Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 28-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle suite. C'est pour les pionniers la découverte d'un camp international dans un autre pays. Les trois garçons ne vont pas avoir chaud en dormant à poil. J'ai hâte de voir comment va se dérouler ce camp. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-05-2021 (28-05-2021, 11:18 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui un camp international est en effet quelque chose de particulier. J'ai eu l'occasion d'en faire un, celui que je décris dans ce récit. Comme tu le dis, il fait assez frais pendant les nuits. Espérons qu'ils n'aient pas trop froid les trois asticots! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-05-2021 Après une nuit de sommeil, bien réparatrice, j’avais ouvert les yeux et je voyais que Ben dormait encore. Il avait la tête tournée vers moi, les yeux clos. Je ne savais pas si Gaby était lui aussi encore endormi ou alors s’il était déjà réveillé. J’entendais déjà les oiseaux chanter et il me semble que le soleil allait bientôt inonder notre emplacement. En y prêtant plus attention j’entendais comme un bruit assez faible de tissus frôlé. Cela venait de derrière moi, donc du côté de Gaby. Je m’étais retourné doucement en tâchant de faire le moins de bruit possible. Puis le spectacle que j’ai vu m’a fait sourire. Je voyais Gaby les yeux fermés, toujours dans son sac de couchage, occupé à faire des mouvements visibles au niveau de son pénis. J’étais certain qu’il était occupé à se masturber. Je le regardais faire lorsqu’il ouvrit les yeux et qu’il tourna sa tête vers moi. Il fut surpris et arrêta tout de suite ses mouvements masturbatoires. Puis ayant avalé deux fois sa salive, Gaby avait ouvert la bouche pour dire : Gab : « Désolé Phil, mais j’avais tellement envie de me soulager. Moi : Mais Gaby, tu n’as pas à être désolé, c’est normal qu’à notre âge qu’on se masturbe régulièrement et puis surement qu’avec la gaule du matin ! Gab : Merci Phil, bon je ne sais pas si… Moi : Pas de problème Gaby, soulage-toi ! Ben : Que se passe-t-il ? Vous êtes déjà réveillés ! Moi : Oui Ben on est réveillés. Gaby et moi nous parlions de la gaule du matin ! Ben : Ah, oui ça m’arrive tous les matins, d’ailleurs je bande ferme. Gab : Merci Phil, mais je vais dire exactement ce qui se passe. Bon Ben, j’étais en train de me branler et Phil l’a remarqué. Ben : Mais ce n’est pas un problème. D’ailleurs je pense que je vais me branler aussi si cela ne vous dérange pas ! Moi : Je suis partant aussi. Gab : Bon je pense que je vais reprendre où je m’étais arrêté. Nous avions chacun notre sexe en main et nous nous paluchions sans vergogne. J’avais pris le rouleau d’essuie-tout pour nous essuyer la queue une fois notre petite affaire terminée. Gaby avait repris sa masturbation. De mon côté, j’avais ouvert mon sac de couchage pour me branler à l’aire libre, voyant ça Ben avait fait de même. Gaby ouvrait de grands yeux, il ne s’attendait pas à ça. Finalement il avait fait comme nous. J’avais dit : Moi : Tu vois Gaby, c’est pour ne pas saloper le sac de couchage qu’on fait ça par-dessus ! Gab : Bonne idée. » Gaby avait une belle queue, elle devait faire au moins quinze centimètres, assez large et circoncise, sa toison pubienne était noire et ses deux couilles étaient déjà assez velues aussi. Bref nous étions tous les trois concentrés sur notre propre satisfaction. J’aurais bien voulu prendre le pénis de Ben en main pour le branler, mais comme Gaby était avec nous, je voulais lui montrer que nous pouvions nous tenir, enfin, nous nous branlions quand même ensemble, soit côte à côte ! Je trouvais ça très marrant par ailleurs. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit Gaby qui ait commencé le premier. Je me doutais bien sûr que ce genre d’activité allait se produire sous la tente, mais pas de sitôt et encore moins venant de la part de Gaby. Nous nous regardions souvent, Gaby me regardait ainsi que Ben, moi je regardais souvent Gaby car c’était une première de le voir comme ça. Puis Ben lui étant à l’opposé de Gaby, il tentait de voir mais il me reluquait plutôt. Nous avions presque tous les trois pris le même rythme. Puis finalement je me doutais bien que nous allions éjaculer presque en même temps. Effectivement c’est qui arriva. Nous avions chacun éjaculé sur notre ventre et notre torse. Nous nous étions même mis à rire de la situation, de cette première ! J’avais alors passé deux feuilles de papier absorbant à chacun de mes amis. Puis à leur grand étonnement j’avais sorti un petit sac en vue d’y mettre les papiers souillés. Gaby m’avait alors dit : Gab : « Dis Phil, tu as pensé à tout. Moi : Oui Gaby, je pense que pour un camp il vaut mieux être très prévoyant ! Ben : Tu sais Gaby, Phil est super organisé, enfin bon, je vais te le dire, il a même des capotes et du gel. Gab : Oh, eh bien tu m’étonnes Phil. Mais cela ne me dérange pas du tout, c’est pour votre sécurité et nous en avons parlé chez moi l’autre jour. Moi : Merci Gaby. Tu es très compréhensif. Bon je crois qu’il est temps de se lever. » Nous nous étions levés, quelque peu habillés pour nous rendre aux douches. Nous y faisions la file avec notre serviette de bain sous le bras et le flacon de gel douche à la main. J’avais pu voir que certains