jambes, écartant même les fesses pour mettre un doigt dans l’anus. — Il n’y avait pas de cordes à cet endroit, fit Laertes en riant. — Tu n’aimes pas ? dit Cock tout en pressant sur la prostate. Tu n’as qu’à prononcer le nom de ton ami. — Si, si, j’aime. — Tu pourrais rencontrer un extraterrestre qui voudra explorer toutes tes cavités lors de ta prochaine mission. Il faut t’entraîner. Le Capt Dick fit aussi un trou dans la combinaison du Dr Cock et stimula le membre, puis le recouvrit d’un préservatif XXL. Urbain prit Laertes en levrette. Malgré la grosse bite dans son cul, l’Anglais resta stoïque et ne prononça pas le nom de son ami. C’était bien plus agréable que le préfet qui l’avait dépucelé à Charterhouse School en présence du directeur. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 08-04-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour cette suite! Voyage dans un vaisseau spatial pour Laertes en compagnie de Dorian et Urbain qui officient dans le vaisseau. Voyage dans l'espace pour Laertes qui apprécie celui-ci. Petite ombre au tableau, il a omis d'aller se soulager avant d'entrer dans cette alcôve. Oubli vite arrangé. Laertes découvre ainsi la jouissance étant comme en apesanteur, il a bien aimé voulant même rester ainsi. Pour finir Urbain pris Laertes en levrette en restant stoïque. Merci Daniel pour ce bon moment de lecture! Il me tarde de lire la suite de ton, récit! Je te souhaite déjà un très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 08-04-2022 (08-04-2022, 10:35 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. J’aurais aussi pu imaginer deux personnes suspendues pour qu’elles aient une relation sexuelle en apesanteur, mais il aurait fallu des liens moins serrés et au moins les bras libres. Un peu trop difficile pour un débutant comme Laertes. Dans mon récit les personnages ont parfois des envies pressantes et sont obligés de se soulager pour le plus grand plaisir des spectateurs, ou surtout pour le plaisir de l’auteur qui les fait « oublier » de passer aux WC. Je ne sais pas si mes lectrices et lecteurs partagent ce fantasme, mais je ne trouverais jamais quelqu'un qui ait exactement les mêmes fantasmes que moi. Le retour sur la terre est brutal avec Urbain, mais Laertes aurait pu refuser en prononçant le prénom de son ami. Cela me semble important, en particulier lors de jeux SM, et ceci même si le but de cette réunion est d’avoir d’avoir des relations sexuelles avec de nombreux partenaires. Il faudra attendre un peu pour la suite. Je serai en voyage la semaine prochaine. Je prends toujours un ordinateur avec moi, mais je ne sais pas si j’aurais le temps et/ou l’envie d’écrire, ou alors j’écrirais quelque chose en rapport avec le voyage, inspiré par des personnes, des lieux ou des paysages que je verrais. Je te souhaite déjà un bon week-end et t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Tonton Tim - 09-04-2022 Bonjour Daniel, Philou et les autres lecteur. Après une longue absence j’ai eu beaucoup de plaisir à lire tous ces épisodes de la vie passionnante de Koen, Frédéric et leurs compagnons d’aventure. En résume Le voyage en train vers la Hollande Amsterdam et sa fameuse peniche La grand-mère et le frère de Koen La relation père fils Le retour d’Amsterdam et la découverte des jumeaux Le retour à l’école avec la perspective de nouvelles découvertes pour Koen et Frédéric Et enfin l’initiation des innocents et convies pour le plaisir des spectateurs, de l’auteur et bien sur des lecteurs . C’est un peu tard pour transmettre mes vœux pour 2022 mais je me réjouis déjà de revenir ici dans quelques mois pour découvrir la suite de cette histoire. Ou plus vite car ces derniers épisodes m’ont bien fait bander et … Tonton Tim ( lecteur intermittent ) Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 09-04-2022 (09-04-2022, 10:04 AM)Tonton Tim link a écrit :Bonjour Daniel, Philou et les autres lecteur. Bonjour, merci Tonton Tim pour ton commentaire et la lecture de mon récit, même par intermittence. Tu as utilisé le mot « aventure », mes héros me font penser à des personnages de BD qui ont d’innombrables aventures sans jamais vieillir. Les miens sont soumis à la flèche du temps, mais ils vivent quand même beaucoup d’aventures en quelques semaines. Beau compliment que tu me fais en bandant pendant que tu me lis, il m’arrive aussi de le faire en écrivant… Preuve que les mots sont aussi évocateurs que des images et beaucoup plus faciles à utiliser. Et ils stimulent plus l’imagination. Au plaisir de te relire dans quelques mois (ou plus vite). Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 22-04-2022 Avertissement : cet épisode évoquera du fétichisme médical. Je me suis autocensuré pour ne pas choquer les âmes sensibles et j’ai essayé d’y mettre comme d’habitude un peu d’humour, mais vous n’êtes pas obligés de lire mon récit si ce que j’écris vous dérange. Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (9) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Cinquième alcôve, la clinique Le Tabellion Charles s’était réservé l’ami de son fils, Koen, mais avait décidé de ne pas avoir de relations sexuelles complètes avec lui, pas de pénétrations. Il était cependant curieux d’examiner de près le pénis du Néerlandais, avec l’aide de l’Officier de santé, le Dr Arthur Tissot, qui ne pratiquerait pas en respectant le serment d’Hippocrate, mais bien celui inofficiel de Priape : J’affirme solennellement que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir afin de faire bander les bites qui me tomberont sous la main. Au vestiaire, Koen reçut une blouse médicale rose trop courte qui laissait entrevoir la moitié des fesses et les couilles, Charles et Arthur troquèrent leurs capes contre une blouse blanche classique sous laquelle ils étaient nus. Ils enlevèrent le bandeau des yeux de Koen dans l’alcôve appelée la clinique. Afin d’éviter tout problème déontologique, Charles lui fit signer un papier pour qu’il prît connaissance que ce serait un jeu sexuel et pas une consultation médicale. Au centre de l’alcôve, il y avait une table gynécologique avec des étriers pour les jambes, ce qui permettrait un meilleur accès aux organes ; à gauche des armoires vitrées avec des instruments et du matériel ; à droite une table avec des articles d’hygiène ainsi qu’un lavabo et un vidoir ; au fond des étagères avec des bocaux. Koen s’y intéressa tout de suite car dans chaque bocal flottait un pénis, parfois au repos, parfois en érection, ainsi que des testicules. — Je ne me suis pas présenté, dit Arthur, je suis le Dr Moreau et mon assistant est le Dr Frankenstein. — Enchanté, fit Koen, je suis le Dr Mabuse. Belle collection de bites. — Je les collectionne, elles sont dans du formol. — Ce ne sont pas des vraies, ce sont des moulages. — Oui, vous avez raison, vous comprendrez que les membres de la confrérie tiennent à leurs membres. — Je les comprends, moi aussi je tiens au mien. — Mais elles ont toutes été moulées d’après nature. — Je mets volontiers la mienne à votre disposition pour compléter la collection, fit Koen. — Nous acceptons avec plaisir, dit le Dr Frankenstein. Au repos ou en érection ? — En érection, cela va de soi. Frédéric vous a-t-il dit que ma bite est belle ? — Euh… Je préfèrerais que les conversations que j’ai eues avec mon fils au sujet des bites des élèves de l’école Hinterhoden restent confidentielles. — Secret médical, ajouta le Dr Moreau. Vous devriez comprendre, mon cher Dr Mabuse. — Entre confrères, nous pourrions en discuter, fit Koen. — Ce serait fort intéressant, mais nous risquerions d’y passer le reste de la journée et je crains que les spectateurs qui passent d’une alcôve à l’autre soient lassés. — Tu pourrais l’inviter dans ta clinique pour y faire un stage pendant que mon fils sera chez les architectes, proposa Charles. — Bonne idée. Je vais maintenant présenter les instruments à Koen. — C’est comme quand on torturait autrefois, dit le Dr Frankenstein, on présentait les instruments aux suppliciés pour les faire avouer. — C’était une plaisanterie douteuse, dit le Dr Moreau, vous savez que