Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 17-08-2021 Il me semblait avoir publié un nouvel épisode le 14 août. Je ne le retrouve plus, bug informatique ou bug organique ? Le revoici. Chapitre 9 - Promotions (5) Dimanche 16 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald — Tu as dit la queue de Dominique ? s’étonna Franz. — Ma langue a fourché, dit Koen, ce n’est pas ce que je voulais dire. — Tu ne te trompes jamais, je me demande… C’est bien égal, cela ne me regarde pas. Tu as déjà vu ma queue, il me semble. — Ouais, mais pas quand tu bandes. Franz demanda le silence en faisant tinter un verre avec un couteau et déclara : — Je résume pour ceux qui n’auraient pas suivi. Koen désire organiser un concours de masturbation, seules les personnes qui veulent participer seront admises dans le dortoir. Vous pourrez y passer la nuit, mais je demanderais à ceux qui se lèvent tôt demain matin pour rentrer chez eux de retourner dans leur chambre pour ne pas réveiller ceux qui feront la grasse matinée. — Veinards ! dit Hiroshi, je suis sûr qu’ils recommenceront le matin. — Ils devront nettoyer le dortoir et changer les draps. Je laisse Koen vous donner les règles du jeu. — Merci, fit le Néerlandais, ce sera de la masturbation, vous pourrez la faire seuls ou mieux à deux, je propose même de ne pas la faire avec votre partenaire habituel. Pas de fellations ou de pénétrations sous peine de disqualification, vous aurez cependant le droit de toucher d’autres zones érogènes que le pénis. Tous seront entièrement nus pour être sur un pied d’égalité. Le gagnant sera celui qui tiendra le plus longtemps avant d’éjaculer. Je serai l’arbitre unique et mes décisions seront sans appel. — Et il gagnera quoi le vainqueur ? demanda Laertes. — Un bon pour des massages érotiques de la prostate une fois par mois pendant toute l’année scolaire. — Et qui les fera ? — Moi, évidemment. Rires dans l’assemblée. — Pas d’autres questions ? s’enquit Franz. Non ? Rendez-vous dans un quart d’heure à l’entrée de l’école. Profitez de vider vos vessies avant. Et j’aimerais que vous portiez la vaisselle sale à la cuisine avant de quitter la salle. Dominique se rendit aux seules toilettes pour dames de l’école, près de la salle de bal. Daniel et Yanis accompagnèrent Frédéric et Koen à l’étage pour se soulager. — Je préfère celles-ci car les pissoirs n’ont pas de séparation, dit ce dernier. — Tu veux en plus me voir pisser, fit le fleuriste. — Simple curiosité, tu sais que je désire devenir urologue. — Non, je ne savais pas. Yanis se prêta au jeu, il en profita pour mater aussi ses voisins, d’habitude il n’osait pas et regardait droit devant lui. Dominique et Daniel sortirent prendre l’air, d’autres élèves les rejoignirent. — Vous restez ou vous allez dormir à l’hôtel ? demanda Frédéric. — On reste, dit Dominique, ça m’est bien égal qu’ils découvrent que j’ai un pénis. Je ne me suis pas cachée chez les hippies. — Et j’ai envie de branler mon cousin préféré, ajouta Daniel. — Et toi, Dom. Tu as envie de branler qui ? Franz ? — Je préférerais le pianiste Alexandre. — Bon choix, fit Koen, il a une grosse queue. — Tu l’as déjà vue ? — Tu devrais plutôt lui demander quelles queues il n’a jamais vues, dit Frédéric. — Tu viens aussi ? demanda Frédéric à Philippe. — J’hésite, ce serait la première fois. — La première fois que tu te masturbes ? s’étonna Koen. — Non, je voulais dire la première fois avec quelqu’un d’autre. — Même pas avec ton compagnon de chambre ? — Kenneth n’est pas homosexuel, il ne m’a jamais proposé de le faire ensemble. — Tu aurais dû nous le dire, fit Koen, nous t’aurions invité avec grand plaisir dans notre chambre. — Ne t’inquiète pas, dit Yanis qui écoutait la conversation, pour moi c’est aussi un plaisir solitaire et je suis vierge. On le fait ensemble, Philippe ? — Euh, oui, merci. Cela me rassurera. C’était l’heure, Franz conduisit les participants au concours au dernier étage de l’école. Deux dortoirs étaient aménagés dans les combles. Ils étaient inutilisés pendant les cours d’été car il y avait assez de chambres doubles. Il avaient six lits de chaque côté. — Si j’avais su, fit Koen, je n’aurais pas pris une chambre et je dormirais ici. Mes parents auraient fait des économies sur l’écolage. — Et moi, alors ? Tu m’aurais abandonné ? s’étonna Frédéric. N’oublie pas que nous pouvons faire des choses plus osées que des branlettes dans notre chambrette. Il n’y a pas que des gays qui étudient, ils pourraient être gênés de voir deux hommes qui baisent. Les deux cousins se mirent au fond, l’un en face de l’autre, près de la fenêtre qu’ils ouvrirent pour aérer. Philippe et Yanis se placèrent devant les lits suivants. Après une discussion entre eux, Hiroshi forma un couple avec Peter, Laertes avec Stefan. Dominique demanda à Alexandre si elle pouvait le masturber. Il répondit qu’il n’avait jamais fait l’amour à une femme mais qu’il acceptait volontiers. Tous attendaient la décision de Franz qui finit par dire : — Je m’étais promis de ne jamais avoir de relations sexuelles avec les élèves, mais, comme le cours est officiellement terminé depuis hier, je vais faire une exception. Je resterai cependant seul dans mon coin, il me semble d’ailleurs que vous avez tous trouvé un