JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 23-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Encore un épisode difficile Julien est très dur envers Phil, c’est peut-être à cause des médicaments qu’on lui donne pour calmer la douleur. Phil va peut-être se retrouver à côté de Julien dans la chambre d’hôpital… C’est lui qui aura besoin de la psy. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-12-2020 (23-12-2020, 07:20 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui suite difficile tant pour Phil que pour Julien. Julien a appris le décès de ses parents et il est donc très perturbé! Il y a aussi l'environnement et probablement les médocs qui agissent sur la perception qu'à Julien de la situation! Phil a intérêt à être soutenu car s'il reste comme ça, il va droit dans le mur émotionnellement! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire! Très bon réveillon de Noël "confiné"! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-12-2020 Je me réveille étalé sur le sol du couloir. Le médecin accourt avec une infirmière, la psy est penchée vers moi de même que tante Françoise. David est en retrait, il est blanc comme un linge. J’ai mal à la tête, c’est probablement à la suite du heurt sur le sol du couloir. Puis je me rends compte que je me suis mouillé, je me suis pissé dessus. La honte ! Il fallait encore ça en plus. Le médecin m’ausculte, il fait quelques examens et semble dire que tout va bien, plus de peur que de mal. Il me dit que j’aurai encore mal à la tête un moment et sûrement une belle bosse. Il me donne de quoi atténuer la douleur. La psy me demande de venir la voir demain. Je quitte l’hôpital avec une blouse qui m’a été prêtée pour rentrer chez ma tante, mes affaires dans un sac. Je sens que David n’ose rien me dire. Je vois ses yeux tristes me regarder. Je tente un petit sourire, mais j’ai du mal. Je repense à ce que Julien m’a dit. Je ne le reconnais plus, ce n’est plus mon Juju. Je suis tellement triste, moi qui voulais tant que Julien redevienne comme il était avant l’accident. Le trajet dure dix minutes. Une fois arrivé chez ma tante, je monte à la salle de bain pour prendre une bonne douche. Je rejoins ensuite la chambre de David où il m’a préparé des vêtements propres, nous avons plus ou moins la même taille. Une fois habillé je descends les rejoindre au salon où ils m’attendent. Ma tante et David sont donc là. Je prends place dans un fauteuil tandis qu’ils sont dans le divan. Puis après un laps de temps que je ne peux évaluer, ma tante me demande : Fra : « Phil, mon cher neveu, comment vas-tu ? Moi : Je suis mal dans ma peau et je suis désolé pour l’incident à l’hôpital ! Fra : Ne t’en fait pas, il n’y a pas de souci pour ça Phil, ça peut arriver, c’est l’état de stress qui t’a fait perdre connaissance et te relâcher. Le médecin m’a dit que cela pouvait arriver à la suite d’un choc émotionnel, après les paroles que tu as entendues et aussi après cette matinée très intense en émotion. Moi : Je suis dévasté, Julien ne m’aime plus, ce n’est pas possible. (Des larmes coulent à nouveau sur mes joues) Fra : Pleure Phil, ça te fera du bien. Mais je pense que pour Julien c’est un passage, un moment d’égarement, il est lui aussi déboussolé, tout comme toi. Puis il doit digérer le décès de ses parents. Je suis certaine qu’il va avoir besoin de toi. Moi : Mais c’est très dur à encaisser ce qu’il m’a dit, c’est comme des coups de couteau dans le cœur. » Ma tante se lève et vient m’entourer de ses bras pour me consoler. Il me faut quelques minutes pour bien me reprendre. C’est à ce moment-là que mon oncle Martin rentre avec mon second cousin Nathan. Directement mon oncle aperçoit que quelque chose qui ne va pas. Nathan me voit et se rue sur moi. Il s’arrête net voyant mes yeux rougis par les larmes versées. Il n’ose plus avancer. Je lui fais signe et il vient me donner un baiser sur la joue. Il va s’asseoir à côté de son frère David. Nathan revient d’un stage multi-sports. Il n’a donc pas pu assister aux funérailles car son stage de trois jours ne le permettait pas. C’est ma tante Françoise qui explique à mon oncle et à Nathan ce qui s’est passé depuis le matin et surtout à l’hôpital. Ils sont attristés d’apprendre cet épisode dans la chambre de Julien. Mon oncle vient me prendre dans ses bras pour me faire un câlin. Le moment des effusions étant passé, l’oncle Martin propose de prendre l’apéro pour décompresser un peu. Il fait chaud et nous prenons tous un verre de rosé, seul Nathan prend un soda. Je demande à pouvoir téléphoner à la maison pour dire ce qui s’est passé. C’est donc avant le souper que je contacte maman. Elle décroche et je lui explique l’incroyable scène dans la chambre de Julien et la suite dans le couloir. J’ai les yeux qui s’embrument un fois encore. Je passe le combiné à ma tante. Maman et Françoise parlent entre elles, je suis retourné dans le fauteuil. Je suis certain que Maman demande à ma tante de faire attention à moi. Bon j’en saurai plus dès qu’elles auront fini de converser. Fra : « Voilà Phil, pas de cours de conduite demain, ta maman et ton papa pensent que c’est le mieux. Moi : Dommage, mais je les comprends, puis je ne sais pas si j’aurai eu la tête à conduire. Fra : Très bien Phil. Stéphanie va venir demain. Elle veut voir Julien et elle logera à la maison quelques jours avec ta sœur. Moi : Merci ma tante, j’espère que Julien va accepter de voir Stéph. Mar : Chaque chose en son temps. Nous verrons bien ce qui va se passer demain. Dav : Je serai avec toi Phil, tu vas avoir besoin de compagnie. Moi : Merci à vous tous. » Dring, dring, dring, c’est la sonnerie du téléphone. Martin va décrocher. C’est l’hôpital qui signale que je suis attendu vers onze heures chez la psy. Par la même occasion mon oncle lui dit que la sœur de Julien sera là, elle aussi demain. La psy souhaite également la rencontrer. Nous passons à table. L’ambiance est pesante, mais nous tentons tous de sourire un peu. Nous mangeons un plat de spaghetti, c’est ce qu’il y a de plus facile à préparer. Je ne parle pas beaucoup, j’ai encore les paroles de Julien qui résonnent dans la tête. Je tente de ne plus penser, mais c’est difficile, d’autant plus que le mal de tête reprend. Je demande un cachet à ma tante. Le repas terminé, je demande si je peux aller me coucher, je suis assez fatigué par cette journée. Ma tante marque son accord. Je salue tout le monde et je monte à l’étage. Je vais dans la chambre d’ami pour me dévêtir. Je ne garde que mon slip pour me rendre à la salle de bain. Je compte prendre une bonne douche pour décompresser. J’ôte mon slip et je vais dans la douche italienne. Je fais couler l’eau, elle est chaude, juste ce qu’il faut pour m’apaiser. Je ne sais pas combien de temps je suis resté sous le jet bienfaisant, mais c’est Nathan qui me sort de ma rêverie. Il me dit de laisser un peu d’eau chaude pour les suivants. Il est nu et attend de pouvoir prendre la place. Je m’excuse et je sors de la douche et directement Nathan prend place sous le jet d’eau encore assez chaude. Je prends un drap de bain et je m’essuie. J’observe mon cousin, il a bien grandi, il est bien gaulé en tout cas, son pénis fait bien dix bons centimètres au repos, sa toison est bien fournie. Il se badigeonne de gel douche et se lave sans oublier ses parties intimes. Je vois que son sexe est déjà plus gonflé. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve Nathan très beau. Il va avoir bientôt seize ans. Je sens mon sexe se raidir. Je me dépêche de finir de me sécher en vue de rejoindre la chambre d’ami, c’est alors que je quitte cette pièce que je vois que Nathan bande carrément, de mon côté mon phallus prend beaucoup d’ampleur. Je rentre dans la chambre et je me couche sur le lit, nu. Je repense à Julien et à mon envie d’être avec lui et de lui faire l’amour, mais ce n’est pas possible. Julien est dans cette chambre d’hôpital et il ne veut plus me voir. Il n’en faut pas plus pour que mon sexe reprenne sa taille de repos. Je ne sais plus quoi penser, Julien va-t-il changer ? Est-ce une phase par laquelle il doit passer pour faire son deuil ? A-t-il changé concernant notre relation ou se pose-t-il des questions quant à l’avenir ? Je suis perdu dans mes pensées. Je n’ai pas entendu qu’on frappait à la porte, elle s’ouvre. C’est ma tante qui apparait dans l’encadrement. Je la vois enfin, je me rends compte que je suis nu devant elle. Je ne me cache même pas et je lui dis : Moi : « Désolé ma tante, mais je n’ai pas de pyjama. Fra : Pas de souci Phil. Tu sais j’ai deux garçons, alors tu sais un ado nu, je suis habituée. Tu veux que David te passe un des siens. Moi : Je ne sais pas, souvent je reste comme ça, sans rien. Fra : Comme tu veux Phil. Si tu as besoin de quelque chose n’hésites pas ! Moi : Merci Tante Françoise, merci de m’accueillir. Fra : C’est normal mon cher neveu, c’est à ça que sert la famille, c’est pour rendre service. Bonne nuit ! Moi : Merci. Bonne nuit également ! » Ma tante sort de la chambre. Je me replonge dans mes pensées. Je me demande comment va se passer la journée de demain. Stéphanie va voir Julien, mais comment va-t-il réagir en la voyant ? Parviendra-t-elle à lui faire changer d’avis et à accepter de me revoir ? Bref je suis dans l’incertitude la plus complète. Je vois la porte s’ouvrir, c’est Nathan qui passe la tête dans l’entrebâillement. Il me sourit. Je lui demande : Moi : Salut Nath, viens, entre. Tu voulais quelque chose ? Nat : Non Phil, je voulais seulement te tenir un peu compagnie et savoir si tu allais bien. Moi : Merci c’est super gentil de ta part. Désolé, je ne suis pas habillé. Nat : Tu sais j’en ai déjà vu des mecs nus sous les douches au sport ou à l’école, après le cours de gym. Moi : Je m’en doute. Tu sais, j’ai peur, j’ai peur des jours qui vont venir. J’aime Julien, mais c’est très dur en ce moment. Des larmes viennent perler sous mes yeux. Nathan entre dans la chambre et referme la porte. Il vient s’asseoir à côté de moi sur le lit. Il ne dit rien, il me regarde et me laisse pleurer. C’est bizarre un gars de dix-huit ans qui pleure devant un jeune de bientôt seize ans. Mais je n’y pense même pas, cela vient juste de me traverser l’esprit, comme ça, comme une étoile filante. Je me ressaisi. Moi : Désolé Nath, mais j’ai mal, c’est un mal intérieur. J’ai peur de perdre Julien. Nat : David et maman m’en ont touché un mot. Mais il faut garder l’espoir. Il va falloir y aller doucement pour que Julien reprenne confiance et qu’il puisse se rendre compte qu’il a besoin de toi. Moi : Tu es super Nath, merci pour tes paroles, elles me vont droit au cœur. Nat : Je ne te l’ai jamais dit, mais tu es mon cousin préféré ! Moi : Merci Nath. » Nathan se tourne vers moi et me dépose un bisou sur la joue. Je vois qu’il rougi un peu. Il est super gentil Nathan, nous n’avons pas souvent l’occasion de nous voir, mais je l’apprécie aussi très fort. Bien entendu j’ai plus de contacts avec David, nous avons le même âge. Nous restons Nath et moi, silencieux un bon moment. Il est temps de dormir. Je me tourne vers Nathan, il a les yeux clos, je ne sais pas s’il s’est endormi. Je dis : Moi : « Nath, Nath. Nat : Oui Phil. Moi : Je crois qu’il est temps d’aller dormir. Nat : Oui tu as raison. Puis-je te demander quelque chose ? Moi : Oui. Nat : Tu veux bien que je dorme avec toi cette nuit ? Moi : Heu, oui. C’est toi qui vois. Nat : Merci. Ça me fait plaisir. » Nathan éteint la lampe et se couche à côté de moi sous la fine couverture. Il est porteur d’un pyjama-short, mais seulement du bas. Moi je suis resté nu, comme j’en ai pris l’habitude. Je revois encore une fois Julien qui « me tourne le dos », qui ne veut plus me voir et je fini par m’endormir. Je ne sais pas quelle heure il est, mais il commence à faire clair dehors, je jour va bientôt se lever. Nathan est collé à moi et je sens comme une barre qui pointe vers mon flan droit. Je me rends compte que c’est le pénis de Nathan qui est bandé et qui pointe sur mon flanc. Je n’ose pas bouger. Je reste ainsi cinq bonnes minutes dans la même position. Mon phallus a pris de l’ampleur mais je reste dans la même position, soit sur le dos. Puis c’est Nath qui bouge, je sens qu’il se rapproche tant et plus de moi. Je tourne la tête et je regarde alors vers le visage de Nath. Je vois qu’il a les yeux ouverts, il ne dort plus. Il remarque que je l’observe, il avance sa tête vers la mienne et dépose ses lèvres sur les miennes. Je me demande pourquoi il agit de la sorte. Il sait bien que j’aime Julien. Il se retire et remet ça peu de temps après, il pose à nouveau ses lèvres sur les miennes et il passe sa main sur mon torse. Il force le passage de mes lèvres pour m’embrasser. Je ne sais que faire, finalement je le laisse m’embrasser, nos langues jouent entre elles. Puis il arrête de m’embrasser et se recule. Je lui dis : Moi : « Nath, il ne faut pas, je suis amoureux de Julien tu le sais. Nat : J’avais tellement envie Phil. Je voulais t’embrasser