Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 07-03-2022 Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (2) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay — La longueur n’est pas importante, dit Fançois-Xavier à Frédéric, je sais bien m’en servir. — Tu m’as pourtant dit une fois que j’étais une pédale avec une petite bite, alors que tu ne m’avais jamais vu à poil. — Je t’ai dit ça ? — Oui. — C’est possible, tu sais, quand on est jeune on dit n’importe quoi pour faire comme les autres et se donner un genre. Je te présente mes excuses. — Je n’en attendais pas moins de toi, fit Frédéric, je les accepte. — On fait la paix ? — Bien sûr, on est les deux dans la même galère à présent. — Tu as aussi une petite bite ? — Tu verras bien, dit Frédéric en tendant la main à FX. — Tu me racontes ? demanda Koen qui n’avait pas compris la conversation en français. Frédéric résuma la conversation en allemand. Koen dit : — Je ferai l’arbitre, je serai impartial. — Nous avons fait la paix, ce n’est plus nécessaire, dit Frédéric. Jean-Pierre arriva accompagné d’un serveur, ils posèrent un plat de viandes froides et de fromages sur la table, ainsi qu’une corbeille de pain et des fruits. — Votre dîner, dit-il. Il y aura un banquet plus conséquent ce soir. Vous devez avoir l’estomac léger pour les réjouissances. Les jeunes hommes s’assirent pour manger. L’un ne s’était pas encore présenté. Il avait une vingtaine d’années, était noir, avait des cheveux crépus courts, les yeux bruns. Il avait mis un polo blanc au col ouvert qui laissait voir un collier de perles bleues et brunes. — Comment t’appelles-tu ? demanda Frédéric. — Djibril. — C’est aussi ton père qui t’a embarqué dans cette galère ? — Non, c’est mon chorégraphe, Dorian. — Ton chorégraphe ? s’étonna Frédéric. — Oui, je fais de la danse et je suis depuis peu dans sa compagnie. Je ne me sens pas toujours à l’aise lorsque je dois être nu en présence d’autres. — Il n’y aura pas que de la nudité. — Je sais, dit Djibril en riant. Il ne m’a pas forcé à venir, ne t’inquiète pas. Et cela m’intéresse de voir ce qu’il prépare ici, ce sera différents de ses autres créations. D’habitude il doit faire attention pour ne pas choquer le public petit-bourgeois habitué aux tutus. — C’est toi qui danseras ? — Non, c’est vous tous pour la présentation aux autres confrères. — Nous ? Je ne sais pas danser. — Cela n’a pas d’importance, ce sera pour présenter nos corps. — Il y a d’autres Noirs dans la confrérie ? — Non, je serai le premier, une révolution ! — La révolution sera plutôt quand ils accepteront des femmes. — Quand on parle du loup, on en voit la queue. Le chorégraphe entra à ce moment-là, accompagné de Mr Rich. Si le tailleur était tiré à quatre épingles comme d’habitude, Dorian avait passé un pantalon de survêtement et un tee-shirt noirs. Il avait des cheveux blonds coupés courts. Les deux hommes s’assirent à la table pour partager le repas. Jean-Pierre leur offrit du vin, Dorian refusa : — Jamais pendant le travail. Pendant qu’ils buvaient le café, le chorégraphe expliqua comment se déroulerait la présentation, en anglais pour que tous comprissent. — Ce sera comme dans un défilé de mode. Vous devrez parcourir le podium d’un bout à l’autre. Il y aura trois passages, dans différentes tenues. Les autres confrères seront assis dans la salle pour vous observer. — Ils nous mettront des notes ? — Non, ce n’est pas l’élection d’une miss, c’est seulement pour qu’ils découvrent votre corps. Ensuite, sept confrères choisiront l’un d’entre vous pour le conduire dans les caves et lui faire découvrir l’une de nos attractions. — Pourquoi seulement sept ? demanda Koen. Nous sommes huit. — Nous ne voulons pas séparer les jumeaux pour la première ronde, ensuite ils feront ce qu’ils désirent. Cette première ronde vous est dédiée, les autres confrères seront spectateurs. — Quelles seront les tenues ? questionna FX. — Vous verrez avec Mr Rich. Nous allons débuter si vous n’avez pas d’autres questions. Ils se levèrent, prirent leurs sacs et se rendirent à l’autre bout de la salle où des matelas étaient posés sur le sol, les uns à côté des autres. — On ne va pas beaucoup dormir avec cette promiscuité, dit Koen. — Je te rappelle qu’il est interdit d’avoir des relations sexuelles en dehors des zones prévues à cet effet, dit Mr Rich, nous prendrons des précautions. Déshabillez-vous entièrement et posez vos habits sur les lits. Enlevez vos montres, vous pouvez laisser vos