Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-05-2021 (23-05-2021, 08:58 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Je suis heureux que c’est essai t’a plu, malgré le côté inhabituel de cette suite. Cela m’a paru assez facile de faire des haïkus, un bon début pour essayer la poésie. Je ne sais pas si mes kigos (mots de saison) sont exacts, mais cela permet de mettre en perspective l’action. Je te souhaite un bon dimanche. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 23-05-2021 Quel talent pour les haikus ! J'aime particulièrement ce passage suivant : Douceur de la nuit Nos appendices se frôlent Hissons les couleurs La plante a poussé Le gland sort de sa cupule Luisant et offert Je me dis qu'il doit bien y avoir un mot en japonais pour désigner quelqu'un qui écrits des haikus, je crois que tu pourrais honorablement faire partie de la confrérie ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-05-2021 (23-05-2021, 05:03 PM)emmanolife link a écrit :Quel talent pour les haikus ! Merci [member=67]emmanolife[/member] pour tes compliments. J’ai peut-être un talent caché pour la poésie, je devrais explorer cette voie, même si lire celle des autres me laisse souvent indifférent. Je pourrais essayer de mettre un haïku en introduction de chaque suite, sans qu’il ait toujours un rapport avec le récit. J’avais pensé suivre un atelier d’écriture consacré à la poésie, ce n’est pas possible à cause de la covidémie. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 23-05-2021 Un petit vers ça va, trois vers...c'est encore mieux! Merci, ami Lange : c'est inattendu et réjouissant! Tiens, avant mon absence (je reviens le 10/06), une blagounette pour détendre l'atmosphère : «Chéri, que ferais-tu s'il te restait une heure à vivre? -Bin heu...Je te ferais l'amour! -Chouette alors. Mais que ferais-tu après, pour les 57 minutes qui resteraient?» Faudrait en toucher un mot à Koen et Frédo...Pas vrai? Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 24-05-2021 (23-05-2021, 11:48 PM)KLO7514 link a écrit :Un petit vers ça va, trois vers...c'est encore mieux! Merci, ami Lange : c'est inattendu et réjouissant! Merci [member=156]KLO7514[/member] pour ton commentaire. L’écriture est faire pour expérimenter et vous êtes mes cobayes. Il n’y a cependant pas de risques d’effets secondaires, ou alors très plaisants. Mes héros préfèrent la quantité à la qualité (comme l’auteur dans ses récits), mais ils sont immortels et n’ont pas à craindre de vivre leur dernière heure (tant que les serveurs qui les hébergent survivront…). Je devrais déposer mes œuvres dans une bibliothèque nationale, mais je crains que ce ne soit qu’un cimetière pour les livres ou les fichiers PDF des auteurs inconnus. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 25-05-2021 Beaucoup d’épisodes de mes récits commencent par le lever de mes héros. C’est normal, c’est la condition humaine que de se lever chaque matin : on se réveille, on bande (quand on est jeune, parce qu’à mon âge on peut sabrer le champagne lorsque cela arrive), on a la vessie pleine à éclater (quand on est jeune, parce qu’à mon âge on se lève plusieurs fois pour la vider pendant la nuit) et on se masturbe (quand on a mon âge, parce que quand on est jeune on n’a pas le temps, il faut aller travailler ou étudier). Un auteur de récits prudes pourrait éluder tout ceci en écrivant : Le dimanche matin, les premières douces lueurs de l’aube naissante sortirent nos vaillants héros des bras de Morphée, ils se levèrent de fort belle humeur. Un auteur de récits impudiques est obligé de dire que les vaillants héros bandaient, pissaient et se branlaient en se levant, et cela donne l’impression qu’il se répète. Chapitre 7 - Week-end japonais ( 8 ) Dimanche 9 août 1964, Ambassade du Japon, Berne Jour tue la nuit Bites au petit matin Fièrement se lèvent Koen sortit du fondement de Morphée le premier, il débanda avant de vider sa