Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-06-2021 Sixième lama, ''Région de xxx. Suite au décès de mon grand-père, donne Lamas, contre bons soins. Me contacter en MP'' C'est la petite annonce que j'avais vu sur Facebook qui m’avait interpellé. Longtemps j'avais hésité à prendre un chien ou un chat mais ce n'était pas vraiment ce à quoi j’aspirai et ma vie ces dernières années avait été un peu chaotique. Depuis peu, je voulais un animal de compagnie sortant de l’ordinaire. Mais une petite présentation s’impose : je suis Camille, un garçon de vingt-deux ans et je vis dans ce qui fut autrefois une jolie propriété bourgeoise, belle maison et ses dépendances, entourée d'un grand parc et d'un haut mur qui en fait le tour. C'est d’ailleurs tout ce qu’il reste de la fortune familiale. mon père, après avoir tout perdu au jeu, s'était pendu, voilà six mois. Une chance, il n’avait jamais eu aucun pouvoir sur la propriété, ni sur la petite rente que ma mère m'avait légué trois ans plus tôt, ayant été emportée par la maladie bien trop jeune. J’occupe depuis la maisonnette du gardien à l'entrée de la propriété. J'ai dû louer la maison pour payer les impôts et différents arriérés – merci papa. Ça me laisse quand même une bonne marge et ça me permet de vivre sans rien faire. Enfin, rien faire c'est vite dit. Je dois entretenir l’ensemble sinon ça coute un bras ! Mais le jardinage, ça, ça me saoule grave. Du coup quand j'ai vu cette annonce ça a tilté dans ma tête. Le lama allait être mon animal et tondre pour moi ! J'ai donc envoyé un MP à l'auteur de l'annonce qui m'a rapidement répondu. Il était ok pour m'en donner un mais, avant son oui définitif, il voulait voir où celui-ci allait vivre. Je lui laissais mon tel et sortais voir s’il y avait du courrier, l’heure du facteur étant passée. Mon téléphone sonna, avant que je sois arrivé à la boite. Une voix grave et rauque se fit entendre : – Bonjour, je m'appelle Thomas, tu viens de m'envoyer ton tel pour le lama. C’est pour prendre un rendez-vous. – Ah, salut Thomas, moi c'est Camille. Bin écoute, tu veux passer quand pour voir et donner ton accord ? – Aujourd’hui, en début d'après-midi… ça t’irait pour quatorze heures ? – Oui pas de souci. Je t'envoie l'adresse par SMS. Il était déjà onze heures. S’il fait propre chez moi, j'avoue être assez bohème et le savoir. Donc, je rentrait à la maison fissa et ma pensée fut « Oups, je suis carrément bordélique en fait ! » Je rangeai à la vas vite et superficiellement, ma maisonnette. J’avalai un bout sur le pouce puis allais prendre une douche rapide et mettre un training propre. Je finissais juste quand mon tel se mit à sonner. Thomas, il était à la grille. Je regardai par la fenêtre et je vis un mec assez balèze sur une grosse cylindrée. Enfin, j’ai vu la silhouette du gars. Parce qu'un casque intégral cachait ses traits et un solide blouson en cuir emballait son buste. Je lui ouvris le portail. Il avança et se gara devant la porte de la maison. Il me tournait le dos. Il descendit de son gros cube et le mit sur la béquille. Son jean moulait son cul à la perfection et quand il se retourna mes yeux se posèrent sur un paquet qui avait l'air bien garni. On devinait aisément qu'il portait à gauche et ses couilles y étaient bien moulées, comme s'il n'avait pas de sous-vêtement. Il quitta son casque et là, le choc ! Je m'attendais à un mec plutôt proche du quadra… ce n’en fut pas le cas. Plutôt proche de ma tranche d’âge et avec une gueule… fort sympa, mélange de virilité et de douceur. Et un sourire, je ne vous en parle même pas. Il quitta ses gants qu'il mit dans son casque et posa le tout sur la selle de la moto. Il s'approcha de moi tout sourire. – Salut Camille, enchanté de te connaître. Tu as l’air étonné ! – Heu ! Salut Thomas, à la voix je m'attendais à un mec plus vieux. – Je fais plus jeune que mes trente-cinq ans ? Non, je déconne ! Malgré mon timbre de baryton, je n'ai que vingt-trois ans. Bon, voyons directement pourquoi je suis venu. Tu vas le mettre où le lama ? – Ici, dans le parc. Il ne risque pas de s'échapper le mur fait le tour de la propriété. Et, là, cette cabane en bois, ça sera sa maison. – On peut faire