Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 08-01-2022 (08-01-2022, 06:53 PM)Nostalgique link a écrit :Merci Charles d'avoir donné ton accord pour le voyage aux USA : nous avons dès lors la certitude que ce récit va se poursuivre pour de nombreuses et bandantes aventures ! Bonsoir [member=146]Nostalgique[/member] et merci de ton commentaire. Je ne sais pas si les Américains sont plus bandants que les Européens (ou les Japonais puisqu’il y en a aussi eus dans ce récit). Ils seront probablement plus virils que mes habituels éphèbes (style cow-boy d’une célèbre marque de cigarettes ?) et évidemment circoncis. On verra, je n’ai pas encore d’idées précises. J’ai déjà dit que le père et son fils allaient se fixer des limites, où se situeront-elles entre l’amour filial et le sexe pour le sexe ? Ton message m’a fait réfléchir et je pense avoir trouvé le juste milieu. Je ne sais pas si j’arriverais encore à vous surprendre ou peut-être parce que vous avez oublié les épisodes précédents (je les oublie aussi après les avoir écrits…). Il est vrai que mes personnages sont très libres et peuvent expérimenter tout ce qu’ils désirent (ou plutôt ce que je désire qu’ils expérimentent). À mon tour de t'embrasser et même un peu plus. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 10-01-2022 Chapitre 11 - Excursion au Rosenlaui (2) Samedi 22 août 1964, Hôtel Rosenlaui Frédéric obéit et ôta le linge, son père sourit en jetant son journal sur le sol, puis dit : — N’est-ce pas plus agréable d’être à poil quand on bande ? — Oui, mais tu es mon père et cela me gênait que tu me voies dans cet état. — C’est toi qui as enlevé ton linge, tu aurais pu refuser de le faire. Il faut oser dire non. — L’autorité paternelle… — Je n’ai pas été un père autoritaire, j’ai accepté tous vos caprices d’enfants gâtés. Tourne-toi que je voie aussi ton petit cul. Et écarte bien tes fesses. — Je me suis lavé partout. Charles regarda longuement son fils nu qui aurait aimé que son père donnât une appréciation sur sa bite érigée. La trouvait-il belle, assez longue ? Le père s’abstint de tout commentaire à ce sujet et dit : — Je vais mettre les choses au point. Je ne me serais pas permis de te mater si tu étais hétérosexuel ou si je savais que tu n’avais des relations intimes qu’avec ton ami néerlandais. Ce n’est pas le cas, vous avez passé un week-end chez les architectes et tu m’as dit que vous êtes allés au bordel. — C’est vrai. — Et c’est surtout parce que tu t’es inscrit avec Koen pour faire partie de la Confrérie du Vincelard, tu savais que j’en fais partie, il est donc inévitable que je te voie baiser avec quelqu’un d’autre. Nous ne nous réunissons pas seulement pour déguster des vins et faire des gueuletons… — C’est aussi vrai, dut admettre Frédéric. — À propos, votre candidature a été acceptée. Mais il y a un règlement à respecter. Vous devrez le signer pour confirmer que vous l’acceptez. Une des clauses interdit les relations entre les personnes d’une même famille. — Pourquoi ? Si elles sont consentantes et adultes… — Parce que c’est de l’inceste et que c’est illégal, dit le père. Cela pourrait aussi choquer d’autres confrères. Je me plierai à cette règle et ne te toucherai pas lors des réunions au château, même pendant la nuit. — Comment pourraient-ils contrôler ce qui se passe pendant la nuit ? — Tu le verras bien. Il est interdit d’avoir des relations sexuelles privées, tout doit de dérouler en public et à la vue de tous. Viens te coucher sur ton lit. Les deux lits de la chambre étaient l’un à côté de l’autre, Frédéric se coucha sur celui à la gauche de son père. Son pénis avait retrouvé un état plus conforme à la bienséance pendant la discussion, à part un filet de précum pendant du méat. Frédéric était indécis, il n’avait pas envie d’en rester là, il avait envie de voir son père bander, tout de suite et pas à une réunion de la confrérie. Il lui demanda prudemment : — Et lorsque nous sommes seuls, comme cet après-midi, il y a aussi un règlement ? — Je ne te cache pas que je suis jaloux de ton