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Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable

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Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 10-02-2022

Bonjour @lange!

Je connais bien cette "littérature de gare" dont tu parles. C'est ce genre de livre qu'on prend quand on a un long voyage a effectuer et qu'on est pas accompagné.

Koen se voit investi d'une activité qui lui plait, être l'aidant de l'infirmier Sebastian Bieri! Il devait s'occuper de la partie administrative dans la gestion des élèves qui viennent à l'infirmerie. C'est aussi là que se passe la visite médicale du début d'année. La seule chose c'est que Koen ne peut toucher aucun élève lorsqu'ils se rendent à l'infirmerie sauf en cas d'urgence.
L'infirmier Sebastian sait déjà qui est Koen et il semble qu'il sera s’acquitter de cette nouvelle tâche!
Un infirmerie dont la fréquentation serait de 100% d'homosexuels !

J'ai hâte de lire la suite.
Merci Daniel pour cette suite et ce bon moment de lecture!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 10-02-2022

(10-02-2022, 03:42 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour @lange!

Je connais bien cette "littérature de gare" dont tu parles. C'est ce genre de livre qu'on prend quand on a un long voyage a effectuer et qu'on est pas accompagné.

Koen se voit investi d'une activité qui lui plait, être l'aidant de l'infirmier Sebastian Bieri! Il devait s'occuper de la partie administrative dans la gestion des élèves qui viennent à l'infirmerie. C'est aussi là que se passe la visite médicale du début d'année. La seule chose c'est que Koen ne peut toucher aucun élève lorsqu'ils se rendent à l'infirmerie sauf en cas d'urgence.
L'infirmier Sebastian sait déjà qui est Koen et il semble qu'il sera s’acquitter de cette nouvelle tâche!
Un infirmerie dont la fréquentation serait de 100% d'homosexuels !

J'ai hâte de lire la suite.
Merci Daniel pour cette suite et ce bon moment de lecture!

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

Il y a eu une période de ma vie où j’achetais à la gare presque chaque semaine un livre avant de prendre le train. Ma collection préférée n’était pas celle que j’ai mentionnée, j’achetais surtout des « Maigret » et de la SF (collection « Anticipation » si je me souviens bien).

Koen pourra donc voir tous les élèves nus sans les toucher. Je voulais garder cette distance pour rester réaliste. Il n’y aura donc pas de récolte de sperme, désolé (mais je pense soudain à autre chose…). Il n’est évidemment pas exclu qu’un élève ait une réaction (in)désirable. Mon idée, comme pour le tailleur avec Frédéric, est de m’améliorer dans la description des personnages et de mieux les caractériser.

J’ai hésité entre un infirmier très strict et pas enchanté d’un assistant qui sait tout, ou qui croit tout savoir, finalement ils seront sur la même longueur d’onde. Il me semble logique qu’un infirmier gay soit attiré par une école de garçons plutôt que par un pensionnat de jeunes filles.

Je t’embrasse.
Daniel





Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 12-02-2022

Chapitre 12 - La rentrée (7)

Dimanche 30 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald

Pendant que Koen discutait avec la directrice et l’infirmier, Frédéric était descendu avec Mr Rich, le tailleur, au sous-sol de l’école. Le magasin des uniformes se trouvait dans une grande pièce éclairée par des tubes fluorescents. Les vestes et les pantalons bleus étaient suspendus à des portants ; les chemises et les sous-vêtements blancs posés sur des étagères. Frédéric fut impressionné par la quantité d’habits nécessaire pour tous les élèves. Le tailleur lui donna quelques explications :

— Chaque élève recevra deux vestes ; deux pantalons ; deux cravates ; et cinq assortiments de chemises, débardeurs, slips et paires de chaussettes noires. Comme vous le voyez, le nouveau logo de l’école, le bâtiment stylisé, est brodé sur la veste et sur les sous-vêtements. Contrairement au cours d’été, quelqu’un les lavera pour vous.
— Mais comment retrouverons-nous nos habits ? Je ne voudrais pas mettre les slips des autres.
— Regarde… tu me permets de tutoyer ?
— Oui, bien sûr.
— Tutoie-moi aussi, c’est l’habitude entre confrères du Vincelard et on ne fait pas la différence en anglais. Mon nom est Edward, Edward Rich.
— Enchanté. Frédéric.
— On ne t’appelle pas Fred ?
— Non, mon surnom à la maison est FDG, comme Frédéric De Goumoëns.

Le tailleur montra un fin ruban de coton blanc sur lequel était brodée au fil rouge une série de chiffres identiques.

