Récits érotiques - Slygame
Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable

+- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr)
+-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3)
+--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12)
+--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74)



Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 19-12-2020

Chapitre 3.

Au petit matin, alors que nous étions encore endormis, Stéphane avait quitté la chambre qu’il occupait avec ses deux jeunes cousins. Il était sorti de la maison sans faire de bruit en passant par la buanderie qui donnait directement au jardin. Il est directement allé vers la tente dans laquelle je dormais à côté d’Henri. J’ai été réveillé par la tirette de la porte de la tente, un bruit si souvent entendu quand j’étais sous tente chez les scouts. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu la tête de mon cousin Stéphane passer entre les deux battants de toile de la porte de tente. Stéphane me regardait avec des yeux envieux, il venait de voir qu’Henri et moi avions dormi dans le même sac duvet (nous avions relié nos deux duvets pour ne plus en faire qu’un) et il pensait que nous avions certainement passé un bon moment la veille au soir. Stéphane entra dans la tente. (C’était une tente de trois personnes et il y avait donc assez de place) Stéphane était encore en pyjama, plus exactement en pyjama short. Je lui fis signe de venir près de moi. Il se place à côté de moi, au-dessus du duvet. Il me murmura à l’oreille « As-tu passé une bonne nuit ? » je lui répondis « oui, très bonne ». Il ajouta alors « As-tu passé un bon moment avec Henri ? », je lui répondis « oui, un très bon moment ». Il me dit encore « Phil, (il m’appelait par mon surnom) il faut que je te dise, j’ai aussi envie de passer un bon moment avec toi, j’ai rêvé de toi hier soir et j’ai envie de … » Je venais de mettre ma main sur sa bouche pour qu’il ne dise plus rien. Je lui ai alors donné un baiser sur les lèvres. Je lui ai ôté sa veste de pyjama et son short. Mon cousin Stéphane bandait déjà, son sexe n’était pas très long, un peu fin, il n’était pas circoncis et était à demi bandé. Il avait déjà une belle toison au niveau du pubis et il avait quelques poils aux jambes. Son visage était fin, et un fin duvet naissait sous le nez. Un fois nu, j’ai fait un peu de place à côté de moi dans le sac duvet pour que Stéphane puisse y entrer. Stéphane a vu que nous étions aussi à poil dans le duvet que nous avions passé la nuit dans cet état. Stéphane mis alors une main sur ma cuisse. De mon côté j’avais aussi placé une main sur son torse. La main de Stéphane se glissa vers mon entrejambe. Je me laissais faire. La main de Stéphane remonta vers le périnée. Sa main buta sur mes bourses. Je me suis mis aussi à caresser le torse de Stéphane, descendant vers le ventre et ensuite vers le bas du ventre. Stéphane pris dans sa main mon sexe bandé et se mit à faire de mouvement de va et vient. Ma main descendit plus bas et vient enserrer le sexe bandé de Stéphane. Je me suis mis à branler la queue de mon cousin. Je sentais que la respiration de Stéphane était de plus en plus rapide, je sentais son sexe palpiter dans ma main, je sentais qu’il allait bientôt arriver au point de non-retour, j’ai ralenti le mouvement pour qu’il ne jouisse pas trop vite. De mon côté je sentais que ma sève n’était pas encore prête à jaillir. Je laissais Stéphane me donner du plaisir, mais je sentais qu’il était proche de l’orgasme et qu’il allait lâcher son foutre d’un moment à l’autre. C’est alors qu’Henri, qui venait d’ouvrir les yeux, nous dit « Alors les cousins, un peu d’aide ! » C’est à ce moment précis que Stéphane éjacula dans ma main. Il lâcha ma queue, rompu par le plaisir qu’il venait d’avoir. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Échauffé par ce qu’il venait de voir, Henri se saisi de mon sexe et se mit à me branler. J’ai avancé ma main et j’ai découvert le sexe d’Henri déjà bien dur, je l’ai saisi et je l’ai branlé. Du coin de l’œil je voyais Stéphane nous regarder avec plaisir. Henri et moi nous nous sommes fait plaisir devant Stéphane. Nous avons profité du moment présent, nous nous sommes fait monter, nous avons senti monter nos sèves dans nos queues, nous avons éjaculé presque au même moment dans un gémissement de bonheur. Ensuite nous nous sommes roulés une pelle, nous titillant la langue. Puis une fois la tension redescendue, nous sommes restés coucher une demi-heure en compagnie de Stéphane.

Nous nous sommes ensuite levés. Nous sommes allés prendre une bonne douche dans la salle de bain, douche que nous avons pris à trois. Nous nous caressions les uns les autres, nous avons une nouvelle fois rebandé et nous nous sommes masturbés mutuellement à trois. Je masturbais Henri, Henri s’occupait de Stéphane et finalement Stéphane me branlait. Nous avons éjaculé presque en même temps. Nous avons fini par nous laver.
La journée s’est déroulée à jouer dans le jardin, nous avons été faire une ballade en vélo, nous avons mangé une glace à la boulangerie du village. Nous étions contents d’être ensemble. Mais je savais que notre séjour allait toucher à sa fin, je savais que Henri et moi nous devions bientôt partir pour rentrer chez nous.
Le soir Henri et moi nous avons rejoint la tente. Nous nous sommes couchés dans notre grand duvet. Nous avons discuté du fait que nous devions bientôt repartir et nous avons calculé qu’il ne restait plus qu’un jour complet à passer en compagnie de mon cousin Stéphane. Comme j’allais m’endormir, j’ai senti sur ma cuisse la main d’Henri, elle me caressait la cuisse. Ce seul contact me fit bander très vite. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Puis nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés les fesses, le dos. J’aimais bien qu’Henri me caresse de la sorte, il avait l’art de faire passer le temps, de revenir sur une partie du corps pour ensuite la quitter et puis une nouvelle fois y revenir. J’ai alors eu envie de goûter au sexe d’Henri. Je lui ai dit que je voulais le sucer, il m’a dit oui et nous nous sommes retrouvés têtes bêches. Je donnais des baisers à la queue d’Henri, je laissais ma langue aller de bas en haut et haut en bas sur elle, je titillais de temps à autre son gland. Henri de son côté calquait ses caresses buccales sur les miennes. Il avait fait beaucoup de progrès. Nous nous sucions avec avidité lorsque j’ai vu la tête de Stéphane passer sous la porte de la tente. J’ai poursuivi la pipe que je faisais à Henri et Henri de son côté n’avait pas vu Stéphane. Stéphane est entré et s’est placé à côté de nous. Il avait le sexe bandé sous son short de pyjama. Il l’a ôté et s’est masturbé en nous regardant nous sucer. Ça m’a fait décharger assez vite dans le fond de la gorge d’Henri qui lui est venu quelques instants après moi. Voyant ça Stéphane a déchargé dans sa main. Nous nous sommes essuyés et nous nous sommes couchés tous les trois pour reprendre nos esprits. Stéphane était heureux, ça se voyait car il avait un large sourire aux lèvres. Je lui ai demandé si ce qu’il avait vu lui avait procuré du plaisir. Mon cousin Stéphane m’a répondu qu’il avait apprécié ce moment-là, qu’il avait aimé me voir avec Henri dans un 69 qu’il venait de voir pour la première fois. Il se demandait si ça faisait mal, si les dents pouvaient faire mal, il nous demandait quelle sensation et quel goût pouvait avoir le sperme, bref il s’intéressait à la fellation. Je lui ai dit de retourner dans sa chambre et que nous en reparlerions demain. Stéphane m’a souhaité une bonne nuit en me laissant un baiser sur les lèvres et il fit de même avec Henri.