nous n’imposons rien contre la volonté ici. J’aurais par exemple des dilatateurs d’urètre si ça vous tente, ou alors une simple aiguille et du fil pour vous coudre le prépuce, ou encore une seringue pour vous injecter du sérum physiologique dans les bourses. Koen fit la moue. — Non, je tiens trop à ma bite et à mes couilles pour leur imposer de tels traitements. — Je vous comprends, dit le Dr Frankenstein, je n’aimerais pas non plus. — Mais il y a des confrères qui aiment ça, dit le Dr Moreau. Vous qui êtes psychologue, Dr Mabuse, vous devez comprendre que l’esprit des êtres humains est tordu. — Tout à fait, dit Koen, en particulier l’esprit de ceux qui écrivent des romans puisque nous sommes trois personnages de fiction. — Et vos fesses, sont-elles moins sensibles que vos génitoires ? — Oui, vous pouvez en disposer comme bon vous semble. — Parfait. Je vous prie de vous installer sur la chaise, les jambes dans les étriers, ensuite nous vous remettrons le bandeau sur les yeux. Koen obéit, c’était la première fois qu’il se retrouvait dans cette position. Bien qu’il ne fût pas très pudique, il se sentit particulièrement exposé, surtout avec les autres confrères qui défilaient dans le couloir et qui avaient une vue imprenable sur son entrejambe. Pendant que le Dr Frankenstein mélangeait une poudre avec de l’eau afin d’obtenir une pâte, le Dr Mabuse s’assurait que Koen eût une belle érection pour le moulage. Il prit ensuite un moule spécial, avec un tube, qu’il remplit de pâte, il y glissa la bite de Koen et le plaqua contre ses couilles. — Deux minutes, dit-il, essayez de rester en érection. — Pas de souci. Le Dr Frankenstein contrôla le temps sur une horloge murale. — C’est bon, dit-il, la pâte doit avoir durci. — Comment fait-on pour retirer ma bite, elle est coincée à l’intérieur. — Élémentaire, mon cher Watson, pardon, mon cher Dr Mabuse, il vous suffit de débander. — Et comment dois-je faire, je ne peux pas me branler pour faire retomber l’érection. — Je ne sais pas… J’ai une idée, pensez à la directrice de votre école. L’effet fut immédiat, le pénis de Koen se ratatina et fut libéré. Le Dr Moreau le nettoya pour enlever les restes de pâte. — Quand verrais-je le moulage ? demanda le Néerlandais. — Lors de la prochaine réunion, dit le Dr Moreau, cela prend du temps pour sécher. Vous ne désirez vraiment pas de soins péniens ? Un écouvillon par exemple ? Un cathéter ? Je fais aussi des piercings. — Je ne suis pas masochiste. — Dommage. — Vous pouvez quand même la toucher. — Le Dr Frankenstein s’en chargera pendant que je vais introduire divers objets dans votre fondement. Ce sera un jeu, vous devrez deviner ce que c’est. D’accord ? — D’accord, ce sera amusant. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Philou0033 - 23-04-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite, assez amusante et dont les dialogues m'ont fait sourire! Oui pas mal Daniel pour les traits d'humour. J'ai vraiment apprécié cette suite. J'attends avec impatience de lire les suites! Je te souhaite un très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Lange128 - 23-04-2022 (23-04-2022, 11:15 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. J’ai préféré faire sourire plutôt que de décrire des pratiques qui, bien qu’elles existent, ne me plaisent pas particulièrement. Contrairement à d’autres épisodes où je décrivais des visites médicales réelles, il s’agit ici clairement de jeux sexuels. Dans le fétichisme médical il y a toujours cette opposition entre personnes qui préfèrent les vrais médecins alors que d’autres ne conçoivent leurs fantasmes qu’avec des faux médecins. Ces deux positions me semblent inconciliables. Le membres de cette confrérie sont particulièrement gâtés puisqu’ils ont un large choix pour assouvir leurs fantasmes les plus variés, et ceci dans un cadre sûr et avec des gens en qui ils ont toute confiance. Je pense qu’un tel lieu de rencontre n’existe pas dans la réalité, la fiction est faite pour rêver. Je te souhaite aussi un très bon week-end. Je t’embrasse. Daniel |