— Tiens, prends-le, tu auras le numéro 1. Tu couperas les étiquettes et tu les coudras sur chaque pièce de vêtement.
— Les coudre moi-même ? Je ne sais pas.
— Tu apprendras, tu devras aussi recoudre tes boutons lorsque tu seras à l’armée, tu auras trois aiguilles, interdiction de les perdre. Je vais te donner un sachet qui en contient avec du fil de différentes couleurs et une petite paire de ciseaux, mais je ne crois pas que Franz vérifiera toutes les semaines si tu les as toujours. Vous pourrez mettre vos haillons le week-end.
— On devra se changer tous les jours ?
— Bien sûr. Certains élèves n’ont pas l’habitude mais ils la prendront rapidement, sinon Franz les remettra à l’ordre ; cela ne doit pas sentir le fauve avec tous ces jeunes en rut.

Ils se dirigèrent ensuite vers l’étagère des sous-vêtements. Mr Rich expliqua le système :

— Pour moi il est important que les slips soient parfaitement adaptés à la taille de leur contenu. J’ai donc créé un système avec deux mesures, S-L signifie par exemple « Small-Large », petit corps mais gros contenu. L-S est l’inverse, gros corps mais petit contenu.
— Je ne vois pas de S-XL…
— Je pourrais les faire sur mesure si un élève avait des proportions exceptionnelles, ce n’est arrivé que très rarement.
— Comment estimes-tu la taille du… contenu ?
— En le mesurant, tous simplement. J’ai des années d’expérience.
— Les élèves doivent donc se déshabiller entièrement devant toi ?
— Bien sûr, c’est également nécessaire pour les essayages.

Mr Rich montra à Frédéric une liste ronéotypée avec le nom de tous les élèves, leur date de naissance et la classe qu’ils fréquenteraient. Il y avait les mêmes listes affichées à l’entrée et Franz y ajouterait à quelle heure ils devraient descendre chercher leur uniforme et passer à l’infirmerie. Frédéric reporterait le nom sur une fiche vierge pour les nouveaux ou reprendrait l’ancienne pour ceux qui étaient là l’année précédente, puis noterait les mesures que lui indiquerait le tailleur. Il vit deux lignes intitulées « Dick » et « Balls ».

— Que signifient ces mots ? demanda-t-il.
— Tu ne sais pas ? On pourrait traduire par « bite » et « couilles ».
— Ces mots ne figuraient pas dans mon vocabulaire anglais. Tu peux ainsi voir l’évolution d’une année à l’autre ?
— Pas toujours, cela dépend de la température de la cave le jour où je fais les mesures. Nous allons faire un essai avec toi.

Mr Rich prit une plaque attachée à une chaîne et la suspendit à la poignée de la porte, à l’extérieur. Il était indiqué de sonner et d’attendre avant d’entrer, en allemand et en anglais. Depuis quelques années, l’école était devenue bilingue, afin d’attirer une clientèle internationale. On pouvait y passer une maturité suisse en allemand ou un bac international en anglais. Les classes avaient très peu d’élèves et les professeurs avaient le temps de donner un enseignement personnalisé selon les souhaits des élèves. Des cours de français étaient aussi proposés et Koen se réjouissait d’apprendre cette langue, avec l’aide de son ami. Frédéric plaça deux chaises dans le couloir.

— Tu iras chercher le suivant, expliqua Mr Rich, tu l’accompagneras ici, où il y a un tapis sur le sol, tu lui diras de se déshabiller et de poser ses nippes sur le valet.
— Je leur dis de se déshabiller entièrement ?
— Non, il ne faut pas brusquer les nouveaux, certains sont très pudiques. Les anciens le font en général spontanément.
— Ce n’est pas un lieu pour les pudiques, fit Frédéric en riant.
— C’est ce que j’ai entendu dire. Bien, déshabille-toi.

Frédéric enleva ses habits et les posa soigneusement sur le valet, pour indiquer au tailleur que ce n’étaient pas des haillons. La chemise à fleurs avait coûté très cher, c’est sa grand-mère qui l’avait offerte. Il laissa son slip blanc.

— Tu as au moins du goût pour tes sous-vêtements. C’est la meilleure marque, après les miens, bien entendu, et ceux de mon frère, qui vit en Angleterre et qui est le fournisseur officiel de la famille royale.
— C’est peut-être aussi lui qui fournit ceux de Laertes, un Anglais qui était au cours d’été avec nous.
— Nous verrons bien. Je les reconnais entre tous, même sans regarder l’étiquette.