Au matin, en nous réveillant, nous avions que ce serait la dernière journée que nous allions passer avec mon cousin Stéphane. En effet ma mère devait venir nous reprendre dans le courant de la matinée du lendemain. Bref nous comptions bien profiter de cette dernière journée. Une fois à table pour le petit déjeuné, juste avant le départ de mon oncle pour sa journée de travail, je lui ai demandé si nous pouvions partir toute la journée en vélo et pique-niquer en cours de route. Mon oncle ne dit rien durant quelques secondes, on voyait qu’il réfléchissait. Puis d’un large sourire il nous dit : «  bon les enfants, c’est d’accord, mais pas de bêtises, soyez rentrés pour le goûter ». Nous étions tous les trois très heureux de cette décision. Nous étions impatients de pourvoir partir avec les vélos au travers de la campagne. Nous avons préparé notre casse-croûte avec ma tante et dans les minutes qui suivaient nous étions sur la route. Nous avons roulé quelques kilomètres en direction de la rivière. Arrivés sur place nous avions trouvé un endroit calme où la rivière serpente au travers d’un petit bois. Nous avions trouvé une petite étendue d’herbe tendre. Nous nous sommes couchés sur ce doux matelas. Nous reparlions de ce nous avions vécu durant ces quelques jours. La matinée a passé très vite. Nous avons mangé notre casse-croûte en blaguant et en racontant des histoires drôles. Puis une fois le ventre plein nous nous sommes endormis dans l’herbe tendre sous un rayon de soleil tamisé par les branches des arbres qui nous entouraient. Après une bonne heure de sieste nous nous sommes réveillés. Henri nous disait qu’il avait envie d’aller un peu dans l’eau de la rivière. Nous avons aussi accepté et nous nous sommes déshabillés pour aller nager dans la rivière. Nous étions nus, pas de maillot et puis il n’y avait personne à l’horizon. Nous nous sommes éclaboussés, nous avons ris, nous avons passé un bon moment. Nous nous sommes ensuite étendus au soleil pour nous sécher. Stéphane me regardais, il regardait mon corps chauffé par le soleil. Il se rapprocha de moi. Je sentais alors la chaleur de son corps collé au mien. Stéphane m’a souri. Henri lui aussi était à côté de moi, il s’est aussi rapproché et j’avais à côté de moi mon amour de vacances et mon cousin adoré. Je voyais que leurs sexes étaient à demi bandés. Le mien se mit aussi à prendre de l’ampleur, Stéphane et Henri s’en apercevaient aussi. Stéphane me dit alors : « veux-tu me sucer », je me suis retourné vers Henri qui me fit signe oui de la tête, Henri était d’accord. J’ai donné un baiser sur les lèvres d’Henri et puis je me suis retourné vers Stéphane. Je me suis approché de sa bouche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, j’ai ouvert ma bouche pour laisser ma langue sortir et nos langues se sont titillées. Je me suis ensuite occupé de son sexe, j’ai placé ma bouche au dessus de son sexe, l’ai léché le bout de cette tige et puis j’ai avalé cette queue jusqu’à la garde. Je me suis mis à faire des mouvements de va et vient sur cette barre de chaire, j’ai pompé le sexe de mon cousin, j’en rêvais depuis quelques temps. Je sentais à sa respiration que Stéphane allait bientôt décharger, qu’il était au bord de l’éjaculation, j’ai accéléré mes caresses buccales et mon cousin a lâché quatre jets de sperme au fond de ma gorge. J’ai gardé cette semence dans ma bouche et j’ai donné un baiser à Stéphane qui lui aussi a pu goûter son sperme. Henri lui était toujours à nos côté, le sexe bandé attendant qu’on s’occupe de lui. Stéphane m’a fait un clin d’œil et s’est occupé du sexe bandé d’Henri. Stéphane s’est mis à faire une pipe à Henri, je voyais qu’Henri appréciait aussi les caresses buccales prodiguées par mon cousin. Cela n’a pas pris beaucoup de temps avant qu’Henri ne décharge au fond de la gorge de Stéphane. Comme avec moi, Stéphane à fait goûté à Henri son sperme par un baiser échangé. J’étais heureux de voir Henri et Stéphane s’appréciaient ainsi. Puis mes deux amis me voyant le sexe bandé et ne pouvant pas me laisser dans cet état-là, se sont mis à me caresser à deux, ils m’ont caressé partout sur le corps, ils m’ont branlé à deux et j’ai assez vite déchargé sur mon ventre. Puis avec leurs langues ils m’ont léché le ventre pour le nettoyer et aussi pour goûter à ma semence.
Nous nous sommes rhabillés et nous avons repris nos vélos pour rentrer avant le goûter à la maison.
La soirée s’est déroulée très calmement. Nous nous sommes endormis assez vite, nous étions fourbus par cette journée en plein air.
Au matin, après le petit déjeuné, Henri, Stéphane et moi nous avons replié la tente. Nous avions refait nos valises. Ma mère était annoncée pour les dix heures. A dix heures juste, elle arrive. Elle était assez pressée de rentrer car elle avait encore pas mal de choses à faire. Henri et moi avons dit au revoir à ma tante et à mon cousin Stéphane.

La fin des vacances approchait, et nous avions Henri et moi envie d’encore passer quelques bons moments ensemble. Je propose alors à Henri de venir dormir à la maison. Henri demanda à ses parents la permission de loger chez son ami Phil ; ils acceptent tout de suite voyant la mine réjouie de leur fils Henri.
Une fois arrivé à la maison, Henri fit la connaissance de ma sœur Anne, très élancée, cheveux blonds assez longs, presque 18 ans et de mon petit frère Jean âgé de 15 ans, 1,60 m, 55 kg, cheveux mi-longs châtain clair. Mes parents devaient rentrer dans une bonne heure. Henri et moi nous sommes montés dans ma chambre et nous avons mis un peu de musique et nous nous sommes assis sur mon lit pour regarder quelques BD d’Astérix.
Mes parents sont enfin arrivés. Nous sommes alors descendus pour les saluer. J’ai présenté Henri. Maman a donné une bise à Henri sur la joue ; Henri lui dit « bonjour madame », elle lui a répondu, « non pas de madame qui tienne, moi c’est Jacqueline », Henri : « oui, bonjour Jacqueline ». Mon père serra la main d’Henri et lui dit : « moi c’est Jean-Claude », Henri répondit : « bonjour Jean-Claude ». Maman l’a trouvé très mignon. Nous avons alors dîné tous ensemble et avons parlé de tout et de rien. Une fois le repas terminé nous avons débarrassé la table pour aider ma maman. Nous avons rejoint mon père, ma sœur Anne et mon frère Jean au salon où nous avons regardé la télé. Vers 22 heures nous avons souhaité une bonne nuit et nous sommes remontés dans ma chambre.