depuis des mois ! Moi : Oh Nath, mais nous sommes cousins, puis je ne sais pas si… » Nathan vient de poser sa main sur mon sexe. Je suis tétanisé. Je me laisse faire. Nathan commence des mouvements lents le long de ma colonne de chair. Il me masturbe. Je me prends au jeu et je pose moi aussi ma main sur sa protubérance. Il a ôté son short de pyjama, il est lui aussi nu. Je commence moi aussi à le masturber. Je suis comme dans le brouillard, je ne sais pas si j’ai bien fait ou non de répondre à cette « demande » pressante et insistante de Nathan. Mon cousin éjacule assez vite, il laisse de sa semence sur mes doigts, sur les draps et sur son ventre. Il reprend alors la masturbation de mon membre pour me faire venir. Je déverse aussi ma semence sur ses doigts et sur les draps. Une fois remis de nos émotions, Nathan me passe son short pour essuyer le sperme qui macule nos corps et les draps. Nat : « Merci Phil. Tu ne dis rien à mes parents ni à mon frère s’il te plait. Moi : D’accord. Mais pourquoi as-tu agit comme ça ? Nat : Je l’ai déjà fait trois fois avec un copain de classe, mais quand je t’ai vu ce soir sous la douche, je ne sais pas comment te dire, j’ai eu envie de toi ! Moi : Tu es gay Nath ? Nat : Je ne sais pas, je crois que oui, mais je n’en suis pas certain. Moi : OK, je ne vais rien dire, mais tu sais j’aime Julien, c’est lui l’élu de mon cœur. Je t’aime bien, mais c’est juste comme cousin que je t’aime bien ! Nat : Désolé Phil. Moi : Ce n’est rien Nath, ce sera notre secret. Je vais tenter de me rendormir. Nat : Merci Phil, moi aussi je vais essayer de dormir. » Je parviens à retrouver le sommeil. Je rêve de Julien, je le trouve apaisé, il semble me faire un grand sourire. Il n’a plus ses plâtres et on ne voit plus ses blessures. Il est rayonnant. Je me rapproche de lui. Il me tend les bras et … je me réveille en sursaut. Je vois que c’est David qui a ouvert la porte de la chambre d’ami. Il semble étonné de voir son frère dormir à mes côtés. Puis il remarque le short de Nathan sur le sol à côté du lit, il a compris et me fait un large sourire. Dav : « Bonjour, il est temps de vous lever. Moi : Bonjour David, oui, nous allons nous lever. Nat : Bonjour frérot. Heu, tu ne dis rien aux parents ! Dav : Non p’tit frère. Allez, debout. Nat : Oui, on arrive. David sort de la chambre et referme la porte. Nathan me regarde et me demande : Nat : Tu crois qu’il sait ce que nous avons fait ? Moi : Oui Nath, il n’est pas aveugle. Nat : Merde, merde alors. Moi : Ne te fais pas de bile, il ne dira rien à tes parents, mais attend toi à ce qu’il te pose des questions et à moi aussi. Nat : Bon, on verra bien. Allez j’y vais. Moi : D’accord, je sors dans quelques minutes. » Une fois Nathan sorti, je repense à cette nuit et je me dis que j’aurai dû mettre un terme à ce que Nathan voulait faire. Je suis bien ennuyé maintenant. Je vais devoir trouver une façon de dire ce qui s’est passé à Julien, je lui dois d’être honnête. Bon je vais vite prendre une douche et m’habiller. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 28-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Les gens de l’hôpital s’occupent de Phil qui aura un rendez-vous avec la psy. Le soir, il couche avec Nathan et leurs contacts sont très intimes, ce qui pose un problème à Phil. Profite-t-il déjà de l’absence dHenri ? Le début du récit nous a montré que ces jeunes gens avaient une sexualité très libre et décomplexée, c’était probablement courant à cette époque d’après mai 68. Phil devait faire la différence entre l’amour qu’il portait à Henri et le besoin de se détendre après une journée pénible. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-12-2020 (28-12-2020, 01:15 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Phil est désappointé par la réaction de Julien. Au soir Nathan vient réconforter Phil. Les choses dérapent quelque peu. Les deux garçons ont un contact intime mais superficiel! Phil souffre de l'absence de JULIEN, mais il sait qu'il ne doit pas, mais la chair est faible. Une petite branlette entre cousins ne fait peut-être pas de tord si ça reste passager! Phil sait bien faire la différence entre cet écart et l'amour qu'il porte à Julien. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser régulièrement un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 28-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil n'est pas bien après sa rencontre avec Julien. Il a fait un malaise dans le couloir de l'étage, devant la chambre où se trouve Julien. Phil s'est pissé dessus, tellement le stress était intense. De retour à la maison de sa tante, il raconte ce qui s'est passé à Nathan. Au soir Nathan va voir dans la chambre de Phil pour savoir comment il se sent. Phil a les larmes aux yeux. Nathan reste avec son cousin pour dormir à ses côtés. Nathan devient entreprenant, il caresse Phil. Finalement Phil cède et les deux cousins se masturbent mutuellement en s donnant même des bisous sur les lèvres. Il faut espérer que ça n'assombrisse pas la relation difficile avec Julien. Merci pour cette suite encore difficile. Je t'embrasse Philippe Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-12-2020 (28-12-2020, 04:09 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonsoir [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Pas évident pour Phil de savoir où il en est avec Julien. Nathan tente de réconforter Phil. Les deux cousins se donnent du plaisir, il semble bien que Nathan soit lui aussi gay! Nous verrons par la suite si ce petit écart de la part de Phil aura une influence sur Julien et sa relation avec Phil. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-12-2020 Chapitre 15. Nathan se dévoile et nouvelles perspectives. J’arrive le dernier à table. Tous les regards sont tournés vers moi. Je ne sais pas si c’est pour savoir comment je vais, après ce que j’ai vécu à l’hôpital hier, ou si c’est à la suite de ce qui s’est passé cette nuit avec Nathan. Je lance un grand bonjour avec le sourire. Je vais donner une bise à ma tante Françoise ainsi qu’à mes deux cousins. Je m’assieds et je reçois une tasse de café. Il y a du pain, du fromage, de la confiture, du choco à tartiner et du miel. T. Fra : « Alors Phil, tu as bien dormi ? Moi : Oui, merci ma tante. T. Fra : Nathan m’a dit qu’il avait dormi avec toi cette nuit. Moi : Oui, il voulait rester près de moi pour que je passe une bonne nuit. Nat : Hier soir quand j’ai vu que Phil avait encore les larmes aux yeux, j’ai voulu rester auprès de lui. T. Fra : Tu as bien fait. Moi : Merci Nath, cela m’a fait plaisir. J’ai vraiment deux cousins qui sont super ! Dav : Tu sais Phil nous t’aimons, tu fais partie de la famille, même si tu es un peu différent. T. Fra : David ! Moi : Non, ce n’est pas grave. Je sais que vous avez tous l’esprit très ouvert. Dav : Je voulais juste dire que pour nous cela n’a aucune importance que tu amies Julien. Moi : Merci David, merci à vous ! » Nous avons terminé le petit-déjeuner. La table est débarrassée et la vaisselle est placée dans le lave-vaisselle. Ma tante me rappelle que je dois être pour onze heures à l’hôpital pour voir la psy. Il n’est que dix heures moins le quart, David me demande le venir dans sa chambre. Nous montons et nous nous asseyons sur son lit. Il me demande comment je vais. Puis il me regarde dans les yeux et me demande : Dav : « Phil, j’ai vu que Nath avait enlevé son short de pyjama et qu’il était humide ! Moi : Tu sais, je pense qu’il est travaillé par ses hormones. Dav : Je m’en doute, mais a-t-il voulu, comment te dire, te caresser et… Moi : Pourquoi tu demandes ça ? Dav : Car je pense que Nath est gay ! Moi : Je pense que… A ce moment-là la porte de la chambre s’ouvre, c’est Nath qui entre. Il nous regarde et se doute bien que nous parlons de lui. Il s’avance et dit : Nat : Vous parlez de moi ? Dav : Oui, on ne va pas te le cacher. Nat : Je suis désolé David, mais je ne sais plus où j’en suis ! Moi : C’est un peu ma faute Nath, j’aurai dû être plus ferme hier soir et te refuser de dormir avec moi. Dav : Ce n’est de la faute à personne. Je ne vous juge pas, je ne te juge pas non plus Nath. Je peux te poser une question ? Nat : Oui. Dav : Nath, tu es homo ? Nat : Oh David, je ne sais pas, mais je pense que oui. Dav : Pour être honnête avec toi, je l’avais remarqué ! Nat : Je suis désolé. (Des larmes coulent sur ses joues.) Dav : Arrête de pleurer. Viens dans mes bras, tu sais p’tit frère, je t’aime comme tu es ! » David prend son frère dans ses bras pour le consoler. Je reste assis, je suis moi aussi très ému par ce que je vois. Je sais que ce n’est pas facile de dire qu’on est homo, mais l’entente entre les deux frères étant très bonne, cela s’est très bien passé. Puis je connais bien David, je sais qu’il est super ouvert d’esprit. Nathan explique à son frère qu’il a déjà fait des masturbations mutuelles avec des copains de sa classe. Il ajoute qu’avec l’un d’eux ils s’étaient « offert » des fellations. Il se sent mieux, il ne pleure plus. La porte de la chambre s’ouvre juste après avoir entendu frapper. C’est ma tante Françoise qui est là. Elle nous demande à Nathan et moi ce qui s’est passé pour que le drap de lit soit si sale. Il n’en faut pas plus pour que Nathan se remette à pleurer. Je ne sais pas où me mettre. Ma tante prend Nath dans ses bras et lui fait un énorme câlin. Nath répond qu’il a eu des pollutions nocturnes durant la nuit. Puis ma tante me regarde. Je suis rouge pivoine. Je ne sais que dire. Nathan regarde sa maman et lui dit : Nat : « C’est ma faute. Moi : Non Nath, c’est de la mienne, j’aurai dû te dire d’aller dans ta chambre. Nat : Non Phil, je ne veux pas que tu culpabilises. Maman, c’est moi qui ai branlé Phil cette nuit. Je suis…, je suis gay ! T.Fra : Viens mon Nathou, je m’en doutais tu sais. Mais je t’aime comme tu es. Nat : Oh merci maman. (De nouvelles larmes coulent sur ses joues.) Dav : Je lui disais la même chose, que je l’aime tel qu’il est. Moi : Je suis désolé Tante Françoise, mais j’étais si mal. T. Fra : Je ne te reproche rien Phil. Mais n’allez pas trop loin. Moi : Oh non, je ne sais déjà pas comment je vais le dire à Julien ! T. Fra : Je suis certaine que tu trouveras les mots et qu’il te comprendra. Moi : Merci Tante Françoise. Nat : Merci maman, merci frérot, merci Phil. » Ma tante est allée changer le lit pour Stéphanie et Delphine qui vont rester loger. Je m’apprête pour aller à l’hôpital. Je décide d’y aller en bus. Je pense que je vais revoir ma sœur et Stéphanie directement sur place. Au moment de partir Nathan me souhaite bonne chance. Je lui fais un large sourire. J’arrive à l’hôpital, je pénètre dans le hall d’entrée, en avance d’un bon quart d’heure. Je patiente sur un des bancs, en ayant un œil sur le sas d’entrée au cas où je verrais Stéphanie et ma sœur Delphine arriver. Je suis à peine assis depuis deux minutes que je vois les deux filles. Je me lève et je vais à leur rencontre. Je les embrasse et je leur explique ce qui s’est passé hier, dans le détail, soit mon rejet de la part de Julien et mon désespoir face à cette « rupture » que j’ai du mal à accepter. Nous nous dirigeons vers le cabinet de consultation de la psychologue. Nous sommes reçus tous les trois. Elle explique à Stéphanie qu’elle va devoir être forte car elle ne connait pas la réaction de son frère Julien. Il est possible qu’il ne veuille pas la voir ou alors au contraire il trouvera en elle un réconfort, un point d’attache. Elle va devoir réagir comme son cœur lui dira de faire. Puis c’est à mon tour. La psy me demande comment je me sens. Je lui réponds que ce n’est pas facile et j’ai peur de perdre l’amour de Julien et qu’il ne veuille plus me voir. Je lui avoue que je ne sais pas si j’aurai encore assez de force pour me trouver devant un Julien qui me rejette. Je verrai déjà comment cela se passe entre Stéphanie et Julien, si cela se passe bien, je verrai si je pourrai le voir. La psy m’explique qu’il est possible qu’il change et qu’il revienne à de meilleurs sentiments envers moi. Cela fait partie du processus d’acceptation à la suite des décès de ses parents et le fait qu’il soit le seul encore vivant après l’accident. Il sait qu’il ne pourra pas vivre seul, qu’il aura besoin de soutien. Son soutien peut très bien être « son petit ami » comme le dit la psy, donc moi ! Nous quittons le bureau de la psy et nous nous dirigeons vers la chambre de Julien. Au fur et à mesure de notre progression au travers du dédale de couloirs, de portes et d’ascenseurs, nous parvenons devant le bureau des infirmières du service où Julien est hospitalisé. Le médecin de garde, celui qui était présent hier, est là lui aussi. Il sait que nous venons de voir la psy et que nous avons été briffés en vue de rencontrer Julien dans les meilleures conditions. C’est donc Stéphanie qui va voir Julien. Selon les infirmières Julien a bien mangé, mais un peu et il semble assez calme. Il a toujours sa sonde urinaire et il porte toujours une blouse