jeune corps et que j’ai envie de le toucher. Mais j’aimerais que cela reste doux et sensuel. Je n’ai d’ailleurs pas pris de préservatifs. Et toi ? — Moi non plus, mentit Frédéric, il en avait toujours une boîte dans son sac, sur les conseils de son futur médecin. Le père ajouta : — Et, comme tu l’as dit toi-même, ce doivent être des relations librement consenties. — J’accepte, dit Frédéric spontanément. — À la bonne heure ! — Je te redis que tu es un père merveilleux. — Je n’en suis pas sûr, je ne me suis pas assez occupé de vous lorsque vous étiez plus jeunes. Je rentrais toujours tard alors que vous étiez déjà couchés. — Tu avais beaucoup de travail, je te comprends. Tu peux te rattraper maintenant, terminer mon éducation. — J’arrive comme la grêle après les vendanges, fit Charles en riant, tu as déjà eu d’autres précepteurs. Qui a mis sa grosse queue dans ta petite rondelle pour la première fois ? — Euh… mon cousin, Daniel. — Je l’aurais parié. Encore une chose : pas un mot à ta mère au sujet de nos… comment dire… jeux érotiques. — Elle désapprouverait ? — Je ne sais pas, mais je préfère ne pas le savoir. — Elle n’a pas hésité à contrôler si je décalottais bien, devant mes sœurs qui se marraient. — Cela n’avait pas forcément un aspect sexuel. Ou alors… oui, cela en avait un. Bon, je ne vais pas me mêler de tes relations avec ta mère, nous avons réglé les nôtres. Frédéric se détendit, il savait maintenant à quoi s’en tenir. Charles se rapprocha de son fils dont la tête était posée sur deux oreillers. Il écarta ses cheveux pour dégager le front en disant : — Tu as assez d’argent pour aller au bordel mais pas pour le coiffeur. — C’est la mode, papa. — Je sais, les hippies… Tu les couperas pour aller à l’armée. Le père donne un bisou à son fils qui le lui rendit. Il débuta ensuite de tendres caresses, chatouillant les tétons, passant du haut du corps aux cuisses, il effleura les couilles, puis pris le pénis dans sa main et joua avec le prépuce. Frédéric banda et osa demander : — Tu la trouve belle ma queue ? — Je crains que mon jugement ne soit pas impartial. C’est la plus belle de toutes celles que j’ai vues. — Menteur ! Charles caressait le gland lubrifié de précum, ses mouvements était assez énergiques, ce qui fit monter très rapidement l’excitation de Frédéric, trop rapidement à son goût. — Pas si vite, dit-il, sinon je vais jouir. Le père délaissa le pénis pendant quelques instants, ses doigts se promenèrent sur le scrotum contracté, sur le périnée et dans la raie des fesses. Frédéric ne put se retenir longtemps, sa semence se dispersa sur son ventre en de nombreux jets. — Désolé, dit-il, j’ai été trop rapide. — Bah, le sexe n’est pas une discipline olympique. Merci d’avoir surmonté ta pudeur et de m’avoir laissé toucher ton corps en m’offrant ta jouissance. Ce n’est pas tous les jours qu’on me fait un tel cadeau. — De rien, tout le plaisir était pour moi. — À toi, maintenant. On verra si tu arrives à me faire juter, je n’ai plus vingt ans. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 11-01-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite! Effectivement l'inceste existe et on en parle que très rarement. Ici c'est comme une initiation entre père et fils. C'est sensuel et librement consenti. Bien entendu ce n'est pas donner à tout le monde de faire ce genre de découverte. Tant que les deux sont majeurs, consentants, que ça se passe dans un environnement clos, ils sont assez grands pour savoir ce qu'ils font! L'inceste est bel et bien puni par la loi; ce sera le cas si l'un des deux porte plainte! Merci Daniel pour cette suite. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 11-01-2022 (11-01-2022, 11:37 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Ils avaient envie l’un de l’autre et je pense que le plus important était qu’ils en parlent avant. Le fait qu’ils participeront ensemble aux réunions de la confrérie les mettaient dans une situation particulière. L’inceste entre adultes, sans agression, n’est pas punissable partout et pas en France, ce qui me permet d’en parler sur Slygame. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 12-01-2022 L’épisode suivant sera spécial puisque ce sera le centième de la deuxième partie du récit, commencé sur Slygame en septembre 2020. Merci de lire fidèlement mes élucubrations, même les plus scabreuses. Cela fait environ 100’000 mots, soit la valeur d’un gros roman. Combien restera-t-il d’épisodes jusqu’à la fin de cette deuxième partie ? 10, 50, 100 ? Je ne sais pas, je ne fais jamais de plan détaillé, j’ai des idées qui sont parfois inspirantes, parfois décevantes. Pour vous inciter à continuer à me lire, voici les thèmes que je pourrais aborder : — Koen va revenir en Suisse et il ne sera pas seul dans le compartiment du wagon-lit (pas très original, j’en conviens). — Une présentation des élèves qui vont accompagner nos héros pendant l’année scolaire, certains étaient déjà au cours d’été, d’autres seront nouveaux. — Peut-être des chapitres consacrés plus spécifiquement à l’un ou l’autre de ces élèves, afin que Koen puisse compléter ses données biométriques. — Une réunion de la Confrérie du Vincelard dont j’ai déjà parlé. — Un stage à Heidelberg dans l’université du Prof Latte et ses recherches sur l’orgasme, avec une soirée dans une société d’étudiants. — Le stage de Frédéric chez les architectes, mais je pense que ne sera pas intéressant. — Une visite chez les moines bénédictins d’Einsiedeln avec Adso ? La vie sexuelle des religieux dans les couvents est toujours passionnante, d’autant plus qu’il y a aussi un lycée. — Une visite chez Hyacinthe, le prince du Liechtenstein ? Rien de prévu avec Daniel et Dominique qui ne m’inspirent pas pour le moment. Comme vous le constatez, j’ai encore du travail pour terminer cette deuxième partie avant de passer à la troisième qui serait le voyage en Amérique. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 12-01-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Je suis certain que je vais aimer les suites que tu nous publieras! Je te fais confiance! J'ai hâte de lire la et les suites! Je ne te cache pas c'est à chaque fois un très bon moment de lecture! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 12-01-2022 (12-01-2022, 09:02 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci de tes encouragements. Si c’est à chaque fois un très bon moment de lecture pour toi, c’est aussi un très bon moment d’écriture pour moi, pas seulement devant mon ordinateur, mais aussi à d’autres moments où j’imagine ce que feront mes personnages, parfois des mois à l’avance. Mais il y a aussi des idées qui me viennent spontanément. Je ferai de mon mieux pour continuer à te et à vous passionner. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 13-01-2022 Chapitre 11 - Excursion au Rosenlaui (3) Samedi 22 août 1964, Hôtel Rosenlaui Frédéric se leva, prit un mouchoir en étoffe, avec l’initiale de son prénom brodée, dans son sac à dos et nettoya sommairement les gouttes de sperme sur son ventre et sur son gland. Il observa ensuite son père, couché sur le lit. Le corps de son père l’avait toujours impressionné, surtout sa grosse bite, mais, ce jour-là, Frédéric remarqua que son père n’était qu’un être humain fragile et pas le super-héros de son enfance, ses cheveux étaient déjà parsemés de blanc, tout comme ses poils pubiens. Il avait un début d’embonpoint, plus important que ses costumes sur mesure ne le laissaient supposer. Et sa bite n’était pas si grosse que ça. Frédéric se remémora ce qu’il avait appris de Martin lors du séjour chez les architectes. Il débuta par un massage, s’attardant d’abord sur le corps avant d’oser s’attaquer au lingam. Charles banda, Frédéric vit sa bite érigée pour la première fois, il fut étonné de constater qu’elle n’était pas plus longue que la sienne, peut-être même plus courte. Dommage que l’arpenteur néerlandais ne fût pas là pour la mesurer. Frédéric se demanda s’il devrait parler de cette incartade à Koen, il décida qu’il le ferait seulement si son ami lui posait la question. Frédéric avait envie