JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 02-08-2020 (02-08-2020, 12:51 PM)emmanolife link a écrit :Elle est sympa, la maman de Phil.Bonjour emmanolife, Oui la maman de Phil est assez sympa, elle semble bien comprendre ses enfants. En ce qui concerne le père, là, c'est autre chose! Il semble régner en maître sur sa famille et aucun membre n'ose moufter. Comme tu le dis, ça risque de déraper! Merci à toi de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - AL gayman - 02-08-2020 Coucou Philou, Suite très intéressante et important sur plusieurs points: 1) Béatrice protègera son fils suite à la découverte quand elle est rentrée dans la salle de bain. Effacée certes mais mère aimante avant tout. 2) Pierre, le fait qu'il ne regarde pas ses interlocuteurs dans les yeux est une preuve que même si il se montre l'Alpha de la maison, il n'est pas franc du collier et cache quelque chose. Il reste cependant suffisamment courtois avec Phil. 3) Julien reste très distant dés qu'il y a quelqu'un dans les parages mais semble réellement amoureux de Phil. Son père le tétanise mais c'est peut-être à la suite de son histoire avec Charles. 4) Charles semble donc être le premier amoureux de Julien et vu les sous entendus de Pierre, quelque chose c'est passé qui expliquerait son comportement envers Julien. Voilà ma petite bafouille du dimanche Très belle suite dont on sent la tension et qui retient l'attention Bisous ALain Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 02-08-2020 (02-08-2020, 04:49 PM)AL gayman link a écrit :Coucou Philou,Bonjour Alain, merci pour ton com ! Belle analyse de la suite. Il n'y a pas grand chose à ajouter. Il est clair que la tension semble monter et les uns et les autres sont sur le qui vive! Merci de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 03-08-2020 Chapitre 3 Questionnements. Ce dimanche soir, alors que je ne m’y attendais pas, Julien avait téléphoné à la maison. Il voulait s’excuser de l’attitude de son père. Ne sachant pas sur quel pied danser, je me posais une question, mais qui était donc ce Charles ? J’avais donc posé la question à Julien : Moi : Dis Juju, c’est qui ce Charles dont a parlé ton père ? Jul : Mais, je…enfin, c’était un copain à moi. Moi : Dis Juju, tu te fous de qui là ! Jul : Mais Phil, c’était un copain d’enfance avec lequel j’avais sympathisé. Moi : OK, je vois, c’était ton petit « copain » à ce que je sache. Jul : Mais, oui, mais tu ne vas pas m’en vouloir. Moi : Dis Juju, il y a autre chose, ce n’est pas seulement ça et de plus je pense que ton père n’y a pas cru. Jul : Dis Phil, tu es devin ou quoi. Oui Charles a été mon petit copain et oui je pense que mon père a une forte influence sur moi et mes relations. Moi : Juju, tu en as pas assez dit, soit tu me racontes ou alors je te laisse avec tes histoires !» Jul : Voilà Phil, mais que cela reste entre nous. Quand mon papa était jeune il avait subi une mise à l’air suivie par une branlette non désirée qui lui avait été imposée lorsqu’il était en colonie de vacances alors qu’il avait quinze ans. Puis une seconde quelques jours plus tard. Ensuite il avait été forcé de branler et de sucer tous les gars de la chambre. Moi : Ah, OK, mais c’est dégueulasse ! Jul : Dis Phil, tu n’en parle avec personne ! Moi : Non Juju, je serai muet comme une carpe. Et tu penses que ton père est au courant pour nous deux, Jul : Oui, je pense qu’il le sait mais il ne veut rien voir et rien entendre suite à ce qui s’est passé dans sa jeunesse. Moi : Mais qu’est-ce qu’on va faire ? Jul : Mais rien, ne t’occupe de rien, c’est déjà assez compliqué comme ça. Mon père a déjà giflé Charles quand il nous a vus nus dans la salle de bain, alors tu penses s’il nous avait vus ensemble nus dans mon lit occupé à baiser ! J’étais sidéré. Je ne savais plus quoi penser. Moi : Dis Juju, je ne veux pas retourner le couteau dans la plaie, mais le Charles, c’était qui pour toi ? Jul : Mais, Phil, je … je ne sais pas, mais enfin… c’était mon… premier amant ! Moi : OK, je suis fixé ! Bon je te laisse. J’avais coupé court à la conversation. Je ne savais plus ce que je faisais dans cette histoire. Etais-je une roue de secours, Julien avait-il profité de moi lors de son séjour à la maison, y avait-il autre chose. J’étais dans l’expectative. Alors que j’étais dans ma chambre, j’avais entendu ma sœur Delphine monter à l’étage, elle allait vers sa chambre à coucher. J’ai ouvert la porte de ma chambre et je lui ai fait signe de venir auprès de moi. Une fois la porte fermée, je lui avais demandé : Moi : Dis Delphine, j’ai passé le week-end chez Julien et ça ne s’est pas très bien passé ! Del : Oh mince, et que s’est-il passé Phil ? Moi : D’abord Julien avait un drôle de comportement, il n’était pas le même que lors de son séjour à la maison. Del : Je suppose que c’est lorsque son père est là. Moi : Oui Delphine, c’est quand