le tour ? – Tu veux pas boire un café avant ? – Non, fais-moi visiter, on le boira au retour. On fit la tournée et à première vue Thomas semblait satisfait. Il accepta ma proposition de boire un café. Je le fis entrer et il s'installa d'office sur le divan pendant que je préparais le chaud breuvage. En ce début d'automne, il faisait humide et le poêle tournait à fond, diffusant une agréable chaleur. Thomas quitta son blouson et dessous, il ne portait qu'un tee-shirt blanc. Il avait des pecs de ouf sans parler de ses bras et de sa silhouette en V plus que majuscule. Il s'appuya au dossier et écarta les jambes pour être plus à l'aise je pense. J'apportais les cafés et je m'assis dans le fauteuil en face de lui. Demandant ce qu’il prenait. – Rien, merci ! Noir et je ne sucre pas. – Comme moi, facile à retenir. – Tu fais quoi dans la vie, Camille ? Je lui résumais en quelques mots ma situation et lui me parla de la sienne. Il était étudiant et avait encore deux ans à faire pour terminer ses études. Il vivait à une dizaine de kilomètres d'ici. La mort de son grand-père l'avait fortement éprouvé et la séparation avec les lamas était son dernier crève-cœur. C'étaient une lubie de son grand-père et lui aussi, s’y était attaché mais comme il ne pouvait pas s'en occuper, il s'était décidé à les donner. Et dans la foulée, il me dit que j'étais l'un des heureux élus. Continuant la causette, il s'étira et posa ses bras loin derrière lui. D'un côté il y avait un tas de cousins et sa main glissa au milieu d’eux... et remonta en tenant un trophée ! « Merde, putain c'est pas vrai mais quel con je suis. Je l’ai oublié, celui-là ! » Et justement, Thomas l'avait trouvé. Il le tenait en main et souriait. Moi, j’avais surement pris des couleurs ! – C'est ta copine qui l'a oublié ? – Non, c'est le mien. – Tu es un adepte du pegging ou tu es gay ? – Tu connais ce mot toi ? C'est assez étrange pour un hétéro. – Ah bon ! Pourquoi ça ? Et qui te dis que je suis hétéro ? – Je ne sais pas, une impression, ta gueule virile, la moto, ton look cuir, ton jean, ta façon de te comporter et de parler. Il éclata de rire avant de me répondre. – Si je faisais comme toi ; à ton look, je dirais que tu es hétéro et vu l’instrument que je tien, un amateur des plaisirs prostatiques. Mais est-ce bien le cas Camille ? – Pas vraiment non. J'ai eu mon époque hétéro et pour être franc, ça n'a pas été une réussite. Puis j'ai eu une courte période bi/libertin qui elle non plus, n'a pas été inoubliable, sauf qu’avec un couple ça m’a permis de comprendre que baiser avec un mec me stimulait plus que de baiser avec une meuf. Du coup, j'ai essayé juste avec le mec et là ça a été le pied total. On a remis ça plusieurs fois et dans tous les sens, j'ai trop kiffé. – C'est ton copain maintenant ? – Non, c'était pendant les vacances. Il m'a fait cadeau de son jouet pour continuer à m’entraîner, il voulait s’en racheter un plus grand. Et j'avoue que j'aime bien ça même si ça ne vaut pas une bonne queue. D’en parler, ça m'avait collé la trique et ça ne passait pas inaperçu sous mon jogging que je portais, comme toujours, cul nu. Bon, il n'était pas parti en courant, ne m'avait pas traité de PD et ne semblait pas vouloir m’assommer. C'était déjà ça. Tomas se leva et s'approcha de moi, l’œil brillant. Lui aussi devait avoir eu un coup de chaud, parce que sous son jean, sa queue formait une grosse barre le long de sa hanche. Quand il fut près de moi, je posais ma main sur son barreau et je commençais à le caresser à travers son pantalon. Il grossit encore un peu et une tâche de mouille commença à percer. Je défis son ceinturon et fis sauter un à un les boutons de son 501. il ne portait rien dessous comme je l'avais pressenti. Sa queue m'apparut dans toute sa splendeur et je ne pus que la gober pour lui rendre hommage. Thomas me laissa faire un instant en me caressant les cheveux. Puis il se retira, me fit lever et on alla s'installer sur le canapé. Il en profita pour nous mettre torse nu. Je repris ma fellation pendant qu'il me caressait le dos d'une main et de l'autre il flattai mon sexe en le masturbant au travers de mon jogging. Il me stoppa à nouveau et nous fit quitter