Mr Rich prit les diverses mesures et nota les résultats sur la fiche de Frédéric. Il effleura les « balls » pour placer le centimètre et le dérouler jusqu’à la cheville, puis, sans prévenir, il baissa le slip jusqu’aux genoux. Il mesura la longueur du pénis et la circonférence des testicules, très délicatement. Frédéric sentit son membre se redresser.

— Voilà, c’est fait, dit le tailleur. Ensuite l’élève reste sur le tapis pendant que toi est moi allons chercher les habits pour l’essayage. Suis-moi.
— C’est toujours toi qui baisses le slip ?
— Oui, pourquoi ?
— Pour rien.

Frédéric prit les vêtements selon les indications du tailleur.

— M-M le slip ? demanda-t-il. Pas M-L ?
— Oui, pourquoi ?
— Pour rien. Je te fais confiance.

Frédéric les essaya, ils lui allaient parfaitement.

— C’est bon, dit Mr Rich. Je te dicterai les tailles des vêtements, tu les noteras et tu iras chercher le reste des habits avec l’élève, tu le feras signer sur la fiche. On verra plus tard pour les tiens, je pense que le premier ne va pas tarder.

NDA En écrivant cet épisode, je me suis dit que j’avais parfois (ou même souvent) des idées bizarres. Aviez-vous déjà entendu parler de sous-vêtements S-L, L-S ou même S-XL ? Cela doit bien exister quelque part sur la Terre, est-il vraiment possible d’inventer quelque chose qui n’a pas encore été trouvé par d’autres ?

Comme nous sommes entre nous, je vous raconte une anecdote personnelle, en pensant à ma mère qui aurait eu 91 ans aujourd'hui. Elle m’avait envoyé acheter des slips, seul, en me disant que ceux que j’avais devaient être devenus trop petits, en faisant allusion à leur contenu qui avait grossi. Je n’en ai pas trouvé qui me convenaient lors de ma première tournée des magasins, je ne sais plus pourquoi, et j’ai dit à ma mère qu’il faudrait les faire sur mesure. Elle avait ri. Je les ai finalement achetés et c’était la première fois qu’ils n’étaient pas blancs, ils étaient bleus ciel.



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 19-02-2022

Chapitre 12 - La rentrée ( 8 )

Dimanche 30 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald

— Mon zizi va très bien, dit Koen à l’infirmier, ce n’est pas nécessaire de le regarder.
— On en discutera à l’infirmerie.

Celle-ci était située au rez-de-chaussée, elle avait trois pièces : la première où se déroulaient les examens ; la deuxième avec quatre lits ; et une petite salle de bain, toilettes et douche. Elle avait été rénovée pendant l’été, on sentait encore la peinture fraîche. Les fenêtres donnaient sur le parc, obstruées par des rideaux translucides.

— Voilà mon domaine, dit Seb, tu n’as pas le droit d’y entrer lorsque je ne suis pas là, mais il y a une clef au secrétariat en cas d’urgence. On verra s’il y a une fois une épidémie et que j’ai besoin de ton aide pour ne pas être debout 24 heures sur 24.

L’infirmier montra à Koen l’armoire avec les remèdes habituels contre les refroidissements, entorses et autres petits bobos, ainsi qu’une trousse pour les premiers secours. Un meuble contenait les dossiers de tous les élèves, Seb sortit celui de Koen. Il y avait aussi une table d’examen au milieu de la pièce et un bureau dans un coin. Les deux hommes s’assirent de part et d’autre. Seb lut le questionnaire médical que Koen avait envoyé à l’avance.

— Parfait, dit-il, tu me parais effectivement en bonne santé. On va répéter. Tu iras chercher le suivant dans le couloir et tu lui diras de se déshabiller.
— Ils pourraient se déshabiller dans le couloir, on gagnerait du temps.
— Oui, tu as raison, mais il faut respecter la pudeur des patients.
— Nous nous promenons tous à poil pour aller nous laver et nous doucher.
— Je ne connais pas encore les habitudes de la maison, mais pense aux nouveaux, ce sera le premier contact qu’ils auront avec l’école, il ne faudrait pas les choquer.
— Ils pourraient garder leur slip, proposa Koen.
— D’accord.

Koen posa deux chaises devant la porte, tandis que Seb rédigeait un papier indiquant aux étudiants qu’ils devaient enlever tous leurs habits, sauf le caleçon. Il le colla avec du ruban adhésif sur la porte et dit ensuite au Néerlandais :

— Tu peux te déshabiller.
— Dans le couloir ?
— Oui, il ne faut pas faire subir aux autres ce que l’on a pas expérimenté soi-même. Souvenir de ma formation.

