Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) (/showthread.php?tid=145) |
Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 25-03-2022 Ah, bien : si l'on se dirige vers la découverte du corps en bon état de Messire l'Unique et sa remise en forme "comme par devant", c'est-à-dire le joyeux rouquemoutte que nous connaissons bien, il ne faudra surtout pas envisager «l'hospice» évoqué au début de ce palpitant chapitre. L'ambassade peut être très accueillante mais surtout pas un EHPAD . Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 28-03-2022 CHAPITRE 017 : « Lieu de vacances des garçons » « Thomé » L’Ambassadeur n’en croit pas ses oreilles, il tempère difficilement sa colère en quelques exercices rapides de respiration, avant de reprendre la parole avec un ton de voix contrôler. - Le grand livre des prières n’a jamais évoqué une telle possibilité !! - Je ne parle pas de celui que le commun des mortels utilise depuis toujours, mais de celui non expurger garder précieusement à la bibliothèque du grand temple. Une fois de plus l’ambassadeur sursaute devant l’énormité que représente pour lui une telle révélation. - De quoi !!! Le temple aurait donc trompé le peuple depuis le début ? c’est bien comme cela que je dois prendre vos paroles !! - Une fois de plus j’ai parlé sans réfléchir, cette information n’aurait pas dû être connue de quiconque en dehors du temple. - Notre religion serait donc basée sur une énorme tromperie ? je n’ose y croire !! - Rassurez-vous, seul ce passage en a été expurgé. - Pourquoi donc ? Les fidèles n’ont-ils pas le droit à l’espoir ? La prêtresse semble troublée par les paroles de l’ambassadeur. - N’êtes vous pas en place sur ce continent depuis trop longtemps monsieur ? - Question hors sujet !! - Justement non, nos croyances ne sont pas pour un dieu unique et celui que nous nommons ainsi, pour nous n’est pas un dieu mais tout au plus une sorte de messie relayant la parole de nos quatre dieux. Le fait d’être ici depuis trop longtemps ne vous aurait-il pas finalement converti à leur religion monothéiste ? ***/*** « Camp de vacances où séjournent les cinq grands ados. » Il fait encore nuit noire quand Thomé se réveille, tendant l’oreille à se son rythmique presque imperceptible qui pourtant l’a tiré du sommeil. Le dortoir comporte six lits dont cinq sont occupés, il lui semble que le bruit vient du fond, là où dort Samuel un peu à l’écart des quatre autres. Thomé fait la grimace en se rappelant le début de dispute qui heureusement c’est finalement terminé en statuquo, avec comme règle de ne pas avoir de gestes ambigus de quelque nature que ce soit une fois tous dans la chambre. Chaque couple « officiel » ayant obtenu un créneau horaire spécifique en tête à tête, pour les câlins et autres besoins physiologiques qu’ils pourraient éprouver avec leur moitié. Le fait que Samuel rompt assurément cette règle après seulement quelques nuits, énerve Thomé qui n’arrive pas à comprendre pourquoi son cousin les rejettes de la sorte. La lune éclaire suffisamment le dortoir pour qu’une fois ses yeux habitués à la pénombre, ils lui confortent ce à quoi s’adonne le beau Samuel et qui maintenant qu’il assiste au spectacle, commence à lui chauffer les sangs. Thomé sans faire de bruit attrape son portable pour filmer se moment spécial, d’une sensualité sans commune mesure avec ce qu’il n’a jamais pu observer jusque-là. Le corps de Samuel se tend et s’arque boute, alors que sa main s’active de plus en plus vite sur sa virilité en pleine pamoison, jusqu’à ce qu’un léger râle se fasse entendre et qu’il assiste à l’émission puissante sortant par à-coups du membre turgescent de son cousin. Thomé en a les yeux qui lui sortent de la tête, regrettant juste cette pénombre qui l’a empêché de voir correctement, alors que c’était un fantasme ne datant pas d’hier que d’assister à ce genre de spectacle, ayant mainte et mainte fois tenter de le faire comprendre au beau "Sam", pour qu’au moins ils puissent s’y adonner ensemble plutôt que de chaque côté de la mince cloison, comme cela a toujours été. Thomé éteint son portable alors que Samuel pousse un bref soupire avant de se retourner pour cette fois trouver le sommeil, convaincu que vu l’état de tension dans lequel il se trouve, ce sera lui qui cherchera désespérément à se rendormir. Une subite tristesse le prend alors, celle de ne jamais avoir pu révéler ses véritables sentiments envers celui qui l’a toujours considéré comme son petit frère et ce malgré les fréquents appels du pied de ces dernières années. Alors qu’il se tourne pour la énième fois en soupirant à chercher désespérément le sommeil, une main vient soudainement lui recouvrir la bouche tandis qu’une autre lui cache les yeux. Thomé sent son cœur faire un bond dans sa poitrine car pour lui il ne fait aucun doute de qui il peut s’agir, un souffle chaud s’approchant de son visage lui amène un tremblement ressenti comme il se doit par celui se tenant à genoux à son chevet. - Chut !! - Mmmmm ! - Bien !! La main recouvrant ses yeux reste en place, tandis que celle lui couvrant la bouche s’écarte doucement et reste un instant figé à quelques millimètres dans l’attente de sa réaction. Comprenant qu’il respectera le marché, son possesseur la fait redescendre lentement, passant sur sa poitrine et ses abdominaux contractés par le plaisir qu’il éprouve déjà, rien qu’à cette simple caresse évanescente. Le contact ne s’attarde pas plus qu’il ne faut, sans non plus passer ce cap trop vite, mais appuie sans s’arrêter sur le pubis pour se glisser sous l’élastique du boxer et s’attarder cette fois volontairement dans la toison pubienne, tout en ressentant les vibrations de la verge tendue à outrance posée maintenant sur le dos de la main qui dévie bientôt sa course pour venir empommer avec une fermeté virile le petit sac tendu contenant les deux œufs ovales qui se rétractent encore un peu plus à presque disparaitre complètement. Un long frisson traverse le corps de Thomé, n’osant réclamer à ce que les choses aillent plus vite, sans doute de peur de faire fuir celui qui commence à le rendre fou de cette envie impérieuse de jouir qui lui remonte dans tout le corps. La main reprend vie en caressant l’entrecuisse au passage et se retourne pour cette fois lui prendre la hampe, tirant vers le bas sur la peau pour libérer le gland déjà tout humide d’excitation. Le pouce frotte alors en insistant sur le lien reliant la chair à la peau, amenant un râle de bienêtre ainsi qu’un regain de raideur au membre près à libérer sa gourme au moindre geste inconsidéré. La main ne s’y laisse pas prendre et revient délibérément sur une zone moins sensible, dans le but de faire relâcher la pression. Tous les sens de Thomé sont en attente et exacerbés, son esprit flottant dans un nuage de sensations proches de l’orgasme ne s’aperçoit pas du mouvement suivant qui le lui déclenche soudainement, quand une chaleur humide vient l’engloutir jusqu’à la garde. La semence s’échappe alors en brèves mais puissantes saccades sans que son sexe soit libéré, offrant comme une gourmandise sa manne de jeune mâle à son si prévenant partenaire. Le plaisir que prend Thomé lui semble bien plus fort et plus long qu’à l’habitude, sans doute due à la surprise d’avoir été l’objet d’une attention aussi plaisante alors qu’il ne s’y attendait manifestement pas. Le temps que dure cette sensation fait qu’une fois avoir repris toute sa tête, plus personne ne se trouve près de lui et qu’il a beau se relever pour tenter de surprendre un mouvement, rien ne vient pour lui amener la preuve qu’il recherche. Une pensée lui vient alors d’avoir peut-être rêver, une vérification manuelle à l’intérieur du boxer ne lui apporte rien ni dans un sens ni dans l’autre, aucune trace visible pouvant servir de preuve n’étant manifeste, à part une humidité caractéristique qui aurait tout aussi bien pu venir d’un rêve particulièrement troublant comme ce qu’il vient de vivre. ***/*** « Le lendemain matin. » Thomé est assis sur son lit, surveillant le réveil de ses autres amis avec un œil en particulier sur Samuel qui agit comme les autres jours et qui du coup lui amène un doute sur ce qu’il a vécu durant la nuit, n’ayant plus que la petite vidéo comme témoin qu’une partie au moins de ses souvenirs étaient bien réels. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 30-03-2022 S'il s'agit d'un rêve, c'est vraiment un drôle de moment! Certes, cela peut se produire mais si vite... Bizarre, bizarre! Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 30-03-2022 CHAPITRE 018 : « Lieu de vacances des garçons » « Samuel » « A l’heure du petit déjeuné. » Samuel rattrape Mariot alors que ses autres amis ont déjà quitté le dortoir pour la salle de restaurant, il lui tape sur l’épaule en lui envoyant un clin d’œil complice et seulement deux mots, clôturant sa petite plaisanterie de la nuit. - Bien joué !! Mariot sourit alors que le cœur n’y est pas entièrement, ayant lui aussi un gros fantasme sur son meilleur ami qui semble étrangement désintéresser par le sexe, hormis bien entendu ses séances régulières de masturbations. Lui aussi a comme de bien entendu assisté au plaisir solitaire du beau Sam et c’est ce qui lui a donné l’envie de soulager Thomé, que les soupires de frustration l’empêchaient à ce qu’il se rendorme. L’idée lui est donc venue d’un petit coup de mains salutaire, prenant plaisir à ne pas lui dévoiler qui il est, alors qu’il sait pertinemment qu’il n’aurait fait aucun problème à ce qu’il continu. La surprise de la réaction de Thomé lui a fait comprendre qu’il le prenait pour un autre, sans doute son cousin et du coup, il n’a plus osé se dévoiler de peur qu’il ne réveille tout le monde par frustration. Le « bien joué » de Samuel l’a pris au dépourvu et le laisse un moment muet de stupeur à chercher ses mots, le temps qu’il y met le trahi plus qu’un désaveu verbal. - Pffttt !! C’est bien à toi de me dire ça !! - Pourquoi tu m’engueules d’un seul coup ? - Parce que tu n’es qu’un égoïste qui ne veut rien comprendre. - Tout ça parce que je ne tiens pas pour le moment à participer à vos jeux sexuels ? Mariot va pour reprendre la direction du restaurant en se contentant d’un hochement d’épaule, quand il se sent retenir de force par la manche. - Je dois me forcer alors… juste pour vous faire plaisir ? c’est ça que je dois comprendre ? - Te forcer ? comment ça te forcer !! Tu oublies vite toutes les conversations que nous avons eues ces dernières années et ou tu me disais de simplement attendre le bon moment pour toi, voilà que maintenant on te force, tu… Mariot visiblement furieux des paroles de son meilleur ami qu’il sait ne pas reflétées la réalité, se libère d’un grand mouvement colérique du bras. - … préfères tout gâcher, même nos premières vacances tous ensemble !! Les paroles de Mariot sont pour Samuel comme un coup de poing donner dans l’estomac, pourtant il n’y trouve rien à redire et après un bref instant à rester figer sans réactions, il fait demi-tour pour retourner au dortoir s’étendre de tout son long sur son lit. Mariot hésite avant de comprendre la portée de ses paroles, il prend à son tour la direction du dortoir en réfléchissant à comment il va faire pour se faire pardonner. Se sont les pleurs de Samuel qui l’arrêtent, ne sachant plus que penser ni quoi faire en se retrouvant à son tour dans un profond désarrois, que d’une simple conversation amicale s’en soit arrivé à cette dispute qui pour lui est sans doute une première d’avec son ami. Ses pas hésitent à avancer et finalement reculent lentement centimètres par centimètres, Mariot ne se sentant pas le courage d’affronter sur l’instant la tristesse de Samuel. Il lui faut plusieurs dizaines de minutes pour se présenter devant ses autres copains, donnant pour excuse à la question sur le retard de Samuel, que ce dernier ne se sentait pas bien et qu’il les retrouverait plus tard. ***/*** « Fin d’après-midi. » Les quatre amis reviennent du parc d’attraction dans lequel ils ont passé la journée, l’ambiance n’y était pourtant pas vraiment, sans doute due à l’absence de l’un d’entre eux. Aussi c’est presque en courant qu’ils se précipitent vers leur dortoir, s’arrêtant brusquement en constatant que Samuel enrouler dans sa couette semble toujours dormir. Sans bruits ils prennent des sous-vêtements propres dans leurs tiroirs pour aller ensuite prendre leurs douches, revenant vingt bonnes minutes plus tard en tenues minimalistes dans le dortoir. Quelle n’est pas leur surprise quand ils retrouvent le lit de Samuel au milieu de la pièce, avec celui-ci allonger sur le dos, entièrement nu au-dessus de la couette. Ricky est le premier à réagir en s’avançant pour recouvrir sa nudité, stopper d’un geste par Samuel plongeant son regard dans le sien. - C’est bon !! - Mais enfin qu’est-ce qu’il te prend d’un seul coup ? - Pourquoi donc ? Ce n’est pas ce que vous voulez que je fasse ? - Mais de quoi tu parles, tu as perdu la tête ou quoi ? - Je gâche vos vacances parce que je ne participe pas aux… « câlins » …avec vous, du coup j’ai décidé de ne pas être… « égoïste » … et de vous faire plaisir, allez venez qu’on s’éclate tous ensemble !! Ricky se retourne vers ses trois autres copains, visiblement troubler autant par la nudité de Samuel que par ses paroles acerbes, cherchant à comprendre pourquoi il en est arrivé à une telle extrémité. - L’un de vous trois peut m’expliquer ce qui se passe ici ? Pourtant il ne lui faut pas bien longtemps pour comprendre à voir la tête de Mariot qu’il en est l’instigateur, alors que les deux autres sont visiblement aussi perplexes que lui. - Tu peux nous expliquer pourquoi "Sam" agit de cette façon ? - Je… Ricky lui fait signe d’attendre une seconde, revenant à Samuel avec l’autorité dans la voix, qu’il a du fait qu’il est l’ainé des cinq. - Quant à toi remet au moins un slip, c’est déjà bien assez compliqué comme ça sans que tu nous pousses encore plus au crime !! Samuel loin de s’exécuter prend au contraire une posture lascive qui chauffe ceux du groupe les moins résistants à son charme, Thomé comme de bien entendu, mais aussi Mariot qui quoique l’accuser dans cette histoire n’en éprouve pas moins de fortes bouffées de chaleurs. C’est donc lui qui prend la parole pour s’expliquer, en pointant d’un doigt tremblant son meilleur ami et qui leur rapporte l’incident du matin, sans non plus aller dans les détails, terminant par… - … Regardez-le !! Il est fâché par ce que je lui ai dit, d’accord j’ai peut-être un peu exagérer je le reconnais, mais pourquoi alors s’exhiber