le reste de nos vêtements. Ce fut lui qui vint me sucé…un expert. Mais j'avais trop envie de sa queue aussi. On se fit jouir en 69 et avec une bonne grosse pelle, on partagea nos spermes. On se câlina un peu, le temps de récupérer nos souffles. Finalement, il me dit : – On s'habille et on y va ? – Hein ! Où ça ? – Mais récupérer ton lama, bien sûr. Tu dois le choisit ! – Oh merde, j'étais trop bien dans tes bras. Ça faisait une paye que je n'avais plus touché à un mec, du coup je l’ai un peu zappé. (puis j’espérais remettre le couvert, après cet amuse-gueule) On s'habilla et je le suivis en voiture. Il me fit entrer chez lui et d’autres personnes vinrent nous rejoindre presque aussitôt, venus d’une ferme pédagogique tout à côté, ils avaient eu la primeur mais ne pouvaient tous les prendre. Quand on alla voir les lamas une chose bizarre se produisit. L’un d'eux se détacha du groupe et se dirigea droit sur moi, comme s'il m’avait choisi. La photo que vous voyez là c'est la première que j'ai faite de lui. Au loin on voit les voisins qui partent avec les leurs. – Si tu veux, il y a une remorque avec laquelle mon grand-père les trimballait. Je peux prendre son fourgon et y atteler la bétaillère comme ça je te l'emmène jusque chez toi. – Ça serait cool et moins traumatisant pour lui que de le charger dans le coffre de ma voiture ou moi de faire le trajet retour à pied. – Ok, donne-moi cinq minutes, le temps de prendre un truc et je reviens. Il disparut en courant vers l’habitation et en revint avec un sac à dos. On attela la remorque et mon lama - qui s'appelait Louis - y grimpa sans difficulté. On le lâcha dans le parc de la propriété et il partit en exploration. On le regarda faire un moment puis je proposai de se mettre au chaud. Thomas prit son sac à dos dans son véhicule et on rentra. Il s'installa sur le canapé et me fit signe de venir m'asseoir à côté de lui. Il l'ouvrit et commença à sortir ce qu'il contenait. Je n'étais pas le seul à aimer les jeux de godes. On les essaya tous, chacun à son tour mais on tomba d'accord sur un truc. Rien ne vaut un partenaire bien vivant, avant, pendant et surtout après pour les câlins ! *** Louis, le lama, et moi on se porte très bien, après plus de trois mois de cohabitation. Lui, surtout depuis que des compagnes sont venues le rejoindre. Et moi, car Thomas passe – trèèèès -souvent prendre de leurs nouvelles et reste de plus en plus pour la nuit. Y'a pas à dire, rien ne vaut une bonne grosse queue pour rester en forme ... Et pratiquer le lama-soutra en ‘namoureux’ ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-06-2021 J’ai ronronné de plaisir à la 'silhouette en V plus que majuscule' Puis au cinéma que Thomas fait innocemment pour le chauffer, et le lapsus de Camille sur le café noir ‘facile à retenir’ alors qu’ils ne sont pas censés forcément se revoir (¬‿¬) Ca a ses avantages d’être bordélique, on perd des trucs, mais on en (re)découvre d’autres Je chipote un peu, mais pour qq occurrences, le passé simple aurait p-ê été préférable à l’imparfait, pour la cohérence, la concordance de temps, toussa, mais bon, c’est juste un détail… ¯\_(ツ)_/¯ Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-06-2021 Coucou les gens, Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" : 1 - [member=54]fablelionsilencieux[/member] 2 - @ Lange128 3 - [member=168]lelivredejeremie[/member] 4 - [member=206]gaetanbg[/member] 5 - [member=87]Louklouk[/member] 6 - [member=206]gaetanbg[/member] (bis) [member=54]fablelionsilencieux[/member], c'est ton tour, nous attendons ta photo ! La voici : Petit clin d’œil à un auteur fécond du site ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 30-06-2021 Petit retour dans les prairies d'Outre-Quiévrain et les curiosités idoines qu'on y peut admirer, curiosités nanties de deux ou quatre pattes (N.B : 3 pattes, c'est plus rare...sauf pour certaines voitures de chemin de fer un peu anciennes ayant un essieu au centre du châssis). Cette histoire me fait ressouvenir d'un fait que j'ai vu un beau matin d'août 1977, à Jard-sur-Mer, dans le "85". Nous avions passé, en cette cité natale du "Tigre", un certain Clemenceau, la nuit chez des amis. Au réveil, je