d’hôpital assez large. Il est toujours relié à un baxter qui distille les médicaments utiles. Stéphanie frappe à la porte et entre dans la chambre. Delphine, le médecin et moi nous sommes près de la porte et nous voyons ce qui se passe par la fenêtre du couloir. Julien regarde Stéphanie, il esquisse un petit sourire. Puis il fait une grimace, ses yeux se ferment et de suite des larmes coulent sur ses joues. Stéphanie s’approche de lui et veut le prendre dans ses bras. Julien ouvre ses bras et se laisse enlacer par sa sœur. Ils restent ainsi enlacés durant un bon moment. Les larmes ont coulé des deux côtés. Ils se parlent mais nous n’entendons rien. Julien semble toujours accepter la présence de sa sœur et il lui parle. Je suis certain qu’ils parlent de leurs parents, de l’accident et peut-être de moi, je n’en sais rien, Stéphanie me dira bien quoi par la suite. Cela fait maintenant une demi-heure qu’ils sont ensemble. Ils discutent toujours. La psy qui est arrivée depuis un bon bout de temps. Elle trouve que c’est un très bon signe. Stéphanie s’écarte de Julien et revient vers la porte. Elle l’ouvre et demande à Delphine de venir avec elle. La psy me regarde, elle sait que j’attends de pouvoir revoir Julien et que je suis sur des charbons ardents. Je vois que Delphine vient faire un baiser sur la joue de Julien. Il a un petit sourire aux lèvres. Stéphanie tient Delphine par la taille. Elles sont à côté de Julien et ils parlent ensemble. Le temps me semble long, trop long. La psy remarque que je ne tiens plus en place. Elle me propose d’aller prendre un bol d’air. L’infirmière part avec moi et nous allons sur la terrasse extérieure de l’étage. Elle parle avec moi, me demande si ça va mieux. Elle sait que je suis l’amoureux de Julien mais aucune remarque particulière n’est faite même concernant Delphine et Stéphanie. Il fait chaud, mais malgré cela il y a plus d’air dehors. Nous revenons dans le couloir près de la porte de la chambre de Julien. Les filles sont toujours en train de parler avec Juju et il a l’air décontracté. Je pense qu’il a dû réfléchir toute la nuit à ce qui s’est passé depuis l’enterrement de son parrain et donc de l’accident et du décès de ses parents. J’espère qu’il ne m’a pas oublié et qu’il ne me tient pas rancune de ne pas lui avoir expliqué ce qui s’était passé. Delphine quitte la chambre. Elle vient vers moi, elle me prend dans ses bras. Je sens qu’il y a quelque chose, mais je ne sais pas quoi. Puis elle me dit dans le creux de l’oreille : Del : « Phil, Julien t’en veux de ne pas lui avoir dit ce qui était arrivé, mais il comprend aussi que ce n’était pas évident à dire. Il te demande du temps pour reprendre votre relation. Tu peux le voir, maintenant, mais il ne veut pas trop parler de ce qu’il ressent. Moi : Merci Delphine, au moins il sait que j’existe, ce n’est déjà pas mal. Del : Je m’en doute. Allez, courage Phil, va voir ton chéri. » J’entre dans la chambre, Stéphanie me laisse plus de place pour que je sois plus près de Julien. Je vois dans les yeux de Julien une lueur encore jamais perçue. Je plonge mon regard dans le sien. Je tente de faire passer tout l’amour que j’éprouve à son égard. Son regard s’éclaircit un peu. Je prends sa main gauche dans la mienne, il accepte que je la garde au chaud entre mes doigts et ma paume. Je ne dis rien, je n’ose pas déposer un bisou sur ses lèvres. Je le regarde, les hématomes de son visage commencent à s’estomper un peu. Stéphanie ne dit rien elle non plus. Elle nous regarde et je sais qu’elle nous soutien Julien et moi. Nous sommes restés un bon quart d’heure comme ça, sans bouger. Notre regard plongé dans celui de l’autre. C’est l’infirmière qui nous a dérangés, elle devait venir faire les soins. Elle nous prie de sortir. Je lâche la main de Julien à contre-cœur, de son côté, je sens que lui aussi aurait voulu que nous restions encore un moment comme cela, sans parler. Au moment où je sors de la chambre et que je regarde en direction de Julien, je vois une larme sur chacune de ses joues. Je suis bouleversé, j’ai moi aussi envie de pleurer, mais je me retiens. Enfin Julien semble toujours m’aimer. Je sais qu’il va falloir du temps pour que nous soyons à nouveau heureux. Stéphanie me prend par le bras et nous allons nous installer sur un banc à l’entrée du couloir, un peu à l’abri. Elle me dit alors : Sté : « Phil, voilà ce que Julien m’a dit à ton sujet. Moi : Oui, vas-y, je t’écoute. Sté : Il t’en veut parce que tu ne lui as pas dit que nos parents étaient morts. Mais d’un autre côté il se demande comment tu aurais pu le lui dire. Moi : Tu sais Stéph, j’avais très peur de sa réaction. Puis au début il était comme dans les nuages, incapable de comprendre ce qui se passait et ce qui s’était passé. Sté : Je le sais et je lui ai dit que tu avais été présent tous les jours auprès de lui. Moi : Tu sais bien que je n’aurais pas pu faire autrement que de venir le voir. Sté : Je le sais Phil et maintenant Julien le sait, il s’en rend compte. Moi : Tu as vu, quand j’ai passé le seuil de la porte de la chambre, il pleurait ! Sté : Non, je ne l’ai pas remarqué. Moi : Tu crois qu’il m’aime encore, dis-moi Stéph, Julien m’aime-t-il ? Sté : Oh Phil, bien sûr que oui. Je pense que tu as pu le voir au travers de son regard. Moi : Je voudrais tant qu’il ne se soit rien passé ce jour-là ! Sté : Moi aussi, je ne suis toujours pas remise et je pense qu’il me faudra beaucoup de temps. Heureusement que j’ai Delphine et ta famille pour m’encadrer. Moi : Je le sais, mais Julien acceptera-t-il mon aide ? Il ne doit pas rester comme ça, prostré ! Sté : Je suis certaine qu’il va avoir besoin de toi tout comme moi j’ai besoin de ta sœur. Moi : Merci Stéph, moi aussi j’ai besoin de lui. Je l’aime trop mon Juju. Sté : Oh ça je le sais Phil que vous vous aimez. Allez, viens me faire un câlin ! » Stéphanie m’ouvre ses bras et je viens m’y lover. Je ressens bien qu’elle aussi a besoin de soutien. Je suis certain qu’elle se pose un tas de questions quant à leur avenir, maintenant qu’ils sont orphelins. Delphine s’approche de nous et elle vient caresser les épaules de sa chérie. Nous attendons comme ça quelques minutes. L’infirmière ayant terminé les soins, elle sort de la chambre et vient dire à Stéphanie que son frère la réclame. Julien et Stéphanie parlent ensemble. Ils semblent aborder beaucoup de sujets. Je me demande s’il ne s’agit pas des dispositions qu’ils vont devoir prendre. Il est certain qu’ils doivent trouver une