partenaire. Je banderai à part et je ne participerai pas au concours. Plusieurs élèves applaudirent. Franz éteignit la lumière et alluma une veilleuse. Koen nota quelque chose dans son carnet et prit la parole : — Je vois que vous êtes tous venus, en particulier Dominique, ce ne doit pas être facile pour elle. Je vous remercie et vous dit merde, comme au théâtre. Le concours débutera lorsque vous serez tous nus. Vous avez deux stratégies, soit branler énergiquement votre partenaire pour le faire juter avant vous ; soit, au contraire, une stratégie de couple où vous essayez de tenir le plus longtemps possible les deux avec des caresses très douces. J’ai du gel pour ceux qui préfèrent. — J’ai encore une question, dit Stefan, on peut faire autrement que tu as dit ? — Oui, n’oubliez pas que c’est pour nous amuser et ne le prenez pas trop au sérieux. Je m’adapterai et je tiendrai compte du temps pendant lequel vous avez une érection. Koen commença à se déshabiller mais laissa son slip bleu, les autres gardèrent aussi leurs sous-vêtements. — Vous pouvez vous mettre à poil, précisa-t-il. Moi je garde mon slip car je suis l’arbitre. — Tu ne perds rien pour attendre, dit Laertes, on s’occupera de ta bite après, pour ceux qui ne l’auraient jamais vue. — Je pense que tout le monde l’a vue, à part Yanis. Yanis eut en effet beaucoup de bites et de couilles à découvrir lorsque tout le monde ôta son slip. Contrairement aux vestiaires, il n’avait pas à cacher son intérêt pour cette partie de l’anatomie masculine. Et pas de soucis s’il bandait, c'était même le but. Seule Dominique hésitait car elle avait tous les yeux fixés sur elle. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 18-08-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! On aurai raté cette suite si tu ne t'étais pas aperçu qu'elle n'avait pas été publiée! Très belle suite au demeurant! Cette idée de concours de masturbation organisé par Koen avec l'aval de Frantz qui lui-même sera présent sans participer est particulier. Les élèves sont en vacances, les cours étant terminés. C'est pour certain une attente de voir Dominique nu(e) car ils ne "savent" pas comment elle est constituée exactement. C'est Alexandre qui sera aux premières loges! Merci Daniel pour cette suite! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 18-08-2021 (18-08-2021, 08:54 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. L’idée d’un concours est particulière, Koen est un scientifique qui aime bien que tout soit organisé alors que d’autres préféreraient quelque chose de plus spontané et ne vont pas forcément suivre les règles. Ce qui est sûr c’est qu’ils n’hésitent pas à faire des échanges de partenaires, alors que ce n’était qu’une proposition de Koen. L’esprit de Koen doit refléter un peu celui de l’auteur qui l’a créé. Il m’est aussi arrivé de participer à des rencontres entre hommes pour faire des massages érotiques où tout n’était pas permis, pas de fellations ou de pénétrations par exemple. Chacun choisit ce qui lui convient le mieux. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 22-08-2021 J’ai modifié la fin du dernier épisode, je la remets avant de continuer. — Je vois que vous êtes tous venus, en particulier Dominique, ce ne doit pas être facile pour elle. Je vous remercie et vous dit merde, comme au théâtre. Le concours débutera lorsque vous serez tous nus. Vous avez deux stratégies, soit branler énergiquement votre partenaire pour le faire juter avant vous ; soit, au contraire, une stratégie de couple où vous essayez de tenir le plus longtemps possible les deux avec des caresses très douces. J’ai du gel pour ceux qui préfèrent. — J’ai encore une question, dit Stefan, on peut faire autrement que tu as dit ? — Oui, n’oubliez pas que c’est pour nous amuser et ne le prenez pas trop au sérieux. Je m’adapterai et je tiendrai compte du temps pendant lequel vous avez une érection. Koen commença à se déshabiller mais laissa son slip bleu, les autres gardèrent aussi leurs sous-vêtements. — Vous pouvez vous mettre à poil, précisa-t-il. Moi je garde mon slip car je suis l’arbitre. — Tu ne perds rien pour attendre, dit Laertes, on s’occupera de ta bite après, pour ceux qui ne l’auraient jamais vue. — Je pense que tout le monde l’a vue, à part Yanis. Yanis eut en effet beaucoup de bites et de couilles à découvrir lorsque tout le monde ôta son slip. Contrairement aux vestiaires, il n’avait pas à cacher son intérêt pour cette partie de l’anatomie masculine. Et pas de soucis s’il bandait, c'était même le but. Seule Dominique hésitait car elle avait tous les yeux fixés sur elle. Chapitre 9 - Promotions (6) Dimanche 16 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Il y eut quelques exclamations, et aussi quelques sourires, ceux qui savaient déjà, lorsque Dominique enleva d’abord son soutien-gorge, puis sa culotte. Alex avait l’air embarrassé, il réfléchit avant de dire : — Tu es un… travesti ? Une folle, comme on dit vulgairement ? — Pas du tout, je me sens vraiment femme, transgenre, avec un corps d’homme. — Je suis désolé, je ne savais pas. — Tu n’as pas à être désolé, ce n’est pas facile à expliquer, ni à vivre, et j’ai parfois des doutes, Mais je ne pense pas que nous soyons ici pour parler de ma