pionniers des autres unités allaient par deux dans les douches. J’avais dit à Ben que ce serait plus rapide. Une fois notre tour, nous étions rentrés à deux dans une des douches qui venait de se libérer. Nous nous étions lavés mutuellement dans cette petite douche. Nous n’avions pas trainé pour ne pas avoir à subir de commentaire. Le petit-déjeuner avait été pris à notre campement. C’était Fabrice qui avait fait le café et le cacao. Une fois ce premier repas de la journée avalé, Jean-Pierre nous avait dit que nous allions travailler durant deux jours au chantier. Nous nous étions alors préparés avec tout le matériel apporté. Un bus nous conduisait ensuite sur le chantier lui-même distant d’une quinzaine de kilomètres du camp. Dans le bus il y avait également dans deux caisses le casse-croûte pour le midi. En effet c’était la municipalité qui offrait le repas à ceux qui travaillaient. Le chantier débutait par l’accueil d’un responsable de la localité chargé de l’étude et de l’exécution des travaux. Il nous avait indiqué sur place les prescriptions à suivre ainsi que les prérogatives de sécurité à appliquer. Le chantier avait été balisé et nous avions une tolérance de dix centimètres de part et d’autre de la tranchée. Cette dernière devait avoir une profondeur d’au moins soixante centimètres jusqu’à quatre-vingts centimètres au plus profond. La tranchée devait avoir une longueur de vingt-trois mètres septante sur une largeur de quarante-cinq centimètres. Des bêches, des pelles ainsi que des pioches avaient été mises à notre disposition. Trois brouettes étaient disponibles pour ce chantier. Nous avions apporté avec nous vingt paires de gants de travail, quatre pelles pliables, deux pics ainsi que deux masses. Nous avions donc de quoi travailler. L’espace où devait être creusé la tranchée avait été matérialisé au sol par de la bombe de couleur. Des piquets métalliques avaient été ajouter en vue de bien délimiter l’espace de travail. Le responsable de chantier avait demandé à Jean-Pierre s’il était d’accord de s’occuper avec certains d’entre nous de la chambre de visite destinée à accueillir l’ensemble des conduits à implanter dans la tranchée avant leur entrée au niveau du sous-sol de l’habitation et de la déviation en direction de l’étable. Cette section en direction de l’étable ayant été terminée il y a peu. Jean-Pierre avait accepté. Les pièces à implanter étaient numérotées et placées à environ cinq mètres de l’endroit prévu. Les dimensions de cette construction avaient septante centimètres sur septante et nonante centimètres de profondeur. A cet emplacement le sol était relativement meuble, ce qui facilitait le travail. Jean-Pierre avait dès lors fait deux équipes de travail. Elles étaient réparties sur un quota réparti d’un tiers sur deux tiers. J’avais dit à Ben que nous pouvions nous séparer pour travailler en vue de montrer que nous ne devions pas toujours être ensemble. Ben avait accepté, j’en avais fait part à Gaby qui avait approuvé. Finalement Ben allait s’occuper de la fosse de distribution, tandis que j’allais travailler au niveau de la tranchée elle-même. Une fois les tâches réparties nous avions commencé le travail. Nous y avions donné les premiers coups. Des coups de pioches, des coups de bêches et de pelles. Parfois nous tombions sur de la roche malgré tout assez friable. Nous utilisions alors les pics et les masses. Les brouettes servaient tant au niveau de la tranchée qu’au niveau de la chambre de transit. Nous nous donnions à fond et nous ne nous étions pas rendus compte qu’il était déjà midi trente. C’est la fermière qui était venue nous apporter de quoi nous désaltérer et qui nous avait annoncé qu’il était déjà midi trente. Cette brave dame avait apporté du thé froid à la menthe et citron. Cette boisson était la bienvenue et tellement rafraîchissante. Nous avions donc manger le casse-croûte offert par la municipalité de très bon appétit. Le travail donne faim et bien entendu nous les ados, nous avions une faim de loup. Les enfants de la fermière s’étaient joints à nous lorsque nous avions terminé notre repas. Ils avaient deux plaques de chocolat et ils nous donnaient à chacun un beau carreau. Le chocolat était délicieux. Alex qui parlait un peu l’allemand servait de traducteur. Les enfants étaient heureux d’être compris. Le plus âgé, qui devait avoir dix ans expliquait que son papa était accidenté et qu’il ne savait plus travailler pour le moment et que les travaux que nous faisions étaient indispensable pour le bon fonctionnement de la ferme, surtout à l’approche de l’hiver. Nous avions travaillé d’arrachepied jusqu’à dix-sept heures. Nous avions eu droit à une collation vers quinze heures trente. La fermière nous avait donné du gâteau et du thé froid. Cette femme était très gentille et elle savait qu’elle avait besoin de nous pour ces travaux. Lorsqu’il était temps de quitter le chantier, la fermière était venue à notre rencontre pour venir nous enlacer chacun l’un après l’autre. C’était un moment très émouvant. Cette femme partageait un moment de fraternité avec chacun d’entre nous. Je n’étais pas le seul à avoir les larmes aux yeux, plus de la moitié des pionniers avaient les yeux humides. Quel très beau moment plein d’humanité au sens noble du terme ! Nous avions pris place en silence dans le