bijoux. Enlevez aussi vos chaussettes, le défilé se fera à pieds nus, mais vous aurez des chaussons pour vous déplacer dans le château. Frédéric mata la bite de FX, celui-ci semblait gêné mais elle n’était pas si petite que ça, juste au-dessous de la moyenne. Koen regarda celle de Djibril, nettement au-dessus de la moyenne, terminée par un long prépuce. — J’aimerais voir la couleur de ton gland, fit Koen, tu pourrais te décalotter ? C’est pour mes statistiques. Djibril eut l’air étonné, mais il obéit et Koen put constater que le gland était de la même couleur brune que la peau de la hampe. — Merci, dit-il, c’était la première queue de Noir que je voyais. — À ton service. — Je me demandais si c’est vrai qu’elles sont plus longues que les nôtres quand vous bandez. — Nous n’avons pas le temps de nous amuser maintenant, fit Mr Rich, alignez-vous, les quatre innocents d’un côté et les quatre conviés de l’autre. Mr Rich ouvrit une armoire qui contenait des costumes pour le défilé. Après avoir évalué la taille des organes, il en sortit quatre slips blancs sans ouverture et quatre noirs puis les distribua. — Un slip blanc pour moi ? s’étonna FX, c’est un symbole de pureté, je ne suis plus puceau depuis longtemps, j’ai défloré ma première fille à 15 ans. — Ici on est entre hommes, fit Dorian. Tu as déjà pénétré des hommes ? — Euh, non. — Et été dépucelé par un homme ? — Non plus. — C’est bien ce que je pensais. C’est symbolique, on appelle les nouveaux des innocents et c’est bien égal de savoir s’ils sont vierges ou pas. On sait qu’ils ne le seront plus à la fin du week-end. Frédéric s’étonna de la virginité de FX avec des hommes et se demanda pourquoi il était venu ici pour la perdre, il se garda de le lui demander. Chacun était libre de vivre sa sexualité comme il le désirait. NDA Anachronisme dans ce chapitre puisque le chorégraphe qui m’a inspiré vit de nos jours, il s’appelle Trajal Harrell et travaille à Zurich, il s’inspire du voguing apparu dans les années 1970. Dorian était un peu en avance sur son temps et cela se déroulait dans un cadre privé et pas dans un théâtre subventionné. Et, comme j’avais déjà invité Béjart dans un chapitre précédent, mon budget pour les guest stars était épuisé. Dorian a accepté de travailler gratuitement pour moi. Par contre Koen me coûte assez cher, mais c’est lui la véritable star de ce récit et je ne peux plus le remplacer. Je me suis lancé un défi, je vais devoir trouver sept « attractions » pour occuper mes personnages… Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 08-03-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour cette suite! On commence à en savoir plus sur les jeunes qui patientent devant un léger repas. F-X s'excuse d'avoir traité Frédéric de "petite bite" alors qu'ils étaient dans la même école! A l'issue du repas, c'est le moment de trouver une tenue pour les huit jeunes hommes. Bien entendu ils se mettent tous à poil. (C'est très logique pour ce récit, l'auteur reste fidèle à ses habitudes) Koen est toujours en alerte et demande à Djibril, jeune noir, de montrer son gland en vue de savoir de quelle couleur il pouvait être! Oui Daniel tu dois trouver sept "attractions" pour tes personnages! Il me tarde de lire la suite. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 08-03-2022 (08-03-2022, 12:13 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ce commentaire. FX s’est excusé, ils devaient se réconcilier. Je me rappelle qu’il y avait aussi des mots homophobes qui étaient utilisés lorsque j’étais au gymnase ou, une fois, une allusion à une supposée à l'homosexualité d’un camarade à cause de son slip. Je ne me souviens pas d’insultes liées à la taille du pénis, mais ça devait aussi exister. Oui, c’est logique, on ne change pas les bonnes habitudes et ils doivent se mettre à poil. Comme tu le dis, Koen est toujours en alerte. Je n’ai jamais eu de camarade d’école noir, ce n’était pas aussi courant qu’à présent, mais je ne vais pas introduire des quotas dans mes récits pour que tous les habitants de la terre soient représentés. Il y a par contre beaucoup de LGBT dans mes récits, il faudra que je pense aussi aux hétérosexuels qui doivent se sentir sous-représentés (je ne crois pas qu’ils lisent mes histoires). Le défilé aura lieu dans le prochain épisode, je vais ensuite réfléchir aux sept « attractions ». Un peu comme à Fort Boyard. J’étudie toute proposition si quelqu’un a des idées. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 11-03-2022 Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (3) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Les quatre innocents, François-Xavier, Djibril, Koen et Frédéric, enfilèrent leurs slips blancs. L’étoffe était très fine, collait au corps et l’on devinait le contour et la grosseur des génitoires. — Ça ne me met pas en valeur, dit FX, pourrais-je avoir un slip noir ? — Non, fit Mr Rich, tu n’as qu’à bander, elle paraîtra plus grosse. Mets-là en travers pour qu’elle ait de la place. — Je vais te montrer, dit Koen. Il mit sa main dans le slip de FX et positionna la bite comme l’avait suggéré le tailleur. Il en profita pour la décalotter, il la sentit grossir sous ses doigts, le gland était humide. — Ça va mieux ? demanda Dorian à FX. — Oui, merci du conseil. Le tailleur leur donna ensuite une sorte de longue robe sans manches qui descendait jusqu’au milieu des cuisses. Elle était en tulle transparent à grosses mailles. FX rechigna à la mettre : — Je vais avoir l’air ridicule avec ça ! — Le ridicule ne tue pas, fit Dorian. — Sinon nous serions déjà tous morts, ajouta Frédéric. Tu es vraiment venu ici de ton plein gré ou c’est pour faire plaisir à ton père ? — Je t’assure que je suis ici de mon plein gré, d’ailleurs ton père s’en est assuré lors de l’entretien que j’ai eu avec lui pour le parrainage. — Alors, pourquoi cette crainte de paraître ridicule ? — Parce que, justement, mon père sera dans la salle. Il ne m’a jamais vu nu depuis que je suis… un grand garçon. Pas comme chez toi où vous vous baignez tous à poil. — Qui te l’a dit ? Ah, oui, tu as vu mon père… Dorian intervint : — Je vous rappelle le règlement : vous pouvez quitter ce château quand vous le désirez ou refuser de faire ce que l’on vous propose. Libre à toi de ne pas défiler. — Non, dit FX, ce serait pire de me défiler et de passer pour une lopette. — Alors, arrête de pleurnicher sans arrêt. Ils enfilèrent leurs habits de tulle et Mr Rich les ajusta. Il se tourna ensuite vers les conviés, Laertes, Hiroshi, Sacha et Vania, qui étaient en slip noir. Il leur donna des longues robes noires qui allaient jusqu’aux chevilles, sauf celle de Laertes qui s’arrêtait à la hauteur du bassin. Mr Rich expliqua à son compatriote : — Tu vas remonter un côté de ton slip jusque dans la raie, comme cela on verra une de tes fesses au ras de la robe. — Une minijupe en quelque sorte, fit Laertes, c’est à la mode. Mr Rich prit ensuite des ciseaux et découpa les robes des jumeaux de manière symétrique pour dégager un sein, le gauche pour Sacha et le droite pour Vania. Il fendit également le bas de la robe jusqu’au pubis. Il laissa celle d’Hiroshi intacte et lui dit : — Tu feras des petits pas pour ne pas te casser la figure. — Je ne pourrai pas montrer mon beau corps, dit le Japonais en riant. Personne ne me choisira. — T’inquiète pas, je n’ai encore jamais vu personne finir habillé dans ce château. Dorian expliqua aux novices comment ils devraient défiler, il les fit parcourir la salle d’un bout à l’autre. FX commença. — Tu t’en sors bien, dit le chorégraphe, tu as suivi des cours de danse ? — Euh, oui, j’ai fait de la danse classique. Ce n’était pas une activité très bien vue pour un garçon, je ne le disais à personne. — Bravo ! Tu n’as pas continué ? — Je ne voulais pas en faire mon métier, mais cela m’a au moins permis de bien danser et d’inviter des filles dans les bals. — Et de coucher avec elles, fit Frédéric, sarcastique, ou avec la moitié seulement. François-Xavier rougit et hésita avant de dire : — Je vous ai menti, je n’ai jamais couché avec aucune fille. Je suis pédé et puceau à 100 %. — Parfait, fit Koen, je note, 8/13 et 6 sur l’échelle de Kinsey. — Vous terminerez vos confidences un autre jour, sinon on ne sera jamais prêts à 13 heures, dit Dorian. Le chorégraphe les fit défiler les uns après les autres, sauf les inséparables jumeaux qui étaient ensemble. Il leur indiquait comment marcher avec élégance, avec plus ou moins de réussite. — Ne vous inquiétez pas si vous n’y arrivez pas, dit-il, je vous ai déjà dit que le ridicule ne tuait pas. Il reste dix minutes, vous pouvez encore aller pisser. Tous suivirent son conseil, Hiroshi eut un peu de peine, ses amis l’aidèrent, Frédéric releva le bas de sa longue robe, Laertes lui baissa le slip et Koen lui tint la bite. FX s’étonna : — Ça ne vous dérange pas de pisser devant les autres ? — Non, répondit Koen, pourquoi cette question ? Tu veux que je tienne aussi ta bite ? — Ce n’est