vie. — Je savais bien que Koen ne s’était pas trompé en parlant de la queue de Dominique, fit Franz. On y va ? Je vois qu’ils sont tous à poil. — Oui, dit Koen, c’est parti. Il y eut un moment de flottement, personne ne prenait l’initiative de débuter le concours. Koen alla vers Philippe et Yanis. — Voulez-vous que je vous explique comment on fait pour se branler comme vous n’avez encore jamais eu l’occasion de le faire avec nous ? — Il est toujours comme ça ton ami ? demanda Yanis à Frédéric. — Oui, c’est un cas désespéré, mais c’est pour cela que je l’aime. Vas-y, Koen, explique-leur. — Bien, vous prenez votre pénis dans la main droite, vous vous décalottez et vous appliquez des va-et-vient, normalement cela provoque un afflux de sang et le membre durcit. Les débutants obéirent en souriant et il se passa ce que Koen avait prévu. Celui-ci leur dit d’arrêter, il déchira une page de son carnet, la plaça sur le pénis de Yanis et fit un trait au crayon pour marquer la longueur, il enroula ensuite le papier autour de la hampe, fit un autre trait pour déterminer la circonférence. — Ça va ? demanda le fleuriste, tu es satisfait ? — Dans la moyenne, il me semble. Tu peux continuer à te branler. Koen fit la même chose avec le pénis de Philippe, il constata que celui-ci était légèrement plus long. Il se dirigea ensuite vers Franz. — Je peux aussi te mesurer la queue en érection ? — Non, c’est un secret, je ne voudrais pas que cette information soit diffusée dans le Blick. (NDA Journal suisse alémanique dit « de boulevard », mettant en avant les faits divers, le sexe et le sport. Pendant longtemps il publiait chaque jour la photo d’une femme aux seins nus en page 3.) — Je l’estimerai, elle est moins grosse que je pensais, 16-17 cm. — Comme la tienne. Les deux cousins se rapprochèrent l’un de l’autre en chuchotant : — Quelle stratégie ? demanda Frédéric. — On reste solidaires… répondit Daniel, jusqu’à ce que nous soyons les seuls à n’avoir pas juté. — Tu peux bander aussi longtemps ? Koen a dit qu’il tiendrait aussi compte du temps en érection. — On verra. Ils échangèrent un baiser puis débutèrent par des légères caresses du dos, des fesses, des tétons, avant de se masser mutuellement la bite et les couilles, donnant des idées à leurs voisins qui les regardaient faire. Ceux-ci, qui étaient restés en face l’un de l’autre au pied de leurs lits, se rapprochèrent également. Yanis prit le pénis de Philippe dans sa main. — Tu mouilles déjà, dit le fleuriste, c’est bon signe, je ne te laisse pas indifférent. — Je suis timide, je n’aurais pas osé t’aborder dans d’autres circonstances. — Oui, là on est tout de suite mis dans l’ambiance. J’ai bien fait de mettre mon slip rouge à croix blanche, il m’a porté chance. — Même si tu as dû l’enlever. Philippe débuta des mouvements de va-et-vient sur le phallus de son partenaire. Laertes s’était couché sur un lit, Peter avait demandé du gel à Koen et avait débuté une masturbation énergique dans le but d’éliminer son camarade le plus vite possible ; de même Hiroshi s’était aussi couché sur le lit d’à côté et Stefan s’était saisi de son lingam pour le secouer. Dominique s’était aussi étendue et Alexandre lui caressait très sensuellement le sexe. — Tu ne te sers de tes doigts pas que pour jouer du piano, dit-elle en riant. — Il faut avoir plusieurs cordes de piano à son arc. J’ai été surpris en voyant que tu as une queue. — Je m’en doute. Tu en as deux, la tienne et celle de ton piano. — C’est la nuit des mauvais jeux de mots. Dominique sentait la dextérité du pianiste sur son sexe bandé. Elle ferma les yeux et imagina une mélodie. Alexandre promenait aussi ses longs doigts fins sur le périnée et dans la raie des fesses, elle se demanda si c’était autorisé par l’arbitre. Elle se laissa aller, oublia le concours et éjacula assez rapidement. Koen vint vérifier la présence de sperme, nota la durée dans son carnet et lui tendit un mouchoir en papier, tandis qu’Alexandre alla se laver les mains dans le lavabo à l’entrée du dortoir. Il en profita pour pisser discrètement. Stefan et Peter firent jouir les deux élèves rapidement, ils n’y étaient pas allés de main morte. Après les constatations de Koen, ils inversèrent les rôles, les deux apprentis se couchèrent, se promettant de tenir plus longtemps. C’était entre les deux cousins que l’entente était la meilleure, ils sentaient quand l’autre était près du point de non-retour, ils délaissaient le pénis pour s’attarder sur d’autres zones érogènes. Philippe et Yanis étaient moins expérimentés, le fleuriste ne put se retenir et ses jets de semence inondèrent le ventre de son partenaire et le sol. Philippe, surpris, jouit aussi, la tension pour une première fois était devenue insupportable. Koen avait fort à faire et ne vit pas que Franz avait également éjaculé discrètement dans un mouchoir en étoffe. Dominique masturbait maintenant le pianiste, n’hésitant pas à tricher quand l’arbitre avait le dos tourné, elle léchait rapidement le gland et le frein. Alexandre ne protesta pas et se laissa faire. Stefan et Peter ne purent pas se retenir plus longtemps que leurs tourmenteurs quelques minutes auparavant. Finalement, il ne restait que les deux cousins à ne pas avoir éjaculé, tous les autres les regardaient faire. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 23-08-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite. Oui un petit changement en fin de la dernière suite! Très beau descriptif de cette séance arbitrée par Koen qui ne rate aucune occasion de compléter ses statistiques péniennes. Les deux cousins sont déjà rompus à cet exercice de masturbation mutuelle et emportent haut la main le concours! Il faut noter qu'Alexandre a été surpris par la découverte de Dominique nue équipée de l'attirail masculin. Cela ne l'a pas empêché de prendre du bon temps avec Dom. Merci Daniel pour cette belle suite et ce bon moment de lecture! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 23-08-2021 (23-08-2021, 08:58 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire. J’ai essayé de varier les techniques et positions pour ne pas pas avoir un alignement des participants aux pieds des lits presque militaire, comme les Japonais dans un chapitre précédent. Daniel et Frédéric remportent brillamment le concours, montrant ainsi le lien fort qui les unit. Il est probable qu’ils auraient passé leur vie ensemble s’ils n’avaient pas été cousins, mais cette histoire aurait été terminée depuis longtemps et je n’aurais pas pu créer les nombreux personnages qui les entourent. Mon idée de départ était qu'ils soient confidents, sans avoir forcément de relations sexuelles entre eux, mais l'évolution de mes romans est imprévisible et correspond rarement à l'idée de départ. Je te souhaite une bonne semaine et t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 17-09-2021 Nous voici de retour en Suisse après un passage plus long que prévu au Royaume-Uni, en Angleterre puis en Écosse. Laertes est anglais, je pourrais encore ajouter un nouvel élève écossais à la rentrée, pour que Koen puisse explorer les dessous de son kilt. Ce sera le dernier épisode du chapitre 9. Chapitre 9 - Promotions (7) Dimanche 16 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Les deux cousins réalisèrent qu’ils étaient les seuls à se masturber et qu’ils pouvaient maintenant se laisser aller. Ils accélérèrent leurs mouvements et jouirent en même temps, sous les applaudissements du reste de l’assemblée. Koen les déclara vainqueurs ex aequo. — Je suis fier de Frédéric, ajouta-t-il, c’est moi qui l’ai entraîné. — Ouais, dit celui-ci, on va voir si tu arrives à tenir aussi longtemps. — Moi ? Je suis l’arbitre. — On s’en passera, couche-toi sur ton lit. Koen fut obligé d’obéir et les autres l’entourèrent, sauf Franz qui observait la scène de loin. — Qui veut s’occuper de ses seins ? demanda Frédéric. — Nous, firent Laertes et Hiroshi en chœur. Ils s’agenouillèrent de chaque côté du lit et commencèrent à lui triturer les tétons. — Un fétichiste des pieds ? Personne ? Bon, c’est compréhensible, il ne les a pas lavés. — Je veux bien, fit Dominique. — Tu le chatouilleras, il n’aime pas. Yanis, comme tu es l’invité de marque, je te laisse sa queue. — Tu me fais trop d’honneur. — Ne lui baisse pas le slip tout de suite, il aime bien quand on le caresse sur l’étoffe. Koen s’était tu, finalement ce n’était pas si désagréable d’être entouré par des beaux gosses nus qui s’occupaient de son magnifique corps et il l’avait bien cherché avec sa manie de vouloir examiner tout le monde. Sa bite était déjà tendue dans son slip, Yanis la parcourait méthodiquement, du gland aux couilles. — Tu peux enlever le slip, dit Frédéric, avant qu’il ne soit trop humide. Yanis fit descendre le sous-vêtement jusqu’aux pieds, Dominique le récupéra. — Qu’est-ce que tu penses de sa queue ? demanda l’infirmière. — Je ne sais pas, je n’ai pas beaucoup d’expérience, répondit le fleuriste. — Dis-lui qu’elle est sublime, fit Frédéric, il adore. — C’est vrai qu’elle est belle, dit Dom, et j’ai de l’expérience avec tous mes patients. — Tu les fais tous bander ? s’étonna Alexandre. — Moi, elle m’a fait bander dès mon arrivée à la clinique, dit Daniel, une vieille tradition, soi-disant, faire prendre un bain à tous les nouveaux arrivants. — Seulement aux plus jeunes et plus beaux, comme toi, dit Dominique en riant. Yanis avait pris le pénis dans sa main et faisait des va-et-vient lents et appliqués. — Si tu continues comme ça, on en a jusqu’à demain, fit Alexandre. — Nous sommes déjà demain, dit Frédéric, minuit a passé. — Tu me permets de lui mettre mes doigts dans le cul ? — Autant que tu voudras. Tu n’as pas peur de les abîmer ? — Je profite, je devrais peut-être les assurer un jour et ce sera prévu dans le contrat que je ne devrais plus les mettre n’importe où. Le pianiste s’agenouilla de l’autre côté du lit, en face de Yanis, il prit du gel et en enduisit copieusement la rosette de Koen avant d’enfoncer son index mince et noueux. Koen se taisait toujours. Il se souvenait de la séance d’edging avec Urbain, essayait de se retenir, mais Alex avait enfoncé un deuxième doigt, puis un troisième, et Yanis accéléré la cadence. Le Néerlandais éjacula en de nombreux jets qui atteignirent son torse. — J’ai tenu combien de temps ? demanda-t-il, inquiet. — Je n’ai pas chronométré, dit Frédéric, mais c’est nous qui avons gagné. Frédéric enleva le sperme du torse et du ventre de son ami avec le slip bleu. — C’est l’heure de dormir, fit