Koen fut obligé d’obéir, encore plus gêné car Franz passait dans le couloir à ce moment-là.

— Je vois que votre assistant est très coopératif, dit-il en riant à Seb. Ne le ménagez pas, lui, il peut même enlever son slip.
— Je respecte tous mes patients de la même manière.

Koen et Seb rentrèrent dans l’infirmerie.

— Un peu bizarre ce Franz, dit l’infirmier, parfois il paraît très strict et parfois très familier. Il voulait te voir à poil ?
— Il m’a déjà vu, il ne se gêne pas pour mater les élèves, et il a même une fois participé à… comment dire…
— Tu n’as pas besoin de le dire, cela ne me regarde pas. J’ai cependant l’impression que je ferai partie d’une grande famille, autant m’intégrer le plus rapidement possible.
— Tu logeras ici ?
— Pendant la semaine. J’habite à Bâle et je rentrerai chez moi le week-end, dans la mesure du possible. Si je dois rester parce qu’il y a des malades, mon ami me rejoindra, la directrice est d’accord.
— Tu as un ami ?
— Oui, pourquoi ? Tu as l’air déçu. Tu es déjà amoureux de moi ?
— Non, pas du tout, fit Koen, je suis amoureux de Frédéric, mais nous avons une sexualité très libre, si tu vois ce que je veux dire.
— Je vois ce que tu veux dire. Revenons à l’examen.

Seb prit un formulaire comportant diverses rubriques à remplir, il le plaça sur une plaque en métal et le tendit à Koen avec un stylo.

— Tu mettras le nom, la date de naissance de l’élève et la classe. Tu noteras ce que je te dicterai. Tu peux déjà indiquer ta taille et ton poids.

Seb regarda ce que Koen avait écrit puis lui dit de monter sur la balance pour vérifier.

— Hum ! Deux kilos de plus.
— C’est parce que je tiens la plaque, s’excusa Koen. penaud.
— Je dirais plutôt que tu as trop mangé pendant les vacances.
— Ma mère cuisine très bien. Je ferai plus d’exercice ici.

Seb prit un abaisse-langue et inspecta la gorge de Koen.

— Pas d’irritations, c’est bon. Je ne vois pas non plus de blessures sur ton corps, pose le formulaire et tourne-toi, puis penche-toi en avant, je vais regarder ta colonne vertébrale.

Seb la suivit avec son doigt, du haut en bas. Il s’assit sur un tabouret puis baissa le slip de Koen jusqu’au milieu des fesses pour examiner le coccyx.

— Pas de scoliose, dit l’infirmier, parfait.
— Je suis allé chez un ostéo pendant les vacances, il aurait vu si j’avais un souci. Il m’a aussi examiné le coccyx et ls prostate de l’intérieur, pourrions-nous le faire aux élèves ?
— Cela dépasserait mes compétences, du moins dans un cadre professionnel, et ce serait salissant, dit Seb en continuant à baisser le slip jusqu’aux genoux et en écartant les fesses pour regarder l’anus. Tourne-toi, que je voie ton zizi. C’est toi qui l’a proposé, après tout.

Koen fut à nouveau obligé d’obéir. Seb regarda longuement le pénis et les bourses.

— Décalotte-toi, le plus loin possible, et écarte les bords du méat, ordonna l’infirmier, cela dépasserait aussi mes compétences de le faire moi-même. On dira aux élèves de se tâter les couilles eux-mêmes, c’est le but recherché, non ?

Koen acquiesça, il dégagea son gland.

— Pas de chaude-pisse, fit Seb, c’est bon. Je ne pense pas qu’on aura assez de temps pour que chaque élève se branle devant nous. Tu peux remonter ton slip pour cacher cette érection que je ne saurais voir.
— Tu ne veux pas voir comment je me tâte les testicules ?
— Je te fais confiance.

Koen remit son slip et alla chercher ses autres habits dans le couloir. Il se rhabilla pendant que l’infirmier prenait des notes dans son dossier.

— Tu mets quoi ? demanda Koen. La longueur de ma bite ?
— Non, juste une appréciation générale sur l’état de santé et ce qu’il faudrait observer si un élève tombait malade. Il y a une blouse blanche dans l’armoire de l’autre chambre. Elle est pour toi.

C’était la première fois que Koen mettait une blouse blanche, il regretta qu’il n’y eût pas de miroir plus grand que celui au-dessus du lavabo.