son père est présent et qu’il veut savoir ce que Julien compte faire, ou il veut savoir ce qu’il a fait et ce genre de chose. Del : Oui Phil, je sais, son père est spécial. Il est même parfois fort pesant. Moi : Puis, je ne sais comment te le dire, tu sais que j’aime Julien, du mois je crois que je l’aime, et bien on a passé la première nuit ensemble, sans problème, sauf qu’au matin, j’avais entendu du bruit dans le hall de nuit et j’avais directement remis la couette sur nous. La maman de Julien avait ensuite ouvert la porte. Elle n’a donc pas vu que nous étions à poil dans le lit. Je lui avais dit qu’on allait se lever et que j’allais réveillé Julien qui dormait encore. Del : Et alors, il n’y a que ça. Moi : Non, lors de la seconde nuit, ça a été ; ce n’est que le matin, alors que nous étions Julien et moi sous la douche de la salle de bain, la maman de Julien nous a surpris en train de nous branler mutuellement ! Del : Ah merde alors ! Moi : Julien ne savais plus où se mettre. Nous nous étions habillés et nous sommes allés voir la maman de Juju. Elle ne nous en voulait pas, elle a dit à Juju qu’elle se doutait qu’il était gay. Puis le papa est rentré de la boulangerie et elle ne lui a rien dit ; nous non plus évidement. Del : Le papa n’a rien dit, tu ne sais pas s’il se doute de quelque chose ? Moi : Non Delphine, mais je pense bien qu’il doit être au courant. Del : Pourquoi penses-tu qu’il est au courant ? Moi : Mais c’est à cause d’une histoire avec un certain Charles, Charles qui était le petit ami de Julien. Del : Bon, je vois que tu es au courant pour Charles. C’est Stéphanie qui m’avait mis au parfum. Oui Julien avait déjà un petit copain. Je n’ai rien voulu dire lorsque tu as courtisé Julien, mais j’étais au courant. Désolé petit frère ! Moi : Tu vois Delphine, je ne sais plus où j’en suis. Je suis déçu de Julien, je ne le reconnais plus et puis il y avait ce Charles et les réactions de Pierre, et puis je ne sais pas où j’en suis. Je m’étais mis à pleurer. Je m’en voulais de m’être attaché à Julien et je me sentais trahi. Delphine m’a pris dans ses bras pour me consoler. Moi : Dis Delphine, et nos parents tu crois qu’ils sont au courant de nos relations ? Del : Tu sais Phil, maman n’est pas née de la dernière pluie, je suis presque certaine qu’elle sait pour moi, surement, et pour toi, je ne sais pas, mais elle doit s’en douter ! Moi : Merde alors ! Excuse-moi ! Del : Ce n’est pas grave mon très cher petit frère ! Ne t’inquiète pas tu sais que nos parents sont assez tolérants, alors laisse venir et puis tu verras bien ! Moi : Merci ma grande sœur adorée ! Del : Si tu le souhaites, je suis toujours dispo pour t’écouter et si c’est possible pour t’aider. Moi : Puis-ce que tu en parles, je te signale que j’ai vu Jacques, tu sais mon copain de classe, il pleurait juste après m’avoir quitté à l’arrête de bus. Au moins deux fois je l’ai vu prendre son mouchoir et s’essuyer les yeux. Il m’a semblé à plusieurs reprises l’avoir vu me mater soit aux vestiaires ou soit sous les douches après le cours EPS. Del : Tu crois qu’il est gay lui aussi ? Moi : Je ne sais pas, mais cela m’a retourné de le voir comme ça, pleurer. Je ne sais pas, mais il a peut-être peur de montrer qu’il est attiré par les garçons. Del : Ca ne te coûte rien d’approfondir le sujet. Tu verras sa réaction, et tu crois qu’il sait pour toi ? Moi : Ca fait quelque temps que je me pose la question je n’ai pourtant rien fait pour que cela se remarque, je n’ai pas eu d’attitude particulière, rien de tout ça ! Del : Phil, mon petit frère adoré, fais ce qu’il te semble bien, mais moi, à ta place, je n’hésiterais pas, si tu vois ce que je veux dire. Moi : Merci frangine, et pas un mot aux parents ! Del : Promis, juré ! Voilà, j’étais rassuré et surtout j’avais pu en parler avec ma sœur. Nous avions toujours eu un bon contact entre nous. Nous avions Delphine et moi dîner avec nos parents. Ce n’était plus arrivé depuis quelques temps. Delphine allait reprendre les cours à l’université et se préparait pour avoir tout ce qu’il lui fallait pour la rentrée. Moi, demain j’allais revoir mes potes et surement Jacques. Finalement à table nous parlions de tout et de rien. Puis papa abordait un sujet qu’il venait de lire dans sa revue hebdomadaire. Il se mit a résumé ce qu’il avait lu sur les attirances sexuelles des jeunes ados. Nous voilà bien, si papa nous posait des questions à Delphine et à moi, je ne savais pas comment nous allions nous y prendre. Papa nous expliquait qu’une partie des jeunes ados se cherchait et que les jeunes avaient des expériences tant avec une fille ou un gars selon le moment et l’attirance. Il n’était pas rare qu’un garçon ait des relations avec un autre garçon pendant quelques temps et puis ait des relations avec une fille par la suite. Puis il ajouta qu’il restait une partie des jeunes ados qui était