Maman avait préparé un matelas gonflable pour Henri ainsi qu’un sac de couchage. Voyant le matelas et la tête d’Henri, je lui dis de ne pas s‘inquiéter, que nous irions dans mon lit. Tout de suite Henri me pris dans ses bras et serra fort. Il déposa sur ma bouche un petit baiser plein de tendresse. Nous nous sommes allongés sur mon lit pour nous caresser et nous embrasser à pleine bouche.

Nous nous sommes déshabillés mutuellement en commençant par les t-shirts, le pantalon et ensuite les slips. Henri avait déjà la verge à moitié tendue, la mienne était dans le même état. Nous nous sommes caressés, j’ai mordillé le bout de ses petits tétons, je suis descendu jusqu’à son nombril et ensuite je suis arrivé avec la bouche à hauteur de sa hampe dressée. J’ai léché le gland déjà un peu humide pour ensuite prendre à pleine bouche la barre de chaire bandée de mon chéri Henri. Je me suis appliqué à lui procurer le plus de sensations possible et ainsi lui donner un très grand plaisir avec ma bouche. Je prenais de mon côté un très grand plaisir à jouer avec la bite d’Henri avec la bouche. Je voyais qu’Henri respirait de plus en plus vite, il se contractait au fur et à mesure que je le suçais, je savais qu’il était sur le point d’éjaculer. Henri me fit savoir qu’il allait venir en tentant de me faire reculer pour ne pas inonder ma bouche avec son foutre. J’ai continué car je voulais recevoir son nectar en entier. Henri se cabra alors et cinq jets se sont écrasés au fond de ma gorge. J’ai tout avalé pour ensuite nettoyer le pénis d’Henri avec ma langue. J’ai alors entendu d’une voix chevrotante « Merci Phil, je t‘aime tu sais ».

Henri descendit sa tête vers mon entre jambe pour y trouver mon vis dressé vers le ciel. Il happa alors mon sexe et se mis à faire de mouvements de va et viens avec sa langue dans sa bouche. Il suçait mon gland de manière divine, il alternait la pressions faite avec ses lèvres sur mon sexe, il me taillait une pipe d’enfer. Il avait pris de l’assurance ce petit mec ! Puis sentant que j’allais bientôt décharger, je fis signe à Henri que j’allais venir, il poursuivi son ouvrage autour de ma bite et malaxant mes deux boules. Puis dans un cri de grande satisfaction j’ai éjaculé comme jamais dans la bouche de mon aimé. Henri a avalé toute la quantité de sperme que j’avais laissé partir dans sa bouche. Je me suis penché vers Henri et je l’ai embrassé alors qu’il avait encore un peu de mon sperme au coin des lèvres. Nous avons donc partagé un peu de ma semence dans un baiser fougueux. Puis j’ai glissé à l’oreille d’Henri : « merci mon petit mec, c’était super, je t’adore ».
Nous sommes restés allongés l’un à côté de l’autre, sans rien dire.

Une bonne heure s’était écoulée quand nous avons repris nos caresses et nos baisers. Nos sexes se sont très vite réveillés pour pointer vers le haut. Je me suis penché vers Henri pour lui demander s’il était d’accord pour aller plus loin. Henri m’a regardé dans les yeux et j’y ai vu cette lueur angélique que le caractérisait lors du camp scout. Puis il me demande : « ça va faire mal Phil, j’ai un peu peur ». Je lui ai répondu que c’était une inconnue pour moi aussi, car je n’avais jamais sodomisé quelqu’un auparavant ! Puis avec son sourire de bel ado, il m’a fait comprendre qu’il était partant. J’ai alors pris dans la table de nuit deux capotes et du lubrifiant que j’avais piqué à ma sœur Anne. J’ai proposé à Henri de le laissé commencer, mais il a préféré que ce soit moi. J’ai enfilé le préservatif sur mon membre dressé, je l’ai enduit de lubrifiant alors qu’Henri s’était placé de façon a m’offrir son anus. J’ai placé mon sexe à l’entrée de sa grotte et j’ai progressé petit à petit dans son anus en avançant puis en reculant en lui demandant s’il avait mail. Pour finir je suis parvenu par introduire tout mon membre dans les entrailles de mon très cher Henri. De son côté mon Henri gémissait un peu, je lui redemandais s’il avait mal, et chaque fois il me disait, un peu mais ça va, continue. Puis j’ai commencé des vas et viens dans sa grotte, Henri disait : « oui, vas-y, oui, c’est super, … » Je sentais que je n’étais pas loin de tout envoyer et puis dans un râle j’ai déchargé tout mon foutre au fond la capote. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance. Henri de son côté était aux anges, il avait lui de son côté aussi éjaculé sur les draps de mon lit tellement il avait ressenti une grande jouissance. Henri avait aimé se faire mettre par son nouvel amant !
Puis, le temps de se remettre de nos ébats, ce fut au tour d’Henri. Il me demanda si je voulais bien qu’il me fasse l’amour, qu’il me prenne lui aussi ! Je lui ai donc passé une nouvelle capote qu’il s’appliqua à enfiler sur son sexe en érection. Puis je me suis place de façon à offrir à Henri mon derrière complètement béant pour qu’il puisse enfin me faire connaître les joies de la copulation anale. Henri se mit un peu de lubrifiant sur le sexe recouvert et aussi sur mon anus, puis le présenta entre mes fesses. Il attendit un moment, il hésitait encore. J’ai alors dis à Henri que je l’aimais et qu’il pouvait dès lors prendre possession de mon corps et ainsi passer à l’acte le plus important pour deux garçons qui s’aiment, l’amour gay. Henri se repris et pressa l’antre de ma caverne anale avec son sexe bandé, il introduisit son membre centimètre par centimètre pour finir par arriver à la garde, ses couilles venant se poser entre mes fesses. Je n’ai pas eu mal du tout, il faut dire que le sexe d’Henri est plus fin que le mien ce qui fait que je n’ai senti que le passage en douceur et volupté de son sexe bandé. Henri se mit à faire des mouvements de vas et viens dans mes entrailles, je n’ai pu m’empêcher de gémir assez fort tellement je ressentais une jouissance jamais ressentie auparavant !  Henri prenait de l’assurance et me labourait l’anus avec frénésie. Mon sexe était hyper bandé et puis au moment où j’ai senti qu’Henri éjaculait dans la capote j’ai lâché 5 jets de sperme sur mon lit dans une sensation de bien-être absolu jamais ressenti avant. Une fois qu’Henri a quitté mon anatomie, je me suis affalé sur mon lit en murmurant « merci » à mon amant !
Nous sommes restés côté à côte un bon moment pour reprendre nos esprits.



Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 19-12-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Ils n'arrêtent pas, ils sont intarissables! Une partie de branlette à trois, non deux parties.
Chaud, oui chaud dans l'entre-jambe!
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 19-12-2020

(19-12-2020, 03:18 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Ils n'arrêtent pas, ils sont intarissables! Une partie de branlette à trois, non deux parties.
Chaud, oui chaud dans l'entre-jambe!
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Oui, ils n'arrêtent pas. Les hormones sont hypers actifs chez eux.
Ils finiront par se calmer quand ils rentreront chez eux.

Très bon week-end à toi également!

Je t'embrasse!

Philou


Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 19-12-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Il ne se gêne pas Stéphane, venir dans la tente de son cousin. Henri aurait pu être jaloux, ce n’est heureusement pas le cas et ils remettent ça sous la douche puis le soir, et encore bien d’autres fois…

Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse.
Daniel


Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 19-12-2020

(19-12-2020, 08:21 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Il ne se gêne pas Stéphane, venir dans la tente de son cousin. Henri aurait pu être jaloux, ce n’est heureusement pas le cas et ils remettent ça sous la douche puis le soir, et encore bien d’autres fois…

Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse.
Daniel

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui les trois garçons sont sans gène, ils se dévergondent! Henri et Phil se laissent aller avec le cousin, ce sont les hormones qui débordent et qui fait que les garçons se lâchent.

A toi aussi un très bon week-end!

Je t'embrasse!

Philou


Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 22-12-2020

Chapitre 4.

Les parents.

Épuisés, nous nous sommes endormis dans mon lit, nus, fourbus mais heureux d’avoir fait l’amour, ensemble, d’un commun accord, sans contrainte et avec amour et tendresse.

Alors que j’ouvrais les yeux, à la lumière du soleil passant un peu au travers des tentures, j’ai vu, couché à mes côtés Henri, mon nouvel amant. Il dormait encore mais il donnait déjà des signes d’éveil imminent. J’ai alors déposé un baiser sur sa joue gauche. Il ouvrit les yeux et nos bouches se sont rencontrées, elles se sont ouvertes et nous nous sommes embrassés, nos langues se mélangeant avec frénésie.

J’ai proposé à Henri d’aller à la salle de bain pour prendre une bonne douche, en lui précisant que mes parents étaient déjà partis au travail. Nous nous sommes levés, nus. Nous étions dans le hall de nuit en direction de la salle de bain lorsque nous avons vu la porte de la salle d’eau s’ouvrir et ma sœur Anne en sortir, nue, elle aussi. Henri mit ses mains sur son sexe tandis que moi je n’y prenais garde. Ma sœur a alors dit en nous toisant du regard : « alors les amoureux, bien dormi ! ». Henri est devenu rouge pivoine et moi de même ! Ma sœur ajoutant alors « vous n’êtes pas très discrets les mecs ! ». Nous entrons dans la salle de bain, sans un mot. Puis je précise à Henri, chose que j’avais oubliée de lui dire, que la famille était « naturiste » et qu’il arrivait régulièrement que nous nous promenions nus dans la maison. Henri eu l’air étonné mais me fit ensuite un clin d’œil complice, montant que cela ne le dérangeait pas du tout. Nous nous sommes mis sous la douche, douche à l’italienne très large pouvant laisser assez de place à deux ou même trois personnes. Nous nous sommes mis à nous doucher. Puis à un moment la porte de la salle de bain s’est ouverte et c’est mon frère Jean qui entrait, nu ! Directement, comme ma sœur, il nous dit en souriant : « Ça va les amoureux ! » et sans rien ajouté, il nous rejoint sous la douche. Jean dit alors : « Ne vous inquiétez pas, ça ne me dérange pas, homo, bi ou hétéro, je n’en rien à faire. De toute façon Phil, tu es mon grand frère et je t’aime comme tu es. Ce qui ne gâche rien c’est que ton mec est très sympa et que je suis content de voir que c’est un super gars et que vous allez très bien ensemble ! »

Nous avons pris une douche ensemble, à trois. Henri m’a lavé le dos et j’ai fait de même avec lui. Jean dit alors « Et moi alors » ; Henri se mit sans ambages à laver le dos de mon frère. Cette situation assez particulière provoqua une hausse de la température et nos trois sexes se redressaient. Henri me regarde alors avec insistance, moi de mon côté je tentais de voir ce que mon frère allait faire. Jean, s’est mis à faire deux ou trois mouvement de vas et viens sur sa bite tendue. Je lui ai fait un clin d’œil et j’ai posé ma main droite sur le sexe bandé de mon mec et j’ai commencé à le masturber. Henri voyant la situation plaça sa main sur mon mat de cocagne et se mit à lui rendre hommage.

Jean continuait à se branler. Il avait un sexe assez fin, une toison noire et les boules étaient presque sans poils. Mon jeune frère se caressait le membre comme un jeune ado plein de fougue. Il nous regardait, Henri et moi, en train de nous donner du plaisir mutuellement. Henri me masturbait lentement, il prenait son temps pour ne pas brusquer les choses. Moi de mon côté je décalottais la verge d’Henri. Je faisais coulisser son prépuce en découvrant et en recouvrant son gland au fur et à mesure entre deux doigts. Jean n’avait d’yeux que pour nos anatomies dressées. Henri et moi nous nous donnions du plaisir et nous prenions tout notre temps ; nous savourions nos caresses mutuelles et par la suite nous entendions que la respiration de Jean qui était de plus en plus bruyante, nous savions qu’il allait bientôt épandre se semence sur le sol de la douche. L’eau coulait toujours sur nos corps en rut, elle était presque chaude et apportait un plus à nos ébats. En voyant Jean se palucher avec ardeur et en l’entendant respirer de plus en plus fort nos sexes respectifs ont encore pris un peu plus d’ampleur. Puis dans un râle d’extase Jean laissa gicler quatre longs jets de sperme, jets qui se sont écrasés sur le mur de la douche. Jean avait un sourire ébahi qui en disait long sur ce qu’il venait de ressentir. Suite à cela, Henri et moi, nous avons accéléré nos mouvements masturbatoires et nous avons éjaculé en même temps dans des râles retenus. Nos jets de spermes se sont retrouvés dans nos mains branleuses. Je n’ai pu m’empêcher de goûter à la semence qu’Henri avait laissée sur ma main. Jean, en voyant ça, en est resté bouche-bée, en disant « wouah » ! Henri s’approche alors de moi et rapproche sa bouche de la mienne, je ne recule pas et devant mon frère nous nous embrassons à pleine bouche nos langues se titillant l’une l’autre échangeant un peu de sperme d’Henri. Jean était médusé tout en ne ratant rien de ce qu’il venait de voir. Jean nous dit alors : « eh bien les mecs on voit que vous vous aimez » !
Nous avons alors terminé notre douche en nous savonnant mutuellement. Nos sexes avaient repris leur taille au repos.
Une fois sortis de la douche nous nous sommes séchés avant de rejoindre nos chambres, Jean la sienne et Henri et moi, la mienne. Nous nous sommes regardés Henri et moi et nous nous sommes mis à rire de ce qui venait de se passer. C’est la première fois que je voyais mon frère se branler devant moi et de même que je me fasse branler par mon « amant » devant lui. C’était très, très chaud.

