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Les vacances de Thomas (Gay, ados) - Version imprimable

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RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 27-02-2025

Pour ma part, je ne prête pas à Robin des intentions de calculateur.

Il a clairement dit à Thomas que Kathrin ne l'intéresse pas et de son coté Thomas à dit à Robin qu'Andreas est intéressé par Kathrin.

Andreas a été super avec Thomas mais il a l'air timide avec les filles. Robin trouve une occasion de le booster.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 27-02-2025

— Oh ! Les Cranberries maintenant, j'adore ! reprends-je.

Robin se retourne alors vers moi.

— Jeune homme voulez-vous m'accorder cette danse ?
— Ben Robin t'es fou ou quoi ?
— TOUTES MES VOLONTES, Thomas, tu l'as pas oublié ?

Je le regarde incrédule.
Il est hyper sérieux. c'est clair, il ne déconne pas ...
Je regarde autour de nous ... il n'y a personne ...

La voix envoûtante de la belle Dolorès résonne dans la nuit ...
— Doop doolootoo, doop doolootoo, doop doolootoo ...

Je m'approche de lui et timidement je passe mes bras autour de lui. Nous restons silencieux, un peu gauches, raides et commençons à suivre maladroitement le rythme lent de la musique ...

He liked me, oh, he liked me
Does anyone care
Does anyone care
Does anyone care ...
...

Petit à petit je me décontracte ...
« Putain ! Je suis trop con ! T'en as rêvé toutes les nuits mon pauv gars, fais quelque chose ! »

Je me rapproche de lui, descend une main sur sa taille et pose ma tête dans le creux de son épaule.
Je m'abandonne complètement maintenant. Je ne pense à rien et en même temps j'ai la tête qui explose.

La musique s'arrête doucement ...

Je le regarde de toutes mes forces, ses yeux me fixent intensément ... j'approche mon visage tout près du sien. Il ne bouge pas ... je tends mes lèvres vers les siennes ... et l'embrasse avec une passion et une frénésie que je ne me connais pas !

« C'est bon ! Nom de Dieu que c'est bon ! »

Je le regarde à nouveau et l'embrasse partout. Sur le nez, sous les yeux, dans les cheveux, dans le cou avant de revenir vers sa bouche ...

Enfin, il réagit ! Sortant de sa tétanie, il se jette sur moi, me dévore la bouche et me roule un patin interminable ... je me laisse emporter ... je plane ...

Nous restons là quelques minutes, un temps qui me parait infini, debout l'un contre l'autre en nous caressant rageusement le visage, les cheveux, le dos comme pour rattraper le temps perdu et nous imprégner l'un de l'autre ...

Je sens monter une érection monstrueuse dans mon jean mais je ne suis pas gêné bien au contraire je suis fier de bander pour lui ! En même temps je me rends compte qu'il n'est pas insensible en sentant grandir une bosse dure et chaude à travers son pantalon ...

Je suis fou de bonheur ...
...

— Was ist los? Gib es jemanden dort hier?“ (qu'est-ce qu'il se passe? Y a quelqu'un là-bas ?) lance tout à coup une voix à quelques mètres de nous.

Nous nous séparons brusquement et sans un mot filons rapidement vers la cour. j'ai le cœur qui bat au-delà de toute vitesse autorisée et je tremble à moitié. Robin me serre dans ses bras et me calme en m'embrassant tendrement ...
— Viens allons rejoindre les autres sinon on va se faire remarquer.

Je quitte à regrets ses bras protecteurs et nous marchons rapidement vers le préau illuminé.

Nous retrouvons une partie de la bande sur la piste de danse et nous laissons emporter par la musique syncopée ...
Pas de paroles mais quelques frôlements et des regards fiévreux nous suffisent pour communiquer.

Nous sommes seuls, ensembles, au milieu de tous ...

Nouvelle série de slows ... je repense à Andreas mais je ne l'aperçois pas ...
Franz par contre est en train d'assurer avec Angelika sous le regard envieux de tous ses copains ... je suis content pour lui, à chacun son moment de bonheur ...

Robin vient tout d'un coup m'arracher à mes pensées.
— Thomas, il est presque une heure moins le quart on est archi à la bourre ! Faut se barrer !
— Merde ! Birgit va nous tuer !

On part comme des voleurs en disant juste au revoir à quelques gars et on se met à courir pour arriver à l'heure.

Je suis complètement cramé et je vois que Robin est dans le même état quand nous atteignons enfin la maison des Kirchman. Il est une heure cinq quand nous franchissons le seuil.

— Also ihr kommt endlich! Ich begann mich Sorgen zu machen! (Ah, vous voilà enfin ! Je commençais à me faire du souci!) dit Birgit en riant à moitié lorsqu'elle nous découvre ruisselant de sueur. Mann könnte glauben ihr seid dort von Schule gelaufen oder? (On pourrait croire que vous êtes venus en courant depuis l'école non ?)
— Ist Andreas schon da ? (Est-ce qu'Andreas est déjà là ?)
— Ja er ist ein paar Minuten bevor ihr angekommen. Er ist schon oben.“ (Oui il est arrivé quelques minutes avant vous. Il est déjà là-haut.)

Elle nous demande de ne pas faire de bruit car tout le monde dort déjà (pas de douche ce soir) et nous indique que demain on pourra rester au lit faire la grasse matinée car à l'école c'est le dernier jour et ils ne vont rien faire à part rendre les livres et quelques formalités de fin d'année.

— Wie ihr wollt ! (C'est comme vous voulez !)

Je regarde Robin rapidement et répond aussitôt.
— Ja danke. Ich glaube wir werden ein bisschen schlafen. (Oui merci . Je crois que nous allons rester dormir un peu)[/color].

Robin acquiesce et nous montons nous coucher.
...

À peine la porte de la chambre refermée, alors que nous commençons à nous déshabiller. Andreas rentre. Il prend Robin dans ses bras et le remercie de l'avoir secoué car grâce à lui il est enfin sorti avec Kathrin et commence à nous raconter, tout excité, la meilleure soirée de sa vie ...