homosexuel. Delphine et moi nous nous regardions du coin de l’œil, sans pour autant attirer l’attention de nos parents. Puis arriva, comme un sujet tant redouté par les enfants devant leurs parents, des questions sur le sexe et tout ce qui en suit. Papa : Dis Phil, as-tu déjà été attiré par les filles ? Moi : Oui, papa, il y a des filles qui sont pas mal dans l’école. Papa : Si tu veux, tu venir à la maison avec ta copine, tu as 17 ans et je trouve ça normal. Moi : Mais papa, on a le temps, puis ça me gêne. Papa : Mais arrête, à ton âge j’avais déjà ramené une fille à la maison de tes grands-parents ! Moi : Oui, c’est ça, Papy et Mamy ont accepté que tu viennes chez eux avec une meuf ! Papa : Oui Phil, en tout bien tout honneur ! Del : Dis papa, et si je ramène un garçon à la maison, tu en penserait quoi ? Papa : Alors là, je ne sais pas. J’aimerais le voir avant et avoir en entretien avec lui. Et en fonction des réponses il pourrait rester ou pas ! Del : Oui, c’est ça. De nos jours ça ne se passe pas comme ça. On n’est pas au siècle dernier ! Maman : Arrête Delphine, ne parle pas comme ça. Et puis c’est vrai Alain (mon père) il faut avoir les idées plus larges maintenant. Et puis quand tu as été invité chez mes parents, mon père ne t’a pas posé un tas de questions. Del : Tu vois papa, les générations changent. Moi : C’est vrai, je suis encore jeune, mais il me semble qu’il faut pouvoir vivre avec son temps et accepter que certains ne veuillent plus se marier et vivre comme ça en couple ni plus ni moins. Papa : Voilà mon fils qui philosophe ! Moi : C’est ça papa, fout toi de moi ! Papa : Mais non, je te charrie. Maman : Dis Alain, si deux garçons veulent vivre ensemble, ou même deux filles, tu en penserait quoi ? Papa : Arrête Fanny (ma maman), pas chez nous. Maman : Et si ton fils revient avec son copain et qu’ils sont homos, ou même ta fille avec sa copine, tu fais quoi ? Papa : Mais je ne sais pas, je serai surpris dans un premier temps, puis dans un second temps… et puis merde avec cette discussion ! Maman : Enfin Alain, si c’était le cas de tes enfants, tu ferais quoi ? Papa : Et bien ma chère Fanny, je n’en sais rien. Je ne serai peut-être pas prêt à l’accepter, ou alors ça m’en coûterai. Del : Tu penses que si je reviens avec mon amie lesbienne à la maison que nous serions bien accueillies. Dis-moi franchement. Papa : Écoute Delphine, je ne sais pas. Ce n’est pas le cas, mais j’en aurais peut-être honte pour toi. Del : Mais enfin, la société évolue, tu ne vas pas me dire que tu es homophobe ! Papa : Mais non, mais je ne m’imagine pas avoir un enfant homo, c’est tout ! Moi : Bon, je crois qu’on va débarrasser la table pour donner un coup de main à maman. Je crois qu’il était temps que cette discussion prenne fin. Je ne sais pas ce que ma sœur aurait pu ajouter, pour moi Papa n’est pas prêt à envisager ce genre de chose. J’étais dans la cuisine avec maman et je l’aidais à la vaisselle. Puis maman me regarda. Papa et Delphine avaient regagné le salon et ils regardaient les infos à la télé depuis quelques minutes. Pendant ce temps-là Maman me regardait dans les yeux, elle m’observait et je savais qu’elle allait me demander quelque chose, car, comme elle l’avait toujours dit, elle lisait en moi comme à livre ouvert. Je tentais de ne penser à rien, mais à mon avis s’était peine perdue. Maman : Phil, tu sais que je t’aime mon grand. J’ai failli dire mon petit, comme tu es le dernier de la famille ? J’espère que tu ne m’en veux pas quand je t’appelle « mon petit ». Et puis tu es beau comme un dieu. Moi : Non maman bien sûr que je ne t’en veux pas et puis je t’aime aussi, tu le sais bien. Mais je ne suis pas beau comme un dieu, je suis juste comme je suis, sans plus. Maman : Oui, c’est ça, mais tu es beau, c’est pour moi une certitude. Moi : Maman, arrête ! Maman : Ça va je te laisse tranquille mon bel apollon. Mais, j’ai vu que tu n’étais pas à l’aise lors de notre discussion à table avec ton père et ta sœur. Je ne sais pas pourquoi, c’est parce que nous parlions d’orientation sexuelle des jeunes ados ? Moi : Mais non maman, c’est que j’ai encore le temps pour songer à courtiser une fille. Maman : Tu sais Phil, tu peux toujours venir me trouver pour me parler de ce qui te chagrine ou de ce qui te pose problème. Moi : Oui je sais maman, mais pour le moment ça va. Maman : Tu sais Phil, si jamais, dans ta vie future, si tu aimes un garçon, j’en serai peinée, mais tu resteras toujours mon enfant et j’accueillerai ton ami comme s’il était aussi mon fils. Moi : Mais maman, à quoi penses-tu ! Mais je suis encore jeune, j’ai le temps. Et puis il faudrait que je connaisse quelqu’un et ce n’est pas le cas. Maman : Dis Phil, ce que je te disais c’est pour te dire combien je t’aime et peu importe ton orientation sexuelle à toi, je la respecterai, crois-moi ! Moi : Oui maman, je n’en doute pas une seconde. C’est