bus qui devait nous ramener vers le camp. Une fois tous installés, toujours dans un silence assez prenant, Jean-Pierre avait pris la parole : J-P : « Je suis super content de vous les gars. Vous avez été à la hauteur de la tâche. De plus vous avez des tripes les gars, vous êtes de supers mecs et en plus vous avez le cœur sur la main. » Personne n’avait répondu à cette phrase. Nous étions encore sous le choc de voir cette femme qui attendait tellement de nous. Nous aurions voulu en faire d’avantage, mais la journée arrivait à sa fin. J-P : « La fermière m’a dit de vous remercier chacun d’entre vous. Je puis vous dire que vous avez été exemplaires ! » Comme seule réponse, nous avions tous applaudis. J’étais tellement heureux de pouvoir rendre service à cette famille, et que les courbatures n’étaient rien en comparaison avec le bonheur d’être au service de son prochain. C’était cela être scout. Ben était assis à mes côtés dans le bus et je pouvais voir dans son regard tout le bonheur qu’il avait lui aussi eu à se mettre à disposition de cette famille dans le besoin. C’est Alex qui avait commencé à chanter, nous lui avions emboité le pas, nous chantions tous dans le bus sur le trajet de retour. Une nouvelle fois quel moment d’intensité. Nous étions tous unis autour de ce beau projet. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 29-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] C'est le réveil et les trois pionniers ont la gaule du matin. C'est Gaby qui a débuté un masturbation suivi par Phil et Ben! C'est le premier jour de chantier. Phil et Ben sont dans des équipes de travail différentes. L’accueil est très positif de la part de la municipalité ainsi que de la famille! J-P est fier de ses scouts pionniers. Ils rentrent au camp en chantant! Merci Philou pour cette belle suite qui montre ce qu'est la BA chez les scouts et l'investissement consenti! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-05-2021 (29-05-2021, 04:00 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement au levé, les trois garçons se sont masturbés question de faire baisser la pression. Le chantier débute et Phil choisi de ne pas être dans la même équipe de travail que Ben. Le travail est rude mais la fermière apporte de quoi désaltérer les garçons. Malgré la fatigue les scouts chantent dans le bus qui les conduit au camp. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Très bon week-end à toi également! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 29-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Excellente excuse d’ouvrir le sac de couchage pour ne pas le salir. Cela permet à Phil de découvrir la queue de Gaby en érection. Le camp est bien équipé avec des douches, dommage qu’elle ne soient pas collectives. Ensuite c’est une journée de travail bien remplie avec du chocolat suisse en récompense. Autre récompense : les remerciements de la fermière. Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 29-05-2021 (29-05-2021, 05:43 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, le sac de couchage (ou duvet) ouvert permet bien entendu de ne pas le salir, mais c'est bien plus pour avoir l'occasion de regarder les pénis en érection des voisins de couchage, soit Gaby et Ben! Il y a des camps où les douches son collectives, cela n'empêche que certains peuvent s'y rendre à deux, pour se laver ou alors ..... oups! Journée de travail récompensée par un bout de chocolat mais aussi le sourire de la fermière. Certains auraient peut-être voulu plus, mais ça c'est une autre histoire! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Très bon week-end. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-06-2021 Une fois arrivés au camp, Jean-Pierre avait demandé à Ben et à Alex d’aller chercher dans le frigo placé à l’accueil du camp et marqué au nom du poste pionnier la nourriture pour le souper. C’est ainsi que nous avons appris que chaque unité disposait d’un frigo pour maintenir la nourriture périssable au frais. Il y avait donc sept frigos et deux congélateurs. Gaby et moi nous allions préparer le repas tous les pionniers, avec l’aide de Ben et d’Alex. Dans la tente intendance nous avions deux becs à gaz et des casseroles et des poêles pour préparer les repas ainsi qu’un tas d’accessoires. Le repas était semble-t-il bon car nous avions tous mangé de bon appétit. Il faut qu’une journée de travail ça creuse. Nous avions préparé une salade fraîche avec des tomates, des haricots princesses et des betteraves rouges. Ensuite nous avions cuit des côtes de porc avec des pommes de terre vapeur et des épinards. Comme dessert nous avions droit à un yaourt. Comme boisson c’était de l’eau avec du sirop de grenadine ou de citron ou de menthe. Une fois le repas terminé, Fabrice avait été trouver les pionniers Vaudois en vue de les inviter à venir à notre veillée. Ils avaient accepté. Nous nous étions retrouvés autour du feu de camp à une bonne trentaine. A la précédente veillée, nous étions pratiquement restés ensemble par poste pionnier. Ce soir nous nous étions mélangés. Fabrice avait sorti sa guitare et dans l’autre unité il y avait un banjo. Nous étions très heureux de pouvoir chanter ensemble. Les chants se succédaient avec des rires. Durant la veillée, Ben qui m’avait fait remarquer que deux pionniers suisses se tenaient