de prendre la queue de son père dans sa bouche. Celui-ci ne voulait pas de pénétration, mais il n’avait pas exclu une fellation. Charles ne protesta pas quand les lèvres de son fils s’approchèrent de son gland décalotté. Frédéric continua donc à le sucer, s’appliquant du mieux qu’il pouvait, comme s’il était en train de passer un examen. Il se demandait s’il devrait avaler le sperme. Charles avisa son fils qu’il allait jouir, Frédéric retira spontanément le membre de sa bouche pour voir les jets de semence jaillir du méat. Il eut une pensée curieuse à cet instant : lui aussi, dix-huit ans plus tôt, était sorti de ces couilles, sous la forme d’un spermatozoïde. C’était plutôt la moitié de lui-même, puisqu’il avait fusionné avec une ovule de sa mère. Il eut un instant de vertige existentiel avant de se ressaisir et de demander à son père : — Tu as aimé ? — Je t’ai dit que le sexe n’est pas une discipline olympique. Oui, j’ai aimé, sinon je n’aurais pas joui. Frédéric prit son mouchoir, nettoya la bite et le ventre de son père — qui avait eu des jets moins puissants que les siens — en prenant soin d’utiliser un coin de l’étoffe encore sec. — Tu ne garderas pas ce mouchoir en souvenir, fit Charles, ce serait de la sentimentalité déplacée. — Je le mettrai à la lessive dès notre retour à la maison. Frédéric se dit qu’il désobéirait et qu’il garderait le mouchoir. — Et que pensera la femme de ménage ? demanda-t-il. — Elle a dû remarquer depuis longtemps que les mouchoirs avec la lettre « F » avaient des taches douteuses. — Elle t’en a parlé ? — Non, tu sais bien que c’est ta mère qui s’occupe du personnel de maison. — Et ma mère, elle t’a parlé de ma sexualité ? Avant que je sorte du placard ? — Ce genre de discussions avec ma mère reste entre nous. — Je suis désolé, dit Frédéric, penaud. — Il n’y a pas de quoi, je ne te reproche pas d’avoir posé cette question. Frédéric hésita un instant avant d’ajouter : — Je voulais te dire que la manière dont je te vois a changé, pour toujours. — Tu me vois comment maintenant ? — Nous sommes sur un pied d’égalité, nous pouvons parler d’homme à homme et plus de père à enfant. — Tu as raison, toi aussi tu as changé, tu es sorti de l’enfance et de l’adolescence, pas seulement parce que nous avons baisé ensemble, aussi à cause de toutes les autres expériences que tu as faites ces dernières semaines. Sauf sur un point. — Lequel ? — C’est encore moi qui dois subvenir à tes besoins jusqu’à la fin de tes études. Fais en sorte qu’elles soient couronnées de succès et que tu puisses devenir indépendant. Même si le sexe est fort agréable, il n’y a pas que ça dans la vie. — Je te promets, papa. Je ne passerai pas mon temps à me branler et à baiser et je serai studieux. — Je sais que je peux compter sur toi. Pas plus d’une fois par jour pendant la semaine. Encore une question : parleras-tu à ton ami de ce que nous avons fait cet après-midi ? — Ce genre de discussions avec Koen reste entre nous. — Au temps pour moi, fit le père en riant. Allons souper maintenant, je meurs de faim. L’exercice ouvre l’appétit. Ils ne reparlèrent plus jamais de ce qui s’était passé entre eux pendant ce week-end et Frédéric ne garda finalement pas le mouchoir, son père avait raison, ce n’était que de la sentimentalité déplacée. NDA Et moi je n’écrirai plus une telle scène dans le cadre de ce récit. Je ne regrette pas de l’avoir fait, mais j’ai trouvé que ce n’était pas facile à imaginer, j’avais quand même cette idée en arrière-plan que « ce n’est pas bien » pour un père et un fils d’avoir des relations sexuelles, d’où les nombreux dialogues et justifications qui ont émaillé ce chapitre. Je me demande ce que mon père aurait pensé en lisant mes histoires. Il n’a jamais eu d’ordinateur et il n’y avait pas de risque qu’il les découvre. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 14-01-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Très belle suite, assez explicite sans trop l'être. Je pense que c'est "tendre" dans le sens que la découverte du corps de Charles par son fils Frédéric est subtile, le fils a agit avec tendresse. La fellation procurée à son père l'a fait encore grandir un peu. Frédéric a eu le bon réflexe de laisser son père jouir en dehors de sa bouche. Un lien particulier relie le père et le fils. Les deux ont évolué, ils savent qu'ils peuvent se parler de beaucoup de chose maintenant. Merci Daniel pour cette suite et ce bon moment de lecture! Je conçois bien que ce n'est pas évident décrire ce genre de chose, mais tu y as été en douceur, sans trivialité! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 14-01-2022 (14-01-2022, 10:24 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. J’ai essayé de me mettre à la place de Frédéric pendant cette relation particulière avec son père et d’expliquer pourquoi il avait désiré un contact sexuel. Ils auraient aussi pu avoir cette discussion « entre hommes » sans se toucher. Ils auront ce lien particulier qui les reliera, je ne pense pas qu’il restera secret pour tout le monde, je crains en particulier la curiosité de Koen. Je n’aurais par contre jamais imaginé que Koen fasse le même genre de choses avec son père, ni d’autres personnages dont j’ai présenté les parents. La suite du récit sera plus classique, mes personnages auront cependant l’occasion de se déshabiller très souvent, comme d'habitude… Je te souhaite déjà un bon week-end et t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Nostalgique - 14-01-2022 Cher Daniel, Tu nous mets littéralement l'eau à la bouche (et pas seulement!) avec ton programme d'écriture à venir. Je t'en prie, mets-toi vite au travail ou plutôt faits-toi plaisir en rédigeant tes chapitres car sinon cela pourrait devenir un vrai marais à forcer de supputer les phantasmes de ton imagination. Embrassons-nous en attendant. Nostalgique Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 14-01-2022 (14-01-2022, 04:18 PM)Nostalgique link a écrit :Cher Daniel, Merci cher [member=146]Nostalgique[/member] pour ton commentaire. Je vais quand même te faire languir un peu, j’ai parlé récemment de deux suites par semaine (deux orgasmes par semaine ?) et ce sera bien si j’arrive à tenir ce rythme qui me paraît raisonnable (pour les suites du moins, pas pour les orgasmes). Quant à mes phantasmes… Avec « ph », je me rappelle toujours lorsque le professeur du collège avait corrigé ma dictée et mis « f » à la place. J’avais réclamé et obtenu gain de cause (et la note maximale). Ce devait être un professeur vicieux pour qu’il mette ce mot dans une dictée, toujours moins que celui du gymnase (lycée) qui ne faisait jamais un cours de français sans parler d’érotisme, et qui devait aussi ph(f)antasmer sur nos amours adolescentes (hétérosexuelles). Il y aura aussi de nouveaux professeurs à la rentrée dans mon récit, mais je pense qu’ils garderont une certaine distance avec les élèves. Je te souhaite déjà un bon week-end et embrassons-nous avec grand plaisir. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 15-01-2022 Parmi les nombreux personnages que j’ai imaginés pour mes histoires, il y en a que j’ai beaucoup aimés et que j’ai regretté d’abandonner. Pour débuter ce chapitre, je vais reprendre deux d’entre eux qui étaient les héros d’un récit resté inachevé. Ils auront quelques points communs mais aussi des différences puisqu’ils vivront dans des lieux et à une époque différents, et ils n’auront pas les mêmes aventures. Chapitre 12 - La rentrée (1) Samedi 29 août 1964, en train entre Amsterdam et Interlaken Frédéric avait profité de la dernière semaine de vacances pour réviser son vocabulaire allemand en lisant les revues de son père, apprenant ainsi tous les mots qui ne figuraient pas dans les manuels scolaires. Daniel avait passé quelques jours à Lausanne sans son amie Dominique qui suivait une formation continue. Les deux cousins avaient fait ensemble quelques exercices afin que leurs corps caverneux ne s’ankylosassent pas en l’absence de l’être aimé. Koen en avait profité pour réviser l’anatomie masculine dans ses livres. Greta, l’amie de Piet, étant