Birgit qui a vraiment l'ouie fine arrive presque aussitôt et renvoie son fils dans sa chambre ce qui coupe court à toute discussion.

Enfin seuls, je m'approche de Robin et commence à l'embrasser partout ...
— Thomas sois sage un peu ! Tu as bien entendu ? Demain matin, nous serons seuls ! me dit-il avec les yeux qui brillent.

Nous nous embrassons une dernière fois et je regagne mon lit.

« OUI DEMAIN NOUS SERONS SEULS TOUS LES DEUX ... »
...

Et je m'endors aussitôt, vaincu par les émotions de la soirée ...


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - unknow231 - 28-02-2025

Merci pour ce nouveau chapitre. 

Ce qui m’a toujours attiré dans ce genre de récits, et qui m’a même souvent fait envier les personnages, c’est ce moment unique où les deux jeunes protagonistes, après s’être cherchés longtemps, découvrent enfin leur amour réciproque. 

Et je suis prêt à parier ne pas être le seul ici à avoir rêvé de vivre une telle histoire durant son adolescence.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - emmanolife - 28-02-2025

Thomas y croyait sans y croire. Il en crevait d'envie, mais il était paralysé par la crainte de réactions homophobes. L'homophobie était encore il n'y a pas si longtemps, la "normalité", et le désir d'être normal est puissant à l'adolescence. Les choses changent, la tolérance progresse, elle peut être devenue la norme dans certains milieux, mais sûrement pas pour tout le monde.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 03-03-2025

Chapitre 16

Je suis bien dans mon lit. Je suis comme toujours la tête contre le mur. Le jour est levé et j'ai entendu quelques bruits plus tôt mais je me suis rendormi. Je savoure cet état de passage entre le sommeil et l'éveil : c'est le meilleur moment de la journée et quand je peux je le fais durer...

Soudain, la soirée d'hier me revient en mémoire et je me réveille d'un coup. Je veux me retourner pour voir Robin et me cogne contre... lui !
« Robin est dans mon lit !!! »
— Ah, ben quand même !... Tu sais que tu es mignon quand tu dors !... Mais surtout tu dors vraiment comme une souche...
— Robin !

Il se penche sur moi et m'embrasse doucement d'abord puis furieusement. Je lui rends son baiser et nous roulons enlacés sur nous même dans le petit lit...

Je l'embrasse partout sur le visage, je m'enivre de l'odeur de ses cheveux, je mordille le lobe de son oreille et descends dans son cou. Sa pomme d'Adam fait des allers retours incessants...

Je descends encore plus bas et caresse ses pectoraux si majestueux, je joue avec la pointe de ses seins. Ils sont érigés et tout durs, je les embrasse, je les suçote, les cajole de ma langue...

Robin gémit et se laisse faire comme privé de toute volonté...

Je caresse maintenant son ventre chaud, ses abdos sont sculptés sous mes doigts. Un mince filet de poils descend de son nombril vers son caleçon noir...

Ce n'est plus un caleçon, c'est un oriflamme, un étendard... il est complètement déformé par son sexe érigé. Je touche d'abord timidement le tissu brillant et doux puis le caresse à travers le vêtement. Il est chaud. Je descend plus bas et pelote doucement ses couilles puis m'enhardis et passe une main par une des jambes. Je touche ses couilles et les fais doucement rouler dans ma main. Je remonte et m'empare de son pénis turgescent. Il est brûlant, raide, plaqué contre son ventre et parait vraiment gros. Je le suis du bout des doigts jusqu'à son extrémité...

Robin jusque là passif, me saute soudain dessus, se place à califourchon sur moi et entreprend de me lécher le corps. Sa langue râpeuse me tire des gémissements de plaisir et à mon tour je m'abandonne à ses caresses fiévreuses. Mon sexe est dur et presque douloureux.

Robin s'en saisit, l'embrasse à travers mon caleçon, le mordille. Puis il descend sur mes jambes se relève à demi et tire doucement sur mon vêtement, le descendant à mi-cuisse puis complètement. Il fait alors de même et m'apparaît nu fièrement érigé en souriant victorieusement.

Nous nous embrassons à nouveau et je sens son sexe chaud contre mon ventre comme il doit sentir le mien. Je lui caresse les fesses et nous restons ainsi un long moment bouche contre bouche, sexe contre sexe...

Robin se redresse et ses mains s'emparent à nouveau de mon sexe, le frôlent du bout des doigts, caressent mon gland gonflé de désir...

— Arrête Robin ! Arrête je vais jouir !
— C'est pas grave ! Viens !

Je sens ma verge se gonfler encore, se raidir telle une tige de verre, avant de se briser victime d'une trop grande tension. Je râle de plaisir et sens le sperme brûlant m'éclabousser le corps. Je suis vidé, je suis comblé...

Robin me contemple, plein d'amour, ses beaux yeux verts étincelants comme des émeraudes de feu...

Je reprends mes esprits, me redresse et le plaque sur le lit. Je regarde son sexe magnifique, complètement décalotté, le caresse, le bizouille tendrement. Puis doucement d'une main, je commence à aller et venir le long de cette tige vibrante tandis que de l'autre je joue avec ses boules si fragiles.

Il gémit à nouveau.
— Oui continue ! Oui c'est ça ! Encore ! Plus vite...
— ... Thomas je jouis !

Je l'observe subjugué. Ses yeux se ferment, son visage se crispe. Il se tord et se jette contre moi. Je sens son sperme ruisseler contre mon ventre et nous restons enlacés comme deux amants comblés...
...

— Robin, tu peux pas savoir comme je suis heureux...
— Si tu l'es à la moitié de ce que je suis, je pense que je comprends...
— Non, je veux dire... je rêve de cet instant presque depuis que je suis monté dans la voiture de ton père alors...
— Et moi depuis que je t'ai regardé dormir dans le train, que tu bandais et que je mourrai d'envie de t'embrasser...
...