solution pour la maison : sans revenus il leur sera difficile de l’entretenir. Puis y a-t-il une assurance vie qui pourra leur permettre de faire face à certains frais et peut-être de vivre ? Bon je suis convaincu que Stéphanie aura le soutien de Papa pour faire face à toutes les démarches. J’espère que Julien sera ramené vers Bruxelles le plus tôt possible. Le médecin revient près de nous. Il voit que Stéphanie est toujours auprès de Julien. Il entre dans la chambre et il laisse encore cinq minutes à Stéph car Julien doit maintenant se reposer. Stéphanie sort ensuite de la chambre et elle me fait signe d’aller près de Julien. Je m’avance vers le lit d’hôpital, vers Julien. Il ouvre les bras et malgré son plâtre, il veut m’enlacer. Je me place de façon à m’insérer dans ses bras ouverts. Il me fait un câlin. Puis il me dit : Jul : « Merci d’être là près de moi. Moi : Mais c’est normal Julien. Jul : Bon je crois qu’il est temps que tu partes. A demain Phil. Moi : A demain Julien. » Je dépose mes lèvres sur celles de Julien qui accepte ce chaste baiser. Je vois dans son regard une lueur que je reconnais, c’est cette lueur remplie d’amour que je perçois. Je lui fais un signe de la main, signe auquel il me répond par un large sourire. J’ai enfin retrouvé mon Juju, celui que j’aime. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 30-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle suite positive. Nathan confesse à Phil et à son frère David qu'il est homo, qu'il aime les garçons. Ensuite il le dit à sa maman qui s'en doutait et qu'elle l'accepte tel qu'il est. C'est ensuite la visite à l'hôpital pour Stéphanie, Delphine, David et Phil. Julien est heureux de voir sa sœur et Delphine. A la fin Julien accepte de voir Phil. Les deux garçons se regardent mais ne disent pas grand chose. Au moment de quitter la chambre Julien demande un câlin de Phil et ils se donnent un bisou sur les lèvres. Julien comprend que ça n'a pas été facile pour Phil de lui dire que ses parents étaient décédés et il s'en veut pour le comportement qu'il a eu face à Phil la veille. Les choses semblent s'arranger entre Phil et Julien, mais le chemin est encore long. Merci Philou pour cette belle suite pleine d'espoir. Je t'embrasse Philippe Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 30-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Nathan finit par faire son coming out, un peu forcé par les circonstances et ce qui s’est passé la nuit précédente avec Phil, et par sa famille qui inspecte les shorts et draps sales. Cette révélation est heureusement bien accueillie. Cela commence à s’arranger avec Julien, je pense que celui-ci a eu le temps de réfléchir à ce qui lui est arrivé. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-12-2020 (30-12-2020, 05:19 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonsoir [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Super résumé de cette suite. Oui Nathan a fait son coming-out, un peu forcé vu les traces laissées dans le lit et la nuit passée avec Phil! Lors de sa visite à Julien, Phil a pu se rendre compte que Julien avait changé et réfléchi à ce qui s'est passé la veille. L'entente entre les deux garçons reprend doucement. Il est évident qu'il faudra du temps à l'un et à l'autre pour être enfin réuni pour la suite de leur vie ensemble! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-12-2020 (30-12-2020, 07:06 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Nathan a fait, un peu forcé, son coming-out, par les événements qui se sont passés la veille au soir. D'une part il y a cette branlette partagée avec Phil mais aussi l'état des draps et du pyjama qui ne laisse planer aucun doute! Julien lorsqu'il revoit Phil se montre plus amical. Il a eu le temps de comprendre et de réfléchir sur ce qui s'est passé. Les liens se reformes doucement et il faudra du temps avant qu'ils ne se retrouvent! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-01-2021 Je referme la porte de sa chambre. Les deux filles sont là, elles m’attendent. Ma vue se brouille, mais je me sens plus léger. Mes glandes lacrymales ne résistent pas et elles déversent leurs flots de larmes. Enfin je viens de ressentir que Julien m’aime toujours. Stéphanie se rend compte de l’importance pour moi de ce moment passé avec son frère, avec mon chéri. La psy, qui est restée derrière la vitre de la chambre, a vu ce qui s’est passé. Une fois remis de mes émotions, elle vient me dire que le plus dur est derrière nous et qu’il faut maintenant aller de l’avant sachant bien que Julien est encore fort retourné par ce qu’il a appris. Je vais devoir accepter que Julien ait des hauts et des bas dans notre relation, relation qu’il faut réaménager en fonction de l’évolution de nos sentiments, en vue de la consolider. C’est le cœur léger que nous quittons l’hôpital et que nous rentrons chez notre tante Françoise. Nous papotons dans le bus et nous pensons à Julien. J’espère qu’il pourra rentrer à la maison, chez mes parents, pour qu’il soit entouré au mieux pour sa convalescence. Nous allons arriver à la maison, j’aide Delphine à porter sa valise, Stéphanie semble avoir pris moins de chose que ma sœur. Une fois devant la porte d’entrée, nous sommes accueillis par Nathan. Il saute dans les bras de Delphine, puis il embrasse Stéphanie. Nous entrons dans le hall et David arrive avec ma Tante. Directement ils remarquent que nous affichons tous les trois un large sourire ! Tante Françoise nous invite à nous installer au salon, après avoir embrassé les deux filles. Elle demande alors : T.fra : « Alors Delphine comment vas-tu ? Et comment va Julien ? Del : Moi ça va bien, merci pour ton hospitalité. Je laisse à Stéphanie le soin de te donner des nouvelles de son frère. Sté : Merci de m’accueillir chez vous. T.Fra : Mais c’est tout naturel. Sté : Merci. Voilà, en entrant dans la chambre, Julien a directement montré son contentement de me voir. Nous avons discuté de l’accident et de ses conséquences. Bref il était assez affecté. Puis sachant que Delphine était là, il a voulu lui parler. Del : Oui, Julien m’a expliqué ce qui s’était passé la veille lors de la visite de Phil. Il m’a raconté le désarroi dans lequel il se trouvait de ne pas avoir été averti de l’accident et surtout du décès de ses parents. Puis il s’est rendu compte qu’il était allé trop loin en repoussant Phil comme il l’avait fait. Il avait peur d’avoir brisé l’amour qui les unissait. Il ne savait pas comment il devait faire, il