parfois par la main. Ils se regardaient souvent. J’étais convaincus qu’ils étaient gays. Nous les regardions discrètement et Ben avait trouvé qu’ils allaient bien ensemble. Nous nous étions ensuite concentrés sur les chants de cette belle veillée. Nous avions appris un chant que nous ne connaissions pas ; c’est « Il faut que je m’en aille » (Graene Allwright). Nos amis suisses le chantaient à merveille. https://youtu.be/tvfZET096ug Puis nous avions pu faire quelques jeux pour varier la soirée. A un moment Ben et moi avions été désignés pour jouer un jeu de mime. Nous devions choisir deux autres partenaires pour les joindre à notre équipe. Ben avait demandé aux deux pionniers suisses, que nous pensions être homos, de venir avec nous dans notre équipe. Jean-Pierre avait compris car il avait lui aussi remarqué les deux autres. Étant à côté de la chef responsable de la troupe valaisanne, ils ont échangé quelques mots en regardant en notre direction. Nous avions discuté cinq minutes à l’écart avec les deux garçons suisses. J’avais dit que nous pouvions jouer un mime sur le rejet. Les trois autres avaient trouvé que c’était une chouette idée. Finalement nous avions l’intention de nous mélanger pour ce sketch. Ben était aux côtés de Raphaël tandis que moi j’étais aux côtés de Christian. Nous avions établi dans les grandes lignes ce que nous voulions faire. Le moment de passer, devant les deux postes pionniers réunis, arrivait. Nous nous étions installés, face à face, par binôme. Puis c’était le mime proprement dit. Ben et Raphaël avançait vers Christian et moi. Christian avait salué les deux autres tandis que moi j’étais resté à l’écart. Puis peu de temps plus tard je m’étais rapproché du groupe. C’est à ce moment-là, en prenant contact avec eux que j’avais été repoussé par Christian. À la suite de cette situation Ben et Raphaël se joignirent à Christian pour accentuer le rejet. J’étais parti d’un côté tandis que les autres allaient dans l’autre direction. Voilà le sketch était terminé. Nous avions été applaudis. Nous nous étions alors placé tous les quatre en face de l’assemblée pour saluer. Ensuite, j’avais pris l’initiative de faire une accolade à mes deux amis suisses. Ben voyant ça avait fait de même. Ensuite les autres pionniers devaient trouver le titre du sketch et l’expliquer. Un tour des pionniers spectateurs a été fait. Puis c’est le thème du « rejet » qui avait eu le plus de voix. Nous avions bien entendu répondu que c’était effectivement ce thème-là. Nous avions repris nos places, assis autour du feu. Nous avions continué à chanter. Profitant qu’un autre groupe soit en préparation d’un mime, j’avais dit à Ben qu’il serait bien de rejoindre nos deux amis Raphaël et Christian. Nous nous étions assis à côté d’eux. Nous avons discuté ensemble entre les chants et les mimes. Enfin je m’étais lancé, j’avais demandé à Christian : Moi : « Dit Christian, Raphaël c’est ton ami ? Chr : Pourquoi tu demandes ça Phil ? Moi : Tu sais j’ai remarqué qui vous étiez très proche. Je ne te cache pas que cela ne me dérange pas, car Ben est mon petit ami ! Chr : Ah, tu vois je l’avais dit à Raph. Je sentais que vous aussi vous étiez homos. Moi : Tu as raison. Mais comment cela se passe chez vous, dans votre poste pionnier, vous avez été acceptés sans problème ? Chr : Nous avons tout de suite été acceptés. Et vous ? Moi : Je dois dire que nous sommes acceptés tel que nous sommes, ils savaient que nous étions gays, mais nous tachons quand même de ne pas trop nous exposer. Chr : Tu vois, au début ça n’a pas été évident, nous avons dû faire face à des critiques et par la suite, avec l’aide, entre autres des filles, ça s’est arrangé. Moi : Tu vois chez nous, comme nous ne sommes que des garçons, ils étaient déjà au courant pour Ben et moi quand nous étions chez à la troupe avant la formation du poste pionnier, donc cela s’est déroulé sans problème. Chr : Ça ne fait pas longtemps qu’il y a un poste pionnier chez vous alors ! Moi : Non depuis Pâques ! Chr : C’est votre premier camp en tant que pionniers alors ! Moi : Oui, et je trouve que nous sommes bien tombés. Puis on découvre d’autres postes pionniers avec d’autres jeunes de notre âge. Chr : Pour moi aussi c’est une expérience que je ne regretterai surement pas. » Nous avions discuté ensemble jusqu’au moment du dernier chant, « le cantique des patrouilles ». Nous nous sommes alors tous salués, un par un. La chef des pionniers du Valais, m’avait dit qu’elle avait apprécié notre ouverture en ajoutant qu’elle savait que Ben et moi étions gays. Puis c’est Jean-Pierre qui nous avait aussi félicité pour notre sketch et notre ouverture envers les autres. Sur ces belles paroles, tandis que le reste des pionniers valaisans partaient en direction de leur campement, nous avions regagné la tente en compagnie de Gaby. https://youtu.be/zY_p6D07lQk Nous nous étions déshabillés sans nous poser de question. Nous étions tous les trois nus. Nous étions assez fatigués. Nous étions entrés dans sac de couchage. Nous avions encore discuté entre nous de cette journée, du travail sur ce chantier, de la fermière et de ses enfants. J’avais dit à mes deux compagnons de tente que j’étais très heureux de pouvoir apporter un peu de bonheur à cette famille par le travail fourni. Mes compagnons étaient eux aussi d’accord. Puis