pars en voiture avec Christian, l'ami, afin d'aller faire emplette de pain frais. Nous parvenons dans la rue principale et là, que voyons-nous, à une vingtaine de mètres : un lama! Loin du Tibet ou de la Cordillière ("Cordillera de los Andes"), j'ouvris de grands yeux et sortis en trombe du véhicule, bras écartés, bien décidé à barrer le chemin à cet inhabituel animal que j'imaginais bien échappé d'un petit cirque. Avait-il arraché le piquet le retenant dans un pré? je l'ignore. Mais mon mouvement de bras fut suffisant pour faire pivoter le cher animal qui s'en vint à faire demi-tour. Amateur des aventures de Tintin, j'échappai ainsi à la probable douche qui me serait échue sans aucun doute. Finalement, un jeune employé du cirque parvint à remettre le licol au quadrupède et me remercia. Mais je ne fus pas invité au "Péquet" ce matin-là. Dommage : il n'était pas mal, ce jeune gars...! Bien à vous et merci à M. L'auteur, amateur de bulles ligériennes, que je salue ici tout spécialement. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 30-06-2021 Premier scout, Paris, le 9 Juin 2021 Mon cher Jean, Le déconfinement ayant permis la réouverture des commerces non essentiels, ma promenade quotidienne, après être allé voir la progression des travaux de restauration à Notre Dame, m'a conduit sur les quais où les bouquinistes avaient aussi rouvert. Je n'ai rien trouvé de bien transcendant niveau livres, mais je suis tombé sur un fusain qui m'a rappelé notre jeunesse. Il s'agit d'un fusain représentant trois scouts qui prêtent serment au drapeau. On aurait dit nous, le fameux jour où tu m'as fait prêter serment au drapeau, aux scouts et si ma mémoire est bonne au Maréchal aussi. Je me souviens encore comme si c'était hier de notre premier camp en Lozère. C'était juste après la guerre, mais je ne me souviens plus si c'était en 1947 ou 1948. Comme tu peux le voir ma mémoire défaille parfois. Mais je me souviens de ce camp et de ce que nous y avons fait comme si c'était hier. Je me souviens de notre première rencontre quand, au mois de Juin, ma mère m'a inscrit alors que je n'avais pas envie d'y aller. Je me souviens aussi de nos premiers week-ends où on sillonnait les rues de Paris en trainant une charrette à bras pour récupérer les métaux non ferreux. Puis ce fut le jour du départ pour un camp qui devait durer un mois et où nous devrions aider les paysans à moissonner. Je me souviens de notre arrivée dans cette petite gare au milieu de nulle part. Je me souviens aussi de Pierre et toi qui m'apprenaient comment monter une tente où nous devions coucher tous les trois. Ça avait été une première pour moi, le petit bourge du seizième, de me retrouver en pleine campagne. Ça avait été aussi une première pour moi d'aller me laver à la rivière et de devoir me mettre nu devant tout le monde. Je savais déjà que les garçons me plaisaient mais à part les tableaux et les sculptures du Louvre, je n'avais jamais eu l'occasion de voir d'autres garçons nus. Et pour être franc, Pierre et toi vous étiez mes favoris. Je me souviens de notre première nuit où tous les trois en slip on dormait sur notre couverture, tellement il faisait chaud, de la lune qui éclairait vos corps parfaits et moi qui ne regardait que vos slips blancs gonflés. Je me souviens aussi de vos murmures, de vos coups d'œil vers moi et quand finalement j'ai fait semblant de dormir, vous, vous êtes rapprochés, ensuite je vous ai vu vous embrasser tandis que vos mains fouillaient le slip de l’autre. Vous les avez quitté et vous vous êtes masturbés mutuellement. Puis je t'ai vu descendre vers le sexe de Pierre et je t'ai vu le sucer. Et Pierre qui t'a rendu la politesse. Puis vous vous êtes allongés et chacun masturbait l'autre en veillant à jouir ensemble. Ce que vous avez réussi à faire. J'ai attendu que vous soyez endormis pour me masturber à mon tour et je n'avais jamais connu une jouissance pareille. Mais, ce que je ne vous ai jamais dit, ni à Pierre ni à toi, c'est que, pendant que vous dormiez nus, j'en ai profité un peu pour vous toucher. J'avais tellement peur de vous réveiller que je n'ai pas insisté. Mais ce dont je me souviens le mieux, c'est de la première