avait peur de revoir Phil, ne sachant pas comment Phil allait réagir. T.Fra : Je sais que tu as été très secoué Phil après ce que Julien t’as dit hier. Et tu as pu le voir aujourd’hui ? Moi : Oui, j’ai pu le voir. Nous n’avons pas parlé au début, nous nous regardions dans les yeux et je lui tenais la main. Sté : Après nous avons dû quitter la chambre pour les soins. Ensuite j’ai rejoint Julien. Nous avons parlé ensemble de l’avenir, mais ce n’est pas facile. Je n’ai pas encore eu le temps d’y penser réellement. T.Fra : Je me doute bien que cela va être très difficile pour vous deux, sans vos parents. Je suis sûr que les parents de Delphine et Phil vous seront d’une grande aide. Sté : Oui, j’en suis certaine. Puis ensuite nous avons dû quitter la chambre car Julien devait se reposer. Moi : Avant de partir, Stéphanie m’a dit que Julien voulait me voir. Il a ouvert ses bras pour m’enlacer, je m’y suis lové. Il m’a remercié d’être venu le voir. Puis je lui ai donné un bisou sur les lèvres. Je, … je venais de comprendre qu’il m’aimait toujours ! T.Fra : Je suis si contente pour toi Phil. Tu vas voir, vous aller vous retrouver et repartir sur de bonnes bases pour aller de l’avant, ensemble, à deux ! Moi : Merci ma tante. T.Fra : Bon je crois que Martin arrive, j’entends la voiture dans l’allée de garage. Je pense que nous allons prendre un apéro bien mérité. Nathan tu veux bien aller chercher le rosé et David, tu prends les verres ! » L’oncle Martin arrive au salon. Il remarque que nous avons tous le sourire. Il est vite mis au courant par ma tante de ce qui s’est passé. Il va enlacer Stéphanie et lui dit qu’il est là pour elle si elle a besoin de quoi que ce soit. Nathan et David apportent ce qu’il faut pour un bel apéro, ils ont même apporté des cacahuètes et des dés de fromage. Nous avons levé nos verres à la santé de Julien, qui semble en bonne voie de guérison, ainsi qu’aux amours partagés pour certaines et aux amours retrouvés pour d’autres. Nous discutons avec nos oncle et tante ainsi qu’avec nos cousins. Stéphanie est très bien accueillie, tous l’avaient déjà vu. Bien entendu le couple que forme ma sœur Delphine avec Stéphanie est connu depuis longtemps. Ma tante Françoise trouve assez « amusant » le fait que les frères et sœurs des deux familles se soient ainsi mis en couples homosexuels. De toute façon elle n’était pas homophobe pour un sou. Il est temps de passer à table. Je veux donner un coup de main et c’est David qui m’accompagne pour apporter les plats à table. Alors que nous sommes dans la cuisine, seuls, il me dit qu’il a discuté avec Nathan et qu’il comprend bien que pour son frère c’était une découverte. Il me demande de faire attention à lui. Je le rassure en lui disant que c’était un moment d’égarement et que je resterai sage avec lui. J’ajoute que j’aime Julien et puis qu’entre cousins, c’est juste pour le fun, c’est du moins ce que j’ai compris de la part de Nathan. Nous revenons à table. Nous mangeons de bon appétit, il est temps, car nous étions si perturbés par ce qui s’est passé que nous avons parfois oublié de manger. Stéphanie est encore perturbée par tous ces événements, c’est très compréhensible. Nous terminons le repas par une tasse de café et un dessert très simple, une coupe de glace vanille-chocolat. Une fois sortis de table nous allons au salon pour nous détendre. Je demande à mon oncle Martin si je peux téléphoner à la maison et ensuite à une amie, ma confidente. Bien entendu il est d’accord. Je téléphone au domicile de mes parents. C’est Maman qui décroche. Je lui raconte ma journée et surtout la visite auprès de Julien. Maman est très contente d’apprendre que Julien allait déjà mieux psychologiquement et qu’il m’ait reçu. Maman me signale que Papa s’occupe de voir ce qu’il y a lieu de faire pour que Stéphanie et Julien puissent rester ensemble, car Julien est toujours mineur aux yeux de la loi. (En Belgique, à cette époque la majorité est fixée à vingt et un ans). Maman me signale aussi qu’ils ont fait le nécessaire pour disposer de tout le matériel pour que Julien puisse venir à la maison pour sa convalescence. Maman me demande comment va Stéphanie. Je lui dis qu’elle est forte et qu’elle semble accuser le coup, mais qu’il faut qu’elle fasse attention à elle. Je dis aussi que Delphine est aux petits soins pour Stéphanie. Maman nous souhaite à tous une bonne soirée. Par après je téléphone à Amandine. Elle décroche dès la seconde sonnerie. Elle me demande immédiatement des nouvelles de Julien. Je lui raconte comment il a progressé depuis son coma jusqu’à cette fin de journée. Elle me demande ensuite comment je vais, comment je ressens les événements et la guérison de Julien. Nous parlons une bonne dizaine de minutes. Puis je lui demande d’avertir les amis, soit Jacques, bien sûr, c’est son petit-ami, mais aussi Joseph, Maxime, Lucas et Mathieu. Il se pourrait qu’ils puissent venir voir Julien, mais je dois avoir l’accord du médecin. Amandine me dit que c’est une très bonne chose à faire. J’ajoute que Julien devrait normalement venir chez mes parents pour sa rééducation. Amandine semble soulagée pour moi. Puis elle me demande d’être attentif à Julien bien entendu, mais aussi à moi. Elle veut que je poursuive mes consultations auprès de la psychologue. Je l’ai rassurée, car je sais que j’en ai besoin, que j’ai besoin de me faire aider. Nous clôturons la conversation par des mots de soutien tels que ceux échangés entre des amis qui s’aiment et qui se protègent. Je reviens au salon et tous les regards sont tournés vers moi. J’explique en deux mots les deux communications téléphoniques que j’ai eues. Je remets entre autres le bonsoir de Maman ! Je demande à Stéphanie de venir avec moi trouver le médecin pour savoir si nos amis peuvent venir rendre visite à Julien. Elle trouve aussi que c’est une très bonne idée. Il se fait tard et il est donc temps d’aller dormir. Les deux filles vont dans la chambre d’ami et moi je vais dans la chambre de David. Nathan lui va dans sa propre chambre. Les filles sont passées par la salle de bain. Pendant ce temps Nathan vient dans la chambre de David, nous retrouver ! Il voulait s’excuser pour ce qui s’était passé durant la nuit précédente. Je lui ai dit que cela n’avait pas d’importance et que je ne lui en voulais pas du tout. David ajoute alors que cela fait partie de certaines expériences qui se passent entre cousins et que c’était sans gravité. Nathan repart le cœur léger en direction de sa chambre. Moi, de