— Bon on va se doucher et on prend le petit déj parce que j'ai la dalle moi ! murmure Robin.
— C'est vrai qu'avec l'arrosage que je viens de me prendre, la douche c'est pas un luxe...
— Oh, tu peux parler j'ai l'impression que tu m'en as collé partout !
— Allez viens il faut que j'examine ces problèmes de tuyauterie...
...

A deux sous la douche, privilège d'être seuls dont il faut profiter, nos corps mettent peu de temps à retrouver de leur allant.

Dès que je commence à le savonner avec mon gel douche, à toucher sa peau, je rebande immédiatement et je constate amusé qu'il n'est pas de reste.

Je le caresse langoureusement passant et repassant sur ses muscles saillants, m'attardant sur des zones sensibles... et alors que je caresse ses fesses il commence à se branler doucement. Puis il s'arrête et me lave amoureusement à son tour. Nous finissons par nous branler mutuellement avant de jouir quasiment de concert... avant de nous laisser rincer de longues minutes par le chaud jet d'eau sous lequel nous demeurons enlacés et provisoirement repus.
...

Le petit déj est vite englouti mais il est déjà 11h30. Nous avons passé plus de deux heures à nous câliner ce matin et c'est si bon. Rien que d'y repenser j'en frissonne...

Nous sommes allongés sur le canapé dans le salon, bercés par la musique des Cranberries qui sort de notre chambre là-haut. Moment privilégié où le simple fait d'être ensemble suffit à notre bonheur.

— C'était vraiment gonflé de ta part hier soir lui dis-je
— Tu veux dire quand je t'ai demander de danser le slow ?
— Oui
— J'étais hyper tendu, je savais pas comment faire... j'avais l'impression que je te plaisais... mais j'étais pas sûr que tu étais gay tu vois, alors je me suis dis je fais comme si c'est un gage idiot et on verra...
— J'en reviens pas. J'étais paniqué et je savais pas si c'était une connerie ou si t'étais sérieux...
— En tous les cas moi au bout de deux minutes j'ai senti un gros truc chaud qui poussait à travers ton jean et j'ai su que j'avais ma chance me dit-il en riant...

— N'empêche si j'avais pas fait tout le boulot on serait encore à se demander comment faire chacun dans notre coin... poursuit-il en m'embrassant.
— Moi, je te dévore des yeux depuis le début, j'ai fait une crise de jalousie quand tu m'as dit dimanche que tu trouvais que Kathrin était une bombe et tu sais, tu m'as vraiment entendu pleurer l'autre soir ! Je suis fou de toi mais je suis vraiment trop timide, j'ai pas ton assurance de beau gosse musclé mais... maintenant tu vas voir de quel bois je me chauffe !

Et je lui saute dessus en tentant de le jeter par terre. Bien entendu je n'ai aucune chance mais ce n'est déjà plus l'objectif de la mêlée...

Je commence à déboutonner son pantalon et à le caresser vigoureusement à travers son boxer blanc...

— Putain Thomas arrête ! Ils vont tous rentrer bientôt ! On va quand même pas se mettre à poil dans le salon !
— Merde oui, t'as raison ! Dommage... dis-je en posant un regard appuyé sur son entre jambes car Robin arbore une grosse bosse, moulée dans son bel habit blanc...

« Dommage ! Oui dommage, mais il y aura d'autres occasions...
... Nom de Dieu ! Comme je suis heureux »


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - emmanolife - 04-03-2025

Comme ils sont mimi tous les deux...


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 06-03-2025

Chapitre 17

Heureusement que Robin est plus raisonnable que moi car à peine dix minutes plus tard Birgit et ses trois enfants sont de retour...

Robin et moi n'avons pas vraiment faim mais on ne le laisse pas paraître et on écoute chacun raconter sa matinée...

— Habt ihr gut geschlafen ? (Avez-vous bien dormi ?) nous demande Birgit.
— Ja sehr gut danke, bis zehn Uhr aber das war wirklich nötig! (Oui très bien, jusqu'à dix heures mais c'était vraiment nécessaire !) répond Robin avec aplomb.
— Ihr habt doch nichts verpasst, wir haben gar nichts gemacht (Vous n'avez rien raté, on n'a rien fait) reprend Andreas Aber alle Freunde hätten es gern gehabt, ihr tschüss zu sagen (Mais tous les amis auraient aimé vous dire au revoir).
— Das ist wirklich nett von ihnen, gestern Abend sind wir ganz schnell weg gelaufen, weil wir sehr spät waren... (C'est super sympa, mais hier soir on a filé parce qu'on était très en retard...).
— Ich wusste nicht dass wir so populär waren (Je ne savais pas que nous étions si populaires) dit Robin en se la jouant à la star et en rigolant...
— Macht nichts, nächste Woche, werden wir Fußball spielen und ihr werdet einigen wieder sehen und auch wenn wir zum Schwimmbad gehen werden... (Ça ne fait rien, la semaine prochaine, on va jouer au foot et vous en reverrez plusieurs et aussi quand on ira à la piscine...) reprend Andreas.
...

Birgit nous annonce qu'elle doit retourner au collège pour des réunions avec ses collègues et nous demande à tous les trois de nous occuper des deux plus petits et surtout du petit Michäel. Puis elle file pour sa dernière demi-journée de travail.
...

Nous paressons au soleil sur la terrasse, torses nus et devisons gaiement des vacances et... de la soirée d'hier. Florian est parti chez un copain et le petit Michäel fait des dessins à côté de nous.

— Andreas erzählt doch wie es geschehen ist! (Andreas raconte nous comment ça s'est passé !)

Il nous regarde les yeux brillants et entreprend fiévreusement de nous faire le récit de la plus belle soirée de sa vie.