nuit, où quelques jours après notre arrivée, vous m'avez inclus dans vos jeux. Tout le jour, Pierre et toi vous m'avez chauffé et quand on est allé se baigner vos mains qui par mégarde touchaient mon sexe ou mes fesses alors que jusque-là ça ne s'était jamais produit. Ensuite, de ce jeu stupide et cousu de fil blanc pour qu'on se retrouve nus tous les trois dans la tente fermée alors qu'on y crevait de chaud. Puis des gages qu'on se donnait. Et toi, qui a fait exprès de perdre un pari stupide et qui m'a sucé pour la première fois. Enfin, moi, qui ait du vous branler et vous faire jouir en même temps. Je me souviens aussi de vous faisant toute mon éducation, de mes premières sodomies en actif puis en passif et finalement de nos échanges avec d'autres garçons comme nous. Tu vois comme quoi un simple fusain a remis un peu de piment dans ma vie. Je l'ai fait encadrer et maintenant il trône à la place d'honneur dans mon salon en souvenir de notre heureuse jeunesse, pour moi qui n'aie pas eu le courage de vivre ma vie comme Pierre et toi vous l'avez fait. Parfois je regrette de ne pas avoir eu le courage de faire comme vous. Mais quand mes petits enfants viennent me rendre visite je me dis que finalement je n'ai pas eu une vie si malheureuse que ça. Je t'enverrai par mail un scan du fusain. Je te renouvelle mon invitation à monter me voir à Paris quand tu voudras. Je sais que le décès de Pierre t'a fortement éprouvé mais vivre dans le passé n'a rien de bon. Je t'embrasse Marcel Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 30-06-2021 C’est tendre et nostalgique Les petits gestes volés, qu’on a parfois le remord d’avoir posés (p-ê avec l’approbation muette du receveur) ou le regret de n’avoir pas l’avoir fait, avant que l’image cent fois répétée en esprit commence à prendre consistance… Mais aussi, la conclusion est très vraie, je suppose, le souvenir de nos envies d’ados ne sont souvent que ce qu’on en a retenu, et leur influence sur notre vie, ce qu’on s’est autorisé à en faire, question de choix, partout et toujours, ils sont faits, c’est passé, on n’y changera plus rien ¯\_(ツ)_/¯ Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 01-07-2021 "In memoriam" pourrait s'intituler ce joli texte. Le "jeune" Marcel a dû naître vers 1930 puis devint scout en 41 ou 42. Il aurait donc 17 ou 18 ans lors de ce premier camp. Il est vrai qu'en ces «époques reculées» où il n'était absolument pas question que papa ou maman parle "de sexe" à son garçon, nous étions bien obligés de faire appel à nos imaginations ou avoir recours à des "plus grands"-qui parfois n'en savaient pas beaucoup plus que nous "les plus petits"- pour avoir quelques bribes de réponses à nos questions. Il fallait donc...s'entraider, si j'ose dire, entre gars! Merci pour ce premier texte. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 02-07-2021 Second scout, Mon sphincter était encore contracté par le plaisir, son gland a fait plop en le passant. Ou je l’ai imaginé… Ce que je n’ai pas rêvé, par contre, c’est l’orgasme le plus intense que j’aie jamais connu ! Et dire que j’ai failli manquer ça, mais aussi, faut dire que l’enjeu était un peu risqué. Guillaume n’est tellement pas mon type de garçon, déjà physiquement, pas très beau, encore plus petit que moi, le gay le plus mal fringué de l’univers… Puis OK, je sais que la prostate n’est pas à hauteur du nombril, mais il n’y a pas que là que ça se joue, j’aime me sentir entièrement… rempli… possédé, et si personne n’apprécie quand ça tape au fond, même si c’est rare, 13 centimètres, hein… Il n’a éveillé mon intérêt qu’à la mention de son épaisseur. Alooors, 15 divisé par 3,14, avec un gland encore plus large, m’avait-il assuré… O-hooo ! Après, il n’est pas très intéressant, zéro culture, aucune conversation… Après avoir matché sur grindr, je me suis virtuellement tassé quelques vertèbres à supporter seul presque tout le tchat sur messenger, et s’il y a un truc que j’aime autant que pratiquer le sayxe, c’est d’en parler. Mon pari hasardeux, c’était qu’un mec aussi nul à la verticale devait au moins être un bon coup à l’horizontale, mais qu’au pire, je le retournerais sur le matelas pour trouver moi-même