Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-12-2020 Chapitre 5. Vacances en Vendée. Le lendemain matin Henri préparait une petite valise pour la semaine avec quelques effets. Il avait également préparé quelques présents à offrir sur place pour encore une fois montrer son affection envers la famille qui l’avait invité à passer une semaine avec elle. La maman d’Henri avait pris contact par téléphone avec ma maman. Elles avaient conversé un bon moment. Elles s’étaient très bien entendues et avaient pu mettre les choses au point concernant notre relation. Je savais que ma maman était très ouverte et elle me fit part après l’entretien téléphonique avec la maman d’Henri, qu’il n’y avait aucun problème et nous étions assez matures que pour pouvoir assumer notre relation en insistant bien sur le fait que cela ne devait pas transparaître en vers l’extérieur et les personnes quelques peu hostiles que nous aurions à affronter ultérieurement. Bref l’entretien téléphonique s’était assez bien passé. Henri et moi nous nous étions retrouvés l’après-midi pour une séance de cinéma. Nous étions allés voir le film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola avec Al Pacino. Nous avions très bien aimé ce film quelque peu violent. Le départ se rapprochait de plus en plus. Henri était venu loger chez nous la veille du grand départ pour la Vendée. Il avait été convenu que nous irions Henri et moi dans le véhicule de l’oncle Pierre qui venait avec nous en vacances. Oncle Pierre était le frère de maman. Il était célibataire, mais avait la réputation d’être un coureur de jupons ! Le reste de la famille, soit ma sœur Anne, mon frère Jean, Maman et Papa dans sa voiture. Tout le monde avait rendez-vous à la maison à 07h15 pour un départ à 07h30 pétante ! Henri avait donc dormi avec moi dans mon lit. Nous avions été très sages, nous nous étions contentés de nous embrasser tendrement et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre. Bip, bip, bip, … le réveil, il est 06h30. Hop toute la maisonnée était levée. Papa chargeait le reste des bagages dans le coffre de la voiture tandis que maman terminait de préparer les sandwichs pour le déjeuner, nous allions manger en cours de route. Vite fait bien fait nous avions avalé le petit-déjeuner. Et comme Papa l’avait demandé, nous étions fin prêts à 07h15, au moment où l’oncle Pierre arrivait lui aussi avec sa voiture décapotable. Henri était super contant de pouvoir voyager la tête au vent jusqu’à notre destination. Notre destination, c’est Notre Dame de Mont, en Vendée. Papa avait loué une villa avec piscine pour notre séjour. C’était à la demande de Maman, car elle n’aime pas aller sur plage et avoir du sable qui colle partout. Nous avions déjà séjourné dans cette localité balnéaire il y a quelques années, mais j’étais plus jeune et j’en avais un vague souvenir. Je me souvenais qu’il y avait une plage naturiste à proximité, en direction de l’île de Noirmoutier. Durant le trajet Henri et moi nous nous étions placés sur la banquette arrière de l’auto d’oncle Pierre, le laissant donc seul à l’avant, côté chauffeur bien entendu. (Petit rire). Durant le trajet Henri m’avait demandé comment ça se passait sur plage naturiste, si on avait des érections incontrôlées, et ce genre de détails. Je lui avais répondu que ça n’arrivait pratiquement pas d’avoir une bandaison, mais qu’à notre âge ce n’était pas rare, mais que personne n’y prêtait attention du moment qu’on reste tranquille et assis sur une serviette ou à même le sable de la plage. Henri avait eu l’air d’être rassuré. J’avais alors pu remarquer qu’un bosse s’était formée sur le devant du short d’Henri, moi aussi j’avais le mat de tente au milieu de l’avant de mon propre short. Le fait d’avoir parlé ensemble de bites et d’érections, nos anatomies s’étaient une nouvelle fois réveillées. Henri passait de temps à autre sa main sur sa protubérance et il en était de même pour moi. Mon oncle Pierre avait bien vu dans le rétro de son véhicule cabriolet que nous nous touchions de temps en temps l’endroit sensible des garçons, soit le sexe ! Je vis mon oncle sourire dans le reflet du rétro. Puis, mon oncle en se tournant en peu vers l’arrière, nous dit « C’est assez chaud à l’arrière, s’il faut baisser la température, ne vous gênez pas. Mais attention aux sièges ! » Je n’en revenais pas de ce qu’oncle Pierre venait de nous dire, mais finalement cela ne m’étonna point. J’étais certain que mon oncle était surement « bi » en fonction des ses réflexions et de ses attitudes un peu équivoques. Via le rétro je lui ai souri et lui de son côté me fit un clin d’œil. Ayant l’aval de mon oncle, et sans vergogne, ne résistant pas au désir de satisfaire mon cher Henri, j’avais posé ma main sur le devant de son short. Puis je m’étais mis à caresser la bosse qui était déjà bien volumineuse. Henri de son côté n’était en reste, il avait également posé sa main sur mon anatomie dressée et dissimulée sous l’étoffe de mon short. Nous avons chacun pris soin de défaire la tirette et le ceinture de notre short afin de libérer un peu la pression. Je prenais alors de l’assurance, sachant que mon oncle Pierre allait regarder dans le rétro ce qui se passait sur la banquette arrière de sa voiture. J’avais donc fait glisser ma main entre le slip et la peau du pubis d’Henri en vue de me saisir de sa queue gorgée de sang. Henri de son côté calquait ses gestes sur les miens en regardant dans le rétro si mon oncle regardait lui vers ce qui se passait à l’arrière. J’avais alors susurré à l’oreille d’Henri de ne pas tenir compte de mon oncle car celui-ci ne dirait rien à personne au sujet de ce qu’il pouvait voir. J’avais alors baissé le slip d’Henri pour dégager sa bite et commencer une lente masturbation. Henri ayant suivit le mouvement, avait également baissé mon slip et s’attaquait à mon mat de cocagne. Nous nous masturbions mutuellement et lentement, procurant à l’être aimé des sensations nouvelles. J’avais ressenti plus de sensations à être masturbé assis à l’arrière du véhicule de mon oncle, dans le vent et exposé à l’air et au soleil qui nous chauffait. C’était une nouvelle sensation jamais connue auparavant ! Henri de son côté semblait ressentir la même chose que moi, nous étions en train de nous masturber mutuellement, à l’unisson, en ressentant les mêmes émotions au même moment. Nous nous étions astiqués un bon quart d’heure et puis nos corps s’étaient cambrés, nos sexes s’étaient une nouvelle fois gonflés au maximum pour ensuite laisser