comme il le fait ? hein, pourquoi ? Il montre le corps toujours nu de son ami d’un grand geste de la main, soulignant ainsi son incompréhension devant ses autres amis. - Je vous l’ai dit pourtant, allez-y, amuser vous avec mon corps toute la nuit puisque vous n’avez plus que ça en tête, ne vous retenez pas !! Je m’en voudrais d’avoir été celui qui a gâché nos vacances, alors qu’est ce que c’est après tout que ma façon égoïste de croire que ma première fois doit être réservée à la bonne personne. Après tout je n’en mourrais pas et peut être même que cela me plaira, surement même, puisque vous êtes tous les quatre de beaux gars et que je vous aime. Les voyant tous les quatre les bras ballants et les traits de leurs visages marquant l’extrême confusion que ses paroles leurs apportent, Samuel se sent déjà mieux d’avoir mis les pendules à l’heure au moins pour quelques temps. Il se redresse et se relève, repousse son lit à sa place en montrant bien son fessier bien rond à la vue de tous avant de prendre un slip et de le balancer entre deux doigts devant lui avec ses dernières paroles. - Alors vous décidez quoi ? je dois le remettre ou pas ? non ? oui ? alors ne venez plus après ça me reprocher de ne pas vous voir pour le moment comme des partenaires occasionnels, nous sommes bien d’accords ? Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 31-03-2022 Oh que la vie peut parfois être compliquée ! «J'y va-t-y? J'y va-t-y pas?» chantait sur les ondes de la Radiodiffusion française, en 1949, madame Marie Dubas, alors en vogue avant Mme la baronne (belge) Annie Cordy. Ce pauvre Sam ne sera donc pas encore tranquille : de "gentils" camarades voudraient bien qu'il se décidât à en choisir un parmi eux mais ce n'est pas pour tout de suite, apparemment. Alors, et les investigations de la croûte terrestre, c'est pour quand? Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 01-04-2022 CHAPITRE 019 : « à la maison » « Pietro » « Le lendemain matin après le petit déjeuner. » Comme à son habitude, Pietro s’enferme dans son bureau pour travailler sur son prochain programme de recherche, se renseignant sur le continent Asian et ces lois sur le sujet, découvrant au fur et à mesure que les différents articles défiles devant ses yeux l’importance considérable qu’ont gardé les temples Taoïstes sur ce continent en particulier. Chez eux aussi la croyance reste vive et sincère, quoique quasi exclusivement monothéiste à l’existence d’un dieu « unique », mais pas au point de s’immiscer dans la politique et les textes de lois, il va pour passer au dossier suivant quand un encart sur son écran lui signale l’arrivée d’un message personnel. La signature de l’envoyeur le rend soudainement fébrile, reconnaissant le sigle de se mystérieux mécène qui depuis des années finances ses recherches sans jamais rien demander en retour. Il ouvre le courriel électronique pour en prendre connaissance. ***/*** « Professeur Petitjean bonjour. Nous avons le plaisir de vous informer que nous avons accepté le calendrier de financement de vos futures recherches, les fonds vous seront versés sous huitaine sur votre compte professionnel. Cependant cette fois ci une condition est de mise qu’il vous sera demandé de respecter, condition qui je pense ne devrait pas vous posez de problèmes de conscience. Nous ne sommes pas dupes « excusez-nous l’expression », nous ne sommes pas dupes donc de la véritable raison qui vous motive, seulement nous ne pensons pas que vous ayez bien pesé les énormes conséquences si celle-ci venait à aboutir. Sachez donc que le gouvernement Asian ainsi que les plus hauts représentant du temple, vous espionnerons durant toute la durée de votre mission de recherche. Nous avons prévu pour vous une échappatoire au cas où une « certaine découverte » venait à se concrétiser, dans ce cas ne prévenez personnes, ni n’envoyez aucun message, sachez juste qu’un navire médical spécialement équipé pour pallier le cas échéant aux plus grandes urgences sera en attente au plus près de votre zone de fouilles. Ci-joint l’adresse GPS du rendez-vous, comprenez que nous ne voulons pas nous immiscer, ni nous emparez de vos recherches, mais juste vous garantir une solution de repli. Le commandant du navire a pour instruction de ne vous poser aucune question et il vous conduira là où vous lui demanderez d’aller, aussi réfléchissez y à l’avance. Ceci sera l’unique contacte privé que nous aurons avec vous sur le sujet, je vous demanderais de détruire immédiatement ce courriel après l’avoir lu et appris par cœur les coordonnées GPS, à vous ensuite de juger qui devra recevoir ces informations tout en vous conseillant une fois encore d’être extrêmement prudent dans votre choix. Cordialement. Le service de délivrance d’aide à la recherche et donations, du groupe marchandising international Wong. » ***/*** Pietro relit plusieurs fois le courriel jusqu’à ce qu’il le connaisse par cœur, l’effaçant ensuite comme il le lui a été demandé, en passant par son logiciel spécial de destruction de fichier. Une brève recherche satellite avec l’adresse GPS lui montre le bras de mer où l’attendra le navire médicaliser, cette pensée le fait sursauter alors qu’il n’y avait pas réellement prêter attention jusque-là, la question qui lui vient alors et de connaitre jusqu’où leur généreux mécène connait la véritable raison de ses recherches. Sur le coup il lui parait évident qu’ils se trompent entièrement, sinon à quoi servirait le fait que le navire ait l’équipement médical indiquer, à moins qu’ils pensent à la dangerosité des fouilles et du risque encouru par les ouvriers. Pietro se surprend à son toc consistant à se frotter les lèvres d’un doigt replier comme à chaque fois qu’il est perdu dans ses pensées, il sourit en pensant que cette fois personne ne lui en fera la remarque. Finalement il soupire en s’étirant avant de revenir à ses occupations et reprendre là où il avait été interrompu, ce n’est qu’une heure plus tard qu’il relève les yeux de son écran quand son téléphone se met à sonner. - Allo !! Ah !! C’est toi Samuel, comment allez-vous tous ? - …. - Comment cela tu es dans le train ? vous deviez rester encore au moins une semaine là-bas !! - …. - Tu m’expliqueras ça de vive voix, j’espère juste que vous ne vous êtes pas disputés ? - …. - J’allais t’appeler, les choses ont bien avancées, mais je te raconterais ça quand tu seras rentré. - …. - D’accord, je préviens ta tante de ton retour, je t’embrasse très fort mon grand ! - …. Pietro raccroche, son front fortement plissé, montrant bien son inquiétude soudaine sur les véritables raisons de son retour précipité et malgré que Samuel lui ait soutenu le contraire, il est convaincu qu’une dispute en est la cause. Pietro décide alors d’appeler son fils pour en avoir le cœur net, il va donc pour composer le numéro quand son téléphone sonne une nouvelle fois. - Allo !! - …. - Théron ? pourquoi cet appel puisque on se voit cette après-midi ? - …. - Je suis au courant en effet, Samuel vient juste de m’appeler pour me prévenir qu’il rentrait avant les autres, tu en sais surement plus pour avoir voulu me prévenir ? dis-moi tout ! Pietro écoute donc le long monologue de son ami lui racontant ce dont Mariot lui a parlé avec le cœur lourd, comprenant mieux ce qui une