mon plaisir, je ne m’étais finalement pas posé trop de questions, juste une, en fait, en attendant qu’il arrive, plug ou pas plug ? - Bien ?" a-t-il sobrement demandé, en nouant le préservatif, alors que j’essayais de calmer le tremblement de mes jambes encore convulsivement écrasés sur ses hanches il y a trente secondes, pendant les huit ou dix minutes où il a pilonné mon rectum de son membre épais à un rythme stakhanoviste, avant que je me décide de précipiter la fin de cette douce torture, les doigts serrés sur ma hampe, mon pouce humide de salive tournant sur mon fruit mûr. - Bien ? Putain, mec, t’as pas remarqué ? - Petits bruits… mignon… tu simulais pas ? En me demandant s’il avait déjà prononcé une phrase complète de dix mots, je me suis tourné vers lui pour le regarder, incrédule. - D’habitude, il me faut bien cinq minutes pour que le plaisir pointe le bout de son nez, et là, presque directement… Et je sais pas si c’est la forme de ton gland, mais le mien a très vite suinté tant de présperme que je me suis demandé si je pourrais encore éjaculer, et regarde, je m’en suis mis partout" ai-je glapi, étonné par la quantité de semence qui recouvre mon torse. "T’es un dieu du pieu, c’était la putain de meilleure baise de ma vie, j’ai eu plus de plaiz’ qu’avec mes trois derniers dates cumulés." - Vrai ?’’ a-t-il murmuré. Même pas 'vraiment', non, juste 'vrai', il est aussi un champion de l’économie de mots, lui. - Parole de scout ! - Scout, toi ? Moi aussi. - Mon totem, c’était bonobo" ai-je menti, en me disant que l’allusion lui passerait au-dessus de la tête, et m’amusant de sa candeur que j’avais très vite soupçonnée. "Mais je n’ai fait que le weekend d’initiation, c’était pas une expérience très concluante au final." - Oh ?" s’est-il étonné, me faisant penser que j’avais peut-être capté son attention. J’ai voulu continuer à jouer de sa naïveté. - Bah, nan. On a commencé par creuser le trou des toilettes, on a appris un chant scout débile, puis deux nœuds qui me servent tout de même à immobiliser les mecs, le soir on a bouffé des saucisses moitié cramées moitié crues du genre qui te filent une salmonellose et la nuit, j’ai été sodomisé par un des animateurs, alors voilà, quoi… - Hein ? Quel âge ? Ce petit jeu commençait à beaucoup m’amuser, sans que je trace précisément la ligne entre la taquinerie et l’envie puérilement cruelle d’exploser l’image idéalisée, à la limite de l’enthousiasme béat, des émules de Baden-Powell. De combien de membres se compose une troupe scoute, au fait ? Je n’ai pas pu retenir un léger sourire au souvenir de la dernière… activité de groupe à laquelle j’ai participé, avec trois quinquas que j’avais exténués, avant de promettre des rééditions fréquentes de l’exploit, puis – je suis peut-être un peu cruel – de bloquer le profil de celui qui m’avait contacté sur l’appli… Trois mecs, mon maximum, deux plus jeunes et vigoureux, puis un seul comme Guillaume. Ah oui, il faut lui répondre, là. - Quel âge j’avais quand j’ai subi les derniers outrages, tu veux dire ? T’es fâché avec les verbes, toi, non ? Euh, j’avais 14 ans, et lui 23. Pas trop doué pour l’organisation, il n’avait pas de lubrifiant ni de capotes, et à sec, tu vois… Pas plus pour la technique, et heureusement, il répétait en boucle qu’il n’avait jamais baisé de garçon... aussi mignon, ni de cul aussi serré, mais je me demande s’il en avait connu tellement, il a très vite joui. - Ça ne m’est jamais arrivé, il y en a bien eu un qui me regardait bizarrement, il s’était surement paluché en pensant à moi, mais là, c’est dégueulasse, en plus il avait de l’autorité sur toi, tu n’avais même pas la majorité sexuelle, puis vous aviez neuf ans de différence, c’est énorme. Techniquement… légalement, c’était un viol. Oh ! Une phrase complète avec des propositions coordonnées, j’ai dû toucher une corde sensible… - Pourquoi tu t’emballes ?" ai-je dit, en repensant à mon prof d’EPS en troisième, qui avait alors l’âge de mon père. "Bah, ça n’a pas eu que du mauvais, il m’a donné goût aux mecs, surement ça qui m’a rendu gay, en fait" ai-je soufflé, le regard faussement rêveur, conscient de l’hypocrisie de ma réponse. - Mais on ne devient