Franz, bonne nuit ! — Pas de toilette intime ce soir ? s’étonna Frédéric. — Je vous en dispense, certains doivent se lever tôt. Franz sortit. Laertes et Hiroshi prirent congé pour aller dormir dans leur chambre, ils ne se reverraient qu’à la fin des vacances, les deux continuaient jusqu’à l’obtention de leur bac. Stefan partit aussi, il devrait se lever pour préparer le petit déjeuner, servi seulement jusqu’a 9 heures pour ceux qui feraient la grasse matinée, précisa-t-il. Les autres se couchèrent sans remettre de vêtement et s’endormirent rapidement, la masturbation est un bon somnifère. Koen se réveilla à six heures, comme à son habitude. Il se leva, pissa, et, constatant qu’il n’y avait personne à mater dans les urinoirs et qu’il avait la gueule de bois, il se recoucha sans se branler. Les autres se réveillèrent vers huit heures, comparèrent leurs protubérances matinales avant d’aller vider leurs vessies. — Tu organises un concours ce matin ? demanda Peter à Koen. — Je n’ai pas envie, je serais de nouveau obligé d’être l’arbitre. Et vous êtes assez grands pour vous branler tout seuls. — On pourrait faire autre chose, des fellations par exemple ? Je dois approfondir ma relation artistique avec mon pianiste préféré. — Tu n’as pas peur que j’abîme tes cordes vocales ? demanda Alex. — Je profite, je devrais peut-être les assurer un jour et ce sera prévu dans le contrat que je ne devrais plus sucer n’importe quoi. Yanis et Philippe se remirent ensemble pour ce nouvel exercice, les deux cousins aussi, Koen se retrouva avec Dom. Franz entra dans le dortoir pour les réveiller, les observa sans faire de bruit, les envia, ils étaient jeunes et vigoureux alors que lui avait déjà dix ans de plus. Ils semblaient très décomplexés par rapport aux étudiants des années précédentes, étaient-ce les nouvelles idées de libération sexuelle ? Si tous les nouveaux élèves étaient la même chose, il aurait beaucoup de travail pour les clamer, les professeurs n’aimaient pas qu’on dormît pendant leurs cours après avoir baisé toute la nuit. Franz resta, sortit son pénis de sa braguette et se branla. C’étaient les vacances, elles seraient très courtes. Frédéric avait rendez-vous avec ses parents à 11 heures pour monter au Jungfraujoch en train à crémaillère avec Koen, Dominique et Daniel. Ils invitèrent aussi Yanis et Philippe qui avaient envie de faire plus ample connaissance. Il faisait froid à 3’454 mètres d’altitude, ils mangèrent une fondue au fromage. Philippe rentrait chez lui à Paris en train, il promit à Yanis de le revoir à son retour. Koen rentrait aussi chez lui aux Pays-Bas et Frédéric l’accompagnait. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 20-09-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite! Comme prévu, ce sont les deux cousins qui ont gagner le concours! Koen en tant qu'arbitre valide le résultat. Koen s'est fait prendre à son propre jeu. Il est soumis aux caresses sur son corps par une partie de ses condisciples. Finalement il joui sous l'effet de la multitude de mains posées et caressantes. C'est le moment de la séparation pour certains. Ils se promettent de se revoir. Frantz est heureux d'avoir eu des moments d'observation avec les jeunes gars, il espère qu'il aura aussi de bons moments avec les nouveaux élèves! Merci Daniel pour cette suite. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 20-09-2021 (20-09-2021, 08:58 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Koen est toujours un peu réticent quand on s’intéresse à son corps comme lui s’intéresse à celui des autres. Il aurait tort de s’en priver, ce doit être très agréable d’être caressé par une multitude de mains. Les étudiants vont tous se retrouver après les vacances, je ne sais pas encore lesquels participeront activement à l’histoire. Cela dépendra aussi des idées que j’aurai pour de nouveaux personnages. Franz aura l’occasion de se rincer l’œil mais je pense qu’il restera le plus souvent en retrait. Cela lui ferait perdre son autorité s’il était sans arrêt avec les élèves. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 20-09-2021 Frédéric et Koen vont prendre le train de nuit pour aller aux Pays-Bas. J’ai hésité à vous parler de ce voyage car j’ai déjà écrit de nombreux récits se déroulant dans un wagon-lit, je ne vais pas les citer tous de peur d’en oublier. Pourquoi un de plus ? Ils auraient pu prendre l’avion mais les toilettes sont exigües pour s’envoyer en l’air dans les trous d’air ; Urbain aurait pu les conduire en voiture, avec une étape pour s’envoyer en l’air dans une petite auberge romantique allemande, restaurant 3* au Guide Michelin, mais il n’est pas le chauffeur de Frédéric ; ils auraient pu faire une croisière sur le Rhin mais cela aurait duré une semaine et ils sont jeunes et impatients, en plus j’aurais d’abord dû en faire une moi-même pour les repérages (je pense avoir atteint l’âge nécessaire et suffisant pour apprécier les croisières sur le Rhin, j’ai mis cela sur ma liste d’envies). Ce sera donc de nouveau le train. Pour les ferrovipathes puristes, je devrais dire « voiture-lit », j’ai préféré le terme usuel de « wagon-lit ». Je n’ai pas contrôlé s’il y avait vraiment un train de nuit entre Interlaken et Amsterdam à cette époque, les