— Robin : weiß du, was du mir gesagt hast, hat mir wirklich aufgefrüttelt... ich war ganz verloren... (Robin tu sais, ce que tu m'as dit m'a vraiment secoué... j'étais complètement perdu...). So ich bin bei Kathrin gewesen... ich zitterte vor Angst... aber ich habe sie zu tanzen eingeladen... (Je suis donc allé voir Kathrin... je tremblais de peur... mais je l'ai invitée à danser...).
— Und dann was hast du ihr gesagt? (Et après qu'est-ce que tu lui as dit?) lui demande Robin.
— Ich wusste nicht was zu sagen, ich konnte kaum sprechen... (Je ne savais pas quoi dire, je pouvais à peine parler...) und dann habe ich... deine Wörte geredet... dass sie hübscht war, dass ich von ihr seit Monaten träumte, dass ich in sie verliebt war... (et alors... j'ai simplement repris tes mots... que je la trouvais très belle, que je rêvais d'elle depuis des mois, que j'étais amoureux d'elle...).
— Und dann ? (Et alors ?) lui demandé-je impatiemment.
— Sie hat mich lange betrachtet... und sie hast mir gesagt dass, sie auch mich liebte und wir haben uns geküsst! (Elle m'a longuement regardé... et elle m'a dit qu'elle aussi m'aimait et nous nous sommes embrassés !)
— Toll ! (Génial !) disons nous en cœur.
— Ja wirklich toll! das ist meines Lebens schönsten Tag! (Oui, vraiment génial. C'est le plus beau jour de ma vie!) und ich danke dir wirklich Robin und du auch Thomas, ohne ihr beide wäre ich noch einsam und arme... na ja danke, danke! (et je te remercie Robin et toi aussi Thomas, sans vous je serai encore seul et malheureux... oh oui merci, merci !).
...

— Und für euch ? (Et pour vous ?) reprend-il un moment plus tard.
— Das war auch ganz toll, wir haben viel Lust gehabt. Hast du nicht bemerkt wie wunderbar, Thomas tanzen kann...  (Pour nous aussi, c'était super. On s'est bien marré. Tu n'as pas remarqué que Thomas danse comme un dieu...) répond Robin malicieusement en m'envoyant un grand coup de coude dans les côtes.
— Und es ist alles! Wirklich ? Thomas... ? (Et c'est tout ! Vraiment ? Thomas... ?)

Je détourne mon regard et plonge dans une soudaine irrésistible contemplation des dessins de Michaël...
— Also, ich verstehe... wir werden vielleicht davon später sprechen oder... ? (Hum je comprends... nous en parlerons peut-être plus tard... ?)
...

Andreas change bientôt de sujet et demande à Robin comment il a fait pour être aussi musclé. Celui-ci nous raconte alors sa vie de gymnaste et ses entraînements quotidiens pendant six ans et nous propose, au lieu de rester envieux, de nous mettre au boulot si on veut lui arriver à la cheville !

La terrasse s'improvise alors, pendant trois quart d'heure, salle de gym en plein air. Sous l'œil amusé de Michaël nous faisons des pompes, des séries d'abdo, des exercices de jambes assassins... nous suons sangs et eaux, enfin surtout Andreas et moi. Robin lui se ballade mais comme il en fait deux fois plus, il est quand même nase.
...

Nous sommes toujours sur la terrasse mais effondrés maintenant, ruisselants dans nos fauteuils, complètement amorphes, à boire des litres de thé glacé...

Andreas se rend soudain compte de l'heure, il est quatre heure passées, et nous explique qu'il doit voir Kathrin à la demie. Il file se doucher et se faire beau (il a gardé la coiffure que Robin lui a faite hier). Bizarrement il a retrouvé la pêche tout d'un coup...

Robin et moi faisons donc les baby-sitters avec Michaël et nous jouons aussi au foot sur la PS2 avec Florian lorsque celui-ci revient...
...

Andreas arrive un peu en retard au repas et il se fait reprendre par Dieter, son père. On ne plaisante pas avec l'heure chez les Kirchman !
Mais l'ambiance est très détendue, à part Dieter, tout le monde est en vacances, et Birgit commence déjà à parler de leurs préparatifs pour leur voyage en Italie, dans la région de Venise, à la fin du mois.

Nous traînons encore un peu sur la terrasse avant de monter nous coucher. On a eu une journée très crevante mine de rien et on commence tous les deux à piquer du nez dans nos fauteuils...

A peine arrivés dans la chambre, nous nous embrassons fougueusement et nous laissons tomber sur le lit de Robin... mais du bruit dans l'escalier tout proche nous incite à la prudence et, après un dernier petit câlin, nous nous mettons sagement au lit.

— Tu n'as rien voulu dire à Andreas pour nous deux tout à l'heure lancé-je à Robin.
— Non, je ne sais pas quelle serait sa réaction s'il l'apprenait et puis pour l'instant j'ai envie que ça reste entre nous deux, un peu comme notre secret tu vois...
— Oui, t'as raison mais il faut quand même que je te dise qu'Andreas sait que je suis gay et je lui raconte l'histoire des douches du cours de sport.
— Ben dis donc il a été génial ! Je ne connais pas beaucoup d'hétéros qui n'auraient pas pris plaisir à lyncher un PD en public quand ils ont une occase comme ça ! T'as du avoir les boules de ta vie !
— Oui c'est sûr j'étais à la limite de chialer mais il a vraiment été fantastique. Je lui dois presque ma vie...
— Du coup tu serais presque prêt à aller acheter des capotes pour lui non.... ? dit-il en riant.
— Ah non ? Tout mais pas des capotes ! Au fait tu sais l'autre jour c'était pas des capotes que je demandais à la pharmacie, j'ai regardé dans le dico, c'était des GOMMES !! Tu m'étonnes qu'elle pigeait rien la pauvre pharmacienne... en même temps je revis la scène et je suis pris d'un fou rire qui se communique vite à Robin...

— Allez c'est pas le tout mais on verra le reste demain ! Bonne nuit mon Tommy adoré !
— Tu sais, hier soir, c'était la plus belle soirée de ma vie. Ce matin c'était le plus beau matin, je me demande ce que sera demain ?
— Pour te dire franchement, j'ai bien deux trois idées pour l'après midi... dit-il en gloussant nerveusement...
— Espèce de gros obsédé !... Allez bonne nuit mon Roby d'amour !