nous avions parlé de cette veillée. Nous avions chanté de bon cœur avec les pionniers valaisans. Puis j’avais posé cette question à Gaby : Moi : « Dit Gaby, tu as remarqué comment Raphaël et Christian se comportaient lors de la veillée ? Gab : Je les ai trouvés très proche, tu ne penses pas qu’ils sont gays ? Moi : Oui Gaby, ils sont gays et ils sont ensemble. Nous avons discuté Christian et moi. Gab : Et ça n’a pas l’air de poser de problème dans leur section. Moi : Non, il m’a dit que les filles étaient tellement plus tolérantes que les garçons, et que c’étaient-elles qui les avaient acceptés tels qu’ils sont. Gab : Tu m’étonnes, j’avais déjà entendu cette réflexion concernant la faculté d’acceptation par les filles de l’homosexualité. Ben : Moi aussi je me suis rendu compte de ça aussi. Moi : Rien que d’en parler ça me fait penser à Marie, tu sais Gaby, c’est mon amie, ma confidente. Gab : Ah, je vois. Et je suis certain que ta sœur est aussi un peu complice avec toi. Moi : Oui Gaby, mais mon petit frère Jean, petit, non il a seize ans depuis peu, c’est lui qui me défend, qui me comprend, qui a peur qu’il m’arrive quelque chose ! Gab : Je ne le savais pas. Tu peux être fier de ta famille Phil. Et toi aussi Ben, car je sais que tu peux compter sur eux. Ben : Oui Gaby, nous avons Phil et moi deux familles formidables. Gab : Je croix qu’il est grand temps de dormir, car demain c’est une nouvelle journée chantier. Bonne nuit les gars. Ben et moi : Bonne nuit Gaby. » J’avais embrassé mon Benoît d’amour avant de rejoindre les bras de Morphée. Nous nous étions tous les trois endormis très vite. Il était très facile de s’endormir, aucun bruit à l’horizon. Puis nous étions morts de fatigue. C’est vers sept heures que j’avais ouvert les yeux. J’avais pu voir la tête de Ben, il me regardait. Une fois qu’il m’avait vu ouvrir les yeux j’ai eu droit à son sourire ravageur. Sa tignasse blonde tout ébouriffée lui donnait l’air d’un beau petit diable sorti de sa boîte. Son regard bleu me transperçait et me ravissait. Il était quand même beau mon amoureux. Ben m’avait déposé un baiser sur les lèvres. Puis il m’avait fait signe pour que je regarde de l’autre côté, soit vers Gaby. Mon regard s’était alors tourné vers lui, il commençait à ouvrir les yeux. Puis je lui avais un large sourire de même que Ben qui s’était mis sur les coudes pour se montrer à la hauteur de vue de Gaby. Il nous avait dit : Gab : « Bonjour les gars. Bien dormi ! Moi : Oui, et toi ? Gab : Oui ça va, mais tu sais Phil que tu as ronflé un peu durant la nuit ! Moi : Bon, désolé. Gab : Non cela ne m’a pas empêché de m’endormir. Nous avions pu voir que Gaby avait mis sa main dans son sac de couchage au niveau de la protubérance bien visible. Ben et moi étions aussi dans le même état, nous bandions. Gaby avait bien vu que nous le regardions. Puis il nous avait dit : Gab : Bon, je pense qu’on peut faire baisser la pression, du moins moi je compte me branler. Moi : Je pense que je vais faire de même. Gab : Je peux vous dire aussi que si vous voulez vous pouvez le faire ensemble, mutuellement. Cela ne me dérange pas. Vous savez, je l’ai déjà fait avec mon cousin lors des dernières vacances, juste trois fois, pour rigoler. Ben : Je ne te connaissais pas comme ça Gaby. Gab : Tu vois Ben on en apprend tous les jours ! » Nous nous étions mis à rire. Puis sans retenue, sans contrainte et avec la bénédiction de Gaby, Ben et moi nous nous étions mis à nous masturber mutuellement. Nous y allions doucement avec volupté. Gaby nous regardait faire, je voyais bien qu’il bandait un maximum. Ben l’avait aussi remarqué. Nous nous embrassions aussi, et Ben souriait de nous voir. Je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part, mais nous pouvions voir que finalement il était assez large d’esprit. Notre main libre parcourait le corps de l’être aimé tandis que l’autre s’attachait à procurer du plaisir à son partenaire. Nous nous étions branlés durant près de huit minutes, nous sentions que notre semence allait bientôt vouloir s’épandre sur nos abdominaux. Nous alternions les mouvements lents et rapides. Du côté de Gaby, il était si excité qu’il avait déjà joui depuis un moment. Il avait repris sa masturbation toujours en nous regardant. Son pénis avait repris de l’ampleur. Ben et moi continuions à nous faire plaisir. Puis sachant que le point de non-retour était proche, nous avions terminé cette masturbation mutuelle en rythme. Puis, enfin, nous nous étions cambrés pour ensuite déverser nos jets de sperme sur nos ventres. Gaby voyant ça avait lui aussi éjaculé sur son ventre. Il avait joui deux fois en l’espace d’un quart d’heure. Nous nous étions mis à rire Ben et moi. Gaby lui reprenait ses esprits. Nous nous étions essuyés avec de l’essuie tout. Quel sublime moment. J’étais heureux d’avoir pu faire jouir mon Ben d’amour, et moi qu’il m’ait fait jouir. Nous nous étions habillés d’un short pour aller nous doucher. Pour ne pas faire jaser les autres pionniers, j’avais pris ma douche avec Alex tandis que Ben avait été la prendre avec Gaby. Ensuite nous avions pris notre petit-déjeuner tous ensemble au milieu de notre emplacement. Avant de partir, nous avions pris de quoi nous changer pour cette journée de travail, car il avait annoncé une journée encore plus chaude que la veille. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 01-06-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Après le travail, il est important de se restaurer. C'est ensuite la veillée avec les pionniers Vaudois. C'est l'occasion de découvrir d'autres chants. Phil et Ben ont remarqué que deux des garçons vaudois étaient très proches, se tenant parfois par la main. Il s'agit de Christian et Raphaël. Ils sont en effet homos. Discussion sous la tente avant de dormir. Au matin les trois garçons ont la gaule, c'est Gaby qui propose même à Phil et Ben de se donner du plaisir mutuellement tandis qu'il se masturberait de son côté. Gaby a bien changé, il s'est ouvert aux autres et les laisse tranquille pour qu'il puisse avoir un moment à partager à deux. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-06-2021 (01-06-2021, 05:06 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé, tout y est. Phil et Ben se rendent comptent que deux pionniers Suisses sont eux aussi homos. Ils vont faire connaissance et discuter ensemble de leur vie scoute et privée! Gaby et les deux garçons amoureux vont passer du bon temps, Gaby seul et les deux garçons vont se donner du plaisir. Gaby a bien évolué et accepte sans souci que ses deux compagnons de tente s'aiment! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 02-06-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member] pour l’accompagnement musical. Un peu de nostalgie avec ces chansons qui nous rappellent notre jeunesse, surtout la première pour moi car je ne connaissais pas le « Cantique des patrouilles ». Il semble que les couples gays se reconnaissent même s’il restent discrets, le fameux « gaydar » ? Gaby a pris les bonnes habitudes matinales, il semble même être un spécialiste de la branlette. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-06-2021 (02-06-2021, 06:34 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member] pour l’accompagnement musical. Un peu de nostalgie avec ces chansons qui nous rappellent notre jeunesse, surtout la première pour moi car je ne connaissais pas le « Cantique des patrouilles ». Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com! Je suis très heureux que les deux chants t'aient plu. Oui un peu de nostalgie ne fait pas de tord. C'est pour moi des chants qui ont marqué ma vie scoute et d'homme! Oui il y a des gars qui ont le "gaydar", ils se reconnaissent très vite! Gaby semble effectivement être un spécialiste de la branlette. Il s'est ouvert aux autres et accepte qu'ils se fassent un branlette mutuelle! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 03-06-2021 Chapitre 2. Chantier et excursion en montage. Comme la veille nous avions le repas de midi qui était prévu et apporté par une personne de l’administration. Sur place nous avions été accueillis chaleureusement par la fermière et ses enfants. Nous nous étions mis à la tâche en vue de faire progresser le chantier. Nous y allions, toujours par deux équipes, l’une à la tranchée et l’autre à la chambre de visite. Ben était avec la seconde équipe et moi dans la première. Il faisait de plus en plus chaud et nous avions laissé tomber le tee-shirt pour rester torse nu. C’est vers les onze heures que la fermière avait apporté de la boisson fraîche, c’était du thé froid comme le jour avant. C’était très désaltérant. Nous voyant torse nu, elle avait ensuite apporté de la crème solaire pour que nous nous protégions des rayons du soleil. Nous nous mettions l’un l’autre de la crème sur le dos. C’était une très bonne idée qu’avait eu la fermière. Vers midi trente nous avions fait une pause pour manger les sandwichs qui avaient été apportés. Il y avait aussi de la limonade. Cette pause était la bienvenue. Nous avions pu reprendre des forces et nous reposer durant une bonne heure. Ensuite nous avions repris le travail. Nous étions très contant d’avoir des gants, car sans eux nous aurions déjà eu des ampoules depuis longtemps. Nous pouvions voir que nous avions progressé, nous avions déjà fait environ six à sept mètres de tranchée et pour la chambre de visite, la première partie en béton armé avait été posée au fond du trou qui devait accueillir l’ensemble. Vers quinze heures trente nous avions eu droit à la pause thé glacé et au morceau de chocolat très gentiment distribué par un des enfants de la ferme, il devait avoir cinq ans. Alex avait toujours un mot ou l’autre à dire en allemand. Parfois les enfants riaient car Alex s’était semble-t-il trompé de mot ou de sens dans les phrases qu’il prononçait. Vers dix-sept heures quinze nous avions rangé les outils, la journée de travail était terminée. Nous étions tous trempés de sueur. Nous avions avec nous de quoi nous changer, mais il nous fallait quand même nous rafraîchir un minimum avant d’enfiler nos habits propres. La fermière nous a proposé de prendre une douche au fond de l’étable, là où son mari avait l’habitude de se laver à la fin de la journée et aussi de mettre un tuyau d’arrosage à disposition également derrière l’étable. Nous étions très contents de cette proposition. Dix d’entre nous s’étaient rendus au fond de l’étable tandis que les autres s’étaient rendus à l’arrière de l’étable où se trouvait le tuyau d’arrosage. Ben et moi étions restés dehors, derrière l’étable. Nous nous étions déshabillés nous retrouvant