— Tu es fier comme Artaban, dit Seb, ton premier contact avec ta future profession.
— Oui, je pensais que… que je pourrais aussi t’examiner, tu serais mon premier patient.
— M’examiner ? Moi ? Pourquoi ?
— N’as-tu pas dit qu’il ne faut pas faire subir aux autres ce que l’on a pas expérimenté soi-même ?
— On n’est pas sorti de l’auberge avec toi, fit l’infirmier en soupirant.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange129 - 20-02-2022

Je vous informe que me compte Lange128 a été supprimé pour une raison que j'ignore. J'espère que c'est seulement à cause d'un problème technique et pas à cause d'une règle de publication que je n'aurais pas respectée.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 21-02-2022

Bonjour [member=5573]Lange129[/member] !

Je suis très étonné d'apprendre que ton compte a été supprimé! J'espère que tu en sauras plus un peu plus tard!

Dans les deux suites, la première avec Frédéric et la seconde avec Koen, les élèves se retrouvent finalement nus.
Tant le tailleur que l'infirmier souhaite que les élèves puissent rester en slip après s'être déshabillé pour la prise de mesure ou pour l'examen médical.
Je reconnais bien ta façon d'amener les élèves à se montrer nus. C'est d'ailleurs dans la culture de l'établissement scolaire, ils vont nus à la douche ou pour se laver dans les couloirs.

Merci Daniel pour les deux suites.

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 21-02-2022

(21-02-2022, 10:30 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=5573]Lange129[/member] !

Je suis très étonné d'apprendre que ton compte a été supprimé! J'espère que tu en sauras plus un peu plus tard!

Dans les deux suites, la première avec Frédéric et la seconde avec Koen, les élèves se retrouvent finalement nus.
Tant le tailleur que l'infirmier souhaite que les élèves puissent rester en slip après s'être déshabillé pour la prise de mesure ou pour l'examen médical.
Je reconnais bien ta façon d'amener les élèves à se montrer nus. C'est d'ailleurs dans la culture de l'établissement scolaire, ils vont nus à la douche ou pour se laver dans les couloirs.

Merci Daniel pour les deux suites.

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

La suppression du compte était due à un problème technique et pas à cause d’une violation des règles de publication. Dans ce cas, ils m’auraient d’abord banni pour un mois. Je peux à nouveau utiliser Lange128, mais le compte n’est plus relié à mes anciens messages, publics ou privés. Je ne sais pas encore s’ils pourront rétablir ces liens.

Tous les élèves devront se montrer nus devant le tailleur et l’infirmier, c’est la culture de cet établissement et cela correspond évidemment à mes fantasmes, partagés par d’autres. On trouve beaucoup de vidéos où un homme est nu devant des hommes habillés (ou devant des femmes). Les nouveaux élèves comprendront donc tout de suite ce qui les attend, certains seront gênés alors que pour d’autres ce sera naturel.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 27-02-2022

Chapitre 12 - La rentrée (8 bis)

Dimanche 30 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald

— Tu comprends, expliqua Koen, je fais des statistiques sur la longueur des pénis. Tu pourrais aussi me dire combien il fait en érection si tu ne bandes pas.
— Je ne l’ai jamais mesuré, fit Seb en riant.
— Ça m’étonnerait. Tous les hommes l’ont fait.
— Bon, tu mettras 9 cm au repos et 15 en érection dans tes statistiques. Tu es content ?

Koen hésita avant de dire :

— J’aimerais quand même le voir.
— Mais rappelle-toi ce qu’a dit la directrice, tu ne dois pas toucher à l’intérieur de l’infirmerie. Cela fera un test, je verrai si tu peux te retenir. On n’a pas le temps de faire l’examen complet, je vais juste baisser mon slip.

Koen regarda le pénis avec intérêt, il demanda à Seb de libérer le gland de son long prépuce.

— Tu as une couronne perlée, fit Koen.
— Tu sais ce que c’est ? Je pensais que tu me demanderais de courir voir un dermatologue.
— Je sais tout sur le zizi.
— J’ai aussi eu une cryptorchidie. Tu sais aussi ce que c’est ?
— Bien sûr, un testicule pas descendu.
— Tu as passé l’examen avec succès, je n’ai jamais eu d’assistant aussi doué que toi. À vrai dire, c’est la première fois que j’ai un assistant. Va voir si quelqu’un attend derrière la porte pendant que je me rhabille.

NDA Ce sera tout pour ce soir. Je pense que j’ai fait fausse route en imaginant cette présentation des élèves chez l’infirmier et le tailleur. Cela serait trop répétitif et cela ne me motive plus de l’écrire. Ce serait mieux de consacrer un chapitre entier à l’un ou l’autre des élèves. Dans un roman-feuilleton comme celui-ci il est inévitable de se tromper. Ces présentations n’auraient eu aucune influence sur la suite de l’histoire.