fois encore a mit son neveu dans l’embarras. - Je comprends mieux maintenant, enfin quand je dis que je comprends mieux s’est faux !! Ils sont en couples alors pourquoi toujours vouloir chercher à l’embarrasser ? - …. - Comme quoi la beauté peut également être une source de souffrance, ses amis devraient pourtant le comprendre, eux !! - …. - Je ne tenais pas à prendre parti, mais si cela commence à causer ce genre de problèmes, il faudra bien que j’y mette le haut-là. - …. - Entendu à tout à l’heure, j’ai eu de bonnes nouvelles, mais je ne peux rien te dire au téléphone. Cette fois-ci Pietro raccroche assez sèchement, énerver autant par le comportement de son fils, que celui de ses amis envers Samuel qui demande juste qu’on le laisse tranquille. Du coup il n’a plus vraiment la tête à ses recherches et décide de se mettre en pause en attendant sa réunion de travail de l’après-midi. Il a l’impression d’avoir juste fermer les yeux quand un poids assez lourd vient peser sur ses jambes, ses yeux s’ouvrent alors en rencontrant ceux de son neveu qui le fixe avec un léger pétillement de moquerie dans l’œil. - Je vois que tu travailles d’arrache-pied sans fermer l’œil mon oncle !! Le visage rayonnant de Samuel à quelques centimètres seulement du sien lui fait se faire une fois de plus la réflexion sur l’étonnante beauté de son neveu, beauté qui ne lui amène pas que de la joie maintenant qu’il est devenu adulte et même oserait il penser, qui lui nuit plus qu’elle ne lui apporte. Heureusement l’intérieur est aussi bien fait, ne laissant pas de place à la rancune ni à la colère et pardonnant facilement, quand la cause de la discorde n’amène aucun dégât collatéral. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 01-04-2022 Ah tiens, le Groupe Wong subsisterait donc à plus de 150 000 ans. Quelle longévité! Et combien de secrets jalousement gardés il doit y avoir dans les coffres naphtalinés de cette société 15 000 fois centenaire...! Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 04-04-2022 CHAPITRE 020 : « Camp provisoire de recherches archéologiques, aux pieds du volcan de la zone naturelle protégée » « Pietro » « Trois mois plus tard. » Pietro regarde partir le dernier hélicoptère de transport amenant le matériel et le personnel, ne reste plus que le tunnelier qui devrait arriver par la mer d’ici quelques jours. La dernière réunion a défini l’angle par lequel attaquer la montagne en évitant autant que faire ce peut les longues coulées de lave solidifier et en privilégiant les roches plus tendres, pour une meilleure avancée vers la zone repérée par satellite. Son collègue et ami Michu le rejoint avec une liste de noms à la main, le visage incontestablement contrarié. - Plus de la moitié du personnel nous est inconnu, je ne mets pas leurs compétences en doute… quoi que… - Il fallait s’y attendre, nous avions été prévenus !! N’oublie pas en formant les équipes qu’il y en ait au moins une qui ne soit composée que de personnes de confiance. - Ce ne sera pas le cas avec les gars du tunnelier. - Je n’en fais pas cas, de toute façon ils seront partis à la minute ou leur travaille sera terminé, je me méfie plutôt des deux Géologues qu’ils nous ont imposés, parce qu’eux nous les auront inévitablement dans les pattes au moment le plus crucial. Michu sourit en se rappelant justement du même sujet de conversation qu’il a eu le matin même avec Samuel. - Ton neveu a déjà résolu le problème ! Hi ! Hi ! Pietro plisse les yeux, s’attendant au pire. - Comment ça ? - Parait d’après lui que les Asians sont particulièrement sensibles de l’estomac, surtout vis-à-vis des nourritures occidentales. - Et donc… Ah… je vois, l’idée est à retenir ! Hi ! Hi ! Celui-là je te jure ! Hi ! Hi ! Michu est heureux d’avoir dérider un peu son ami, celui-ci restant bien trop sérieux à son goût depuis ces dernières semaines. - On se voit ce soir ? je dois encore vérifier le matériel du dernier hélitransport. - Entendu comme ça. Pietro regarde son ami se diriger vers la piste d’atterrissage, sa morosité revenue aussi vite qu’elle était partie devant les mois qui l’attendent à juste surveiller l’avancée du tunnelier. Pourtant sa présence quoique inutile niveau recherche, reste justifiée pour la planification des différents corps de métiers et s’assurer qu’il n’y ait pas de fausses manœuvres qui pourraient causer des dommages irréversibles. Pietro attend beaucoup de chose de cette grotte en plein centre du volcan, les différentes analyses donnant à cent pour cent d’exactitude le fait qu’elle se situe au plus proche du point central de l’explosion. Il espère donc retrouver quelques traces ou mieux encore quelques artefacts plus ou moins bien conservés, qui pourront leur en apprendre plus sur la ou les causes de se désastre écologique qu’a été la dernière grande glaciation. L’étude des documents retrouvés lors de leurs dernières fouilles a amenée beaucoup de questions, mais aucunes réponses sur les motivations réelles de se puissant maitre marchand qui aurait par son geste détruit une civilisation entière. Pietro pensait jusque là que leurs ancêtres n’étaient que des animaux montant par étapes successives plus ou moins longues dans la chaine de l’évolution naturelle, jamais au grand jamais il n’aurait même imaginé qu’une civilisation au stade déjà bien avancé équivalent de leur moyen âge ait pu exister deux cent cinquante mille ans plus tôt. Il a longtemps depuis méditer sur que serait devenu cette civilisation s’il n’y avait pas eu cette catastrophe y mettant si brutalement un terme, ne trouvant de fait aucune excuse à cet homme pour avoir accompli un tel génocide. Reste la partie mystique contenue dans quelques rares documents et qui donnent une explication qu’un esprit cartésien comme le sien ne peut pas accepter, pourtant tout extraordinaire que cela puisse paraitre, certaines choses se tiennent et Samuel pour sa part est convaincu qu’il y a une forte probabilité de vérité dans ces différents écrits. Cette pensée le décide à se bouger et à rejoindre le dis Samuel sous le barnum leur servant à la fois de chambre et de bureau, le trouvant une fois de plus pencher sur ses traductions de ce langage qui ne semble pas avoir de secret pour lui. - Du nouveau ? Samuel relève la tête et sourit en reconnaissant son oncle, il lui fait signe de le rejoindre en étalant ensuite quelques photocopies devant lui. - C’est assez troublant mon oncle, il y a quelque chose dans tous ses documents que je n’arrive pas à expliquer, du moins pas de façon rationnelle. - Qu’est-ce donc mon garçon ? Samuel prend quelques minutes pour classer les différentes copies, avant de commencer par le premier de la pile. - Celui-ci date d’après les analyses, de la période se situant juste avant la grande glaciation. - Étonnant qu’il se soit aussi bien conservé ne trouves-tu pas ? - Oui mais en admettant que ce soit bien le cas, ce n’est pas ce qui me choque le plus. - Qu’est-ce donc alors ? - L’écriture… Maintenant, regarde… Samuel prend cette fois la copie en fin de pile. Qu’en penses-tu ? Pietro se penche sur les deux documents durant quelques longues secondes, avant de se redresser en montrant un visage curieux d’en apprendre plus de la part de son neveu. - Je ne vois aucunes différences dans l’alphabet, il se