Nous nous sommes retrouvés pour le petit-déjeuner à quatre, ma sœur Anne, mon frère Jean, Henri et moi. Nous n’avons pas parlé de ce qui venait de se passer dans la salle de bain. Nous avons parlé de chose et d’autre. Ma sœur nous regardait Henri et moi, chacun à notre tour, et puis elle dit : « Vous êtes super les mecs, vous allez bien ensemble, je vous adore ! » Elle ajouta : « En ce qui concerne les parents, je ne sais pas ce qu’ils vont dire à la suite des bruits spéciaux entendus en début de nuit ! ; en ce qui me concerne, ça ne m’a pas dérangé !» Jean ajouta à son tour : « Phil, pour moi, comme je l’ai dit ce matin, je m’en fout, homo, bi ou hétéro, tu es mon frère et je t’aime comme tu es ! » Il ajoute ensuite : « J’allais oublier, je t’adore aussi Henri, tu es un mec sympa ! ».

Je me mis à me demander ce que les parents allaient me dire quand ils rentreraient à l’issue de leur journée de travail. Henri vit que mon regard s’était assombri. Il regarda tour à tour Anne, Jean puis moi. Je vis que la tête d’Henri changeait, qu’il avait les yeux qui s’humidifiaient. Deux larmes se mirent à couler sur ses joues. Henri ne pipait mot, il restait ainsi prostré. Je me suis levé et j’ai pris Henri dans mes bras pour l’enlacer et essuyant ses larmes. Puis, d’un coup ma sœur Anne est venue nous prendre dans ses bras en nous disant : « Ne vous inquiétez pas, je pense que les parents ont l’esprit assez large et qu’ils comprendront ce qui vous unis. Je vous aime mes deux loulous ! ». Elle nous donna une bise sur la joue à chacun. Voyant ce que ma sœur venait de faire, je me suis aussi mis à pleurer, tant d’amour ainsi partagé avec ma sœur et mon frère, je dois être le plus heureux des mecs et en plus ils apprécient mon petit copain.
Finalement nous nous sommes tous mis à rire de bon cœur.

Nous avions passé, Henri et moi, le reste de la matinée à jouer à des jeux vidéo. Henri était parti juste avant le dîner, il devait rentrer chez lui.

J’étais resté l’après-midi à la maison en compagnie de ma sœur et de mon frère. Nous avions rangé nos chambres et remis un peu d’ordre dans le salon et dans le jardin.
Nous attendions nos parents pour le souper. C’est Anne et moi qui avions préparé le repas. Nous avions cuit un rôti, préparé un choux fleur gratiné au four ainsi que des pommes de terre vapeur. Pour le dessert, Anne avait fait de la mousse au chocolat.

Vers les 20 heures, nos parents étaient rentrés. Nous avions pris l’apéro, soit deux gin orange pour les parents et nous des softs.

Nous étions passés à table et nous avions mangé de bon appétit le repas tout en parlant de chose et d’autre. Moi je ne savais pas ce qu’il allait se passer après ma nuit avec Henri. Je ne savais toujours pas ce que mes parents avaient entendu, ce qu’ils pensaient de ma relation avec Henri. Au fur et à mesure que le repas avançait je commençais à avoir la boule au ventre. Anne de son côté voyait bien que je n’allais pas bien car elle jetait régulièrement un coup d’œil vers moi.

Une fois le dessert terminé, Papa et Maman demandèrent à Anne et à Jean de bien vouloir nous laisser quelques instants. J’étais devenu blême. Je m’étais assis dans un fauteuil du salon et j’attendais que Maman et Papa viennent me rejoindre.

Papa me disait alors :
Papa : « Nous avons parlé ta Maman et moi de ce qui s’est passé la nuit dernière. C’est Maman qui va t’expliquer.

Mam : Tu vois Phil, nous sommes très calmes et je vois que tu n’est pas dans ton assiette depuis quelques minutes.

Moi : Oui je me doute bien que vous vouliez me parler ; j’ai la boule au ventre !

Mam : Ne t’inquiète pas, rassure-toi, nous n’allons pas te « manger », nous voulons juste avoir une petite conversation avec toi.

Moi : Oui, …je vous écoute.

Mam : Je me suis rendue compte et ton père aussi, que tu avais une relation assez particulière avec Henri. Nous l’avons déjà vu quelques fois ici à la maison et je sais que c’est un très gentil garçon. Henri est resté loger hier soir dans ta chambre et c’est très bien, je n’ai rien à y redire. La seule chose, c’est que nous n’avions pas imaginé que vous aviez tous les deux une relation si forte entre vous.

Moi : Oui, …je…ne sais pas…quoi….

Mes larmes coulaient sur les joues, je pleurais devant mes parents ! Maman s’était levée et s’était rapprochée de moi pour me faire un gros câlin. Elle essuyait mes larmes et me donnait un gros bisou sur le front.

Mam : Ne t’inquiète pas mon fils, tu sais que ton père et moi nous t’aimons tel que tu es. Nous ne voyons aucun inconvénient avec ta relation avec Henri. La seule chose que nous vous demandons c’est d’être discrets !

Moi : Oui Maman. C’est vrai que nous n’avons pas été discrets.

Mam : C’est pour cette raison que nous te demandons de faire attention.

Moi : Je vous aime très fort, vous n’imaginez pas le poids que vous venez de m’enlever !

Papa : Nous nous en doutons.

Nous nous étions levés et au milieu du salon nous nous étions étreints tous les trois.

Maman avait alors appelé Anne et Jean pour qu’ils viennent nous rejoindre.
Maman leurs avait expliqué ce qu'il s’était passé et elle avait ajouté que tant elle que Papa nous aimaient tous tels que nous étions.
J’avais pris ma sœur et mon frère dans les bras et je leur avais dit que je les aimais très fort. Anne ajouta :
Anne : « Phil que tu sois gay, hétéro ou bi, ça ne me regarde pas, je t’aime tel que tu es et je suis certaine que c’est la même chose pour tous les membres de la famille, ils t’aiment aussi de tout leur cœur.

Jean, Maman et Papa dirent tous ensemble : Oh que oui ! »

Maman me demandait d’inviter Henri à dîner après le week-end en vue de faire plus connaissance.
J’avais pris le téléphone portable et j’étais monté dans ma chambre. J’avais appelé Henri pour lui expliquer la conversation que j’avais eu avec mes parents et la réaction de toute la famille. J’avais aussi invité Henri à venir dîner dans deux jours, mes parents étant contents de le recevoir à la maison.

Nous avions également convenu d’aller à la piscine le lendemain après-midi.

Le lendemain, nous étions arrivés à la piscine vers 14h00. Comme il y avait beaucoup de monde nous étions donc entrés à deux dans une cabine. Nous nous étions déshabillés et avions tout de suite enfilé nos shorts de bain. Et hop dans la piscine où nous avions d’abord fait quelques longueurs histoire de se dépenser. Nous nous étions aussi amusés à nous couler l’un l’autre, à nous chatouiller, bref nous étions très contents de passer l’après-midi ensemble. Il était alors temps de sortir de l’eau et d’aller se changer.