s’échapper plusieurs jets de sperme dans nos mains. J’avais alors léché mes doigts couvert de sperme d’Henri, je ne voulais pas perdre sa semence. Henri de son côté fit de même en léchant ses doigts pour goûter lui aussi à ma semence. Nous étions comme sur un nuage, nous nagions dans le bonheur, nous avions ressenti tant de sensations nouvellement partagées. Mon oncle n’avait semble-t-il rein perdu de nos exploits et il m’avait alors tendu un paquet de mouchoirs en papier pour essuyer les dernières traces de sperme. Je pense même qu’il a apprécié nos exploits. Nous nous étions rhabillés et nous avions poursuivi la route sagement, attendant d’arriver sur le lieu de villégiature. L’oncle Pierre, le frère de maman, est en fait un très bon ami de papa. C’est grâce à l’oncle Pierre que Maman à connu papa. L’oncle Pierre m’avait déjà dit que lui et mon père avaient été dans les mêmes classes à l’école. Qu’ils étaient très bons amis. J’en avais même déduit de très bons amis dans tous les sens du terme. Je n’en étais pas certain, mais je soupçonne l’oncle Pierre et mon père d’avoir été « amants » durant leur jeunesse. C’était semble-t-il bien avant que papa ne fasse la connaissance de maman. Mais je n’en n’avais aucune certitude ! Finalement nous étions arrivés à destination sans encombre. Papa était déjà arrivé depuis plus de 10 minutes. Nous avions déchargé les deux voitures et placé les bagages dans l’entrée de la villa. Nous avions directement fait le tour du propriétaire, pour moi c’était la piscine qui importait le plus et par après la chambre et le lit bien entendu. La piscine était splendide, environ 15 mètres de long sur 8 mètres de large et la grande profondeur à 2,30 mètres, le pied !!! Concernant la chambre, Henri et moi nous avions pu avoir une chambre avec un grand lit de deux personnes. Nous étions ravis et avions directement remercié maman et papa pour ce geste très apprécié. Nous nous sommes installés Henri et moi, nous avions défait nos bagages et rangés nos effets dans l’armoire. Une fois l’installation terminée, Henri m’avait pris par la main et m’avait conduit jusqu’au lit. Nous nous étions couchés sur le lit et avions pu sentir que le matelas était des meilleurs, nous pourrions passer de très bonnes nuits sur ce lit double. Dans la villa il y avait trois salles-de-bain, l’une pour les parents qui était attenante à leur chambre, une pour l’oncle Pierre, juste en face de sa chambre et enfin une dernière qui était située en face des trois chambres utilisées par les plus jeunes, soit ma sœur, mon frère Jean et moi et mon amant Henri. Ma sœur avait une chambre à un lit simple ainsi que mon frère Jean. Henri et moi nous nous étions redressés et Henri avait envie de prendre une douche à l’issue du trajet que nous avions fait dans la voiture de l’oncle Pierre. Nous nous étions déshabillés dans la chambre pour nous rendre à la salle de bain. Dans le couloir, nous avions vu que l’oncle Pierre avait eu la même idée et qu’il allait lui aussi vers sa salle de bain entièrement nu. On nous voyant, il nous lançait : « Une bonne douche vous fera du bien les amoureux ! » Je m’étais tourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur la bouche, geste que l’oncle avait bien remarqué avant d’entrer dans la salle d’eau. Nous étions alors dans la salle de bain où nous avions poursuivi notre baiser qui devenait de plus en plus fougueux. Nos anatomies n’étaient pas restées de marbre non plus, elles pointaient fièrement vers le ciel. Nous nous étions glissés sous la douche et nous avions poursuivi nos caresses. A un moment mon frère Jean entrait lui aussi dans la sale de bain, il avait eu la même idée que nous, prendre une douche. Nous n’avions pas arrêté nos caresses et Jean était venu nous rejoindre dans la grande douche italienne à trois pommeaux de douche. Jean s’était lui aussi mis à bander. Nous nous étions tous les trois regardés et nous nous étions mis à rire en voyant nos virilités dressées. Nous avions chacun pris notre sexe en main et nous nous étions mis à nous masturber langoureusement. Puis, j’ai placé ma main sur le sexe d’Henri, il s’était alors mis à me branler doucement. Jean de son côté s’était enhardi, il avait pris sa main et la posait sur le sexe d’Henri et il commença à le masturber. J’avais alors regardé tour à tour Henri et Jean, Henri me fit un clin d’œil et avec un peu de peur, j’avais posé ma main sur le sexe de mon petit frère Jean. J’avais alors commencé une lente et douce masturbation de sa pine. Nous nous regardions sans rien dire, en nous faisant tous les trois plaisir. Nous avions éjaculé tous les trois presque en même temps au moment où ma sœur Anne entrait nue dans la salle de bain. Anne : « Alors on ne s’embête pas les mecs ! Vous êtes incroyables ! » Anne sortait de la salle de bain, nous laissant le temps de nettoyer nos traces de semences qui ornaient la douche. Une fois que nous nous étions acquittés de la remise en ordre de la salle d’eau nous étions allés prévenir Anne que la salle de bain était libre. Ma sœur Anne, toujours nue, nous avait dit en passant : « La prochaine fois verrouillez la porte les gars. ». J’avais alors dit à Henri : « Tu vois, ce sont les vacances et nous sommes tout le temps tous à poil ! » Henri : « Oui Phil, je vois bien, mais cela ne me dérange pas, je pense que j’y prends goût ! » Jean : « Oui, Henri, c’est très bien et ça prouve que tu es très bien intégré et accepté par la famille. » Moi : « Et la même chose dans l’autre sens ! » Nous nous étions mis rire de bon cœur. Nous nous étions rendus sur la terrasse pour y prendre le souper. C’était un repas assez simple mais très gouteux. Il était constitué de pain frais, de fromage de la région et de charcuteries. Bien évidement il y avait des fruits de saison. Nous avions passé la fin du repas à discuter de chose et d’autre. Mon oncle Pierre parlait de son cabriolet, dont il était assez fier (il y a de quoi), papa parlait des prochaines activités à faire pour le séjour, maman voulait savoir ce qu’il nous ferait plaisir pour les prochains repas, bref une cacophonie magistrale ! Nous avions alors laissé carte blanche à maman en ce qui concerne les repas, en précisant que nous étions disponibles pour l’aider, bien entendu ! Éclats de rire général !!! J’avais ensuite pris la parole pour demander à papa si nous pouvions aller à la plage de la Barre de Mont pour y passer une après-midi avec qui voulait me suivre, je voulais dire, « nous suivre », Henri et moi. Papa m’avait répondu pas