pas nécessaire, sinon je vais de nouveau bander. Ils descendirent ensuite dans une petite pièce adjacente à la salle où aurait lieu le défilé, après avoir enfilé leurs chaussons. — Vous êtes prêts ? demanda Dorian. Merde ! — Merde ? fit Koen, étonné. Je connais ce mot en français, je ne comprends pas. — C’est ce que l’on dit au théâtre avant une représentation. François-Xavier, tu passes le premier. — Moi ? — Oui, cela donnera une bonne impression au début. Djibril en dernier, une bonne impression pour la fin. Entre deux… — Quelles seront les tenues pour les autres passages ? Nous n’en avons qu’une. — Je te laisse deviner. Jean-Pierre ouvrit la porte de la salle. Et toi, chère amie lectrice, cher ami lecteur, as-tu deviné la tenue qu’auront tes héros favoris pour les deux autres passages ? Si oui, envoie ta réponse au «Journal de l’Ange », Rte des Enfers 666, L’Empyrée. Il y aura un tirage au sort parmi les réponses exactes, le premier prix sera une babelutte par Koen. Si tu désires des indices, relis attentivement les 111 épisodes précédents. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 12-03-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Les quatre innocents enfilent leurs slips blancs. Ils doivent aussi enfiler chacun une tunique de tulle étant pratiquement transparente. F-X se pose des questions car il ne veut pas paraitre ridicule et être pris pour une lopette! F-X explique que finalement il n'a jamais coucher avec une fille et qu'il est gay et puceau! Koen tient alors compte de cet aveu pour noter sa position sur l'échelle de Kinsey. Les huit garçons s'entrainent à défiler dans la salle avant que la cérémonie ne commence. L'un des jeune se demande quelle sera la prochaine tenue, il n'y en a qu'une pour le moment. Bien entendu ce sera "in naturalibus" qu'ils seront pour le plus grand bien des "spectateurs" et pour eux même aussi! Merci Daniel pour cette suite intéressante. Je te souhaite un bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 12-03-2022 (12-03-2022, 12:33 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Tu as deviné la suite et tu as des chances de gagner une babelutte par Koen. Je ne connaissais pas ce mot qui vient du néerlandais, babbelaar, et qui est, semble-t-il, utilisé en Belgique. J’ai bien aimé que tu ajoutes « pour eux-mêmes aussi ». Oui, la nudité pourrait décomplexer François-Xavier, il verra que tous les membres de la confrérie n’ont pas un gros pénis et n’ont pas un corps idéal. Il a déjà commencé par admettre ses « faiblesses » en avouant qu’il n’avait jamais couché avec une fille, malgré sa réputation de coureur de jupons (mais dans ce chapitre les hommes ont aussi mis une robe, symbole de la frontière parfois floue entre les genres). Premier pas vers l’acceptation de son homosexualité. Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - fablelionsilencieux - 12-03-2022 Coucou Daniel, Je confirme le mot babelutte qui, comme ici, correspond à une turlutte en Français (mais que les Wallons n'utilise pas, à ma connaissance, vu l'origine flamande du mot) mais aussi de manière moins grivoise et trèss Bruxelloise: Quel babelutte ce gars/ cette fille = Quel bavard ce... et enfin : une babelutte confiserie connue et qui se retrouve jusque chez les ch'ti en France (sorte de caramel dur) Des bizoux Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 12-03-2022 (12-03-2022, 05:55 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Coucou Daniel, Coucou [member=54]fablelionsilencieux[/member] et merci pour ces précisions. Je n’ai pas pensé que ce mot n’était pas utilisé, c’est vrai que je ne me souviens pas de l’avoir lu dans un récit d’un auteur belge francophone. Cela convenait bien à Koen qui est néerlandais. Je ne me souviens plus pourquoi j’avais choisi cette nationalité, probablement parce qu’il devait déjà connaître un peu l’allemand pour fréquenter l’école, mais pas le français. J’aurais pu choisir irrumation, je pense que personne ne connaît ce mot, même pas mon correcteur orthographique. Bisous. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 15-03-2022 Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (4) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay François-Xavier entra dans la salle, poussé par Dorian, et monta quelques marches pour arriver sur le podium, on entendait une douce mélodie jouée au piano, un concerto de Beethoven. Les projecteurs l’éblouirent, il finit par distinguer les confrères, une vingtaine, assis sur quatre rangs dans l’obscurité. Ils étaient vêtus tous à l’identique : une cape rouge avec un gros pendentif doré sur la poitrine indiquant leur grade, une casquette noire sur la tête. Il ne reconnut pas son père. Il parcourut le podium jusqu’à l’autre bout, en essayant de se rappeler ce que Dorian leur avait enseigné, puis revint vers la porte. Aucun bruit, aucun applaudissement. Le chorégraphe lui fit un signe avec le pouce pour lui indiquer que c’était bien et envoya le suivant, Hiroshi, qui marcha très lentement pour ne pas tomber, empêtré dans sa longue robe. Suivirent ensuite les jumeaux, qui provoquèrent quelques murmures dans l’assistance, Laertes, Koen, Frédéric et enfin Djibril. Les murmures furent plus forts, la plupart des compagnons ne savaient pas qu’un Noir allait être intronisé, et c’est lui qui fit la plus forte impression. Jean-Pierre referma brièvement la porte, Dorian dit aux jeunes gens d’enlever leurs robes et de ne garder que leurs slips. FX faillit protester, mais se retint. Ce fut de nouveau lui qui passa le premier. Les confrères restèrent muets, on les avait remis à l’ordre après le passage de Djibril. Les autres suivirent dans le même ordre. FX ne pensa même plus à protester lorsque le chorégraphe leur dit d’enlever leurs slips pour le dernier passage. Il sentit sa bite rapetisser et son cœur battre la chamade. Il ne pouvait plus reculer, il monta sur le podium, le traversa d’un bout à l’autre, trop rapidement. Il respira profondément lorsqu’il eut terminé et regarda défiler ses compagnons avec un petit sourire. Les jumeaux se massèrent même le pénis pour provoquer une légère érection avant de monter sur le podium, déclenchant des rires dans l’assemblée. Après le passage de Djibril, Dorian leur dit de remettre leurs chaussons, mais pas leurs slips, et d’attendre quelques minutes, le temps que les confrères délibérassent et fissent leur choix, il se rendit dans la salle et ferma la porte. — Nous sommes tous vivants, dit Frédéric, le ridicule ne nous a pas tués. — Parle pour toi, dit FX, ce n’était pas si facile pour moi. Je pense que vous êtes tout le temps à poil dans votre école et que vous baisez sans arrêt. — On doit aussi étudier de temps en temps. Jean-Pierre rouvrit la porte, ils montèrent les huit sur le podium. Les confrères les applaudirent chaleureusement, puis la lumière se ralluma et les projecteurs s’éteignirent, quelqu’un ouvrit les volets. Un homme au premier rang se leva et prit la parole : — Merci Messieurs pour ce défilé, je sais que ce n’était pas évident. Je me présente : je suis le Gouverneur, Edmond, le propriétaire du château et des vignobles. Nous nous appelons par nos prénoms, sauf lors des cérémonies où nous utilisons nos titres. Je vous demanderais de vous présenter. Dorian traduisit rapidement pour les non-francophones, les novices déclinèrent leurs prénoms. Le Gouverneur présenta ensuite les officiers de la confrérie : L’Échanson, son fils Jean-Pierre, chargé des repas et des boissons ; Le Tabellion, Charles, le père de Frédéric, chargé des aspects juridiques ; Le Chambellan, Urbain, le chauffeur de Charles, chargé des chambres ; Le Culottier, Francis, le tailleur, chargé des habits d’apparat et des costumes ; Le Maître de Cérémonie, Dorian, le chorégraphe, chargé de la mise en scène ; Le Conseiller au Trésor, Hubert, le banquier père de François-Xavier, chargé de la pompe à phynances ; Le Prévôt, Georges, le directeur du gymnase où était allé Frédéric, chargé de faire régner l’ordre et la discipline, surnommé aussi le Père Fouetteur ; Le Chancelier, Séverin, le photographe qui avait vendu l’appareil à Koen, chargé des archives de la confrérie ; L’Officier de Santé, Arthur, l’urologue de la clinique Beaumont, chargé de l’hygiène ; Les Bâtisseurs, Graf & de Bruson, les architectes, chargés du décor des alcôves, dont personne ne connaissait les prénoms ; Le Connétable, Martin, le masseur des architectes, titre honorifique puisqu’il n’avait aucune fonction ; Le Préfet de Berne, Franz, chargé des relations avec les confréries amies en Suisse alémanique, il se promettait d’organiser plus souvent des échanges ; Le Chantre, Alexandre, le pianiste, chargé de l’ambiance musicale ; Le Poète, Yehadiel, l’ange déchu, chargé des écritures. Il y avait encore quelques autres arpètes et compagnons qui ne furent pas présentés. Le Gouverneur monta sur le podium, fit lever l’assemblée. Il était accompagné du Maître de Cérémonie qui tenait une boîte contenant