pas gay parce qu’on se prend une bite dans le cul, c’est du grand n’importe quoi ! - Hmmm, je me dis que la tienne pourrait faire changer d’avis quelques hétéros purs et durs" ai-je murmuré en fixant son sexe qui semblait reprendre en taille et en épaisseur à vue d’œil, et en jouant avec son prépuce dont son gland menaçait de jaillir à tout instant. "Et en parlant de dureté, ça ne t’exciterait pas un peu, mes souvenirs du camp scout, dis ?" - Ben, ça reste dégueulasse de sa part, mais… ouais, j’avoue, il avait pas tort sur un truc, je trouve aussi que tu es mignon, tu devais déjà l’être à 14 ans, t’as pas une photo ? Et serré, tu l’es encore, alors avec dix ans de moins... - Arf ! Tous les mecs doivent l’être, pour toi, c’est la plus grosse que je me sois prise, et je me suis fait un Black, ça te situe… Hey ! Ne sois pas gêné, tu rougis toujours avec les compliments ? C’est trop chou… Ecoute, je suis désolé" ai-je dit, étrangement attendri "je dois t’avouer un truc… Je n’ai jamais été scout." - Je savais bien… Je t’ai dit, moi, je l’ai été, et on ne reçoit pas son totem les premiers jours, je voulais juste voir jusqu’où tu pousserais ton petit délire de viol au milieu d’un champ. Alors, comme ça, bonobo, hein…" a-t-il murmuré avec un clin d’œil, avant de poser les lèvres sur ma bouche, ouverte de surprise. "Et dans ton histoire, ton quali, ce serait pas 'insatiable', par hasard ?" - Ça dépend de toi, tu mets combien longtemps pour récupérer ? - Le temps d’une douche pour moi, et de te connecter à facebook pour me trouver une photo de toi à 14 ans. En laissant mon regard courir sur son dos alors qu’il quittait ma chambre, je me suis dit qu’il n’est pas si candide que ça, finalement, ni vraiment taciturne, puis que les autres idées préconçues que je me suis faites à son sujet ne sont peut-être que ça... À creuser. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 03-07-2021 Hier, c'était "In memoriam". Ce soir, c'est «Souvenirs d'enfance un peu arrangés». Et, en effectuant un petit crochet par M. La Fontaine, nous pouvons affirmer, comme maman souris à son fiston : "Souviens-toi, tant que tu vivras, de ne pas juger des gens sur la mine" (Le cochet, le chat et le souriceau,Fables, VI, 5). "Condor bien monté" siérait très bien à ce garçon en guise de totem. Ma foi, pourquoi pas? Cet oiseau titille les cimes des Andes et le gars ne manque pas de "hauteur d'esprit", même s'il ne confond pas travail avec philosophie : chaque chose en son temps! Merci M. L'auteur. Serait-ce Gaëtan? Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 04-07-2021 Hé oui, il n'y en a pas que dans les récits... (de [member=19]Philou0033[/member] ou sur ACSH) Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 04-07-2021 Hmmm... Il n'y a pas d'âge pour s'investir dans une cause, pourvu qu'on ait la maturité de le faire, puis pour pratiquer, l'âge de consentement, on peut le rappeler 8) Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 05-07-2021 Si ce jeune "porteur de drapeau" s'investit également dans d'autres causes où l'humain ou, à tout le moins une partie de l'humanité, est en souffrance (Et il n'en manque pas!), ce sera parfait : l'amour des autres, «du prochain», s'adresse à TOUS, sans distinction. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 05-07-2021 Troisième scout, AU COIN DU FEU Saynète gaye Personnages : AONYX, PAGOPHILUS, SERVAL, MUNGO, scouts de plus de 15 ans afin de ne pas effaroucher les vierges et les modérateurs. ACTE I, scène I Le soleil se couche lentement derrière un paysage de montagnes au fond de la scène alors que le rideau s’ouvre. Côté cour, façade d’un bâtiment sur laquelle est indiqué « Chalet scout des Alouettes », volets fermés. Côté jardin, mât avec un drapeau scout hissé. Au centre, feu de camp avec des braises rougeoyantes. Assis face au public sur des bancs en bois, quatre scouts, en short, torse nu. AONYX : Ouf, la marmaille est couchée, on a enfin la paix. PAGOPHILUS : Je vais vous chercher des bières. SERVAL : Bonne idée, je vais fumer une clope. Serval en offre aux autres, personne n’en veut, il prend un tison incandescent et l’allume. Pagophilus revient avec les bouteilles de bière, ils