liaisons internationales étaient souvent ce qu’on appelait des « voitures directes », accrochées aux trains ordinaires et transférées d’un train à un autre. Je rappelle qu’on dit « conducteur » de wagon-lit et pas contrôleur. Chapitre 10 - Vacances aux Pays-Bas (1) Dimanche 16 août 1964, en train entre Interlaken et Amsterdam Après l’excursion au Jungfraujoch, Koen, Frédéric et Philippe prirent le train pour Interlaken Ost où se faisait la correspondance entre le réseau à voie métrique et celui à voie normale. Philippe n’allait que jusqu’à Berne où il prendrait le train pour Paris en passant par Pontarlier. Koen et Frédéric avaient un wagon-lit direct pour Amsterdam. Ils furent accueillis sur le quai par le conducteur, homme jovial et bedonnant dans la cinquantaine : — Bonjour Monsieur Grotelul, bienvenue ! — Bonjour Monsieur… j’ai oublié votre nom, fit Koen. Vous vous souvenez du mien ? — Appelez-moi Dirk. Ce nom m’avait frappé. Je n’ai pas vérifié si cela correspond à la réalité. — Euh… C’est un pseudonyme, je ne peux pas voyager sous mon vrai nom. — Je l’avais deviné, lorsqu’on est le fils de… Vous lui ressemblez. Et votre compagnon, Monsieur de Goumoëns ? — Oui, fit Frédéric. C’est mon vrai nom. — Serons-nous seuls dans le compartiment ? s’enquit Koen. — Non, vous avez un billet de seconde classe, un homme vous rejoindra à Berne. — Désolé, Frédéric, mon père est un peu pingre. Ils montèrent dans le train et déposèrent leurs sacs dans le compartiment réservé qui était toujours dans la configuration pour la journée avec trois sièges. Ils avaient enregistré leurs valises et n’avaient pris avec eux que le nécessaire pour la nuit. Ils donnèrent leurs billets et leurs passeports au conducteur qui ferma la porte du compartiment à clef et rejoignirent ensuite Philippe au wagon-restaurant. — Que boit-on ? demanda le Français. Un thé ? — On boira assez de thé chez moi, fit Koen, il n’y aura pas d’alcool tous les jours. Je propose un apéritif pour fêter le début des vacances. Tu le payes, Frédéric ? — Oui, je sais que tu es fauché. D’accord pour l’apéro. — Nous devrons aussi boire du vin rouge ce soir, ajouta Koen, c’est un bon somnifère, sinon on ne peut pas dormir à cause du bruit et des secousses. — Vous pourrez aussi vous branler avant de dormir, dit Philippe en riant. — On ne sera pas seuls, dit Frédéric. — À l’aller je n’étais pas seul non plus et cela ne m’a pas empêché de me branler, dit Koen. — Avec les autres ? — Euh… non, discrètement, sous la couverture. Ils commandèrent des Martinis blancs. — Alors, demanda Frédéric à Philippe, amoureux du fleuriste ? — C’est un peu tôt pour le dire, nous n’avons même pas parlé en tête à tête. — Mais vous vous êtes branlés et sucés, c’est un bon début, pas très romantique il est vrai. — Au moins, dit Koen, il n’y aura pas de déception quant à la taille de la bite. — Tu choisis tes amants en fonction de la taille de leur bite ? s’étonna Philippe. — Non, c’est le hasard et la nécessité de me vider les couilles qui m’ont fait choisir Frédéric. — Vous n’êtes pas amoureux l’un de l’autre ? — Si, un peu, beaucoup, passionnément… — Repose-nous la question en l’an 2000, dit Frédéric, si on est toujours ensemble c’est qu’on s’aime à la folie. — Avant on désire s’accorder un peu de liberté, dit Koen, connaître d’autres personnes. — Pendant 36 ans… fit Philippe, dubitatif. C’est long. — Au minimum, fit Koen. Jusqu’à ce qu’on ne puisse plus bander. Je suis sûr qu’ils trouveront un médicament d’ici là. Philippe les quitta à Berne, Koen et Frédéric restèrent au wagon-restaurant pour souper. Ils commandèrent le plat du jour et une bouteille de Dôle des Monts Gilliard. Peu après le départ de la gare, le serveur installa un jeune homme à leur table, les autres étant occupées. Il avait une vingtaine d’années, des cheveux blonds ébouriffés, des lunettes rondes. Koen remarqua qu’il avait l’accent néerlandais et entama la conversation avec lui. Ils parlèrent en anglais pour que Frédéric comprît. — Vous allez aussi à Amsterdam ? demanda Koen. — Oui, je rentre à la maison après un stage au CERN. Permettez-moi de me présenter, Bert Van der Heijden. — Appelons-nous par nos prénoms, dit Koen qui n’avait aucune envie de donner son pseudonyme, je suis Koen et mon ami Frédéric. Tu es physicien ? — Étudiant seulement, le CERN est le Conseil européen pour la recherche nucléaire et est situé près de Genève. J’y ai passé quelques semaines. Frédéric offrit un verre de vin à Bert et ils firent plus ample connaissance. Koen se mit à parler avec lui d’Einstein et de la relativité restreinte, Frédéric avait de la peine à les suivre. Koen était décidément un génie dans tous les domaines, pas seulement dans la bitologie. Le wagon-restaurant n’allait pas plus loin que Bâle et ils durent retourner dans le wagon-lit après avoir soupé. Ils découvrirent qu’ils étaient les trois dans le même compartiment. Le conducteur leur proposa une bouteille de champagne pour terminer la soirée, ils préférèrent une seconde bouteille de vin rouge. Vers 23 heures, Frédéric bâilla et dit : — C’est la première fois que suis en wagon-lit, il faudra m’expliquer comment on fait la nuit. — Cela dépend avec qui on est, dit Koen. Il y a des gens qui sont très pudiques et qui