pour papa que je me pose des questions, est-il aussi ouvert que toi sur ce sujet, en fonction de ce qu’il avait dit ce soir, je pense qu’il est peut-être un peu homophobe ! Maman : Honnêtement, je n’en sais rien, mais c’est possible. Et de toute façon tu sais bien que ton père se range souvent à mes avis. Moi : Oui maman, allons voir au salon. Tu sais, je t’adore ma chère petite maman adorée ! Maman : Arrête Phil, je le sais. Maman m’avait alors fait un gros câlin avant de rejoindre mon père et ma sœur au salon. Papa regardait les infos alors que Delphine me regardait pour savoir ce qu’il s’était passé dans la cuisine avec maman. Je lui avais fait un clin d’œil comme pour lui dire que je lui raconterai tout avant d’aller dormir. Nous avions passé la soirée en famille à regarder un film d’aventure à la télé. Pendant le déroulement du film je n’arrêtais pas de penser que maman devait se douter de quelque chose, savait-elle que je préférais les garçons. Maman savait-elle pour Delphine. J’étais dans expectative. Pourquoi a-t-il fallut qu’on parle de l’orientation sexuelle des ados ce soir, à table et de plus c’est mon père qui avait lancé la discussion. Je ne savais plus que penser. J’étais content de voir que Delphine voulait elle aussi en savoir plus. Avait-elle eu une conversation avec papa alors que j’étais dans la cuisine avec Maman. J’allais en savoir plus dans deux heures. Après avoir embrassés nos parents, Delphine et moi nous étions montés vers nos chambres. Delphine m’a fait signe pour la suivre dans sa chambre. Une fois la porte fermée elle m’avait demandé ce que j’avais dit à maman lors de la vaisselle. Je lui avais donc expliqué qu’elle m’aimait et que si j’étais amoureux d’un garçon, qu’elle l’accepterait et que mon « petit ami » serait comme son fils. Je lui avais expliqué que j’étais presque certain qu’elle se doutait que j’étais gay. Quand à Delphine, je ne savais pas car nous n’en avions pas parlé. J’avais ajouté que je me demandais si notre père était un peu homophobe. Delphine se posait la même question. Nous n’avions toujours pas la réponse. Delphine m’avait dit de faire attention, avec Julien et même si je me liais avec un autre copain. J’étais allé prendre ma douche avant de rejoindre ma chambre et d’aller dans mon lit. Une fois couché, je m’étais mis à penser à Julien et à Jacques. J’étais content de pouvoir peut-être devenir encore plus proche de Jacques. Il faut dire qu’avec ce que j’avais appris sur la relation de Julien avec le Charles en question, je m’étais remémoré les bons moments passés avec Jacques. Il était comme un ange, très blond, surtout avec le soleil d’été. Je commençais à fantasmer sur Jacques, je supposais que c’était à cause de l’attitude de Julien. Je m’étais ensuite glissé dans les bras de Morphée. Re : JULIEN (ado - gay) - Ivan055 - 03-08-2020 Salut Philou ! Super suite, on en apprend un peu plus sur Charles, et sur le pourquoi du comment du comportement du Pierre, qui est compréhensible si il a vécu des événements comme ceux-ci, même si il relève plus d'un "traumatisme" que de l'homophobie elle même ce qui veut dire qu'il peux toujours aimer son fils ( et sa fille) comme il est. Phil n'es pas un peu con avec Julien quand celui-ci lui parle de Charles ? Débat assez houleux sur l'homosexualité, le père serait-il homophobe, ou juste pas prêt comme il le dit ? la mère à l'air beaucoup plus ouvert sur le sujet. Delphine est une traîtresse ! ;D En tout cas super suite, j'attend la prochaine avec impatiente, je pense que l'on en saura plus sur Jacques. Bisous Ivano Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 03-08-2020 (03-08-2020, 11:39 AM)Ivan055 link a écrit :Salut Philou !Bonjour [member=62]Ivan055[/member] ! Merci pour ton com ! Julien explique ce que son père a vécu, il raconte aussi que Charles avait été son premier petit-ami! Phil ne sait plus trop où il en est. Une discussion sur l'homosexualité lancée par le père de Phil qui fut parfois houleuse! Le père de Phil serait-il homophobe, c'est une bonne question. Il est certain que nous en saurons plus sur le père et sur Jacques aussi! Merci de suivre le récit et de le commenter! Je t'embrasse Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 03-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Début de relation plutôt houleuse entre Julien et Phil et avec leurs parents. Je m'en doutais puisque j'ai déjà lu des allusions dans les épisodes ultérieurs. C'est un peu difficile pour moi de commenter car je connais une partie de la suite. Mais je vais quand même lire avec plaisir le début de ce récit. Je t'embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 03-08-2020 (03-08-2020, 11:49 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui mon cher ami Daniel, tu connais le récit et tu sais où il mène. Le début est lui aussi important pour comprendre l'évolution d'une amitié, d'un amour, d'une famille et des relations qui se tissent et se défont tout au long du récit. Bien entendu avec plus de 750 page A4, il y a de la matière! Merci de (re)découvrir le récit! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - AL gayman - 04-08-2020 Coucou Philou, Mais que voilà un chapitre des plus intéressant et chargé en informations. 1) La révélation de ce que Pierre a vécu dans sa jeunesse explique beaucoup mieux sont comportement mais je ne pense pas qu'il soit homophobe pour autant. Il veut protéger ses enfants et ce qui c'est passé ente Julien et Charles a réveillé en lui de mauvais souvenirs d'où sa réaction. Mais il ne semble pas hostile à Phil tout en se doutant bien de la relation qui peut lier ces deux jeunes ados. 2) Phil a une très mauvaise réaction lors qu'il apprend ce qu'il c'est passé vis à vis de Charles. Je le trouve très égoïste et égocentrique sur cette affaire au lieu de se montrer compatissant. C'est un peu comme si julien ne devait pas avoir de vie avant de le connaitre. il me déçoit fortement pour le coup. 3) Delphine reste naturelle protectrice et a du mal elle aussi a comprendre la réaction de son frère vis à vis de Julien. Elle a bien fait de conseillé à son frère d'en savoir plus sur jacques pour qu'enfin Phil sache où il en est vraiment de ses sentiments. 4) Alain est comme beaucoup de père "ça ne me dérange pas chez les autres mais hors de question qu'il y ait CA chez nous". C'est plus de l'auto défense sociétale que de l'homophobie pure (en tous cas pour l'instant). 5) Fanny est une MERE et elle a l'intelligence de ne pas pousser plus loin la conversation avec Phil (très maladroit d'ailleurs dans ses réponses), mais elle a bien fait sentir que SON enfant resterais SON enfant quelque soit la personne qu'il fréquentera. Bref un très beau chapitre encore une fois (même si le coté visuel a été moins marquant que les précédents. Bisous ALain Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 04-08-2020 (04-08-2020, 01:14 AM)AL gayman link a écrit :Coucou Philou,Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Toujours une très belle analyse des suites postées! Oui Pierre semble avoir déjà souffert et il veut éviter cela à ses enfants. Il n'a pas grand chose à dire au sujet de Phil. Oui Phil a eu une réaction hors de propos avec Julien. Oui Julien a eu Charles comme petit-ami! Delphine joue son rôle de grande sœur. Elle aussi se pose des questions sur l'attitude de son père! Alain n'est pas contre les gays et les lesbiennes, mais pas chez lui! Restera-t-il sur ses positions? La maman de Phil sait que son fils est gay, elle le sent et n'insiste pas, elle laisse la porte ouverte pour que Phil puisse se confier à elle! Merci Amain de suivre le récit et de le commenter! Je t'embrasse! Philou JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 04-08-2020 Bip, bip, bip, … c’était mon réveil qui sonnait. Il était l’heure de se lever pour une nouvelle semaine qui commençait. Hop debout, passage à la salle de bain, une bonne douche. Je me suis habillé, j’avais mis un bermuda en jeans, un polo Lacoste et des sandales aux pieds. Le petit-déjeuner avait été vite avalé et zou j’avais salué maman et ma sœur Delphine qui venait de descendre. Me voilà à l’arrêt de bus. Trois minutes après il arrivait. Je m’étais assis au fond, comme à mon habitude. Je m’étais mis à penser à Jacques. J’étais heureux de pour voir le voir et éventuellement lui parler et lui demander ce qui se passait, car vendredi il n’était pas bien quand nous nous étions quittés à l’arrêt de bus. Comment prendrait-il ma démarche. Est-ce que j’allais lui avouer que moi aussi j’étais homo si lui de son côté le faisait. Ou alors il y avait autre chose. Je ne savais pas quoi faire, je m’étais dit que je verrai au fur et à mesure de l’évolution de la conversation. Hop, arrivée à l’école. Joseph et Amandine étaient déjà là, ils parlaient entre eux. Je m’étais approché et nous nous étions fait la bise. Jean était arrivé un peu après. Jacques n’était toujours arrivé à l’école. Était-il arrivé quelque chose, était-il seulement en retard, était-il si mal qu’il ne voulait peut-être plus me voir, je me posais une nouvelle fois des questions Puis la sonnerie avait retenti. Nous nous étions dirigés vers la classe pour suivre les cours de la matinée. Le temps m’avait paru interminable. Non seulement Julien ne m’avait pas tout dit sur lui et maintenant Jacques n’était pas là. Je me demandais si je n’aurais pas dû faire plus attention à lui. Aurais-je du prendre un bus plus tard et rester avec pour discuter ; mais je devais retrouver Julien, bref, j’étais parti dans mes pensées. Le prof me posa alors une question à laquelle je n’avais pas su répondre, j’étais dans la lune. Du coup j’ai attrapé une punition. Un devoir à rendre pour le vendredi. Le temps de midi était lui aussi interminable et bien sûr l’après-midi