vessie dans le pot de chambre. Le bruit du liquide réveilla les autres. Hiroshi leur demanda de se lever car ils avaient rendez-vous à neuf heures avec Kaito. Ils se transmirent l’artéfact de l’époque Meiji. — Ça va bien, dit Koen, nous avons encore le temps de nous branler avant le petit déjeuner. — Non, fit Hiroshi, aujourd’hui c’est l’initiation au shudō, c’est le Maître Takahashi qui décidera si tu as le droit d’utiliser ta bite, de quelle manière et à quel moment. — Sais-tu quel sera le programme ? — Ce sera aussi la surprise pour moi. Le Maître pourrait avoir envie de faire l’amour avec toi. Tu peux refuser, une initiation est faite pour se rendre compte si l’on est capable de se soumettre à sa volonté ou pas. Le Maître n’aime pas les bavards, je te préviens. — Se taire sera le plus dur pour Koen, dit Frédéric, pour le reste je n’ai pas de souci. Les quatre jeunes gens mirent leur pyjama pour aller au sentō. Ils étaient seuls, le responsable avait congé. Après s’être lavés et baignés, ils passèrent des fundoshi qui avaient été préparés à leur intention, décorés avec un lever de soleil derrière le Mont Fuji. Frédéric dit que cela devait être symbolique, une allégorie pour le lever des pénis sous l’étoffe. Hiroshi leur proposa de remettre leurs pyjamas pour le petit déjeuner. Celui-ci était servi dans la salle à manger des invités alors que ses parents mangeaient dans leur appartement. Ce fut un repas japonais, composé de mets salés : riz, soupe miso, poisson, légumes marinés et algues, accompagnés de thé, assez étonnant pour les habitués de tartines beurrées, de miel et de confitures. Ils se rendirent ensuite dans une salle de sport située dans les sous-sols de l’ambassade. Kaito était déjà arrivé. Il était vêtu d’une ample veste bleue et d’une culotte bouffante grise. Hiroshi fit des courbettes et échangea des politesses avec son maître qui parlerait en japonais, Hiroshi traduirait. Le premier exercice pour les Européens consista à apprendre comment se courber correctement en observant l’angle correspondant à la personne que l’on honore. Ils durent ensuite s’aligner après avoir enlevé leurs pyjamas. Kaito contrôla que les fundoshi étaient mis correctement, il fit une remarque à Koen qui se garda bien de répliquer. Hiroshi leur montra comment on enlevait ce sous-vêtement selon la tradition, les autres essayèrent de l’imiter. Kaito dit qu’ils avaient encore beaucoup de travail à accomplir pour y arriver, mais que ce serait ennuyeux de passer la matinée à s’exercer. Les quatre amis étaient nus, ils avaient gardé leurs sandales. Le maître avait une cravache qu’il utilisa pour soulever le pénis et les testicules afin de les examiner, puis, par l’intermédiaire d’Hiroshi, il leur demanda de bander, en laissant si possible les mains derrière le dos. Le Japonais avait l’habitude de cet exercice, il y arriva sans problème. Les autres durent recourir à quelques caresses pour atteindre le même résultat. Kaito utilisa à nouveau sa cravache pour voir les bites érigées sous toutes les coutures. Il passa dans leur dos, examina les couilles depuis l’arrière, leur demanda de se pencher en avant et d’écarter leurs fesses. Hiroshi leur montra ensuite comment remettre les fundoshi, Kaito n’avait pas l’air satisfait, mais il s’abstint de toute remarque, c’étaient des gaijins que ne seraient jamais admis dans son ordre. Il était venu car il fallait bien remercier l’ambassadeur de l’avoir invité avec sa troupe, ce n’était cependant pas déplaisant de découvrir les corps nus de ces jeunes Européens soumis. Ils s’entraînèrent ensuite au kendō, un art martial avec des sabres de bambou, puis au kyūdō, du tir à l’arc. Seul Hiroshi atteignait à chaque fois le centre de la cible. Ils firent une pause. Hana, la geisha, leur apporta du thé et une corbeille de pommes. Kaito dit en anglais : — Pendant la pause vous pouvez parler librement. — Vous avez été satisfait de nos prestations ? demanda Koen. — Pas du tout, mais on ne peut pas être parfait le premier jour, même pas après des années d’entraînement. — On a quand même pu bander. — Vous avez déjà quelques années d’entraînement, je présume. Kaito prit une pomme et demanda : — C’était bien en Suisse que vivait Guillaume Tell et qu’il a dû tirer sur son fils qui avait une pomme sur la tête ? — Oui, expliqua Frédéric, mais on pense que c’est un mythe, qu’il n’a pas réellement existé et que c’était une légende scandinave. — Il tirait à l’arc ? — Non, il avait une arbalète. — On le fera au tir à l’arc, il me faut deux volontaires, un pour tirer et un pour se mettre la pomme sur la tête. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 26-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Pas mal le préambule à cette suite. C'est même criant de vérité. A nos âges ..... Découverte par les jeunes des exercices proposés par Kaito. Il s'agit entre autre de bander en ayant les mains dans le dos. Bien entendu Hiroshi était déjà rompu à cet exercice. Analyse des pénis et bourses par le maître avec une cravache. J'attends avec impatience de savoir comment ils vont s'y prendre pour "jouer" de l'arc tel Guillaume Tell! Merci Daniel pour cette suite amusante! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 26-05-2021 (26-05-2021, 09:13 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire. Je ne suis pas encore très âgé, mais les premiers signes de la vieillesse arrivent plus tôt qu’on ne le pense. C’est pour cela que je préfère des héros jeunes et en pleine forme. Initiation aux arts martiaux japonais avec une allusion à un héros suisse. On verra comment cela se passe dans la suite. Je précise que c’est ma propre vision qui ne correspond pas forcément à la réalité, mais j’ai trouvé l’idée de la cravache dans une vidéo pas pornographique. Les jeunes Japonais acceptent donc ce genre d’éducation, en tout cas par une femme. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 28-05-2021 Chapitre 7 - Week-end japonais (9) Dimanche 9 août 1964, Ambassade du Japon, Berne Koen se porta volontaire : — Moi, je veux bien tirer sur Frédéric. — Tu es fou ! dit l’intéressé, je tiens à la vie. Je comprendrais encore si j’avais une assurance-vie en ta faveur. — Je pensais que c’était avec des flèches inoffensives. — Non, ce sera avec des vraies, dit Kaito. Je ne vais pas laisser des débutants le faire, je tirerai donc le premier, il n’y aura pas de danger. Qui désire porter la pomme ? Koen ne se porta pas volontaire, ni Frédéric, ni Laertes. — Maître, fit Hiroshi, je veux bien. — Je n’en attendais pas moins de toi. Terminons de boire le thé. Ils restèrent silencieux en sirotant leur boisson, on sentait un peu d’inquiétude chez les Européens alors que les Japonais étaient zen. Kaito dit à la geisha de débarrasser les bols et d’en apporter de plus petits pour l’offrande à Jurōjin, ainsi que des boules et des anneaux. Il distribua une pomme à chacun. Ils retournèrent dans la salle de sport, Hana les suivit avec les bols sur un plateau. Hiroshi se plaça devant les cibles et posa la pomme sur sa tête. Kaito banda son arc. Laertes retint son souffle, Frédéric ferma les yeux tandis que Koen regardait la scène avec intérêt, prêt à apporter les premiers secours et à enlever la flèche fichée dans le crâne d’Hiroshi. Comme Guillaume Tell, Kaito ne rata pas la pomme et la transperça. La tension retomba d’un cran. — À toi, dit Kaito à Hiroshi. Ton 陰茎 montrera le chemin à la flèche. — Oui, Maître. Kaito enleva rapidement le fundoshi de son élève et se mit devant les cibles, la pomme sur la tête. Hiroshi banda son arc et sa queue, il ne trembla pas et atteignit le but. Laertes le félicita. — Bravo, tu es digne de ton maître. — Non, fit Kaito, son mouvement n’était pas assez élégant. Déshabille-toi et mets-toi en place. — Euh, moi ? fit l’Anglais, étonné. — Ton ami doit s’entraîner pour progresser. Laertes n’était pas