Arrivés aux vestiaires et plus précisément des douches, Henri m’avait pris par la main et il nous entrainait dans une cabine de douche. Une fois la porte verrouillée, Henri m’embrassa sur la bouche. Il força la mienne avec sa langue. Nos salives se mélangeaient nos langues se titillaient. Nos sexes étaient bandés au max dans nos shorts de bain. Nous nous étions débarrassés de ceux-ci et nous nous étions collés l’un à l’autre. Sa pine s’était plaquée sur le lobe de mes fesses. Henri faisait des mouvements de haut en bas au niveau de ma raie tout en m’enlaçant avec ses deux bras. Il jouait avec mes tétons et me donnait de petits bisous dans le cou. Mon sexe était quant à lui dressé au maximum. J’avais alors dit à Henri, pas si vite. Je m’étais retourné et nous nous étions une nouvelle fois enlacés, nos sexes étaient plaqués l’un sur l’autre. J’avais alors pris ma main et j’avais commencé une masturbation de nos deux sexes en même temps d’une seule main. Henri était aux anges. Il avait une nouvelle fois ce regard pur et angélique qui m’avait fait craquer lors du camp scout. Henri commençait à respirer de plus en plus fort, ma respiration s’accélérait également.

L’eau chaude de la douche couvrait nos gémissements contenus. Henri dandinait du bassin je sentais qu’il allait arriver à un point de non-retour. J’avais alors relâché la pression exercée au niveau de nos membres dressés. Henri m’embrassa une nouvelle fois, dans son regard je voyais bien qu’il était heureux, heureux de ce que je lui prodiguais comme sensation mais également heureux d’être avec moi, là dans mes bras. Henri avait mis sa main sur nos sexes réunis et il avait commencé une masturbation délicate et subtile. Je voyais bien qu’Henri avait pris beaucoup d’assurance et qu’il avait fait beaucoup de progrès au niveau sexuel ; j’en étais ravi ! Puis Henri accéléra la cadence, il faisait monter la tension dans nos verges tendues, il nous prodiguait une masturbation commune d’enfer. Puis d’un coup nous sentions que nous allions arriver à l’extase ; nos corps s’étaient raidis, nos dos s’étaient cambrés et dans un râle commun nous avions joui en même temps de longs jets qui s’étaient étalés sur nos abdominaux.

Henri avait les jambes en coton tellement il avait ressenti un immense orgasme, j’avais du retenir son corps pour qu’il ne tombe sur le sol. Puis après avoir repris nos esprits, j’avais murmuré à son oreille, « Merci Henri, je t’aime. » puis je l’avais embrassé. Henri, après notre baiser, m’avait également susurré à l’oreille « Je t’aime Phil, tu ne peux pas t’imaginer. ». Nous nous étions rincés mutuellement. Nous avions remis nos shorts et nous avions repris nos effets pour nous rhabiller dans la même cabine, bien entendu.



Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 22-12-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Branlettes matinales avec Jean, pas gêné du tout de le faire avec son frère.

Phil fait son coming out à ses parents qui lui demandent d’être discrets. Je ne pense pas que c’est d’être discrets au lit, mais plutôt en dehors de la maison, pour ne pas attirer l’attention d’homophobes. Je ne pense pas qu’ils ont suivi ce conseil à la piscine…

Je t’embrasse.
Daniel



Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 22-12-2020

(22-12-2020, 11:03 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Branlettes matinales avec Jean, pas gêné du tout de le faire avec son frère.

Phil fait son coming out à ses parents qui lui demandent d’être discrets. Je ne pense pas que c’est d’être discrets au lit, mais plutôt en dehors de la maison, pour ne pas attirer l’attention d’homophobes. Je ne pense pas qu’ils ont suivi ce conseil à la piscine…

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement il y a les branlettes avec Jean, ils ne sont pas gêné, que ce soit Phil ou Jean de le faire l'un devant l'autre. Il y a une certaine complicité entre les deux frères!

Phil a fait son coming-out à ses parents qui ont accepté la situation. Ils lui demandent de faire attention à l'extérieur bien évidemment, pour éviter tout problème avec l'un ou l'autre homophobe ! Ce n'a pourtant pas été le cas dans les cabines de la piscine.

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 23-12-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Phil a fait son coming-out à ses parents, bien "obligé" après les bruits entendus par eux en soirée.
Toute la famille accepte Phil tel qu'il est. C'est une très bonne chose.
Ce genre d'acceptation ne se passe pas toujours aussi bien. Nombres de jeunes qui sont rejetés par leurs parents, leurs familles.
Merci Phil pour cette suite.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 23-12-2020

(23-12-2020, 12:18 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Phil a fait son coming-out à ses parents, bien "obligé" après les bruits entendus par eux en soirée.
Toute la famille accepte Phil tel qu'il est. C'est une très bonne chose.
Ce genre d'acceptation ne se passe pas toujours aussi bien. Nombres de jeunes qui sont rejetés par leurs parents, leurs familles.
Merci Phil pour cette suite.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Pas grand chose à ajouter.
Oui Phil et Henri n'ont pas été silencieux et toute la famille est au courant de leur liaison.
Les parents ont très bien accepté que Phil soit homo et qu'il aime Henri.
Comme tu le soulignes cela ne se passe pas toujours aussi bien dans les familles. Beaucoup de jeunes sont rejetés car ils sont différents.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire!

Je t'embrasse!

Philou


Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 24-12-2020

Chapitre 4 : (suite)

Découverte particulière.


Deux jours plus tard Henri était venu dîner à la maison à la suite de l’invitation de maman. Henri n’avait pas oublié, en entrant il avait donné deux bises à maman en lui disant : « Bonjour Jacqueline, et merci pour cette invitation à dîner. » tout en lui offrant un bouquet de fleurs !
Maman lui avait répondu « Oh grand merci pour les fleurs, Henri » et elle ajoutait, que ce n’était rien, qu’elle l’avait invité en vue de partager un moment en famille avec lui devant un bon repas. Papa rentrait à son tour à la maison. Directement Henri était venu le saluer et lui disait : « Bonjour Jean-Claude ». Merci Henri lui répondait-il.
Nous étions passés à table après avoir pris l’apéro, soit coca pour les jeunes et cocktails pour les parents. Maman avait préparé un petit buffet de charcuteries, de fromages et légumes avec du pain. Une bonne bouteille de vin blanc avait également été ouverte par papa.
Le repas s’était très bien passé. Henri avait été quelque peu mis au centre de la discussion, soit en vue de connaître sa vie, l’ambiance du camp scout et un tas de choses. Henri répondait sans faire allusion à notre « relation particulière ».
Maman s’adressait à Henri et lui disait : « Henri, tu es le bienvenu à la maison. Nous sommes au courant de la relation qui existe entre toi et Phil. Pour nous ça ne change rien, nous en avons parlé avec Phil. La seule chose que nous vous demandons c’est que vous vous respectiez l’un l’autre et que vous soyez discrets. »
Henri, rouge comme une pivoine, s’était levé pour embrasser Maman et pour lui dire « Merci ».