pourrait même que les deux aient été écris par la même personne. - Deux impossibilités scientifiquement reconnues pourtant !! - Hein… Tu m’expliques ? - L’analyse du deuxième parchemin n’est datée que d’environ cinquante mille ans, il y a donc deux cent mille ans d’écarts, comment veux tu alors que cela vienne de la même personne et que l’alphabet soit resté absolument semblable sur un si grand écart de temps. Rien que le notre en deux mille ans a eu le temps de beaucoup évolué. - Conclusion ? - Il va nous falloir revoir notre façon de penser, mais surtout de croire ou de ne pas croire, en gros il va nous falloir élargir notre esprit en direction de ce qui était jusque-là l’impossible et commencer à croire que peut être cela l’est en fin de compte. Samuel étale de nouveau la pile de documents sur le vaste plateau du bureau. - Tous ces parchemins ont entre deux cent cinquante et cinquante mille ans et sont quasi incontestablement écrits par la même personne, je pense alors qu’il y a sur cette terre quelqu’un ayant soit de nature, soit par une technologie avancées atteint une espèce d'immortalité et qui se cache certainement quelque part encore de nos jours. - Tu as trop lu de livres de science-fiction, comment une telle personne pourrait exister sans qu’on le sache, c’est impossible voyons !! - Pourtant je ne vois pas d’autres explications, maintenant rien ne dit qu’il est toujours là puisque les dernières traces que nous avons de lui dates quand même d’environ cinquante mille ans. Pietro ne sait plus trop quoi penser, n’ayant dans l’immédiat aucun argument contradictoire à donner et ce malgré qu’il n’adhère absolument pas à l’idée de Samuel. - Je sais à quoi tu penses mon oncle, je suis passé par là moi aussi, mais il y a d’autres documents qui apportent encore plus de quoi s’interroger. Samuel range les photocopies dans un dossier, pour ensuite en sortir un autre contenant quelques folios seulement. - Il est question ici de témoignages d’archives écrites par celles qui se nommaient à cette époque grande prêtresses et une venant d’un proche du maitre marchand, écrite semble t il alors qu’ils s’étaient déjà tous repliés dans les cavernes pour survivre, ce dernier écrit reste ambigu pourtant à comprendre. Néanmoins plusieurs faits corroborent entre eux, le premier notant l’éternelle jeunesse apparente du maitre marchand et de son plus proche collaborateur, qui après plusieurs décennies n’auraient pas prit une ride et seraient restés, surtout pour le maitre marchant, avec un visage d’adolescent. Je pourrais t’en dire plus quand j’aurais terminé de traduire ce qui m’est envoyé par nos collègues rester sur le précédent site de fouille, il m’en reste encore quelques-unes à traduire mais certains parchemins sont dans un état de décrépitude qui rend la reconstitution et la lecture très difficile. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 05-04-2022 Ça avance, tout doucettement. Curieuse, cette présence vivante qui semble traverser les décennies de siècles...Un certain "Sam" peut-être, qui aurait bénéficié d'une façon d'immortalité réservée aux élus par un inattendu renforcement des "pouvoirs" de l'Unique lequel se serait, en quelque sorte "sublimé en une essence" immatérielle? Avec le "Rouquinoux", il faut nous attendre à tout! En tous cas, M. L'Auteur a plus d'un tour dans son sac et plus d'une corde à son arc! C'est vrai qu'il en faut pour trouver tout cela : Grand merci à lui! KLO. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 06-04-2022 CHAPITRE 021 : « Camp provisoire de recherches archéologiques, au pied du volcan de la zone naturelle protégée » « Samuel » Pietro soupire en repartant vers ses propres recherches, les paroles de Samuel n’en restant pas moins graver dans son esprit. Son neveu le regarde s’éloigner, avec ce regard d’adoration qu’il a toujours eu envers cet homme reconnu par ses pairs comme « le » spécialiste incontestable et incontournable dans sa profession. Il s’est retenu dans ses dernières explications pour ne pas lui mettre une trop grande pression, pourtant un fait avéré qu’ils n’ont jamais abordé n’en est pas moins une preuve supplémentaire de cette réalité vers laquelle il penche de plus en plus. En effet il s’avère que la poudre à canon n’est pas qu’un simple assemblage que n’importe quel quidam pourrait découvrir, il faut une certaine technologie pour ce faire et la fusion du soufre en est très certainement la principale, procédé découvert chez eux il n’y a environ que cinq siècles à peine en arrière. Samuel éteint son ordinateur en soupirant, à la fois de lassitude et d’incompréhension, s’affalant ensuite sur sa couchette tout habiller. ***/*** « Quelques heures plus tard. » - Non !!! Le cri traverse le camp et alerte le personnel s’y trouvant, ces derniers accourant vers la tente d’où il provient et y trouvent le jeune homme les yeux hagards, couvert de sueur. Pietro accourt à son tour quelques minutes plus tard, prévenu par l’un de ses collègues, sa première décision se prend rapidement en faisant sortir tout le monde pour venir ensuite prendre son neveu dans ses bras en cherchant à le consoler, connaissant très bien la cause pour l’avoir si souvent vécu depuis son plus jeune âge. - Encore se cauchemar, je pensais que tu allais mieux pourtant !! Samuel en tremble encore tellement il l’a ressenti comme réel, il se resserre comme il le faisait étant enfant dans les bras protecteur de son oncle, pour lui répondre d’une voix balbutiante. - C’était si réel mon oncle, jamais jusqu’à présent je n’avais ressenti cela aussi fort, c’est comme si je revivais cette scène atroce. - Toujours la même ? celle ou tu te fais écraser avec ton ami par un bloc de rocher se décrochant du plafond d’une grotte ? Le visage de Samuel parle pour lui et n’amène pas le besoin qu’il y réponde, pourtant quelque chose trouble Pietro qui jusque-là ne voyait ce rêve que comme un cauchemar venant de la petite enfance de son neveu, au moment ou il a perdu si cruellement ses deux parents. Un doute lui vient maintenant que ce soit lier aux recherches en cours, surtout depuis que Samuel lui a mis en tête cette histoire d’être immortel agissant sous le couvert de l’anonymat. Il reste un long moment à réfléchir sur la situation, tout en caressant paternellement le dos et les cheveux du jeune homme toujours tremblant. Ce n’est qu’une fois qu’il le sent plus calme, qu’il l’aide à se recoucher et qu’il se décide enfin à le laisser seul, pour revoir cette idée insensée qui lui trotte depuis par la tête. Ce n’est qu’à la nuit tombée qu’il se relève enfin de son écran où il a revisionné les différents fichiers concernant les nuits mouvementées de Samuel, avec une expression de doute encore plus visible sur son visage. Le besoin d’en parler avec quelqu’un de confiance lui fait appeler son épouse rester avec son fils à la maison, il lui explique ses doutes et poursuit la conversation jusque tard dans la nuit, pour finalement prendre la décision d’être particulièrement vigilant quand il sera temps d’entrer avec Samuel dans cette caverne détectée au cœur du volcan et qui se trouve être le but de leur présence. ***/*** « Quatre mois plus tard, salle de réunion du campement. » Théron entre sous la toile en semblant essouffler, faisant se tourner