en vacances avec ses parents, les deux frères avaient fait ensemble quelques exercices afin que leurs corps caverneux ne s’ankylosassent pas en l’absence de l’être aimé. Piet était passé de 1 à 2 sur l’échelle de Kinsey : prédominance hétérosexuelle, occasionnellement homosexuel. Le samedi soir, Koen fut accueilli sur le quai de la gare d’Amsterdam Centraal par Dirk, le conducteur du wagon-lit : — Bonsoir Monsieur Grotelul, heureux de vous revoir. — Bonsoir Dirk, heureux d’être tombé de nouveau sur vous. Serai-je seul cette nuit ? — Je vous rassure, deux hommes monteront à Duisburg, en Allemagne. — Vous les connaissez ? — Non. Ils portent le même nom, ils seront probablement de la même famille. Installez-vous dans le compartiment numéro 1. Je vous apporterai une bouteille de champagne. — Ce n’est pas nécessaire, la bouteille d’eau minérale suffira pour manger avec mes sandwiches. — Je vous l’offre ! dit Dirk. — Merci, pourquoi cette générosité ? Je n’ai pas mon anniversaire. — Lors de votre dernier voyage vous avez été très aimable avec la comtesse en lui montrant votre… vous voyez ce que je veux dire. Elle m’a offert un pourboire royal et je désire aussi vous en faire bénéficier. — Servez la bouteille à Duisburg, comme cela je pourrai aussi en offrir à mes compagnons. — Comme il vous plaira, Monsieur Grotelul. Koen s’installa dans le compartiment, il avait enregistré sa valise comme d’habitude et n’avait qu’un petit sac de voyage avec un slip de rechange, des affaires de toilette, du gel lubrifiant et des préservatifs. Il avait également pris un livre : Faust, de Goethe, qui serait au programme de l’année scolaire. Il s’assit sur le siège du milieu, mangea ses sandwiches, puis commença à lire le bouquin. Il s’endormit après dix pages. Il se réveilla lorsque le conducteur frappa à la porte, en gare de Duisburg. — Entrez ! dit Koen, encore à moitié dans les vapes. Il se réveilla complètement lorsqu’il vit les deux jeunes hommes du même âge que lui. Ils avaient des cheveux blonds fournis arrivant jusqu’au col, les yeux bleus, le teint pâle. Ils étaient vêtus de polos Lacoste blancs et de blazers bleus aux boutons dorés. Et surtout ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, assurément des jumeaux. — Bonjour Monsieur, dirent-ils en chœur. — Bonjour Messieurs, fit le Néerlandais. — On ne vous dérange pas ? demanda l’un des deux. — Pas du tout, prenez place. Koen se retrouva entre les deux éphèbes, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Le conducteur apporta une demi-bouteille de champagne sur un plateau et remplit des flûtes. — Quel service de première classe ! s’exclama l’un des jumeaux. — Euh… fit Koen. Ce n’est pas toujours ainsi, j’ai rendu service à une dame lors de mon dernier voyage. — Quel genre de service ? demanda l’autre. — Tu ne dois pas demander ça au monsieur, tu es trop curieux. — Désolé. J’ai entendu parler de la Madone des sleepings, je pensais qu’on pouvait… faire l’amour dans les wagons-lits. — Tout est permis ! dit Koen en riant. Même dans les compartiments où il n’y a que des hommes. Santé, Messieurs ! — Santé, Monsieur ! dirent les jumeaux en chœur. Ils trinquèrent. — Je ne me suis pas présenté, Koen Grotelul, étudiant en médecine. — Étudiant en médecine ? Ça en jette. Nous ne sommes que des gymnasiens, je m’appelle Sacha Belosselski-Belozerski, à moins que je sois Vania. — Et moi Vania Belosselski-Belozerski, à moins que je sois Sacha. — Vous venez d’URSS ? — Ancienne noblesse russe, nos grands-parents ont fui la Révolution d’Octobre et se sont réfugiés en Allemagne. — Pourquoi avez-vous dit : « à moins que je sois » ? — Parce que personne ne sait qui est Sacha et qui est Vania, nous changeons constamment nos rôles, expliqua Vania à moins que ce fût Sacha. Même notre mère n’y arrivait pas sans le détail qui nous différencie. — Il y a quelque chose pour vous différencier ? — Penses-tu qu’on peut le dire au monsieur ? — Je le pense, il a l’air sympathique. Voilà, Sacha a un grain de beauté et pas Vania. — Il faut donc nous déshabiller