quatre pendentifs. Il les passa au cou des innocents en leur disant : — Au nom de Priape et de Bacchus, je vous intronise dans la Confrérie de Vincelard au grade d’Arpète ! Il posa sa main sur leurs couilles, avant de leur donner l’accolade. Il fit ensuite prêter serment à tous, les invitant à respecter les confrères, à respecter le règlement et à ne divulguer à personne quelles étaient les véritables activités de la confrérie. L’Officier de Santé monta ensuite sur le podium, rappela les règles d’hygiène et l’usage obligatoire du préservatif pour les pénétrations. Il examina ensuite les génitoires des arpètes et des conviés, dégagea le méat et l’ouvrit, pour vérifier qu’ils n’avaient pas de maladies vénériennes. Il s’assura aussi qu’ils n’avaient pas d'hémorroïdes. Le Maître de Cérémonie donna ensuite lecture du déroulement de la première ronde : L’arpète François-Xavier serait avec le Gouverneur et l’Échanson dans la première alcôve pour un voyage en Grèce Antique ; Le convié Hiroshi serait avec le Chantre et le Culottier dans la deuxième alcôve pour un voyage en Angleterre ; Les conviés Sacha et Vania seraient avec les Bâtisseurs et le Connétable dans la troisième alcôve pour une expérience scientifique ; Le convié Laertes serait avec le Chambellan et le Maître de Cérémonie dans la quatrième alcôve pour un voyage dans l'espace ; L’arpète Koen serait avec l’Officier de Santé et le Tabellion dans la cinquième alcôve, la clinique ; L’arpète Frédéric serait avec le Poète et le Prévôt dans dans la sixième alcôve, l’Enfer ; L’arpète Djibril serait avec le Chancelier dans la septième alcôve pour un voyage à Hollywood. NDA J’aime bien le théâtre, c’est pour cela que j’ai conçu ce chapitre sous la forme de petits spectacles avec un décor, des costumes (pas toujours), des dialogues (pas toujours) et une mise en scène. Cela me permettra donc de mettre en scène des fantasmes en général absents de la vie quotidienne et leur point commun sera un rapport dominant/dominé. Même une petite incursion dans le SM… Tout ceci ne sera qu’un jeu entre les participants, un côté artificiel qui me rappelle un parc d’attractions, c’est pour cela que j’ai utilisé ce terme précédemment. Il n’y aura pas de Mickey pour ne pas tomber dans la zoophilie. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 16-03-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Super belle suite. Comme tu le dis, je me serais cru au théâtre, imaginant les huit acteurs avec la mise en scène en trois tableaux avant le final avec le Gouverneur et le Maître de Cérémonie qui inspectent les arpètes et les conviés a niveau de leurs anatomies! Chaque personnage à donc son titre qui est utilisé lors des cérémonies. Pour le reste chacun s'appelle par son prénom! Les huit garçons sont donc répartis dans sept alcôves et ont leurs "initiateurs" qui les accompagnent pour leur premier "voyage" dans le château de Vicelard! Il me tarde de lire la suite! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 16-03-2022 (16-03-2022, 01:07 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Tu as bien résumé cette suite, avec l’univers d’une confrérie, inspiré de celles existantes, avec leurs grades obscurs pour les non-initiés. Il s’agit bien d’une initiation, thème de beaucoup de mes récits, même si la plupart des participants ne sont plus vierges. Certains découvriront de nouvelles possibilités de vivre leur sexualité. Voyage dans l’imaginaire, avec des sensations qui seront très réelles. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - emmanolife - 16-03-2022 La confrérie des vicelards évoque un peu la franc-maçonnerie, mais on se doute que les rituels ne seront pas les mêmes, ils devraient normalement avoir une orientation beaucoup plus sensuelle. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 16-03-2022 (16-03-2022, 08:30 PM)emmanolife link a écrit :La confrérie des vicelards évoque un peu la franc-maçonnerie, mais on se doute que les rituels ne seront pas les mêmes, ils devraient normalement avoir une orientation beaucoup plus sensuelle. Merci [member=67]emmanolife[/member] pour ton commentaire. J’ai écrit un texte inspiré de la franc-maçonnerie il y a quelques années. J’avais repris des éléments réels pour les mélanger à de la fiction érotique, on trouve facilement des descriptions détaillées de ce qui est « secret ». Il y avait aussi des réflexions philosophiques qu’on ne retrouvera pas ici. Les confréries sont moins mystérieuses, elles sont consacrées en général à mettre en valeur des boissons alcoolisées ou des produits alimentaires et sont, je suppose, surtout destinées à faire des repas gargantuesques. Ce chapitre aura quelques points communs avec l’autre récit car ce sont toujours les mêmes idées qui me viennent à l’esprit. J’avais aussi fait une tentative du même genre restée inachevée parce qu’elle était trop complexe, espérons que celle-ci fonctionnera mieux. Je vais peut-être utiliser une forme théâtrale qui ne sera pas très différente d’autres récits où le nom du personnage qui parle est mentionné au début des dialogues. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 21-03-2022 NDA Je fais parfois des modifications dans les épisodes précédents en fonction de mes nouvelles idées, ce qui peut provoquer des incohérences avec ce que vous avez lu il y a quelques jours et ce que vous lisez maintenant. Je ne vais signaler que les plus importantes. Je ne concrétise pas non plus tout ce que j’évoque dans les commentaires, j’ai par exemple renoncé à une écriture théâtrale qui aurait rendu le récit confus, après avoir fait un essai. Les personnages auront cependant d’autres noms lorsqu’ils joueront une saynète. Avertissement : cet épisode fera allusion aux érastes et éromènes. Contrairement aux mœurs antiques, mes éphèbes ont 18 ans ou plus et auront tous l’occasion de vous prouver qu’ils sont pubères (pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, il n’en reste plus beaucoup). Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (5) Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay Les confrères désignés pour la première ronde montèrent les uns après les autres sur l’estrade. Ils nouèrent un bandeau noir sur les yeux des novices dont ils prendraient soin avant de les guider nus dans les caves du château, comme le voulait la tradition. Les jeunes gens ne virent pas les gros tonneaux de bois remplis de vin, ils en sentirent seulement l’odeur. Le dernier était factice, l’avant s’ouvrait comme une porte et menait à une deuxième cave voûtée, plus grande que la première, qui s’enfonçait loin dans le rocher. De chaque côté d’un couloir se trouvaient les alcôves, séparées par des cloisons de bois. Au fond, il y avait une grande pièce avec des lits pour les ébats libres ; un bassin pour se baigner ; des toilettes et une sortie de secours. La cave était éclairée uniquement avec des torches, un système moderne de chauffage et de ventilation assurait une ambiance agréable et un air pur. Il y avait aussi un petit vestiaire à l’entrée, certains s’y arrêtèrent pour que le Culottier pût les vêtir des habits correspondant à l’alcôve, d’autres seraient nus dès le début. Première alcôve, Grèce Antique La première alcôve était une pièce d’inspiration grecque : sol en mosaïque usée représentant deux hommes enlacés, le pénis dressé ; une table derrière laquelle était assis Le Gouverneur ; un divan bas ; une vasque remplie d’eau, recouverte d’un tissu qui ressemblait à une courte étole ; la statuette d’un éphèbe nu. Les trois hommes avaient mis des exomides, tuniques ne couvrant que le sein gauche et le bassin. Celle de l’arpète était entièrement blanche, les autres avaient un liseré rouge. L’Échanson expliqua à François-Xavier, qui avait toujours les yeux bandés, comment se déroulerait le jeu : — Mon père s’appellera Épaminondas, il est un riche propriétaire terrien et on lui confie souvent des éromènes. Je suis son fils Aphrodise, je désire aussi devenir éraste. Et toi, tu es Antinoüs, l’éromène. Tu as compris ? — Oui, j’ai compris, dit FX, mais je ne sais pas ce que je devrai dire ou faire. — Cela n’a pas d’importance, c’est de l’improvisation. Appelle mon père « Maître ». On te dira ce qu’il faut faire, ne t’inquiète pas. Allons-y. — Quel bon vent t’amène, ô mon fils Aphrodise ? — Les vents nous ont été favorables, ô mon père Épaminondas, la traversée de Cythère fut calme et rapide. — Parfait. Quel est ce bel éphèbe qui t’accompagne ? — Te rappelles-tu de Théophylacte ? Nous le baisâmes souvent aux balnéions. — Je m’en souviens. Ne s’est-il pas marié ensuite ? — Comme nous tous, hélas. La nature n’est pas bien faite qui ne permet point aux hommes de procréer sans les femmes. Théophylacte était sur le bateau avec son fils, Antinoüs, que j’ai l’honneur de te présenter. — Encore plus beau que son père. A-t-il un joli membre ? — Je n’ai pas pu le voir, hélas, le jeune Antinoüs est très pudique, il se cachait pour pisser dans la mer. Son père