se déshabillent à peine pour dormir. Et d’autres qui ne se gênent pas. Bert, je dois te dire que cela ne nous dérangerait pas du tout si tu te déshabillais devant nous pour te laver. — Je peux même enlever mon caleçon ? J’aime bien dormir à poil. — Bien sûr. Après plusieurs semaines de vie en commun à l’école on a l’habitude. — Il n’y a pas de douches ? demanda Frédéric. — Pas dans ce wagon, non. Tu peux soulever la tablette pour le lavabo. Il y a une bouteille d’eau minérale pour te laver les dents. — Et il y a le pot de chambre au-dessous, dit Bert en le montrant. — Cela ne nous dérangerait pas non plus si tu l’utilisais, ajouta Koen. — Ça fait plaisir de voyager avec vous, vous n’êtes pas des gars compliqués. Bert enleva sa chemise et la posa sur un cintre. Il avait un tatouage étonnant sur la poitrine. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 21-09-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite! Koen et Frédéric ne seront pas seuls dans le compartiment, une troisième personne doit occuper la place restée libre! C'est au wagon-restaurant que les deux garçons font la connaissance de Bert, un jeune blond d'une vingtaine d'années! Il est aussi néerlandais et donc le contact passe vite avec Koen. Très belle idée que de parler anglais pour que Frédéric puisse suivre la conversation. Le courant passe bien entre les trois ados. Ils vont donc passer la nuit dans le "wagon-lit" ou la "voiture-lit". (J'aime bien certaines expressions) Je me demande s'ils vont rester sages, j'en doute! Nous en saurons alors plus dans la prochaine suite. Merci Daniel pour cette suite! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 21-09-2021 (21-09-2021, 11:08 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Les cheminots parlent de voitures pour le transport de voyageurs et de wagons pour le transport de marchandises, la compagnie qui exploitait les wagons-lits s’appelait cependant « Compagnie internationale des wagons-lits ». À part l’aspect érotique de se retrouver dans un compartiment avec d’autres personnes, je n’ai jamais aimé voyager de cette manière car je dormais très mal. Pour être honnête je n’ai jamais eu non plus d’aventures sexuelles, ce sont des fantasmes, à part des masturbations comme Koen, discrètement, sous la couverture. On ne sait pas si Bert est homosexuel, mais ce serait très étonnant qu’ils restent sages. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 28-09-2021 Chapitre 10 - Vacances aux Pays-Bas (2) Dimanche 16 août 1964, en train entre Interlaken et Amsterdam — Tu t’es fait tatouer Einstein, la photo où il tire la langue, fit Koen, étonné. — Oui, c’est mon idole, dit Bert, j’aimerais avoir autant de succès que lui. — Tu devrais te faire tatouer le Dr Tissot, dit Frédéric à Koen. — Quel Dr Tissot ? Celui de la clinique ? — Son ancêtre, celui qui était contre l’onanisme, mais je ne pense pas que ce soit ton idole. N’empêche qu’il est encore connu de nos jours, 200 ans plus tard. — J’espère qu’on se souviendra aussi de moi 200 ans après ma mort. — Tu es prétentieux, Koen, fit Bert en riant. Es-tu un onaniste invétéré ? — Pas toi ? — Bien sûr, je le suis aussi, j’ai passé plusieurs semaines loin de ma petite amie. Koen était déçu, il avait espéré que Bert fût gay. — Eh oui, continua le physicien, je ne suis pas un homosexuel comme vous, car je suppose que vous l’êtes. — Tu as raison. Tant pis, il faut de tout pour faire un monde. — Mais je suis très tolérant. Ne t’inquiète pas, je vais te la monter, elle a aussi un tatouage. — Un tatouage sur ta bite ? Bert ôta ses chaussures et ses pantalons qu’il posa sur le cintre, puis son slip. Sa bite était petite, reposant sur de grosses couilles, on ne voyait pas ce que le tatouage signifiait. Pendant qu’il se lavait, Frédéric et Koen se déshabillèrent entièrement. Bert n’avait pas de gant de toilette, il enduisit sa main de savon et la passa sur le visage, les aisselles, le pénis et entre les fesses. Ce geste troubla Koen qui eut un début d’érection. Bert se retourna. — À vous, dit-il. Oh ! C’est moi qui te fais bander ? — Tu as un beau cul, fit Koen, gêné. — Mon amie me dit la même chose. Koen se lava le pénis qui atteignit sa taille maximale, puis s’assit à côté de Bert et lui demanda : — Tu permets que je la touche ? — Pourquoi pas ? Ce serait la première fois qu’un homme la toucherait, à part les médecins. Mais tu es un futur médecin. — Oui, c’est pour cela. Ne te méprends pas sur mes intentions. Bert éclata de rire : — Cesse de t’excuser, même si je ne suis pas homosexuel, je suis d’accord de me branler avec vous, je l’ai fait avec mon compagnon de chambre à Genève, mais chacun pour soi. — Tu es très sympa, fit Koen. — Vous aussi, et puis je suis obligé sinon je jouirais trop rapidement avec mon amie. C’est toujours comme ça quand nous ne voyons pas souvent. — Tu connais l’échelle de Kinsey ? — Tu lui expliqueras un autre jour, fit Frédéric qui s’était aussi lavé sommairement avant de rasseoir. Montre-nous plutôt le tatouage. Koen prit le pénis dans la main, fit coulisser le prépuce plusieurs fois et caressa la hampe. Le membre grossit et le tatouage fut rapidement visible, c’était la formule « E = mc2 ». — C’est bien ce que j’avais deviné, dit Koen. Tu as dû bander