ne passait pas, on aurait dit que les aiguilles de la pendule de la classe tournaient à l’envers. Enfin la sonnerie de la fin des cours. J’étais à la fois soulagé et à la fois inquiet. Je n’avais toujours pas de nouvelle de Jacques. Je m’étais fixé comme objectif de me rendre chez lui pour voir ce qui se passait et pour savoir pourquoi il n’était pas venu à l’école et surtout pour être fixé sur les sentiments qu’il semblait avoir à mon égard. Puis j’avais un prétexte, lui communiquer les copies que j’avais faites pour lui des cours de la journée. Comme je savais où Jacques habitait, je m’y suis rendu à pied. Une fois devant la porte de sa maison, j’avais marqué un temps d’arrêt. Était-il là, qu’allait-il me dire, est-ce que je faisais bien de venir maintenant, je ne savais plus quoi faire. Finalement je m’étais décidé à sonner. Ding, dong. C’est Jacques qui ouvrit la porte. Il fut étonné de me voir. Moi de mon côté j’affichais un beau sourire. Jac : Salut Phil, qu’est-ce que tu viens faire ? Moi : Salut Jacques, je suis passé pour voir comment ça allait, comme tu n’étais pas à l’école aujourd’hui. Jac : Ben, j’étais…un peu vaseux. Je n’ai pas été bien durant le week-end. Moi : Ah, OK, je t’ai apporté une copie des cours d’aujourd’hui pour que tu sois à jour. Jac : Ah bon, c’est très gentil de ta part. Allez, entre deux minutes. Moi : Merci Jacques. Jac : Tu veux boire quelque chose ? Moi : Un coca ou une limonade, stp. Jac : J’ai du coca, ça te vas. Moi : Oui, c’est parfait. Jacques revenait de la cuisine avec deux verres de coca. Il m’en tendit un en me disant : Jac : Voilà, Phil. Moi : Merci Jacques. Jac : Au fait merci pour les cours. Moi : Mais de rien, c’est normal. Je voulais qui tu puisses rester à jour, et puis, tu es mon ami ! Jac : Merci à toi. Et ton week-end, ça a été ? Moi : Je ne vais pas tourner autour du pot, pas terrible mon week-end ! Jac : Ah bon, et ton copain. Je voulais lui répondre quand son jeune frère est arrivé. Nous nous sommes salués. Puis j’ai demandé à Jacques si nous pouvions trouver un endroit plus discret. Jacques m’a invité à monter dans sa chambre. Moi : Oh là, très bien ta piaule ! Génial. Jac : Oui, mais bon il y a mieux. Moi : Tu devrais voir chez moi, c’est mieux ici ! Jac : Bon, et ton copain ? Moi : Je ne sais pas trop, je pense qu’il est avec moi uniquement que pour le sexe, sans plus. Il a un petit ami, ou il avait un petit ami, je n’ai pas su en savoir plus. Je suis alors rentré chez moi plus tôt que prévu. Jac : Ah, bon. Et alors tu comptes faire quoi avec lui ? Moi : Je voudrais te poser un question Jacques. Ça fait deux fois que quand je montais dans le bus pour rentrer chez moi que je te voyais pleurer quand tu quittais l’arrêt de bus. Est-ce à cause de moi, ou alors il y a autre chose. Réponds-moi, sois franc. La tête de Jacques avait changé. Il était devenu rouge, il piquait un phare. Jac : Mais Phil, tu m’as vu ! Moi : Oui Jacques, je t’ai vu pleurer au moins à deux reprises ! Jac : Mais je ne sais te dire. J’ai honte. Je ne sais pas si… Je voyais alors des larmes couler sur les joues de Jacques. J’avais alors ajouté : Moi : Tu ne sais pas si tu dois me dire que tu m’aimes. C’est ça ! Jac : Comment as-tu deviné ? Moi : Je me suis aperçu que tu me matais souvent lors des douches après le cours d’EPS ! Jac : Merde, je ne savais pas que ça se voyait. Moi : Tu n’as pas à t’inquiéter, je pense que personne n’a rien remarqué, à part moi bien sûr. Je te matais aussi. Jac : Eh bien merde alors. Moi : Tu sais que je suis gay et moi je commençais à penser la même chose de toi. Mais j’avais Julien, oui c’est mon copain, ou plutôt c’était mon copain. Alors je ne savais plus quoi faire, je ne pouvais pas courir deux lièvres en même temps. Je m’étais rapproché de Jacques. Je le regardais dans les yeux, qui étaient toujours embués. Avec mes deux pouces j’avais essuyé le reste des larmes. Puis je m’étais rapproché, j’avais approché mes lèvres des siennes et je lui avais déposé un baiser. Jacques n’avait pas reculé. Puis c’est lui qui m’avait rendu ce baiser furtif. J’avais avancé mes bras pour enlacer Jacques. Nos bouches s’étaient trouvées, nos bouches s’étaient ouvertes, nos langues s’étaient trouvées pour se mélanger. Notre premier baiser avait duré cinq bonnes minutes. Je sentais contre ma cuisse que le sexe de Jacques était bandé dans son jeans. Moi-même mes attributs avaient pris du volume. Moi : Ça va Jacques, je vois que tu es en forme, tu bandes on dirait. Jac : Et toi Phil, ce n’est pas mieux, tu as la trique aussi. J’avais avancé ma main pour la poser sur la bosse à l’avant de son jeans. Jacques s’était laissé faire. Puis prenant de l’aisance, il avança lui aussi sa main sur ma protubérance. Nous nous caressions au travers de nos pantalons. J’avais regardé Jacques dans les yeux en lui faisant un clin d’œil. Jacques avait compris, nous nous