rassuré, il obéit quand même, il devait avoir confiance. Il tremblait et la pomme tomba, il la ramassa, la replaça et retint son souffle. Hiroshi ne rata pas sa cible. Frédéric se prêta au jeu, si le Japonais avait réussi deux fois, il ne raterait pas la troisième. Koen fut plus réticent, il prétexta une allergie aux pommes pour se défiler. — Je n’en crois pas un mot, dit Frédéric en riant, tu a mangé la tarte de Stefan. Tu seras privé de dessert si tu n’obéis pas. — Non, dit Kaito, il ne pourra pas faire l’offrande à Jurōjin. Je nouerai son fundoshi de telle sorte qu’il ne puisse plus l’enlever, plus bander et même pas sortir sa bite pour pisser. Il devra le mouiller pour se soulager. Koen avait l’air consterné de cette perspective. La mort dans l’âme, il se dévêtit et attendit stoïquement la dernière flèche d’Hiroshi qui ne rata pas le fruit défendu. Le Néerlandais poussa un soupir de soulagement. J’ai réécrit la fin de cet épisode qui ne me plaisait pas. Passez directement à l’épisode suivant pour la découvrir. Ce qui suit est la première version. — Ouf, on va enfin pouvoir se branler. — C’est moi qui déciderai, dit Kaito qui échangea quelques mots avec la geisha avant de continuer. Pour endurcir le corps et l’esprit de mon élève, il ne pourra pas avoir de fellation avec son ami, c’est Hano qui s’en chargera. Quant à Koen, pour le punir de ne pas avoir accepté tout de suite de recevoir la flèche, il n’aura pas non plus de fellation avec son ami, c’est moi qui l’offrirai. — C’est un grand honneur que te fait mon Maître en s’agenouillant devant toi pour te sucer, Koen-kun, dit Hiroshi. — Puisque tu le dis. Hiroshi était toujours nu et n’avait pas débandé, la geisha prit son membre dans sa bouche. Kaito enleva le sous-vêtement de Koen et débuta la fellation. Laertes et Frédéric regardaient la scène en souriant. Le Suisse dit : — Te voilà cocu, avec une femme en plus. — Ouais, il obéit au doigt et à l’œil. Toi aussi, tu es cocu. — Ce n’est pas la première fois, Koen est très volage. Je lui rends la pareille pour me venger et je couche aussi avec mon cousin. — Avec ton cousin ? Very shocking. Tu mérites une fessée, enlève ton fundoshi. Frédéric s’exécuta. Laertes prit la cravache de Kaito et donna quelques coups légers sur les fesses du Vaudois. Le maître les vit et interrompit la fellation de Koen pour les réprimander : — Je ne vous ai pas donné l’ordre de vous amuser, restez debout les bras dans le dos en attendant que nous ayons terminé. Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Tonton Tim - 29-05-2021 Je progresse petit à petit dans le récit , arrive en bas de la page 14... les échanges Intergénérationnels apportent un peu de piment dans le récit e5 montrent que la sexualité n’a pas d’âge... il montrent aussi que l’intérêt de beaucoup de gays âges pour la jeunesse et que ce n’est la plupart du temps pas réciproque ... il montre aussi que dans un climat de jeu où le respect mutuel est la règle et la publicité des (d)ébats monnaie courante, beaucoup plus de possibilités son offertes. Merci pour cette création qui devient un peu collective... J’arrive bien trop tard pour y apporter ma pierre... Tonton Tim Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 29-05-2021 (29-05-2021, 10:40 AM)Tonton Tim link a écrit :Je progresse petit à petit dans le récit , arrive en bas de la page 14... les échanges Intergénérationnels apportent un peu de piment dans le récit e5 montrent que la sexualité n’a pas d’âge... il montrent aussi que l’intérêt de beaucoup de gays âges pour la jeunesse et que ce n’est la plupart du temps pas réciproque ... il montre aussi que dans un climat de jeu où le respect mutuel est la règle et la publicité des (d)ébats monnaie courante, beaucoup plus de possibilités son offertes. Merci Tonton Tom de continuer à découvrir mon récit. Par bien des aspects il est un peu utopique et ne correspond pas à la réalité, on peut toujours rêver que le sexe soit un moment partagé entre générations dans le respect mutuel de tous. Cela peut manquer parfois de spontanéité, mais, comme tu le dis, c’est un climat de jeu et les jeux ont leurs règles à respecter. J’aime mieux imaginer des échanges comme ceux-ci plutôt que dans une backroom glauque (ce qui ne signifie pas que mes personnages ne visiteront jamais de tels lieux pour compléter leur apprentissage). Bon week-end. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Philou0033 - 29-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Oups, il faut oser prendre l'arc le bander et tirer la flèche qui va transpercer la pomme! Koen n'est pas fier quand il doit se placer devant les cibles! C'est un exercice particulier que de jouer à "Guillaume Tell" . Bon ils sont jeunes et Hiroshi semble rompu à cet exercice! Merci Daniel pour cette suite au demeurant particulière! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 29-05-2021 (29-05-2021, 03:06 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Suite particulière, en effet. J’ai hésité à utiliser des flèches inoffensives (je ne sais pas si cela existe) puis j’ai pensé que ce serait comme au cirque : un numéro sans filet, avec une montée d’adrénaline. Je savais qu’ils ne risquaient rien puisque c’est moi qui décide de leurs destinées et ils vivront vieux si je raconte leur histoire jusqu’au bout. Je sauterai quelques péripéties, ce sera intéressant de savoir ce qu’ils sont devenus quelques décennies plus tard. Très bon week-end à tous. Je t’embrasse Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Tonton Tim - 31-05-2021 J’ai profité d’un dimanche ensoleillé pour lire quelques pages et j’en suis arrivé au bas de la page 21. Le WE s’est bien terminé et j’ai appris des choses sur le Japon... mais je crains qu’il soit plus tiré de ton imagination.. La transformation du Jardin de Frédéric en camps naturiste n’a même pas surpris les parents... c’est juste un peu embêtant pour Daniel et Dominique qui ont été contraints par les circonstances de dévoiler leur intimité. Quand ils surprendront les deux cousins en pleine retrouvaille sexuelles au prochain chapitre, ils n’auront plus trop de doute sur les attirances de leur progéniture...mais comme ils sont adeptes de l’amour libre, tout se passera bien... Pour terminer, tu disais dans un commentaire que les protagonistes étaient toujours consentants sinon, I’ll n’y aurait pas de récit... ce n’est pas toujours le cas et c’est intéressant d’explorer la négociation des limites du consentement... Tonton Tim Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (gay) - Lange128 - 31-05-2021 (31-05-2021, 03:06 PM)Tonton Tim link a écrit :J’ai profité d’un dimanche ensoleillé pour lire quelques pages et j’en suis arrivé au bas de la page 21. Merci Tonton Tim de consacrer un week-end ensoleillé à lire mon récit, je préfère sortir, ce qui va certainement diminuer la fréquence de mes publications cet été. Il arrive cependant que je réfléchisse aux prochains épisodes en marchant. Japon très imaginaire, en effet, l’avantage des pays lointains est que je peux raconter n’importe quoi. Je n’ai pas connaissance de lecteurs qui me liraient au Japon. La question du consentement va devenir de plus en plus importante pour éviter des accusations de viol par la suite. Si je parle du consentement c’est pour être en phase avec l’époque actuelle, même si ce récit se déroule il y a 60 ans. C'est théorique car mes personnages ne sont pas libres de choisir, c’est moi qui décide à leur place qui couche avec qui, mais ce récit ne fonctionnerait pas si les couples restaient exclusivement entre eux. Et, comme pour le Japon, ma vision de l’amour dans les années 1960 est imaginaire. J’étais déjà né mais plus jeune que mes héros. Imaginer l’action dans des lieux mystérieux : propriétés de gens riches entourées de murs, école privée, ambassade me permet aussi une plus grande liberté. Daniel |