de problème, nous pouvions y aller et c’était même très facile à vélo. Des chemins cyclables avaient été aménagés à cet effet au travers des pinèdes. Papa nous avait aussi signalé qu’il était possible d’aller sur l’Ile de Noirmoutier pour fréquenter le parc aquatique « Océanile » pour y passer une journée. Nous avions tous dit oui à cette proposition. Avant d’aller nous coucher, Henri, Jean et Anne nous avions donné un coup de main à maman pour débarrasser la table du dîner. Ensuite, J’avais proposé à Henri et mon frère Jean d’aller piquer une tête dans la piscine. Comme un seul homme, nous nous étions débarrassés de nos vêtements et nus nous nous étions plongés dans l’eau tiède de la piscine de la villa. Nous nous étions amusés, nous nous étions éclaboussés l’un l’autre et même mon oncle Pierre est venu nous rejoindre. Une fois la baignade terminée, nous nous étions séchés et avions regagnés nos chambres. Henri et moi nous nous sommes couchés dans notre grand lit, côte à côté. Nous nous étions regardés, nous nous sommes embrassés langoureusement. Henri m’avait alors susurré à l’oreille : « Comme je suis heureux d’être avec toi et ta famille, ici en vacances ! ». Nous nous étions ensuite endormis sagement dans les bras l’un de l’autre. Nous nous étions réveillés vers huit heures. Il faisait très beau, le soleil était déjà bien présent. Je m’étais tourné vers Henri et je lui avais donné un baiser sur la bouche. Nous nous étions alors embrassés laissant nos langues se toucher sensiblement ; Ayant une trique matinale d’enfer, nous nous étions occupés de la tige de notre amant respectif. Nous nous étions masturbés allègrement. Nous avions joui sur nos ventres et sur la main de notre branleur dans un râle commun. Puis une fois debout, j’avais dit à Henri de me suivre car j’avais envie d’aller barboter dans la piscine. Nous avions donc gagné la piscine, nus comme des vers. A peine étions-nous dans l’eau que mon frère Jean et ma sœur Anne étaient venus nous rejoindre. Nous nous amusions à nous éclabousser joyeusement. Un bon quart d’heure après, maman et papa étaient également venus nous rejoindre en tenue d’Adam et Eve ! Il ne manquait plus que l’oncle Pierre à l’appel. A mon avis il devait encore être dans les bras de Morphée. Maman avait interrompu la baignade en nous disant que le petit déjeuner était prêt sur la table de la terrasse. Nous nous étions séchés pour rejoindre la table, toujours nus ! Nous avions donc mangé de bon appétit les petits pains et les croissants tout frais apportés pas le boulanger du coin. Le café était fumant dans les tasses et maman et Anne, elles avaient leur chocolat-chaud. Anne, Jean, Henri et moi nous étions retournés à la piscine pour une nouvelle fois faire les fou-fous, nous éclabousser mutuellement, sauter et plonger, bref nous étions super bien et de plus le temps était de la partie, il y avait déjà 23°c à l'extérieur. Une fois la petite baignade terminée, papa nous proposait d’aller vers La Tranche sur Mer pour y passer la matinée et ensuite l’après-midi sur la plage de la Faute Sur Mer. Nous étions tous emballés par cette proposition. Nous avions décidé de changer de véhicule pour nous y rendre, Anne et Jean allaient dans le véhicule de l’oncle Pierre tandis que moi et Henri nous irions dans celui de papa. Papa avait également dit que ceux qui voulaient, pouvaient aussi à la plage « des Lays » à la Barre de Mont, avec moi et Henri, le lendemain, et ce suite à ma sollicitation auprès du patriarche de la famille. Tout le monde avait l’air d’accord sur le programme des premiers jours. Hop, une fois tous habillés, nous nous étions répartis dans les deux véhicules tels qu’il avait été décidé. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 26-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. L’oncle Pierre comprend parfaitement les besoins que peuvent avoir Phil et Henri et les laisse se soulager dans la voiture, ce qui ne suffit pas puisqu’ils sont obligés de remettre ça sous la douche, cette fois avec Jean. Les vacances ont donc très bien commencé. Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-12-2020 (26-12-2020, 05:04 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! L'oncle Pierre connaît très bien les besoins des ados et il les laisse se donner du plaisir sur le siège arrière de la voiture! Ils sont insatiables les deux garçons, ils remettent ça sous la douche une fois arrivé à la villa des vacances, il sont même accompagnés de Jean. Je pense que le séjour ne ba pas être triste! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire. Bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 28-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Départ en Vendée pour la famille. Phil et Henri sont dans la voiture de l'oncle Pierre. Les deux garçons parlent de naturisme et les zizis se réveillent dans le shorts. L'oncle leur dit qu'ils peuvent se soulager s'ils ont envie. C'est donc sans vergogne qu'ils se branlent assis sur le siège arrière de la voiture. Arrivé sur place ils découvrent tous la villa et la piscine dans le jardin. Une bonne douche après le trajet n'est as de refus. Jean se joint aux deux garçons et c'est parti pour une branlette partie! Ils sont très chaud les ados. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 28-12-2020 (28-12-2020, 04:03 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonsoir [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Départ en Vendée et amusement sur la banquette arrière de l'auto de l'oncle Pierre. Les deux garçons ont les hormones qui sont en ébullition! Même Jean se prête au jeu et les trois ados se donnent du plaisir. Beau résumé, merci Philippe. Merci à toi de suivre le récit et de laisser un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 29-12-2020 En route vers la Faute Sur Mer. Assis à l’arrière de la voiture de papa, nous avancions sur la route qui longe la côte. Nous avions le temps, toute la journée était là devant nous. Papa nous demanda, à Henri et à moi, si tout allait bien. Nous lui répondîmes de concert que tout allait pour le mieux pour nous. Maman ajouta cependant : « Henri, j’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons régulièrement nus lorsque nous sommes à la villa ou encore, comme tantôt, à la plage devant d’autres personnes inconnues ! » Henri : « Mais non, on contraire Jacqueline, j’adore, dommage que n’aies pas connu ça plutôt ! » Maman : « Tu sais Henri, je vois que tu es un garçon très ouvert, je ne sais pas si Phil à quelque chose