nus. On pouvait se rendre compte que certains étaient un peu retissant à se mettre nus devant les autres. J’avais encouragé les plus prudes en leur disant qu’on était tous fait de la même façon. Passé le cap de l’appréhension, ils n’eurent plus aucune gêne à être nus. L’eau était froide et donc cette douche improvisée n’allait pas s’éterniser. Nous nous étions arrangés de façon que l’un de nous tenait le tuyau pendant qu’un autre se lavait sous le jet. Nous nous étions ensuite séchés pour enfiler nos propres habits. En quittant les lieux, une nouvelle fois la fermière était presque en pleur à la suite de notre enthousiasme et suite à l’avancement du chantier. Elle nous avait donné à tous, un bisou sur la joue en guise de remerciement. Nous n’avions qu’un large sourire à lui donner en guise d’au-revoir. Le retour en car s’était passé tout celui de la veille. Nous avions chanté à tue-tête, heureux d’avoir une nouvelle accompli notre BA. Les chants et les rires fusaient de toutes parts. Le retour avait aussi été l’occasion de parler du reste des activités auxquelles nous pourrions participer dans les jours prochains. Malgré la fatigue nous étions tous de très bonne humeur. Une fois arrivé au camp, trois pionniers dont Alex était allé chercher dans le frigo de quoi concocter un très bon repas pour nourrir toute la troupe. Alex était redescendu par la suite à la tente administration en vue de faire un article concernant l’avancement des travaux et la vie de notre troupe. Nous allions pouvoir lire ce que tous les groupe avaient fait et allaient envisager de faire. Puis certains des chefs de section avaient pris des photos et ils pouvaient les développer sur place car un petit labo photo avait été installé. Au moment où Alex était revenu d’avoir rédigé son article et qu’il ait choisi deux photos, nous étions tous passés à table. Au menu, saucisses, pâtes avec sauce tomate, poivron, courgette. Bien entendu de la limonade ou de l’eau comme boissons. Jean-Pierre nous avait avisé que la veillée du soir allait se faire sous le chapiteau avec les six postes pionniers. Nous allions préparer quelques chants, normalement nous devions en prévoir quatre ou cinq. Fabrice avait été trouver les pionniers valaisans en vue de faire deux chants en commun. Nous avions bien sûr revêtu notre chemise d’uniforme et notre foulard pour être au moins en tenue. Il est vrai que pour le chantier nous n’étions pas en uniforme, cela va de soi. Une fois prêts nous nous étions rendus au chapiteau. Nous nous étions assis à côté des pionniers valaisans. Les pionniers français s’étaient installés à côté de nous. Nous avions pu voir que l’autre poste belge avait pris eux aussi place à côté des valaisans. Les deux autres postes suisses germanophones avaient pris place devant les autres groupes. Tous les postes pionniers installés, Alexander avait alors pris la parole. Il nous avait tous remercier. Il avait aussi dit que le chantier avait très bien avancé en deux jours et si le rythme était maintenu, il serait terminé un jour ou deux jours plus tôt. Puis enfin, il avait annoncé le début de la veillée. Nous étions en attente de voir comment cela se passerait, car c’était une première pour nous tous, de nous retrouver si nombreux pour une veillée avec des personnes qui parlaient plusieurs langues. Alexander avait demandé quel groupe allait débuter la veillée. Personne ne semblait se décidé, finalement se sont les scouts valaisans qui avaient lancé la veillée. C’est par une chanson du folklore écossais qu’ils avaient débuté, c’était « My Bonnie Lies over the Ocean ». Cette chanson permettait à tous de nous mettre à chanter ensemble. C’était une excellente idée. Ensuite nous avions pris le relais avec « Le petit âne gris » de Hugues Aufray. Ce fut ensuite l’autre troupe de Belgique, puis les pionniers d’expression alémanique etc. L’ambiance était au beau fixe, toutes les sections y allaient de cœur joie. Christian et Raphaël s’étaient rapprochés de nous. Nous parlions entre nous durant le changement d’attribution des différents groupes. Parfois nos deux amis suisses se tenaient par la main. C’est une chose que Ben et moi n’aurions jamais faite. C’était selon moi s’exposer à avoir des ennuis avec d’éventuels homophobes. Nous ne savions pas si dans les quatre autres sections pionniers il y avait ou pas d’homophobes. Les chants se suivaient pour le plaisir de tous. A un moment nous avions demandé à nos amis suisses valaisans si nous pouvions chanter ensemble de chant « Il faut que je m’en aille » (Graene Allwright). Nous nous étions alors mélangés de façon que ce soit le plus homogène possible. C’était donc avec une grande ardeur que nous avions entonné ce chant que nous avions appris de nos amis. Pour ma part j’avais la chair de poule, les poils de mes bras étaient hérissés. J’avais pu remarquer qu’il en était de même pour mon Ben d’amour et nos deux amis homos. Durant cette veillée Alex avait été parler avec les Suisses alémaniques et il s’était joint à eux pour un chant. Je pouvais me rendre compte que nous étions de plus en plus intégrés à tous les groupes. Les Belges de La Louvière s’étaient aussi mêlés à notre groupe. C’était moins évident avec les deux postes pionniers suisses d’expression allemande, mais Alex faisait ce qu’il pouvait. Deux autres pionniers de