vers lui les divers professeurs et spécialistes de l’expédition. - Le tunnelier n’est plus qu’à un mètre avant de percer !! - Donnez l’ordre de stopper immédiatement !! Un technicien n’attend pas son reste et cour retransmettre l’ordre par radio au conducteur de l’engin, Michu se rassoit après avoir prit cette décision que tous comprennent parfaitement. - Il nous faudra deux jours pour que le tunnelier refasse en marche arrière les cinq cent mètres de tunnel qu’il a foré !! Nous enverrons ensuite notre équipe de mineur pour qu’ils terminent le travail en s’attaquant cette fois à la roche volcanique de l’ancienne entrée, puis pour finir à l’éboulement de la dite entrée qui a sans doute protéger la grotte d’être complétement reboucher par la lave. - Nous devrons prendre toutes les sécurités possibles et imaginables avant cela !! Michu renvoie les images de son portable sur l’immense écran mural, puis muni d’une longue perche il explique les différentes phases de l’opération pour la rendre la plus sécuritaire possible. - Nous allons créer deux sas entièrement étanches, un ici et un là !! Le premier contiendra la pompe qui aspirera l’intérieur de la grotte quel que soit sa nature, alors que nos hommes seront protégés par des scaphandres tandis qu’ils créeront une ouverture suffisante. Le deuxième enverra toute l’oxygène nécessaire pour que nous puissions nous passer de protections trop lourdes. - Doit-on craindre quelques virus ou autre ayant survécus durant tous ces siècles ? - D’où toutes ces précautions d’usage !! Ensuite il sera fait un relever « 3D » de la caverne avant que nous commencions nos recherches à proprement parler, il faudra compter environ deux à trois semaines supplémentaires pour être sûr que cela sera sans risques aussi bien intérieurs qu’extérieurs. Michu éteint sa projection, signifiant ainsi que la réunion prend fin, pourtant un petit signe que seuls ceux dans la confidence connaissent, leurs signifient qu’il les attend sous sa tente personnelle pour un complément d’information. Pietro le suit donc, vite rejoints par Théron, Mario et quelques autres spécialistes de confiance, s’installant tous du mieux qu’ils le peuvent dans cet endroit devenu quelque peu exigu pour tout ce monde. Après leurs avoir offert une boisson, Michu en vient au fait rapidement. - Nous allons devoir être prudent dés qu’il nous sera possible d’entrer dans la caverne, nous avons besoin d’une journée au minimum pour nous seuls et sans espions. - Mettons l’idée de Samuel en œuvre, après tout ce sera l’occasion ou jamais d’organiser un petit banquet entre nous tous pour fêter le début des véritables recherches. - Hum !! Vous croyez réellement qu’ils vont tomber dans le panneau et s’ils le font, qu’ils n’y voient pas une fois remis sur pieds une action contre eux pour leurs cacher quelque chose ? Pietro sourit, se rappelant d’avoir eu cette pensée quand il en a parlé avec son neveu. - Ils sont les seuls à manger avec cette sauce en tube si épicée, Samuel en a gardé quelques tubes dès notre arrivée et qui sont largement périmés depuis. - Je doute que ce soit suffisant, ce genre de sauce peut dépasser largement la date limite !! - Pas si nous ajoutons un puissant produit laxatif à l’intérieur ! Hi ! Hi ! La péremption sera notre excuse, je ne pense pas qu’ils iront jusqu’à faire des analyses, surtout devant notre bonne fois. - C’est vraiment une perle rare tout de même !! - De qui parles tu ? - De ton neveu pardi !! Qui imaginerait un subterfuge de ce genre !! - D’autant plus pour qu’ils n’y voient que du feu !! - Mais sommes-nous surs de trouver quelque chose qui sera bon à cacher aux Asians ? que peut-il y avoir d’encore transportable après deux cent cinquante mille ans ? tout doit s’être transformer en poussière depuis tout ce temps !! Pietro sait bien qu’il joue sur une conviction amenée par la traduction des divers parchemins tomber entre leurs mains, pourtant il est fier de les voir tous près à défier les lois d’Asians pour protéger quelque chose que rien n’indique qu’ils trouveront jamais. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 07-04-2022 Ah les petits coquins qui veulent ...repeindre les toilettes du camp par l'entremise involontaire des "archéologues"(?) asians. En effet, n'oublions pas que les humains sont "poussière" et y retourneront un jour ou l'autre (le plus tard possible, de préférence!). Alors, c'est le grand suspense : que verra-t-on réellement dans cette fameuse grotte? P.S : En ce moment, autour de Paris et dans les Alpes, on parle beaucoup de tunneliers. Celui des chercheurs a-t-il un joli nom comme par chez nous? Et si oui, quel est-il? En cas d'absence de ce dernier, je proposerais "Rouquinette galopante", "chercheuse a-têtée"(→"sans tête"), "Avancée à reculons"...Qu'en pense Monsieur l'auteur que je salue ici ? KLO. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 08-04-2022 CHAPITRE 022 : « Camp provisoire de recherches archéologiques. » « Samuel » Les semaines qui suivirent, ils mirent tout en œuvre pour suivre le planning annoncé lors de cette réunion, c’est donc au soir de la dernière journée avant la première exploration humaine officielle à l’intérieur de la caverne, qu’ils fêtent tous le début des véritables recherches. Le barnum servant de cantine reçoit tous les personnels encore présents sur le camp de base, les équipes de forages étant pour la plupart repartis une fois leurs missions terminées. Ne reste plus qu’une équipe gardée auprès d’eux sous le prétest d’un éventuel risque d’éboulement, mais qui n’est composé que d’hommes de confiance, avec parmi eux et par chance, quelques Asians fidèles, employés régulièrement depuis plusieurs décennies par le chef géologue de l’expédition. La soirée festive et bruyante montre combien tous sont enfin heureux de pouvoir commencer leur véritable travail, le verbe haut due aux boissons alcoolisées donne un brouhaha difficile à la tenue d’une conversation privée. Comme prévu par Samuel, le personnel Asian hormis bien entendu ceux dans le secret, avalent leur nourriture largement arrosée de cette sauce épicée qui devrait d’ici peu commencer à faire parler d’elle. Les premiers départs aux latrines précipités arrivent aux environs de minuit, juste quand ceux de la première équipe de recherches se décident à aller se reposer pour être en forme le lendemain. ***/*** Pietro avec son neveu sont assit devant une boisson chaude, avec le sourire aux lèvres d’entendre le concert de gémissement venant de toutes les parties du campement. - Je pense que demain beaucoup vont se faire porter pâles ! Hi ! Hi ! - Michu va devoir revoir ses équipes pour les deux prochains jours, mais j’espère qu’une seule suffira pour découvrir ce qu’il y a à découvrir. - Je me sens soudainement nerveux mon oncle, imagine qu’il n’y ait rien de spécial à découvrir ? - Je vois de quoi tu parles, mais dis-toi bien qu’il y aura toujours des réponses à trouver sur l’origine de ce qui a déclenché la dernière grande glaciation, c’est déjà en soit quelque chose de très important pour nous autres spécialistes scientifiques. Pietro hésite à poser l’ultime question, celle qui le tarabuste depuis sa première conversation d’avec son neveu et sortant des chemins conventionnels d’une éducation cartésienne. Samuel