à voir, mais je t’apprécie tel que tu es ! S’il y a le moindre problème, je suis là pour t’aider et il en est de même pour Jean-Claude, n’est-ce pas mon chéri ! » Papa : « Oh oui mon amour, s’il y a le moindre problème Henri, nous serons là pour t’aider. Il en va de même pour toi mon grand. » Il parlait de moi bien sûr !!! J’avais vu sa tête dans le rétro de l’auto. Henri : « Oh, merci, je suis très bien à vos côtés, je me sens très bien accueilli, vous êtes vous et la famille un écrin d’amour et de joie, tous autant que vous êtes ! » Je vis des larmes perler et couler sur les joues de mon cher Henri. Je l’ai alors pris dans mes bras pour lui faire un gros câlin. Maman, ayant vu ce qui se passait derrière elle, ajouta : « Tu sais Henri, il n’y a pas à avoir honte, tu peux te laisser aller et pleurer, c’est tout à fait normal d’exprimer ses sentiments. Tu me donnes des larmes aux yeux aussi, à te voir comme ça si sensible ! Je vous adore mes deux loulous ! » Papa : « Moi aussi, je vous aime mes lascars, vous êtres si animés de très belles choses qu’on ne peut que vous souhaiter le meilleur pour vous deux. La seule chose que je souhaite, c’est que vous soyez attentifs à ne pas heurter les autres par votre liaison et que vous preniez surtout soin de vous, et plus précisément soin l’un de l’autre ; le monde dans lequel nous vivons n’est pas un monde de Bisounours ! » Moi : « Merci papa, je le sais et je te remercie de m’aimer, je veux dire de nous aimer tels que nous sommes, sans nous juger. Tu ne peux pas savoir quel bien tu me fais en me parlant comme tu le fais. » Là, n’y tenant plus, je me suis mis à pleurer. Papa arrêta alors la voiture sur le parking le plus proche et il était venu nous serrer Henri et moi dans ses bras. Maman quant à elle s’est aussi mise autour de nous pour marquer par sa présence tout l’intérêt qu’elle nous porte elle aussi ! Après ce moment de vives émotions, nous avions repris la route vers la Tranche sur Mer. Nous étions arrivés à la Tranche sur Mer. Nous étions allés nous promener et flâner dans les rues commerçantes. Maman regardait partout pour trouver je ne sais quoi pour soit décorer la maison, ou alors un habit ou un maillot qui lui irait bien, bref, nous suivions en famille. Entre Anne, Jean, Henri et moi, nous nous amusions à faire des jeux de mots sur l’instant, sur ce que nous apercevions, sur ce que nous pensions, et ainsi le temps passait plus vite. Papa de son côté était parti avec l’oncle Pierre pour trouver un restaurant pour le dîner. Je savais que papa et l’oncle Pierre étaient amateurs de fruits de mer, maman n’étant pas en reste non plus. Pour nous les jeunes, parfois c’étaient des moules ou alors le traditionnel steak haché avec frites et salade. J’avais fait un signe à Henri et avec l’accord de maman nous avions rejoint papa et oncle Pierre. Nous étions tous les quatre occupés à regarder les cartes des menus et des cartes des restaurants. J’avais pris le bras de papa et je lui avais montré un restaurant qui avait l’air assez sympa. Nous avions regardé la carte et papa nous signifia que c’était ici que nous allions manger à midi. Nous avions dîné dans ce petit restaurant et tout le monde avait trouvé les menus très bons. Nous avions encore parcourus les rues de la Tranche avant de reprendre les voitures pour aller à la plage de la « Pointe d’Arçay » à La Faute sur Mer. J’avais regardé Henri et je lui avais dit que c’était une plage naturiste. Henri avait souri et m’avait glissé à l’oreille : « Enfin, je suis content d’y arriver, je vais enfin connaître l’ambiance d’une plage naturiste. Tu resteras avec moi au début Phil. » Moi : « Bien sûr Henri, de toute façon nous sommes très souvent placés avec toute la famille à un même endroit, car s’est plus facile pour se repérer quand on va à l’eau ou quand on joue sur le sable. » Henri : « Ah, OK, ça me va. » Une fois arrivés sur la plage après avoir marché sur les caillebotis en bois et certains en plastic tressés pour traverser les dunes, nous nous étions ensuite dirigés sur la gauche en direction de la plage naturiste, en direction de la « Pointe d’Arçay ». Une fois la pancarte « Zone Naturiste » franchie, nous avions repéré un endroit pour nous installer et nous nous étions tous dévêtus. Henri n’a pas hésité une seule seconde. Il n’y avait pas trop de monde sur la plage et Henri avait trouvé ça très sympa. L’après-midi s’était assez vite passée. Nous avions joué entre jeunes avec un ballon, puis avec des boules de pétanque et bien sûr nous étions allés nous baigner en faisant attention de na pas trop approcher des supports en bois où sont élevées les moules bouchots. L’oncle Pierre lui aimait se balader le long de l’eau arpentant ainsi la plage dans un sens puis dans l’autre, il disait qu’il n’y a rien de meilleur pour bronzer. Effectivement oncle Pierre était toujours bien bronzé et il avait le tain halé une bonne partie de l’automne. Nous avions prévu quelques galettes et des biscuits pour manger lors du goûter ainsi que des bouteilles de limonades pour boire. Maman demanda alors à Henri : « Alors Henri, ça va, pas trop gêné d’être en tenu d’Adam au milieu de personnes que tu ne connais pas ? » Henri : « Merci Jacqueline de me le demander, mais je suis tranquille avec ça, cela ne me dérange pas le moins du monde, de toute façon on est tous pareils, garçons ou filles, je dirais même que je regrette de ne pas avoir découvert cette pratique de la nudité avant ! » Jacqueline : « Oh là Henri, je vois que tu te sens très bien dans ta tête et dans ton corps, félicitations ! » Papa : « Oui, Jacqueline, je trouve aussi qu’Henri s’est superbement bien intégré dans notre famille et j’en suis assez fier ! » À la suite de cette conversation nous avions tous bien rit. Henri était aux anges, je retrouvais en lui son air angélique plein de mystères, comme au début de notre relation. Alors que je jouais avec Henri avec des raquettes et une balle en mousse, Henri avait vu au loin s’approcher un jeune de notre âge. Il était avec sa famille et eux aussi étaient nus. Au fur et à mesure que ce petit groupe se rapprochait, Henri était de plus en plus intrigué par le jeune ado qui avançait sur la plage. Puis Henri me dit : « Eh Phil, c’est Alexandre, le gars chez qui on a fait la "BA" durant le camp. C’est le mec de la piscine ! » Moi : « Ah oui, tu as raison. On va aller le saluer, et sa maman est avec eux également. » Henri et moi nous avions laissé le jeu en place près de la famille pour aller saluer le groupe qui n’était