Je vais donc faire une pause pour réfléchir à la suite ou éventuellement écrire autre chose pour me changer les idées, sans toutefois abandonner ce récit. J’aime trop mes personnages pour les abandonner. Je pourrais même envisager deux histoires en parallèle, mais il faudrait que j’aie une excellente idée, ce qui n’est pas le cas pour l’instant.



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 28-02-2022

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Belle entente entre l'infirmier et Koen. L'infirmier a donc montré ses attributs à Koen. Mais question de toucher.

C'est à toi de savoir ce qui est mieux pour ton récit mon cher Daniel, l'auteur de ce récit! Je vais donc attendre la suite que tu auras pu écrire. Prend ton temps, il n'y a rien qui urge!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 28-02-2022

(28-02-2022, 03:30 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Belle entente entre l'infirmier et Koen. L'infirmier a donc montré ses attributs à Koen. Mais question de toucher.

C'est à toi de savoir ce qui est mieux pour ton récit mon cher Daniel, l'auteur de ce récit! Je vais donc attendre la suite que tu auras pu écrire. Prend ton temps, il n'y a rien qui urge!

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

L’infirmier a l’air de bien s’entendre avec Koen et il est possible que nous le retrouvions plus tard, peut-être avec son ami. Pas à l’infirmerie, Koen pourra toucher…

J’aime bien « réfléchir à haute voix » au sujet de la suite de mon récit mais il arrive que je change d’idée. Cela n’a pas d’importance, ce n’est pas un roman policier où l’on attend impatiemment la fin pour connaître le coupable. On peut profiter de chaque épisode séparément puisqu’il y a toujours un peu ou beaucoup d’érotisme. Et c’est moi le coupable si cela ne vous plaît pas ou si le récit est bancal.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - fablelionsilencieux - 28-02-2022

Coucou Daniel,

Bancal ou pas, trou de balle ou pas, du "Lange" reste du lange (peu importe ton numéro, d'ailleurs)
Donc, je reste et continuerais la lecture tant que tu posteras, NA ! Wink

Gros bizoux de la savane !!!


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 28-02-2022

(28-02-2022, 10:11 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Coucou Daniel,

Bancal ou pas, trou de balle ou pas, du "Lange" reste du lange (peu importe ton numéro, d'ailleurs)
Donc, je reste et continuerais la lecture tant que tu posteras, NA ! Wink

Gros bizoux de la savane !!!


Coucou [member=54]fablelionsilencieux[/member] et merci pour ton commentaire.

Je te rassure : la « machine langesque 12x à trouver des idées pour des récits gays » tourne de nouveau à plein régime, j’étais un peu fatigué ces jours derniers. Et j’ai vécu quelque chose d’assez extraordinaire dans la vraie vie, la réalité dépasse parfois la fiction. Je ne peux pas vous le raconter en public par respect pour les personnes concernées.

Je suis en train de réfléchir à un récit parallèle qui mettrait en scène l’un des élèves avant son arrivée à l’école en Suisse, je pourrais raconter ce qu’il aurait vécu entre 16 et 18 ans dans son pays, comment il aurait découvert son homosexualité (tu me diras que ce n’est pas très original, j’en conviens). Contrairement à mon habitude, je ne vais pas le publier avant d’avoir quelques épisodes en réserve et d’être sûr que ça marche.

Et j’ai déjà une idée pour le phare de ACSH (il a une forme phallique, ce phare…), par contre je sèche pour la « tête qui pèse des tonnes ».

Gros bisous du paradis (non, j’oublie que je suis un ange déchu).
Daniel



Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 04-03-2022

NDA Je vais reprendre le récit avec un nouveau chapitre, selon ma méthode habituelle : publication de chaque épisode juste après l’avoir écrit et pas de plan détaillé, avec le risque de me planter de temps à autre.

Je réfléchis toujours à des portraits d’élèves, je pense tout d’abord à Laertes qui a déjà donné quelques informations concernant sa vie en Angleterre. Encore rien de concret pour le moment.

Ce chapitre se déroulera dans un château. Mon budget ne me permettant pas d’en faire construire un par des géants, je vais situer l’action dans un château existant. À part les murs extérieurs, tout le reste sera imaginaire. Toute ressemblance…

Lorsque je parlerai de gymnase, il s’agira de l’équivalent du lycée en Suisse et pas d’une salle de sport.



Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (1)

Vendredi 11 septembre 1964, maison de Frédéric, Lausanne

À l’école de Hinterhoden, le vendredi après-midi était consacré au sport. Franz avait donc pu donner congé à Frédéric et Koen car il savait qu’ils seraient très actifs pendant le week-end. C’était pour eux la première réunion de la Confrérie de Vincelard. D’innocents, ils seraient intronisés arpètes, premier grade avant de devenir plus tard compagnons, deuxième grade. Officiellement, les confrères ne se réunissaient que pour rendre hommage à Bacchus, alors qu’en réalité ils rendaient aussi hommage à Priape.

La confrérie était normalement réservée aux personnes disposant d’organes génitaux de type masculin, le comité se réservant le droit d’autoriser des exceptions. Pour entrer dans la confrérie, il fallait être parrainé par deux autres confrères, Franz et Urbain l’avaient fait pour Koen et Frédéric, ils pouvaient certifier qu’ils disposaient des attributs nécessaires, ils pouvaient même certifier que ces attributs fonctionnaient parfaitement, ce qui n’était cependant pas obligatoire, certains confrères étaient âgés et avaient perdu leur vigueur juvénile.

Le règlement permettait aux confrères d’inviter une autre personne aux réunions, un convié, dont la participation devait avoir été validée par le comité. Les conviés étaient de préférence des éphèbes, on murmurait même que certains étaient rémunérés pour leur participation, proportionnellement à la longueur de leur membre. Ce n’était pas le cas de Laertes et Hiroshi qui avaient accepté avec enthousiasme l’invitation que leur avait faite Koen et Frédéric.

Urbain était allé à Grindelwald chercher les deux innocents et les deux conviés. Ils arrivèrent chez Frédéric, à Lausanne, vers 17 heures. Après avoir salué sa mère et ses sœurs, comme il faisait encore chaud pour la saison, ils décidèrent de se baigner nus dans l’étang du parc. Frédéric prit des linges et ils se déshabillèrent au bord de l’eau avant de s’y plonger. Ils se séchèrent ensuite et s’assirent sur leurs linges, dans l’herbe.

Ce qui devait arriver arriva, la douce torpeur des derniers jours de l’été réveilla leurs virilités endormies. Charles, le père de Frédéric, les surprit à ce moment-là.

— Bonjour Messieurs, dit-il. Vous n’avez pas lu le règlement de la confrérie ?
— Euh, oui, dit Frédéric, penaud, les innocents ne doivent pas éjaculer deux jours avant leur intronisation.
— Et qu’êtes-vous en train de faire ?
— Je voulais simplement vérifier la longueur de leur pénis, fit Koen.
— Ne me dis pas que tu ne les avais jamais vus.

Hiroshi se leva, fit une courbette tout en cachant sa bite érigée de la main gauche.

— Ne te gêne pas pour moi, dit le père en riant et en lui tendant la main. Bienvenue, Hiroshi.

Charles salua aussi Laertes.

— Ainsi, c’est toi qui testes les préservatifs dans la fabrique de ton père.
— Tu es bien renseigné.
— Mon fils est parfois trop bavard. Tu as aussi fait du théâtre ?
— Oui, j’ai joué Richard III ce printemps.
— Beau rôle. Nous pourrons en parler plus tard, rhabillez-vous, l’apéritif est prêt sur la terrasse.

Charles les laissa. Hiroshi demanda à Frédéric :

— Cela ne te gêne pas que ton père t’ait vu bander ?
— Son père l’avait déjà vu bander, dit Koen.
— Comment le sais-tu ? s’étonna Frédéric. Je ne te l’ai jamais dit.
— Vous êtes allés vous promener ensemble, j’ai deviné.
— Oui, et cela n’a aucune importance puisqu’il nous verra de nouveau à poil demain.
— Et toi, Laertes, demanda Koen, ton père t’a déjà vu bander ?
— On t’a déjà dit que tu es trop curieux ?
— Très souvent.
— Repose-moi la question un jour où j’aurais trop bu.

Après le repas, des grillades accompagnées de salades, ils allèrent à pied jusqu’à Ouchy et dégustèrent des coupes glacées. Le soir, Frédéric fut inflexible, il refusa que Koen le baisât.


Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay

Charles et Urbain faisaient partie du comité de la confrérie, ils partirent tôt le matin car ils avaient une séance avant la réunion. Les quatre amis prirent le train pour se rendre à Blonay. Ils y étaient attendus à 11 heures, alors que les autres confrères arriveraient à midi.