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - lelivredejeremie - 09-03-2025

Si seulement c'était toujours aussi facile, et surtout si ça se passait aussi bien...
Vrai que c'est Robin qui a fait tout le boulot, sans lui, Thomas revenait en France encore plus désespéré (et brimé) Smile)))
Allez, maintenant, retour à la pharmacie, pour eux, cette fois, autant installer de bonnes habitudes, même si les risques sont limités dans leur situation, ils ne peuvent rien se transmettre, l'acné n'est pas contagieux ^^


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 10-03-2025

Chapitre 18

C'est le week-end.

« Il y a une semaine à cette heure j'étais à la maison et je me préparais à partir vers l'inconnu. Comme tout me parait loin... mes parents, Charlotte ma petite sœur, mes copains d'Angers, j'y ai à peine pensé une seconde... comme si ma vie avait pris un autre cap, que j'avais laissé derrière moi mon enfance et que j'ouvrai un nouveau chapitre...

Est-ce que je saurai me réinstaller dans cette vie qui me semble maintenant trop sage, trop étriquée... ?
Oui je le ferai, certainement mais différemment car maintenant il y a Robin !
Il habite pas très loin de chez moi, dans un quartier voisin, et je vais pouvoir le voir tous les jours au lycée et en dehors... nous allons nous aimer... secrètement... ?
Oui secrètement, je me connais, je n'aurai jamais le courage... non, on le dira à personne et on vivra tous les deux notre amour secret... »

— Alors la Belle au Bois Dormant ! C'est pour aujourd'hui ou pour demain ? hurle Robin du pas de la porte, en revenant tout mouillé de sa douche.

C'est sûr question romantisme... ça casse un peu mes rêveries sentimentales... ça doit être ça qu'on appelle le dur retour à la réalité !
Il referme la porte et se jette sur moi.

— Salut, moi c'est le Prince Charmant, je viens pour le bisou qui réveille !

Et il m'embrasse à pleine bouche... Il arrache la couette du lit et me caresse le corps. Puis il plonge dans mon caleçon et saisit mon sexe qui réagit aussitôt et se redresse spectaculairement.
« Y a pas à dire, ça marche le bisou du Prince Charmant ! »

Il me caresse la verge lentement puis accélère et comme je commence à gémir me bâillonne de ses lèvres... Il accélère encore et je sens le sperme qui monte. Je me retiens de toutes mes forces, je ne veux pas jouir si vite mais c'est trop tard... je m'arqueboute contre lui et de plusieurs jets chauds lui asperge le ventre...

Je sens son sexe chaud contre mon corps, il est dressé tout contre son ventre, pas complètement décalotté. Je m'en empare vivement, passe mes doigts de la base vers le sommet, plusieurs fois, avant de m'attarder sur ce petit bout de chair dont je ne sais trop que faire. Je fais glisser doucement son prépuce pour faire apparaître le gland rose-violet et le regarde s'épanouir en se gorgeant de sang tel le bourgeon d'une fleur qui se déploie... Je reprends son sexe en main et m'active pour lui donner le plaisir attendu. Lui aussi gémit doucement. Il m'embrasse dans le cou, caresse mon dos et ma nuque tandis que j'accélère le rythme. Il crie soudain et m'arrose de son sperme brûlant...

— Ouaou ! Qu'est-ce que c'est bon !

Nous restons enlacés. Je sens son cœur battre très vite puis progressivement se calmer...

— Jungen ! Ich hoffe ihr seid schon auf? (Les garçons ! J'espère que vous êtes déjà levés ?)

Vent de panique dans la chambrée, Robin récupère sa serviette et la met autour de sa taille, je ramène la couette sur moi...

— Wir stehen gerade auf, Birgit, wir werden bereit in zehn Minuten! (On se lève juste Birgit, on sera prêts dans dix minutes).
— Gut, ich warte auf ihr... (Bien, je vous attends...).
— Purée on l'a échappé belle, il faudra faire gaffe !
— Bon, je file me rincer vite fait parce que là je suis quand même tout collant... et tu prends la suite dans deux minutes lance Robin en retournant dans la salle de bain.
...

En fait Birgit voulait simplement nous proposer d'aller au marché avec elle, ce que nous faisons avec joie. C'est vraiment une femme sympa, qui se fait bien respecter mais qui est toujours à l'écoute, qui encourage, ça doit être une super prof, enfin je pense...

Le samedi se passe ainsi, constitué de ces petits riens qui font la vie de tous les jours et qui forgent notre quotidien. Nous avons de plus en plus l'impression d'être intégrés dans la famille et c'est super sympa, comme si nous avions un deuxième foyer.

Le dimanche, justement c'est le jour de la visite à la famille et nous partons de bon matin direction Soltau à une heure de là pour voir les parents de Dieter. Du coup on prend les deux voitures et Dieter sème Birgit sur l'autobahn en se tapant une pointe à 190 ! Vieille mais pas pourrie l'Audi !
Les grands parents sont à l'image de toute la famille, très accueillants, et au bout de quelques instants, nous avons l'impression de les connaitre depuis longtemps. On discute à table puis on va jouer au foot tous les cinq et à part massacrer deux ou trois plantes vertes, on passe une après-midi tranquille.
...

Le soir c'est jeu de société en famille, un jeu dont je ne connais plus le nom en français, ou l'on doit faire deviner quelque chose par le dessin et sans parler (merci Birgit, bonne idée pour nous mettre à égalité). Je fais équipe avec Robin et Andreas contre les parents, Florian et Michaël. On les atomise joyeusement et on monte se coucher assez énervés mais heureux.
...

Après le maintenant traditionnel, mais ô combien attendu, roulage de pelle d'avant coucher, nous nous mettons sagement au lit.
...