trinquent. AONYX, parlant à MUNGO : Ça s’est bien passé ton premier jour chez nous et ton premier jour comme chef ? MUNGO : Parfait, merci de votre accueil chaleureux. AONYX : Normal, c’est l’esprit scout qui dépasse les frontières. MUNGO : J’ai bien aimé les serments sous le drapeau, c’était solennel au milieu de ces montagnes. Cela m’a fait penser au serment des trois Suisses. PAGOPHILUS : Tu connais l’histoire ? MUNGO : Je me suis renseigné sur votre pays avant d’émigrer. PAGOPHILUS : Évidemment, les montagnes ça impressionne quand on vient comme toi de Belgique, où le Manneken-Pis est le point le plus élevé du pays… MUNGO : Si j’avais su, je vous aurais apporté de la bière belge, elle est meilleure que votre Corona. Ça ne vous dérange pas d’en boire juste avant de vous coucher ? AONYX : Non, pourquoi ? SERVAL : On dit que la bière empêche de bander. Mungo doit penser qu’on se branle avant de dormir. AONYX : Ça se passe comme ça chez toi aux scouts en Belgique ? Vous vous branliez ? SERVAL : Tu lis trop de récits érotiques. MUNGO : Oui, cela nous est arrivé de nous branler. PAGOPHILUS : Ce soir on ne peut pas, demain c’est la récolte de sperme à la banque. MUNGO : Récolte de sperme à la banque ? PAGOPHILUS : Mais oui, tu ne connais pas Gai-Luron, de Gotlib ? Je l’ai lu chez mon grand-père, il allait avec ses scouts donner son sperme dans une banque. SERVAL : C’était une autre époque. De nos jours on n’oserait plus publier des trucs comme ça. Mungo, tu as ta guitare, chante-nous encore quelque chose avant que nous nous couchions. Mungo chante « Le Privilège » de Michel Sardou en s’accompagnant à la guitare. PAGOPHILUS : Merci, j’aime bien cette chanson. Tu voulais nous dire quelque chose en la choisissant ? Tu es gay ? MUNGO : Oui, je suis gay et j’en suis fier, j’ai pensé que je ne devais pas vous le cacher. Et j’ai vu un drapeau LGBT dans le matériel. PAGOPHILUS : On hissera ce drapeau LGBT à la place du drapeau traditionnel un de ces jours, pour lutter contre l’homophobie et sensibiliser nos jeunes à la tolérance. Tu as eu raison de nous le dire. Je le suis aussi. Ils terminent leurs bières. PAGOPHILUS : Une dernière tournée ? Les autres refusent. AONYX : Je comprends maintenant pourquoi tu voulais bander. Nous devons t’exciter avec nos magnifiques corps. SERVAL : Magnifiques corps… Tu prends tes désirs pour la réalité. MUNGO : Désolé les gars, je ne peux pas faire une semaine de camp sans me branler, mais je sais aussi rester discret, je ne veux choquer personne. PAGOPHILUS : Pour être honnête, nous ne pouvons pas non plus rester chastes, même si Baden-Powell se retourne dans sa tombe. On va d’abord pisser sur le feu pour l’éteindre, comme le Manneken-Pis. Les quatre scouts baissent leurs shorts et leurs caleçons, ils urinent sur les braises, la lumière baisse lentement alors que leurs pénis grossissent, ils se masturbent. Le rideau se ferme. Si le metteur en scène trouve des acteurs prêts à se masturber sur la scène, le rideau peut rester ouvert jusqu’à l’éjaculation. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 05-07-2021 Pas mal du tout, cette saynette digne d'une fin de camp. Et en attendant les "gays-tapants" qui ne vont pas manquer d'agir sous tente, une p'tite "Trappist" ferait bien l'affaire, pour se mettre en bouche tout en préparant une autre plus "corsée"... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 06-07-2021 Je ne connaissais pas la chanson mais, si je n’ai jamais trop vu ma position sur l’échelle de Kinsey comme un privilège, elle est belle (déjà pcq elle me parle bien plus que le 'classique' d'Aznavour… :o ). Ni la BD, en fait, une lacune un peu frustrante, mais il y a p-ê aussi une logique temporelle. Même à 4, je me dis qu’il faut avoir bcp plus d’une bière dans la vessie pour éteindre un feu de camp, mais c’est juste un choix scénaristique du metteur en scène, et une excuse pour leur faire entièrement baisser shorts *et* caleçons, vu que la branlette de groupe traînait un peu dans tous les esprits : Si ce n’était pas clair depuis très tôt, l’auteur se dévoile à la fin, un amateur d’œuvres de théâtre/opéra trop rarement interprétées dans le plus simple appareil ;D |