m’a glissé à l’oreille qu’il n’est pas très long. — C’est bien ainsi, les gros membres sont vulgaires. — Théophylacte aimerait que tu fasses l’éducation de son fils, si tu es d’accord. Il est encore vierge. — Je ne peux rien refuser à un vieil ami. Épaminondas se leva et se mit en face d’Antinoüs : — Bonjour, jeune homme. — Bonjour, euh… Maître. — Ne sois pas intimidé, tout se passera bien. Est-ce exact que tu es vierge ? — Oui, Maître. — Tu n’as même pas essayé d’enfoncer ta queue dans la chatte d’une esclave ? — Ou dans le cul d’un esclave ? fit Aphrodise en riant. — Non, Maître, jamais. — Mais tu peux laisser échapper ta semence, Antinoüs ? C’est la condition pour devenir éromène chez moi. — Oui, Maître, je peux et je le fais souvent. — Nous allons vérifier tout de suite. Mon fils Aphrodise me secondera. Aphrodise se plaça derrière Antinoüs, enleva la ceinture de l’exomide de l’éromène et dégrafa la fibule sur l’épaule. Le tissu tomba sur le sol. — Très bel organe, dit Épaminondas, bien proportionné et intact, comme l’aiment les Grecs. Tu pourrais devenir le modèle d’un sculpteur. L’éraste caressa le pénis jusqu’à ce qu’il prît ses aises. Aphrodise plaqua le sien, également dressé, contre les fesses d’Antinoüs. Épaminondas s’agenouilla devant son éronème, signe du respect qu’il avait pour lui, sa langue s’approcha du gland décalotté pour titiller le frein, avant de gober le gland. Les confrères qui n’étaient pas occupés à initier un novice se promenaient dans le couloir de la cave, s’arrêtant un instant lorsque l’un des spectacles les intéressait. Ils n’avaient pas le droit de toucher leurs membres sous leurs capes. Le Conseiller au Trésor était resté à la hauteur de la première alcôve. Épaminondas sentit qu’Antinoüs allait bientôt jouir, il enleva le membre de sa bouche pour que tous les spectateurs pussent voir les jets de sperme tomber sur la mosaïque. Il prit ensuite l’étole, en trempa un bout dans l’eau puis lava le sexe et l’anus de l’éromène avant de le sécher avec l’autre bout. — Ô mon fils Aphrodise, fit Épaminondas, tu me semble bien disposé, je devine ton phallus sous ton exomide, voudrais-tu déflorer Antinoüs ? — Ô mon père Épaminondas, c’est trop d’honneur que tu me fais. — Es-tu d’accord, Antinoüs ? — Euh, oui, Maître. Aphrodise aida l’éromène à monter sur le divan bas, à se mettre à quatre pattes, les avant-bras posés sur un coussin. Pendant qu’Aphrodise se déshabillait, se plaçait à genoux derrière Antinoüs et déroulait un préservatif sur son pénis bandé, Épaminondas prépara la rosette du jeune homme en l’assouplissant avec un lubrifiant. Le silence était palpable lorsque le phallus força l’ouverture pour entrer dans le corps de l’éromène qui ne put retenir un petit cri, tandis qu’Épaminondas lui massait légèrement le dos. Aphrodise avait des mouvements doux et lents, il ne pensait pas à son propre plaisir et ne jouit pas avant de ressortir son pénis sur un ordre de l’éraste qui aida Antinoüs à se relever. — C’est déjà fini ? demanda-t-il. — Oui, c’est suffisant pour la première fois, dit Épaminondas, tu auras bien d’autres occasions. Tu as aimé ? — Ce n’était pas désagréable, mais c’est une sensation tellement nouvelle pour moi. L’éraste lava à nouveau les fesses de l’éromène avant de lui enlever le bandeau. Outre la surprise de se trouver dans cette pièce grecque éclairée par des torches, François-Xavier vit son père qui s’avançait vers lui en riant. Celui-ci lui posa les mains sur les épaules en disant : — Bravo ! Tu es un homme, mon fils ! — Ouais, je ne m’étais pas imaginé que cela se passerait ainsi. — Comment te l’étais-tu imaginé ? — Mon zizi qui met une petite graine dans le ventre d’une fille. — Et on aurait eu un marmot… Ici, pas de risque. Bon, si tu veux nous faire des petits-enfants plus tard, on ne dira pas non. Il y a des bateaux à voile et à vapeur sur le Léman. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 22-03-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite. J'aime bien les descriptions de cette alcôve ainsi que le passage de F-X de jeune éphèbe vierge à celui d'éromène. Tout se fait avec les yeux bandé pour je jeune novice, c'est alors dans cette alcôve grecque qu'il "devient un homme". Le tout se fait sans brusquerie et avec attention. Merci Daniel pour cette suite, qui m'a fait rêver, voulant parfois être aussi acteur de cette scène de défloration! Il me tarde de lire la prochaine suite, soit dans la seconde alcôve! Je t'embrasse! Philou |