pour le faire ? — J’avais ma copine avec moi, elle a fait le nécessaire. — Cela ne l’a pas dérangée que tu mettes cette formule ? demanda Frédéric. Tu aurais pu mette son prénom. — Je ne sais pas si je resterais avec elle toute ma vie, il y avait moins de risques avec Einstein. Tu peux continuer à me branler, Koen, c’est fort agréable. Euh… je peux toucher la tienne ? — Bien sûr, tu passes à 1 sur l’échelle de Kinsey, prédominance hétérosexuelle, expérience homosexuelle. Ta copine n’est pas jalouse ? — Je ne sais pas ce qu’elle a fait pendant mon absence et je ne veux pas le savoir. Frédéric dut se résoudre à se masturber seul, il y avait longtemps que cela ne lui était plus arrivé. Il synchronisa ses mouvements avec le bruit des roues sur les joints des rails. Ils prirent leur temps, mirent très longtemps avant d’éjaculer. — C’était bon, fit Bert, tu es un expert, Koen. — J’ai beaucoup progressé ces dernières semaines, et l’année scolaire sera encore longue. — Il y des cours d’éducation sexuelle dans votre école ? J’ai lu que cela commençait. — Oui, répondit Frédéric, c’est Koen qui s’en charge, exposés théoriques et exercices pratiques pour ceux qui le désirent. Ils enlevèrent les traces de sperme avec leurs mouchoirs. — On fait comment pour préparer les lits ? demanda Frédéric à son ami. — C’est le conducteur qui s’en charge, tu peux l’appeler avec la sonnette près de la porte. Frédéric pressa le bouton. — Euh… fit Bert, on est encore à poil. — Il doit avoir l’habitude, dit Koen. Dirk arriva rapidement, il frappa. Frédéric ouvrit la porte. — Vous désirez, Messieurs ? — Pourriez-vous préparer les lits ? demanda le Suisse. — Certainement, je vous prierais de sortir dans le couloir. Vous avez de belles queues, mais je vous propose d’enfiler un slip, pas pour moi, c’est pour les autres voyageurs. — Excusez-nous, nous avons… — Vous êtes jeunes, je vous comprends, et j’aurais deviné grâce à l’odeur caractéristique. Les jeunes hommes remirent leur sous-vêtement et sortirent. Les fenêtres étaient ouvertes et de l’air frais circulait dans le couloir, contrastant avec la moiteur du compartiment. Une dame très âgée sortit des toilettes. Elle était vêtue d’une robe de chambre rose laissant entrevoir une nuisette blanche décolletée. Un minuscule chien blanc avec un ruban rose sur la tête la suivait. — Oh, Bijou ! lui dit-elle, tu as vu les beaux garçons devant nous ? Que dirais-tu si j’en invitais un pour la nuit ? Bijou grogna, signe qu’il désapprouvait cette idée. — Tu es jaloux ? Bonsoir Messieurs, quelle belle apparition que ces éphèbes presque nus dans le couloir, dit-elle en regardant attentivement les bosses sous les slips. — Bonsoir Madame, dit Bert. — Je suis la comtesse de Gueldre, aussi surnommée la Madone des sleepings, et voici Bijou. — Enchanté, je m’appelle Bert et je suis avec Frédéric et Koen. — L’un d’entre vous accepterait-il de tenir compagnie à une vieille dame pour la nuit ? demanda-t-elle en soupesant les paquets des jeunes gens. — Madame la comtesse, intervint Dirk, vous savez que vous ne devez pas importuner les autres voyageurs, nous avons déjà eu des plaintes à ce sujet. Je vous signale que M. De Jong est dans le train ce soir et seul dans son compartiment. — Lui ? Il est charmant, mais il est vieux et il ne bande plus. — Nous ne banderions pas non plus, Madame, dit Frédéric en riant, nos… comment dire… membres virils ont déjà servi ce soir. — Vous êtes des invertis ? Pas de souci, je les aime bien, ils sont plus doux que les autres hommes. — Ces jeunes gens sont fatigués, dit le conducteur, laissez-les dormir. — Moi, je ne dors jamais dans ces trains de nuit. Pourriez-vous faire une dernière faveur à une vieille dame ? — Avec plaisir, dit Koen. — Pourriez-vous baisser votre slip ? Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 29-09-2021 Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Bert découvre que les deux garçons sont gays. Cela ne le dérange pas le moins du monde. Bert s'aperçoit que Koen s'intéresse à l'appareil masculin. Il se laisse faire et Koen commence alors une masturbation du pénis de Bert. Une fois bandé, le pénis dévoile la formule d'Einstein, "E = mc²". Finalement Bert et Koen se masturbent mutuellement, laissant Frédéric seul avec son pénis! Bert étant hétéro et ayant une petite amie, ne rechigne pas à découvrir une facette de l'homosexualité, une branlette mutuelle. Merci Daniel pour cette suite ! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 29-09-2021 (29-09-2021, 12:15 AM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Tu as bien résumé cette suite. Il fallait que Bert ne soit pas réticent à une petite découverte homosexuelle, même s’il a une petite amie, sinon cela n’aurait pas été très intéressant. J’aurais pu faire de lui un personnage gay mais il y en a déjà assez dans mon récit. Je pense qu’il voulait aussi exhiber son tatouage plutôt spécial puisque Koen est devenu un « expert » de l’appareil masculin. Je ne sais pas encore s’ils vont se revoir. Ils pourraient passer une soirée ensemble, avec la petite amie, mais il faudrait que je trouve quelque chose d’original à raconter à leur sujet. Peut-être l'inverse, une découverte hétérosexuelle pour Koen et Frédéric ? Je t’embrasse, Daniel |