pour savoir lequel est Sacha. — On peut ensuite déduire que l’autre est Vania. — Intéressant, dit Koen. Je vais prendre des notes. Il sortit son carnet de son sac et demanda : — Pourriez-vous me dire à quel endroit vous avez ce grain de beauté ? — On peut le dire au monsieur ? — Ce n’est pas un endroit très décent… — Ce monsieur est médecin, il doit savoir ce que c’est. — Tu as raison. Vas-y. — Non, je n’ose pas, vas-y. — Eh bien, Monsieur Grotelul, c’est un organe qu’on utiliserait avec la Madone des sleepings, pour lui faire l’amour. — Sous le prépuce pour être plus précis, et, comme nous ne sommes pas circoncis, il faut nous décalotter pour constater la présence ou l’absence du grain de beauté. — Passionnant ! fit Koen. Il griffonna le schéma d’un gland dans son carnet, il ajouterait l’emplacement du bouton plus tard. Il proposa ensuite : — Je commande une deuxième bouteille ? — Non, fit Sacha ou Vania. Nous sommes fatigués, nous étions inquiets avant de faire ce grand voyage et nous n’avons pas bien dormi la nuit passée. C’est la première fois que nous sommes dans un wagon-lit. Vous nous direz comment ça se passe ? — Avec plaisir, dit Koen. Je vous propose de vous déshabiller puis de faire un petit pipi avant de dormir, il y a un pot de chambre sous le lavabo. — Nous déshabiller ? s’étonna Sacha qui pouvait aussi être Vania. Tout nus ? — Je crois que nous avons oublié de prendre nos pyjamas, dit l’autre, ils sont dans la valise qui est dans le fourgon. — C’est juste. Tu penses qu’on peut montrer nos zizis au monsieur ? Ou on laissera nos slips ? — Si tu veux faire pipi il faudra sortir ton zizi. Le monsieur est médecin, il en a déjà vu beaucoup. Et il voudra peut-être voir qui a le grain de beauté. — Je suis seulement étudiant, fit Koen, mais vous avez raison, j’en ai déjà vu beaucoup, cependant jamais ceux de jumeaux monozygotes. — Tu vois, dit l’un des frères, ce monsieur connaît des mots savants. On peut lui faire confiance. — Je me pose encore d’autres questions à votre sujet, ajouta Koen, par exemple votre taille, avez-vous la même ? — Oui, 1 m 75. — Je pense que le monsieur parlait d’une autre taille. — Tu m’étonnes… La taille de quoi ? — De nos zizis. — C’est vrai, Monsieur Grotelul ? La taille de nos zizis vous intéresse aussi ? — C’est juste pour voir si elle est exactement la même, dit Koen. Ce sera utile pour mes études. — Aussi lorsqu’ils sont très durs ? — Surtout lorsqu’ils sont très durs. Sacha demanda à son frère, ou l’inverse : — Tu crois qu’on peut faire ça pour le monsieur ? Lui montrer nos zizis très durs ? — Puisqu’il n’y pas de Madone des sleepings, ça remplacera. — Alors, on pourra aussi lui montrer qu’on est télépathes. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 16-01-2022 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! C'est une très bonne idée que de voir ainsi arriver les jumeaux dans le récit. Ça donne à Koen l'occasion de voir des pénis de jumeaux monozygotes! Puis cette façon de faire entre jumeaux, changer entre eux de prénom pour que la troisième personne ne sache plus qui est qui! Merci pour ce bon moment de lecture! Très bon dimanche! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 16-01-2022 (16-01-2022, 11:03 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Les jumeaux seront un excellent « sujet d’étude » pour Koen. Ils sont un peu spéciaux avec leur habitude d’échanger constamment leurs prénoms, mais ils semblent prêts à accepter de se déshabiller devant lui, et même plus. Le contraire aurait été étonnant dans l’un de mes récits… J’ai cependant essayé de mettre un peu d’originalité dans les dialogues afin de ne pas faire un copier/coller du voyage précédent. On verra ce que ces jumeaux cachent derrière leur naïveté et leur télépathie. Je trouve que ce sont des êtres fascinants, comme les frères Bogdnanoff morts à quelques jours d’intervalle, comme si l’un ne pouvait plus vivre sans l’autre (je précise cependant qu’ils ne m’ont pas servi de modèle). Je te souhaite un bon dimanche et t’embrasse. Daniel |