mon côté, bien que David m’eût déjà vu nu, je ne veux pas lui imposer d'être sans pyjama, tout au moins de boxer ou pantalon pour dormir avec lui dans son lit ; ce qui s’est passé avec Nathan la nuit précédente, m’a fait réfléchir sur le fait que je ne dois pas imposer ma nudité aux autres, mais d’avoir leur aval pour rester « in naturalibus » ! Je n’ai pas de pyjama et je demande à mon cousin de m’en prêter un. De bon cœur David me passe l’un des siens. Nous sommes couchés dans le lit et nous discutons ensemble. On frappe à la porte de la chambre, ce sont les deux filles. Elles s’excusent de venir nous déranger. Elles semblent tellement déprimées. C’est Stéphanie qui est la plus marquée. C’est probablement le contre-coup des événements. Il y a eu l’accident, la mort de ses parents, son frère Julien dans le coma, les funérailles à organiser, l’enterrement en lui-même et ensuite son frère. C’est beaucoup à gérer malgré l’aide qu’elle a pu avoir auprès de mes parents. Ce n’est pas évident de tenir la tête hors de l’eau dans ces circonstances. Je me lève et je viens faire un énorme câlin à Stéphanie. Elle a les larmes aux yeux, je suis aussi assez près de devenir une fontaine. Je me retiens, mais j’ai du mal. Stéphanie est pour moi une personne importante, elle est la sœur de mon amour mais aussi la compagne de ma propre sœur, ça fait pas mal de liens ! Je lui dis que je serai là pour Julien mais aussi pour elle. Delphine ne sait plus trop quoi dire, elle me dit qu’elle ne sait plus comment s’y prendre. Je lui suggère de rester attentive à Stéphanie et de ne pas se mettre Martel en tête, que l’amour saura lui dire ce qu’il faut faire au moment venu ! Moi-même je suis aussi désemparé que Stéphanie, je souhaite tellement que Julien redevienne comme avant, mais je sais qu’il n’en sera pas ainsi. Je sais que son caractère va changer, qu’il aura une autre perception de notre amour à la suite de cet accident, à la suite de son coma et à la disparition de ses parents. Mais il faut que je prenne sur moi, que je me remette aussi en question et que j’accepte que les choses soient un peu différentes. C’est la vie et ses aléas. Finalement les deux filles nous quittent après une bonne heure de discussion. Nous avons parlé de Julien, bien entendu, puis de la suite de leur vie. De la maison, des études, du transfert de Julien vers Bruxelles, des suites de l’accident, … etc. David me regarde et me dit que je vais avoir beaucoup de choses à faire tant pour Julien que pour Stéphanie et aussi pour Delphine. David comprend toute l’importance d’avoir de l’aide pour survivre après un cataclysme pareil dans une famille. Il me dit que si j’ai besoin de son aide, s’il peut en apporter, qu’il est disponible. Il est passé minuit, il est temps de dormir. Nous nous endormons enfin, même si je pense encore à mon Juju d’amour ! Je ne sais pas quelle heure il est, je fais un cauchemar : « Julien est mal, son cœur s’est arrêté, les médecins sont autour de lui, on entend ce bip continu, strident, dérangeant et obsédant. Il s’arrête ! Il est temps. Julien est blanc. Puis une nouvelle fois le bip se fait entendre, je suis mal, je suis à côté de Julien, mais je suis impuissant, je ne sais rien faire, j’ai peur. Je ne veux pas que Julien s’en aille, qu’il parte je ne sais où. Le bip s’arrête ! » Je suis trempé ! » David est réveillé, il me secoue, il se rend compte que je ne suis pas bien, que j’ai fait un cauchemar. Le lit est mouillé, je me suis pissé dessus. David me dit que ce n’est rien, il est lui aussi en partie mouillé par mon urine. Il me dit qu’il est six heures du matin et que nous allons bientôt nous lever. Pour ma part je me lève et je vais à la salle de bain pour me laver. David s’occupe de son lit. Je suis mal, je ne comprends pas pourquoi je me suis laissé aller comme ça dans le lit. Je prends une bonne douche. Alors que je suis sous le jet, David entre dans la salle de bain et ôte son pyjama ; Il vient me rejoindre sous le jet. Il ne dit rien, nous nous savonnons en silence. Une fois séchés, nous quittons la salle de bain et nous rencontrons ma Tante Françoise dans le hall de nuit. Nous voyant nus, elle comprend qu’il s’est passé quelque chose. Directement je lui dis que j’ai eu un cauchemar et que j’ai uriné dans le lit. J’ai des larmes de honte qui me montent aux yeux. Ma tante le remarque immédiatement et vient m’enlacer en me disant que ce n’est pas grave. Il n’empêche, j’aurais bien voulu éviter ce genre de problème. Nous nous habillons David et moi avant de nous rendre à la cuisine où ma tante a préparé une bonne tasse de café. Je m’excuse encore une fois auprès de ma tante pour cet incident. Elle me dit de ne pas m’en inquiéter. Puis c’est David qui ajoute que ça lui arrive encore de temps en temps de faire dans son lit ! Nous affichons alors un sourire conventionnel. Nous entendons du bruit, finalement, nous sommes rejoints par les filles, qui elles aussi, n’ont pas beaucoup dormi. La journée va encore être longue, il va falloir discuter avec les médecins en vue de faire transférer Julien vers Bruxelles. Puis il y a le reste, les suites de l’accident. Ce que les assurances vont prendre en charge, … etc. En ce 01/01/2021 je vous souhaite à toutes et tous une très bonne et heureuse année 2021. Que l'an neuf vous apporte la paix, de la joie tous les jours, du bonheur à partager et la santé pour aimer ! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 02-01-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil se sent plus léger, Julien l'aime toujours. Pour les deux filles, c'est différent, elles dépriment un peu. Les vont trouver Phil et discutent une bonne heure avec lui et parlent des suites de l'accident: gestion de la maison, des assurances, de différentes choses qui vont devoir trouver une solution assez vite. Merci pour tes bons vœux. Je te souhaite moi aussi une très bonne année 2021, Santé, Bonheur, Joie et Amour. Je t'embrasse Philippe Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-01-2021 (02-01-2021, 02:46 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui Phil a retrouvé son amour, il a retrouvé son Julien. Bien entendu les deux garçons vont devoir écrire de nouvelles pages, ensemble en faisant attention l'un à l'autre. Les cicatrices même intérieurs sont parfois difficiles à guérir. Oui les deux filles pensent à l'avenir et au échéances liées à la vie de tous les jours! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement! Je t'embrasse! Philou |