— Dis Thomas, tu crois qu'il faut aussi qu'on achète des capotes ?
— Heu... qu'est-ce que tu veux dire par là ?
— Ben tu sais, moi ce matin je t'aurai bien fait autre chose... je voulais te sucer mais... sans capote j'savais pas si...
— Bon j'suis pas un spécialiste mais tu sais en ce qui me concerne tu es le premier et... il n'y pas eu de première !
— Moi c'est pareil ! Donc on n'a pas besoin de capotes !
— Pour le reste, c'est clair que je ne crains pas trop que nous tombions enceints ! réponds-je en rigolant.
...

« Moi aussi j'en rêve de te sucer mon Robin...
Putain, rien que d'y penser j'en bande... je me demande si Robin... »

— Robin, je bande !
— Tu vois c'est toi l'obsédé ! Non mon petit Tommy il faudra attendre demain ! Et rêve pas trop fort sinon tu vas tout tacher... et Birgit va gueuler... Gute Nacht mein Liebling !
— Gute Nacht mein geliebter Roby !


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 13-03-2025

Chapitre 19

Le lundi est à nouveau consacré aux cours avec le groupe de français. C'est un rythme de deux à trois journées par semaine qui est pas mal car ça permet de rester bien immergé dans la famille allemande tout en ayant des contacts réguliers avec les autres français. En ce qui nous concerne, Robin et moi, surtout depuis que nous sortons ensemble, on s'en passerait bien d'autant plus qu'on à la chance d'être tombé chez une famille vraiment extra.

Non, ce n'est pas tout à fait vrai, il y a Alexis et Marjorie qu'on a vraiment plaisir à retrouver. C'est dommage qu'ils n'habitent pas à Angers parce que j'aimerai continuer à les voir...

11h44. La matinée de cours, routine maintenant, s'achève. Sans me vanter j'assure comme une bête ! Jutta m'a félicité je ne sais combien de fois. Ce n'est pas que j'ai plus de vocab (si un peu) mais c'est surtout je prends vachement plus la parole et je m'en fiche si je me plante, comme si ça n'avait pas d'importance car la seule chose qui compte pour moi c'est Robin ! Les filles de mon groupe sont sympas et me regardent comme si j'étais un extra-terrestre. Il y en a deux qui me sourient tout le temps...

Jutta s'est arrêtée de parler et j'ai raté quelque chose...

— Dann guten Appetit und wir treffen wieder um zwei Uhr! (Donc bon appétit et on se retrouve ici à deux heures !)... ?

Julia, une des filles du groupe m'explique rapidement que cet après-midi nous ferons un jeu dans la ville.

Je retrouve Robin, Alexis et Marjo et nous allons pique niquer dans le parc à côté. Ils ont l'air très complices, je me demande où en est Alexis...

Les parcs en Allemagne, c'est vraiment autre chose qu'en France. Il y a un monde fou sur l'herbe à manger, à discuter, à bronzer, à dormir.... C'est un lieu de vie mais qui reste très calme car les allemands ont un sens du respect admirable. Nous nous installons un peu en retrait au soleil parce que Marjo veut absolument bronzer... et entamons nos sandwichs de bon appétit.

— Alors, ce week-end vous avez fait quoi ? demande Marjorie.
— Robin : Oh, pas grand-chose le week-end a été calme, c'est plutôt la fin de semaine qui a été agitée avec la soirée du collège...
— Alexis : Ah oui, nous aussi... enfin je veux dire il y en avait une au collège de Marjo...
— Marjorie : ... et j'avais invité mon bel Alexis à venir, termine Marjorie en souriant ironiquement.
— Thomas : Et alors... ?
— Alexis : C'était super ! La musique était géniale et... s'interrompt-il en regardant Marjorie.
— Marjorie : ... et depuis jeudi soir nous sommes ensemble ! dit-elle en prenant Alexis par le cou.
— Alexis : Oui, depuis le temps que j'en rêvais...

Ils se regardent dans les yeux et s'embrassent comme tous les amoureux du monde semblant oublier un instant que le monde existe autour d'eux. Ils ont vraiment l'air heureux. Je regarde Robin et je devine comme une lueur d'envie dans ses yeux. Sans doute aimerait-il, tout comme moi en faire autant. Mais pour nous c'est un peu plus compliqué...

Enfin ils reviennent parmi nous...

— Marjorie : Et vous, c'était comment ?...
— Thomas : Oh ben moi tu sais je me suis contenté de danser et c'...

Robin me coupe alors la parole.

— Robin : Nous aussi c'était génial ... Thomas et moi, nous sortons ensemble depuis jeudi soir, comme vous... dit-il en me regardant dans les yeux et en les fixant ensuite.

Je suis figé, à un point tel que j'en reste la bouche ouverte, je dois avoir l'air ahuri... Alexis et Marjorie sont scotchés !

— Marjorie : Ah tu vois y avait bien quelque chose ! dit-elle en s'adressant à Alexis Non, parce qu'il m'avait semblé.... J'avais une impression qu'il y avait quelque chose de plus que de l'amitié. Il y avait des regards... en tout les cas c'est génial !
— Alexis : Oui c'est super !... c'est juste que ça me fait bizarre... pas que vous soyez ensemble, mais le fait que tu me dises que vous sortez ensemble, enfin je veux dire... rajoute-t-il en s'empêtrant un peu dans les mots.
— Thomas : Tu veux dire que ça te choque pas qu'on soit deux garçons gays mais que ça te fait bizarre qu'on te le dise, c'est ça ?
— Alexis : Oui c'est-à-dire que c'est la première fois que quelqu'un me dit qu'il est gay et qu'il est devant moi avec son copain...
— Robin : Et alors ça te fait quoi de savoir qu'on est gay ? dit Robin avec une petite pointe d'énervement.
— Alexis : Non, non Robin que tu sois gay je m'en fous. C'est juste qu'avant que tu le dises, pour moi c'était qu'un mot et là pour la première fois c'est quelqu'un que je connais et que j'aime bien, c'est un ami et c'est ça...
— Thomas : En fait, tu viens de passer du concept théorique à la réalité ! Bienvenue dans le monde réel !
— Alexis : C'est exactement ça Thomas !
...

— Marjorie : Et vous allez le dire à tout le monde ?
— Robin : Non ça reste entre nous quatre ! Y a personne d'autre qui doit savoir ! Hein Thomas ?
— Thomas : Oui c'est sûr, faut que ça reste ultra secret parce que...
— Alexis : Ben alors Robin pourquoi tu nous l'as dit ?
— Robin : Parce que vous c'est pas pareil ! Vous êtes nos amis et on vous fait confiance et aussi surtout parce que... j'avais aussi envie d'embrasser Thomas et que je voulais pas attendre jusqu'à ce soir ! poursuit-il en me sautant au cou.

Il me renverse dans l'herbe et m'embrasse à pleine bouche sous l'œil blasé... des oiseaux du parc et accessoirement des allemands qui s'y trouvent...
...

L'après midi on a fait un jeu de piste géant et on s'est baladé dans tout Hannover pour résoudre des énigmes, ramener des preuves de notre passage, passer des épreuves...

On est bien sûr passé par tous les classiques touristiques de la ville : l'hôtel de ville, l'église du marché, l'opéra, le Kröpcke (place piétonne du centre ville) avant de finir devant les Nanas de Niki St-Phalle (tu parles d'un nom !). C'est un groupe de sculptures modernes assez délirantes, bariolées... sensées représenter trois femmes en maillot de bain... c'est sûr, ça décoiffe !
On était par groupe de six, nous quatre et deux filles du groupe de Robin, que je ne connaissais pas. On se l'est joué cool mais en se battant quand même et on finit 3ème de cette après midi de jeu. On a remercié Patrick et Jutta qui se sont bien décarcassés pour tout préparer et on s'est séparé pour rentrer chacun chez soi.

Il n'est pas tard, à peine quatre heures et on se dépêche pour pouvoir rejoindre Andreas. Il va à son entraînement de tir à la carabine à son club de tir à 17h et on pourra peut-être y aller avec lui si on arrive à temps...

On salue les deux amoureux et on file prendre notre train.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - unknow231 - 15-03-2025

Bonjour,
Le texte étant devenu illisible au vus de la nouvelle politique de censure du site, est-il possible qu'il soit publié ailleurs ?
Merci par avance,


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 17-03-2025

On pourra voir une fois que la publication aura été faite en entier ici. Une possibilité serait peut-être une section adulte sur ce forum où le même texte pourrait être publié non censuré. Mais si pour des récits assez soft il faut en venir au contrôle de l'âge qu'ils veulent mettre en France pour ces sites de vidéos, ça risque d'être inutilement compliqué (voire couteux).

De toutes façon, c'est avec le directeur de publication et propriétaire du site qu'il faut voir pour une version non censurée ici : https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=375
ou alors la mettre ailleurs si quelqu'un veut prendre l'initiative de créer un site.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - bech - 17-03-2025

Chapitre 20

Alors que nous sortons de la petite gare de Laatzen où habitent les Kirchman, nous voyons le bus n° 3 nous filer devant le nez... Il ne reste plus qu'à poireauter jusqu'au prochain...
...

— Merde il n'y a plus personne ! La porte est fermée. dit Robin en tournant vainement la poignée.
— Vu l'heure il fallait s'en douter ! Il est cinq heures moins cinq, Birgit a du l'emmener en voiture.
— Tu as ta clé ?
— Ouai, c'est bon lui réponds-je en prenant la clé que Birgit nous a prêtée.

Nous pénétrons dans la maison déserte et comme on a un peu les crocs on se fait une petite descente dans le frigo.

— Dis Thomas, je pense à une chose tout d'un coup, vu qu'il y a personne...
— Je te vois venir toi ! Viens on fonce parce qu'on aura peut-être pas trop de temps...

On grimpe les escaliers quatre à quatre et on se précipite dans la chambre.

Nous nous embrassons comme des meurt-de-faims en s'arrachant presque les vêtements tellement nous sommes pressés. Nous sommes maintenant nus au milieu de la pièce avec le sexe au garde à vous !
Je le pousse sur son lit et je me laisse tomber sur lui. Je l'embrasse partout avec frénésie puis plus doucement. Je m'attarde sur ses tétons car je sais qu'il adore ça et que ça le rend fou...

Il s'abandonne et me caresse les cheveux. Je descends petit à petit vers l'objet de mon désir en marquant chaque étape lentement de petits baisers mouillés.

Elle est là qui m'attend...

Sa verge est dure, chaude, majestueusement dressée. Je la détaille un instant des yeux. Elle est un peu plus grande que la mienne pour à peu près la même grosseur. Elle est belle ainsi débarrassée de son capuchon protecteur...

Je m'approche tout près, la renifle, l'effleure du bout des doigts, le gland est luisant, il palpite sous les afflux de sang...

Doucement je pose mes lèvres dessus et y dépose mille petits baisers... puis, n'y tenant plus j'ouvre grand la bouche et j'engloutis son gland empourpré. Je ne sais pas trop comment faire alors je le suce comme un cône royal en essayant de ne pas y planter les dents...

Il gémit et m'encourage...

— Oh Thomas ! Oh putain c'est bon !

Je redouble d'ardeur, essaye de descendre le plus loin possible mais je ne peux pas aller jusqu'au bout alors je fais de lents allers retours le long de la hampe... Je m'arrête un instant pour le regarder mais il me demande de poursuivre.

— Continue Thomas, vas-y encore, c'est trop bon !

Je le reprends en bouche, je le lèche, l'aspire, je joue avec ma langue... et le sens tout d'un coup se raidir.

— Arrête Thomas ! Arrête je vais jouir.

J'ai juste le temps de me retirer qu'il m'asperge de plusieurs jets chauds en criant comme un fou.

— YAAHH ! YAAAHH ! YAAAAAAAAHHH! avant de s'écrouler sur le lit en haletant et en me regardant les yeux brillants.