étions avancés vers son lit. Jacques m’avait ôté mon tee-shirt et j’avais fait de même avec le sien. Nos jeans avaient aussi été enlevés. Nous n’avions plus que notre boxer comme seul vêtement. Je m’étais alors accroupi pour baiser le boxer de Jacques. Sa verge a claqué sur son bas-ventre. Elle avait une très belle taille, d’une grosseur moyenne. Le bout du gland apparaissait car son prépuce était un peu ouvert. Jacques avait fait de même avec moi. Il m’avait ôté mon boxer et il avait pu voir mon service trois pièces dont la hampe était dressée. Nous nous étions couchés, nus, sur le lit de Jacques. Nos mains s’étaient attardées sur nos corps brûlants, nos lèvres s’embrassaient, tous nos sens étaient éveillés. Puis nos mains s’étaient attardées sur nos protubérances. Nous nous étions masturbés mutuellement avec volupté, avec délicatesse, de manière assez suave. Nous avions éjaculé sur nos ventres dans un râle commun. Puis, las, nous nous étions couchés côte à côte après nous être essuyé. Jacques s’était alors tourné vers moi et il m’a alors dit : Jac : Merci Phil, tu m’as enfin donné ce que j’attendais depuis longtemps. Moi : Mais Jacques, mon ami, si j’avais su, je n’aurais pas attendu aussi longtemps pour te séduire. Jac : Phil, est-ce que tu m’aimes, ou alors c’est juste pour le sexe ? Moi : Je vais être franc avec toi Jacques. Ça fait longtemps que je te regardais, que je te désirais, que je voulais que tu m’aimes. Alors oui, je t’aime ! Jacques m’avait alors regardé dans les yeux, il avait avancé son visage vers le mien, nos bouches se s’étaient une nouvelle trouvées, nos langues s’étaient à nouveau retrouvées et étreintes. Jacques et moi, nous étions comme sur un nuage, baignant dans le bien-être ! Jacques était très heureux d’avoir pu avouer qu’il était lui aussi homo. Il avait pu m’avouer qu’il m’aimait depuis quelques temps déjà et qu’il n’avait jamais osé me le dire. Puis je m’étais une nouvelle fois plongé dans mes pensées. Il fallait que nous prenions toutes nos précautions pour ne pas nous afficher à l’école ; ce que je redoutais le plus c’était la réaction de Jean s’il apprenait notre relation. J’étais certain qu’il était homophobe. C’est Jacques qui m’a tiré de mes pensées. Directement je lui ai fait part de mes réticences au fait de montrer au grand jour notre amour. Puis je me suis mis à penser à mon père. Moi : Écoute Jacques, je ne t’avais jamais parlé de mon père, je crois qu’il est homophobe lui aussi. Il faut absolument que nous fassions attention. Ma mère se doute de quelque chose, et elle a un esprit ouvert. Et pour tes parents, que diraient-ils ? Jac : Phil, je ne sais pas, je ne me suis jamais posé la question. Tu as raison, il faut qu’on fasse attention. Moi : ‘Et ton frère, il va penser quoi, on est resté deux heures dans ta chambre ! Jac : Rien, je pense qu’il s’en fout ! Moi : Tu es sur ? Jac : Oui, je peux avoir confiance en lui, il ne dira rien. Moi : Jacques, tu sais que si je t’ai dit t’aimer, c’est la vérité. Tu me crois au moins ! Jac : Oui Phil, je te crois. Je sais que tu es très sensible, mais je sais aussi, et j’ai pu le constater, tu ne cours pas deux lièvres à la fois ! Moi : Merci pour ta confiance Jacques. Je crois qu’il vaut mieux que je rentre chez moi. Je te dis encore merci de m’aimer. Jac : Arrête Phil, oui je t’aime, et c’est plutôt moi qui toi te remercier pour m’accepter comme je suis. Nous nous sommes une dernière fois embrassés avant de quitter la chambre. Nous étions descendus dans le hall d’entrée. J’avais salué le frère de Jacques, frère dont je ne connaissais même pas le prénom. Jacques m’avait donné un petit bisou sur la bouche. Et je m’étais éclipsé pour regagner ma maison. Il était temps car les parents de Jacques venaient de rentrer. J’étais déjà sur le trottoir d’en face au moment où ils avaient franchi l’entrée de l’allée avec leur voiture. Juste avant que les parents de Jacques ne rentrent, Alexis, le frère de Jacques, était allé le trouver. Alex : Dis frérot, il est bien ton copain, je dirais même mieux, il est bien ton petit ami ! Jac : Alexis, tu as vu quoi pour dire ça ? Alex : Ça fait pas mal de temps que je pense que tu es gay. Ne te fâche pas, mais j’ai bien vu que tu lui donnais un bisou sur la bouche avant qu’il ne quitte la maison. Et puis tu es resté deux heures dans ta chambre avec lui et vous n’avez pas fait que discuter. Jac : Alex, mon frère adoré, ne dis rien aux parents, je t’en supplie ! Alex : Mais non je ne dirai rien, je t’aime trop pour que tu t’en prennes une au travers de la figure. La seule chose que je puis te dire c’est que tu dois faire attention. Tu connais les parents. Jac : Merci mon frère adoré. Je t’aime aussi tu sais. A ce moment-là les deux frères entendent la voiture des parents s’arrêter dans l’allée de garage. Jac : Merci Alex, je te revaudrais ça ! Alex : J’y compte bien mon homo de