plus qu’à une dizaine de mètres. Ensemble, Henri et moi nous avions dit : « Salut Alexandre, comme tu vas. Tu nous reconnais ? » Alex : « Oh oui, vous êtes deux des scouts qui étaient venus à la maison lors de votre camp. » Moi : « Oui Alexandre, moi c’est Philippe et voici Henri. » Alex : « Salut les gars, c’est génial de se rencontrer comme ça si loin sur une plage, et une plage naturiste en plus ! » Henri : « Oui, c’est fou ! » Moi : « Bonjour madame, bonjour monsieur. » Couple : « Bonjour les enfants, c’est juste vous étiez venus à la maison pour y faire un peu de jardinage, comme BA lors de votre camp scout. » Henri : « Oui, c’est bien cela. » Moi : « Vous êtes en vacances dans le coin. » Alex : « Oui à La Tranche Sur Mer. » Henri : « Je suis en vacances avec la famille de Philippe, j’ai été invité pour la semaine. » Alex : « C’est chouette ! On voit que vous vous entendez bien ! » Moi : « Oui, on s’entend très bien ! » Alex : « Maman, je peux rester un peu avec eux, je vous rejoins après à la villa, si vous êtes partis de la plage. » La maman : « Oui, c’est bon, mais pas d’imprudence ! » Alex : « Merci maman. » Nous nous étions quelque peu éloignés en direction de la mer. Nous avions ensuite commencé à discuter de tout et de rien. Puis nous avions reparlé de l’épisode de la baignade dans la piscine durant notre présence chez Alexandre. Alex : « J’espère que je ne vais pas vous froisser, mais êtes-vous « ensemble ? » Moi : « Que veux-tu dire ? » Alex : « Vous êtes gays, je m’en étais déjà douté lors de votre présence chez moi. » Henri : « Pour être honnête avec toi, oui, et nous sommes en couple. » Moi : « J’espère que ça ne te dérange pas et que tu nous acceptes comme on est. » Alex : « Je ne l’ai pas dit à mes parents, mais je crois que je suis aussi homo. J’ai déjà eu une petite aventure avec un copain de classe. Puis il y a eu le passage de votre patrouille chez nous lors du camp. C’est ce jour-là que j’ai bien compris que je préférais les garçons aux filles. » Henri : « Bienvenue au club. Tu vois pour nous, nos deux familles sont au courant et tu vois, j’ai été invité par la famille de Philippe pour passer une semaine de vacances. » Alex : « Vos parents sont géniaux. J’espère que si je fais mon coming-out, que ça se passera bien, mais j’ai encore bien le temps, avec mon copain c’est assez compliqué pour le dire à ma famille actuellement. » Moi : « OK. Assez parlé, on va se baigner ! » Alex et Henri : « Oui, très bonne idée ! » Nous étions donc allés nous baigner à trois. Parfois des mains s’égaraient vers nos intimités sans trop s’y attarder ; il s’agissait de frôlements, de furtives caresses, rien de plus. Puis mon frère Jean est venu nous rejoindre. Nous avions alors joué plus tranquillement, pour ne pas trop nous faire remarquer. Mais nos zizis étaient régulièrement pointés vers le ciel dans l’eau de la mer. On ne voyait rien depuis la plage, mais à proximité de l’un et l’autre, ça se voyait très bien. Nous avions alors commencé à nous caresser chacun de notre côté. Puis j’avais approché ma main de l’intimité d’Henri et je m’étais emparé de son sexe bandé. Henri fit de même avec mon vis bandant. Nous nous branlions ensemble dans les vagues. J’avais suivi des yeux Alex qui sans y toucher s’approchait de mon frère Jean. C’est la première fois qu’ils se voyaient. Alex avait alors demandé à Jean : « Je peux… » Jean avait très bien compris et il avait marqué son accord d’un mouvement de la tête. Alex et Jean se branlaient eux aussi mutuellement. Nous avions passé un excellent moment à quatre. A la fin de l’après-midi, nous avions quitté Alexandre et sa famille et nous avions regagné les voitures pour revenir à Notre Dame de Mont, à la villa. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 29-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Après une discussion au sujets du naturisme, ils arrivent à La Tranche-sur-Mer (j’ai regardé sur une carte où c’était), puis sur la plage naturiste. J’ai lu que certains camps naturistes exigeaient autrefois un mode de vie exemplaire, en particulier l’abstinence, mais cela devait concerner l’alcool. Le sexe devait être toléré s’ils se pratiquait dans le cadre du mariage et dans l’intimité. Tes personnages n’ont pas entendu parler de ces préceptes naturistes et osent quelques branlettes dans les vagues… Je t’embrasse. Daniel Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 29-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] C'est très bien que les jeunes parlent du naturisme et donc de la nudité. Il est certain qu'ils doivent faire quand même attention car il n'est pas possible de se mettre nu n'importe où. Les humains sont tous faits de la même façon, garçons et filles. Bien entendu chacun a ses petites différences, mais cela n'a aucun importance pour celui qui pratique le naturisme. Les garçons rencontre Alex sur la plage. Ils passent du temps ensemble et vont se baigner. C'est l'occasion pour Phil et Henri de se faire mutuellement du ben. Alex se rapproche de Jean et les deux garçons font plus ample connaissance par zizis interposés. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 29-12-2020 (29-12-2020, 05:13 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Henri se pose des questions concernant le naturisme. Phil lui explique qu'il suffit d'essayer et que cela ne pose pas de problème. Belle plage de sable fin à la Tranche sur Mer. J'y suis allé plusieurs fois! Effectivement au début il était "interdit" de consommer de l'alcool, il fallait manger "bio" et "sain", etc... Maintenant ça a changé, les mentalités ont évolué. Oui les personnages se sont donnés du plaisir dans les vagues lors de la baignade, pour le plus grand bonheur! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 29-12-2020 (29-12-2020, 06:18 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil explique à Henri comment ça se passe sur une plage naturiste. La nudité est normale, il ne faut pas avoir honte de son corps! Phil et Henri rencontre Alex sur la plage. Ils passent du temps ensemble et ils se baignent tout en profitant de ce moment pour se faire plaisir en se branlant. Même Jean s'y met avec Alex. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - KLO7514 - 31-12-2020 Amis très chers (Je n'évoque pas la finance mais bien autre chose de plus important...!), Ce n'est qu'aujourd'hui, 30 décembre 2020, que je découvre moi aussi ces épisodes du «Camp scout » qui précèdent si joliment ce que j'ai pu en connaitre des suites. En pianotant sur ce forum, je voyais bien le titre mis par Philou0033 et je me disais l'avoir déjà vu autrement...et ce n'était pas entièrement ça! J'aurais dû y regarder de plus près et faire la connaissance de ce sympathique gars Henri dont j'avais entendu parler dans les parties suivantes de cette véritable «saga» que j'apprécie beaucoup pour plein de raisons. J'ai, moi aussi, passé des vacances en ces endroits tant à Notre-Dame de Monts, St-Jean, St-Gilles alors que nous "logions" au village du Perrier entre Challans et St-Jean en 1973 (Prise de contacts avec le fermier "d'en-face", naissance d'un veau, invitation du curé du coin, jeune assez novateur, conseillant aux éleveur du coin de mieux rincer leur grands pots à lait plutôt que lui demander de bénir les étables pour éviter que le produit tourne avant le ramassage par le camion...!). Puis, de 1974 à 1976 séjour à Moricq, plus bas, à proximité de La Tranche, toujours "en location" avec femme et les trois jeunes fils. Notre loueur-propriétaire, chef de gare retraité (gare de La Glacière-Gentilly sur la Petite-Ceinture de Paris...tout près de mon domicile d'enfance : le monde est parfois petit!), m'emmenait parfois visiter des fermes des environs où il savait trouver du "pineau" très local: il y avait de petits vignobles dans ce coin-là. D'ailleurs, «monsieur le chef de gare» en possédait quelques arpents sur ses 5 000m² de terrain et fabriquait un "petit rouge" avec un cépage...interdit : le Noah, dont la fermentation produit tout simplement...de l'éther en plus du reste. Bref, ...le vin qui rend fou si l'on en abuse! Alors, je connais tous les sites dont parle Philou. Je rappelle, au passage, que cette région a été submergée lors d'une grosse tempête avec, hélas, d'assez nombreuses victimes, la mer ayant cassé les digues et repris son ancien territoire : ces régions, avant le XVIe siècle, étaient "en eau" et ce sont des Hollandais qui ont creusé des canaux puis édifié des digues. Ce sont de véritables polders en réalité et des maisons furent construites là où il n'aurait pas fallu... Petite anecdote du coin : ce département faillit s'appeler, en 1790, «les Deux Lays», ces deux petits fleuves côtiers le traversant. Mais les deux députés de l'Assemblée Constituante représentant ce coin du royaume n'étaient vraiment pas des canons de beauté :'(! Des géographes avaient présenté les noms des nouvelles divisions administratives. Sauf que les députés ratifiaient ces noms. Ils changèrent donc le choix proposé en "Vendée", minuscule cours d'eau mais qui ne risquait pas de vexer ces deux..."laids" . Merci, amis, de m'avoir lu jusque-là et meilleure année 2021!!! KLO. Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 31-12-2020 (31-12-2020, 02:15 AM)KLO7514 link a écrit :Amis très chers (Je n'évoque pas la finance mais bien autre chose de plus important...!), Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Merci pour ton commentaire! Oui le récit fait environ 800 pages A4. Je souhaite mon chez KLO que tu puisses lire les premières suites avant que tu ne découvres ce récit qui était déjà à sa moitié soit +/- 400 pages au moment où tu commençais la lecture. Cette région, je l'ai traversée de long en large, du sud au nord et d'est en ouest. J'ai ai séjourné une bonne quinzaine de fois et j'ai garder énormément de souvenirs, ... j'y ai aussi laissé des larmes !!! Merci de suivre ce récit, merci de commenter car ça fait toujours plaisir de connaitre l'avis des lecteurs. Je n'écris pas pour moi mais pour les autres! C'est une sorte de partage ! Bon réveillon. Que 2020 finisse pour laisser la place à 2021 en prenant attention à soi, à ceux qu'on aime et qui nous aiment ! Je vous embrasse ! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 31-12-2020 Une fois rentrés à la maison de vacances, nous nous étions une nouvelle fois plongés dans la piscine. Ça devenait un rituel familial ! Maman de son côté avait commencé à préparer le souper. L’oncle Pierre avait lui, commencé à mettre la table et papa était occupé à la préparation des boissons de » l’apéro et du repas et il finissait de préparer le dessert. Le repas était assez frugal et papa avait ouvert deux bouteilles de rosé. Nous avions clôturé par une salade de fruits rehaussée à la mode « Papa-qui-débarque-des-îles ». (C’est-à-dire qu’il y avait de l’alcool (rhum)) Nous avions passé le reste de la soirée à parler de tas de chose, de la vie, de l’amour, de l’amitié, du prix du baril de brut, … etc. J’aimais bien ce genre de soirée où nous pouvions dire quelque chose, où nous étions entendus et où nous apprenions ce qui n’est pas dans les livres. L’oncle Pierre était particulièrement calé dans beaucoup de domaines. A un moment de la soirée j’avais fais signe à Jean de venir me voir discrètement. Nous nous étions retrouvés dans la salle de bain. J’ai alors, sans ambages, demandé à Jean : Moi : « Pourquoi tu t’es branlé avec Alex tantôt quand nous étions à la mer ? » Jean : « Ben, … Phil, tu sais j’en avais envie rien qu’à te voir avec Henri. Ce n’est pas pour ça que je suis homo tu sais ! » Moi : « C’est tout, c’est pour savoir si tu étais devenu homo. » Jean : « Mais non Phil, c’était juste pour le fun et de plus Alex avait l’air super sympa et très ouvert. » Moi : « Oui, je sais, c’est un très chouette mec. » Jean : « Puis tu sais Phil, pour être honnête avec toi, j’avais déjà branlé un copain, c’est arrivé deux fois, c’était juste pour la déconne. Pour moi, je suis hétéro et j’aime les filles. » Moi : « Ça va Jean, t’inquiètes pas, je ne dis rien à personne tu sais, c’est seulement parce que tu es mon frère et que je t’aime. » Jean : « Oui, je sais frérot. Moi en tout cas je t’aime tel que tu es, homo ou pas, je t’aime comme un frère, comme mon grand frère. » Moi : « Merci Jean, allons rejoindre les autres ! » Avant de monter dans les chambres nous avions Anne, Jean, Henri et moi piqué une nouvelle fois une tête dans la piscine. Nous étions ensuite remontés, nus, dans nos chambres respectives pour y passer la nuit. En entrant dans notre chambre, Henri m’avait regardé dans les yeux et il me souriait. Il semblait très heureux d’être là à ce moment précis. Une nouvelle fois je voyais dans le regard d’Henri cette candeur et cet angélisme que j’avais tant aimé lors du camp scout. Il était comme un oiseau posé au creux d’une main. J’avais pris la main d’Henri et je l’avais mené jusqu’au lit. Je l’avais pris dans mes bras et l’avais posé délicatement telle une plume qui se dépose lentement sur un support