— Putain c'est trop bon. Tu vas voir Thomas c'est vraiment trop bon !

Et sans plus attendre, il se redresse, m'allonge sur le dos et s'installe entre mes jambes. Mon excitation est un peu retombée et du coup Robin m'avale complètement. De sa langue, il joue avec mon sexe et rapidement celui-ci reprend sa taille opérationnelle.

C'est vrai que c'est divin ! Cette sensation de chaleur humide, ces caresses sur le gland et surtout sur sa couronne...

Je ferme les yeux et je gémis sans discontinuer.
— Huum, huum, oh oui c'est bon, huuum !

Je le regarde un instant et ça me fait bizarre de voir sa bouche monter et descendre tel un piston sur ma tige dressée. De temps en temps il s'interrompt et me lèche le gland ou le titille du bout de sa langue. C'est un merveilleux supplice auquel je sens maintenant que je vais bientôt succomber.
— Robin : arrête ! Robin stoppe ! Je vais jouir !

Mais il continue de plus belle, comme une machine devenue folle. Il me regarde, je sens le sperme monter, j'essaie de me retenir mais c'est impossible et j'éjacule dans sa bouche !

— HUUN, HUUN, HUUUN, HUUUAIN !!!!!

Il doit en avoir plein la bouche et il en a même qui coule le long de son menton...

— C'est bizarre il a pas le même goût que le mien !
— Je sais même pas le goût qu'il a ! C'est comment ?
— Tiens goûte ! me dit-il en m'embrassant...
— Ouai, c'est spécial. C'est pas dégueulasse mais ça ressemble à rien que je connaisse... je goûterai le tien la prochaine fois...
...

Nous ne traînons pas trop longtemps de peur que quelqu'un n'arrive, nous nous rhabillons légèrement et entrebâillons la fenêtre car j'ai peur que l'odeur très caractéristique de sperme ne soit trop perceptible.

Je prends le CD des Cranberries d'Andreas et nous l'écoutons en silence. Robin l'aime bien maintenant. Chacun sur son lit, on décide d'écrire quelques cartes postales pour la famille, les amis, exercice fastidieux mais nécessaire et comme on dit ça fait toujours plaisir à ceux qui sont restés...
...

Andreas arrive encore à la bourre au repas (il était sûrement avec Kathrin...) et se fait copieusement engueuler. C'est spécial d'être spectateur d'une scène de famille alors qu'on n'y appartient pas et je suis assez gêné mais bon, on n'y peut pas grand-chose.
...

Après une soirée télé en famille nous montons nous coucher et nous retrouvons seuls dans notre chambre. Ce soir, pas d'effusions intempestives, nous nous allongeons tant bien que mal sur mon lit et restons là simplement serrés l'un contre l'autre.

— T'as remarqué, Thomas, je sais pas si c'est la saison où quoi mais tout le monde tombe amoureux en ce moment : Andreas et Kathrin, Alexis et Marjo, nous deux...
— Et Franz et Angelika !...
... Ouai, ça doit être comme pour les plantes ou les animaux, on doit avoir les hormones qui sécrètent à fond.
— Oh arrête ! On dirait qu'on est des chiens ! Toi qui est si romantique d'habitude...
— T'as raison c'est pas terrible comme comparaison...
...

— Au fait Robin, tu aurais pu m'en parler avant de dire à Alexis et Marjorie qu'on sortait ensemble...
— Ouai, c'est vrai mais c'était pas réfléchi tu sais, c'est sorti comme ça... et je pense que de toute façon on leur aurait dit d'ici peu tu crois pas ?
— Si, c'est sûr... en tous les cas je suis content que tu l'aies fait, je sais pas si j'aurai eu le cran de le faire... et comme ça on peut vraiment être naturels avec eux et c'est vachement agréable...
— Oui ça fait du bien parce qu'avec tous les autres j'ai toujours l'impression de devoir faire gaffe et à la longue c'est gonflant...
...

— Bon aller on dort là, parce que je suis naze ! Bonne nuit mon Tommy d'amour !
— Oui d'accord, bonne nuit mon beau Roby de mes rêves !
...


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - emmanolife - 17-03-2025

Que se passe-t-il ? C'est quoi tous ces x ? Il y a de nouvelles règles à la con sur ce site ? C'est le retour du père La Pudeur ?

Une mignonne histoire comme celle-ci, quel besoin y a-t-il de censurer ?

Heureusement, j'ai déjà l'histoire entière dans mes archives, et je peux aller la relire quand je veux, mais je trouvais du plaisir à la relire par épisodes sur ce site Dommage parce que je n'y trouve pas grand chose d'autre qui soit à mon goût, en fait.


RE: Les vacances de Thomas (Gay, ados) - Godefroy - 18-03-2025

Bech, pas besoin de mettre des X partout, il suffit de modifier l'âge des protagonistes et ça passe.

Citation :Que se passe-t-il ? C'est quoi tous ces X ? Il y a de nouvelles règles absurdes sur ce site ? C'est le retour du père La Pudeur ? Une mignonne histoire comme celle-ci, pourquoi la censurer ?

Non, ce n'est pas une "nouvelle règle absurde", c'est simplement une question de légalité. Personne ici n'a envie de finir en prison pour pédo-pornographie ou contenu assimilé. C'est une réalité à laquelle la plupart ne pensent pas forcément, mais si, un jour (ce que je n'espère pas), le site venait à être épinglé pour un problème de légalité lié aux récits publiés, il serait immédiatement fermé, et nous risquerions de sérieux problèmes.

En résumé :

 - D'un point de vue moral, je n'ai aucune envie de lire des histoires mettant en scène des mineurs dans des situations explicites.

 - D'un point de vue légal, je n'ai aucune envie d’être réveillé à 6h du matin pour répondre de récits problématiques publiés ici.


Cela peut ne pas plaire à tout le monde, je le conçois, mais tant que vos récits respectent notre charte et la loi en vigueur, il y a de la place pour l'expression de chacun.

Bien à vous,
Godefroy