s’en amuse du fait qu’il le voit bien hésitant et qu’il n’a jamais vraiment compris malgré qu’il connaisse bien la façon de penser de son oncle, que ce dernier ne la lui ait jamais posée. - Pourquoi ne me le demandes tu pas, alors que tu en meures d’envie depuis des semaines ? - De quoi tu parles ? - De ce que j’espère véritablement trouver dans cette caverne ! Pietro reste un instant sans voix que son neveu lise en lui comme dans un livre ouvert. - Et donc ? y a-t-il une réponse à cette question ? - Si tu me promets de ne pas ameuter tout le camp en me traitant de fou à lier, je veux bien te répondre ! Hi ! Hi ! - J’essaierai de garder mon sang froid alors, mais ne me dis pas que… tu… non… - Si tu fais allusion aux restes d’un corps, celui du maitre marchand ou mieux… Samuel se signe plusieurs fois en s’agenouillant avant de continuer sa phrase. - … de « l’unique », alors je répondrai que oui, c’est ce que j’espère découvrir dans cette caverne. - Je ne voudrais pas t’ôter toutes tes illusions mon garçon, mais j’ai bien peur pourtant que tes espoirs ne soient pas couronnés de succès et je m’en vois désoler pour toi, comment veux tu qu’un corps puisse s'être conserver après aussi longtemps ? le plus vieux squelette jamais découvert date de moins de quarante mille ans et il ne restait pas grand-chose d’exploitable conviens en !! - Mon esprit sait que tu as raison mon oncle, mais mon cœur pense autrement. - Ton cœur ? que vient-il faire là-dedans celui-là, je me demande un peu !! - J’en suis le premier étonné croit le bien, mais quelque chose au fond de moi me dis que je trouverais là la réponse que j’attends depuis toujours et qui hante continuellement mes nuits. Pietro voit bien qu’en parlant, Samuel devient rêveur, un peu comme s’il vivait cet espoir alors qu’il lui parle, une idée toute aussi loufoque lui vient alors sur ce qui l’inquiétait lui et son épouse, sur le comportement monacal de son neveu à l’âge où tous sont à la recherche de l’autre moitié et des plaisirs de la chair. - Est-ce en lien avec le fait que tu n’as pas encore eu de liaison amoureuse ? Samuel semble sortir soudainement de son état léthargique pour planter son regard dans celui de son oncle, marquant la surprise qu’il éprouve de se voir poser une telle question. Pourtant après quelques secondes son regard change, tandis que l’idée s’auto-analyse dans sa tête et qu’il y trouve là une réponse plausible à toutes ses questions existentielles sur le sujet et qu’il s’est posé à de nombreuses reprises. - Cela se pourrait en effet, quoique je ne vois pas comment l’expliquer !! - Nous ferions mieux d’essayer de dormir quelques heures, de toute façon nous en saurons plus demain, alors rien ne sert de se faire des scénarios délirants qui ne se produiront jamais. - Hum !!! ***/*** « Le lendemain matin. » L’astre de jour est déjà haut dans le ciel quand Samuel émerge du sommeil, se levant d’un bond pour constater que son oncle est déjà parti en lui laissant un mot l’informant qu’il serait de l’équipe de l’après midi, qu’il pouvait se recoucher et se reposer encore un peu. L’idée lui plait bien, mais la curiosité l’en empêche, s’habillant sommairement et rapidement, pour faire un tour du camp qui à première vue semble particulièrement calme. Pourtant quelques gémissements ici et là, lui démontre que son plan semble avoir fonctionner comme prévu, il ne peut s’empêcher de sourire malgré qu’il les plaigne quand même un peu. Un sourire qu’il perd très vite une fois arriver aux latrines, l’odeur épouvantable s’en échappant dès l’ouverture de l’une des portes lui donnant l’envie de vomir. Il cherche donc un endroit discret pour soulager son envie d’uriner, sa pudeur le faisant aller jusqu’à sortir du camp pour trouver un coin le rassurant suffisamment pour baisser culotte. Il en est là à se soulager, les jambes semi-écartées avec un soupire de satisfaction, quand un frisson le parcourt de la tête aux pieds et que son sexe contre toute attente entre en érection, coupant nette la miction en court. Son regard se porte vers la chose maintenant en peine gloire, lui amenant un rictus à la fois, surpris, amuser et curieux, l’interrogeant alors à haute voix avec un certain humour. - Eh bien mon grand ?? qu’est-ce qu’il t’arrive ce matin ?? tu veux que papa joue avec toi ?? c’est ça ?? tu sais bien que papa ne te refuse jamais se genre de petit plaisir !! Comment ?? ici… tout de suite ?? comme tu veux mon lapinou, mais tu fais vite hein, que personne ne te surprenne. Un petit rire amuser suit le monologue, tandis que sa main droite entre en mouvement pour mettre en application ses paroles, quelques vas et viens suffisent pourtant pour l’amener au point de non-retour. Une sensation inhabituelle lui fait comprendre que le plaisir sera à la hauteur de ses espérances, sa main gauche vient s’appuyer sur le tronc de l’arbre face à lui pour garder sa stabilité alors que son corps commence à ressentir un plaisir sans commune mesure et qui d’un coup lui irradie le sexe dans un orgasme jusque-là inconnu. Le temps semble s’arrêter alors que son corps ressent toujours se maelstrom de sensations d’un plaisir inégaler qui semble ne jamais vouloir cesser, un instant son cerveau entre dans une frayeur son nom à l’idée de devoir mourir de cette façon. Heureusement pour lui qu’à cette pensée l’orgasme redescend rapidement, pour le laisser sans forces s’affaler sur les genoux à même le sol, le tronc inonder d’une substance laiteuse d’une abondance sans commune mesure avec les souvenirs qu’il a de ses innombrables masturbations depuis qu’il est en âge de le faire. - Wouah hou !! C’était quoi se truc de ouf !! Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 09-04-2022 Certains pourraient dire : «Cherchez pas, docteur, c'est la tête» sauf qu'ici, la "tête" est descendue de plusieurs crans. Alors, l'aura du Rouquinoux agit toujours, à ce que nous voyons : la testostérone se révèle très efficace sur l'hypothalamus de ce jeune Samuel ; la preuve en jaillit presque toute seule et sans grand effort. Il éprouve le même sentiment que les partenaires très assidus de "qui nous savons", allant presque jusqu'à la sensation d'un épuisement fatal et létal qui a failli... l'étaler, ce qui eût été fort dommage pour la suite des découvertes. Je laisse à M. L'auteur le soin de nous raconter celles-ci très bientôt. D'avance, grand merci à lui. Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - laurentdu51100 - 11-04-2022 CHAPITRE 023 : « Camp provisoire de recherches archéologiques. » « Michu » « Dans la caverne. » Tandis que Samuel découvre avec ahurissement le nouveau potentiel de plaisir que lui donne son corps, Michu avec son ami de toujours entrent précautionneusement dans la caverne une fois les dernières sécurités misent en œuvre. De puissants projecteurs sont mis à contribution une fois l’atmosphère devenue respirable, les techniciens repartent avec le matériel vidéo après avoir téléchargé depuis le matin tôt les images prisent de l’ensemble de la caverne au format « 3D », qu’ils pourront ensuite étudier à loisir. Les scientifiques peuvent donc maintenant se mettre au travail chacun dans sa spécialité et sans excès de précautions puisque tout a été enregistré, Pietro pour sa part ressent comme un vide à l’estomac du fait que comme il l’avait prévu à l’avance, la caverne est vide à part un épais amas de poussières qu’il faudra analyser ainsi qu'un amoncellement de blocs rocheux, ces derniers venant incontestablement d’un éboulement du plafond. Par contre les cloisons sont couvertes de fresques étonnamment bien conservées et dessinées, Pietro est tellement déçu pour son neveu qu’il n’y prête pas l’attention suffisante qui sinon lui aurait très certainement ramener le moral. Michu avec ses autres collègues restent pour leurs parts scotchés par le réalisme des innombrables dessins, semblant retracer une large période de vie de ceux qui en sont les auteurs. Mario s’approche de son ami, visiblement surpris de le voir avec si peu d’enthousiasme alors qu’un véritable trésor vient tout juste d’être découvert. - C’est merveilleux tu ne trouves pas ? nous allons en apprendre plus rien que par ces fresques sur la vie de nos ancêtres pré-cataclysme. - En effet oui !! - Comment ça en effet ?? Qu’est-ce qu’il t’arrive donc ? ou est passé ta soif de savoir ? Pietro se reprend en comprenant que sa déception n’aurait normalement pas eue lieu d’être, puisqu’il s’attendait à ce que les innombrables années passées aient fait disparaitre toutes traces matérielles. - Excuse-moi, tu as raison… c’est juste que je suis triste pour Samuel qui espérait ardemment trouver quelques artefacts de cette époque prouvant la réalité de « l’unique ». - Nous l’avons tous prévenus de l’impossibilité d’une telle trouvaille, mais les écrits et les fresques gravées sur les parois nous en apprendrons beaucoup sur ce qui s’est réellement passé, au premier coup d’œil on peut se rendre compte que cela a un rapport direct avec nos recherches. L’intérêt revient comme un cheval au galop pour cet homme férue de science, son insatiable besoin de savoir prend le dessus sur la déception des premières minutes, pour bientôt tout comme ses autres compagnons ne plus voir le temps passer. ***/*** « À l’heure du déjeuner, sous le barnum du camp de base. » Samuel voit revenir l’équipe du matin, son cœur bat la chamade à les voir le visage souriant de satisfaction, plongés dans des discussions semblant interminables. Il fait signe à son oncle pour qu’ils le rejoignent tous à la table qu’il a réservé pour eux, ne lui laissant pas le temps de souffler que déjà il le harcèle de questions. Son moral chute rapidement quand il comprend que ses folles espérances n’ont pas été suivis d’effets, aussi c’est en faisant une moue déçue qui sans qu’il s’en rende compte le rend encore plus beau que jamais et lui ramène une fois de plus cette sensation pénible d’être devenu le centre de l’attention générale. ***/*** « Début d’après-midi. » En fait c’est quasiment la même équipe qui repart à la caverne après le repas, seuls quelques terrassiers sont remplacés pour le cas où un effondrement aurait lieu. Samuel se joint donc à eux dans l’espèce de petit train les emmenant au bout du tunnel, passant à la désinfection entre les deux sas pour se retrouver ensuite à reprendre là où ils s’étaient arrêtés avant la pause. Alors que tous les scientifiques ont repris le travail, Samuel ressent une drôle d’impression montant crescendo depuis qu’ils sont entrés dans le tunnel. Il se sent engourdi, l’esprit rêveur et du coup une fois dans la caverne, il décide d’aller s’assoir sur l’éboulement rocheux au centre de la pièce et de pratiquer quelques exercices de respiration, pensant que l’atmosphère de la caverne est à l’origine de son étrange malaise. Une brusque montée de libido le prend soudainement alors qu’il se sentait un peu mieux, son sexe tendant le short de toile de façon bien visible qui l’oblige à prendre une position bizarre, position qui comme de bien entendu attire tout de suite l’attention de ceux qui ne se lassent jamais à le dévorer du regard. Samuel a le feu aux joues et les oreilles brulantes de se retrouver au milieu de tous ses hommes dans une situation autant inattendue que gênante, ne sachant pas quoi faire pour que tout redevienne à la normale alors qu’il n’a eu aucune pensée cochonne pour en être arriver là. Du coup il tente de penser à autre chose et commence à s’intéresser à se qui l’entoure, trouvant dans cette caverne comme un air de déjà vu qui le laisse songeur. Une sensation qui augmente au fur et à mesure que son regard en fait le tour, s’arrêtant un long moment sur le plafond à chercher ce qui à cet endroit précisément lui titille à se point son besoin de se souvenir. Un flash de compréhension lui arrive qui le fait se redresser d’un bond en poussant un cri, révélant cette fois aux yeux de tous, la déformation de son short ne prêtant pas à l’erreur possible quant à sa cause. Pourtant Samuel ne semble même pas s’en être rendu compte, ayant reculer de plusieurs pas pour avoir une vue d’ensemble de l’amoncellement rocheux de l’éboulis et le montrant du doigt, le bras tendu « lui aussi » en tremblant. - C’était là !! Mes cauchemars… mon oncle… c’était à cet endroit j’en suis certain !! Pietro s’avançait déjà vers son neveu dans l’intention de lui ceindre sa veste autour des reins afin de cacher cette bandaison qui obnubile maintenant un grand nombre de personnes autour de lui, quand il s’entend interpeler alors qu’il termine de nouer les manches entre elles, en tournant son regard vers ce qu'il lui montre. - C’était là quoi ? - L’éboulement avec moi et l’autre garçon roux en dessous !! C’était cette caverne mon oncle et à cet endroit… j’en suis certain… je… je… je revoie vaguement ces fresques sur les parois… je… - Samuel !!! Pietro le rattrape juste alors qu’il s’évanouis dans ses bras, son regard se portant sur deux de ses collègues. - Aidez-moi à l’allonger sur une couverture vous autres !! Théron et Mario s’empressent de l’aider alors que Michu réagit à son tour en s’approchant de son ami, attendant qu’il ait terminé de s’occuper de son neveu pour lui tirer les vers du nez. - Tu peux m’expliquer de quoi il s’agit ? Qu’est-ce qu’a voulu nous dire Samuel et pourquoi s’est il mit dans un état pareil ? - Il y a plus urgent, occupe-toi de lui tu veux bien, de mon côté je ne dois pas perdre de temps. Pietro déballe d’une caisse un appareil électronique, qu’il monte sur son trépied en le pointant sur l’éboulis avant de le raccorder à son pc portable. Se qu'il voit alors lui fait pousser un cri qui rèsonne dans la grotte. - Au nom de « l’unique » !!! Samuel avait raison !! Il y a bien quelque chose là-dessous !! Le technicien en charge de l’appareil vient à sa rescousse en le repoussant gentiment. - Laissez !! Je m’en charge professeur !! Je connais toutes les possibilités et elles sont nombreuses de cet appareil, nous allons découvrir rapidement ce qui se cache là-dessous, s’il y a réellement quelque chose. Pietro pointe nerveusement la masse sombre à l’intérieur de l’éboulis. - Bien sur qu’il y a quelque chose, qu’est-ce que cela pourrait être d’autre ? Re : Florian 18 ans surdoué livre 4 tome 5 (résurrection) - KLO7514 - 11-04-2022 Ah, enfin un indice très sérieux, donné par la transformation su-bite (Excuse, Laurent, j'ai pas pu m'en empêcher, exactement comme pour Samu!!) d'un certain organe. Alors, que va-t-on trouver sous cet amas rocheux où "le ciel" était tombé sur la tête des présents à ce moment? |