notre groupe s’étaient aussi joints à eux. Les scouts pionniers français s’étaient lancés dans un sketch humoristique. Ensuite ils s’étaient aussi répartis au milieu de ce grand groupe ainsi formé par toutes les sections. Je pouvais voir combien Alexander était heureux de voir que cette belle intégration s’était enfin concrétisée à la fin de cette belle veillée. Des regards étaient échangés entre toutes les six sections de pionniers. J’avais parfois l’impression d’être dévisagé, mais c’était seulement une impression furtive. A l’issue de la veillée, nous avions tous chanté le « Cantique des patrouilles » avant de quitter le chapiteau. Ce chant m’avait lui aussi donné des frissons. Voir autant de scouts chanter en même temps était la chose que je venais de découvrir et qui me donnait du baume au cœur et je pensais qu’il devait en être de même pour tous les participants. Il y a de ses moments en suspens qui marquent et qui apportent une touche universelle. Nous nous étions tous salués, heureux d’avoir pu échanger entre nous et ainsi briser la glace. Nous avions repris le chemin de nos emplacements. Nous étions à côté de nos amis valaisans pour remonter vers les tentes. Nous chantions encore doucement en regagnant les tentes. Malgré la fatigue de cette journée de labeur, nous avions tous le sourire aux lèvres. Un dernier salut à nos scouts valaisans et hop nous avions pris possession de nos tentes. C’était exténué qui nous nous étions déshabillés pour entrer dans nos sacs de couchage pour tomber dans les bras de Morphée. Il était neuf heures passées quand nous avions été réveillés par Fabrice. Il nous demandait de nous lever et de nous préparer pour la journée. Nous allions préparer une excursion dans la montagne. En effet nous ne devions pas travailler trois jours de suite au chantier. Une autre unité était prévue pour le travail aujourd’hui. C’est Benoît qui avait été désigné avec trois autres pionniers pour préparer le trajet avec deux guides qui parlaient très bien français. Des cartes avaient été mises à disposition. Le trajet était fixé, le matériel avait été préparé lui aussi, cordes, piolets, baudriers et tout le nécessaire. Le trajet jusqu’au massif à explorer se faisait avec le bus dès qu’il fut revenu d’avoir déposé les pionniers « travailleurs » au chantier. Jean-Pierre nous avait présenté l’excursion. Nous allions partir deux jours en montagne. Après une ascension nous allions loger dans un refuge de montagne. Par la suite, le lendemain, nous allions traverser un glacier. Ensuite ce serait le chemin de retour via une autre vallée. Nous serions repris en charge par le bus pour revenir au camp. Jean-Pierre nous avait assuré que le glacier était en fait plat et donc nous ne devions pas faire d’escalade à proprement parler. Nous étions tous très heureux du programme, mais j’avais pu voir dans le regard de Gaby une certaine crainte. Je m’étais approché de lui. Je lui avais bien dit : Moi : « Dis Gaby, ça n’a pas l’air d’aller ! Gab : Tu sais Phil, c’est le moment que je redoutais. Moi : Tu sais que je t’ai promis ainsi que Ben de t’aider et d’être auprès de toi. Cette promesse tient toujours, tu pourras compter sur nous. Gab : Merci Phil, mais tu sais l’appréhension est toujours là. Je vais mordre sur ma chique ! Moi : Ne t’inquiète pas Gaby, nous serons avec toi. Ben : J’ai entendu ce que vous vous disiez. Tu sais Gaby, comme je te l’a bien dit, nous serons avec toi, nous veillerons sur toi pour que tout se passe bien. Gab : Merci les gars. Bon, on se prépare ! » Nous avions préparé nos sacs avec de quoi nous changer, un pull supplémentaire, car la nuit il gèle en haute montagne. Puis j’avais pris quelques fruits secs et des barres de céréales pour si nous avions un coup de fringale. J’avais bien dit à Gaby de prendre ses cachets pour les nausées et le mal de l’altitude. Nous avions déjà chaussé nos grosses bottines de marche, la veste de pluie avait été placée sur le dessus du sac à dos pour être facilement accessible en cas de mauvaises conditions climatiques. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 03-06-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Dure journée de travail qui se termine heureusement par une petite douche improvisée qui permet aux scouts de se rafraîchir et de comparer discrètement la taille et la forme de leurs appendices (du moins pour ceux qui sont gays). Ensuite une belle soirée, de nouveau avec beaucoup de chants. La journée suivante s’annonce difficile pour Gaby, il pourrait rester au camp mais il veut faire comme les autres. Il pourra compter sur Phil et Ben s’il a des problèmes. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 03-06-2021 (03-06-2021, 11:35 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui le travail demandé aux scouts est exigeant et ils suent eau et sang! Une douche à l' fin du labeur est bien entendu la bien venue! C'est l'occasion pour les scouts de comparer les pénis, autant gays qu'hétéros, dû moins ils ont aussi des yeux ! Soirée qui permet aux six troupes pionniers de faire plus ample connaissance! Gaby va-t-il rester au camp ou alors accompagner Phil, Ben et les autres en montagne? Il pourra de toute manière avoir l'aide de ses deux compagnons de tente et du reste des pionniers. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou |