Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) (/showthread.php?tid=167) |
RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 15-11-2022 (15-11-2022, 12:40 PM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon cher Daniel, Bonjour mon cher Philou et merci pour ton commentaire. D’abord les discussions, la suite devrait être consacrée uniquement au sexe, en espérant que ce sera plus sensuel que la première tentative. Je ne pense pas que je suivrai le frère et la soeur jusqu’au coming out d’Amaury. Avec les quatre amis ce sera plutôt une découverte, une relation à long terme semble exclue puisque leurs chemins vont se séparer à la fin de la traversée. J’avais pensé qu’ils pourraient rencontrer deux membres de l’équipage, mais ce serait aussi une relation temporaire et je ne pense pas que l’équipage pouvait se mêler aux passagers. En fait, c’est toujours comme cela dans ce récit : quatre personnages fixes et tous les autres passent en « guest stars », comme dans les séries TV. Je réserve quand même une petite surprise à Aurianne et Amaury pour qu’ils ne restent pas seuls. Je t’embrasse. Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - emmanolife - 17-11-2022 Bonjour Daniel. Merci pour cet épisode, dont les dialogues sont savoureux, ils font presque penser à une pièce de Labiche, où les personnages auraient pour sujet de conversation inépuisable le sexe masculin et la branlette ! On sent qu'ils ne sont pas prêts d'arriver en Amérique... RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 17-11-2022 (17-11-2022, 10:12 AM)emmanolife a écrit : Bonjour Daniel. Bonjour Emmano et merci pour ton commentaire. J’aime bien ta comparaison avec un dramaturge, je pense que je serais plus doué pour écrire du théâtre, j’y vais d’ailleurs très souvent. Le problème est que je trouve que ce n’est pas agréable à lire sous cette forme, j’en reste donc à la forme actuelle, même si mon récit n’est souvent qu’une suite de saynètes. Ils pourraient rencontrer tous les passagers du paquebot, je me limiterai probablement à une seule autre rencontre et ce seront deux personnes qui ont réellement existé, plus âgées, mais qui ne sont pas très connues. On verra si cela fonctionnera, la rencontre sera totalement imaginaire. Je ne suis pas à cours d’idées pour la suite, même si le résultat n’est pas toujours à la hauteur de mes espérances (ou surtout de celles de mes lecteurs). RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 20-11-2022 NDA Voici la nouvelle version de la scène de sexe dans la cabine de Frédéric. J’espère qu’elle est meilleure que la première, elle me paraît plus ludique, ils prennent plus de temps pour découvrir leurs corps et pour causer, mes héros sont d’incorrigibles bavards. C’est surtout Aurianne qui va en profiter puisqu’elle est la seule à ne pas avoir encore vu ses partenaires nus, et c’est elle qui est l’élément perturbateur dans leurs aventures gaies. L’écriture m’a également pris plus de temps que d’habitude, je ne publie que le début ce soir. Chapitre 2 - La traversée (5) Mardi 13 juillet 1965, à bord du France Les hommes ont enlevé veste et cravate et sont en bras de chemise. — Quelle ambiance romantique… dit Daniel, je vais enfin pouvoir danser avec mon cousin. Mademoiselle, puis-je vous inviter pour cette valse ? — Avec plaisir, Mademoiselle, répond Frédéric. Les deux cousins se lèvent et se serrent l’un contre l’autre, esquissent quelques pas maladroits. Aurianne rit : — Je vais avoir du travail pour vous apprendre à danser jusqu’à New York. — Vous dansez bien, ton frère et toi, dit Daniel, vous avez appris où ? — Nous avons suivi des cours, maman dit que cela fait partie de l’éducation des jeunes gens de bonne famille, elle rêve du Bal de l’Opéra de Vienne et regrette qu’il n’y en ait plus à Paris. — Je trouve l’éducation sexuelle plus importante, dit Koen, et surtout plus utile. — C’est ton point de vue. Je vais te donner ton premier cours de danse, tu me donneras un cours d’éducation sexuelle après. Dominique déplace la table et les chaises afin de faire de la place, elle invite aussi Amaury. Les trois couples dansent pendant quelques minutes, puis les cousins échangent un long baiser, avant que Frédéric ne déboutonne la chemise de Daniel et lui caresse le torse. Koen et Amaury paraissent plus emprunté avec leurs cavalières, Dom dit à Aurianne : — Koen est un peu timide ce soir, je pense que tu devrais prendre l’initiative. — Il n’est s’est jamais déshabillé devant une femme ? — Il devait être nu le jour de sa naissance, et je suis une femme malgré les apparences, je l’ai déjà vu à poil, même plus. — Et la doctoresse de son école lui tâtait les couilles et le décalottait chaque année aux Pays-Bas, ajoute Frédéric, c’est cela qui lui a donné l’envie de devenir médecin. — C’est vrai ? s’étonne Aurianne, je ne savais pas qu’elles faisaient ça aux garçons. — Au lycée aussi, fait Amaury. — Tu ne m’as jamais raconté, tu es un cachottier. — Tu ne m’as parlé non plus de ta première visite chez le gynécologue. Koen est effectivement gêné, il regrette d’avoir invité Aurianne. Il se laisse faire, elle lui ôte sa chemise puis décroche la ceinture de son pantalon et ouvre la braguette, le vêtement tombe sur le sol. Koen s’en débarrasse après avoir enlevé ses souliers vernis noirs et ses chaussettes. — J’aime bien la couleur bleue de ton slip, dit-elle. — Pourtant Frédéric ne l’aime pas, il prétend que je devrais mettre des blancs. Ou des roses, comme Dom. — Tu verras, dans quelques années tous les hommes auront des slips de couleur. À toi ! — À moi ? — Oui, tu peux aussi me déshabiller. Je t’expliquerai comment faire… Frédéric intervient en riant : — Je doute que tu puisses expliquer quelque chose à Koen qu’il ne sache pas, sinon je serais très déçu et je douterais de son génie. Koen avait repéré la fermeture éclair dans le dos et il la descend, Aurianne enlève sa robe estivale, elle n’a mis ni jupon, ni bas. Il réussit à dégrafer le soutien-gorge blanc en dentelle et a dégager ses seins, de taille moyenne. — Tu vois, dit Koen à Frédéric, j’ai réussi. Amaury, qui est aussi en train de déshabiller Dom, ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil à la poitrine de sa sœur ; ils ne se sont jamais vus nus depuis le début de la puberté et il a un petit frisson en pensant qu’elle verra sa bite bandée dans quelques minutes. Koen est toujours aussi gauche, Aurianne prend ses mains et les pose sur ses seins. — Caresse-là amoureusement, dit Frédéric, tu n’es pas son gynéco. Le Néerlandais caresse la poitrine du mieux qu’il le peut. Entretemps, les deux autres couples ont aussi fini de déshabiller mutuellement, mais tous ont gardé un sous-vêtement. Ils font une pause, Aurianne appelle son frère : — Je peux te déranger un instant ? — Euh, oui. Qu’y a-t-il ? — J’aimerais comparer ton zizi avec celui de Koen. — Tu vas me filer des complexes. — Meuh non ! T’inquiète pas. Tu sais bien que la longueur n’a pas d’importance. Amaury n’est pas convaincu, même s’il a vu que celui de Dominique était plus court que le sien. Aurianne s’assied sur le bord du lit, tire l’élastique du slip de Koen, regarde attentivement son contenu avant de le cacher à nouveau. Elle déboutonne ensuite le caleçon de son frère, en extrait le pénis encore endormi et les bourses avant de les remettre à l’intérieur. Elle répète son geste avec Frédéric, puis avec Daniel et Dominique, s’étonnant de l’absence de leurs prépuces et leur demandant pour quelle raison ils ont été coupés. — À ton avis, laquelle est la plus belle ? s’inquiète Koen. — La tienne, bien sûr, répond la fille. Je peux aussi la voir dressée ? — Tes désirs sont des ordres, dit Frédéric. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 23-11-2022 Bonjour mon cher Daniel, très belle suite. Pas évident de danser quand on ne s'y connait pas. Pour la famille des jeunes français, la danse est importante pour bien être intégré en société. Par la suite c'est un belle séance de déshabillage l'un après l'autre. Les six jeunes se retrouvent alors en "culotte" ou en "slip". Auriane parvient a évaluer les pénis des quatre garçons hormis celui de Dom. Merci Daniel pour cette belle suite et ce bon moment de lecture en découvrant certains traits d'humour! Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 24-11-2022 (23-11-2022, 05:00 PM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon cher Daniel, Bonjour mon cher Philou et merci pour ton commentaire. C’est autobiographique : je n’ai jamais appris à danser et cela été gênant dans de rares situations. Ce n’est pas le seule chose que j’ai jamais apprise. Première leçon d’anatomie masculine pour Aurianne. N’oublions pas qu’à cette époque on ne pouvait pas regarder des photos de pénis sur son smartphone et c’était certainement la première fois qu’elle en voyait d'hommes après la puberté. Ils ont encore gardé leurs sous-vêtements, je trouve que c’est aussi érotique de ne pas tout dévoiler dès le début. Dans cette seconde version de la scène, ils sont moins pressés. Je t’embrasse Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Tonton Tim - 25-11-2022 Bonjour Daniel ( et tous les lecteurs dont Philou) , J’ai retrouvé le chemin de ce forum à la faveur d’un WE de massage. Les aventures de Koen et ses amis sont toujours aussi passionnantes, c’est amusant de pouvoir comparer les différentes versions du récit et de revivre les mêmes rencontres avec quelques variations RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 25-11-2022 (25-11-2022, 07:54 PM)Tonton Tim a écrit : Bonjour Daniel ( et tous les lecteurs dont Philou) , Bonsoir Tonton Tim et merci pour ton commentaire. Variations sur un thème connu… Si ce récit était du théâtre, ce serait de l’improvisation. La plupart des idées me viennent seulement au moment où j’écris et je les publie directement. Je suis content de savoir que cela t’a amusé de comparer les différentes versions, mais je préférerais ne pas répéter trop souvent ces tâtonnements. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 28-11-2022 Chapitre 2 - La traversée (6) Mardi 13 juillet 1965, à bord du France Frédéric ajoute : — Tu peux branler Koen, je te donne la permission. — Je n’ai jamais branlé un homme, dit Aurianne, hilare. — Mieux vaut tard que jamais. — On va te montrer comment on fait, dit Dom, en s’asseyant sur le lit. Amaury ? Tu veux bien me prêter ta queue pour la démonstration ? — Les désirs de ma sœur sont des ordres, répond-il. Dominique baisse le caleçon jusqu’aux pieds et l’enlève, Amaury est soulagé de se retrouver tout nu devant sa sœur et de bander, ils n’auront maintenant plus de secrets l’un pour l’autre ; elle lui avait demandé de nombreuses fois de le faire, mais il n’avait jamais osé, craignant que ce fût de l’inceste et qu’il fût obligé de se confesser, c’était déjà assez gênant d’avouer qu’il se touchait tous les jours. Aurianne a aussi ôté le slip de Koen et pris son pénis dans la main, elle la caresse après avoir décalotté le gland. Koen bande, mais il ne sait pas si c’est à cause de la fille ou à cause du frère dans la même situation. Elle compare la longueur des bites et est déçue que celle de son frère soit plus courte — Koen a noté 14 cm dans son carnet, plus courte que lui-même (16,4 cm), que Daniel (16 cm) et que Frédéric (15 cm), plus longue que Dom (13 cm). Les deux cousins se sont également dénudés et se masturbent mutuellement, satisfaisant la curiosité de la jeune fille qui les mate. Frédéric, connaissant l’envie de Koen de se positionner face à une expérience hétérosexuelle, dit à Aurianne : — Nous allons vous laisser. Euh… il y a des capotes dans la table de nuit, au cas où… Frédéric entraîne Daniel, Dom et Amaury dans l’autre cabine, ferme la porte communicante, puis explique : — Je pense qu’ils seront plus à l’aise seuls, ce serait du voyeurisme de notre part de les regarder. — C’est parce que c’est une femme que tu prends autant de précautions ? demande Dom. — Oui, c’est la première fois que Koen essaie de faire l’amour avec une femme, plutôt avec une personne qui a un vagin, j’oublie parfois que tu es aussi une femme. — Lorsque je suis nue on peut facilement l’oublier. Et toi, Amaury, aimerais-tu aussi être seul avec moi et laisser les deux cousins se tripoter ensemble ? On pourrait aller dans ta cabine. — Non, ça compliquerait de se rhabiller, et on a déjà fait connaissance sous la douche. — On vous laisse le lit, fait Daniel, on baisera sur le canapé. Dominique, qui a toujours gardé son slip rose, enlève le drap et la couverture du lit et dit à Amaury de se coucher sur le dos, elle place deux oreillers sous sa tête, se met à côté de lui. Tout en lui titillant les tétons, elle lui demande : — Actif ou passif ? — Je préfère être passif pour la première fois. Je te laisse faire ce que tu souhaiteras. — Quelle responsabilité ! — Tu as plus de responsabilités comme infirmière. — Je ne donne pas ce genre de soins à mes patients. — Sauf à moi, dit Daniel qui a entendu la conversation, aurais-tu oublié certains soins très intimes que tu me prodiguais lors de mon séjour à la clinique ? — Ouais, tais-toi et suce ton cousin, ça t’évitera de trop parler. — Il avait quelle maladie ? demande Amaury. — Secret médical, quelque chose que tu n’as pas, répond Dom en faisant coulisser le prépuce du Français plusieurs fois. Passif ne signifie pas immobile, tu peux laisser ton corps réagir librement, exprimer tes sensations, me toucher. Une fois le pénis d’Amaury durci au maximum, Dom le délaisse et caresse le reste du corps, s’attardant sur d’autre zones érogènes : à nouveau les tétons — le jeune homme semble très sensible à cet endroit —, les couilles, le périnée, d’abord de la main, puis avec la langue. Elle rapproche sa bouche du gland — une goutte de précum suinte déjà —, lèche le frein, puis, tenant fermement la base de la hampe, elle l’enfonce dans la bouche, la taille est idéale pour une fellation. Amaury laisse échapper quelques gémissements, pose sa main sur les cheveux de Dom ; celle-ci dose ses mouvements, alterne avec des caresses de la main, elle n’aimerait pas qu’Amaury jouisse trop vite, ni le faire languir trop longtemps. Elle sent bientôt que son partenaire ne pourra plus se retenir, elle libère le pénis, un dernier va-et-vient et il laisse échapper sa semence en de nombreux jets. Dom prolonge l’orgasme en jouant avec le prépuce, puis se couche à côté d’Amaury en lui demandant : — Tu a aimé ? — Beaucoup. — Aimerais-tu autre chose ? — Que me proposes-tu ? fait le jeune homme en riant et en touchant la verge à demi-bandée de Dom sur l’étoffe du slip rose. — Tu devines… Tu me diras si quelque chose ne va pas, j’arrêterai. Couche-toi sur le côté, je vais te prendre en cuillère. Amaury ne sait pas ce que cela signifie, mais il se laisse faire. Dom enlève son slip, prend le gel dans la table de de nuit, en enduit l’anus et l’assouplit longuement avec les doigts. Elle passe ensuite un préservatif et le pénètre avec douceur et lenteur, s’efforçant de pas lui faire mal. Amaury est dans un état second, la sensation est si inhabituelle, il a de la peine à la définir, pas de douleur, mais une certaine gêne d’avoir le membre dans ses entrailles. Il ne demande pas à Dom d’arrêter, mais celle-ci le fait d’elle-même, ne voulant pas insister trop longuement pour cette première fois. Elle enlève discrètement la capote souillée, puis se recouche sur le lit, propose à Amaury de la masturber. Celui-ci le fait volontiers, mais distraitement, il pense qu’il n’est plus vierge, et, surtout, il se demande si sa sœur dans la cabine voisine a vécu la même chose, au même moment. Lui, on ne verra pas — par acquit de conscience il regarde le drap blanc, pas de trace de sang —, par contre Aurianne aura perdu son hymen, ce sera la preuve que Koen peut aussi avoir une relation avec une fille. Et lui ? Pourra-t-il en avoir aussi ? Préférera-t-il se marier et fonder une famille ou vivre son homosexualité, avec toutes les difficultés que cela comportera ? Amaury évacue ces pensées afin d’amener Dom à l’orgasme, à chaque jour suffit sa peine. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - emmanolife - 30-11-2022 Un bel effort de rédaction pour détailler les relations sexuelles, merci ! J'aime bien aussi la présence d'Aurianne qui dynamise un peu les processus. J'espère que tu nous raconteras ce qui s'est passé entre elle et Koen ? Il y a encore quelques petits trucs qui manquent. Du bruit ! On a l'impression qu'il font tout ça dans le plus grand silence : un silence religieux ? Des odeurs ! S'ils répandent le sperme, ça sent quand même un peu (et je ne parle même pas des secrétions féminines). Et puis aussi, évidemment, des sentiments : une bonne baise ne laisse pas toujours indemne de ce point de vue. Mais j'ai l'impression que tu n'a pas envie d'aller plus loin qu'une sorte d'amitié amoureuse... ou même la baise type Club Med : on est là, on a le temps, demain sera un autre jour. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 30-11-2022 (30-11-2022, 09:57 AM)emmanolife a écrit : Un bel effort de rédaction pour détailler les relations sexuelles, merci ! J'aime bien aussi la présence d'Aurianne qui dynamise un peu les processus. J'espère que tu nous raconteras ce qui s'est passé entre elle et Koen ? Merci Emmano pour ton commentaire et tes appréciations. C’est exact, je néglige le bruit et les odeurs, Je ne dois pas être le seul, je me rappelle d’un exercice lors d’un atelier d’écriture où l’on devait se concentrer sur les bruits. J’ai oublié ces conseils… Ils sont quand même assez bavards, la conversation est aussi un « bruit ». Quant aux sécrétions féminines, pour être honnête, je ne les connais pas assez (ou même pas du tout) pour les évoquer. Je me suis posé la question suivante : Aurianne et Aurélien vont-ils avoir d’autres relations avec mes quatre personnages principaux pendant la traversée ou cela restera-t-il une seule nuit ? Ils répondront eux-mêmes, mais, si l’on considère les chapitres précédents, toutes les relations sexuelles « extraconjugales » de mes héros sont restées uniques et je ne pense pas que cela sera différent cette fois. Ce qui m’intéresse surtout est d’inventer de nouveaux personnages, c’est plus facile que de décrire des actes sexuels qui deviennent vite répétitifs. Je devrais encore faire un effort pour mieux caractériser ces personnages secondaires, ce sont trop souvent des jeunes gens puceaux et de bonne famille dont on ne sait finalement pas grand chose. J’aimerais aussi m’inspirer de personnes ayant réellement vécu au 20ème siècle, je pense en particulier à un poète que je découvre en lisant ses oeuvres complètes et à un couple de musiciens qui aurait pu se trouver sur le paquebot. RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Nostalgique - 30-11-2022 Oui, pourquoi toujours choisir des jeunes puceaux, les matures sont peut-être moins performants, par contre ils peuvent avoir une sensibilité, une expérience qui compense largement la diminution de la performance purement physique. Même des personnes âgées peuvent apporter beaucoup de plaisir dans la mesure où l'obscurité règne car il est vrai que l'aspect visuel n'est pas forcément encourageant. En écrivant cela je pense plus à la vision du corps dans son ensemble qu'à celle du sexe et des testicules qui, bien traités peuvent encore être très attrayants... RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Philou0033 - 30-11-2022 Bonjour mon cher Daniel, belle suite. Des descriptions des relations sexuelles des uns et des autres sans trop insister. Je partage un peu le commentaire d'emmanolife, ça reste très "amical", cela manque peut-être d'un peu plus de passion. emmanolife parle d'odeur, de bruit, peut-être que c'est une autre possibilité d'attirer l'attention sur un geste, un détail, une envie, ou même des mots prononcés. Je t'embrasse! Philou RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 30-11-2022 (30-11-2022, 06:02 PM)Philou0033 a écrit : Bonjour mon cher Daniel, Bonsoir mon cher Philou et merci pour ton commentaire. Je comprends que tu trouves que cela manque de passion, surtout si je le compare avec tes propres récits où les deux personnages s’aiment passionnément et ont des relations beaucoup plus « chaudes ». Je peux essayer de m’améliorer, certes, mais, finalement, mon style restera tel qu’il est, mes idées resteront telles qu’elles sont, et mon écriture atteindra ses limites que je ne pourrai pas dépasser. Cela ne me gêne pas car je n’ai pas de contrat avec mes lectrices et mes lecteurs, ils ne doivent rien dépenser pour lire mes histoires, et, dans le fond, je les écris surtout pour moi, même si cela me flatte que d’autres les lisent. Il faut donc accepter mes récits tels quels, avec leurs défauts, et, j’espère, avec quelques qualités, ce qui n’empêche pas du tout d’être critique à leur égard, j’accepte toute critique, d’abord mon autocritique. Je viens de lire une anecdote concernant un écrivain qui a eu le prix Goncourt (ce n’est pas moi… ), il avait écrit un premier roman dans ce but et son éditeur a eu le courage de lui dire : « C’est de la merde », il en a écrit un deuxième et il a eu le prix. Tout espoir n’est donc pas perdu… Je t’embrasse Daniel RE: Le Nouveau Monde (Deux cousins 3) - Lange128 - 30-11-2022 (30-11-2022, 12:54 PM)Nostalgique a écrit : Oui, pourquoi toujours choisir des jeunes puceaux, les matures sont peut-être moins performants, par contre ils peuvent avoir une sensibilité, une expérience qui compense largement la diminution de la performance purement physique. Même des personnes âgées peuvent apporter beaucoup de plaisir dans la mesure où l'obscurité règne car il est vrai que l'aspect visuel n'est pas forcément encourageant. En écrivant cela je pense plus à la vision du corps dans son ensemble qu'à celle du sexe et des testicules qui, bien traités peuvent encore être très attrayants... Merci Nostalgique pour ton commentaire. Je trouve cependant délicat d’aborder une relation intergénérationnelle. Si la motivation de la personne âgée pourrait être évidente, l’attrait de la « chair fraiche » par exemple, quelle pourrait être la motivation de la personne jeune de coucher avec un « vieux » ? L’aspect intellectuel plus que l’aspect physique ? Profiter de l’expérience de la personne plus âgée, en attendre un enseignement ? Je n’aimerais pas que ce soit par pitié, il faut que les deux soient sur un pied d'égalité, qu'ils profitent les deux de cette rencontre, pas forcément de la même manière. Dans la vie réelle on peut en discuter avant, dans un récit comme celui-ci c'est beaucoup plus spontané. Je pourrais contourner cette difficulté avec la « curiosité », Koen pourrait avoir envie de découvrir le corps d’une personne âgée comme il a eu envie de découvrir celui d’une femme ou de mesurer d'innombrables bites en érection. Ou alors, je pourrais partir du principe que toute rencontre se termine « obligatoirement » par un acte sexuel, quel que soit le contexte, sans me soucier de la vraisemblance, ce que je fais déjà, mes personnages ayant eu un nombre élevé de rencontres improbables, toujours dues au hasard et pas dans des lieux de drague. |