ouaté. J’avais ensuite posé mes lèvres sur les siennes. Nos bouches s’étaient ouvertes et nos langues s’étaient frayées un chemin pour se rencontrer et se mélanger avec fougue. Nos sens étaient tous en éveil, nos mains parcouraient nos corps exposés aux caresses délicates. Nos attributs n’étaient pas en reste, ils se gonflaient et pointaient en direction de nos nombrils. Je caressais les cheveux soyeux de mon cher et aimé Henri. De son côté Henri me massait la nuque doucement. Nos corps commençaient à vibrer à l’unisson, nous étions sur un nuage, nous étions là tous les deux comme hors du temps. Nous savourions avec délice la tendresse que nous nous procurions et qui émanait de notre complicité amoureuse. Henri me glissa alors à l’oreille : « Phil, je t’aime, tu ne peux pas t’imaginer. » Moi : « Oui Henri, je peux m’imaginer ce que tu ressens, car pour moi c’est la même chose, je t’aime mon Henri. » Henri : « Puisse ce moment durer une éternité ! » Moi : « Oh oui, que je suis bien avec toi, tu es mon rayon de soleil au milieu du cahot ! » Henri : « Je vais t’éclairer pour ainsi être ton phare de bon secours. » Moi : « Oui mon amour, mais restons les pieds sur terre, enfin tant que faire ce peut. » Henri : « Arrête de briser l’ambiance mon Phil d’amour ! » Moi : « Henri, je voudrais, si tu le veux toi aussi, te faire l’amour ce soir. » Henri : « Je ne voulais pas te le demander, mais je n’attends que ça, aime moi et après je t’aimerai à mon tour. Oui faisons l’amour, Phil. Je t’aime. » Moi : « Oui Henri, nous allons nous aimer si c’est ta volonté. » J’avais ensuite ouvert le tiroir de la table de nuit pour y prendre un tube de lubrifiant et un paquet de condoms. J’avais alors signalé à Henri : « Tu sais que c’était Jacqueline, ma maman, qui en avait fait l’achat pour ne pas nous mettre dans l’embarra. » Henri : « Cela ne m’étonne pas, tu as une maman en or, ne l’oublie jamais mon Phil, ta maman est une perle ! » Moi : « Oh oui Henri, je m’en rends compte de jour en jour tu sais. » Henri : « Vas-y Phil, je suis tout à toi, prend moi, je n’attends que ça. » J’avais demandé à Henri de se placer de façon a présenter ses fesses bien en évidence pour que je puisse m’y présenter sens trop de problème. J’avais pris le tube de lubrifiant et j’avais enduit son anus ainsi que mes doigts. J’avais ensuite délicatement titillé sa rondelle en vue de ne pas lui faire mal par la suite. J’avais progressivement introduit un, puis deux doigts dans son rectum. Henri ressentait déjà du plaisir à se faire ainsi toucher le fondement. Puis ayant placé une capote sur ma verge, j’avais présenté mon boute-joie à l’entrée de la rondelle. Doucement avec délicatesse j’avais avancé dans l’antre tant désirée millimètres par millimètres et par plusieurs mouvements de reculs et de pénétrations, j’avais investi la grotte tant convoitée. Ayant enfoncé mon vis jusqu’à la garde, je m’étais mis à faire des vas et viens, d’abord lents et puis de plus en plus accentués. Henri râlait de bonheur, il ressentait chaque mouvement avec l’intensité et la force voulue, il savourait chaque pression, chaque mouvement dans ses entrailles, il montait en jouissance, il se sentait comme porté au nirvana. Henri ne cessait de me dire : « Oui Phil, comme ça, oui, vas-y, je t’aime. » Moi de mon côté de tâchais de me contrôler pour ne pas lâcher la purée trop vite, je ralentissais le rythme pour laisser du temps au temps, pour ne pas brusquer les choses, pour savourer l’instant présent. Henri gémissait de plus en plus, il était presque hors de lui tant la jouissance était présente. Henri me disait n’avoir jamais ressenti de telles sensations. Je m’étais aussi mis à lui mordiller le lobe de son oreille gauche, ça me donnait encore plus envie de lui donner plus, de me donner encore plus à lui, l’être aimé. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, j’ai ralenti la cadence pour me concentrer sur mes caresses et mes bisous donnés dans le cou d’Henri. Je me concentrais pour ne pas aller trop vite. Je lui susurrais des je t’aime à l’oreille, je lui demandais de ne pas faire trop de bruit pour ne pas ameuter la famille sur l’ampleur de nos ébats. Je sentais aussi qu’Henri était sur le point de crier haut et fort la jouissance qu’il ressentait et dans un sursaut j’avais accéléré mes mouvements dans son fondement pour, dans un râle profond, laisser libérer toute ma semence en cinq jets puissants au fond de la capote et par ces ultimes spasmes ressentir au plus profond de moi une jouissance jamais ressentie auparavant. J’étais dans un autre monde, sur une autre planète. Puis tel un cheval fourbu par la tâche, je ne m’étais senti aussi libéré de tout sentiment négatif. J’avais enfin connu une approche d’un nirvana tant convoité ! Henri était monté au septième ciel, au moment où j’ai éjaculé dans sa grotte, lui de son côté dans une jouissance extrême avait éjaculé sur le lit 4 jets de sperme. Il était lui aussi monté au nirvana. Henri était aussi affecté que moi. Il était fatigué des assauts répétés au niveau de son postérieur. Nous nous étions écroulés l’un à coté de l’autre, béats dans un sentiment de plénitude extrême. J’avais alors dit une nouvelle fois à Henri : « Je t’aime. » Henri me répondant : « Oh, Phil, je t‘aime. Je n’ai jamais rien connu de pareil dans ma vie. C’était super. » Nous nous étions embrassés, nos langues une nouvelle fois s’étaient senties, ressenties, entremêlées. Quel bonheur, quel bonheur ! Après une bonne demi-heure, Henri, remis de ses émotions me glisse à l’oreille : « Phil, je veux aussi t’aimer, je veux que tu sois aussi à moi, que je puisse te faire l’amour. » Moi : « Oh oui, Henri. Je t’attends, je te supplie de me prendre, de m’aimer comme jamais. Vas-y, je t’aime tant ! » Henri, étant un très élève, avait tout de suite compris. Il me demanda de me coucher sur le lit et de relever les jambes. Il s’était placé devant moi et il avait mis mes jambes de chaque côté de son cou. Il avait placé sa capote sur son membre bandé. Il avait mis un peu de lubrifiant au niveau de ma rondelle et il enfonçait doucement un doigt dans mon intimité puis deux. Puis je pouvais voir qu’il savourait l’instant présent, il se concentra et puis présenta son intimité dressée au niveau de mon anus. Il plaça son sexe à entrée de ma grotte. Puis doucement, lentement il me pénétrait, il enfonçait son sexe tendu dans mes entrailles. Il arriva jusqu’à la garde, ses couilles venant buter sur ma raie du cul. Puis lentement il entamait des mouvements de va et