frère. (Sur le ton de la rigolade) Jac : On se voit au soir ! Alex : Oui grand frère ! Ouf, j’étais content d’avoir quitté la maison de Jacques avant que ses parents n’arrivent. Cela aurait été le summum s’ils nous avaient trouvé ensemble. J’en avais la chair de poule. Je venais seulement de traverser la rue quand une voiture était entrée chez eux. J’avais directement pensé aux parents de Jacques. Nous l’avions échappé belle. Que j’étais heureux d’avoir pu rencontrer Jacques, d’avoir pu lui dire que j’avais des sentiments pour lui et que lui de son côté il n’attendait que ça. Nous nous étions étreints, nous avions joui ensemble grâce à la main de l’autre. J’avais réellement des sentiments pour Jacques que je connaissais depuis de nombreuses années. J’avais enfin le cœur léger ! Je me posais toujours la question concernant le frère de Jacques. J’espérais qu’il n’avait rien vu. Il fallait que je rentre au plutôt à la maison, car je devais voir ma sœur Delphine pour discuter sur ce qui m’était arrivé. Puis il fallait que je trouve une solution pour que mon père ne se braque pas, je pensais éventuellement lui présenter une fille. Mais qui. Ah mais oui, Amandine. « Tu rêves debout Phil, elle ne voudra jamais » ! Mais si je parvenais à la convaincre, on ne sait jamais. « Arrête de rêver Phil. » Voilà, je suis de retour à la maison. Delphine était là, directement je me suis rendu après d’elle. A ma tête, elle avait directement vu qu’il y avait quelque chose de changé. Del : Oh là, Phil, tu as quelque chose à me dire, tu as l’air amoureux que ça ne m’étonnerai pas ! Moi : Merde alors, tu vois tout, je ne sais décidément rien te cacher ! Del : Alors raconte. Moi : Tu savais que pour Julien, c’est mort. Il a ou avait un autre copain et il ne m’en avait rien dit. Je pense qu’il était avec moi uniquement pour le sexe, sans plus. Del : Ah, merde alors, quel con ! Moi : Cela fait déjà quelques jours, au moins à deux reprises, j’avais vu Jacques, tu sais mon ami, il pleurait en quittant l’arrêt de bus, quand j’étais déjà monté dans mon bus. Je ne savais pas pourquoi. Jacques sais que je suis homo. Moi de mon côté j’avais un doute sur son compte. Del : Et alors, tu l’as vu ton ami Jacques ? Moi : Oui, en fait il n’était pas au cours aujourd’hui. Il savait que je devais voir Julien le week-end et je suppose qu’il était mal suite à cela. Comme je me posais des questions sur mon amitié avec Jacques, j’ai décidé d’aller lui apporter une copie des cours d’aujourd’hui. C’est quand j’étais chez lui que j’ai su qu’il m’aimait, et ce depuis pas mal de temps. Del : Ah oui, je vois. C’est pour ça que tu es rentré si tard. Moi : Bien tu sais, je ne vais quand même pas te raconter ce qu’on a fait avec nos zizis quand même ! Del : Ne dis rien Phil, je m’en doute bien. Allez viens me faire un gros câlin ma petite « tapette » adorée ! Delphine m’avait fait un très, très gros câlin. Je savais qu’elle ne dirait rien, qu’elle garderait ça pour elle. Je voyais qu’elle était contente pour moi, elle était heureuse de me voir heureux. Re : JULIEN (ado - gay) - Ivan055 - 04-08-2020 Ah quelle sœur formidable ! Phil et Jacques se sont retrouvé, même si iks ont l'air de s'aimer, une question demeure pourquoi le recit s'appelle Julien et non Jacques ! Sinon super suite. Bisous Ivano Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 04-08-2020 Bonjour [member=62]Ivan055[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil et Jacques se sont trouvés! Ils ont l'air de s'aimer! Bonne question, pourquoi le récit s'intitule-t-il "Jacques"? La réponse dans les suites à venir! Merci Ivano de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 04-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Phil a eu le courage d’aller trouver Jacques et ils n’ont pas perdu leur temps, déjà une branlette. Mais c’était encore l’époque où il fallait se cacher (c’est peut-être malheureusement toujours ainsi de nos jours). Alexis est perspicace et Jacques peut compter sur lui, tout comme Phil peut compter sur Delphine. La fin est amusante : Phil dit qu’il ne veut pas raconter ce qu’ils ont fait avec leur zizis, mais, en disant cela, il avoue en même temps qu’ils ont joué avec. Il avait donc envie d’en parler, sans donner de détails. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 04-08-2020 (04-08-2020, 06:50 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Oui Phil est aller trouver Jacques sachant qu'il n'était pas bien. Bref ils se sont dit qu'ils s'aimaient. Une petite branlette pour confirmer la chose. Alexis, le frère de Jacques a bien compris que Phil était le nouveau prétendant de son grand frère. Il est un alliè de choix pour Jacques tout comme Delphine l'est pour Phil! Oui, c'est une fin de suite amusante, c'est dire sans en avoir l'air ce qui s'est passé! Merci Daniel de suivre le récit et de le commenter! Je t'embrasse! Philou |