Un garde de sécurité était posté à l’entrée du château et ils durent décliner leur identité avant d’entrer dans la cour. Il y avait déjà quelques voitures et le minibus de l’école. Frédéric se demanda si Franz avait invité un des élèves de l’école. Le fils du châtelain les accueillit, c’était un homme d’une trentaine d’années :

— Bonjour, Messieurs. Je m’appelle Jean-Pierre et je suis chargé de l’accueil des nouveaux.

Ils se présentèrent, puis entrèrent dans le château et montèrent jusqu’aux combles par un escalier étroit en colimaçon. Une grande salle sous la charpente était réservée aux innocents et conviés. Quatre jeunes gens étaient assis à une table et prenaient un apéritif en les attendant.

— Vous pouvez boire un verre de vin blanc, je suis obligé de limiter la quantité avant les cérémonies. Vous pourrez vous rattraper ce soir, mais nous n’aimons pas les abus. Sachez arrêter au bon moment.

Jean-Pierre leur donna des verres. Les autres se levèrent pour trinquer. Franz avait invité les jumeaux Sacha et Vania.

— Le règlement ne prévoit d’inviter qu’une personne, dit Koen, comment est-ce possible que vous soyez les deux là ?
— Nous sommes inséparables, le règlement sera modifié pour les jumeaux.

Frédéric reconnut l’un de ses anciens camarades du gymnase, François-Xavier. Ils n’avaient pas fréquenté la même classe. Frédéric ne l’aimait pas, il le trouvait trop prétentieux et méprisant avec les autres. FX, c’était son surnom, était le fils d’un banquier privé, Hubert de la Hautecontre.

— Toi ? FX ? Ici ? Je m’étonne, je pensais que tu avais couché avec toutes les filles du gymnase.
— Réputation très surfaite, dit François-Xavier, ce n’est que la moitié. C’est vrai qu’elles me trouvent très séduisant.
— Elles n’ont pas tort. Mais certaines disent que tu as une petite queue. De la médisance, je suppose.
— Je te prie de ne pas ébruiter le fait que je suis homosexuel, ou plutôt bisexuel car il m’arrive effectivement de déflorer des filles.
— Je ne suis plus au gymnase à Lausanne, je suis dans un internat en Suisse alémanique. C’est ton père qui t’a parrainé ?
— Mon père est le trésorier de la confrérie, ne l’ébruite pas non plus. Les membres d’une même famille n’ont pas le droit de se parrainer entre eux. C’est ton père qui m’a parrainé, avec son chauffeur. Il ne t’a pas dit ?
— Non, il ne m’a pas dit, je ne le vois pas souvent. Tu as dû leur montrer que tu as une bite ?
— Oui, c’était assez humiliant qu’on puisse penser que je n’en ai pas. En plus, j’ai bandé lorsqu’ils la regardaient, ils en ont profité pour contrôler si j’avais des éjaculations, ce qui n’était pas obligatoire.
— Je me réjouis de la voir, fit Frédéric en souriant, et mon ami Koen te dira si sa longueur est dans la moyenne.

FX fit la moue.


Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 05-03-2022

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Super suite.
Nous allons suivre l’initiation de Frédéric et de Koen au sein de la confrérie de Vicelard.
C'est bien de revoir d'autres personnages revenir, tels que F-X, les jumeaux, Hiroshi et Laertes.
Il est déjà question de virilité, de dimension des queues, etc... Koen va aussi pouvoir faire des comparaisons et compléter ses listes!

Merci Daniel pour cette suite.

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou


Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 05-03-2022

(05-03-2022, 12:42 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

Super suite.
Nous allons suivre l’initiation de Frédéric et de Koen au sein de la confrérie de Vicelard.
C'est bien de revoir d'autres personnages revenir, tels que F-X, les jumeaux, Hiroshi et Laertes.
Il est déjà question de virilité, de dimension des queues, etc... Koen va aussi pouvoir faire des comparaisons et compléter ses listes!

Merci Daniel pour cette suite.

Très bon week-end!
Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire.

Dans ce récit la dimension des queues a une grande importance, certainement à cause de Koen qui tient des statistiques très détaillées. Je sais que dans tes récits c’est quelque chose que tu passes en général sous silence. Chacun a sa manière d’écrire et c'est bien ainsi.

Je me souviens que c’était quelque chose qui m’avait beaucoup frappé à l’âge de mes héros : la diversité des formes et grandeurs des organes masculins. C’est donc tout à fait naturel qu’ils s’en soucient. Il semble que Frédéric avait un compte à régler avec FX et c’est pour cela qu’il ironise au sujet de la longueur de sa queue. C’est une idée que je viens d’avoir et qui pourrait débuter l’épisode suivant.

Je te souhaite un très bon week-end.
Je t’embrasse
Daniel