vient. Je sentais son sexe approché de ma prostate, je commençais à ressentir un plaisir grandissant, je me sentais comme pris dans un tourbillon, je ne savais plus si j’étais couché ou debout, si c’était le soir ou la nuit, j’étais comme sur un nuage, planant dans une sérénité profonde. Je pouvais presque entendre le cœur d’Henri battre au même rythme que le mien. Nous étions en pleine communion de corps et je dirais même communion d’esprit. Henri avait su s’y prendre pour me donner beaucoup de plaisir. Puis Henri haletait de plus en plus, je sentais qu’il arrivait à l’extase et je lui avais demandé d’aller moins vite, de prendre son temps. Henri ralentissait alors ses mouvements de pénétration, il semblait lui aussi avoir envie d’attendre avant de déverser sa semence au fond de la capote. Puis sentant que le moment était venu d’approcher du septième ciel, j’avais dit à Henri : « Je t’aime, vas-y, défonce moi, fais nous monter au paradis. » Henri s’était alors mis à me labourer l’anus avec frénésie et comme soudé l’un à l’autre nous nous étions laissés aller à l’extase dans un râle commun, lui déchargeant dans la capote 5 jets de sperme et moi maculant le lit de 4 longs jets de ma semence. Nous nous étions alors affalés, fourbus, l’un à côté de l’autre, savourant l’instant, béats d’un bonheur ainsi partagé. Nous avions repris nos esprits un bon quart d’heure après, avec un profond sentiment de satisfaction. Nous avions remis notre lit en état et nous nous étions couchés dans les bras l’un de l’autre et nous avions ensuite échangé, sans un mot, un long baiser humide sur la bouche, nos langues tournant chacune sur celle de l’autre. Puis rompus de fatigue, nous nous étions endormis, nus, au dessus de la couette. L’aube pointait le bout de son nez lorsque je m’étais réveillé. J’étais dans les bras d’Henri. Je lui avais donné un baiser sur le front et je m’étais rendormi. A un moment, j’ai senti une main me caresser les cheveux. J’avais ouvert les yeux et j’avais vu que c’était Jean qui venait nous réveiller, Henri et moi. Jean avait été très silencieux et avait agi avec délicatesse. Il nous avait réveillés avec tendresse. Jean nous disait alors : Jean : « Alors les amoureux, vous avez passé une bonne nuit ! » Moi : « Oui mon charmant frérot, nous avons très bien dormi. » Henri : « Oui Jean, merci pour ce réveil au combien délicat. » Jean : « Vous avez dormi comme des anges les mecs. » Moi : « Oui, et le reste ne te regardes pas. » Henri : « Tu sais très bien ce qui se passe quand deux êtres s’aiment, tu n’es pas tombé de la dernière pluie ! » Moi : « Tu me fais bien rire Henri ! » Jean : « Ah, ça c’est la meilleur. » Henri : « Tu étais bien content hier dans la mer quand Alex t’as branlé la zigounette ! » Jean : « Oui, je sais, mais dites rien aux parents. C’était juste pour le fun, vous croyez quoi les mecs ! » Moi : « Ne t’inquiète pas frangin, on sera muet comme des tombes. » Jean : « Tu promets Phil et toi Henri, tu promets aussi ! Je suis hétéro les gars » Henri et moi : « Mais oui Jean, on promet. On ne dit rien ! » Moi : « Puis je te crois, tu avais juste envie de t’amuser, il n’y a pas de mal à ça. Qu’est-ce que tu en pense Henri ? » Henri : « C’est vrai, on peut se branler la nouille sans pour autant être homo. Si tu as passé un bon moment avec Alex, alors c’est très bien. » Jean : « Merci les gars, je vous aime, vous êtes super ! » Moi : « Oui c’est ça. » Jean : « Mais oui grand dadais ! » Hihihi (Juste pour taquiner) Nous nous étions levés et hop à la piscine avant de prendre le petit déjeuner. Nous étions tous dans l’eau sauf maman qui préparait le repas. A l’issue du petit déjeuner, papa nous avait dit que nous pouvions Henri et moi aller à la plage des Lays l’après-midi, après le déjeuner, car elle n’était pas trop loin de la villa. Nous avions passé la matinée avec les autres à jouer dans le jardin et dans la piscine. C’était une très belle matinée en famille. A midi nous avions mangé un repas froid préparé par maman et Anne, composé de salades variées, de fromages et de charcuteries, le tout accompagné de pain et de beurre. Henri avait hâte de partir à la plage avec moi. Nous avions donc enfourché nos vélos pour aller en direction de la Barre de Mont et ainsi rejoindre la plage des Lays ! Nous avions gagné le parking de la plage et nous avions accroché nos vélos aux barrières de peur qu’ils ne soient volés. Nous nous étions dirigés vers la partie naturiste de la plage. Et d’un et de deux nous nous étions retrouvés nus comme des vers. Nous étions heureux d’être enfin libres et nus dans le vent et le soleil, face à la mer. Nous avions placé nos draps de bain le long de oyats et nous étions directement allés nous plonger dans la mer, l’eau était très bonne et nous nous étions éclaboussés tout en riant de bon cœur. Nous étions vraiment heureux. J’étais avec mon « homme » et Henri était avec moi, son « homme ». Nous étions heureux et en harmonie tant avec nos corps qu’avec nos esprits et en plus avec les éléments comme le vent, le soleil et l’eau, nous ne pouvions espérer mieux. Au loin, au peu au large nous nous étions embrassés langoureusement, nos langues se sont mêlées et nous savourions l’instant présent. Nous en avions profité pour nous caresser sous l’eau et ainsi nous masturber langoureusement dans la mer. C’était une sensation qu’Henri avait découverte et aimée la veille à la plage de la Pointe D’Arçay. Nous avions joui presqu’en même temps. Nos bouches se s’étaient une nouvelle fois retrouvées dans un baiser mouillé et agrémenté d’une salade de langues. Nous étions dans un autre monde. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 31-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Belle suite très romantique pour bien terminer l’année. Phil s’inquiète d’abord de l’orientation de son frère Serait-il aussi gay ? Puis Phil et Henri font l’amour. Il ne me reste plus qu’à te souhaiter un bon passage à l’année nouvelle malgré les restrictions. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 31-12-2020 (31-12-2020, 03:53 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil se demande si son petit frère Jean ne serait pas homo. Celui-ci lui assure que non que c'est seulement pour le fun ! Phil et Henri se sont aimés. Ils se découvrent au fur et à mesure que leur amour grandi l'un pour l'autre! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je te souhaite un bon réveillon en mode "confiné", en espérant que 2021 soit nettement meilleur! Je t'embrasse! Philou |