Puis vers la fin du repas, Papa demanda à Henri ce qu’il comptait faire pour la fin de la semaine et le début de la suivante. Henri répondait qu’il n’avait pas grand-chose à faire que de venir me voir, ou d’aller à la piscine ou faire d’autres activités de vacances. Papa lui demandait s’il était partant pour venir quelques jours avec notre famille sur la côte vendéenne. J’avais alors vu des étoiles briller dans les yeux d’Henri. Il répondait à Papa, « oh, …heu, bien oui volontiers ! » Papa précisait alors à Henri que la famille pratiquait le naturisme et que s’il voulait venir avec nous il devrait s’y faire. Henri répondait qu’il était au courant et que cela ne le dérangeait pas du tout. Papa lui demanda alors le numéro de téléphone de ses parents pour qu’il puisse lui-même faire cette demande à ses parents.

Papa ne tarda pas à revenir dans la salle à manger. Puis avec un large sourire il nous disait qu’il n’y avait aucun problème pour qu’Henri nous accompagne une semaine en Vendée !
Henri s’était levé et est venu embrasser Papa et Maman, pour les remercier de cette invitation inattendue.
Papa avait ajouté que les parents d’Henri avaient également demandé si Phil pouvait aller loger cette nuit chez eux, ce qui leurs permettraient de faire plus ample connaissance avant le séjour en Vendée.

La soirée s’était donc terminée sur une note très positive.

Henri étant rentré chez lui avec moi, il remerciait à son tour ses parents pour avoir accepté de la laisser partir une semaine en Vendée avec moi, son ami scout et sa famille. J’avais salué sa maman, Véronique et son papa Joseph, ils nous donnèrent un bisou à chacun. Ses parents m’avaient demandé de les appeler par leur prénom.
Nous nous étions installés au salon et nous avions bavardé de chose et d’autre. Je pensais plutôt que j’étais le centre d’intérêt de la conversation. Beaucoup de questions de tout ordre que ce soit sur le camp, sur le travail de mes parents, les études, etc.
Joseph, le papa, nous dévisagea tour à tour et puis en regardant son épouse Véronique il nous disait : « Tu sais Phil, je ne te connais que depuis peu, mais j’ai surtout vu le changement chez mon fils Henri à l’issue du camp scout. Il me semble que tu as quelque chose à voir dans ce changement. Vous semblez avoir tous les deux une amitié particulière et très bénéfique l’un pour l’autre ; il suffit de vous regarder. »

J’étais devenu rouge, j’avais les joues en feu ! C’est vrai que les parents d’Henri n’étaient pas au courant de notre relation assez poussée depuis le camp. Mes parents étaient au courant, mais que penser de ce que venait de dire Joseph le papa d’Henri. Je me suis tourné vers Henri et je voyais qu’il était sur le point de se mettre à pleurer. Véronique la maman d’Henri ne disait rien et mais nous regardait tour à tour.

Joseph ajouta alors : « Pour moi pas de problème tant que ne faîtes pas de bêtises ! » Véronique disait : « Vous êtes tous les deux adorables. Votre amitié semble très sincère et je vous souhaite de la garder aussi belle. » Ni elle, ni le papa, n’avaient fait allusion à notre « amour naissant » ! Savaient-ils ce qui se passait entre leur fils Henri et moi ; André leur avait-il parlé, car lui seul savait pour moi et Henri ! Je me posais un tas de questions.
Véronique ajoutait : « Pour cette nuit, comme André n’est pas là car il est chez un copain, Phil tu pourras dès lors avoir son lit. » Je lui avais répondu un très gentil merci.

Voyant l’heure, Joseph nous embrassa ainsi que Véronique en nous souhaitant une très bonne nuit. Henri et moi nous les avions remerciés et leur avions également embrassé.

J’avais accompagné Henri dans sa chambre, chambre qu’il partage avec son frère André. Une fois la porte fermée, Henri était venu se blottir dans mes bras et s’était mis à pleurer. Il m’avait dit avoir eu peur de la réaction de ses parents au sujet de notre relation « particulière ». Nous nous étions étreints un bon moment.

Henri me regardait et d’un coup il m’avait dit : « Tu ne penses pas que je vais te laisser aller dormir dans le lit de mon frère, c’est avec moi que tu vas passer la nuit ; enfin si tu veux ! » Ma réaction avait été de l’embrasser tendrement sur la bouche pour ensuite laisser passer nos langues qui n’attendaient que ça.

Nous nous étions déshabillés, nous trouvant donc nus au milieu de la pièce. Henri m’avait pris par la main et m’avait dirigé vers son lit. Nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre et nos sexes avaient déjà pris un peu de volume. Nos lèvres s’étaient une nouvelle fois rencontrées et nous avions échangé un long baiser torride. Nos pénis étaient bandés au maximum. Henri s’était mis à me lécher les mamelons, il descendait vers mon abdomen, il poursuivait au niveau de mon nombril en y faisant de petits bisous pour ensuite effleurer mon mat de cocagne. Il s’était mis à le lécher depuis la base en remontant jusqu’au gland. Mon sexe était très humide de pré-sperme. Henri goba ensuite mon sexe dressé et il s’était mis à me procurer un plaisir immense avec beaucoup de volupté et de malice. De mon côté je m’étais mis en position pour pouvoir lui rendre la pareille. J’avais lécher son sexe délicatement, m’attardant sur le frein pour ensuite redescendre à la base de sa queue pour y lécher ses bourses peu poilues. J’avais ensuite placé sa bite dans ma bouche en la faisant coulisser entre mes lèvres en feu. Je variais la pression en vue de procurer à Henri beaucoup de sensations, je voulais qu’il puisse monter au septième ciel. Je sentais qu’Henri arrivait à un point de non-retour, j’avais alors suspendu mes vas et viens pour lui titiller la rondelle avec mes doigts. Henri quant à lui continuait à sucer d’une divine manière. Il calquait ses mouvements de la bouche aux miens, il voulait lui aussi me faire ressentir de fortes sensations. A mon tour je sentais que ma sève allait bientôt monter et je repris donc la fellation débutée à mon amant. Nous étions tous les deux en sueur, nos corps se cambraient de plus en plus en fonction du plaisir qui grandissait en chacun de nous. Puis dans un râle contenu nous avions éjaculé presque en même temps chacun dans la bouche de notre amant. Nous avions avalé le nectar de l’autre. Nous l’avions savouré telle une récompense suprême. Une fois avoir repris nos esprits nous nous étions affalés sur le lit, couchés côté à côte.
Une bonne demi-heure après nous nous étions dit en même temps « Je t’aime. » ce qui avait déclenché un fou rire contenu pour ne pas attirer l’attention des parents.

Nous nous étions endormis couchés sur le lit sans rien pour nous couvrir, nus et bien heureux !

Le jour était déjà levé depuis un bon moment lorsque nous avions été réveillés par Véronique, la maman d’Henri. Elle avait ouvert la porte de la chambre et nous avait découvert endormis, nus, nos corps enlacés. Nous nous étions réveillés en sursaut. Je m’étais levé d’un bon, comme un diable sortant d’une boîte, pour me trouver devant Véronique, nu avec la trique matinale. Henri était encore couché sur son lit et dans le même état que moi. Sa maman avait alors dit : « Oh, pardon ! » Elle s’était ensuite éclipsée en refermant la porte.
Henri et moi, nous nous étions regardés comme deux chiens apeurés au milieu d’un jeu de quilles.

Henri était venu se blottir dans mes bras, il pleurait à chaudes larmes ! Moi de mon côté j’étais sur le point de craquer. J’avais peur de pleurer et ainsi d’encore accroître le chagrin d’Henri. Je tentais de me retenir un maximum, mes yeux étant déjà embués ! J’aurais dû faire attention et ne pas accepter d’aller dans le même lit avec Henri. Je m’en voulais à mort. Qu’allait-il advenir de notre relation, j’avais peur de ne plus pouvoir avoir de contact avec Henri. Je me posais un tas de questions, sans pouvoir envisager l’une ou l’autre réponse. Je m’étais ressaisi et prenant mon courage, ou le peu qui en restait, j’ai alors déposé délicatement un baiser sur le front de mon amant.

J’avais alors dit à Henri qu’il valait mieux s’habiller et d’aller à la rencontre de sa maman, Véronique et ainsi affronter la réalité.

Nous nous étions habillés rapidement. Nous avions ouvert la chambre à coucher et avions gagné le salon où nous attendait Véronique. Elle était assise dans un fauteuil, le visage pâle et l’air inquiète. Henri, toujours la larme à l’œil, s’était approché d’elle pour lui faire face en lui disant : « Pardon maman, pardon ! ». Véronique a levé les yeux vers lui et lui a répondu : « Ne t’inquiète pas mon garçon, c’est moi qui aurait dû faire attention et ne pas entrer dans ta chambre tambour battant ! » Henri s’est mis à pleurer en disant : « Mais… » il n’arrivait pas dire un mot de plus. Je me serais bien caché sous le tapis du salon, je ne savais pas où me mettre.

Puis Véronique s’est tournée vers moi et m’a souri. Elle ajouta encore : « Je n’avais pas bien compris votre relation, maintenant je sais de quoi il retourne, ne vous en voulez pas. J’aurai dû comprendre dès que mon cher Henri est rentré du camp qu’il y avait quelque chose de changé chez lui et j’aurai aussi dû le voir quand tu es arrivé à la maison Phil. J’ai compris ce matin en vous voyant ensemble en train de dormir. Phil ne t’en fait pas, je sais maintenant que tu aimes Henri et que c’est réciproque de sa part. Je suis encore désolée da la façon dont j’ai réagi ce matin, mais il fallait que je sorte de la chambre. »

J’avais ensuite pris la parole : « Véronique, je m’excuse de ne pas avoir dormi seul dans le lit d’André, j’aurai du obéir, mais ça a été plus fort que moi. C’est vrai qu’il y a quelque chose entre Henri et moi, je crois que nous nous aimons. » Des larmes coulaient sur mes joues, j’avais la vue troublée et j’étais prêt à vaciller sur le sol. Véronique s’était levée et approchée de moi, elle m’avait pris dans ses bras puis m’avait donné un baiser sur le front en me disant : « Arrête de pleurer Phil, je ne t’en veux absolument pas, tu es si avenant, si aimable, si gentil avec Henri, tu as su le comprendre et lui apporter ton amitié et même plus. Tu es pour moi un troisième fils et je t’aime pour ce que tu es ; je dirais même plus je vous aime, mes deux garnements ! »

Henri demanda alors à sa maman : « Et papa, que va-t-il dire, j’ai peur de sa réaction. » Véronique lui avait répondu : « Henri, je crois que ton père se doutait de la situation alors que c’est moi qui n’avait pas encore compris le lien qui t’uni à Phil. Penses-tu qu’il aurait accepté que ton copain reste loger s’il n’avait pas été d’accord sur votre relation. Je pense qu’il n’y fera pas obstacle, il a bien vu ce que Phil t’apporte de bien et de positif. Je vois que tu es heureux, que veux-tu de plus. »

Nous nous étions tous les trois enlacés au milieu du salon, Henri pleurait encore, mais des larmes de joie à la suite de la réaction de sa maman.

Véronique nous regardait et elle avait ajouté : « Pour le séjour en Vendée, pas de problème, Henri tu peux toujours y aller avec la famille de Phil. »
Henri lui sauta au cou et l’embrassa, moi je l’avais remerciée de toute sa gentillesse.

Avant de quitter Henri et sa maman, j’avais communiqué le numéro de téléphone de mes parents. J’avais dit à Véronique que mes parents étaient au courant de la situation et de la relation entre Henri et moi-même, comme cela ils pouvaient en parler ensemble, entre parents.



Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 24-12-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Phase un peu délicate puisque la maman d’Henri les a surpris nus dans le même lit et en pleine forme matinale. Elle a été surprise. Les vacances en Vendée ne semblent cependant pas compromises.

Je te souhaite une bonne fête de Noël à toi et tes proches malgré les circonstances particulières cette année. Et aussi à tous tes lecteurs.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 24-12-2020

(24-12-2020, 04:39 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Phase un peu délicate puisque la maman d’Henri les a surpris nus dans le même lit et en pleine forme matinale. Elle a été surprise. Les vacances en Vendée ne semblent cependant pas compromises.

Je te souhaite une bonne fête de Noël à toi et tes proches malgré les circonstances particulières cette année. Et aussi à tous tes lecteurs.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui la maman d'Henri a découvert au matin les deux garçons dans le même lit, nus et en pleine forme matinale.
Elle est surprise et ne sait pas comment réagir, elle quitte la chambre.
Belle discussion avec la maman d'Henri. Elle accepte son fils tel qu'il est et aussi sa relation avec Phil.
Les vacances en Vendée reste au programme pour la plus grande joie des deux ados!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois.

Merci pour tes bons vœux et à mon tour je te souhaite une bonne fête de Noël.

Je t'embrasse!

Philou


Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 26-12-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Les deux garçons poursuivent leurs découvertes. Ils se font surprendre dans le même lit, nus, par la maman d'Henri.
Ils font alors face à cette mère qui comprend maintenant les liens qui unissent son fils et Phil. Elle accepte cette relation et va prendre contact avec la maman de Phil. Le séjour en Vendée n'est pas compromis!
Belle suite.
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 26-12-2020

(26-12-2020, 12:10 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Les deux garçons poursuivent leurs découvertes. Ils se font surprendre dans le même lit, nus, par la maman d'Henri.
Ils font alors face à cette mère qui comprend maintenant les liens qui unissent son fils et Phil. Elle accepte cette relation et va prendre contact avec la maman de Phil. Le séjour en Vendée n'est pas compromis!
Belle suite.
Bon week-end.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Oui les deux garçons s'aiment et se découvrent petit à petit!
Ils se sont fait surprendre par la maman d'Henri dans le même lit, nus comme des vers, en pleine érection matinale.
Très belle réaction de la maman qui discutent avec les deux ados. Elle accepte cette relation fusionnelle entre les deux loulous.
Le séjour en Vendée n'est effectivement pas compromis et elle va prendre contact avec la maman de Phil.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire!

Très bon week-end à toi également!

Je t'embrasse!

Philou